Les rabbins et la politique d’apaisement

Les rabbins et la politique d’apaisement

Gilles Bernheim, Grand Rabbin de France, était contre le "Débat sur la laïcité et l’islam" (Le Monde 19 mars 2011).Il a fini par y participer.
Son attitude n’est guère surprenante !

Tout au cours de son histoire, ou plus précisément depuis 135 AD (chute de Massada), le peuple juif s’est vu bridé -et empêché de se défendre contre ses ennemis- par sa "caste" religieuse, c’est-à-dire les Rabbins, qui, après la destruction du second Temple, remplacèrent les prêtres et les Lévites.

Ils sont à l’origine des multiples prescriptions religieuses : 613 commandements (heb: mitzvot), concernant, entre autres, le schéma corporel, les habitudes vestimentaires et les prescriptions alimentaires.
Des prescriptions qui constituent le "particularisme" juif (et c’est un euphémisme…), et qui sont, sans nul doute à l’origine de l’antisémitisme.
Ces commandements sont en réalité, un moyen pour les rabbins -et les dignitaires juifs- d’exercer un pouvoir sur les corps et sur les esprits, et ainsi de contrôler leurs ouailles.

Les premiers pogroms (avant la lettre) du quartier "delta" d’Alexandrie (où vivaient environ 100.000 juifs), n’ont pas d’autre origine (on ne peut pas, en tout cas, blâmer l’Eglise catholique…).
Mais à cette époque, les juif étaient encore très combatifs, et Trajan dû faire appel à Marcus Turbo et à la Légion Egyptienne, pour venir à bout de la révolte de 115-117 AD.

Cette révolte (à l’exception bien sûr, de celle du Ghetto de Varsovie), fut probablement la dernière, de la diaspora juive.  Vers 200 AD le judaïsme rabbinique fit son apparition, avec la rédaction de la Mischnah (ancêtre du Talmud), et avec lui, apparait également le MUNICHISME, qui prévaudra dès lors, dans tous les ghettos du moyen-âge et des temps modernes…jusqu’à nos jours.

D’où vient ce manque de combativité, cette recherche effrénée du compromis, en un mot, ce manque de courage, qui se traduira par la politique de l’apaisement -particulièrement illustrée par le demi-juif Neville Chamberlain, en septembre 1938 ?

Où les rabbins ont-ils donc été chercher cette doctrine de la "non-violence" -qui n’est en fait qu’un euphémisme pour la lâcheté- (et qu’il faut donc différencier de la courageuse attitude du mahatma Gandhi et de ses disciples) ?

L’Ancien Testament ne parle certainement pas de "tendre la joue gauche" !

 En réalité il ne s’agit pas vraiment de "non-violence", mais de soumission totale à la volonté de Dieu -et bien entendu à leurs "vicaires" sur terre : les Rabbins.

POUR MIEUX DOMINER, IL FAUT CULPABILISER

Pour les rabbins, le "silence de Dieu", lors de la shoah, ne pose pas de problème  : Les juifs ont péché -et Dieu les a punis.  
Ils ont péché en inventant la laïcité, en encourageant un mouvement libéral juif -et surtout en créant cette abomination, ce mal absolu, qu’est le sionisme !

Le Dieu des juifs est un dieu jaloux, qui peut "cacher son visage" (doctrine  de l’hester panim),lorsqu’il est mécontent. Selon la Kabbalah lurianique (Isaac Luria -XVIème siècle), Dieu s’était "retiré", lors de la création, pour faire place au monde (doctrine du tsimtsoum)(rétraction).
Lorsque les juifs pèchent, il cache son visage et se retire à nouveau, en son noyau le plus profond, appelé "ayin" ( rien).

Les six millions de juifs, y compris le million d’enfants (car "je suis un Dieu jaloux, qui punis l’iniquité des pères sur les enfants jusqu’à la troisième et la quatrième génération" Ex :20,5), ont donc bien mérité le sort qui leur fut réservé à Auschwitz et dans les autres camps d’extermination.

 Ils ne devaient pas se rebeller, ils devaient se soumettre à la volonté du Tout- Puissant -et surtout ne pas anticiper la gueoula ("rédemption"), en créant l’Etat d’Israël et en essayant d’y immigrer, pour échapper aux nazis.

C’est pourquoi les rabbins déconseillèrent aux 525.OOO juifs qui se trouvaient en Allemagne, en 1933, de ne pas quitter le pays (37.000 d’entre eux, probablement non-religieux, partirent quand même -mais la moitié revint en 1934…).

