La France en socialisme (2012-2017)

La France en socialisme (2012-2017)

 Le projet socialiste, c’est plus d’État, plus d’impôts, plus de dépenses improductives. Le refus suicidaire du réel, de la mondialisation, le combat d’arrière-garde qui consiste à contester le marché… C’est la lutte finale !

 L’assistanat élevé en totem sacré, symbole de fausse égalité. Le socialisme en France, c’est donc  une nouvelle aliénation totale des individus, soumis obligatoirement à une « protection sociale », une prise en main étatique, que ce soit la Sécurité sociale, le logement, l’éducation nationale ou encore  les entreprises mal gérées par l’État.

 Avec pour conséquence la  situation économique d’une France confrontée aux trois D : Déficits, Dettes, Déclin.

 Pauvres Français ! De 2 ans à 26 ans formatés par l’éducation nationale, de 26 ans à 60 ans mis sous tutelle car considéré comme incapables de gérer leur vie d’homme, santé, formation, logement, emplois, etc. Avec le soutien d’une armée rouge chargée de nous materner moyennant des prélèvements obligatoires massifs, des dépenses publiques de  54/56 %.  Tout cela pour faire  notre bonheur!

 La sphère étatique, avec un poids de 25 %, bat le record du monde par son nombre, son coût, ses résultats calamiteux, mais il faut encore la renforcer, la subventionner, la maintenir à n’importe quel prix. Toujours plus, encore plus, plus encore.

 La responsabilité des gouvernements de droite est également à prendre en compte pour nos mauvais résultats, nos dettes, avec l’absence de réformes sérieuses de nos  structures française,  fiscales et économiques. Entre le Smic, les 35 heures, les emplois publics à n’en plus finir, la retraite a 60 ans, les régimes spéciaux, etc. Avec l’ immigration de la misère, l’émigration des forces vives via l’ISF…

 Notre situation  française très précaire ne présage rien de bon, avec en plus la crise mondiale financière et économique.

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Comments (9)

  • Jaures Répondre

    94917, vous avez raison de pointer le problème endémique du chômage en France. Mais pourquoi isoler le chômage ? Serait-il le seul problème auquel serait confronté la société ? Le sort d’un chômeur français est-il le même que celui d’un chômeur britannique ou espagnol ?
    Ainsi, si on compare un chômeur français avec son collègue britannique, le Français touchera une allocation en fonction de son salaire et de sa durée de cotisation quand le britannique ne toucher forfaitairement que 400€ durant 6 mois maximum.
    De fait, un britannique devra pour subsister accepter tout de suite n’importe quel emploi quand le Français aura un peu de temps pour trouver un job correspondant à sa qualification. C’est d’ailleurs ce qui explique la grande différence de travailleurs partiels au RU et en France (+ 10 points au RU).
    Enfin, il existe d’autres problèmes que le chômage: l’accès aux soins, la retraite, les infrastructures, l’aide aux familles,… Un taux de chômage bas n’est en rien une garantie suffisante de bien être pour la population ni une assurance pour l’avenir. Sous W.Bush, le taux de chômage était bas ce qui n’a empêché ni que se développe une misère liée au surendettement, ni qu’une crise économique s’installe durablement. En Espagne, le taux de chômage a été divisé par deux en 15 ans pour être multiplié par en 4 de 2008 à 2012.
    De même, il n’y a pas de lien entre niveau de dépenses publiques et prélèvements obligatoires et prospérité économique. Sinon le RU serait loin devant la Suède et la Norvège, l’Espagne battrait largement l’Allemagne et la Belgique serait écrasée par le Portugal.
    Entendons-nous bien. Je ne dis pas ici qu’il faut des prélèvements obligatoires élevés pour réussir. En Economie il n’existe pas de règles universelles. Tout est lié à un contexte. Des prélèvements obligatoires importants peuvent être liés à une relative réussite (Danemark, Suède, Belgique), avec les mêmes des pays peuvent rencontrer des difficultés (France, Italie) mais des taux très bas ne garantissent rien contre de violentes et durables crises (Espagne, Grèce, Japon, USA,…).

    20 janvier 2013 à 10 h 56 min
  • 0094917 Répondre

    Accord SANS RETENUE avec QUINCTIUS C……. mais quelle misère de lire JAURES.

    Ne sait-il donc pas que : « pendant les dix années qui ont précédées la crise, notre chômage de 8,9 % a été en moyenne de près de 40 % supérieur à la moyenne des pays de l’OCDE (6,5 %) et de 60 % supérieur à la moitié d’entre eux. Notre pays se situe ainsi dans les cinq plus mauvais sur 34 pays les plus avancés. Et que depuis 25 ans, nous ne sommes qu’une seule fois passés sous la barre des 8 % et jamais redescendus sous les 2 millions de chômeurs » selon Gérard Dussillol auteur de « La crise … enfin », et l’auteur du billet de nous interpeller.

