Les vraies raisons du chômage français

Les vraies raisons du chômage français

Les socialistes actuellement au pouvoir sont devant un dilemme.
En effet, lorsque Mitterrand affirmait que, « contre le chômage, on a tout essayé », il sous-entendait : « sauf le libéralisme » – mot totalement tabou à cette époque, y compris au sein d’une certaine droite.

Le trio Hollande, Valls et Macron paraît dorénavant convaincu que le libéralisme est la seule solution, mais qu’il est difficile de « tuer le père ». Par conséquent, le mot « libéral » n’est dit que du bout des lèvres.

Donc, dans un premier temps, pour rendre confiance aux entrepreneurs de petites et moyennes entreprises, seuls actuellement en capacité d’embaucher massivement, on énonce des évidences et on propose des réformes de bon sens, à grands renforts de déclarations :
– Baisse des charges et, par là même, du coût du travail pour se rapprocher la moyenne européenne ;
– Flexibilité du travail, qui a été mise en place par nos voisins européens, y compris ceux du nord, classés parmi les plus « sociaux » ;
– Refonte des seuils sociaux, véritable frein à l’évolution d’une PME ;
– Augmentation du temps de travail, qui est, en France, le plus bas d’Europe (avec non seulement les 35 heures, mais aussi de nombreuses semaines de congés pays, un accès tardif au premier emploi et un départ à la retraite très en avance)…

Bref, tout ce que chaque patron souhaite ardemment pour libérer son énergie !
Cependant, premier regret, aucune réduction des dépenses de l’État n’est annoncée pour financer ces mesures.
Et, surtout, malheureusement, le passage des paroles aux actes est beaucoup plus compliqué pour un socialiste.

Comme pour tout « bon gauchiste », faire un « cadeau aux patrons » (alors qu’il ne s’agit que de lui donner les mêmes armes que ses concurrents étrangers) ne peut se concevoir que si on accompagne ce « cadeau » de « compensations » pour les travailleurs. Par conséquent, les gouvernants proposent également une série de mesures « sociales » :
– Mise en place d’une complémentaire généralisée (ce qui n’est rien d’autre qu’une augmentation des charges) ;
– Mise en place d’un compte pénibilité, en contradiction formelle avec le fameux « choc de simplification » annoncé un an auparavant, et qui va rendre infernale la vie du chef d’entreprise ;
– Représentativité syndicale imposée dès le premier salarié, alors que le dialogue social se fait naturellement mieux dans une petite entreprise que dans une grande (la porte du patron reste toujours ouverte) ;
– Et bien d’autres mesures, qu’il serait trop long de développer ici…

A priori, on pourrait croire qu’en fin de compte le patronat reste légèrement gagnant.
Ce serait sans compter le passage au parlement et la « navette » entre l’assemblée et le sénat.
Le PS est toujours prisonnier de sa philosophie gauchiste. Même si certains savent qu’ils ont eu tort pendant un siècle, il reste les irréductibles et ils sont nombreux qui feront barrage à l’assemblée.

Comme la majorité est serrée, le détricotage commence, mais seulement concernant les avantages concédés aux patrons – les contreparties salariales seront, quant à elles, gardées, appliquées, voire augmentées.
Résultat : on passe d’une annonce patron gagnant et salarié inchangé à un faible gain pour le patron et pour le salarié, puis à un patron perdant et un salarié bénéficiant de nouveaux avantages !

Le résultat devient donc à l’opposé du projet initial : encore plus de contraintes pour les PME et des charges qui augmenteront.
Il ne faut donc pas s’étonner que les chefs d’entreprises, qui ont besoin de visibilité, ne croient plus en la volonté de ce gouvernement et n’embauchent pas tant que le courage politique ne sera pas rétabli au niveau d’un Schroeder en Allemagne ou d’un Blair en Angleterre – tous deux socialistes, des vrais, dans leur pays, mais tous deux aussi réformateurs courageux.

Claude Goudron

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Comments (30)

  • voulna Répondre

    Tous les gouvernements étrangers savent que le chômage est l’option qui a été choisie par le gouvernement français. Une masse de citoyens l’ignore. Chut ! il ne faut surtout pas le dire.

