Café liberté, lundi 6 juillet : Fermeture bancaire en Grèce

Café liberté, lundi 6 juillet : Fermeture bancaire en Grèce

Café liberté, lundi 6 juillet :
Jean-Gilles MALLIARAKIS – Fermeture bancaire en Grèce

Cette séance se tiendra le lundi 6 juillet à 20h00 au café le Coup d’Etat, 164, rue Saint Honoré, 75001 Paris (M° Palais Royal).

La séance sera consacrée à la situation et à la trajectoire de la Grèce.

Nous aurons l’honneur de recevoir Jean-Gilles MALLIARAKIS. D’origine grecque, proche de certaines personnalités de la Nouvelle Démocratie Jean-Gilles MALLIARAKIS est un observateur averti de la vie politique en France et en Grèce. Auteur de plusieurs ouvrages politiques, historiques ou économiques et diplômé de Sciences-Po, il dirige les éditions du Trident. Ses champs d’investigations portent sur la politique française et aussi sur l’histoire des grandes subversions européennes : socialisme, communisme, maçonisme.

La Grèce vient de faire défaut sur sa dette. La panique bancaire qui avait précédé avait engendré une fermeture bancaire vidant les commerces , mettant son économie à l’arrêt et menaçant même la riche saison touristique d’été. La situation humaine des gens ordinaires est alors tragique, avec une incapacité à s’approvisionner, et, pour les plus imprévoyants, la disette.

Cette panique bancaire a été amorcée en fait dès l’élection d’Alexis TSÌPRAS, avec un fort rythme des  retraits d’espèces. Ces espèces sont adossés à une dette supplémentaire, discrète, de la banque centrale grecque envers une BCE de plus en plus alarmée et posent la question de la valeur future de cette masse de billets euros “Y”, grecs.

Cette situation terrible n’est pas sans rappeler celle de l’Argentine à la Noel 2001. la fermeture bancaire avait duré 3 semaines avec une montée des pillages puis des émeutes et au final l’état d’urgence, c’est à dire la loi martiale, avec les blindés de l’armée prenant place dans la capitale et au centre des grandes villes.

Cependant les partenaires européens et internationaux de la Grèce lui proposaient des facilités financières en contrepartie de mesures d’austérité budgétaire de l’état grec. Ces mesure sont l’objet de l’actuel référendum.

A quoi va ressembler la vie des grecs dans les mois et années à venir ? Quelle trajectoire politico financière sera suivie par le pays ? Alexis TSÌPRAS peut il gouverner ? La géopolitique russo-états-uniennes va-t-elle s’inviter à la table des négociations ? La trajectoire de la dette grecque serra-t-elle une restructuration lente sous tutelle ou bien une restructuration massive avec sorite de l’euro ? Un troisième alternative financière est elle possible ? La souveraineté du peuple grec est intacte, provisoirement atténuée, durablement altérée ou bien quasi inexistante depuis longtemps ? C’est autour de ces questions que nous vous proposons de débattre le lundi 6 juillet à 20h00 au café le Coup d’Etat, 164, rue Saint Honoré, 75001 Paris (M° Palais Royal) !

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Comments (4)

  • DESOYER Répondre

    Malheureusement, la Grèce est un pays pourri jusqu’à la moëlle, mais sa classe politique est incompétente, mais, en cela, elle n’est pas bien moins pourvue que nous. Seule l’Allemagne avec Angela (et encore sur l’immigration et le nucléaire, elle est nulle) et la GB avec Cameron (pour lui aussi, sur l’immigration, ce n’est pas cela) sortent un peu du lot.

    7 juillet 2015 à 18 h 38 min
  • Kummel Louis Frédéric Répondre

    et si nous demandions un référendum pour ou contre l’aide à la Grèce et l’annulation de la dette?
    personnellement, je voterai NON, pourquoi? Je n’aime pas:
    * les voleurs, les menteurs, les tricheurs
    * les manipulateurs, les maîtres chanteurs
    * les hommes politiques qui, pour se faire élirent, promettent n’importe quoi (comme les 35 heures) sans en prendre les conséquence en compte,
    * je les haies d’autant plus qu’en sus de leur rémunérations et avantages, ils courent les jetons de présence. ainsi le député maire de Caen, PS, champion de France des cumulards, 23 mandats sans compter celui de DEXIA …
    Revenons aux Grecs: qui peut donner leurs revenus ?

    7 juillet 2015 à 13 h 28 min
  • blum Répondre

    contribuables ouvrez le porte-monnaie pour ces grecs qui partaient à la retraite à 53 ans, des fonctionnaires payés nettement plus cher que ceux de France, ces ultra riches grecs qui ne payaient pas d’impôts du tout. Et vite, Bruxelles à la poubelle de l’Histoire !

    7 juillet 2015 à 8 h 17 min
  • Jean sans peur Répondre

    Les grecs vous nous emmerdez… Vous êtes des fainéants et des fieffés voleurs, incapables de rendre l’argent prêté par ces socialistes européens… Allez vous faire foutre chez… vous… et quittez l’Europe. Celle ci n’en a rien à faire, et moins depuis qu’elle fait fonctionner la planche à billets au détriments de ses adhérents…

    6 juillet 2015 à 13 h 21 min

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