les Israéliens se moquent entièrement des récriminations

les Israéliens se moquent entièrement des récriminations

Pieter KERSTENS.

Face aux jérémiades et aux gesticulations… Ils ont bien raison !

On peut être « pro»  ou « anti », force est de constater que les Israéliens se moquent entièrement des récriminations, des mises en garde ou des recommandations de la communauté internationale, pour tout ce qui concerne leurs politiques intérieure et étrangère.

Comme peuple souverain, ils appliquent ce que bon leur semble pour la défense de leurs intérêts, de leur population et de leur sphère d’influence. Tel le blocus de Gaza …

GAZA : 362 km2. Sur 76 km² vivent 7 500 colons (densité 100 habitants/km²). Mais 1,3 millions de palestiniens s’entassent sur les 286 km² restants (4 550 habitants/km²).

Pourtant, le 29 novembre 1947, l’Assemblée Générale de l’ONU vota le partage de la Palestine en 3 morceaux. Par cette résolution 181, 56% du territoire est dévolu à un Etat juif (558 000 juifs et 405 000 arabes), 43% est accordé aux Palestiniens (804 000 palestiniens et 100 000 juifs) et le dernier pourcentage, concernant les Lieux Saints, est placé sous tutelle des Nations Unies, avec la désignation d’un gouverneur.

Ce partage est considéré depuis comme une Nakba par les Palestiniens et devient dès lors la source d’un des plus longs conflits, qui perdure à ce jour, avec ses rivières de sang, ses torrents de haine et ses cortèges de souffrances.

Le 11 décembre 1948, l’ONU vote sa résolution 194, qui place Jérusalem sous mandat international et garantit le principe des droits existants. Contre l’avis général, Israël a déclaré Jérusalem sa capitale et après le conflit de 1967, l’État hébreu a occupé l’Est de la ville.

L’Etat sioniste, facteur de déstabilisation perpétuelle de la paix ?

La résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU, le 22 novembre 1967, précise bien :

« le Conseil de sécurité affirme que l’accomplissement de la Charte des Nations Unies exige l’instauration d’une paix juste et durable au Moyen-Orient qui devrait comprendre l’application des deux principes suivants :

a) retrait des forces israéliennes des territoires occupés lors de la guerre des six jours (en juin 1967)

b) cessation de toutes assertions de belligérance ou de tous états de belligérance et respect et reconnaissance de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque État de la région et de leur droit de vivre en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues… »

Les résolutions 476 du 30 juin 1980, 478 du 20 août 1980 et 672 du 12 octobre 1990, condamnent toutes l’attitude belliqueuse de l’État hébreu et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem.

Peut-on en conclure que l’Etat sioniste est un facteur de déstabilisation perpétuelle de la paix au Proche Orient et, comme l’a écrit le dissident israélien Israël Shamir, un « État qui ne rassemble que la racaille des communautés juives mondiales » ?

Il est tout de même curieux de constater une évidence : bien avant le blocus de Gaza, la communauté internationale avait instauré, elle aussi, des blocus et des embargos envers l’Afrique du Sud, la Rhodésie ou l’ex-Yougoslavie, sans parler de l’Irak de Saddam Hussein. Depuis des décennies, l’Oncle Sam étrangle Cuba… Combien de manifestations des pleureuses droits-de-l’hommistes ? Combien de pétitions ? Combien de flottilles apportant médicaments, aliments ou objets indispensables à ces nations mises au ban de l’humanité ?

Depuis des décennies, les sionistes crachent sur les résolutions de l’ONU ; pourquoi changeraient-ils maintenant d’avis ? Comme à Belgrade ou à Bagdad, faudra-t-il bombarder Tel-Aviv pour faire respecter les décisions du Conseil de Sécurité ?

Pieter Kerstens

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Comments (34)

  • tontonlong Répondre

    On s’en fiche un peu des avis propal qui èrent sur ce forum, ainsi que de l’auteur de l’article, en plein délire.

    Les arabes n’ont jamais autant souffert que de la main des arabes et remplacez arabe par musulman, c’est pareil.

    Y’en a 50 qui sautent par jour en Irak et en Afghanistan, qui en parle ?
    200 000 musulmans algériens butés par le GIA en 10 ans
    Septembre noir : 35000 palestiniens butés par les jordaniens etc etc

    On vous entendait pas les SAS, bandes de nazes, qui croyez vous abuser avec vos cris de pleureuses iraniennes ?

    Israel a buté 9 racailles islamistes, merci Israel, dommage que mon pays n’ait pas les c… d’en faire autant

    Y’en a marre de votre religion, arrivé juste avant raël dans l’odre des escroqueries et qui prétend tout régenter ici.

    29 juin 2010 à 10 h 39 min
  • SAS Répondre

    a ROSANOV….avec un brin de retard…

    …ils ne comprenent aussi que la force….

    …ce sont aussi des semites….

     

    donc même thérapie…cqfd

    sas

    25 juin 2010 à 13 h 47 min
  • le Ket Répondre

    Deux poids , deux mesures ?

    L’article parle du non-respect des décisions de l’ONU : comment les faire appliquer ?

    On ne peut pas admettre que l’Irak ou l’Afghanistan, ou tout autre pays souverain soit bombardé au nom de la communauté internationale suite au vote du Conseil de Sécurité et de résolutions prises à la majorité et absoudre les sionistes qui s’en tapent l’oeil depuis 60 ans !

    Sinon, il faut aussi soutenir les pirates de la mer rouge et de l’océan indien, laisser le champ libre aux "états voyoux" …et dissoudre l’ONU ! ! !

    24 juin 2010 à 11 h 53 min
  • R. Ed. Répondre

    A Carloman….

     

    Un peu d’histoire.

    Les Arabes en 1948 ont gentiment prévenu les Palos de quitter Israël, le temps de le vaincre par les armes.

    Environ 600000 Palos ont donc quitté le territoire pour aller dans des camps – en attendant – la victoire. Mais ce sont les Arabes qui se sont pris la branlée.

    La suite, c’est le départ ou l’expulsion d’à peu près tous les Juifs des terres arabes du Moyen-orient – aussi dans les 600000.

    Les Juifs sont partis et se sont intégrés ailleurs.

    Les Palos, alors qu’il ne manque pas de place dans les pays environnants sont restés parqués dans des camps, qui sont en fait devenus des villes, ils ne sont plus 600000 mais 7 ou 8 fois plus, et cerise sur le gâteau, c’est la communauté occidentale qui les entretient.

    En fait, ce sont plutôt les dirigeants palestiniens qui se remplissent les poches avec ce gâteau, voir par exemple le "digne" Arafat, une des plus grosses fortunes mondiale grâce à notre aide financière.

    Les Palos veulent rentrer au pays ? Les arrières arrières petits fils, sans doute ?En tous cas pas ceux de ’48, ils ne doit plus en rester beaucoup, c’est un peu comme les Poilus…

     

    Salut

    22 juin 2010 à 14 h 12 min
  • sas Répondre

    A ceux qui ignorent tout et toujours…savez qu isarel etait le seul pays a faire du commerce avec L AFRIQUE DU SUD au momment où tous les pays etaient interdits de commerce par l ONU,OMC …boycotte totale dur regime et du pays honteux du moment et des AFRICKAVER’S….???