    4 juillet 2015 à 15 h 50 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      allons ! allons ! un Gouvernement ( quel qu’ il soit ) ne CHOISIT pas le chômage pour ” politique ” mais c’ est SA ” politique ” ( prise en son ensemble ) qui créé ou bien qui résorbe en partie le chômage … bien entendu cela a UN PRIX qui se répercutera sur l’ un ou l’ autre ” camp ” ( l’ employeur / l’ employé ) … le mieux étant que les deux camps y trouvent leur compte ( la Suisse par exemple ) avec toujours des ” laissés pour compte ” soit parce qu’ ils le seraient toujours, soit parce qu’ il n’ ont pas su s’ adapter ( là aussi valable pour les deux camps ) … ce serait en quelque sorte du Darwinisme économique si, si ..si. le capitalisme financier ne venait pas perturber l’ évolution naturelle , le capitalisme financier ayant pour fâcheuse habitude d’ épuiser les sols avant d’ aller cultiver plus loin !

      5 juillet 2015 à 23 h 11 min
  • DE SOYER Répondre

    Bien vu au niveau de la tactique des socialistes.
    Mais dire que Blair et Schröder étaient de “vrais” socialistes, non.
    Et Dieu nous préserve de tout socialiste, quel qu’il soit au pouvoir.
    Vous semblez complètement oublier le problème de l’immigration.

    3 juillet 2015 à 18 h 29 min
  • blum Répondre

    il nous faut une nouvelle Jeanne d’Arc, une isabelle la Catholique, un Maréchal

    3 juillet 2015 à 13 h 32 min
  • HOMERE Répondre

    Les patrons ont besoin de carnets de commandes bien remplis avec une perspective durable…le reste peut aider mais n’est pas décisif …le problème majeur est que,dans une économie concurrentielle nombre d’entreprises françaises ne font pas le poids tant en terme de qualité que de prix ou de services…dans les secteurs demandeurs d’emplois,les entreprises sont soit en inadéquation avec les offres (formations) soit sans intérêt pour les demandeurs que ce fusse par la nature du travail ou leurs rémunérations jugées trop basses….bref !! la quadrature du cercle vicieux alimentant le chômage !
    Bien sûr mieux vaut que les conditions règlementaires et fiscales soient au plus près des concurrents…mais celà ne suffira pas !

    2 juillet 2015 à 23 h 38 min
    • GOUDRON Claude Répondre

      Avant de dire que ça ne marchera pas , essayons ne croyez vous pas!
      nOS AMIS a

      C. GOUDRON

      3 juillet 2015 à 20 h 59 min
    • Jaures Répondre

      Il y a 10% de chômage en France.
      Si on analyse la population touchée, le niveau retombe à 5% dés le premier diplôme.
      Ne pensez-vous pas que le problème réside surtout dans l’échec scolaire et la formation continue ?

      4 juillet 2015 à 9 h 51 min
  • Fucius Répondre

    Les patrons n’ont pas besoin qu’on leur donne des armes, mais qu’on cesse de les piller.

    Pour cela il faudrait remplacer la logique de pillage du socialisme par la logique de production du capitalisme.

    Il suffirait de comprendre que piller n’est pas plus commode que produire, et que le pillage réciproque est non seulement immoral mais absurde.

    Le plus révoltant dans notre régime socialiste est qu’il restreint la dignité d’entrepreneur aux plus dynamiques et capables.
    Dans un régime purement capitaliste la plupart des gens auraient accès à la satisfaction honnête de l’autonomie et de la production, plutôt que se battre pour une part de butin.

