Les conséquences possibles de l’élection de Donald Trump

Les conséquences possibles de l’élection de Donald Trump

Dans leur grande majorité, les Français sont mécontents. Disons plus simplement qu’ils sont malheureux. On les comprend. Ils vivent dans un pays où règne une quadruple insécurité : l’insécurité physique due à l’islam, l’insécurité économique et sociale (le chômage), l’insécurité fiscale, et l’insécurité judiciaire. Et, pour ces résultats-là, les meilleurs Français sont condamnés à verser à l’État au minimum la moitié de leurs revenus, plus une dîme pour avoir le droit de conserver leur patrimoine.

L’actuel régime politique en France est, en effet, d’inspiration communiste, aggravé par une anarchie permanente. Sont payés par l’argent public, c’est-à-dire le produit de l’impôt, près de mille parlementaires, quelque 6 millions de fonctionnaires, ainsi que les syndicats sans syndiqués. Plus de la moitié de toute la richesse nationale 57 % est confisquée par l’État qui entretient dix millions d’immigrés de toute provenance, mais surtout Africains et musulmans.

Devant ce bilan, les Français excédés, hormis la nomenklatura au pouvoir, commencent à se poser la question de savoir si ce qui s’est passé aux États-Unis ne pourrait pas avoir lieu en France. Déjà, une réaction se manifeste en Hongrie, en Pologne, en Slovaquie, en Autriche, contre une démocratie dévoyée. Le temps du blasphème politique paraît reculer. Dire qu’un noir n’est pas blanc, que l’islam est une religion qui en est restée au VIIe siècle, conquérante et cruelle, pourrait ne plus vous faire condamner, comme on était condamné au XVe siècle pour avoir blasphémé contre l’Église. Le peuple n’adhère plus à un système démagogique, trompeur et corrompu, dont on peut parfois se demander s’il n’est pas pratiquement, parce qu’impuissant, complice des crimes commis par les barbares qui envahissent l’Occident.

« Un potentiel insurrectionnel existe dans la France silencieuse », écrit Ivan Rioufol dans le « Figaro » du 11 novembre.

On est donc en droit d’imaginer que l’élection présidentielle pourrait apporter des surprises, comme, aux États-Unis, l’élection du 8 novembre. Le spectacle parfois grotesque que donnent les candidats à l’élection présidentielle du mois de mai irrite la majorité des électeurs. Divisés, hostiles les uns aux autres, en campagne depuis des mois, ces candidats nous assomment, jusqu’à la saturation, des promesses qu’ils ne tiendront sans doute pas.

À droite, tous les candidats ont été au plus haut niveau les bénéficiaires du régime qu’ils dénoncent. À gauche, c’est pire encore : ce sont des syndics de faillite, largement rémunérés. À tous, on pose une question : D’où viennent les millions qu’exigent de telles campagnes ? Pour ma part, à cette question, je n’ai jamais eu de réponse.

« Trop d’immigrés, trop d’impôts », proclament-ils. Mais ce sont eux qui en sont les responsables. Comment, alors, leur faire confiance ? En 2017, il est quasiment sûr qu’on paiera autant d’impôts qu’en 2016, voire davantage ; qu’on aura toujours peur d’être agressé dans la rue et les transports en commun et que, dans les paisibles villages de la France profonde, les villageois redouteront que les Somaliens et autres Soudanais qu’on leur a imposés les volent et les violent. Est-ce cela l’identité heureuse ?

Les belles paroles d’un côté, la réalité de l’autre, et au milieu les imbéciles exploités. La primaire de la droite désignera le candidat du mois de mai. On le jugera sur pièce. Une fois élu, tiendra-t-il ses promesses, toutes ses promesses ? Ou faudra-t-il attendre encore 5 ans ? En 2022, les immigrés seront-ils moins nombreux en France ?

Pour terminer, je citerai une observation concrète le concret, c’est cela qui compte. Je fais mes courses dans deux supermarchés à l’enseigne connue. J’ai constaté que caissières et vendeurs avaient les nationalités suivantes : chinoise, vietnamienne, cambodgienne, birmane, bengladeshi, sri-lankaise, mauricienne, pakistanaise, libanaise, turque, polonaise, algérienne, tunisienne, marocaine, sénégalaise, guinéenne, camerounaise, congolaise, péruvienne, colombienne, équatorienne ! Alors que de nombreuses jeunes Françaises vivent au chômage dans l’anxiété et seraient heureuses d’être caissières dans un grand magasin, elles qui ne sont pas logées à l’hôtel, aux frais du contribuable.