    Beaucoup de produit agricole etait rétiqueté et reexporté comme si de rien etait…..".raisin "compris…

     

    arf,arf,arf  entre baeur’s et le sinaî même combat…

    faudrait proposer ca à l ex grand maitre mis en examen du GO de france…hein alain…

    sas

    22 juin 2010 à 0 h 45 min
  • VIK Répondre

    AKLROGER

    Commencez par vous instruire, et apprendre l’histoire, la vraie, du Moyen-Orient, avant de débiter votre inepties …et les fausses vérités auxquelles vous croyez, ou que l’on vous a inculquées ! …

    Vik

    14 juin 2010 à 19 h 54 min
  • AKL Roger Répondre

    Justement, les chretiens etaient les allies trompes d’Israsel qui voulait les utiliser pour les faire emigrer du Liban et donner leur place aux paelstiniens a qui ils ont prius leurs maisons et leurs terres. je ne pense pas que je pourrai vous convaincre. Je vous reponds par la bouche d’un israelien :

    Un texte d’Ilan Pappé
    Traduction d’un article publié dans le Herald Scotland, le 6 juin 2010.
    Historien israélien dissident, aujourd’hui professeur d’histoire à l’Université d’Exeter et directeur du Centre européen d’études sur la Palestine, Ilan Pappé a longtemps vécu en Israël, donnant de la voix contre le sionisme. Lassé de vivre dans un environnement « hostile », d’être traité « comme un pestiféré » [1], il s’est finalement exilé en Grande-Bretagne en 2007.
    Celui qui dénonce sans relâche la réécriture historique pratiquée par Israël, l’endoctrinement de sa population, le processus de colonisation et le massacre des Palestiniens à l’œuvre depuis plus de 60 ans [2] explique dans l’article traduit ci-dessous les ressorts psychologiques qui ont poussé l’état sioniste à attaquer la flottille de Gaza il y a une dizaine de jours. Et explique pourquoi les "solutions" mises en avant par la communauté internationale ne sont absolument pas adaptées à la réalité du conflit.
    Ce qui guide la politique d’Israël
    L’aspect le plus déroutant de l’affaire de la flottille de Gaza a très certainement été la défense indignée et moralisatrice du gouvernement et du peuple israélien.
    Les modalités de cette réponse sont peu relayées par la presse britannique, mais il s’agit aussi bien de communications officielles, célébrant l’héroïsme des commandos ayant pris d’assaut le navire, que de manifestations d’écoliers en soutien inconditionnel au gouvernement et contre une prétendue nouvelle vague d’antisémitisme.
    En tant que natif d’Israël, passé avec enthousiasme par tout son processus de socialisation et d’endoctrinement pendant un quart de siècle, je ne connais que trop bien cette réaction. Comprendre l’origine de cette attitude furieusement protectrice est une clé essentielle pour appréhender correctement l’obstacle principal à la paix en Israël et en Palestine. On ne peut mieux définir cette barrière que comme la perception officielle et populaire qu’ont les juifs Israéliens de la réalité politique et culturelle qui les entoure.
    Un certain nombre de facteurs expliquent ce phénomène, mais trois d’entre eux sont particulièrement remarquables, et interconnectés. Ils forment l’infrastructure mentale individuelle sur laquelle la vie en Israël de tout juif sioniste est basée, et dont il est presque impossible de s’écarter – ce dont, personnellement, je n’ai que trop fait l’expérience.
    La première hypothèse, et la plus importante, est la suivante : ce qui était historiquement la Palestine est d’après un irréfutable droit sacré la propriété politique, culturelle et religieuse du peuple juif représenté par le mouvement sioniste, puis plus tard par l’état d’Israël.
    La plupart des Israéliens, les hommes politiques comme les citoyens, comprennent que ce droit ne peut être pleinement appliqué. Mais bien que les gouvernements successifs aient été assez pragmatiques pour accepter la nécessité d’entamer des négociations de paix et celle d’une sorte de compromis territorial, ce rêve n’a pas été abandonné. Et – ce qui est encore plus important – la conception et la représentation de toute politique réaliste est ainsi considérée comme un acte de générosité internationale ultime et sans précédent.
    Toutes les insatisfactions palestiniennes ou – dans le cas qui nous intéresse – internationales, exprimées devant les propositions mises en avant par Israël depuis 1948, ont donc été considérées comme insultantes et ingrates face à la politique accommodante et éclairée de la "seule démocratie du Moyen-Orient". Maintenant, imaginez que ce mécontentement se traduise par une lutte réelle et parfois violente, et vous commencez à comprendre les mécanismes de cette fureur vertueuse. Lorsque nous étions écoliers, pendant le service militaire et plus tard en tant que citoyens israéliens adultes, la seule explication donnée aux réactions arabes ou palestiniennes était que notre comportement civilisé s’opposait à la barbarie et aux antagonismes de la pire espèce.
    Selon le discours dominant, il y aurait deux forces malveillantes à l’œuvre contre Israël. La première consisterait en l’ancien et habituel mouvement antisémite du monde au sens large, un virus infectieux touchant soi-disant tous ceux qui entrent en contact avec les Juifs. Selon ce discours, les Juifs modernes et civilisés ont été rejetés par les Palestiniens simplement parce qu’ils étaient juifs, et non par exemple parce qu’ils ont volé leur terre et leur eau jusqu’en 1948, expulsé la moitié de la population Palestinienne en 1948, imposé une occupation violente de la Cisjordanie et, dernièrement, un siège inhumain de la bande de Gaza. Cela explique également pourquoi l’action militaire est considérée comme la seule réaction possible : une fois les Palestiniens vus comme cherchant inéluctablement à détruire Israël, suivant en cela une pulsion atavique, la seule manière possible d’y faire face repose sur la force militaire.
    La seconde force est également un phénomène qui, selon eux, n’a rien de neuf : une civilisation islamique chercherait à détruire les Juifs en tant que foi et nation. Le courant dominant chez les orientalistes israéliens, appuyés par de nouveaux universitaires conservateurs aux États-Unis, a contribué à définir cette phobie comme étant une vérité scientifique. Ces peurs, pour être immuables, doivent évidemment constamment être nourries et manipulées.
    De là découle la seconde caractéristique permettant une meilleure compréhension de la société juive israélienne : Israël est dans une position de déni. Même en 2010, avec tous les moyens de communication et d’information alternatifs et internationaux, la plupart des Juifs israéliens sont toujours alimentés quotidiennement par des médias qui leur cachent la réalité de l’occupation, de la stagnation ou de la discrimination. C’est notamment valable en ce qui concerne le nettoyage ethnique commis par Israël en 1948, qui a transformé la moitié de la population palestinienne en réfugiés, a détruit la moitié de ses villes et villages, et a vu les Israéliens s’arroger 80 % de son pays. Il est douloureusement clair que, même avant que les murs et clôtures de l’apartheid n’aient été construits autour des territoires occupés, l’Israélien moyen n’était pas au courant. Et qu’il ne s’intéressait pas aux 40 années de violations systématiques des droits civils et humains de millions de personnes, réalisées sous le contrôle direct et indirect de son État.
    Les Israéliens n’ont pas non plus eu accès à des compte-rendus honnêtes sur la souffrance des habitants de la bande de Gaza pendant les quatre dernières années. Et, sur le même schéma, les informations distillées sur la flottille correspondent à l’image d’un État attaqué par les forces combinées de l’antisémitisme séculaire et du nouvel islamisme judéocide fanatique, forces débarquant pour détruire Israël. (Après tout, pourquoi auraient-ils envoyé l’élite des meilleurs commandos du monde pour faire face à des militants des droits de l’homme sans défense ?)
    Quand j’étais jeune historien en Israël dans les années 1980, c’est d’abord ce déni qui a attiré mon attention. En tant que chercheur débutant, j’avais décidé d’étudier les événements de 1948, et ce que j’ai alors trouvé dans les archives m’a permis de mettre un pied hors du sionisme. Doutant de l’explication officielle du gouvernement à propos de son agression du Liban en 1982 et de son comportement pendant la première Intifada en 1987, j’ai commencé à réaliser l’ampleur de la manipulation. Je ne pouvais plus souscrire à une idéologie déshumanisant les Palestiniens autochtones et favorisant des politiques de dépossession et de destruction.
