La France qu’on abat…

La France qu’on abat…

En quittant la France voici quelques semaines, je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir les larmes aux yeux.

Je savais que je reviendrais. Je savais que je prendrais peut-être un jour le chemin du retour. Néanmoins, je tournais une page.
Pour les mois, et sans doute pour les années à venir, chez moi, ce serait ailleurs.

J’ai pensé à mes parents, récemment disparus dans les tourments du grand âge. J’ai pensé à ma jeunesse, aux lieux où j’ai grandi et où je suis devenu adulte.

Et puis, j’ai regardé autour de moi, et j’ai compris une fois encore pourquoi j’avais choisi de m’en aller.

J’ai connu une France des grandes routes ouvertes et de la liberté, une France où les villes étaient encore des villes, où les perspectives n’étaient pas raturées, grillagées, et où les déplacements n’étaient pas asphy­xiés.

J’ai connu une France où je pouvais sortir le soir, garer ma voiture pour aller au spectacle ou au restaurant sans me demander si je ne serais pas confronté à des embouteillages inextricables et façonnés tout exprès pour pourrir la vie des automobilistes.

J’ai connu une France où les avenues étaient encore des avenues, et non des impasses couvertes de béton. J’ai connu une France où les églises n’étaient pas vides et parfois remplacées par des mosquées. J’ai connu une France où les femmes étaient libres, égales des hommes et où des fantômes noirs n’étaient pas les rues.

J’ai connu une France où il y avait, parfois, des voleurs, des assassins, mais pas de zones de non-droit où la police ne pénètre plus. J’ai connu une France où le mot république signifiait encore quelque chose et où il n’y avait pas de « territoires perdus de la république ».

J’ai connu une France où l’humour pouvait être irrévérencieux et où se moquer de la religion n’impliquait pas convocation devant les tribunaux et condamnation à des amendes écrasantes.

J’ai connu une France où les débats pouvaient être acerbes, mais où ils étaient pluralistes et pas du tout engoncés dans une langue de bois devenue obligatoire.

J’ai connu une France où il y avait certes des émeutes, en 1968 par exemple, mais pas l’acharnement sauvage et résolument prédateur qu’on a pu con­stater ces derniers temps.

J’ai connu une France où le summum du terrorisme était l’assassinat d’un militaire d’une balle dans la tête (ce qui est déjà effroyable) et pas (ce qui est plus effroyable encore) un massacre de masse commis dans une salle de spectacle, pas non plus (ce qui laisse sans voix) l’assassinat d’enfants dans une cour d’école.

La France que j’ai connue n’existe plus, sinon par bribes, par fragments.
Le politiquement correct est devenu si pesant et si omniprésent que c’est à peine si on peut encore dire ce que je viens de dire.

Dans la France que j’ai connue, les gens étaient souvent moins riches qu’aujourd’hui, mais ils semblaient plus heureux. Les gens que je croise aujourd’hui sont souvent tristes, stressés, ce que je comprends.

La France que j’ai connue a été abattue, broyée.

La population subit, se résigne, trouve parfois logique ce qui lui arrive, tant le lavage de cerveau est à l’œuvre. Je suis l’un de ceux qui sont partis pour ne pas subir et ne pas me résigner. Je suis parti pour respirer, garder une part de liberté qu’en France, on m’a volée et qu’on vole à des millions de gens. Je sais que nombre de gens ne peuvent pas partir, en raison d’attaches familiales, ou faute de moyens pour le faire. J’ai le cœur serré en pensant à eux.

Je sais aussi que nombre de gens ont décidé de se battre en France. Je les comprends. Je me suis longtemps battu comme eux. J’ai, je dois le dire, perdu une part d’espoir. Je veux encore espérer un redressement de la France. Pour l’heure, je ne vois rien venir et je constate surtout la ruine et la destruction qui montent comme une marée irrépressible. Et le triste spectacle donné par la France ces derniers mois, entre grèves et émeutes, saccages et agressions de policiers, meurtres commis au nom d’Allah et destruction de commerces, blocages de raffineries et attaques contre un hôpital où sont soignés des enfants mala­des, n’a strictement rien arrangé, bien au contraire.