    2 juillet 2015 à 22 h 57 min
  • Jaures Répondre

    Il ne sert à rien d’asséner des opinions comme des évidences. Il faut s’intéresser aux faits.
    Ainsi, l’Espagne semble réunir tous les critères d’une économie libérale (“le triptyque gagnant” dont parle P.Salin qui nous enjoignait en 2007 d’imiter l’Espagne).
    Ainsi, les charges sociales pour les salariés sont de 6% (20% en France), les charges patronales de 30,6% (40% en moyenne en France), l’IS à 25% pour les entreprises dont le CA est inférieur à 10 millions d’euros (33,33% en France), le Smic est à 748€ pour 40h (1365 pour 35h en France),…
    L’Espagne devrait donc se porter bien mieux que la France.
    Or, elle a le double de chômeurs et des taux d’intérêts de sa dette bien supérieurs.
    Pareil pour l’Irlande avec 20% de moins de charge et 50% de moins d’IS.
    Avec la Grèce l’écart est encore plus favorable aux entreprises (16% de moins de charges, IS à 23%).
    Et pourtant,…

    2 juillet 2015 à 16 h 30 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      Un aigle en économie @ Jaurès, un aigle … des Asturies ! Si quelqu’ un arrive à lui faire entendre qu’ un pays n’ est riche que s’ il est [ techniquement ] développé *** je lui offre un flacon de Bourgogne Premier Cru

      2 juillet 2015 à 16 h 42 min
      • Jaures Répondre

        Mais je veux bien vous croire, Quinctius.
        Sauf qu’en l’espèce je réponds à l’article ci-dessus qui défend la thèse que pour faire baisser le chômage (encore que, plus que le chômage, c’est la pauvreté qui importe) il faut appliquer les mesures libérales énoncées.
        Or, on voit que certains pays qui les appliquent sont en bien plus mauvaise posture que la France décriée.
        Mais si vous voulez porter le débat sur ce qui fait qu’un pays est techniquement développé ou pas, je suis à votre disposition.
        L’aigle est toujours disponible.

        2 juillet 2015 à 17 h 18 min
        • Raoul Villain Répondre

          “L’aigle est toujours disponible”

          Il ne faut pas confondre un aigle avec une poule, pas très fraiche en plus. Ses idées rances finiraient par abîmer le bouillon.

          2 juillet 2015 à 17 h 23 min
          • Jaures

            Mais, mon Raoul, quoi de plus facile que de réfuter les “idées rances” d’une “poule pas très fraîche” ?
            Ne vous en privez pas. Soyez impitoyable.

            2 juillet 2015 à 18 h 07 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          déversez ici , et sans compter, les mots, les phrases, les lignes , alinéas et autres paragraphes, votre ” science ” économique ! surtout ne nous privez pas de vos connaissances ” mirandoliennes ” en la matière ! c’ est déjà ce que font Hollande et Sapin tous deux également des aigles car :

          ” Ni l’ ignorance n’est défaut d’ esprit, ni le savoir n’ est preuve de génie ”

          de Vauvenargues ( je crois )

          2 juillet 2015 à 17 h 35 min
          • Jaures

            Je ne crois pas non plus que l’ignorance soit preuve de génie.

            2 juillet 2015 à 18 h 09 min
          • quinctius cincinnatus

            Seulement voilà : l’ ignorance peut être un simple défaut de connaissances dans un domaine donné, précis ou même tout simplement ne pas être informé [ alors que d’ autres le sont ] ce qui ne vous empêche en rien d’ être … un génie … devriez piocher le sujet @Jaurès

            2 juillet 2015 à 18 h 43 min
          • quinctius cincinnatus

            je vous propose donc à vos rares heures de loisirs d’ écrire :

            ” Le Génie du Socialisme ”

            n’ oubliez surtout pas les tableaux, les courbes et les camanberts

            2 juillet 2015 à 18 h 45 min
          • quinctius cincinnatus

            camemberts … quel fromage !

            2 juillet 2015 à 18 h 48 min
    • Fucius Répondre

      L’Espagne n’est pas connue pour sa liberté économique.
      Votre étude de cas me semble pour le moins superficielle, vous pourriez vous référer à l’indice de liberté économique de l’institut Fraser: 7,53 en 2013.
      Pas fameux…

      S’y ajoute le poids du passé, puisque la liberté de l’économie affecte son évolution.

