Chômage des jeunes, des vieux… inquiétant record

Chômage des jeunes, des vieux… inquiétant record

Depuis vingt-cinq ans, nos politiques nous promettent la baisse du chômage !Pour y parvenir, toutes les formules ont été essayées : emplois aidés, T.U.C., stages, emplois jeunes, exonérations de charges, contrats de travail divers et varié, CNE, CPE, indemnisation longue et généreuse pour acheter la paix sociale, RMI, et maintenant les emplois d’avenir ?

L’état, pour faire ses fins de mois, accumule des dettes abyssales. Avec, en plus des cotisations, des impôts très lourds. Ces prélèvements pénalisent notre économie et notre jeunesse, retardent l’entrée des jeunes dans la vie active, leur premier emploi, la construction de leur famille, l’achat de leur maison. Même quand ils ont un emploi, ils ne peuvent plus se constituer un petit patrimoine ! En cas de chômage, c’est un drame. Les difficultés sont très grandes face à  un marché du travail atone.


La seule la formule qui marche dans le monde et qui n’a pas été mise en œuvre en France, c’est « la liberté » pour les entreprises, créatrices de richesses et d’emplois !
Il faudra admettre une fois pour toutes, clairement, en France, l’économie de marché, ouvrir le plus possible l’économie à la liberté d’entreprendre, de pouvoir bénéficier normalement des fruits de son travail, par des prélèvements raisonnables, proche de nos voisins européens. Réduire le poids et le coût de l’État, simplifier nos réglementations, réformer notre système fiscal, supprimer l’ISF, ne plus diaboliser les entrepreneurs, les « riches » qui participent avec leur talent et leurs capitaux à la création des emplois que nous souhaitons pour nos enfants.

La droite et la gauche, au lieu de pleurnicher aujourd’hui, auraient mieux fait de créer les conditions d’un meilleur environnement économique pour les entreprises. Alors que les actionnaires ont été ruinés en 2009 et que leurs les dividendes de 0 a 4 % sont qualifiés « d’indécents » par les médias, la gauche et une partie de la droite, qui va financer nos entreprises, nos emplois ?

Les entreprises manquent d’investisseurs car les prélèvements obligatoires servent à financer les frais exorbitants de fonctionnement de notre très cher État Obèse, dilapidateur, mauvais gestionnaire de nos finances et de ses personnels. Beau cadeau pour nos enfants ! Des dettes, un marché du travail atone, le financement de nos retraites à crédit…

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Comments (6)

  • F Répondre

      @ AFP
     Aux Etats Unis où on peut facilement licencier, ( moins de 2 semaines), et où on peut aussi plus facilement embaucher et/ou créer son entreprise, le taux de chômage est toujours inférieur au nôtre. Il ne nous a rejoint que pendant un court laps de temps durant la dernière crise et est en train de baisser quand le nôtre continue à monter.

      La liberté dont ils disposent leur permet d’être plus performants en période faste et de se remettre plus vite quand une crise les a fait temporairement descendre à notre niveau…
      Pour nous, c’est l’inverse. On a toujours un taux de chômage de temps de crise, quelles que soient les circonstances. Notre "modèle social" et nos contraintes ne nous préservent pas, mais nous habituent seulement à marcher continuellement au fond de la mer pendant que les autres nagent…

    5 septembre 2012 à 10 h 14 min
  • IOSA Répondre

    Même un enfant de 10 ans peut comprendre ça, mais pas un énarque… ni un socialo-communiste.

    Claude Roland@…

    Le soucis c’est qu’aucun des énarques n’est dans cette position qui consiste à défendre ceux qu’ils sont censés représenter.

    Le Patronat veut une main d’oeuvre qualifiée et pas chère qui peut être compensée par une main d’oeuvre moins qualifiée mais sur-abondante ( comme en Chine lorsque le balayeur des jardins travaille, il y a deux personnes de chaque côté qui barre la route en tendant une ficelle et pour un tarif bien plus attractif qu’ici pour une seule personne).

    Et les énarques ne veulent pas renoncer aux privilèges que leur donne leurs fonctions….privilèges financiers sur-abondants par la grace des taxations diverses et variées.

