Communiqué – Faire Barrage à Macron

Communiqué – Faire Barrage à Macron

Actuellement la France est très menacée par :

  • L’immigration massive
  • L’islamisation

Ce sont les questions majeures pour l’avenir de la France qui doivent conditionner notre vote.
Or, Macron est favorable à l’immigration et considère que l’Islam n’est pas un danger, fermant les yeux sur les crimes et les guerres des islamistes qui suivent « Au nom d’Allah », à la lettre, les prescriptions du Coran et l’exemple de Mahomet.
Macron affirme qu’il n’y a pas de culture française, d’art Français et, en Algérie, accuse la France d’avoir commis des crimes contre l’Humanité.
Macron a été le responsable de la politique économique de Francois Hollande qui a couté 600 milliards à la France.
Macron, c’est François Hollande, en pire.
Voter Macron c’est voter pour une immigration massive et l’islamisation de la France.
Si nous voulons préserver notre identité et l’avenir de nos descendants que nous ne voulons pas voir soumis à l’Islam, il faut impérativement faire barrage à Macron.

JL. Chaton
Président du CARED
Contact : [email protected]

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Comments (18)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    il semblerait que la rédaction des ” 4V² ” soit en train de nous mijoter une analyse spirituelle de ce premier tour ou bien qu’ elle attende l’ interprétation qu’ en donnera tel l’ augure l’ exilé depuis Las-Vegas

    25 avril 2017 à 7 h 48 min
  • Claude Roland Répondre

    Les Français sont en passe de démontrer, en élisant Macron, qu’ils sont le peuple le plus con, le plus lâche, et le plus amnésique du monde ! Ils ont déjà montré que le mot “culture” est déjà devenu un vain mot pour la grande majorité des Français. Mais là, on s’apprête à voir un record mondial, sauf miracle divin et grâce divine…

    24 avril 2017 à 20 h 27 min
  • Lapage Répondre

    ASSEZ, STOP aux élections présidentielles. En réalité, c’est ce régime présidentiel qui est devenu complètement obsolète et dépassé. En réalité, ces élections présidentielles sont beaucoup trop hystérique et conflictuelle. Il y a trop de règlements de comptes, d’agressions verbales et d’agressions physiques, beaucoup trop de passions, trop de haine, de moqueries, trop de politique spectacle et de manipulations médiatiques,de petits calculs d’intérêts personnels. Et cela se terminera par un vote ” pour faire barrage “? Tout cela devient absurde, il faudrait en revenir à un régime parlementaire représentatif de la population à la proportionnelle, tout simplement comme dans la plupart des pays d’Europe.

    STOP ou ENCORE ? En résumé, la France aura un Président non souhaité par 75% à 80 % des français, c’est dire si ce régime présidentiel est devenu profondément antidémocratique et injuste.

    24 avril 2017 à 20 h 15 min
  • Gérard Pierre Répondre

    France, ô ma France très belle ♪ ♫
    Pour Toi je ferai bataille ♫ ♪

    Ce refrain que nous chantions en marchant au pas lent, lorsque je servais chez les parachutistes, me revient souvent en mémoire.

    Au soir du 23 avril 2017, il me revint à nouveau, en boomerang, avec cette question lancinante :

    « France, ô ma France très belle, …… depuis quand as-tu entrepris ta descente aux Enfers, …… et jusqu’à quand vas-tu la poursuivre ? »

    Après un début de siècle où Tu livras Tes fils à un carnage sans précédent dans Ton Histoire, Tu connus deux décennies plus tard la honte de la défaite la plus cinglante. Tu monnayas Tes enfants, livrant même à l’ennemi ceux du Peuple que D.ieu s’était choisi.

    Sauvée par la volonté conjuguée de puissances étrangères, Tu n’as eu de cesse, une fois libérée, de renouer avec Tes vieux démons politiques. Entre temps, les déserteurs s’étaient transmutés en héros sans que Tu les rappelles à leurs crimes passés !

    En 1958, lassée des tribulations partisanes, Tu T’es jetée dans les bras d’un mystificateur, le prenant pour un homme providentiel. Il s’est parjuré, livrant sans défense à la vindicte criminelle les plus fidèles serviteurs de Ton Drapeau.

    Mai 1968, que le félon n’avait pas anticipé, a livré la rue à des jeunes gens gâtés, aux neurones inexpertes, aux idées inconsistantes et narcissiques. Aujourd’hui, leurs remugles empuantissent toujours les lieux où l’on décide comme les lieux où l’on informe !