      Cet indicateur est constitué à partir d’éléments objectifs liés à la liberté économique, et il semble effectivement prédire la prospérité.
      Comment expliquez-vous pareille corrélation ?
      Je suppose que vous attendriez le contraire ?

      Pourquoi selon vous Cuba et la Corée du Nord ne sont-ils pas les pays les plus prospères, loin devant la Suisse ou Singapour ?

      2 juillet 2015 à 22 h 50 min
      • Jaures Répondre

        Ce classement utilise des critères idéologiques qui privilégient par exemple le niveau de fiscalité sur celui de la protection sociale.
        On arrive à un classement parfois étrange qui place l’Irlande bien au dessus de la France alors qu’il a fallu remettre ce pays à flot en lui prêtant près de 100 milliards.
        Par ailleurs, le Chili dans le top 10 est-il plus prospère que l’Allemagne qui n’y figure pas ?
        Nous nous entendrons pour dire que Cuba et la Corée du Nord sont des dictatures et que la tyrannie n’a jamais été propice à la prospérité.

        4 juillet 2015 à 10 h 04 min
    • GOUDRON Claude Répondre

      Bonjour camarade Jaurès,

      vous prenez en référence en économie libérale l’Espagne et la Grèce, deux pays qui sont sorti de la dictature il n’y a pas longtemps, je pense qu’il serait plus logique de nous comparer à des pays dont la démocratie remonte, comme la France à plus d’un siècle !
      le premier exemple est la Suisse:
      +Charges salariales patronales 5,15%
      + Salaires, ils ont refusé un SMIG par votation (et on les comprend): Salaire mensuel débutant 3850 € pour un ouvrier, 4450€ pour un ouvrier qualifié.
      +Taux d’imposition société 8,5%
      + Taux de chômage 2,9%
      Deuxième exemple l’Angleterre:
      + charges salariales patronales 22%
      + SMIG 9,40€ sans charge salariale, 9,61 en France avec charges salariales de 22% soit net 7,50€
      + Impôts société 20%
      +Taux de chômage 6%
      Et pourtant………… Eh oui n’en vous déplaise, j’ai raison !

      C. GOUDRON

      2 juillet 2015 à 23 h 00 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        ce sont là des ” exemples ” qui n’ en sont pas pour un post-marxiste *** … d’ abord respecter les dogmes !

        *** le post-marxiste pouvant se définir comme étant un archéo-marxiste à la langue de … bois bien pendue mais qui a bénéficié d’ une légère couche de verni sur son ” bois ” bouffé par les termites

        3 juillet 2015 à 18 h 14 min
      • Jaures Répondre

        Cher Claude, ce qui nous différencie est que lorsque je prends des exemples qui infirment vos certitudes, je ne prétends pas que la vérité se trouve dans le contraire de ce que vous avancez.
        J’ai toujours ici défendu l’idée que l’Economie n’étant pas une science exacte, elle ne se plie à aucune idéologie: ce qui fonctionne sur un pays à un moment donné ne sera pas forcément pertinent dans un autre contexte.

        Si j’ai pris les exemples de l’Espagne et de l’Irlande, c’est que quand ces pays étaient au mieux, les libéraux (Trémeau, Salin,…) les prenaient en exemple jusqu’à ce qu’ils s’écroulent et soient secourus par les états jusque là voués aux gémonies par les mêmes économistes.

        Chaque cas est particulier. La Suisse a bâti sa prospérité sur la finance occulte et la neutralité. Il est vrai que si depuis 40 ans la France avait renoncé à tout engagement international, à la dissuasion nucléaire et avait accueilli les capitaux des dictateurs, trafiquants et terroristes ainsi que les évadés fiscaux, ses finances seraient en bien meilleur état.
        Ce qui ne m’empêche pas de voir ce qui, indépendamment de cela, est fonctionne bien en Suisse, notamment la formation continue.