Partager cette publication

Comments (14)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” la France qu’ on abat ” ( sic )

    vous vouliez sans doute parler de ce colosse aux pieds d’ argile qu’ est l’ Etat

    mais à y regarder de plus près , citez moi un seul parti qui , en France, ne soit ni jacobin, ni colbertiste ( et là je minore encore le risque ! )

    12 juillet 2016 à 14 h 26 min
  • druant philippe Répondre

    QC :

    il n’ y a plus de capitaine de la modération sur le radeau des 4v.
    S’ il y en avait un , il serait viré sans autre forme de procès .
    Cela fait presque 10 ans qu’ il sévit sur ce site : je pense qu’ il a une araignée dans le plafond ou comme on dit maintenant , il n’ a plus la lumière à tous les étages .

    22 juin 2016 à 11 h 48 min
  • Laudance Répondre

    Vous êtes loin d’être seul Guy Millière. Moi aussi, même quand je suis en Belgique, mon pays d’origine, mon chez moi est définitivement ailleurs, loin de cette Union européenne de malheur que, dans les années soixante, j’appelais pourtant de tous mes voeux.

    Mais l’Europe a tellement changé, pour se transformer en une sorte d’union antidémocratique, omnipotente et bureaucratique, que d’Européen convaincu je suis devenu eurosceptique et maintenant partisan de l’exit général bien au-delà du Brexit. en particulier.

    Quant à la France qui fut longtemps ma seconde patrie, elle me fait désormais pitié. La faute à qui ? Non seulement aux politiciens de vraie gauche ou de fausse droite qui, depuis des décennies, entretiennent leurs seuls intérêts, sa soumission et son déclin, mais aussi à ceux qui n’ont cessé de les élire et réélire par confort, paresse, égoïsme ou idéologie.

    Aujourd’hui, ces derniers ne font donc que récolter ce qu’ils ont semé et qui demain fera d’eux des dhimmis. En attendant l’appel du muezzin, ils vivotent en Hollandie, ancien grand pays devenu république bananière aux mains d’alliés en circonstance, en l’occurrence l’islam radical et l’extrême gauche, deux mouvances totalitaires, l’une nostalgique du califat et l’autre du goulag.

    22 juin 2016 à 9 h 33 min
    • Jaures Répondre

      Il est vrai que l’Europe d’avant l’Union Européenne ça fonctionnait beaucoup mieux !
      Ca n’a d’ailleurs laissé que des bons souvenirs que nous commémorons régulièrement…

      22 juin 2016 à 9 h 45 min
      • Jacky Social Répondre

        @Jaures: Merci l’OTAN et uniquement l’OTAN qui garantit securite et stabilite sans lesquelles la CEE n’aurait pas ete possible. La CEE n’est venue qu’en 1958 (ok, 1952 si l’on considere la CECA, un traite bissectoriel mineur, sans jeu de mots), mais s’est renforcee grace a l’Acte Uniqye de 1986 sans oublier le foireux Traite de Maastricht de 1992, aussi connu sous le nom de Traite de l’Union Europeenne. L’OTAN existe depuis 1949, ce qui est beaucoup plus long comme presence sur le terrain. Comme d’habitude, votre parti pris et votre mauvaise foi vous ridiculisent.

        12 juillet 2016 à 14 h 47 min
    • maury Répondre

      Désordre partout, responsabilité nulle part?
      Attentats, casseurs, hooligans…

      Thierry Lentz
      est historien spécialiste du Consulat et du Premier Empire, et auteur de nombreux livres sur ces périodes. Il est également directeur de la fondation Napoléon.