Oui, le temps est venu de se débarrasser de ceux qui ont échoué en tout, aux frais des honnêtes gens, travailleurs et épargnants, à qui, jusqu’ici, on n’a concédé qu’un droit : celui de se taire.

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Comments (6)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” les conséquences possibles de l’ élection de Trump ”

    suivant son instinct inné de caméléon, Sarko a aussitôt réorienté sa campagne à la trumpette avec le résultat que l’ on sait : une victime parallèle de l’ élection de Trump

    avis à certains électeurs-lecteurs des ” 4V² ” à la souplesse [ intellectuelle ] un peu arthrosique

    30 novembre 2016 à 20 h 25 min
  • Jaures Répondre

    “de nombreuses jeunes Françaises vivent au chômage dans l’anxiété et seraient heureuses d’être caissières dans un grand magasin.”
    Mon pauvre C.Lambert ! Connaissez-vous la vie d’une caissière ? Les Françaises ne sont pas heureuses d’être caissières: elle le font quand elle n’ont pas le choix.
    Etre caissière, c’est subir les remarques, parfois les insultes des clients, des collègues, des chefaillons.
    C’est le stress des produits mal étiquetés, périmés, en raison des rayons mal entretenus par manque de personnel.
    C’est le travail partiel subi, le salaire bloqué au plus bas, les horaires selon le bon vouloir de l’organisateur des planning avec parfois des journées de 2 ou 3 heures avec les mêmes contraintes de trajet.
    Les caissières doivent également nettoyer leur ligne de caisse et les toilettes.
    Bien entendu, les caissières ne peuvent partir tant qu’il reste des clients et ces temps supplémentaires ne sont pas payés. Les supermarchés sont des terres de CDD aux horaires fluctuants car les caissières se remplacent entre elles et les conditions de travail font que les arrêts maladie sont fréquents.
    De fait, si l’on dit “les caissières”, c’est qu’il s’agit à 95% d’un métier de femmes, sans diplômes, à la recherche d’un salaire d’appoint ou contraintes de trouver n’importe quel job en raison du chômage de l’époux ou parce qu’elles se retrouvent seules.
    Dés qu’elles peuvent sortir de cette misères elles fuient sans remords et c’est pourquoi vous trouverez toujours des immigrés à ces postes où le salarié ne reçoit aucune considération.
    Vous trouverez le même problème dans les cuisines des restaurants, les entreprises de nettoyage, les société de sécurité, les chauffeurs-livreurs,…Partout où le travail est aliénant, il y aura le même turnover avec des immigrés pour boucher les trous.
    Vous ne voulez plus d’immigrées aux caisses ? Payez correctement les salariées français, donnez leur des perspectives, négociez leurs plannings, offrez-leur des formations. Vous verrez qu’elles garderont jalousement leur place.

    24 novembre 2016 à 18 h 21 min
    • Gérard Pierre Répondre

      Monsieur Jaures.

      Vous nous expliquez que, … j’ose cette sorte de pléonasme, … travailler est laborieux !

      Il en va du travail comme de tout effort : celui qui est subi est toujours plus douloureux que celui qui est consenti ! …… Tout est dans l’état d’esprit avec lequel on se rend à son travail, … même le plus modeste !

      On peut donner du sens à ce qu’on fait, même si cela relève d’une activité à priori ‘’sans intérêt‘’ !

      Les circonstances font qu’actuellement je suis confronté au monde des aide-soignante et des auxiliaires de vie. Je les écoute toutes !

      Certaines me parlent de leur modeste salaire, de leurs horaires ingérables, des remarques désobligeantes de leur hiérarchie et de toutes les avanies qu’elles subissent, y compris au sein des familles dans lesquelles elles interviennent. À aucun moment je ne songerais à mettre en doute les faits qu’elles relatent et je constate quotidiennement les effets négatifs que cela peut entraîner sur elles : traits tirés, yeux parfois rougis, sourire absent !

      Au bout d’un certain temps, ne les voyant plus, je demande de leurs nouvelles ! …… elles sont en arrête de maladie, ou bien elles ont quitté leur employeur, …… (pour un autre, l’herbe étant toujours plus verte dans le pré du voisin !)