        Pour le R.U, c’est un peu différent. On ne traite pas là bas le chômage comme en France. Ainsi, le contrat 0 heure permet de rayer des listes 1,4 million de chômeurs.
        Par ailleurs, le système d’indemnisation y est plus court (6 mois) et bien moins généreux ce qui incite les chômeurs à prendre très vite un emploi sous-qualifié voire même à renoncer à s’inscrire dés que les droits sont épuisés.
        De fait, si le taux de chômage y est moins élevé qu’en France, le taux de pauvreté y est lui plus important et, surtout, la grande pauvreté y est supérieure de 60% (eurostat 2014).
        Bref, à quoi sert-il de remplacer un chômeur pauvre par un faux travailleur très pauvre ?

        Enfin, il ne faut pas oublier que ce que vous appelez “charges” sont des cotisations pour les retraites et l’assurance santé. Ce que vous ne payez pas sur votre salaire, vous devrez le payer à des assurances privées.
        L’exemple américain nous montre que la santé quand elle est très majoritairement privée coûte plus cher (7 points de plus de PIB qu’en Europe) et est moins efficace (moins de personnes couvertes).
        L’Angleterre commence à payer durement les allègements de charges comme l’ont montré les derniers scandales dans les hôpitaux britanniques. Et la crise financière a montré combien étaient fragiles les retraites assises sur des fonds de pension.
        Quand les Irlandais ou les britanniques voyaient disparaitre leurs économies en 2008, mes parents ouvriers retraités continuaient à recevoir leur pension bien méritée.
        L’Economie est aussi un choix de société.

        4 juillet 2015 à 10 h 43 min
        • Jacky Social Répondre

          Camarade-Protecteurs des Envieux, Faux Ami des Sans-Dents, Philosophe des Losers, ce que tu dis dans ton post ci-dessus n’est qu’un tissu de mensonges débiles. Vu la canicule, je suis assez mal et ne peux répondre que trop brièvement a mon goût. Mais si tu crois vraiment ce que tu dis, il est grand temps de se ré-informer. Un travail de longue haleine est nécessaire. Pour cela, il faut commencer par apprendre l’anglais. Ensuite, on t’indiquera la marche à suivre. Une désintoxication des medias français est aussi indiquée de manière urgente.

          4 juillet 2015 à 11 h 42 min
          • Jaures

            Cher Jacky, vous avez déjà largement montré qu’en dehors d’éructer des insanités vous êtes incapable de rédiger une idée argumentée.
            Quand donc comprendrez-vous qu’en m’insultant avec autant de vulgarité renouvelée vous ne faites de tort qu’à vous-même ?

            4 juillet 2015 à 13 h 36 min
          • Jacky Social

            Rien n’est moins sur. Plusieurs intervenants sur ce site te haïssent tout autant ainsi que tes “idées”. Je te dis tout haut ce que nombre d’entre eux pensent tout bas. Alors, oui, je n’ai pas la possibilité de t’expulser du site, mais au moins j’assume. Le post ci-dessus n’est pas fait d’insanités. Essaie d’y répondre. Enfin si t’as des couilles. Allez, défile-toi, va.

            5 juillet 2015 à 22 h 41 min
      • DESOYER Répondre

        Pour la Grèce et l’Espagne, il ne faut pas non plus oublier qu’il ne font pas de politique anti-immigration, ce qui nuit à leur redressement économique.
        Le socialiste Zapatero, en Espagne, avait régularisé des centaines de milliers de clandestins. Les socialistes produisent toujours les mêmes résultats, mais la fausse Droite aussi.

        4 juillet 2015 à 16 h 40 min
    • DE SOYER Répondre

      Vous oubliez que le socialiste Zapatero a régularisé en masse des centaines de milliers d’immigrants clandestins que l’Espagne traîne comme des boulets, du fait du manque de courage de Rajoy qui n’ose les renvoyer chez eux.

      3 juillet 2015 à 18 h 32 min
  • ghpelissier03599600 Répondre

    “…n’ enbauchent pas…”, doux euphémisme Goudron.
    Ils débauchent !
    OK pour le reste de l’analyse. Bistouille Poirot

    1 juillet 2015 à 16 h 54 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      les Salafistes ont bien raison : la France est bien le pays de la ” débauche ” !

      2 juillet 2015 à 17 h 36 min

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