    Le prix de ma dissidence intellectuelle a fini par tomber : la condamnation et l’excommunication. En 2007, j’ai quitté Israël et mon travail à l’Université d’Haïfa pour un poste d’enseignant au Royaume-Uni, où les points de vue qui seraient au mieux considérés en Israël comme de la folie, au pire comme une trahison pure et simple, sont partagés par presque toutes les personnes honorables du pays, qu’elles aient ou non une connexion directe à Israël et à la Palestine.
    Ce chapitre de ma vie – trop compliqué à décrire ici – constitue la base de mon prochain livre, Out Of the Frame, qui sera publié cet automne. Brièvement, il s’agit de l’évolution d’un sioniste israélien tout ce qu’il y a de plus banal et ordinaire, évolution menée grâce à la découverte de sources d’information alternatives, à des relations étroites avec plusieurs Palestiniens et à des études post-universitaires à l’étranger, en Grande-Bretagne.
    Ma quête d’une véritable histoire des événements au Moyen-Orient m’a obligé à démilitariser mon esprit. Même aujourd’hui, en 2010, Israël reste, à bien des égards, un État prussien colonisateur. C’est-à-dire un État combinant, à tous les niveaux de la vie, des politiques colonialistes et un haut niveau de militarisation. il s’agit là de la troisième caractéristique de l’État juif, à appréhender pour comprendre la réaction israélienne. Elle se manifeste par la domination de l’armée sur l’ensemble de la vie politique, culturelle et économique d’Israël. Le ministre de la Défense, Ehud Barak, a ainsi été le commandant de Benjamin Netanyahu, le Premier ministre, dans une unité militaire semblable à celle qui a agressé la flottille. Un contexte qui explique grandement la réponse sioniste de l’État à ce qu’eux et tous les officiers de commando ont perçu comme l’ennemi le plus redoutable et le plus dangereux qui soit.
    Il faut probablement être né en Israël, comme je le suis, et être passé par tout le processus de socialisation et d’éducation – y compris le service militaire – , pour saisir la puissance de cette mentalité militariste et ses conséquences désastreuses. Et il faut un tel passé pour saisir pourquoi les fondements de l’approche de la communauté internationale au Moyen-Orient sont totalement et désastreusement inadaptés à la situation.
    La réaction internationale se base sur l’hypothèse que des concessions palestiniennes croissantes et un dialogue continu avec l’élite politique israélienne pourraient faire émerger une nouvelle réalité sur le terrain. Selon le discours officiel en Occident, une solution très raisonnable et réalisable – la solution des deux États – est à portée de la main pour peu que toutes les parties fournissent un ultime effort. Un tel optimisme est malheureusement erroné.
    La seule version de cette solution [des deux États] qui soit acceptable pour Israël ne saurait l’être pour l’Autorité palestinienne apprivoisée à Ramallah, non plus que pour le Hamas péremptoire à Gaza. Comprendre : l’offre d’emprisonner les Palestiniens dans des enclaves apatrides pour peu qu’ils mettent fin à leur lutte. Ainsi, avant même de discuter d’une solution alternative – un État démocratique commun, ce que je soutiens moi-même – ou d’explorer l’idée plus plausible de l’établissement de deux États, il faut transformer en profondeur la mentalité officielle et populaire en Israël. Cette mentalité est le principal obstacle à une réconciliation pacifique dans le terrain morcelé d’Israël et de la Palestine.
    Comment peut-on la faire évoluer ? C’est là le plus grand défi que doivent relever les militants en Palestine et en Israël, les Palestiniens et leurs partisans à l’étranger, et toute personne dans le monde se souciant de la paix au Moyen-Orient. Ce qu’il faut, en premier lieu, c’est la reconnaissance que l’analyse présentée ici est valable et acceptable. Alors seulement, on pourra commencer à faire des conjectures.
    Il est présomptueux de s’attendre à ce que les gens revisitent une histoire de plus de 60 ans afin de mieux comprendre pourquoi l’agenda international actuel concernant Israël et la Palestine repose sur des bases erronées et préjudiciables. Mais on peut certainement s’attendre à ce que les politiciens, les décideurs géopolitiques et les journalistes réévaluent ce qui a été appelé par euphémisme le "processus de paix " depuis 1948. Il faut également leur rappeler ce qui s’est réellement passé.
    Depuis 1948, les Palestiniens luttent contre le nettoyage ethnique de la Palestine. Cette année-là, ils ont perdu 80% de leur patrie et la moitié d’entre eux ont été expulsés. En 1967, ils ont perdu les 20% restants. Ils ont été fragmentés géographiquement, et traumatisés comme personne ne l’a été au cours de la seconde moitié du 20e siècle. Et n’eut été la fermeté de leur mouvement national, cette fragmentation eut pu permettre à Israël de faire main basse sur l’ensemble de la Palestine historique, poussant les Palestiniens vers l’oubli.
    Transformer un état d’esprit est un long processus d’éducation et de conscientisation. Contre toute attente, certains groupes alternatifs au sein d’Israël avancent sur cette longue et sinueuse route vers le salut. En attendant, il faut mettre un terme à ces politiques israéliennes qui sont symbolisées par le blocus de Gaza. Elles ne cesseront pas plus à cause des faibles condamnations internationales que nous avons entendues la semaine dernière qu’en raison du mouvement à l’intérieur d’Israël, trop faible pour provoquer un changement dans un avenir proche. Et le danger ne réside pas seulement dans la destruction continue des Palestiniens, mais aussi dans la constante surenchère israélienne qui pourrait conduire à une guerre régionale, avec des conséquences désastreuses pour la stabilité de l’ensemble du monde.
    Par le passé, le monde libre a fait face à ce type de situations explosives en prenant des mesures fermes, comme les sanctions contre l’Afrique du Sud et la Serbie. Seules des pressions sérieuses et durables des gouvernements occidentaux sur Israël feront là-bas passer ce message que le chantage militaire et la politique d’oppression ne peuvent être moralement et politiquement acceptables pour le monde auquel Israël veut appartenir.
    La continuité dans la diplomatie des négociations et des "pourparlers de paix" permet aux Israéliens de poursuivre sans cesse la même stratégie ; et plus cela perdure, plus il sera difficile de réparer les dégâts. Le moment est venu de s’unir avec les mondes arabe et musulman, en offrant à Israël une possibilité de rentrer dans la norme et de se faire accepter, en contrepartie d’un abandon inconditionnel des idéologies et pratiques passées.
    Le retrait de l’armée de la vie des Palestiniens opprimés en Cisjordanie, la levée du blocus de Gaza et l’abolition de la législation raciste et discriminatoire contre les Palestiniens en Israël seraient de premier pas fort bienvenus vers la paix.
    Il est également essentiel de discuter sérieusement et sans préjugés ethniques d’un retour des réfugiés palestiniens, selon des modalités respectant leur droit fondamental au rapatriement et les chances de réconciliation en Israël et en Palestine. Toute politique allant dans ce sens doit être approuvée, accueillie et mise en œuvre par la communauté internationale et les populations vivant entre le Jourdain et la mer Méditerranée.
    Alors, les seules flottilles qui se rendront à Gaza seront celles des touristes et des pèlerins.
    Pour compléter cet article, tu pourras te pencher sur l’un des entretiens réalisés avec Michel Warschawski, en janvier 2009 (« Israël est désormais une société néo-conservatrice »), puis en février 2010 (« Il s’agit "de punir les Palestiniens du seul fait qu’ils continuent à exister" »).
    Notes
    [1] Ainsi qu’il l’explique dans un entretien donné à Il Manifesto, où il revient sur les raisons de son départ. Le Grand Soir a traduit cet entretien : à consulter ICI.
    [2] Ilan Pappé revient sur l’épuration ethnique pratiquée depuis 1948 dans cet entretien."
    12 juin 2010 à 19 h 09 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Israel est maintenant un Etat d’apartheid qui ne pourra pas durer plus que l’Afrique du Sud,