      Publié le 22 juin 2016 / Politique

      Mots-clés : Bernard Cazeneuve, Euro 2016, loi travail, Magnanville, Nuit debout

      Bernard Cazeneuve, Manuel Valls et François Hollande lors des obsèques de Jean-Baptiste Salvaing et Jessica Schneider, les deux policiers assassinés à Magnanville (Photo : SIPA.00760758_000001)

      Pas besoin d’aller chercher bien loin les fameuses « valeurs de la République » : elles sont tout entières (et pas ailleurs) dans nos textes fondamentaux, la Constitution et les déclarations des droits. Les termes de l’article 15 de celle de 1789, dont on ne me dira pas qu’elle peut être prise à la légère, sont clairs : « La Société a le droit de demander compte à tout Agent public de son administration ». Cette disposition s’applique donc au ministre de l’Intérieur et aux préfets sur lesquels il exerce son autorité hiérarchique.

      Jusqu’ici, en conséquence des nombreux malheurs qui nous assaillent, le ministre et ses hommes ont échappé à toute mise en cause au nom de l’équation qu’ils ont tricoté : qui critique notre politique critique la police et se met de lui-même hors-jeu. Et, de fait, au nom d’un consensus frileux et de « l’union nationale », peu de comptes leur ont demandés. Et gare à ceux qui estiment que les catastrophes de Charlie Hebdo, de l’Hyper Cacher et du 13 novembre n’étaient pas exclusivement dues à la baraka des pieds-nickelés massacreurs. On est même priés de voir dans la mort des trois policiers de janvier 2015, dans les assauts réussis des unités d’élite et la courageuse initiative d’un commissaire et de son chauffeur au Bataclan les preuves d’une sorte de réussite (un brin tardive cependant) de ceux qui sont en charge au plus haut niveau de l’Etat de notre sécurité.

      Dans cette logique, questionner s’apparente à une « manœuvre politicienne » (car M. Cazeneuve, lui, ne fait pas de politique). Donc, par exemple : défense de demander pourquoi les menaces sur Charlie ou le Bataclan n’avaient pas été davantage prises au sérieux, pourquoi la patrouille Vigipirate en faction près du Bataclan le 13 novembre n’est pas intervenue (cette information glace le sang) ou encore s’il y a eu des rivalités entre les différentes équipes d’intervention le soir de la tuerie de novembre et quelles en furent les conséquences. Que le pays se le tienne pour dit : il a la chance d’être entre les mains de ces hommes-là, à savoir un ministre à sang-froid, un président qui sait ce qu’il fait et un Premier ministre combatif. Voici tout le monde, ancien juge antiterroriste, experts en terrorisme, journalistes spécialisés, syndicats de police et citoyens, renvoyé au sens de la « responsabilité ».

      La responsabilité, parlons-en. Elle est justement l’objet de l’article 15 de la Grande Déclaration de 1789 qui autorise et même oblige à se demander, après une telle accumulation d’échecs et de vies brisées, si la police – au sens générique du terme – est bien faite dans notre pays et si son bras armé est bien commandé.
      Une exigence démocratique

      Dans cet exigence démocratique (tiens, voilà que « leurs » mots ont une utilité), le préfet de police de Paris mérite une mention spéciale. Il avait déjà démontré son savoir-faire lors des graves incidents du Trocadéro en mai 2013 : le quartier avait été dévasté sans que les coupables soient dérangés par un insuffisant service d’ordre. A l’époque, la question de sa responsabilité n’avait pas été soulevée. Pas plus que son ministre, il n’a non plus envisagé de démissionner après le 13 novembre, quitte d’ailleurs à ce qu’on refuse sa démission, comme cela s’est passé en Belgique après les attentats de Bruxelles. Est arrivé le printemps 2016 : dégradations quotidiennes de Nuit debout, casseurs en liberté dans Paris, installations de camps de clandestins sous les voies du métro aérien, bagarres à Stalingrad et ailleurs, etc. Chaque incident a été suivi d’une conférence de presse où il a été affirmé que tout le monde avait tout prévu et que tout avait été bien fait. Et au passage, on n’a bien sûr pas oublié d’ouvrir une enquête sur chaque baffe abusive d’un policier. Il est loin le temps où le préfet de Police de Paris était craint et parfois même détesté. Il est devenu aujourd’hui le gentil organisateur du désordre contenu, avec le soutien inébranlable de son supérieur hiérarchique, le ministre de l’Intérieur.

