La réforme de l’orthographe et les mensonges de « NVB »

La réforme de l’orthographe et les mensonges de « NVB »

Voici quelques mois, Najat Vallaud-Belkacem, notre sémillante ministre de l’Éducation nationale (si peu éducative et si peu nationale…), nous assurait que le fait que 80 % d’une classe d’âge obtiennent désormais le baccalauréat était le signe d’une magnifique élévation du niveau scolaire.

Manifestement, elle n’envisageait pas que cela puisse éventuellement correspondre à une baisse du niveau de l’examen.

Mais, comme preuve de son attachement aux « fondamentaux », elle nous avait expliqué que tous les élèves seraient désormais astreints à une dictée quotidienne.

Comme l’avait fait, à l’époque, remarquer Ivan Rioufol, Mme Vallaud-Belkacem avait juste omis deux ou trois précisions. Tout d’abord, sa déclaration n’avait aucunement force de loi et aucun texte ministériel n’imposait ladite dictée quotidienne. Et, surtout, elle « oubliait » de préciser que cette dictée pourrait être une dictée… des énoncés.

Il n’était donc pas question de travailler sur l’orthographe et la grammaire, mais d’être capable de saisir les consignes des instituteurs.
Le tout, naturellement, sans rompre, si peu que ce soit, avec les ravages du pédagogisme.

Mais, pour ceux qui voulaient encore y croire, nous avons appris la semaine dernière que pas moins de 2 400 mots (considérablement plus, par conséquent, que le vocabulaire moyen d’un élève de lycéen, qui en utilise environ 1 000 dans sa vie quotidienne) allaient voir leur orthographe remaniée, notamment en supprimant tous les accents circonflexes, les traits d’union et les lettres doublées…

Officiellement, le ministère le plus coûteux et le plus inefficace de France n’y est pour rien. La réforme a été votée voici 26 ans par l’Académie française.

Certes. Mais ce n’est pas parce que l’Académie française a dit, voici 26 ans, qu’elle ne s’opposerait pas à ce saccage de la langue française que ce saccage est justifié. Et, surtout, c’est bel et bien dans un manuel scolaire que la « réforme » fait sa réapparition selon le modèle bien établi de l’irresponsabilité générale où le ministère n’y est pour rien et l’éditeur (Belin, en l’occurrence) pas davantage !

Je ne vois personnellement aucun inconvénient à ce que la langue évolue, mais cela ne peut être que lent et non selon un schéma de déracinement brutal il est vrai qu’avec la propagande immigrationniste nos « chers » dirigeants ont l’habitude du déracinement brutal !

Le temps n’épargne rien de ce que l’on fait sans lui, dit-on.
Les barbares qui nous gouvernent, non seulement ignorent les beautés de la langue française, mais en plus ignorent la sagesse populaire plus exactement, ils ne l’ignorent pa; ils la méprisent.

D’aucuns diront peut-être qu’une jeune ministre marocaine ne peut pas comprendre l’orthographe française. Mais, d’abord, c’est faux. Bien des étrangers ont écrit magnifiquement notre langue. Et, surtout, ce n’est pas parce que l’on ne comprend pas que l’on est obligé de détruire.

Le plus grave dans cette affaire, n’est pas tant la destruction de notre orthographe que l’indifférence de l’oligarchie pour notre identité.
Mme Vallaud-Belkacem semble croire que notre langue n’a qu’une vertu utilitaire, comme le « globish », espèce de sabir vaguement anglais qui sert dans le monde des affaires. Mais c’est absurde : notre langue, c’est surtout notre façon de voir le monde. Et c’est cela dont elle veut priver les petits Français et, plus encore, les petits immigrés qui, par sa faute, ne deviendront jamais français.

Pire encore, cette réforme de l’orthographe manifeste le mépris de la vérité qui caractérise la classe jacassante. Au moment même où Mme Vallaud-Belkacem nous assurait qu’elle tenait beaucoup à la dictée quotidienne, elle donnait son aval à un manuel scolaire qui entérinait avec brutalité le plus grand ravage orthographique de l’histoire.

En français normal (non encore réformé !), cela s’appelle mentir. Mais les politiciens ne mentent pas; ils se contentent d’énoncer des « vérités » successives, sur lesquelles le principe de non-contradiction n’a aucune prise. Et l’on s’étonne que la classe politique soit unanimement décriée par les Français !

J’étais déjà très favorable à la liberté scolaire et au chèque du même nom qui, seul, permettrait à nos enfants de sortir de l’emprise du « Mammouth ». Les mensonges et les déracinements souriants de Mme Vallaud-Belkacem ne font que me confirmer dans cette idée… qui très « logiquement » n’est plus défendue par aucun parti !

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Comments (66)

  • DE SOYER Répondre

    Chacun sait, étant donné la répartition des QI dans la population, qu’il ne peut pas y avoir 80% de vrais bacheliers dans une classe d’âge. Le vrai chiffre est 50%, dont la moitié de bacs professionnels. Avec les BEP, on arrive à 75%. L’UMPS, le conglomérat champion de la démagogie (et de la connerie) a voulu en faire une étape du bac pro, alors que ce diplôme se suffit à lui-même pour de nombreux métiers, mais que ne ferait pas la crapule pour être élue! Quand on voit celle qui sévit sur le site, les autres qu’est-ce que çà doit être!

    18 février 2016 à 18 h 19 min
  • Yves Répondre

    Ce que cette prêtresse de l’idéologie socialiste ne précise pas non plus que dans le niveau des élèves français baisse d’année en année lors du classement PISA 2015 à la 23 ième place.

    15 février 2016 à 20 h 43 min
    • Charles Martel Répondre

      Ça, c’est imparable effectivement, n’en déplaise à l’inénarrable Jaurès, l’agent nostalgique de l’Union Soviétique et de ses contre-vérités.

      16 février 2016 à 9 h 52 min
  • BRENUS Répondre

    Le “niveau” des études secondaires, par exemple, est tellement amélioré que même les meilleurs élèves en terminale scientifique, passant le bac actuel avec mention, se voient souvent largués en classes prépas et doivent ramer très fort pour acquérir ce qui ne l’a pas été. Sauf les enfants de profs, bien entendu, poussés et soutenus en parallèle pour assurer les parents de ces gniars de passer avant les autres et pouvoir en vivre. En MP, les profs de math considèrent généralement que ce qu’on leur envoi n’a globalement pas le niveau suffisant, faute de l’avoir acquis comme il aurait du l’être au lycée, dans lequel on se gargarise avec des notes avantageuses mais non représentatives. La bonne surprise arrive après, au stade supérieur. Même dans nombres d’universités on constate une insuffisance de formation antérieure, d’où le nombre de gamelles de pas mal d’ “étudiants” . Mais s’ils choisissent “socio-psycho”, c’est pas grave car ils n’auront de toutes façons pratiquement pas de débouchés et pourront pousser leurs jérémiades : avec bac plus plus, la société est méchante et ne me donne pas le poste auquel ma qualité peut me faire prétendre…..

    11 février 2016 à 19 h 56 min
    • Jaures Répondre

      Que veut dire “être largué en classe prépa” ?
      Tout le monde sait qu’en classe prépa les meilleurs élèves ne dépassent pas 8 de moyenne. Et alors ? La première chose que vous disent les profs est “vous n’êtes pas votre note” ! Ceux qui s’accrochent réussissent aussi bien qu’autrefois. D’ailleurs le nombre d’étudiants en prépa a considérablement augmenté (+ 1000 chaque année) et leur accès à l’emploi est toujours aussi aisé.
      Quelle que soit la filière, l’accès aux études supérieures est un passeport pour l’emploi: dés bac +2, le taux de chômage tombe à 5%.

      15 février 2016 à 17 h 19 min
      • Charles Martel Répondre

        Bonjour Jaurès, je vous savais de mauvaise foi, mais de là à contester les chiffres bien connus du niveau scolaire des Français… Enfin vous savez quand même que ces chiffres sont mauvais, non ? Et ce n’est pas un parti d’opposition qui le dit, c’est une organisation internationale neutre et digne de foi… Mais il n’y a pas de pire sourd que celui qui ne veut rien entendre, dit le proverbe. Bon courage à vous pour les temps qui viennent, à moins que vous ne fassiez partie de tous ces planqués qui se gavent d’argent public (celui des contribuables) bien à l’abri dans un comité Théodule ou équivalent, et qui ne voient pas ce qui se passe autour d’eux.