    Aucun nouveau gouvernement depuis des lustres ne parle de baisser les dépenses étatiques, mais bel et bien de ne pas trop les augmenter.

    Donc l’ Etat et le Patronat ont un consensus depuis toujours, qui consiste à prendre plus d’argent dans nos poches pour l’un et gagner davantage pour l’ autre, mais toujours sur le même mouton bête & con qu’est le contribuable à qui revient l’addition.

    Et à part une révolution style 1789 avec l’appuit de la Faiseuse de veuves, je ne vois pas comment le mouton va échapper au méchoui ?

    IOSA

    5 septembre 2012 à 0 h 29 min
  • AFP Répondre

    Je crois au contraire que plus vous mettrez de liberté et pire sera la situation du chomage.

    C’est dejà la jungle, les entreprises virent et précarisent leurs employés déjà, que voulez vous donc de plus ?

    Tant que l’activité économique est fondée sur l’appât du gain et donc les égoïsmes des uns contre les autres, rien de bon n’en sortira.

    Au contraire, si l’intérêt commun est recherché, si le patron cherche à développer sa région et non à la ponctionner de subvention, si le salarié s’identifie à son entreprise, comme par exemple en Allemagne, alors la situation s’améliorera.

    Vale

    4 septembre 2012 à 20 h 16 min
  • dissident Répondre

    bien vu, je dois ajouter qu il est incroyable de voir les politiques menees dans ce pays, mesures absurdes qui nous menent dans le mur, alors qu il faudrait favoriser l investissement prive createur de richesses, on penalise sous Fillon et bien sur avec ce gouvernement l actionnariat traite comme un parria a eradiquer, on tourne le dos au progres economique, plutot des fonctionnaires en surnombre et des immigres inassimilables que des entrepreneurs finances par toujours plus d impot et de taxes! resultat des courses : dans tres peu de temps je crois

    4 septembre 2012 à 17 h 03 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    l’auteur devrait transmettre son  texte si simple et si limpide à … son député ,  son sénateur surtout si ceux ci sont " U.M.P. " ( un P.S.  étant un dévot du " tout état " donc insensible à un  raisonnement  autre que le sien ) … il devrait également le diffuser largement autour de lui dans l’espoir ( insensé ) de convaincre nos " étatistes " de droite à gauche , du F.N.  au F . de  G. … J’ai cependant des doutes quant à la réussite d’une telle entreprise pour la raison simple que voici :

    en France on confond " libre entreprise " et " capitalisme financier " …  le bon plaidoyer devrait donc être celui  d’expliquer ce en quoi ces deux entités économiques sont différentes en insistant sur le fait que la " libre entreprise " est elle aussi entre les serres du " capitalisme financier  " tout autant qu’elle l’est dans celles de l’impôt spoliateur

    pas si simple que cela en a l’air à première vue

    4 septembre 2012 à 16 h 59 min
  • Anonyme Répondre

    Beau programme proposé dans cet article, mais avec des politiciens “oenuques” et fiotes, aucun n’aura le courage politique de forcer une telle réforme drastique (mais vitale et salutaire) parce qu’elle détruira sa carrière politique personnelle. Or ces gens là (ou ces parasites, c’est selon) sont carriéristes avant tout, c’est à dire bien avant l’intérêt de la nation. L’égoïsme règne partout, surtout en politique. En France, nous avons donc les politiciens les plus cons et les plus mous du monde. Et l’école Nationale des ânes (ENA) en fabrique à la pelle mais hélas, ils ne sont pas exportables sinon, nous serions riches. On importe des immigrés alors qu’on a pas suffisamment de travail pour les Français dans leur propre pays ! Mais le but, en important une immigration qui gonfle les rangs des milliers de chômeurs en France, est d’écraser les salaires et semant une terreur du chômage qui fait tout accepter aux salariés. Or ce ne sont pas les salaires qu’il faut baisser mais les charges salariales. Les institutions comme la Sécu ou les allocs, etc. seront alors générés par le nombre de personnes ayant un travail et non la saignée des entreprises employant peu de salariés par la force des choses (la situation économique). Même un enfant de 10 ans peut comprendre ça, mais pas un énarque… ni un socialo-communiste.

    4 septembre 2012 à 12 h 06 min

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