    Un ancien de la banque Rothschild, lettré érudit, au passé sans relief particulier, succéda à celui qui s’était sculpté une statue de commandeur !

    C’était en 1969 ! … On descendait juste d’un petit cran !

    Un faux aristocrate, qui avait atteint son seuil d’incompétence en tant que grand argentier, prit la relève de son prédécesseur prématurément disparu ! …… Il eut la très mauvaise idée d’opérer ce qu’avec son premier ministre il qualifia de ‘’regroupement familial‘’ !

    C’était en 1974 ! … On descendit encore d’un bon cran !

    C’est alors qu’arriva, en mai 1981, un grand maître es prestidigitation avec son innombrable cohorte de courtisans ! …… Ce fut carrément une dégringolade qui se prolongea jusqu’en 1995 !

    On espéra, pendant quelque temps, remonter la pente ! …… Il n’en fut rien ! …… L’immobilisme dura douze années durant lesquelles les spécialistes du travail de sape creusaient en toute discrétion ! …… et l’on décida de la suspension du service militaire sans même recourir à une consultation nationale !

    À l’immobilisme bon enfant succéda une période animée par un petit gesticulateur nerveux, style Marsupilami, qui n’eut de cesse de poursuivre le travail de démolition déjà bien entamé de nos forces de l’ordre et de nos armées ! … Il parut surpris quand Tu lui signifias sa ‘’mise en congé‘’ définitive !

    Mais ce fut pour nous doter d’un ‘’notaire de province‘’ inculte et mou, un spécialiste de la politique du chien crevé dérivant au fil de l’eau ! …… Il fut tellement mauvais que même lui s’en aperçut ! …… Il n’osa pas se représenter devant Toi !

    Jusqu’au soir du 23 avril 2017, je pensais sincèrement que les deux derniers soutiers avaient suffisamment creusé pour Te redonner le goût du grand air !

    Au vu des résultats, j’ai compris qu’il n’en sera rien !

    France, ô ma France très belle
    Pour Toi je ne ferai pas bataille,
    L’envie m’en est passé !

    24 avril 2017 à 17 h 46 min
  • Hilarion Répondre

    A Quinctius Nous sommes le 24 Avril. La messe est dite. Les “débiles” qui ont voté indirectement contre Fillon, comme vous dites, en votant MLP ou NDPA ont de toutes façons, voté pour Macron puisque Fillon vaincu se prononce pour un vote Macron au second tour. Fillon a ainsi démontré qu’il est parti prenante à ce barbouillat dit républicain UMPLRS. J’étais plutôt septique quant à la candidature Fillon, non à cause des “affaires”, coups soigneusement montés, mais en raison de son allégeance sarkosienne en tant que premier ministre. Sa recommandation de vote Macron démontre sa duplicité et son mépris de l’avenir de la France. Elle tendrait aussi à démontrer que sa “droitisation” ne relevait d’aucune conviction, répétant, dix ans après la tactique électorale de Sarkozy pour ensuite perpétuer la politique gauchiste doctrine qui nous est servie depuis les années Mitterrand.

    24 avril 2017 à 17 h 03 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      la vérité c’ est, aussi, qu’ il n’ y avait pas de ” fillonistes ” chez les caciques des ” Républicains ” ! chez leurs électeur si, certainement même … tous sont donc ” coupables ” et leur ralliement à Macron, y compris celui de Fillon, leur fera , heureusement pour la … Morale démocratique ( défense de rire ) , perdre quantité de sièges à l’ A.N. en Juin … vous avez à faire à une ” droite ” molle , bien-pensante et veule comme …. Baroin

      un regret cependant, le ” projet de gouvernement ” de Fillon était de loin le plus abouti avec celui, à l’ opposé, de … D.L.F.

      moralité : … un parti créé par et pour Chirac ne peut être qu’ un parti de traîtres … à dégager !

      24 avril 2017 à 19 h 17 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      si j’ ai bien suivi ( même de très loin ) les ” nouvelles ” en provenance des ” Républicains ” il semblerait que deux lignes s’ affrontent … déjà : celle de Wauquiez et celle de Baroin, les deux caciques que Sarkozy vient de désigner pour être les ” rénovateurs ” du Parti … c’ est bien parti … tant mieux

      24 avril 2017 à 20 h 48 min
  • Le Ket Répondre

    Et si vous ne voulez pas de MACRON le 7 mai, alors votez pour Marine LE PEN !