        16 février 2016 à 9 h 43 min
        • Jaures Répondre

          Bonjour Charles. Je ne parlais pas du niveau scolaire général mais des classes prépa.
          Effectivement, même si le Pisa n’est pas tout (sauf à entériner le mode d’éducation asiatique à l’organisation militaire aux conséquences parfois dramatiques), ses indicateurs mettent en évidence notre grande insuffisance: 150 000 jeunes qui sortent sans diplôme du système scolaire.
          Ce qui est ennuyeux c’est que nous avons avec le système finlandais un exemple efficient que nous admirons mais que nous refusons ici en raison de nos préjugés et notre indécision politique.
          Car tout le monde voudrait avoir le classement de la Finlande, mais qui est pour la gratuité totale des études (y compris la cantine), la formation de base de haut niveau des enseignants, l’absence de notes avant le collège, l’équipement moderne de toutes les écoles y compris les plus reculées, des classes de 15 à 25 élèves, des enseignants spécialisés pour les élèves en difficulté, l’autonomie des directeurs d’écoles,…
          Sans doute beaucoup trop de monde à convaincre dans les 2 camps pour espérer une amélioration à court terme.

          16 février 2016 à 11 h 57 min
          • Charles Martel

            Jaurès, vous fustigez les apparentes raisons du succès des étudiants asiatiques, mais vous en méconnaissez les principales raisons : elles sont en effet d’origine philosophique et non politique. Chaque enfant asiatique, et particulièrement coréen ou singapourien, s’évertue à rendre grâce à ses parents de l’avoir nourri et éduqué en faisant preuve d’assiduité et de performance dans ses études, mais aussi en excellant dans les arts. Cette philosophie nous est étrangère parce que chez nous, par le biais des gauchistes et soixante-huitards de tout poil, nous rendons aujourd’hui un culte à la médiocrité, à la laideur, à la haine des parents, des ancêtres et de la patrie. Nos enfants n’apprennent qu’à s’amuser dans les écoles, il ne leur est plus inculqué de valeurs traditionnelles comme le devoir, l’amour du travail bien fait ou la conscience professionnelle.
            Quant aux classes préparatoires que vous citez, elles arrivent à se maintenir par une sélection à l’entrée extrêmement rigoureuse dans laquelle les bacheliers qui n’ont pas obtenu au minimum la mention bien ou dont le dossier scolaire est trop moyen sont écartés.
            Ce n’est pas le cas dans les facultés, où les étudiants de première année, trop nombreux, s’entassent dans les couloirs et les allées des amphis depuis que monsieur Jospin a fait en sorte qu’on leur donne le BAC pour obtenir ses sacro-saints 80% de réussite.
            Le problème, c’est que tout le monde s’en plaint car la plupart des bacheliers n’ont pas le niveau et posent d’énormes problèmes aux organismes de perfectionnement qui les reçoivent et qui doivent d’abord faire une remise à niveau avant d’attaquer leur programme. C’est notamment le cas dans les écoles militaires qui recrutent au BAC, comme à St Maixent pour la formation des sous-officiers.
            Quant aux concours d’état, il est de plus en plus fréquent qu’il faille prendre en-dessous de la moyenne pour honorer le nombre de places offertes, que ce soit dans l’éducation nationale ou ailleurs.

            16 février 2016 à 12 h 14 min
          • Jaures

            Effectivement, Charles, je ne souhaite pas que les enfants de France subissent la pression des petits Japonais ou Coréens. Je ne souhaite pas que pour une place de plus au Pisa, on déplore un taux de suicide comparable à celui de la Corée chez les jeunes.
            La Finlande ou la Canada montrent qu’on peut obtenir d’excellents résultats avec les enfants sans pour autant faire des études une souffrance permanente et une pression psychologique insupportable sur des parents qui renoncent aujourd’hui à faire des enfants (La Corée a un taux de fécondité de 1,30).
            Je ne partage pas votre avis sur les raisons morales de l’échec scolaire. Quoi ? Les élèves en échec scolaire seraient élevés par des gauchistes ? Ils aimeraient moins leurs parents et ne penseraient qu’à s’amuser ?
            Les élèves qui réussissent le mieux sont statistiquement les enfants d’enseignants. Pensez-vous que ces derniers sont plus attachés aux valeurs traditionnelles chrétiennes et politiquement de droite ?
            Pensez-vous que les bons résultats des enfants canadiens ou finlandais sont dus aux valeurs morales de ces pays ?

            16 février 2016 à 12 h 53 min
          • Charles Martel

            Franchement, Jaurès, je ne comprends pas votre raisonnement : il n’y a aucun rapport entre le taux de suicide et le succès dans les études, sauf pour ceux qui veulent établir des relations de cause à effet trompeuses et qui permettent de détourner le sujet de la conversation… Du reste, le taux de suicide français est parmi les plus importants au monde, notamment chez les adolescents où c’est la première cause de mortalité, mais ce chiffre est tabou. On lui préfère celui des accidents routiers, pourtant ridicule proportionnellement mais beaucoup plus juteux financièrement puisqu’il justifie une répression aussi féroce qu’improductive. C’est aussi oublier que les français sont les premiers consommateurs de psychotropes, preuve s’il en est besoin que notre société est en pleine dérive.
            Quant au taux de fécondité, le nôtre ne tient la comparaison actuellement que grâce à l’apport des femmes étrangères fraichement naturalisées, surtout quand on sait que le rythme des naturalisations a presque doublé depuis 3 ans…
            Je rappelle au passage que, dans l’échelle de valeurs qui est la mienne et que vous considérez comme subjective alors qu’elle a constitué la règle commune pendant des siècles, le suicide est considéré comme un péché et qu’à ce titre, il en dissuadait plus d’un de passer à l’acte avant que ces références morales ne disparaissent peu à peu sous les coups de boutoir des tenants de l’abolition de cet ordre moral hérité de nos ancêtres. A force de faire croire à nos jeunes que le paradis est ici-bas et non dans un au-delà qu’il faut mériter par sa conduite, nos contemporains ont fabriqué des générations de jeunes mal dans leur peau et dans leur monde, pressés d’en finir avec la vie plutôt que de s’y accrocher avec vertu dans la perspective d’une récompense divine.
            Il faudra vraiment que l’on descende très bas pour que nos dirigeants et autres intellectuels auto-proclamés acceptent d’avouer que la société qu’ils appellent de leurs vœux et qu’ils veulent à tout prix mettre en place n’est pas viable et qu’ils ont apporté la mort et la destruction en faisant sa promotion.

            16 février 2016 à 14 h 52 min
          • René

            Charles,
            Je pense que vous perdez votre temps à répondre à Jaurès, car les socialistes rêvent le monde, mais ils préfèrent le rêve au monde.
            René.

            16 février 2016 à 14 h 59 min
          • Charles Martel

            Autre remarque, Jaurès : si les enfants d’enseignants réussissent, c’est à l’évidence parce qu’ils sont entourés… d’enseignants, comme aurait dit La Palisse ! Mais ce que vous ne dites pas, c’est que ces mêmes familles d’enseignants sont les viviers préférés des djihadistes qui partent en Syrie. Et savez-vous pourquoi ? Parce que leurs parents sont en grande majorité athées et que, de ce fait, ils n’ont pas répondu aux aspiration spirituelles de leurs enfants.
            Eh oui, les faits sont têtus, les statistiques aussi : les jeunes djihadistes ne viennent pas des milieux défavorisés ou des banlieues colonisées, mais des milieux bourgeois à l’abri du besoin. Voilà qui devrait vous interpeler, Jaurès.

            16 février 2016 à 15 h 00 min
          • Jaures

            Je ne dis pas qu’il y a un rapport entre succès scolaire et suicide (d’ailleurs ceux qui réussissent en général ne se suicident pas) mais la pression scolaire amène au suicide.
            On peut déplorer le taux de suicide français mais cela n’a rien à voir avec le Japon (supérieur de 30%) ou la Corée (le double du taux français).
            Deuxième erreur: les accidents de la route sont, et de loin, la première cause de mortalité des jeunes (28% contre 16% pour les 15-24ans).
            Le suicide n’est un péché que pour ceux qui le croient. Il n’y a pas moins de meurtres (qui est aussi un péché) dans les pays très catholiques comme en Amérique du Sud.
            On ne fait pas croire aux jeunes ceci ou cela. En démocratie laïque, chacun croit ce qu’il veut. Autrefois, l’ignorance généralisée permettait d’asseoir des croyances. C’est plus difficile de convaincre des personnes instruite du bien fondé des dogmes.
            Enfin, ce que vous dîtes sur les djihadistes fils de profs est totalement infondé. M.Merah, les frères Kouachi, Coulibaly, les terroristes du Bataclan étaient-ils fils de profs ? Peut-être y en-a-t-il mais qui ? Combien ? Sur quoi se fonde votre affirmation définitive ?
            La plupart des fils de prof sont cadres, enseignants, fonctionnaires, entrepreneurs, élus: pas vraiment les castes où l’on trouve le plus de djihadistes ou de suicidaires.