      Le pire est qu’il fait des émules. A Marseille, les autorités en charge de la sécurité des personnes et des biens se sont montrées incapables, avec des effectifs supérieurs, de contenir les agissements – sur moins d’un km2 – de 600 à 800 hooligans (provoqués au départ par les jeunes désœuvrés des quartiers nord, on ne l’a pas assez dit) ou le préfet des Alpes-Maritimes incapable d’empêcher que les supporteurs de l’OGC Nice viennent faire le coup de poing contre des Irlandais avinés mais pacifiques. Que croyez-vous qu’il se passa après ces fiascos ? Tout simplement rien. Le maire de Marseille a même eu le culot de déclarer que le dispositif mis en place le jour des incidents était « parfaitement organisé ». Quant au commissaire en charge du hooliganisme au niveau national, il a sans rire rejeté « tout constat d’échec », nous révélant au passage « qu’un problème de suralcoolisation entraîne, in fine, un phénomène de violences » (sans blague ?). Et que nous dit-on lorsque les fastidieuses fouilles à l’entrée des stades ne permettent pas de saisir les fumigènes et même les bombes agricoles ? Que c’est de la faute de l’UEFA, en charge de la sécurité dans les stades. Sauf qu’avant d’entrer dans les stades, comme disait l’autre, on est dehors, là où les responsables de l’Etat sont responsables de tout.

      Il est temps de mettre fin au consensus et de parler clair. Qu’il s’agisse des attentats, des meurtres isolés, de l’organisation de l’Euro, des casseurs ou des zadistes, la défense de l’ordre public et de la sécurité des citoyens est en échec sans que les « agents » à qui la nation confie ces tâches acceptent ne serait-ce que l’idée de rendre compte de leur travail. Il est temps que le Parlement, la presse et tous ceux qui pensent que la liberté ne va pas sans l’ordre s’ébrouent, jouent leur rôle et exigent que les responsables de ce gâchis assument leurs… responsabilités.

      22 juin 2016 à 19 h 58 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        Vous demandez beaucoup ( trop ) de choses à des gens qui n’ en peuvent mais !

        Vous leur demandez qui plus est de respecter la Loi Constitutionnelle : nous ne sommes pas aux U.S.A. où là aussi la Constitution a été bafouée lors de la création de la Banque ( dite ) de Réserve Fédérale

        22 juin 2016 à 21 h 36 min
  • vozuti Répondre

    La france est désormais surpeuplée et la nouvelle population qui a été greffée est le plus souvent hostile.
    De plus,après des années de propagande maçonnique,nos dirigeants ne prennent même plus la peine de masquer leur caractère tyrannique, la télé française ressemble à celle de l’ex URSS,avec son matraquage idéologique dénué de finesse. Et comme l’ex URSS des années 80,la france est probablement proche de l’effondrement économique.
    La meilleur solution est certainement l’exil.

    21 juin 2016 à 23 h 37 min
  • DE SOYER Répondre

    Millière ne peut pas piffrer Jaurès et il s’en va. Qoui de plus normal?

    21 juin 2016 à 14 h 43 min
  • druant philippe Répondre

    “Le départ de Millière s’éternise. Cela devient les adieux à la scène des « Compagnons de la chanson ».”

    Mais malheureusement celui de Jaures , le morpion du site des 4v n’ est pas à l’ ordre du jour ; mais je peux dire qu’ il nous réjouirait beaucoup au contraire de celui de GM qui , bien qu’ en contradiction avec mes opinions malthusiennes , est un homme intéressant et honnête malgré ses erreurs de jugement .
    GM me semble réellement désolé de voir ce pays partir en vrille tandis que le gauchiste Jaures n’ en a cure .

    21 juin 2016 à 12 h 10 min
  • Jaures Répondre

    Le départ de Millière s’éternise. Cela devient les adieux à la scène des “Compagnons de la chanson”.
    Il n’y a pas de quoi larmoyer. Si l’on se sent plus à l’aise dans un autre pays, chacun est libre.Après tout, il y a plus de 100 000 Américains qui vivent en France.