    24 avril 2017 à 13 h 29 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      60 v/s 40 voilà quel sera grosso modo le rapport

      24 avril 2017 à 19 h 18 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    François Fillon sera le bouc émissaire désigné, et idéal, chez L.R. , alors qu’ ils sont TOUS à dégager et fissa , je veux dire par là … dès les législatives y compris les quinquas ( sauf peut être LeMaire ) … nous avons le besoin urgent d’ un Parti Conservateur à la britannique c. à d. à la fois moderne et … populaire, pas d’ un parti bonapartiste et … balzacien

    24 avril 2017 à 9 h 49 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    le barrage, comme tous les barrages lorsqu’ ils sont d’ un ” autre âge “, a fini par céder ; la responsabilité en revient d’ abord aux ” professionnels ” qui n’ ont pas su l’ entretenir : … les responsables de L.R. et du Centre qui comme Barouin ou Jacob appellent à voter pour … Macron … l’ UMPS n’est toujours pas morte … souvenons nous en aux législatives : sortez les sortants et que Fillon ait la dignité britannique après son échec de quitter la vie politique avec les ” autres ” … que jamais plus on ne les revoit … Sarkozy compris

    23 avril 2017 à 21 h 01 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    cela ne s’ invente pas

    le conseiller en Economie de Jean-Luc Chavez y Maduro y Castro se nomme : … Jacques Généreux

    après l’ élection on verra vraisemblablement les classe ” défavorisées ” de Trappes et d’ ailleurs déferler sur Paris pour piller comme à Caracas

    22 avril 2017 à 14 h 00 min
  • Gérard Pierre Répondre

    Afin d’apporter ma pierre à la participation au barrage contre la macronerie, je livre aux lecteurs des « 4 Vérités » l’excellente synthèse ci-après :

    [AU SECOURS ! LA CHIRAQUIE REVIENT ! (L’étrange béguin des Chiraquiens pour Macron – A lire avant de voter ce dimanche !)
    Emmanuel Macron aime à dire qu’il bénéficie de soutiens de gauche, du centre, comme de droite. Ce n’est pas faux, même si ce n’est pas dans la même proportion : la très grande majorité de ses soutiens, comme des électeurs qui se prononceront pour lui dimanche prochain, vient d’un centre-gauche gestionnaire et responsable.

    Reste que les soutiens à la « macronie » venus de la droite existent bel et bien. Ces soutiens, cependant, sont loin d’être issus uniformément des différentes écoles qui composent la droite française. L’immense majorité d’entre eux vient d’un seul cercle : celui qui entourait l’ancien Président Jacques Chirac, chef de l’Etat entre 1995 et 2007, que l’âge et la maladie empêchent désormais de participer au débat politique.

    Plusieurs de ces soutiens sont explicites et officiels. Jean-Paul Delevoye, ancien ministre de la Fonction Publique de Chirac, est chargé de la sélection des futurs candidats du parti macroniste aux législatives de juin prochain. Un ancien ministre des Affaires Etrangères de Chirac, Philippe Douste-Blazy, et un ancien ministre de l’Economie, Jean Arthuis, se sont également prononcés pour le candidat du « ni droite ni gauche ». D’autres anciens ministres macronisés incluent Jean-Jacques Aillagon, Anne-Marie Idrac, Dominique Perben et Noëlle Lenoir.

    En plus de ces ralliements ministériels, d’autres membres du cercle de proches de l’ancien président se sont engagés pour le jeune candidat. C’est le cas dans sa famille ; son petit-fils, Martin Chirac, a rejoint le parti macroniste. Sa fille, Claude Chirac, et son gendre, Frédéric Salat-Baroux, n’ont pas franchi le pas, mais ne cachent pas, dans les dîners en ville, le bien qu’ils pensent de l’impétrant. La famille de l’ancien maire de Paris, Jacques Tibéri, qui avait succédé à Chirac avec sa bénédiction à la mairie de la capitale, s’est elle aussi macronifiée.

    Plus ambiguë est la position de deux anciens Premiers ministres de Chirac, Alain Juppé et Dominique de Villepin. Le premier, après avoir perdu contre François Fillon lors des primaires de la droite et du centre, a officiellement annoncé, après s’être fait prier, qu’il soutiendrait le candidat de son propre camp. Mais il multiplie les migraines de diva quand il s’agit de venir prouver ce soutien sur le terrain ou devant les caméras, et les mises en garde ronchonnent quand on lui en parle.