            16 février 2016 à 18 h 15 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      dites vous bien, et définitivement, que pour @ Jaurès le niveleur le Bonheur [ ici bas ] est un dû … et que d’ obtenir un ” bac ” , par exemple, suffirait à ne pas être stigmatisé … par ces salauds de ” bourgeois ” … c. à d. par ceux qui sont nés, comme il en est intimement convaincu avec une cuillère d’ argent dans la bouche … le bac pour tous c’ est l’ aboutissement ultime et donc indépassable de l’ éducation … socialiste puisque dans cette philosophie politique c’ est la société et elle seule qui engendre le mal ( quand elle est bourgeoise et libérale ) et le bien ( quand elle est dirigiste et marxiste ) … c’ est là où on voit , aussi , avec son interprétation de la Résistance primitive des communistes français, que papa, maman et grand frère sont restés , pour lui, ses modèles d’ équité et les exemple à suivre

      22 février 2016 à 19 h 58 min
  • René Vauclin Répondre

    Les socialistes rêvent le monde, mais ils préfèrent le rêve au monde.

    11 février 2016 à 18 h 00 min
  • Raùs Répondre

    La Belkacem ment comme une arabe !

    10 février 2016 à 22 h 45 min
    • Charles Martel Répondre

      … Ou plutôt comme une musulmane, car le mensonge est parfaitement admis, voire encouragé dans l’Islam, surtout devant des “Infidèles”, cela s’appelle la taqqiya. Par la suite, ça devient vite une déformation “professionnelle”… En la matière, la ministre et ses collègues du gouvernement sont passés maîtres, il suffit de se remémorer les interventions de Mme TAUBIRA à l’assemblée…
      On peut donc dire aussi “mentir comme un socialiste”. Preuve supplémentaire qu’il y a des accointances entre l’Islam et le socialisme à la française…

      11 février 2016 à 9 h 14 min
      • Jaures Répondre

        Parce que les non musulmans ne mentent jamais, c’est bien connu ! Jérôme Cahuzac doit être un converti. Idem Lance Armstrong ou Bill Clinton. Les Balkany, une sacrée famille de musulmans ! Sans parler de l’imam B.Tapy !
        Si être menteur c’est être musulman alors tout le monde l’est.
        Y compris Charles Martel.

        15 février 2016 à 17 h 34 min
        • Charles Martel Répondre

          Une fois de plus, vous nous imposez vos tautologies, Jaures ! Le mensonge est parfaitement admis dans la doctrine de l’Islam, c’est écrit dans le Coran, ce n’est pas pour cela que les non-musulmans, à plus forte raison les apostats et autres athées, ne mentent pas ! Vous déformez la pensée et les déclarations des gens pour donner raison à vos théories fumeuses et refusez la vérité des faits. De plus, vous croyez les autres suffisamment stupides pour ne pas voir vos tentatives d’enfumage par manipulation du sens des mots. Belle preuve de vanité et de narcissisme pervers ! Donc, d’une certaine façon, je comprends que vous ayez les yeux de Chimène pour l’Islam, vous êtes aussi faux qu’un musulman pratiquant la Taquiya.

          16 février 2016 à 9 h 50 min
          • Jaures

            Ce que je veux dire c’est que le mensonge n’est pas lié à une religion mais à l’homme en général.
            Qu’il soit admis ou non ne change rien.

            16 février 2016 à 11 h 59 min
          • Charles Martel

            Que le mensonge soit lié à l’Homme, je ne le nie pas, il porte en lui à la naissance le poids du péché originel qu’Adam et Eve ont reçu du prince du mensonge, Satan.
            Mais il existe des gens sur terre qui essaient de vivre honnêtement selon les lois divines auxquelles ils adhèrent et ne mentent jamais, ou en tous cas s’évertuent à ne pas le faire. La perte des références morales est particulièrement sensible en France depuis l’avènement des socialistes au pouvoir en 1981, tout simplement parce que dans leur programme il y avait la volonté d’abandonner l’ordre moral.
            Le problème c’est que dans toute collectivité, que ce soit la famille, l’armée ou la nation, les personnes investies des responsabilités de direction ne peuvent pas dire à leurs administrés “faites ce que je dis, pas ce que je fais” en espérant qu’ils vont être écoutés, tandis qu’ils montrent le mauvais exemple. Ça ne fonctionne pas, depuis que le monde est monde. Mais si les parents, les chefs, nos gouvernants ne sont pas exemplaires, alors il n’est pas surprenant que leurs enfants, leurs subordonnés, leur administrés ne le soient pas plus qu’eux, exception faite de ceux qui pratiquent une auto-discipline et veulent rester vertueux contre vents et marées, parce qu’ils sont conscients du pouvoir de destruction des attitudes contraires.
            C’est pour cela qu’il existe une véritable opposition politique à l’actuel pouvoir, je ne parle pas de ceux qui veulent prendre la place par avidité personnelle, je parle de ceux qui ont peur pour leurs enfants, leur village, leur patrie et leur foi et qui prônent notamment une moralisation de la vie publique et un retour aux valeurs éternelles qui ont fait leurs preuves.

            16 février 2016 à 12 h 28 min
          • Jaures

            Cher Charles, je ne vois pas en quoi il y aurait moins de morale depuis 1981. Sauf si vous appelez “morale” vos propres valeurs subjectives qui ne regardent que vous.
            La seule morale universelle qui vaille est “ne fais pas aux autres ce que tu ne voudrais pas qu’ils te fassent”.
            En dehors de cela, faites ce qui vous plait dans le cadre des lois.
            Pour ce qui est de Mme Vallaud Belkacem, si vous attribuez ses éventuels mensonges à ses origines, à quoi donc attribuez-vous les mensonges des autres, politiciens ou autres, qui n’ont pas les mêmes origines et dont je vous défie de démontrer que les leurs seraient moins fréquents et moins éhontés que ceux de la personne que vous incriminez ?

            16 février 2016 à 12 h 36 min
          • Charles Martel

            Désolé, Jaurès, mais je ne suis pas d’accord avec vous. Quand vous parlez de valeurs subjectives, vous passez sous silence le fait que la loi française a été construite et continue de fonctionner encore en majeure partie aujourd’hui sur ces valeurs, qui ont prouvé pendant des siècles qu’elles protégeaient les individus et la collectivité contre la destruction et l’aliénation.
            Quant à réduire la morale générale aux principes que vous énoncez, cela me semble nettement insuffisant car éminemment subjectif et personnel. Que dire en effet d’une loi morale laissée à l’appréciation personnelle de chacun ? c’est un peu comme si vous disiez à quelqu’un de suicidaire qu’il ne doit pas tuer les autres avant de mourir… Vous voyez bien que ça ne tient pas debout. A l’instar d’une loi juridique, il faut que la loi morale soit la même pour tous, sinon il n’y a aucune chance que la cohabitation puisse se faire sans heurts. C’est notamment la raison pour laquelle l’immigration en provenance de pays musulmans pose un problème dans les sociétés occidentales, alors qu’en France les immigrations polonaise, italienne, portugaise du 20ème siècle n’ont jamais posé de problèmes, sans parler de l’immigration asiatique dont les populations respectent nos lois et notre mode de vie.
            Pour en revenir à notre chère ministre, puisque vous ne voyez manifestement pas ce que je veux dire, et que vous semblez me prendre pour un raciste, la différence réside dans le fait qu’elle ne considère pas son mensonge comme une faute morale mais au contraire comme un acte vertueux, puisqu’elle ment à des infidèles, en plein accord avec sa morale de référence.
            Dans le cas des autres, ils mentent parce qu’ils ont été malhonnêtes et ne veulent pas que ça se sache, d’autant que leur mensonge sert à couvrir un acte illégal. Ce n’est pas du tout la même chose, et je suis étonné que vous ne fassiez pas la différence !

            16 février 2016 à 13 h 02 min
          • Jaures

            Cher Charles, quand je dis “ne fais pas aux autres ce que tu n’aimerais pas qu’ils te fassent”, cela ne veut pas dire “fais aux autres ce qu’ils aimeraient qu’ils te fassent”.
            Car chacun ne veut rien subir sans son propre consentement, y compris un suicidaire.
            Si les valeurs que vous prônez constituent la base de nos lois, fort bien ! Respectons donc les lois et nous serons en accord vous et moi !
            Par contre, dire que les immigrations italiennes, polonaises (j’ajouterai belges) se sont déroulées sans problèmes est une grave erreur !
            Les rixes et les pogroms face aux premières immigrations italiennes et belges ont fait de nombreux morts. Les Polonais ont, dans les années 30, été mis de force dans des trains pour être renvoyés chez eux. Dans les années 70, des émeutes ont éclaté dans les bidonvilles où résidaient les Portugais.
            Quant aux asiatiques, ils ont fait de leur immigration une véritable mafia.
            Enfin, comment pouvez-vous, sauf par préjugé raciste, prétendre connaître la nature du mensonge d’une personne uniquement par ses origines (elle ne se définit même pas elle-même comme musulmane) ?

            16 février 2016 à 13 h 43 min
          • Charles Martel

            Il y a une analogie, Jaurès, entre la religion dominante d’un pays et sa culture, ses moeurs. Ce principe s’applique d’ailleurs très bien en France puisque les moeurs et les coutumes françaises sont majoritairement dérivées du catholicisme. Si bien que sans être musulman pratiquant, on peut quand même embrasser les habitudes de vie communes et la mentalité du pays musulman surtout si ses ancêtres y sont nés. Je ne vois pas ce qu’il y a de raciste là-dedans, mais ce que je vois, c’est que vous aussi brandissez le hochet magique du racisme pour espérer faire taire votre contradicteur. désolé, mais j’y suis totalement indifférent. Du reste, le seul véritable racisme que je connaisse est celui du national-socialisme (et il y a le mot socialisme dedans), ou encore celui d’un Jules Ferry – qui n’était pas précisément un homme de droite – qui, à propos des indigènes de nos colonies, parlait de races inférieures devant l’assemblée dans les années 30.
            Le racisme, tout comme le colonialisme, est une idée de gauche, car on y retrouve le même mépris des autres et le même sentiment de supériorité et d’impunité de ceux qui se croient au-dessus des lois.

            16 février 2016 à 15 h 13 min
          • Jaures

            Vous y êtes indifférent si vous voulez mais dire qu’une personne serait plus encline au mensonge en raison de ses origines est un préjugé raciste au même titre que ceux qui disent que les juifs sont forcément riches et avares et les Noirs indolents et limités.
            Quand une personne d’origine musulmane ment vous dîtes que c’est en raison de ses origines, quand c’est une personne de vos origines vous trouvez une autre raison alors qu’elle est la même pour tout le monde: en tirer un avantage ou se soustraire d’une situation embarrassante.
            Dire que les coutumes françaises sont dérivées du catholicisme est un peu court puisque le catholicisme a récupéré nombre de coutumes païennes en les repeignant à son goût ( la date de noël a été choisie en fonction des fêtes païennes du solstice d’hiver).
            Il en est de même aujourd’hui: Noël est surtout une fête de la consommation et des agapes. Pâques est la fête des chocolatiers. L’Ascension est la fête des RTT.
            Les coutumes religieuses se sont sécularisées comme le reste.
            Quant à la notion de race du XIXème siècle, c’était celle de tout le monde. Qui donc au XIXème siècle plaidait pour l’égalité universelle ? Quand on a aboli l’esclavage, on a indemnisé les propriétaires, pas les esclaves. On a créé le code de l’indigénat. Ne dîtes pas “la gauche”: les gouvernements de droite n’ont pas agi différemment. Tout n’a vraiment changé qu’après la deuxième guerre mondiale.

            16 février 2016 à 18 h 40 min
          • Charles Martel

            Jaurès, vos désordres mentaux me consternent, car tantôt vous prenez certains faits pour des causes, tantôt pour des effets selon que ça vous arrange, et vous falsifiez les déclarations de vos contradicteurs pour mieux falsifier leur pensée. C’est la raison pour laquelle il est extrêmement désagréable de débattre avec vous et qu’il faut une sacrée dose de patience pour continuer, je crois d’ailleurs que je dois être un des rares sur ce blogue à ne pas avoir jeté l’éponge. Ne croyez donc pas qu’il s’agit d’une victoire de vos arguments, ce serait une grossière erreur.
            Vous avez la pensée obsédée par les thèses “progressistes” et les idées toutes faites que l’éducation nationale puis la presse et les auteurs aux ordres vont ont mis dans la tête depuis tout petit, ce qui vous rend incapable de raisonner par vous-même et avec un autre schéma que celui de la pensée unique, ce qui fait que ce que vous croyez avoir compris de ce que vous avez lu tombe à côté de la plaque : la preuve, c’est que vous ne citez pas les propos de l’auteur dans leur intégrité ni dans leur intégralité, mais vous les modifiez pour qu’ils collent mieux à l’anathème dont vous avez l’obsession de l’en affubler. Un tel procédé rhétorique est digne des meilleures heures de Staline ou du syndicat de la magistrature, c’est pourquoi je comprends mieux votre attirance pour la pensée totalitaire actuelle qui sévit dans les médias aux ordres et les associations grassement subventionnées par les contribuables.
            Quant à votre ethno-masochisme (sorte de racisme anti-français, somme toute), consistant à appeler de vos vœux une destruction de la France traditionnelle au motif qu’elle ressemble trop à la France catholique, et à prétendre que les fêtes d’origine catholique n’intéressent plus que les athées, vous vous mettez le doigt dans l’œil jusqu’au coude et vous prouvez que vous ne connaissez pas votre pays et voulez ignorer ce qui s’y passe depuis de nombreuses années. Un tel aveuglement est pitoyable, il ressemble à s’y méprendre à celui de ce gouvernement qui, faute de pouvoir faire descendre la fièvre, veut casser le thermomètre et jeter le malade en prison. Le déni de réalité, pour l’appeler par son nom, est une atteinte psychiatrique grave et devrait interdire l’accès au pouvoir de tous ces malades mentaux qui nous gouvernent. Plus grave encore, l’ignorance volontaire que les mêmes cause produisent les mêmes effets, surtout dans l’Histoire, apportera à la France les mêmes déboires qu’à chaque arrivée des socialistes au pouvoir : la guerre sur notre sol (1870, 14-18 et 39-45).
            La libanisation de notre pays est en marche, et ce ne sont pas des ministres à double nationalité, qui n’ont que faire du pays qu’ils sont censés servir, qui tenteront quoi que ce soit pour inverser la tendance puisqu’ils sont là pour détruire. En abondant dans leur sens, vous vous rendez complice de la destruction de votre pays, vous êtes le collabo de la puissance étrangère occupante qu’est devenu ce gouvernement, et les défenseurs de la pensée unique autant d’agents de la Gestapo socialiste.

            17 février 2016 à 11 h 29 min
          • Jaures

            Cher Charles, j’essaie au contraire de répondre rationnellement à vos arguments en les reprenant un à un.
            C’est effectivement ce qui me rend détestable sur ce blog où on ne fonctionne que par slogans, connivence et préjugés.
            Ainsi, en quoi faites-vous avancer vos idée quand votre post se contente, au lieu de me réfuter, d’arguer que je serais “obsédé par les thèses « progressistes » et les idées toutes faites que l’éducation nationale puis la presse” et “attiré par la pensée totalitaire aux ordres”…Tout ceci ne veut rien dire. Comme si je vous disais que votre pensée est formatée par les croyances catholiques vermoulue. Où serait le débat.
            Pareillement, c’est vous qui falsifiez mon discours quand vous affirmez que j’aurais écrit “les fêtes d’origine catholique n’intéressent plus que les athées”. J’ai simplement dit que les fêtes religieuses sont sécularisées, qu’elles ont perdu leur nature initiale.
            Quoi ? Où est l’aveuglement ? Pensez-vous que ceux qui réveillonnent à noël fêtent la naissance du Christ ? Noël est devenue une fête familiale sécularisée. D’ailleurs de nombreux musulmans offrent des cadeaux aux enfants à Noël. C’est l’intérêt de la laïcité: chacun donne aux fêtes traditionnelles la signification qui lui convient. Je respecte la vôtre, il vous faut admettre la mienne tant que vous et moi respectons les lois.
            Et je ne vois pas en quoi dire cela fait de moi un “totalitaire”.

            17 février 2016 à 14 h 30 min
          • Charles Martel

            Jaurès, vous ne voyez que ce que vous voulez voir : il existe encore de nombreux catholiques, moins nombreux qu’autrefois il est vrai, qui vont à la messe chaque dimanche et a fortiori respectent toutes les fêtes chrétiennes, à la lettre comme dans l’esprit. Et il y en a encore plus qui vont à la messe aux fêtes d’obligation. Que bon nombre de Français d’une génération à l’autre aient apostasié en préférant le matérialisme de la société de consommation et sa fièvre acheteuse, je n’en disconviens pas, mais vous ne pouvez pas arguer de cela pour en faire une généralité. Sinon, on vous taxera à nouveau d’aveuglement et de mensonge, si vous refusez de reconnaître par exemple, comme le gouvernement, combien il y avait de gens dans la rue pour manifester contre le prétendu “mariage pour tous” (qui était en fait une destruction du mariage). Quant à votre explication de la présence de ces fêtes, elle est fausse et, j’en suis sûr, volontairement injurieuse dans la mesure où vous savez que cela me fera bondir. Vous banalisez les fêtes chrétiennes pour justifier que des athées s’en soient emparés, alors que vous savez très bien qu’il s’agit bien plus d’un aspect mercantile que de sécularisation. Sinon, comment interpréter le fait que le gouvernement ait commencé de décider leur remplacement dans les DOM ? Il s’agit bien de laïcisme militant, dont vous êtes un agent zélé, et non de laïcité, car la véritable laïcité respecte non seulement toutes les religions, mais aussi les traditions multiséculaires d’un pays. Rappelons-nous à ce sujet de l’épisode des crèches dans les lieux publics, qu’un certain franc-maçon dont je tairai le nom voulait interdire, soi-disant au nom de la laïcité. Et vous vous étonnez après cela que je vous suspecte d’en être un ?

            17 février 2016 à 17 h 25 min
          • Jaures

            Cher Charles, où ai-je dit qu’il n’existe plus de catholiques pratiquants ? Ils sont même régulièrement dénombrés (environ 5 millions).
            Je suis laïc et donc suis pour que les chrétiens puissent exercer leur culte comme ils l’entendent (dans le cadre des lois). Je suis pour l’entretien et la restauration des églises qui ont un intérêt historique et artistique, même quand elles ne sont plus fréquentées. Je n’ai rien contre les crèches dans telle ou telle mairie où elles étaient habituellement installées comme je n’ai rien contre les aumôneries dans les écoles publiques.
            La laïcité est comme la liberté: elle s’organise. Le problème est que les tenants des religions trouvent toujours qu’on est trop laïc avec leur religion et pas assez avec celle des autres.
            Mais ce que je dis est factuel et n’a rien d’insultant. Les fêtes religieuses se sont sécularisées. Qui peut le nier ?
            Sur le mariage pour tous, vous constatez que ce mouvement est général dans les démocraties modernes, y compris dans les pays très catholiques comme l’Irlande.
            Le mariage pour tous n’impose rien à personne. Personne n’oblige un homosexuel à se marier. Je peux comprendre que l’on soit contre pour des motifs religieux mais j’ai trouvé très hypocrite les raison évoquées relatives aux enfants: rien ne permet de dire alors que depuis des décennies des enfants sont élevés par des homos que ceux-ci en seraient psychologiquement affectés.
            Si les raisons de l’opposition sont religieuses, il faut avoir le cran de le dire et ne pas évoquer des arguments fallacieux. Il y a des enfants qui souffrent dans la société et ce n’est pas en raison de parents homos mais de problèmes d’accès à la santé, au logement, à l’instruction ou parce qu’ils sont victimes de violences.
            J’attends pour ceux-ci un défilé aussi massif des catholiques.

            17 février 2016 à 17 h 50 min
          • Charles Martel

            Ce que vous dites est intéressant, Jaurès, mais dans votre laïcité vous ne voyez pas la discrimination systématique dont souffrent les Chrétiens, et en particulier les Catholiques en France. Cette discrimination s’opère dans les prétoires, dans la rue, à l’enseignement et j’en passe. Je viens de lire un rapport de l’AGRIF au sujet de la relaxe que les FEMEN ont à nouveau obtenue après avoir agressé des manifestants catholiques pacifiques, en aspergeant femmes et enfants de gaz lacrymogène. Même traitement que pour l’irruption dans la cathédrale de ND de Paris et la détérioration de cloches toutes neuves. Et je ne parle pas des arrestations et séquestrations arbitraires et infondées commises par une police aussi zélée que laïcarde lors de ces mêmes manifestations, tandis qu’à contrario personne n’est inquiété dans les manifs d’extrême gauche où on casse tout et on blesse des policiers.
            Ce traitement discriminatoire même pas dissimulé est une insulte aux Français et témoigne bien d’une volonté de mettre à genoux une communauté à raison de ses opinions philosophiques et religieuses. Où est la laïcité là-dedans ? C’est du laïcisme militant, anticlérical et cathophobe, rien de plus, et la presse n’est pas en reste. Quant à la présentation volontairement et systématiquement biaisée de l’histoire de la chrétienté et de la royauté, je préfère ne pas en parler.
            Alors cessez de tenter de m’amadouer avec votre laïcité, vous savez très bien qu’elle n’a jamais existé et n’a fait que servir de prétexte pendant 200 ans pour camoufler l’anticléricalisme haineux des révolutionnaires dont vous vous réclamez en tant que républicain, qui bouffaient du curé tous les jours en les faisant brûler vifs et en les coulant dans la Seine par bateaux entiers. Cet énorme mensonge éclate aujourd’hui à la lumière de la discrimination positive dont profitent les musulmans dans notre pays. Même les Juifs, qui jusqu’ici bénéficiaient d’un régime de faveur par rapport aux catholiques, s’en plaignent et s’expatrient par milliers en direction d’Israël.

            17 février 2016 à 18 h 10 min
          • Jaures

            Cher Charles, vous ne me ferez pas avaler votre discours victimaire !
            Les catholiques ont 45 000 églises et cathédrales, des facultés largement subventionnés par l’Etat, 9000 établissements scolaires sous contrat,… Inutile de jouer les persécutés !
            Personne ne vous empêche de suivre votre culte dans les meilleures conditions: votre église est probablement entretenue et restaurée avec des fonds publiques, votre association paroissiale peut être subventionnée par la commune,…
            Je ne conteste rien de tout cela: c’est le jeu de la laïcité.
            Mais, s’il vous plait, assez de gémissements et travaillez à remplir vos églises et à baisser la moyenne d’âge de vos prêtres (+ de 70ans).
            Il faut parfois cesser de jouer les victimes et se remettre un peu en cause !

            17 février 2016 à 22 h 37 min
          • Charles Martel

            Qui parle de discours victimaire ? Vous, pas moi. Vous refusez de regarder la réalité parce qu’elle vous contredit chaque jour un peu plus.
            Dans une actualité récente, la chaine BFM TV montrait un tableau des statistiques de dégradations des cimetières par confession pour l’année 2015 : une vingtaine chez les musulmans, une vingtaine chez les juifs, et près de 250 chez les chrétiens ! Une heure après, cette même chaine avait légèrement modifié son tableau, les cimetières chrétiens étaient devenus des cimetières municipaux. Pourquoi un tel revirement, et surtout qui leur a donné l’ordre ? Je vous laisse deviner.
            Ce n’est pas en niant la réalité, les faits et l’histoire que vous arriverez à convaincre les gens bien informés. Je vous conseille également de lire le dernier livre de Philippe de Villiers, peut-être qu’il contribuera à vous ouvrir enfin les yeux sur la réalité de la France d’aujourd’hui et sur son passé. Mais je pense que vous êtes tout sauf un naïf, et que vous participez activement à la désinformation orchestrée en haut lieu, sinon que viendriez-vous faire sur ce blog ? Moi je ne vais pas embêter les socialistes, les athées et autre satanistes sur leurs sites, tâchez d’en faire autant et comme ça on perdra beaucoup moins de temps en dialogues de sourds.

            17 février 2016 à 22 h 52 min
          • Jaures

            Cher Charles, ma présence sur ce site n’est pas inutile, ne serait-ce que pour rappeler certains faits ?
            Savez-vous combien il existe de cimetières en France ?
            Plus de 40 000 ! Même si le chiffre de 250 cimetières dégradés est juste, cela en fait donc moins de 0,7%.
            Par contre, il n’existe que 80 carrés musulmans en France (il n’y a pas de cimetières musulmans). Si 20 ont été dégradés, cela fait 1 sur 4.
            Pensez-vous réellement que le christianisme est en danger parce que moins d’un cimetière sur 100 est dégradé (souvent par quelques abrutis avinés) ?
            Encore une fois, cher Charles, je n’ai rien contre les chrétiens mais sont-ils prêts à réfléchir sur les causes de la désafection des églises et des vocations ? Votre discours victimaire, pardonnez-moi, n’est qu’une esquive pour échapper à cette réflexion.

            18 février 2016 à 10 h 50 min
          • Charles Martel

            Jaurès, encore une fois, il ne s’agit pas de discours victimaire mais de constatations de discriminations dont sont responsables les pouvoirs publics actuels envers les chrétiens et particulièrement les catholiques, discriminations qui rappellent ce qui se passait au début du siècle dernier peu après la soi-disant “séparation de l’église et de l’état”, expression édulcorée servant à camoufler la spoliation du clergé, le pillage des biens de L’Église et l’expulsion des religieux. Je veux parler des listes du Général André, dont le but était de ficher tous les officiers catholiques et de leur interdire toute perspective d’avancement. On sait d’ailleurs où cela a conduit la France et à 3 reprises, puisqu’il a fallu chaque fois limoger en catastrophe tous les généraux franc-maçons indûment promus et incompétents afin que les défaites initiales puissent se transformer en victoires.
            Vous pouvez raconter ce que vous voulez Jaurès, pour tenter d’enfumer votre auditoire avec votre histoire de victimisation, mais le gouvernement actuel est le même que ceux qui sévissaient à ces époques, puisqu’il utilise les mêmes méthodes et est composé des mêmes sectaires anticléricaux, je veux parler des franc-maçons. Le ministre de la défense actuel (au passage cumulard en dépit de toutes les promesses du président…), franc-maçon notoire, n’a- t-il pas décidé récemment de ficher les officiers catholiques ? Je suis moi-même ancien militaire et ce que j’ai vu pendant 35 ans ne me pousse pas à penser autrement.
            Non contents de se réclamer de la révolution de 1789, les républicains francs-maçons et anticléricaux marchent tous les jours à pieds joints sur les principes auxquels ils se réfèrent, à savoir la déclaration des droits de l’homme et du citoyen, qui dit notamment : “nul ne peut être inquiété à raison de ses opinions politiques, religieuses, philosophiques….”. Ainsi, le droit de manifester est à géométrie variable (selon le bord politique et philosophique), la justice également.
            Tout cela vient de faits constatés et dûment rapportés par des organes d’information reconnus et des historiens patentés. Le nier comme vous le faites n’est rien d’autre qu’une énorme opération de désinformation et de bourrage de crane des foules, comme l’éducation nationale et les journalistes aux ordres, gauchistes à 80%, en ont l’habitude depuis des années, sur le modèle de leur grand frère soviétique (confer l’attribution du massacre de Katin aux Allemands au procès de Nuremberg et pendant près d’un demi-siècle, pour ne parler que de cela).

            18 février 2016 à 12 h 05 min
          • Jacky Social

            En fait, le Jaures se contredit. Il parle de laicite, separation entre Eglise et Etat. Mais il ne voit aucun problem a ce que l’Etat se mele des affaires de l’Eglise (“dans le respect des lois”). Donc cette separation est a sens unique. Et donc elle n’existe pas vraiment. Et donc Jojo est d’office partisan et athee militant.

            18 février 2016 à 12 h 15 min
          • Jaures

            Charles, je ne vais pas me lancer avec vous dans un débat sur ce qui s’est passé il y a 120 ans.
            Regardons aujourd’hui. Qui vous empêche de vous rendre à l’église ? Celle-ci n’est-elle pas parfaitement entretenue, restaurée, chauffée ? 45 000 églises et cathédrales pour 5 millions de pratiquants, est-ce insuffisant ? Les écoles catholiques sous contrat ne sont-elles pas prises en charge ? Celles hors contrat n’ont-elles pas toute liberté pour exister ?
            Les facultés catholiques ne perçoivent-elles pas plusieurs dizaines de millions de subventions publiques ?
            Soyons concret: que vous faut-il de plus ?
            Pour vous la désaffection des églises et des sacrements n’a-t-elle en partie au moins des raisons internes ? Y avez-vous seulement réfléchi ?

            18 février 2016 à 12 h 39 min
          • Charles Martel

            Jaurès, il me semble que nous avons déjà eu des discussions sur le sujet de la désaffection vis à vis des églises, je n’y reviendrai donc pas, sauf pour dire que les causes ne sont pas uniquement internes, loin s’en faut. Relisez mes réponses et vous vous rappellerez ce que j’en dis. Vous considérez encore une fois qu’il s’agit d’une évolution inéluctable et fatale, je pense quant à moi que tout cela est orchestré et planifié par ceux qui veulent transformer la société afin de faire des humains des acheteurs compulsifs nomades, asexués, matérialistes, parce que ça correspond à un business plan établi par la Trilatérale, tout comme l’OMC, le gouvernement mondial, l’invasion migratoire (officialisée par l’ONU comme solution magique à la baisse de la natalité en Europe). Je pense que vous savez tout cela mais que vous marchez la main dans la main avec ces projets et que donc vous n’en parlez pas ou feignez de croire que ça n’existe pas.

            18 février 2016 à 13 h 59 min
          • Jaures

            Vous restez dans les généralités abstraites, Charles. J’en reviens à mes questions.
            Je vous ai cité tout ce qui est à la disposition de la religion catholique en France laïque.
            Que vous faudrait-il de plus pour admettre que la religion catholique est respectée ?
            Avez-vous réfléchi aux raisons internes qui amènent à la désaffection des Français envers l’Eglise (même si vous pensez qu’il existe des causes externes) ?

            18 février 2016 à 14 h 57 min
          • Charles Martel

            Comme je vous l’ai déjà dit, Jaurès, les raisons internes sont dues en majorité au concile Vatican II, qui a fait disparaître le sens du sacré, a prétendu que pour être sauvé il suffisait de croire et que toutes les religions se valent (du coup pourquoi être catholique plutôt que bouddhiste ou autre ?), a modifié les buts premiers du mariage (épanouissement personnel et non plus procréation et éducation chrétienne des enfants), dilution de la religion sous prétexte de rapprochement (œcuménisme) avec les autres religions (le catholicisme moderne est un protestantisme qui ne dit pas son nom). Résultats : tarissement des vocations, explosion des divorces, diminution des naissances, apostasie généralisée, etc…
            Mais je le dis et j’insiste, ce n’est pas à une évolution fatale et inéluctable que l’on assiste, mais à une destruction programmée et orchestrée. Il y a de nombreux ouvrages qui en parlent, et ils sont dignes de foi (sans jeu de mots…).
            Néanmoins, vous savez sans doute que la religion catholique progresse sur tous les continents sauf sur le continent européen. Quelle explication peut-on en donner ? C’est que le consumérisme des pays développés est arrivé à ses fins.

            18 février 2016 à 17 h 59 min
          • Jaures

            Charles, vous ne répondez qu’à ma première question.
            Souvenez-vous de ma deuxième. Vous incriminez la société qui aurait un plan pour se débarrasser du christianisme. Mais je vous ai cité tout ce que la religion catholique a à sa disposition pour prospérer (églises, écoles, subventions,…).
            Que vous faudrait-il donc pour que vous admettiez que la France laïque donne à votre religion toute liberté pour prospérer ?
            Ensuite, ne pensez-vous pas plutôt que Vatican II n’a fait qu’entériner ce qui était un fait. Ce concile s’est achevé en 1965 mais déjà la société avait déjà largement évolué et même sans Paul VI rien n’aurait pu l’arrêter.
            La désaffection des églises, des sacrements et des vocations a éclaté dés la fin de la 2ème guerre mondiale. Croyez-vous sincèrement que sans ce concile il n’y aurait pas eu de lois sur la contraception, l’avortement, l’égalité dans le couple, etc…
            Croyez-vous vraiment que si le concile avait échoué en 1965, il n’y aurait pas eu 1968 ?
            Enfin, toutes les religions progressent avec la démographie. Demandez-vous pourquoi elles fleurissent là où les gens sont les plus démunis, les moins instruits, les moins libres.

            18 février 2016 à 21 h 41 min
          • Charles Martel

            Vous m’avez demandé quelles étaient selon moi les causes internes et je vous ai répondu. Quant aux subventions versées par l’état aux écoles prétendument libres, elles ne sont qu’un moyen de les rendre dépendantes financièrement, ce qui est le cas, d’autant qu’elles le sont également au plan intellectuel par les professeurs de l’éducation nationale qui les infestent et les programmes pervers qu’elles sont obligées de suivre. Les seules écoles vraiment libres sont les écoles hors contrat, et il s’en ouvre une par semaine en ce moment, car les parents en ont marre de l’école de la ripoublique qui dit aux jeunes comment ils doivent penser au lieu de les instruire. Ces écoles hors contrat ne vivent que par les cotisations des parents d’élèves et les dons des associations de bienfaisance et des mécènes, elles ne reçoivent de l’état que du harcèlement sur les règlements sanitaires et ERP et pas un centime. Pour le reste, je ne vois pas de quelles subventions vous voulez parler, puisque depuis la loi de 1905 il ne devrait plus y en avoir, pas plus d’ailleurs pour les musulmans ou les juifs, ce qui est pourtant constaté tous les jours sur le terrain, comme à Bordeaux ou à Marseille.
            Quant à votre analogie entre bas niveau intellectuel et religiosité, elle est perfide et mensongère, car la vérité est ailleurs : les populations qui ont peu de ressources se tournent naturellement vers Dieu car elles en ont le temps et l’élévation spirituelle, tandis que celles qui sont empêtrées dans les jouissances, le bien-être matériel et l’affairisme se détournent de Dieu, persuadées entre autres que la science fera de l’Homme un dieu et parce qu’elles n’en ont plus ne le temps ni les aspirations. Vous connaissez d’ailleurs le mot des francs-maçons, “ni Dieu, ni maître”. En outre, dans les sociétés modernes à l’abri du besoin, la spiritualité n’est pas moins présente dans les couches aisées de la population que dans les couches modestes, c’est une question de choix de vie, notamment au moment du mariage et de l’arrivée d’enfants dans le foyer.

            19 février 2016 à 0 h 07 min
          • DE SOYER

            Ceux qui mettent leurs enfants dans des établissements hors contrat devront se voir reverser par l’Etat la part d’impôt consacrée au ministère de l’éducation, en fonction du nombre d’enfants scolarisés et de la part du buget de l’Education nationale dans l’ensemble du budget.

            19 février 2016 à 11 h 16 min
          • Charles Martel

            Ce que vous dites est tout à fait pertinent, DE SOYER, mais l’état socialiste et franc-maçon n’accepte déjà pas de voir une partie de la jeunesse française échapper à son conditionnement, bourrage de cranes et perversion par l’entremise des écoles hors contrat, il ne va pas en plus se tirer une balle dans le pied en leur donnant de l’argent, qui pourtant leur est dû en toute équité. C’est même le contraire qui a failli se produire, le gouvernement socialiste avait émis il y a peu l’intention de fermer les écoles hors contrat dès lors qu’elles étaient dirigées par des ecclésiastiques, intention qui visait bien sûr exclusivement les écoles de confession catholique, mais ce qui les a retenus c’est qu’il aurait dû alors faire la même chose pour les écoles juives et les écoles coraniques, ce qui n’aurait pas été bon pour leur vivier électoral… Mais cette affaire est à surveiller, car je ne suis pas sûr que l’idée soit abandonnée. En attendant, les socialistes tentent de les faire fermer par tout moyen déloyal à leur disposition, notamment en les assommant sous les contrôles sanitaires et sécuritaires, histoire des les asphyxier financièrement. J’ai ainsi été témoin de quelques visites emblématiques, où la haine anti-catholique transpirait sur le visage du fonctionnaire laïciste zélé aux ordres de sa hiérarchie, grimaçant tel un démon à la vue de chaque crucifix ou statue, n’osant même pas regarder en face l’abbé directeur de l’école, cherchant désespérément un petit détail qui lui permettrait de faire fermer l’école pour insalubrité. Fort heureusement, il n’a pu arriver à ses fins car il voyait que nous étions plusieurs à le surveiller.

            19 février 2016 à 11 h 45 min
          • Jaures

            Charles, donc, pour vous, les écoles catholiques devraient renoncer aux contrats pour être indépendantes. Fort bien. Qui les en empêche ?
            Par ailleurs, si vous dîtes qu’il s’ouvre chaque semaine une école catholique hors contrat, c’est qu’elles sont bien libres de fonctionner.
            Je suis étonné que vous ne sachiez pas que les instituts catholiques sont largement subventionnés. Ainsi, en 2011, ceux-ci ot reçu la somme de 45 millions. La fédération Formiris, chargé de la formation des profs des établissements catholiques a reçu 12 millions.
            http://subventions.juridique-et-droit.com/les-subventions-de-l-enseignement-superieur-catholique/
            Par ailleurs, les associations paroissiales reçoivent des subventions des collectivités locales, pas directement pour le culte mais pour leurs activités culturelles (entretien d’un orgue, restauration d’une oeuvre,…) et les lieux de culte sont exonérés de taxe d’habitation et foncière.
            Considérant tout ceci, qu’est-ce qui vous permet de prétendre qu’existerait un complot laïc contre l’Eglise catholique ?
            Enfin, que souhaitez-vous ? Que le peuple redevienne pauvre et harassé de travail pour retrouver la foi ?
            La vie religieuse est aujourd’hui un choix dans nos démocraties laïques. Si vous voulez que les gens vivent selon vos préceptes, il vous faut les convaincre du bien fondé de vos croyances. N’est-il pas malsain d’espérer revenir à un contexte de dénuement, d’ignorance ou de coercition pour voir sa vision de la vie triompher ?

            19 février 2016 à 10 h 25 min
          • Charles Martel

            Jaurès, vous essayez de me faire prendre des vessies pour des lanternes en noyant le poisson, c’est à dire en mélangeant financement de l’école obligatoire et gratuite mais à libre choix avec subvention des associations culturelles ou d’intérêt général ou d’utilité publique, sans compter le financement par les collectivités locales ou par l’état de la sauvegarde du patrimoine culturel immobilier et artistique.
            Mais vous ne dites pas, par comparaison, que nombre d’associations musulmanes (et juives) reçoivent d’énormes subventions pour financer de prétendus lieux culturels qui sont en réalité des lieux de culte, en infraction totale avec la loi de 1905.
            Ensuite, je n’ai jamais exigé, contrairement à ce que vous insinuez, de mes semblables qu’ils adoptent mes préceptes, mais je demande à ceux qui les refusent de ne pas pour autant pourchasser, intimider, menacer, ridiculiser, harceler, moquer (comme dans presque toutes les manifestations et émissions publiques aujourd’hui, mais c’est facile, car les catholiques ne lancent pas de “fatwas”), scandaliser par des atteintes au sacré, ceux qui les ont adoptés. Si vous trouvez que j’exagère, je vous renvoie à certaines expositions, pièces de théâtre et émissions de télévision intentionnellement injurieuses et sacrilèges, qui heurtent les Chrétiens jusqu’au plus profond de leur âme, avec les encouragements et la “bénédiction” (si on peut dire, car c’est plutôt du satanisme à ce niveau) des pouvoirs publics et les encouragements implicites de la justice, laquelle a été saisie à plusieurs reprises mais a toujours débouté les plaignants en dépit des évidences. Pourtant, dans l’autre sens, ça marche à chaque fois même lorsque le délit n’est pas avéré, les médias se faisant un régal de relayer les infos avant même d’avoir vérifié leur véracité, sans pour autant apporter de démenti par la suite, tandis qu’ils occultent tout évènement portant atteinte aux catholiques. Les exemples abondent dans la presse, mais il n’y a pas de pire aveugle que celui qui ne veut pas voir…

            19 février 2016 à 11 h 22 min
          • Jaures

            A Desoyer: souhaitez-vous ainsi que prolifèrent des écoles hors contrat catholiques mais aussi coraniques, marxistes, maoïstes, créationnistes, scientologiques, etc…
            Qu’est-ce qui l’empêcherait si chacun reçoit une aide de l’Etat proportionnelle au nombre d’inscrits ? Vous nous entrainez là vers une dérive sectaire dangereuse.

            Charles, vous ne pouvez demander que l’on ne critique pas votre religion jusqu’à la satire. Sinon, il n’y a plus de débat possible. Relisez ce qui est dit sur ce site sur les socialistes. Pourquoi accepter de critiquer, railler, voire insulter certaines idées et pas les vôtres ? Le débat est libre dans le cadre des lois et la notion de sacré ne concerne que ceux qui croient. Rien ne vous oblige à lire Charlie Hebdo ou à regarder les guignols de l’info comme rien n’oblige à regarder la messe du dimanche matin sur F3.
            Par ailleurs, vous ne pouvez dire que votre religion serait persécutée quand je viens de vous donner un échantillon des subventions versées aux institutions catholiques. Quant aux subventions des associations paroissiales, quand elles aident à la réfection des murs, à la restauration d’un orgue ou autre, elles participent à l’attrait des lieux de cultes et donc à l’environnement religieux.
            J’ai été précis sur les subventions accordées aux institutions catholiques. Je vous remercie de l’être autant quand vous prétendez que pour d’autres cultes ces subventions seraient “énormes”. Combien ? Qui ? Dans quel cadre ?
            Ne soyez pas évasif.

            19 février 2016 à 12 h 07 min
          • DE SOYER

            Catholiques, oui, et même juives s’ils le souhaitent. Les autres seraient interdites, pour des raisons évidentes concernant les coraniques et les marxistes. Il subsisterait une école laïque pour les agnostiques comme vous Jojo, dans la mesure où vous seriez un bon républicain (c’est-à-dire non marxiste).

            19 février 2016 à 12 h 45 min
          • Jaures

            Cher Desoyer, soyez franc: dîtes enfin que votre rêve est un national-catholicisme genre Salazar (discours de Braga du 28 mai 1936: “Nous ne discutons pas Dieu…Nous ne discutons pas la Patrie…Nous ne discutons pas la famille…”)
            Reste à convaincre des bienfaits de cette régression.
            Bon courage.

            19 février 2016 à 16 h 49 min
          • DE SOYER

            Je ne suis pas un homme du passé, comme les socialistes (je n’ai pas le coeur à gauche). Salazar avait montré ses limites. La sience économique a progressé depuis et on peut faire beaucoup mieux. Cela dit le catholicisme est ce qui se fait de mieux, car il conduit au véritable altruisme.

            19 février 2016 à 17 h 21 min
          • quinctius cincinnatus

            Hé oui @ Jaurès, Martel frappe juste ! la taqqiya, mot arabe comme il existe également un synonyme en hébreux et en persan pour désigner le ” Saint mensonge ” est une réalité à la fois officielle et culturelle

            22 février 2016 à 21 h 14 min
      • Jacky Social Répondre

        @Charles Martel: C’est comme ca qu’il faut repondre a ce nevrose sociopathe qui met tout en equivalence. Qu’il sache aussi que la Droite ne peut etre raciste. Elle prone la Liberte et ne peut donc etre raciste. La Droite, c’est etre Conservateur sur les valeurs ultimes et Liberal dans le domaine de l’economie. La Gooooche, c’est TOUT le contraire (avortement, euthanasie, mepris de la vie des autres, relativisme dans lequel un crime n’est plus un crime, mais ou toute critique de l’islam est associe a du rqcisme alors que l’slam n’est pas une race, taxes, etatisme, controle totalitaire de tout ce qui bouge, covoiturage pour les autres mais pas pour soi, magouilles, mensonges, corruption morale et financiere, foutre le bordel dans la tete des gens, abus de pouvoir, arbitraire et on en passe). Jaures en plus se contredit. On dirait qu’il perd lentement la main. C’est pas la grande forme, ces jours-ci, mon Jojo. Notre sphinx serait-il fatigue des pyramides de Ponzi que ses petits fanpharaons de gauche (UMPS en tete) nous ont si bien construits? Des greches se formeraient-elles dans le panzer de notre Jojo blinde de la thune des autres?

        16 février 2016 à 15 h 27 min
      • Raùs Répondre

        Martel@ les langues allemande et angalse ont-elles été l’objet de réformes d’orthographe ?

        20 février 2016 à 7 h 57 min
        • Charles Martel Répondre

          Bonjour Raùs, quel est le sens de votre question ? Néanmoins la réponse est non, à ma connaissance, ou en tous cas très peu, je me souviens surtout de l’abandon de certaines lettres typiquement teutonnes comme le “SZ”, mais mes connaissances en allemand, qui était ma 2ème langue vivante au BAC, et que je n’ai pas maintenues faute de pratique, se sont sérieusement amenuisées.
          Je rappelle simplement au passage que certains “néologismes” d’origine anglophone ont déjà sérieusement entaché notre belle langue avec la bénédiction des “immortels” (s’ils l’étaient vraiment, ils auraient aussi assuré l’immortalité de la langue française, ce qui est loin d’être le cas, et seraient moins politisés, confer l’accueil fait à Finkelkraut sous la coupole) : cédérom pour cdrom, gazole pour gas oil, fioul pour fuel, mél pour mail (encore que là, il s’agit de la contraction de message électronique), éducation pour education (qui veut dire instruction ou formation en anglais et non éducation), secrétaire d’état pour secretary of state, qui veut dire en réalité ministre des affaires étrangères et non sous-ministre (honte à la presse et à ses journalistes, qui nous abreuvent de ce contre-sens à tout bout de champ), j’en passe et sans doute des meilleures.
          Enfin, il faut aussi rappeler que la langue française a été évincée au profit de la langue anglaise comme langue officielle au parlement et à la commission européens, et qu’elle n’est plus langue officielle aux Jeux Olympiques, faisant part égale avec l’anglais et, dans une certaine mesure, avec d’autres langues (http://franceolympique.com/art/831-le_francais,_langue_olympique.html).
          Toutes ces “malversations” ne peuvent être le fait que de personnes mal intentionnées, désireuses d’enterrer la France éternelle, les Français de souche et leur langue avec eux.

          20 février 2016 à 11 h 18 min
        • Charles Martel Répondre

          Quant à l’anglais, son orthographe déjà simplissime ne me semble pas pouvoir se prêter à une quelconque réforme. Il s’agit plutôt d’évolutions d’usage dans certaines tournures idiomatiques, et (comme par hasard…) de l’abandon progressif d’expressions françaises dont cette langue était autrefois émaillée, car cela faisait très chic à l’époque ou la France était admirée…

          20 février 2016 à 11 h 25 min
  • David Dom972 Répondre

    Et si cette reforme simpliste de l’ortographe etait faite de facon a favoriser l’integration des immigres ? Sommes nous en train d’assister a la politique du grand remplacement ? Sans etre parano, ca y ressemble.

    10 février 2016 à 20 h 08 min
    • Charles Martel Répondre

      C’est effectivement une explication plausible, mais il y aussi celle qui dit que, comme pour le BAC, il s’agit pour l’éducation nationale de mettre l’orthographe au niveau des élèves – surtout de ceux qui apprennent le français, évidemment – faute d’avoir réussi à faire le contraire, histoire de faire croire que le niveau s’améliore… Il n’empêche que la déception sera cruelle pour tous ces jeunes, il suffit de voir le pourcentage d’échecs en fin de première année d’études supérieures. Il restera peut-être aux meilleurs la solution de passer le Certificat Voltaire histoire de se distinguer des médiocres sur leur CV.

      11 février 2016 à 9 h 04 min
  • Dupont Répondre

    L’accent circonflexe est INDISPENSABLE : si une jeune femme un peu rondelette de votre entourage vous disait : “ce n’est pas grave ,je vais maintenant me “taper” un petit jeûne” ,vous compreniez qu’elle allait faire un régime.
    Que comprendrez-vous si elle vous dit aujourd’hui : ” je vais me taper un petit jeune” …

    10 février 2016 à 14 h 38 min
  • Charles Martel Répondre

    Lorsque vous aurez compris que la plupart des membres de ce gouvernement ont la haine de la France, des Français et de tout ce qui s’y rapporte, vous aurez (nous aurons) fait un grand pas en avant. En portant la gauche au pouvoir en 2012, les Français ont ouvert toute grande la boite de Pandore et se sont fait hara-kiri. La gauche française, qui a reçu peu à peu tous les pouvoirs, savait qu’elle avait 5 ans pour tout détruire avant de se faire remplacer. Elle s’y emploie avec frénésie car 5 ans c’est court. En même temps, elle tente par tous les moyens de se maintenir au pouvoir en organisant l’irréversibilité de certaines situations, propres à asseoir son hégémonie. Ainsi en est-il de l’immigration non européenne, pour laquelle elle prépare en catimini le droit de vote aux élections locales. Pendant ce temps-là, les Français n’y voient que du feu, englués dans les actualités brulantes orchestrées uniquement dans le but de détourner leur attention.

    10 février 2016 à 9 h 01 min
    • Trannod Répondre

      mais comme la droite est aussi.tarte que la gauche …nous sommes tatin

      10 février 2016 à 9 h 53 min
  • Hilarion Répondre

    Les chiens arrivent bien à communiquer en aboyant . Cela rapproche déjà considérablement du “langage” SMS. Le SMS étant lui même largement suffisant pour la communication entre gens qui n’ont rien à se dire. La sémillante en question est restée coite il y a peu de temps en face de cette question CM2 qu’est-ce que l’hypoténuse d’un carré ? NVB est dans ce courant de “pensée” qui inspira tant les Khmer Rouge: la haine de toute autre connaissance source d’inégalité, que celle du catéchisme rouge. Il suffisait sous la dictature de ces adorateurs du crétinisme qu’étaient les Khmer Rouge de porter une paire de lunettes, témoin incertain mais suffisant de savoir, pour se faire bastonner à mort. Encore un effort et nous y arriverons.

    9 février 2016 à 15 h 45 min
  • diego48 Répondre

    Elle assassine notre culture, veut la remplacer par le charabia médiatico-gaucho !

    9 février 2016 à 12 h 57 min
    • Raspoutine Répondre

      la Belkacem est une copine de Claire Chazal !ça nous étonne ?

      13 février 2016 à 12 h 58 min
  • lenfant Répondre

    ” une magnifique élévation du niveau scolaire., bien entendu ”
    Une élévation vers la médiocrité.
    Quand on a ces chiffres, la vraie chose que cela signifie, c’est que ce diplôme n’a plus aucune valeur.
    Je propose de délivre à tout le monde, sur simple demande.

    9 février 2016 à 12 h 48 min
    • Raùs Répondre

      lenfant@ BelleKaka – là où passent les arabes il n’y aura plus d’herbe qui pousse !

      11 février 2016 à 15 h 47 min
      • Schaïssé Répondre

        Raùs@ Bellkacem c’est Attila !

        12 février 2016 à 21 h 02 min

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