Cette attitude des rabbins et des chefs de la communauté ne changea pas, même après la kristallnacht du 9 novembre 1938 :  ils conseillèrent à leurs coreligionnaires, en Allemagne -comme en France et partout en Europe- d’aller s’inscrire, de porter l’étoile jaune, et de se soumettre entièrement aux autorités.

 Les rabbins et les notables acceptèrent de présider les Judenrate créés par les allemands, et facilitèrent ainsi l’organisation des déportations (ce fut le cas du Rabbin Léo Baeck, en Allemagne, et du fameux sénateur Adam Czerniakow qui dirigea le judenrat du ghetto de Varsovie).
Rappelons enfin, que lors de l’insurrection de ce Ghetto, organisée par les juifs athées et politisés, les religieux refusèrent d’y participer.

Aujourd’hui, les rabbins et les notables (notamment du CRIF, héritier de l’UGIF, qui s’illustra pendant l’occupation…), n’ont toujours pas compris :  Ils continuent à vouloir jouer la carte de l’apaisement avec les musulmans.

 Le futur (proche) montrera qu’il en seront les premières victimes.

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Comments (6)

  • titin Répondre

    Présomptueux et périlleux de surcroît pour un Goy de s’engager dans une tel débat intra-communautaire.
    Une petite remarque,cependant :

    "On en conclut qu’il n’y a donc, selon Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, aucune "prescription", aucun "particularisme" dans l’islam, le christianisme, ou chez les hindouistes. C’est spécial aux juifs : il n’y a qu’eux, bien entendu, qui ont des habitudes vestimentaires ou alimentaires particulières."

    Mais non bien sûr,mais disons qu’en tant qu’ éléments habituellement  allogènes, ça se remarque plus et ça peut créer chez les masses autochtones au front bas, ignorantes du bien vivre ensemble, comme un phénomène de rejet.

    Je retourne vite  aux abris.

    25 avril 2011 à 1 h 35 min
  • GOYIM Répondre

    Les lecteurs de cet article sont avisés que seuls seront publiés les commentaires de bannissement, insultes et autres joyeusetés à l’encontre de ce Pagès, déjà qualifié d’antisémitisme – comme il fallait s’y attendre -. Il ne manque plus que la formule consacrée "ceci nous rappelle les heures les plus sombre de notre histoire, nani nanère…" si pratique pour fermer la gueule de celui qui n’est pas de votre avis. 

    Il ne s’agit pas de réfuter une thèse ou un point de vue que l’on juge erroné, voire mensonger, non. Il est des sujets qui vouent automatiquement leur auteur aux gémonies. Ainsi d’ailleurs que ceux qui oseraient simplement se poser des questions, à défaut de connaitre toutes les vérités.

    A part cela, il existe une grande ouverture d’esprit.

    C’est d’ailleurs curieux car, pour avoir fréquenté pas mal d’israéliens et qui se sont battus pour défendre leur patrie et leur famille en Israel,  j’ai eu l’occasion d’en entendre certains considérer que leurs correligionnaires auraient du se défendre à mort plutot qu’espérer voir les choses se calmer. Ceci dit, personne ne peut blamer quelqu’un de tenter de ne pas exposer sa vie.

    24 avril 2011 à 18 h 34 min
  • Anonyme Répondre

    Qui est JP PAGÈS-SCHWEITZER ? Un historien de l’antisémitisme ou un nullard qui cherche un bouc émissaire ?

     

    En lisant l’article de JP Pagès-Schweitzer, on a l’impression d’être retombé dans la période médiévale on  accusait les juifs de préparer la matsa (galette azyme faite de farine, d’eau et de sel uniquement) avec le sang des chrétiens. Au fait on peut faire gober n’importe quoi aux braves gens, pourvu que vous fassiez semblant d’apparaître comme un savant. Notre JP Pagès-Schweitzer, dès qu’il parle des juifs d’Alexandrie en y ajoutant quelques détails, acquière tout de suite la notoriété de savant. Et après, vroom vroom, il peut raconter n’importe quelle idiotie.

     

    Les 613 commandements « inventés par les rabbins » le trahissent déjà. Les 613 commandements ne sont pas d’origine rabbinique. Ils sont d’origine biblique (écrits textuellement dans le Pentateuque, livre dicté par Dieu et écrit par Moise, comme le reconnaissent toutes les grandes religions actuelles), alors que les rabbins de communauté ne firent leur apparition qu’après la destruction du Premier Temple juif du roi Salomon à Jérusalem par les babyloniens (-586).