    Sauf qu’en israel il y a toujours eu des ministres et des députés arabes musulmans, parler d’apartheid dans ce cas relève de la désinformation !

    Notre ami Akl ne prononce pas dans sa dernière tirade les mots hamas et roquettes, peut-être les a-t-il simplement gommés de sa mémoire… facile…

    11 juin 2010 à 13 h 39 min
  • chambon Répondre

    Les juifs de la région, ont été en diaspora des centaines d’années avant l’an 70 et les conquêtes romaines, puisque le premier exil remonte à Babylone et Nabuchodonosor.

    Cette diaspora correspondant à la première conquetes des royaumes de judée et d’israel n’a pas affaibli la légitimité juive à l’époque romaine, pourtant les juifs se trouvaient dans tout le bassin méditerranéen à l’époque !

    Les musulmans de cette région ne sont eux mêmes que des peuples chrétiens, païens ou juifs,  monsieur le chrétien d’orient, qui ont été convertis bien tardivement par le choix simpliste à faire entre le sabre ou le coran, par les cavaliers de Médine.

    La seule chose qui vous pousse à imaginer que l’Israel de 1948 est illégitime est le fait qu’à l’époque des conquêtes de Mahomet, il n’y avait ni télévision, ni ONU pour froncer les sourcils !!!

    Tous les pays issus de la décolonisation sont illégitimes, mais je serai tenté de dire qu’Israël est au contraire le moins illégitime d’entre tous, vu qu’il a eu une existence monarchique dans l’histoire.

    Allez donc me citer les frontières de "cette palestine des palestiniens spoliés ", sa monnaie, sa culture !

    Vous en êtes juste incapable ! Á moins de confondre Ottomans et palestiniens, ce qui est une farce .

    Je suis étonné qu’un chrétien d’Orient, puisse à ce point prendre défense pour des palestiniens, qui n’ont pas hésité à vous massacrer au Liban, il n’y a pas si longtemps, qui avaient transformé l’église saint Elias de Beyrouth en stand de tir pour l’OLP, puis en station service.

    Sans compter les prêtres qui se font encore assassiner par les turcs, cette semaine encore.

    Les israeliens avaient pour alliés les chrétiens libanais, d’ailleurs au retrait israelien du sud liban, ces derniers sont venus en masse peupler le nord d’Israel, plutot que rester au milieu des hezbollahis.

    Les chrétiens d’Orient, aiment le baton qui les bat, ils sont un peu dans la situation de ces catholiques qui pactisaient avec Hitler, en oubliant qu’à la fin de la pièce de théatre, ils finissent par être mangés par le crocodile .

    Vous devriez oublier les conneries que balance Mgr Sabbah et sa clique, et ouvrir les yeux sur qui limlite la liberté de culte et fait fuir les chrétiens de Bethléem et des autres terres arabes….

    Je sais que Israel est une contradiction spectaculaire des évangiles, pour lesquels " les juifs devaient être une nation errante" jusqu’ à la fin des temps pour n’avoir pas reconnu Jésus, mais ouvrez un peu les yeux sur la réalité du monde, loin de votre dogmatisme…..

    11 juin 2010 à 11 h 15 min
  • Akl Roger Répondre

    1 – Lorsque les Romains ont detruit Jerusalem en 70, les habitants de Palestine-israel n’ont pas emigre, comme les Gaulois n’ont pas quitte la France durant la conquete romaine. Les habitants de la Palestine ottomane, ont plus de droit sur cette terre que les Europeens importes durant l’entre deux guerres par les Anglais ou fuyant une Europe trucidaire apres 1945, car c’est la terre de leurs ancetres rapproches sur plusieurs generations et meme de leurs parents, tandis que les Israeliens sont Europeens salves, germaniques, Fallasha…

    2 – Quant au droit des juifs a une terre qui leur appartint il y a deux mille ans… Elle appartient aujourd’hui aux Palestiniens qui peuvent se dire leurs descendants plus que les juifs d’Europe, descendantsw qui ont depuis change de religion.

    3 – les Israeliens sont aujourd’hui un fait accompli et personne ne veut les chasser, la preuve en est dans le plan de paix arabe.

    4 – Ce plan de paix est une necessite pour Israel meme, car le temps des Etats arabes colonises par l’Occident et dont les chefs lui obeissaient au doigt et a l’oeil jusqu’a la traitrise (les fusils des soldats egyptiens leur sautaient a  la figure en 1948) est termine. Aujourd’hui, ce sont les peuples qui ont pris en main leurs destinees et leurs missiles peuvent toucher toutes les villes israeliennes. D’ai;lleurs depuis 1996, les Israeliens n’ont plus pu gagner une guerre. Ils peuvent faire mal, mais ne peuvent pas supporter le mal qu’on leur ferait. Ils emigreraient comme les chretiens d’Orient dont je fais partie.

    5 – Israel est maintenant un Etat d’apartheid qui ne pourra pas durer plus que l’Afrique du Sud, surtout que les populations americaines memes ne veulent plus l’appuyer (commentaires dans le NY TIMES), sans parler du retournement turc. Il y a un moment ou il faut savoir ramasser ses billes et faire la paix. Ce moment est venu pour Israel.

    6 – Les Arabes y sont prets et cela fera l’affaire de tous dont les Europeens et les Americains en butte a la montee en puissance des Chinois, des Indiens…

     

    10 juin 2010 à 20 h 22 min
  • chambon Répondre

    Roger AKL dit n’importe quoi.

    Il ne suffit pas se proclamer "palestinien" pour se croire descendant directs des philistins de jadis !

    Remplacer l’éthymologie par l’origine ethnique ne rime à rien, d’autant plus que le terme "palestine" créé par l’empereur hadrien en 70 est juste une volonté de "romaniser" les provinces juives de judée et samarie, en représailles des révoltes fréquentes que subissait l’autorité de Rome à l’époque.

    Le même empereur avait tenté de rebaptiser jerusalem en area capitolina, mais cela eu moins de succès…. Peut être qu’Arafat se serait révé issu du peuple capitolinien, pour le plus grand plaisir de Roger !!!

    Les philistins étaient de plus une tribu nomade, donc sans terre par définition, et les deux royaumes juifs d’Israel sont les seuls à laisser des vestiges archéologiques.

    Personne d’ailleurs ne peut citer (et ne connait ! ) le nom d’un chef palestinien crédible avant l’agent du KGB qu’était Arafat !

    N’oublions pas aussi deux éléments : cette terre a été une zone de va et vient de populations diverses en 2000  ( terre sans peuples pour peuples sans terres)), des ottomans, des chrétiens, et même des algériens (!) sont venus peupler cette zone entre le 19ème et le 20ème siècle !

    Jérusalem, n’est pas cité une seule fois dans le coran, encore une farce de la part des conquérants d’allah !

    Les juifs ont au moins le mérite d’affirmer clairement depuis 2000 ans, lors de la célébration de leur pâques : " l’an prochain à Jérusalem" ! ce qui est sans équivoque !

    Enfin n’oublions pas que le livre le plus sioniste demeure le coran !

    (Souvenez-vous) lorsque Moïse dit à son peuple : "O, mon peuple ! Rappelez-vous le bienfait d’Allah sur vous, lorsqu’Il a désigné parmi vous des prophètes. Et Il a fait de vous des rois. Et Il vous a donné ce qu’Il n’avait donné à nul autre aux mondes. 21. O, mon peuple ! Entrez dans la terre sainte qu’Allah vous prescrite. Et ne revenez point sur vos pas [en refusant de combattre] car vous retourneriez perdants. (sourate n°5.V, 20et21.

    Transmis aux barbus et aux journalistes nordiques en perdition, ou bien aux grands reporters en pantoufles qui nous gratifient de leurs """bonus""" !

    9 juin 2010 à 13 h 32 min
  • tatawi Répondre

    Les traitres sont les occidentaux qui donnent Israel au crocodile en espérant être mangé les derniers.

    L’Islam est en guerre sur toutes ses frontières, et Israel n’est que le labo expérimental qui nous avertit avec 20 ans d’avance de ce qui va nous tomber sur la gueule.

    Désormais, des bus ont sauté à Londres, des caillassages sont omniprésents en banlieue parisienne.

    On se foutait bien des israeliens lorsqu’ils ont expérimenté les caillassages en 91 lors de l’intifada I

    Retirez Israel, et dites moi si ces gentils barbus deviendront tous des démocrates, monsieur le SAS d’entrée pour islamistes !

    Demain, ce sera la remise en cause de la reconquista espagnole, et oui, des musulmans ont des territoires occupés jusqu’à Poitiers !!!

    9 juin 2010 à 11 h 52 min
  • GUS Répondre

     

         En fait, les Israéliens font le sale boulot à notre place. On devrait leur en etre reconnaissants…En plus, qui oserait leur rentrer dans le lard parmi les démocraties molles incapables de ramener le calme dans les banlieues. Qui ???

     

    9 juin 2010 à 11 h 40 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Le n’importe quoi et la désinformation…

    juste 2 exmples tirés d’une intervention d’un certain Akl

    Puis, ce fut le tour des Américains cherchant à diviser les Arabes pour avoir la haute main sur leur pétrole

    je voudrais qu’on m’explique ce qu’est la haute main sur le pétrole ; le payer moins cher ou l’avoir à l’oeil, c’est sûr qu’on devrait laisser les Arabes eux-mêmes exploiter leur pétrole avec les chameaux.

    C’est pour cela que les juifs du monde eux-mêmes devraient faire pression sur le gouvernement israélien pour qu’il accepte la main tendue des Arabes

    Notre ami ne nous précise pas la longueur de la lame du couteau tenu par la main tendue. C’est sûr le hamas tend la main…

    Conclusion : ce genre d’intervention justifie déjà la politique d’Israël !

    9 juin 2010 à 10 h 59 min
  • Gérard Pierre Répondre

    ISRAËL  A  RAISON !

     

    Mieux vaut rester vivant en faisant fi des gesticulations et des arguties du monde entier qu’être mort dans le « respect des diktats de l’ONU », ce « machin » de plus en plus envahi par les états islamiques dictatoriaux.

     

    Tout d’abord, « on » oublie curieusement de rappeler aux Bédouins récemment sédentarisés, se faisant appeler à tort ‘’palestiniens‘’, qu’il y a toujours eu un foyer Juif en Israël, que ce soit sous les Romains après la chute du Temple, sous les pèlerins Chrétiens, sous la domination ottomane et sous l’Empire britannique. (cas d’Hébron, l’une des quatre villes saintes du Judaïsme, pour ne citer que celui-là)

     

    En accédant enfin au statut d’état internationalement reconnu en mai 1948, Israël était en droit de goûter à une paix enfin retrouvée après deux mille ans d’errance et de persécutions.

     

    C’est une coalition armée comprenant l’Egypte, la Syrie, le Liban, la Transjordanie (état artificiellement créé par la Grande Bretagne en 1920) et l’Irak qui décida :

    1)      – de ne pas reconnaître les frontières d’Israël fixées par l’ONU,

    2)      – de demander aux populations arabes d’évacuer l’endroit,

    3)      – de déclarer la guerre totale à ce tout nouveau petit état.

     

    La coalition perdit, mais n’intégra jamais tout ou partie des populations arabes auxquelles elle avait demandé d’évacuer le territoire d’Israël. Leur « apatridité » fut simplement mise sur le compte d’Israël afin d’entretenir un foyer de mécontentement régulièrement activable.

     

    En 1956, c’est l’Egypte de Gamal Abdel Nasser qui se mit en tête de reconquérir la "Palestine". La France et la Grande Bretagne se découvrant des intérêts contrariés communs avec Israël décidèrent de faire alliance avec l’état Hébreu, alliance qui vola très vite en éclat sous la pression conjuguée (et contre nature) de l’URSS et des USA.

     

    C’EST Á CE MOMENT LÁ QUE L’ÉTAT D’ISRAËL COMPRIT QU’IL NE POUVAIT COMPTER QUE SUR LUI-MÊME.

     

    En 1967, lors de la guerre des six jours, face à la « ligue arabe » formée par le "quarteron diabolique" à savoir l’Egypte, la Jordanie, la Syrie et l’Irak, Israël pulvérisa littéralement leur machine de guerre. L’Egypte y perdit la bande de Gaza (qui n’était donc pas indépendante ! … remember) et le Sinaï. La Syrie en fut pour une partie du plateau du Golan et la Jordanie se vit confisquer par le vainqueur la Cisjordanie et Jérusalem Est.

     

    C’EST Á PARTIR DE CE MOMENT LÁ QUE L’ON COMMENÇA Á ENTENDRE PARLER DE PALESTINIENS ! …… qui n’étaient en réalité que des Jordaniens, c’est-à-dire des Bédouins récemment sédentarisés au regard de l’Histoire. On sait comment le roi Hussein de Jordanie régla le problème !

     

    Le nom de PALESTINE est en réalité un nom donné par les Romains à la terre d’Israël au IIème siècle de notre ère, donc après le troisième exode du peuple Juif, pour tenter d’effacer toute trace de Judaïté de l’endroit. Ils tirèrent arbitrairement ce nom des Philistins, ennemis jurés et séculaires des Juifs qui étaient les occupants d’alors de la bande de Gaza (Cf. le combat de David contre Goliath le Philistin). Les Romains voulurent même débaptiser Jérusalem, mais cela ne fonctionna pas.

     

    Il n’y a donc jamais eu dans l’Histoire de peuple palestinien, d’état palestinien, de nation palestinienne, de langue palestinienne, de culture et de traditions palestiniennes. Se dire aujourd’hui palestinien, descendant de Philistins, est aussi stupide que de se prétendre, en France, pur descendant de Gaulois.

     

    Ce qui est incohérent de surcroît dans l’attitude des usurpateurs de nationalité, c’est qu’ils exigent d’Israël qu’il retourne derrière des frontières qu’eux-mêmes se refusent à reconnaître. Le problème est inextricable car il est clair que la seule intention des populations hostiles à Israël est de les voir disparaître physiquement de l’endroit.

     

    Israël n’a donc pas d’autre choix que de continuer à faire fi des commentaires sans grand intérêt de la « communauté internationale », communauté qui serait bien avisée de se soucier plutôt de ce qui l’attend elle-même, comme en témoigne ce qu’annonce sans détour un « prophète » du nouvel ordre mondial ci-dessous :

    http://www.youtube.com/watch?v=2n1kv3sYLak&sns=em

     

    9 juin 2010 à 10 h 59 min
  • sas Répondre

    Quand je vois le mépris affiché vertement et officiellement pour le droit, le droit international et les résolutions de ONU censer lier les membres par contrats et autres signatures……..

    ……je me demande en sous mains et dans les coulisses jusqu où peuvent aller le chantage " a la guerre nucléaire" par exemple pour ceux qui l ont à l insue de leur plein gré et contre la volonté des grandes puissance mise devant le fait accompli…….et jusqu ou ils ont déjà été les uns et les autres….dans leurs abomminations.

    et là, j engoisse pour le sort de l humanité, qui me semble déjà scellé…

    Que des parjures, des traitres et des sauvages….

    sas

    9 juin 2010 à 0 h 33 min
  • AKl Roger Répondre
    Je crois qu’il faut mettre les choses dans leur contexte : ceux qui parlent religion pour être pour ou contre se trompent totalement. Ici, il est question de justice. La terre de Palestine, toute la Palestine appartenait et appartient toujours aux PALESTINIENS, qui sont les descendants des hébreux du temps des Romains et ont changé de religion depuis. Les Israéliens ont quitté leurs pays d’Europe et du monde et surtout les pays slavo-germaniques ou ils ont subi l’Holocauste. Cela ne veut pas dire qu’ils on le droit de maltraiter les habitants de Palestine et de leur prendre leur pays et leurs propriétés. Seulement, cela faisait l’affaire des Anglais qui avaient colonisé le pays, car, en y emmenant les restes des juifs d’Europe, ils y créaient une partition qui aurait aide à asseoir leur pouvoir sur ce malheureux pays. Puis, ce fut le tour des Américains cherchant à diviser les Arabes pour avoir la haute main sur leur pétrole. Avant cela, le terrorisme islamique n’existait pas et ne fut créé que lorsque les mouvements laïques arabes de libération ont échoué.
    Aujourd’hui, Israël existe et personne ne veut l’éliminer, même pas l’Iran. Les Arabes ont même fait un projet de paix totale, juste, à Beyrouth, en 2002, qu’Israël a refusé. Un Etat juif colonialiste et raciste comme est l’Etat d’Israël ne peut que faire du mal aux juifs du monde et au judaïsme car il montre de cette religion une image haïssable, inhumaine et contraire même à la religion juive. Il est même dangereux pour la population israélienne elle-même, car depuis 1996, des mouvements de libération sont apparus, surtout au Liban et vont faire tache d’huile, rendant la vie impossible a la population du petit Israël sans oublier que les peuples du monde entier, en particulier le peuple américain, commencent à en avoir marre d’appuyer un Etat qui ne tient aucun compte de leurs intérêts.
    C’est pour cela que les juifs du monde eux-mêmes devraient faire pression sur le gouvernement israélien pour qu’il accepte la main tendue des Arabes. C’est ce à quoi des journaux Israéliens comme Haaretz et Ydehot Aharonot ont appelé.
    Roger AKL

     

    8 juin 2010 à 21 h 57 min
  • Anonyme Répondre

    D’expérience je sais que nos média ne voient rien à redire du nationalisme en Israël mais  crient au nazisme chez nous. Israël a officieusement un arsenal atomique impressionnant ce qui lui permet toutes les libertés.En tant que celte(?) j’aimerais bien récupérer mes terres dans la vallée de la Tène.

    8 juin 2010 à 21 h 55 min
  • Anonyme Répondre

    Je ne vois pas tellement en quoi condamner l’ingérence des sionistes dans une région qui  ne leur appartenait pas et leurs exactions à l’encontre de civils, fussent-ils musulmans, est un acte de collaboration et d’allégence envers "la peste verte" (j’aime beaucoup l’expression soit dit en passant).

    Pour tout dire, je ne considére pas que le sionisme vaille mieux que l’islamisme. Bien au contraire ! Le simple que l’on puisse considérer l’Israel comme un allié et un état légitime, tant par son existence que par ses actes, est la preuve flagrante de la façon dont le sionisme à gangréné notre société (par l’intermédiaire notament du socialisme et autres courant de gauche).

    Je pense que s’il est primordiale de ne rien laisser passer aux "verts" (donc l’exact inverse de ce que nous faisons depuis des décennies), il est impératif de garder à l’oeil les agissements des sionistes qui, et se serait une erreur aussi grave que naïve que de croire le contraire, ne nous considèrent pas comme des alliés, des amis, mais comme de vulgaires outils (et encore…).

    Alors, puisqu’il faut que j’aille jusqu’au bout de ma pensée, la mort d’une fliquette française tuée dans l’exercice de ses fonctions me touche plus que la mort d’une dizaine de civils palestiniens dans un raid de l’armée israelienne, question de proximité. Mais, voyez vous, sans sensiblerie aucune, j’ai un peu de mal avec ce genre d’injustices que l’on condamne à longueur de journée lorsqu’il sagit des actions passée d’un certain parti à la fois nationale et socialiste… Pour être plus clair, nous n’avons pas à cautionner les crimes contre l’humanité. Non pas que j’aime particuliérement les peuples arabes, je pense surtout que chacun est bien mieux chez soi, mais je ne peux pas rester indifférent face à la misére humaine. La solidarité, quoi, parce qu’à leur place, j’aimerai sans doute bien un petit coup de pouce.