      Et puis j’en rencontre d’autres, qui ne me parlent pas de leurs soucis mais du plaisir qu’elles ressentent dans un merci souriant de la part d’une patiente dont elles viennent de s’occuper. « On est mal payées mais au moins on a le sentiment d’être utiles ! » est une phrase que j’entends parfois. Celles qui la prononcent ont un visage radieux !

      Je pense alors à l’exemple de ce tailleur de pierre du Moyen-âge qui, jour après jour, ciselait des blocs uniformes, de mêmes dimensions, sans originalité, et les livrait à son client les unes après les autres. Lorsqu’on lui demandait ce qu’il faisait, il répondait invariablement « Je construis une Cathédrale ! »

      Aujourd’hui, le travail n’est plus une valeur culturelle. Il a été tellement décrié qu’il est devenu une sorte de maléfice social ! …… On ne ‘’construit plus des Cathédrales‘’ ! … ON VA BOSSER ! … on trime ! … on va au boulot ! …… on fait ses trente-cinq heures ! …

      Merci qui ? …… les patrons ? …… ben voyons ! …… et tous ceux qui, depuis 1789, se sont ingéniés à nier ce qui constitue l’Essence même de l’Humain ? …… les matérialistes, les nihilistes ? les socialistes ? les syndicalistes ? les thuriféraires de l’homo Oeconomicus et toute la cohorte des assassins de la Spiritualité ? …… ils n’y sont pour rien ? … évidemment !

      N.B. : J’ai travaillé aussi : quarante et un ans et six mois d’activités professionnelles et de services militaires ! … Ça n’a pas toujours été facile ! … mais je me suis toujours efforcé de NE JAMAIS SUBIR ! … et j’y suis finalement toujours parvenu ! …… Simple question d’état d’esprit !

      25 novembre 2016 à 12 h 46 min
      • Jaures Répondre

        Gérard, nous nous rejoignons sur un point. Il importe pour s’accomplir dans son travail que celui-ci ait un sens. L’anecdote du tailleur de pierre que vous citez (elle est de C.Péguy), est révélatrice. Même si la tache est pénible, l’ouvrier a le sentiment de participer à un chantier collectif dont il connait la fin. Mettez le même tailleur de pierre dans un atelier où il répètera le même geste sans en connaître le but, où tout sera pensé uniquement en fonction de sa productivité, où il lui sera impossible de se former pour évoluer, pensez vous qu’il dira “je construis une cathédrale” ? Il ne le saura même pas.
        C’est le Chaplin des “Temps modernes” qui accomplit le même geste toute la journée et en perd la raison.

        Comme vous le dîtes, le sentiment d’utilité est primordial. Quand le salarié n’a plus que le sentiment d’être un pion interchangeable il perd tout motivation, toute confiance et ne souhaite que fuir pour éviter la dépression.
        Vous parlez du discours des socialistes, mais quelle est la doctrine libérale ?
        “Un homme qui passe sa vie à faire un petit nombre d’opérations simples n’a pas lieu de développer son intelligence ou son imagination et devient généralement aussi stupide et ignorant qu’il soit possible à une créature humaine de la devenir” (Adam Smith “La richesse des Nations”).

        Quand je vous décris le quotidien d’une caissière, où croyez-vous qu’elle puisse trouver un sentiment d’utilité, une perspective ? Qu’est-ce qui peut l’amener à penser à autre chose que faire ses heures ?
        Pour ne pas subir, il faut tout de même savoir à quoi se raccrocher. Que conseilleriez-vous aux caissières ?
        Moi je leur conseille de lutter mais la répression syndicale dans les grands magasins et le turnover sont tels qu’il y est difficile de s’organiser.

        Enfin, je conclus par cette question: qu’est-ce que l’Essence de l’Humain ? Qu’y-a-t-il d’humain dans le travail de caissière ?

        25 novembre 2016 à 15 h 29 min
  • vozuti Répondre

    Les populations occidentales sont soumises à une caste corrompue qui se permet tout.cette caste, habituée à maltraiter le peuple, a poussé le vice jusqu’à décider de le remplacer,comme un éleveur qui décide de remplacer son bétail.
    Ces troupeaux de moutons bêlant que sont les peuples européens vont-t-ils se réveiller,comme les américains ont commencé à le faire ?

    24 novembre 2016 à 12 h 41 min
  • balaninu Répondre

    Voilà qui est bien dit : MERCI ! en plein accord avec vous !!!!

    24 novembre 2016 à 11 h 21 min

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