     

    Quant aux ennemis du peuple juif, ils existent depuis l’antiquité (égyptiens, assyriens, babyloniens, grecs, romains etc.. et la liste est loin d’être exhaustive). Mais le caractère terriblement infâmant lié au peuple juif fut fabriqué de toutes pièces par l’Eglise chrétienne en accusant le peuple juif d’avoir tué l’un des siens – Jésus- devenu la divinité des chrétiens et en accusant le peuple juif d’autre calomnies du même genre. Les juifs étaient alors qualifiés par les chrétiens de peuple déicide, diabolisés et voués à jamais à l’enfer.

     

    Mais l’idée que les « prescriptions » religieuses juives sont à l’origine de l’antisémitisme remonte probablement à l’époque perse avec le roi Assuérus et son premier ministre Hamann. En effet celui-ci accusait les juifs de suivre une religion différente de celles des autres peuples. Mais cela n’était que dans le but de stigmatiser le peuple juif et le rendre haïssable auprès du roi Assuérus, car tout le monde sait que chaque peuple, chaque nation se particularise – entre autres – par sa religion. Il soulignait aussi, comme le fait si bien JP Pagès-Schweitzer, le particularisme (vestimentaire et autres) du peuple juif. Le but de Hamann, comme cela est relaté dans le Livre d’Esther, était d’exterminer tous les juifs parce qu’un seul juif – Mardochée- ne voulait se prosterner devant lui, ce qui blessait son immense orgueil. Tuer un seul juif, Mardochée, pour laver l’affront n’était pas suffisant à ses yeux. Il fallait assassiner tous les juifs où qu’ils se trouvent.

     

    Ainsi donc depuis le début de l’existence des rabbins (environ -500) jusqu’à l’époque de Trajan qui détruisit les juifs d’Alexandrie (env. +115), pendant plus d’un demi-siècle, les juifs se sont battus avec courage (« malgré les prescription des rabbins » ?). Et même les juifs d’Alexandrie se sont battus avec courage selon les propres dires de JP Pagès-Schweitzer.

     

    Quand aux prescriptions des rabbins qui exigeraient lâcheté et couardise selon JP Pagès-Schweitzer, où sont elles consignées ? Au contraire la Torah prescrit de se défendre et de faire la guerre aux ennemis. Et nul n’est épargné par cette prescription, nul n’en est dispensé. Alors pourquoi cette calomnie sur les rabbins ?

     

    JP Pagès-Schweitzer ne sait il pas que les rabbins ne forment pas une caste dirigée par un homme. Ne sait il pas que le Talmud – plus que tout autre œuvre et tout autre science – pullule des divergences d’opinions (justifiées et vivifiantes) des rabbins ?

     

    Qu’il sache en tout cas que si le grand rabbin Bernheim (minoritaire a mon avis) a opté pour cette position vis-à-vis de l’islam en France, il existent d’autres rabbins qui se battent et qui construisent, d’autres juifs les armes à la main – mieux que JP Pagès-Schweitzer – et d’autres êtres humains qui ont opté pour des avis différents.

     

    Quand aux rabbins antisionistes JP Pagès-Schweitzer doit savoir qu’il y en a très peu. Beaucoup moins que les gauchos antisionistes. Et même eux sont une infime partie du peuple juif, même si les médias leur octroient une place importante. Et eux-mêmes certainement infiniment moins que l’Eglise officielle qui a été la dernière à reconnaître l’Etat d’Israël une soixantaine d’année après son indépendance ainsi que le milliard de musulmans qui ne le reconnaissent toujours pas et continuent à vouloir son extermination.

    22 avril 2011 à 16 h 08 min
  • L' Inédit Répondre

    Que peut-on penser de la naîveté, de la cupidité et de la couardise de trop nombreux Français qui “jouent l’autruche” et laissent détruire deux mille ans de culture par des colonisateurs de l’ Europe qui rêvent d’ en convertir,  d’ en chasser ou d’ en exterminer les habitants?
    A  l’ exception de ses traîtres gauchistes, l’ Etat d’ Israel tente de réagir pour le mieux afin d’ assurer la sauvegarde de ses citoyens contre un terrorrisme d’ une cruauté sans pareil, soutenu, comme c’ est bizarre (!), par les futures victimes européennes des mêmes barbares, sous le silence   assourdissant de l’ église de Rome.

    20 avril 2011 à 19 h 43 min
  • BITAN Répondre

    C’est là un article malsain truffé d’inexactitudes, d’omissions, d’affirmations gratuites et de contre-vérités.

     

    « Gilles Bernheim, Grand Rabbin de France, était contre le "Débat sur la laïcité et l’islam" (Le Monde 19 mars 2011).Il a fini par y participer.

    Son attitude n’est guère surprenante ! »

    Les représentants des six principales religions ont signé une tribune dans La Croix justifiant leur refus de participer au débat sur la laïcité organisé par l’UMP.

    Selon Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, seule la participation de Gilles Bernheim est étonnante, la présence du Père Matthieu Rougé ne doit pas étonner.

     

    « Des prescriptions qui constituent le "particularisme" juif (et c’est un euphémisme…), et qui sont, sans nul doute à l’origine de l’antisémitisme. »

    Selon Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, seule donc la religion juive émet des "prescriptions" ce qui dote cette religion de son "particularisme juif", ce qui "sans nul doute" est à l’origine de l’antisémitisme. Les juifs sont donc (seuls ?) responsables de leurs malheurs.

    On en conclut qu’il n’y a donc, selon Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, aucune "prescription", aucun "particularisme" dans l’islam, le christianisme, ou chez les hindouistes. C’est spécial aux juifs : il n’y a qu’eux, bien entendu, qui ont des habitudes vestimentaires ou alimentaires particulières.  

     

    « Ces commandements sont en réalité, un moyen pour LES rabbins -et LES dignitaires juifs- d’exercer un pouvoir sur les corps et sur les esprits, et ainsi de contrôler leurs ouailles. »

    Selon Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, "en réalité" seule donc la religion juive a des prêtres qui veulent exercer un pouvoir "sur les corps et sur les esprits" et "contrôler leurs ouailles".

    Les dignitaires de l’Islam ou l’Eglise catholique n’ont jamais eu de si noirs desseins.

    Ceci dit, on comprend qu’il s’agit, à n’en pas douter, de l’ensemble des rabbins, sans exception.

     

    « Les premiers pogroms (avant la lettre) du quartier "delta" d’Alexandrie (où vivaient environ 100.000 juifs), n’ont pas d’autre origine (on ne peut pas, en tout cas, blâmer l’Eglise catholique…). »

    Affirmations fausses et anachroniques :

    C’est le refus des Juifs de mettre des statues de Caligula dans les proseuques (synagogues) qui déclenche les émeutes anti-juives d’Alexandrie (38-40 A.D.)

    C’est un siècle plus tard qu’intervient la chute de Massada, et selon la théorie de Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, LES rabbins ne vont fomenter leur complot qu’après la destruction du second Temple, qui intervient juste après Massada.

    Que vient faire l’Eglise catholique ici ? elle n’existait pas encore en (38-40).

     

    « D’où vient ce manque de combativité, cette recherche effrénée du compromis, en un mot, ce manque de courage, qui se traduira par la politique de l’apaisement -particulièrement illustrée par le demi-juif Neville Chamberlain, en septembre 1938 ? »

    Là, on y est : on rentre dans le sujet : le juif pleutre, couard et lâche (Par la faute des rabbins ?).

    D’ailleurs cela explique l’attitude Chamberlain en 1938, puisque selon Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, c’est un "demi-juif". (Ce que personne ne savait avant que Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, et avant lui l’écrivain Céline ne l’affirme). Jean-Pierre Pagès-Schweitzer ne précise pas si cette attitude est génétique ou influencée par LES rabbins.

     

    « Où les rabbins ont-ils donc été chercher cette doctrine de la "non-violence" –qui n’est en fait qu’un euphémisme pour la lâcheté– (et qu’il faut donc différencier de la courageuse attitude du mahatma Gandhi et de ses disciples) ? »

    On n’en sait rien Monsieur Jean-Pierre Pagès-Schweitzer, avant que vous ne la divulguiez même les juifs ne savaient pas où les rabbins ont été chercher cette doctrine de la "non-violence"!

    Jean-Pierre Pagès-Schweitzer continue sur le même thème du juif couard, appliquant une doctrine de la "non-violence", bien entendu à ne pas confondre avec des "non-violents" "non-juifs", qui eux méritent le respect.

     

    « POUR MIEUX DOMINER, IL FAUT CULPABILISER

    Pour les rabbins, le "silence de Dieu", lors de la shoah, ne pose pas de problème : Les juifs ont péché -et Dieu les a punis.

     Ils ont péché en inventant la laïcité, en encourageant un mouvement libéral juif -et surtout en créant cette abomination, ce mal absolu, qu’est le sionisme ! »

    Cette affirmation de Jean-Pierre Pagès-Schweitzer sur le "silence de Dieu", lors de la shoah, est obscène. Comment peut-on écrire une telle insanité ? Jean-Pierre Pagès-Schweitzer va bien trouver un ou plusieurs imbéciles juifs qui ont pu prétendre cela, et en conclure que tous les rabbins le pensent.