    Que Millière regrette sa jeunesse et l’idéalise est un lieu commun. De tout temps les anciens ont proclamé que “c’était mieux avant”, que le niveau baisse, que les mentalités se dégradent, qu’il n’y a plus de saisons,… Tout cela n’a rien que d’ordinaire.

    Ce qui ne manque pas d’étonner tout de même est moins ce qui motive le départ de Millière que l’endroit où il espère échapper à ce qui le pousse à l’exil.
    Les embouteillages ? Si Paris est la 6ème ville la plus embouteillée du monde, Los Angeles est 3ème (derrière Bruxelles et Anvers).
    Les mosquées ? Il y en a plus de 1000 aux Etats-Unis pour moitié moins de musulmans qu’en France.
    Les “zones de non droit” ? Millière osera-t-il se promener à South Brooklyn après 22h ?
    Les émeutes ? Elles sont récurrentes aux Etats-Unis de Cincinnati à Baltimore, pour s’en tenir au XXIème siècle et d’une violence sans commune mesure avec les émeutes européennes.
    Le terrorisme ? Sans parler du 11 septembre, il y a eu ces dernières années 4 attentats terroristes liés à l’islamisme aux USA faisant également des dizaines de morts. D’autres ont eu lieu commis par des suprémacistes Blancs. Mais à ceux-là s’ajoutent les tueries de masse dont on compte chaque année les victimes par centaines, y compris dans les écoles.

    Bref, on voit que le départ de Millière ne s’explique en rien par les raisons qu’il invoque. Les USA n’offrent en rien une société plus paisible, bien au contraire.
    Millière quitte la France car il a le sentiment d’être mieux considéré aux Etats-Unis où sa proximité avec les néoconservateurs lui ouvre quelques espaces médiatiques et une place dans certains évènements qu’il ne pourrait espérer en France.
    Et il est plus facile de raconter des sornettes sur la France outre Atlantique, comme ces histoires de “no-go zone” pour lesquelles Fox News s’est platement excusé.
    Son journaliste,Nolan Peterson, avait dû lire sans précautions les articles de Millière sur Gatestone Institute.

    21 juin 2016 à 11 h 38 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      Soyons logique : si G.M. ” regrette sa jeunesse ” comme dit @ Jocrisse c’ est qu’ il regrette son ” relativisme ” [ politico-scientiste ] de ses premières années d’ enseignant ; conséquemment @ Jocrisse devrait lui témoigner au moins un peu d’ affection !

      pour ce qui est du choix de sa résidence cela d’ une part ne regarde que l’ intéressé et d’ autre part @ Jaurès pourrait s’ installer paisiblement dans le 9 /3 , dans les quartiers nord de Marseille etc … et même s’ il ne s’ impose pas lui-même son propre couvre-feu y ” baguenauder ” après 22 heures pour faire la causette dans les halls des immeubles avec nos chances

      certains décrivent @ Jocrise comme un morpion ; pas du tout c’ est le taenia de Millière et les ” 4V² ” devraient se purger d’ un pareil parasite quand il s’ en prend à son souffre-douleur

      d’ autant que de relire sous le clavier de notre ” cher ” autant d’ inepties cuculturelles finit effectivement par nous lasser …

      21 juin 2016 à 18 h 18 min
    • pi31416 Répondre

      “Millière osera-t-il se promener à South Brooklyn après 22h?”

      Cela s’appelle le sophisme du “tu quoque” que voici traduit en français comme vouzémoi le parlons:

      — Jojo, mon chéri, il ne faut pas faire caca dans l’assiette de maman.
      — Mais, moman, Toto il fait bien pipi dans ton verre!

      22 juin 2016 à 9 h 11 min
    • Jacky Social Répondre

      A lire votre description des USA, on se croirait en France, a Lille et sa banlieue. J’aime les supremacists blancs et les neo-conservateurs. Et alors? J’aime qui je veux, na. Les “no-go zones” existent en France, bien entendu. Je ne comprends pas les excuses de FoxNews, meilleure chaine de reinformation des USA et peut-etre du monde. Ben oui, c’est pas les dindes de France 24 sainthypolitaine, hein malin.

      12 juillet 2016 à 14 h 55 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *