Le monde après 1945

Le monde après 1945

Le 8 mai 1945, la victoire des alliés mettait fin à la 2e guerre mondiale, marquant, disait-on, le début d’une ère de paix et de prospérité universelles. Hélas, jamais, depuis lors, le monde n’a été aussi mal gouverné, jamais, il n’a connu autant de désastres, confronté à trois gigantesques drames : le communisme, la décolonisation et l’Islamisme.

Le communisme, c’est au moins cent millions de morts, des milliers de camps de concentration, la dictature sous ses formes les plus odieuses et les plus grotesques. Le socialo-communisme, c’est le crime, l’incurie et la corruption. Il faudra encore un siècle pour que les peuples qui en ont été victimes s’en relèvent complètement.

À ce sujet, force est de constater que, de tous les pays occidentaux, c’est la France qui fut et reste le pays le plus influencé par le marxisme-léninisme. Thorez, premier secrétaire du parti communiste dit français, en réalité stalinien, déserteur devant l’ennemi, fut ministre d’État du général de Gaulle, alors que de surcroît, le PCF s’était, en 1940, prosterné devant l’occupant. Mitterrand ne parvint au pouvoir en 1981 qu’en acceptant les conditions imposées par les communistes, membres de son gouvernement et, en 2006, Chirac fait Grand-Croix de la légion d’honneur l’ex-officier du KGB, Vladimir Poutine, chef de l’État post-soviétique.

De plus, la France est le seul pays occidental à entretenir une sorte de contre gouvernement subventionné, la CGT communiste, qui s’oppose avec efficacité à toute réforme. Pendant des décennies, une grande partie des intellectuels Français, champions de la liberté, a approuvé cette idéologie. « Un anticommuniste est un chien. Je ne démordrai pas de là » disait Jean-Paul Sartre. Logiquement, la politique étrangère a suivi, qui a presque toujours été plus favorable à la dictature soviétique qu’à la démocratie américaine.
Pour autant, les régimes communistes n’ont pas tous disparu de la planète. La Corée du Nord sous la direction de son « leader bien aimé » Kim Jong Il, ne pense qu’à fabriquer quelques bombes atomiques supplémentaires et leurs vecteurs pour atteindre les États-Unis ; et la Chine, de moins en moins communiste, mais toujours communiste, s’est dotée d’une armée de plus en plus puissante. Est-ce négligeable?

La Décolonisation, imposée aux empires coloniaux par l’utopiste Roosevelt et le dictateur Staline a engendré pour le monde un malheur sans fin. La décolonisation, c’est 50 ans de guerres, génocides, famines et coups d’État, notamment au Proche et Moyen-Orient et surtout en Afrique, malgré les milliards de francs, dollars et euros déversés à jet continu. Il est à cet égard, intéressant de noter que la France, avec 11 000 militaires en Afrique est le seul pays engagé à ce point sur le continent du chaos, non pas pour des raisons géopolitiques, mais en fonction de relations personnelles généralement entachées de corruption. La conséquence majeure de ce formidable échec est une immigration déferlante qui nous vaut en France dix millions d’allogènes assistés, dont six millions de musulmans et leurs mosquées. En passant, je signale les quelque trois millions d’Africains qui attendent en Afrique du Nord, Libye comprise, de passer en Europe de l’Ouest…
Enfin l’Islamisme et son arme favorite : le terrorisme. À ce propos, j’entends dire que le milliard trois cents millions de musulmans dans le monde ne sont pas tous des terroristes prêts à participer au djihad. Certes, mais n’y en aurait-il que 10 %, cela fait cent trente millions qui veulent mettre en pratique le coran et la charia, au nombre desquels figure l’Iranien Mahmoud Ahmadinejad, dont l’objectif sacré est de rayer Israël de la carte avec en prime quelques bombes atomiques pour l’Europe chrétienne.

Depuis soixante ans, il est vrai, pour beaucoup, la vie est plus confortable, en particulier en Asie et en France aussi, sauf qu’en France on compte 7 millions de pauvres – chiffre officiel – trois millions de non-logés et mal logés, et sur les trottoirs maculés des grandes villes, parfois tous les cent mètres, des mendiants qui ont faim, avec par-dessus le marché, une dette colossale qui coûte 40 milliards d’euros aux contribuables chaque année, une balance commerciale déficitaire, près de 5 millions de chômeurs réels, dont beaucoup de jeunes, 300 000 nouveaux immigrés par an, une violence contre les personnes de plus en plus violente et, pour ce superbe fiasco, une fiscalité quasiment la plus lourde du monde que les socialistes veulent encore alourdir. Bravo Mitterrand, bravo Chirac ! Il ne reste plus qu’à ruiner les braves gens qui ne le sont pas encore.

……………..
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Comments (6)

  • abel Répondre

    je suis vr’aiment content de votre résumé sur cet article. Il m’est très util.Bon courage!!

    16 janvier 2010 à 10 h 31 min
  • raphael Répondre

    moi ….  les amis je vois une france révoltée…. un homme à sa tête suivit par secret de politique révolutionnaire et faisabt du mieux qu’il puisse pour sauver cette france perdue de son identités et de tous ses atouts les plus chère….Avant la guerre se faisait collectivement, dans un soucis de valeur,de protection,de futur de notre nation,malheureusement de nos jours la guerre se pratique individuellement sans personne nous soutenons car notre penssée n’est plus libre face a l’uniformitée que nous impose la societe

    Je vous conjure que cequ’il  jour arrivera tôt ou tard  face au chaos et a l’individualisme qui regne dans ce bas monde

    Pour moi et pour beaucoup ce monde n’est devenu qu’un gite auquel mon esprit ne poura jamais se rataché

    Que dieu bénice l’avenir…………..