    Pour ce qui est de l’ONU, il faut être rationnel. Si l’institution périclite, ce n’est pas sans raison, car à force de faire des entorses pour tel ou tel pays qui se croit au-dessus des autres, nous ne pouvions arriver qu’à une organisation fantoche et sans aucune autorité… Mais imaginez un instant ce qui se passerait d’un point de vue purement diplomatique si l’ONU était dissoute. Plus de fermeté, voilà ce qui lui manque. Et effectivement, l’Israel nous montre l’exemple, même si ce n’est pas dans le bon sens. Mais une désunion internationale est la dernière chose dont nous avons besoin en ce moment. Plus de souveraineté pour chaque état avec une autonomie accrue et des frontières moins ouvertes, mais pas au détriment d’échanges commerciaux régulés, et diplomatiques accrus.

    Quand au pétrole, les puissances pétrolieres ne sont pas en cause de notre dépendance. Pour cela, il faut se tourner vers nos politiques qui freinent des deux pieds depuis des années (sous l’impulsion des industriels fournisseurs de havanes et de yachts…), aussi bien à gauche qu’à droite, pour empêcher l’essor des nouvelles sources d’énergies. Mais sur ce point, nous pouvons être rassuré, d’ici au moins une décennie, les ressources en pétrole seront taries et nous ne serons plus à la solde enturbannés, marchants d’or noir. C’est sans doute à ce moment qu’une organisation comme l’ONU se révélera utile pour tenter de maintenir un semblant de cohésion mondiale…

    Pour en finir avec l’Israel, "qui vit par l’épée, périra par l’épée". On ne peut pas chercher à l’égitimer la création de son état après en avoir détruit un autre, tout en se mettant à dos tous ses voisins. Les fameuses roquettes du Hezbollah qui ne firent qu’une poignée de morts, ne sont qu’un amuse gueule en comparaison de ce subira l’état sioniste en représaille des islamistes ! L’Israel devrait mettre de l’eau dans son vin pour avoir un semblant de paix, car si le peuple juif est fier, le peuple arabe l’est encore plus. Et ça nous en avons une démonstration quotidienne dans notre beau pays. Mais ceci est un autre débat…

    8 juin 2010 à 19 h 39 min
  • grepon Répondre

    Quoiqu’il est arrivee jusquici Nous avons un choix simple entre,

    d’un cote un etat moderne, dynamique, ouvert aux echanges internationale, multiculturelle, pluraliste, democratique, et libre qui valorise l’homme ET la femme, et qui est notre allie naturel

    ET

    de l’autre cote un non-etat de barbarisme, ignorance voulue, dependance, culture de mort, mysogynie, culte de la victimitude, maladie, faiblesse, et bestialite des ages sombres, plein a craque de gens pathetique qui nous veulent tous la mort.

    Les premiers sont arrive a leur etat actuel par la valorisation de la connaissance, du travail, de l’investissment, et la valorisation de la vie.

    Les derniers sont arivee a leur etat de pauvrete dans tout les domaines par leur dependance voulue et choisie sur autrui.   Nosu voyons les meme effets n’importe ou l’aide est offert gratuitement aux "laissees pour compte."     Les gagnants de ce monde sont ceux qui planifient comme si il n y a personne pour leur venir en aide.     Partout.    Les zones pleins de peuples detruites connus sous le nom de palestiniens ne sont qu’un exemple de plus de ce qui se plante partout ou il est applique.

    8 juin 2010 à 17 h 36 min
  • francis Répondre

    pauvre type qui n’a rien compris aux enjeux actuels, ou alors payé par on ne sait qui de la mouvance islamique

    8 juin 2010 à 14 h 02 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Les Corses resteront toujours les meilleurs amis des Israéliens !

    Aucun juif n’a jamais été déporté de Corse durant la 2 GM

    Je trouve que les israéliens font preuve d’une infinie patience avec les palestiniens. Comment peut-on réagir face à quelqu’un qui pose comme préambule à toute discussion, votre mort, au nom d’Allah ?

    Un palestinien m’expliquait qu’ils envoyaient des roquettes en l’air sur Israel sans aucune intention de tuer et que c’était Allah qui décidait ou non si elles devaient tuer – à la différence de ces "salauds" d’Israéliens qui eux visaient ! … Avec de tels raisonnement on se demande par quelle grâce les Israéliens peuvent encore supporter l’existence de ces ….

    Rappeler quand même qu’il y a toujours eu des ministres et des députés arabes musulmans en Israël…

    les Israéliens sont des gens intelligents, brillants, instruits et profondément démocrates. La plupart des nations qui les entourent devraient prendre exemple sur eux au lieu de les combattre !

    8 juin 2010 à 12 h 07 min
  • François Répondre

     " Encore une chose à propos de l’embargo, la situation entre l’Irak et Gaza n’est pas vraiment la même…"
     L’Irak était génocidaire et potentiellement dangereux, dites vous: Pour qui?
     Depuis que le Hamas a pris le contrôle de Gaza, il affiche clairement son objectif de "rayer Israël de la carte" selon ses propres dires. Ce n’est pas être génocidaire et potentiellement dangereux, ça?
     Mais vous n’avez pas tort, la situation n’est pas la même. Dans l’Irak de Sadam hussein, le pouvoir était laïc et toutes les religions étaient acceptées ( la preuve, son premier ministre était chrétien). Dans la bande de Gaza, le pouvoir est religieux et seul l’Islam a droit de citer, les autres étant tolérés avec des contraintes et des brimades voire des persécutions qui ne chagrinent pas nos "droitdel’hommistes" à l’émotion sélective…Et bien ,pour tout vous dire, je préfère de loin vivre dans une "dictature" type Irak de Sadam Hussein que dans la "démocratie" de Gaza!

    8 juin 2010 à 12 h 02 min
  • Gérard Répondre

    Je ne résiste pas au plaisir de vous faire part de  cette petite réflexion, d’un ami à qui je fais suivre de articles des 4V.

    On est face à une guerre de civilisations.

    Il faudra prendre parti un jour ou l’autre.

    Choisir entre les liens, choisir son avenir.

    Comme l’on fait les extrème-droites sous l’occupation.

    Certains de cette tendance ont refusé l’Allemagne chez eux  (ils ont été les premiers d’ailleurs et de Gaulle était plutôt royaliste en ces temps là.), d’autres de cette même tendance ont accepté la domination.

    Des "extrème-droite" se sont donc retrouvés de part et d’autre du front.

    Comme Brasillach et le colonel Rémi, par exemple, ou encore Daniel Cordier et Céline.

    Mais il y en a qui ont fait  LES  2  !!!    Mitterrand, par exemple.
    Bref, la guerre des civilisations est lancée depuis  toujours et après  Nabuchodonosor, Darius, Xerxès, Carthage, les Huns, les Goths, les Germains, (…), le péril brun, le péril rouge voici le péril vert.  Avec à chaque fois les partisans de la capitulation face à ceux de l’insoumission.

    Bientôt les Calmars d’Aldébaran et les robots de Véga III.

    Ca gonfle, à force.

    Tonton Pat.

     

     

    8 juin 2010 à 11 h 33 min
  • tatawi Répondre

    Bel article, on dirait que c’est  ATTAC qui a racheté les 4v !!!

    Ces auteurs nordiques sont véritablement pris de passions palestiniennes !

    Si Israël ne respecte pas les condamnations automatiques onusiennes, c’est déja parce que cet organisme corrompu et à la solde des monstrocraties arabo-musulmanes dispose de majorité automatiques anti-occidentales.