    Après avoir parlé des militants de son propre parti, soutiens de son propre candidat, comme d’un « noyau radicalisé » de militants (une expression généralement réservée aux soutiens de l’Etat islamique), Juppé, avant-hier, a déclaré qu’il se « retrouverait dans l’opposition » si un Président Fillon faisait entrer au gouvernement des représentants de la droite catholique conservatrice. Comme par exemple Christine Boutin, qui fut déjà ministre du Logement pendant deux ans, entre 2007 et 2009, sans que la France subisse exactement les affres d’une terreur blanche.

    Quant à Villepin, Premier ministre de Chirac entre 2004 et 2007, sa politique semble être de tout faire pour indiquer son soutien à Macron, sauf de l’annoncer explicitement. Les deux hommes se déclarent réciproquement leur amitié à l’antenne, dans l’intimité de quelques millions d’auditeurs.

    Lundi dernier, BFM (surnommée « radio Macron » pour son engagement constant et caricatural en faveur du candidat) a suggéré que Villepin ferait un bon Premier ministre pour un Président Macron. Et Macron n’a pas dit le contraire.

    Ce ralliement massif, qu’il soit explicite ou implicite, de chiraquiens à Macron est-il l’indice d’une orientation idéologique particulière du candidat ? Probablement pas – ne serait-ce que parce qu’Emmanuel Macron, tout occupé qu’il est à mettre sa personne au centre de l’image, n’accorde pas la moindre importance à la cohérence idéologique. Il a annoncé successivement que la colonisation avait été un crime contre l’humanité, et qu’il fallait en assumer les aspects positifs. Qu’il n’y a pas de culture française et que la France ne serait jamais, sous son principat, un pays multiculturel. Que les opposants au mariage pour tous ont été injustement humiliés par le Président Hollande, et que l’idée même de donner à l’un d’entre eux un secrétariat d’Etat au Sport est le signe d’une insupportable radicalité. Qu’il renvoyait un de ses correspondants départementaux convaincu de sympathie islamiste, puis qu’il ne le renvoyait pas, puis qu’il l’écartait, ce qui, semble-t-il, est très différent et revient exactement au même, selon la personne à qui on s’adresse.

    Mais si Macron n’a aucune cohérence idéologique, aucune colonne vertébrale mentale, les chiraquiens, eux, en ont une. Leur entrée en masse dans les équipes Macron, avec la chasse aux postes qui en résulterait nécessairement s’il était élu, fera revenir au pouvoir des réflexes et des raisonnements caractéristiques de toute cette école de la droite française.

    Tout d’abord, les chiraquiens – à l’exemple de leur maître, lorsqu’il était encore lucide – sont des partisans résolus du multiculturalisme. S’il y a une chose sur laquelle Jacques Chirac n’a jamais varié, c’est sur l’idée que toutes les cultures se valent, que toutes doivent être également respectées, et que seule une arrogance raciste peut conduire les Occidentaux à préférer leur propre culture à celle des autres.

    Dans une déclaration restée fameuse, parce qu’aussi fausse en fait qu’elle était psychologiquement révélatrice, le président Chirac avait affirmé en 2003 à un homme politique catholique, Philippe de Villiers, que « les racines de l’Europe sont autant musulmanes que chrétiennes ». Au nom de cette vision fantasmatique de l’histoire, la France de Chirac avait bloqué la tentative d’autres pays européens de faire figurer dans le préambule du projet de Constitution européenne une référence à ces « racines chrétiennes », historiquement exactes mais politiquement déplacées.

    Multiculturalistes de principe, les chiraquiens ont aussi une attitude, disons, sans sévérité excessive en matière de morale financière. Là encore, l’exemple vient du sommet. L’ancien président vit, depuis qu’il a quitté l’Elysée, dans un appartement parisien appartenant à l’actuel Premier ministre libanais Saad Hariri, qui le met gratuitement à sa disposition. De nombreux témoins, à Paris, rapportent en confidence que cette dépendance financière personnelle envers des intérêts étrangers était déjà en place lorsque Jacques Chirac et le père de Saad, Rafic Hariri, étaient tous deux aux affaires.

    Si cela est exact, cela signifie que la politique extérieure de la France a été définie en fonction de paiements personnels d’un dirigeant à l’autre. On ne peut que constater, qu’au Moyen-Orient, la politique française sous Chirac a suivi les virages des intérêts de la famille Hariri : fortement pro-syrienne jusqu’à 2004, puis en première ligne contre la république baathiste après la rupture entre Bachar Assad et Rafiq Hariri la même année et l’assassinat du second sur l’ordre du premier en 2005.