    C’est la première fois que je lis cela ; par contre ce que j’ai entendu, c’est que « s’il y a eu dans la Shoah « silence de Dieu », il y a eu tout autant silence des hommes, et c’est là peut-être la seule explication un tant soit peu rationnelle que l’on puisse lui donner. »

    On en arrive au sionisme : rendez-vous compte : Jean-Pierre Pagès-Schweitzer fait parler des rabbins qui affirment : "cette abomination, ce mal absolu, qu’est le sionisme ! : forcément : les sionistes se battent, se défendent ; ce ne sont pas de bons juifs bien couards…

     

     

    « Les six millions de juifs, y compris le million d’enfants …/…ont donc bien mérité le sort qui leur fut réservé à Auschwitz et dans les autres camps d’extermination.

    …/… C’est pourquoi les rabbins déconseillèrent aux 525.000 juifs qui se trouvaient en Allemagne, en 1933, de ne pas quitter le pays.

    …/… Cette attitude des rabbins et des chefs de la communauté ne changea pas, même après la kristallnacht du 9 novembre 1938 : ils conseillèrent à leurs coreligionnaires, en Allemagne -comme en France et partout en Europe- d’aller s’inscrire, de porter l’étoile jaune, et de se soumettre entièrement aux autorités. »

    Ces rabbins sont sans aucune compassion pour un millions d’enfants. On suppose que Gilles Bernheim en pense autant. Où donc Jean-Pierre Pagès-Schweitzer a-t-il trouvé cette fable des rabbins assassins d’enfants et complices d’Hitler ?

     

    Les juifs qui voulaient quitter l’Allemagne trouvaient difficilement une destination d’accueil :

    Le 13 mai 1939, le Saint Louis, un paquebot transatlantique allemand, quittait le port de Hambourg en Allemagne pour rejoindre la Havane à Cuba. Il y avait à bord 937 passagers juifs. Ni Cuba ni les Etats-Unis n’accordèrent l’asile aux passagers du bateau. Les passagers furent déportés à leur retour en Allemagne

    En 1938-1939, dans le cadre d’un programme connu sous le nom de Kindertransport, la Grande-Bretagne accepta de recevoir en urgence 10 000 enfants juifs non accompagnés.

    En juillet 1938, le président Franklin D. Roosevelt (un juif selon Céline) réunit une conférence à Evian, en France. En dépit de la participation de délégués venant de 32 pays, dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la France, le Canada et l’Australie, seule la République Dominicaine accepta de recevoir des réfugiés supplémentaires.

    Le sort des réfugiés juifs allemands, persécutés chez eux étaient indésirables à l’étranger.

     

    « Aujourd’hui, les rabbins et les notables (notamment du CRIF, héritier de l’UGIF, qui s’illustra pendant l’occupation…), n’ont toujours pas compris :  Ils continuent à vouloir jouer la carte de l’apaisement avec les musulmans.

     Le futur (proche) montrera qu’il en seront les premières victimes. »

    Comme ça, ce sont les rabbins qui  jouent (sous entendu : dictent) la carte de l’apaisement avec les musulmans en France ?

    Je crois rêver …

    20 avril 2011 à 17 h 08 min
  • Gilles Répondre

    J’ai fait une recherche sur le site internet "Google": "Neville Chamberlain juif" – ça ne plaira pas aux commentateurs politiques français, qui constatent avec horreur que cet épithète apparaît automatiquement lorsqu’un quidam fait une recherche semblable avec leurs noms.

    Et je suis tombé sur ce site: "blog.sami-aldeeb.com", vous écrivez dans le blogue de M. Aldeeb, ou est-ce lui qui vous copie, ou vous êtes un pseudonyme?

    Quoiqu’il en soit, merci pour cette leçon d’un sujet que j’ignorais totalement. Vous auriez peut-être aussi pu mentionner la révolte des Macchabées ou celle de Massada.

    Et les juifs forment-ils tous un bloc uni qui écoutent passivement leurs dirigeants religieux qui les enjoignent de souffrir un destin qui les persécute? Pas en Israël en tout cas où là les religieux tiennent un discours autrement plus musclé!

    Cette image de mouton que l’on mène à l’abattoir conviendrait mieux à ces catholiques français qui écoutent leurs meneurs qui les enjoignent de dialoguer avec les usurpateurs, les bourreaux et les envahisseurs!

    Courage! On les aura!

    20 avril 2011 à 16 h 53 min

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