    25 juin 2008 à 18 h 00 min
  • dagmar Répondre

    Merci Monsieur  Lambert

    pour un excellent résumé du communisme persistant en France.

    Une correction. La PCF ne s’est pas prosterné devant l’énemie hitlérien. Etant à la botte de Moscou, elle était son ALLIE dans le cadre de pact gérmano-sovietique. Elle est donc co-resposable de la double d’agression de la Pologne et de la défaite de la France en 1940. Tous les homme politique responsables de la défaite horrible da la France et de la détresse inimmaginable des gens (2 000 000 prisoniers en 1 MOIS!!!!!!!!!!!!!)  se sont déchargés sur Maréchel Pétain. Et même de Gaulle, son protégé, l’a lâché. Horrible.

    mais pour analyser la présence de communisme en France il faudrait en parler d’avantage. Le mot "communisme" n’est plus a la mode. Mais les ingrédiets sont là

    pensée unique imposée par la loi,

    peines pour les délits d’opinions plus sevères que pour l’incendie d’une voiture 

    histoire torturée pas la politique

    justice politisée,

    médias politisés qui décident à priori qui est coupable et tue la victime même avant que la justice fasse son travaille. Si la meute  médiatique se met en chasse, la personne est morte même sans rien faire. On assiste en ce moment à l’assasinat de Jonny pour le "crime" de "se décider librement" où il veut vivre. Les autres, nottament Zidan, passent sous silence. 

    les milices de la pensée tel que Halde et testing, (Sarkozy veux même penaliser la colère). Je me demande combien de flicas politique surfent sur ce site et j’ai le froid au dos. Le chien métalique, profgammé à mon odeur qui rôde autour et sort sa seringue mortel…cela ne vouz rapelle rien?

    absence du capitalisme libre, car en France tout les grands entreprises ont la partitipation de l’Etat

    affairisme des homme politiques de toutes horizonts: DAns les pays de pur communismes la nomenclatura était toujours richissime.

    logement étatiques ETC……………….ETC…………………..ETC

    que dieu bénisse la France qui agonise

    dagmar

     

    29 janvier 2007 à 13 h 19 min
  • sas Répondre

    A gerard pierre……..remarques frappées du sceau du bon sens et de la vérité vrai….

    sas cautionne.

    L’armée française n’est elle pas une armée de lions féroces ….????? son seul problème réside dans le fait qu’à sa tête ,se sont toujours ou presque trouvé, des généraux qui étaient des "ânes"……comment des ânes dépendants de couards socialomarxistes emasculés, peuvent-ils mener des lions au combat….???

    sas

    28 janvier 2007 à 13 h 29 min
  • Gérard Pierre Répondre

       1945 peut, à bien des égards, constituer un point de départ pour certaines considérations. Il est vrai que, pour ma génération née durant la seconde guerre mondiale, cette date marque l’entrée dans une certaine ère de pseudo paix. Nous étions trop jeunes pour participer aux conflits de l’Indochine et de la Corée. Les accords d’Evian, signés en mars 1962, intervinrent au moment où la guerre d’Algérie allait commencer à concerner les plus jeunes d’entre nous. La suite pu donner à penser aux innocents héritiers de la Résistance que la paix était la chose la plus naturelle au monde, comme l’eau, l’air et le soleil. Engrangeant les dividendes de la paix, beaucoup se crurent souvent permis de saborder les fondements même de ce qui la garantissait :  L’ARMEE FRANCAISE.

       Mais en y regardant de plus prés, nos défaites les plus cinglantes depuis le début du vingtième siècle sont-elles d’ordre militaires ?

       La débâcle de mai et juin 1940 n’est-elle pas la conséquence de l’inconséquence d’un front populaire dont les descendants des hérauts chantent encore aujourd’hui les prétendues vertus sans être jamais passés devant le tribunal de l’ Histoire ?

       Dien Bien Phu, en 1954, fut il la défaite des parachutistes et des légionnaires qui s’y battirent avec la caractéristique " furia francese " de nos soldats, ou la défaite des politiques de la 4ème république minés par un socialomarxisme larvé ?

       Suez, en 1956, fut il la défaite d’une division parachutiste française arrivée sans problème aux portes du Caire, ou celle de nos politiques mis à genoux devant le chantage des deux grands blocs de  l’époque ?

       Quant à 1962, …… pseudo indépendance d’une Algérie livrée aux appétits d’un FLN mafieux, se réclamant des succès d’une prétentieuse ALN  restée en réalité prudemment derrière les barbelés de la frontière tunisienne, …… alors que nos armées avaient éradiqué toute prétention sur le terrain, c’est le type même de la défaite de nos politiques fatigués et sans conviction, confortablement réfugiés derrière le nom de " De Gaulle " .

       Pendant quarante années, le réserviste que je fus monta ensuite conscieusement la garde devant le "désert des tartares" afin de leur interdire l’accès à notre cher pays. Aujourd’hui, me retournant sur ces quarante années, je constate que les " tartares " sont entrés dans notre pays, avec l’assentiment de nos politiques, de nos " consciences supérieures et généreuses " et des médias. Encore une défaite qui n’est pas due à nos armes ! ! ! !

       Souvenons nous alors du cri du centurion: " Rome, prends garde à la colère de tes légions ! "

    27 janvier 2007 à 14 h 35 min
  • sas Répondre

    A men………tout est dit………donc tirons en les conséquences…….puis posons nous les bonnes question……quoi ou quesca qui nous a amené à cette situation et dans quel but ?????

    PUISQUE TOUT EST APPARATS ET VESSIS…….

    sas……la ripoublique est morte …vive le roi…

    26 janvier 2007 à 19 h 40 min

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