    Les bonnes habitudes ne se perdant pas si facilement, Dominique de Villepin, depuis qu’il a pris sa retraite de la politique, vit une existence de millionnaire grâce à des missions d’avocat et de conseil. Parmi ses clients les plus généreux figure, en première place, l’Emirat du Qatar. On ne peut pas exclure que si Villepin, comme la macronie le laisse désormais entendre, devenait le Premier ministre ou le ministre des Affaires Etrangères d’un jeune président sans expérience internationale, les intérêts géopolitiques de ses bienveillants parrains auraient au moins autant d’influence sur son action que ceux de la France.

    Enfin, le mélange de multiculturalisme de principe et de vénalité à la bonne franquette des chiraquiens les conduit presque tous à ne pas avoir une vision particulièrement favorable de l’Etat d’Israël en particulier et des Juifs en général. Jacques Chirac a une rue à son nom à Ramallah – un hommage généralement réservé aux dictateurs sunnites ou aux auteurs d’attentats suicide. Une de nos sources régulières à Paris, qui travaillait alors à l’Elysée, a personnellement entendu Villepin, pendant la deuxième Intifada, expliquer – tout en regrettant les assassinats suicide – que ceux-ci étaient inévitables car « le Moyen-Orient a toujours rejeté les éléments étrangers ».

    En parfait accord avec cette vision fantasmagorique de l’histoire, la présidence de Chirac, surtout lorsque Villepin était son Premier ministre, a caractérisé le point le plus bas de toute l’histoire des relations franco-israéliennes. La France a condamné en 2002 l’opération Rempart – la vaste opération de sécurisation des territoires palestiniens qui a permis de mettre fin à la seconde Intifada. Elle a condamné l’attaque du Hezbollah par Israël en 2006, considérant sans doute que la violation de la frontière par le Hezb et l’assassinat spontané de huit soldats en territoire israélien constituaient un fait sans importance. Chirac s’était même permis, dans un premier temps, de critiquer le retrait de Gaza en 2005 pour son « unilatéralisme », avant de changer d’avis et de féliciter Sharon.
    En France même, si les chiraquiens ont toujours maintenu un soutien sans faille des forces de l’ordre à la protection physique de la communauté juive, la période Chirac a été marquée par une intimidation intellectuelle systématique des pro-israéliens. C’est l’époque où la télévision d’Etat passait en boucle et à répétition des images falsifiées de « cruauté israélienne » dans les territoires, refusait de donner la moindre voix aux sceptiques, et présentait trois fois par jour la cause palestinienne comme l’accomplissement de la moralité universelle.

    S’il reste aujourd’hui des nostalgiques de cette époque, il y a pour eux une bonne nouvelle : presque tous ceux qui étaient aux commandes, en politique comme dans la presse, sont encore vaillants et prêts à reprendre du service. Et tous, en masse, se sont ralliés à la candidature Macron – un candidat trop profondément ignorant de ces questions pour pouvoir contrer leur influence s’il était élu. Il appartiendra à tous les Français d’en tenir compte, dimanche, dans la solitude solennelle de l’isoloir.

    AMRAM CASTELLION.
    METULLAH PRESS AGENCY]

    21 avril 2017 à 12 h 00 min
  • Le Ket Répondre

    ” MACRON, c’est François Hollande en pire”.
    Et FILLON, c’est Nicolas Sarkozy en bien pire”.
    Ni Fillon, ni Macron : Marine présidente !

    21 avril 2017 à 10 h 47 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      les imbéciles qui voteront, indirectement contre Fillon, en votant pour M. Le P. , N. D.-A.etc … porteront la responsabilité d’ avoir fait accéder au pouvoir Obama-Macron

      21 avril 2017 à 13 h 42 min
      • ernewein Répondre

        les imbéciles qui voteront, indirectement contre M. le Pen, en votant pour Fillon etc … porteront la responsabilité d’ avoir fait accéder au pouvoir Obama-Macron (Renvoi du berger à la bergère)

        21 avril 2017 à 15 h 06 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          alors disons : ” les débiles mentaux et autres malvoyants qui voteront M Le P etc ” … pour différencier les uns des autres puisqu’ il faut être aveugle et sacrément ” réduit ” pour ne pas voir que M. Le P ne sera jamais élue au second tour

          21 avril 2017 à 20 h 15 min
          • Gérard Pierre

            Avis totalement partagé !

            Que les ”rosières” se pincent éventuellement le nez en entrant dans le solennel isoloir et fassent œuvre de bon sens ! …… en faisant fi de leurs prurits ”court-termistes” !

            21 avril 2017 à 22 h 20 min

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