    L’Occident est aussi bien sur totalement otage des monarchies ^pétrolières arabes, il suffit de relire Eurabia pour s’en convaincre.

    La première des résolutions, si ma mémoire est bonne, date de 48, et aboutit à créer la légitimité d’Israel, le lendemain de sa proclamation, les armées aarbes coalisées attaquaient !

    Qui ne respecte pas la première des résolutions, par conséquent ?

    La légitimité, on peut en discuter, mais alors quid de la plupart des pays issus de l’ère post coloniale, qui ont tous des frontières factices, pourquoi Israel serait le seul illégitime ?

    8 juin 2010 à 11 h 12 min
  • LEBLANC Répondre

    Compte tenu du contexte et des mensonges dont nous sommes abreuvés, les israéliens ont raison d’agir comme ils le font. En agissant ainsi, ils se sauveront, eux, mais peut-être aussi la civilisation chrétienne qui a tellement besoin d’être réveillée! Tant de chrétiens, hélas! soutiennent les musulmans!
    Paulette Leblanc

    8 juin 2010 à 10 h 38 min
  • Gérard Répondre

    Marre de tous ces collabo-gaucho-détenteurs de la vérité, comme l’auteur de cet article !

     Israel est notre dernier rempart face à la peste verte. Si nous n’étions pas tous des dégénérés, nous réagirions comme eux, en n’obéissant pas aux consignes onusiennes, relayées par nos dirigeants vendus. Prenons exemple sur eux, sur les Corses, sur les dignes représentants de la race des hommes, capables de donner la mort, sans sadisme, pour préserver les siens, ses valeurs …

    8 juin 2010 à 0 h 02 min
  • Dguez Répondre

    Je n’ai jamais lu autant de mensonges condensé dans un petit texte ! Je ne crois pas qu’on puisse être aujourd’hui aussi ignorant , Monsieur vous êtes d’une mauvaise foi invraisemblable ! Un peu pervers aussi…

    7 juin 2010 à 22 h 53 min
  • rosanov Répondre

    Ils sont exactement comme les Arabes.  Ils ne comprennent que la force.

    7 juin 2010 à 20 h 20 min
  • Anonyme Répondre

    A Pieter KERSTENS et HOMERE –

    Certes, dans un sens, l’Israel à raison de défendre sa souveraineté. C’est une chose que nous devrions faire, et ce depuis des décennies.

    Cela dit. Il ne faut pas oublier certaines choses. Et notamment le fait que les sionistes étaient bien contents de trouver l’ONU et la communauté internationale pour répondre à leur jérémiades à la fin de la 2nd GM… Était-il vraiment légitime d’ailleurs d’expulser les palestiniens de leur terre comme des chiens ? Ils sont d’ailleurs toujours bien content d’appeler au secours les puissances occidentales quand leur fameuse souveraineté est mise à mal ou de nous trouver pour exporter leurs armes ou leurs oranges.

    Non, parce que, si on suit votre logique, autant oublier cet affaire, virer l’Israel de l’ONU et que ces cons se dermerdent entre eux ! Comme ça, quand l’Iran aura sa bombe (car elle l’aura) on en entendra plus parler et on pourra se liguer contre cet état terroriste qui menace la sécurité de l’Occident…

    Pourquoi devrions nous accepter un tel comportement d’Israel sachant que nous ne l’avons jamais fait avec d’autre pays ? Expliquez moi donc pourquoi ? Parce que les juifs ont soufferts ? Nous aurions dû alors être tout aussi indulgent avec l’URSS en son temps sachant qu’un bon paquet de communistes ont subit le même sort dans les camps ! De quel droit les israeliens aurait-ils plus de droits que les autres ?

    Quand on prend un engagement, on se doit de le respecter. Mais sans doute est-ce ce qui fait défaut aux sionistes: le respect d’autrui. Car c’est un peu facile de demander la comprehénsion des peuples, leur respect quand on les considaire et traite comme des animaux dénués d’intelligence ! S’il était choquant d’entendre Hitler et ses mignons se prendre pour une race supérieure, il est encore plus choquant de voir ceux qu’ils voulaient exterminer se conduire de la même manière !

    Et encore une chose à propos de l’embargo, la situation entre l’Irak et Gaza n’est pas vraiment la même dans la mesure où, d’un coté il y avait un régime dictatorial génocidaire et potentiellement dangereux et de l’autre, un peuple forcé de vivre en miséreux après avoir était expulsé de ses terres et concentré dans des camps insalubres en perdant tout ce qu’il avait bati de ses propres mains ! Non, pas que je verse dans la sensiblerie, mais ce qui m’indigne, c’est l’impunité avec laquelle ces crimes sont commis. L’injustice flagrante de la situation.

    7 juin 2010 à 18 h 32 min
  • sas Répondre

     

    LE DROIT ET LES LOIS ne concernent pas les d"escxendant du sinaï…….tpi en tête…..

    ….toutes ces lois ne servent qu à asservir rt dépouiller les goyim……EN S ASSURANT DE LEUR PASSIVITE…..si c’est pas une démonstration dites moi ce que c’est ????

    attaly le sioniste de service et en mission commandé l’ a récamment déclaré…..C EST MEME POUR CETTE RAISON PRECISE QUE CETTE JUSTICE INSTRUMENTALE ET INEVENTE POUR NOUS,NE NOUS SERT PAS,NOUS PREND A CONTREPIED EN PERMAMENCE ET SURTOUT NOUS RUINE ET NOUS PILLE METHODIQUEMENT….

     

    …..c’est un fait et cest conforme aux protocoles…

    sas

    7 juin 2010 à 13 h 26 min
  • HOMERE Répondre

    Ah oui Israël ? Eh bien quoi ? La Communauté Internationale des pleureuses impotents et impuissants pour faire stopper l’Iran en délire qui se bat les couilles de ses résolutions qui ne sont que des voeux dont on voit l’efficacité ? Les potentats sortants des limousines avec la ferme intention de montrer qui est le maître du monde bien pensant dans la maison de verre d’ou rien ne transparaît de décisions bidons.Israël nous montre le chemin de la pugnacité et du courage,qualités que nous n’avons pas su préserver dans nos pays décadents.Donneurs de leçons pathétiques alors que notre pays s’enfonce dans le magma des apports hétérogènes déclinogènes.

    Un peu de pudeur les lâches hypocrites jaloux que les valeurs qui furent les leurs soient aujourd’hui celles d’un petit Etat qui leur fait la nique…!

    7 juin 2010 à 12 h 33 min
  • Jean-Pierre Pagès-Schweitzer Répondre

    Et ils ont bien raison.

    jpps

    7 juin 2010 à 12 h 26 min
  • jg.scemla Répondre

    Avant d’écrire des articles, on se commence par sortir de l’hibernation prolongée
    dans laquelle on se trouve depuis des années.
     
    Cela éviterai à ce monsieur d’écrire des bêtises comme:

    "GAZA : 362 km2. Sur 76 km² vivent 7 500 colons (densité 100 habitants/km²). Mais 1,3 millions de palestiniens s’entassent sur les 286 km² restants (4 550 habitants/km²)."

    Les colons en question ont été évacués en 2005….

    7 juin 2010 à 12 h 01 min

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