    J’ajouterai que : « le taux de dépenses publiques était avant la crise de 52,6 % (56,6 % en 2011) contre 39,8 % en moyenne d’après l’OCDE et 46 % pour la zone euro ; que le taux moyen de prélèvements obligatoires au cours de la décennie 80 représentait 41,6 % du PIB, puis 42,9 % pour la décennie suivante, puis 43,5 % de 2000 à 2007 (44,4 % en 2011). Il est supérieur en moyenne de 8,3 points à l’Allemagne et supérieur de 8,9 points à la moyenne des pays de l’OCDE » toujours d’après G Dussillol (soit quand même 178 milliards de plus annuellement)
    La Cour des comptes le dit elle-même « Depuis 10 ans (1997-2007) l’augmentation des impôts sur le patrimoine a été continue et sensible. La question du niveau acceptable des prélèvements sociaux sur le patrimoine est posée pour l’avenir » Les revenus du patrimoine ont augmentés de 47 % et les impôts de 100 %. » Il faudra ajouter ceux des lois de finances 2010, 2011 et 2012.
    Pour en conclusion écrire que :« malgré les piètres résultats de nos politiques de gauche comme de droite, on ne s’est jamais remis en cause. On s’est confiné dans le même mode de pensée rejetant la responsabilité de l’échec sir « l’économie capitaliste ». Moins nos politiques étaient efficientes, plus on nous disait que ça ne marchait pas, justement …parce qu’on n’en faisait pas assez pour se protéger des méfaits de ce libéralisme amoral. … que c’était à cause de notre économie « hyper libérale », si injuste, que la situation ne s’améliorait pas ou se dégradait. Il fallait toujours plus d’interventionnisme de l’Etat, plus de dépenses et d’impôts, plus de règlements, de lois et de fonctionnaires pour les écrire, les faire appliquer et sanctionner…Nous avions avant la crise les plus fortes dépenses publiques du monde. Nous sommes également un des pays les plus taxés. Nous avons une des règlementations sur le travail et les entreprises les plus encadrées, les plus complexes et les plus improductives. N’est-ce pas la marque d’une économie où la prégnance de l’Etat est des plus importantes, c’est-à-dire la marque d’une des économies les moins libérales ? Nous avons donc, en même temps, le système le plus étatisé et …celui qui fabrique structurellement le plus de chômeurs » pages 25 et 26 de l’ouvrage cité.
    Il est vrai que lorsqu’on s’informe convenablement (ouvrages mais aussi sources officielles) on est obligé d’arrêter d’écrire et de croire à des sornettes.
    Maintenant je vous conseille de lire l’ouvrage c’est plutôt rafraichissant.

    19 janvier 2013 à 15 h 12 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      comme vous étiez en accord avec moi , j’ai lu la première phrase de @ Jaurès qui vous répond … ” pourquoi ISOLER le chômage ” ….en effet est ce que les responsables nationaux des grandes ( ? ) centrales syndicales , lorsqu’ils sont débarqués , se retrouvent EUX au chômage … pas en tout cas sous un gouvernement socialiste qui a vite fait de leur trouver une sinécure que le con-tribuable entretient de ses rares deniers !

      20 janvier 2013 à 17 h 12 min
  • Jaures Répondre

    ” nos mauvais résultats, nos dettes” écrit Gelé.
    En observant le monde et les résultats des autres, on pourrait croire que, peu ou prou, la terre entière est socialiste.

    18 janvier 2013 à 15 h 56 min
    • Toni Répondre

      Mais oui Mr le syndicaliste vous savez faire mieux que tout le monde … On constate d’ailleurs vos brillantes méthodes au comité d’entreprise d’air france.

      18 janvier 2013 à 22 h 17 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    Ayrault ” prévoit une année 2013 difficile mais bien remplie ” …
    je me prévois une année très difficile et les poches vides !

    à chacun sa vision de l’ avenir

    18 janvier 2013 à 14 h 56 min
  • dissident Répondre

    une des premieres mesures du pouvoir renforcer les droits des clandestins a etre soignes aux frais de la princesse, 100 pour cent gratuit, 100 pour cent irresponsable!

    17 janvier 2013 à 20 h 23 min
  • Fleur Répondre

    Pour les français qui ne veulent pas du suicide collectif, le leitmotiv c’est courage fuyons ! Il n’y a pas d’autres solutions.

    17 janvier 2013 à 15 h 14 min
    • Toni Répondre

      Réduisez aussi vos heures supplémentaires, vendez vos maisons sur l’ile de ré ou la cote d’azur aux rices étrangers.

      Boycottez l’aile gauche de votre entourage en n’allant pas avec eux aux fêtes de fin d’année.

      Faites en le strict minimum requis dans votre travail …

      Voilà des stratégies à utiliser pour ceux qui restent.

      18 janvier 2013 à 8 h 16 min

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