Les engrenages du déclin

Les engrenages du déclin

francois-mitterrand-valery-giscard-d-estaing-jacques-chirac-nicolas-sarkozy-et-francois-hollandeJe n’ai pas regardé le débat des élections primaires de la droite française le 13 octobre dernier. Je me suis contenté de visionner des extraits.

J’attends qu’une décantation ait lieu, mais je n’attends, à vrai dire, pas grand-chose.
Dans l’état qui est celui de la France aujourd’hui, il faudrait un plan de sauvetage mis en œuvre par quelqu’un qui prendrait le pays à témoin et insisterait sur l’urgence et la gravité de la situation.

Pour l’heure, aucun des prétendants de la droite ne prend le pays à témoin.

Aucun d’eux n’insiste sur l’urgence et sur la gravité de la situation. Les discours tenus sont tièdes, médiocres, sans souffle, asthéniques.

Les discours sont ce qu’ils sont parce la droite française a dans son passé proche la présidence nulle et délétère de Jacques Chirac, et – c’est un fait la présidence médiocre de Nicolas Sarkozy, qui tente aujourd’hui de revenir après son échec, il y a cinq ans, et qui a du mal à convaincre : nombre de gens se demandent pourquoi il ferait dans le futur ce qu’il n’a pas fait quand il était président.

Les discours sont ce qu’ils sont aussi parce que tous ceux qui se présentent à droite, à l’exception de l’obscur monsieur Pois­son, ont été aux affaires sous Jacques Chirac ou sous Nicolas Sarkozy et ne peuvent pas jeter par-dessus bord ce qui est aussi leur propre passé.

Les discours sont ce qu’ils sont, surtout, parce que le débat d’idées en France sur quasiment tous les sujets a été vidé de sa substance par l’omniprésence du politiquement correct qui règne, quasiment hégémonique, dans les médias et dans les appareils politiques.

Tenir certains propos nets et tranchés est parfois possible en matière économique, mais, pratiquement, dans aucun autre domaine, sous peine de voir se mettre en place une chasse aux sorcières dont le résultat inéluctable est la marginalisation de celui qui les tient.
Un livre peut devenir un succès en atteignant des ventes de cent ou deux cent mille exemplaires. Pour gagner une élection, il faut bien plus de cent ou deux cent mille voix.

Et cela conduit immédiatement à évoquer ce qui n’est pas dit, mais qui est, comme on dit en anglais, l’éléphant dans la pièce d’habitation.

Quand, dans un pays, plus de la moitié de la population ne paie pas d’impôt sur le revenu, il y a toujours des candidats capables de proposer de quoi séduire ceux qui ne paient pas d’impôt sur le revenu. La France est dans cette situation depuis des années et a donc franchi un seuil qu’on peut considérer comme irréversible dans l’avancée vers le gouffre et le socialisme.

Si on ajoute le poids désormais très important de l’électorat musulman, on fait face à un autre éléphant dans la pièce d’habitation.

Dans ces conditions, quelques propositions existent et ont été énoncées dans le débat des élections primaires de la droite française, mais elles sont toutes insuffisantes et pas du tout à même d’enclencher un redressement. Les plus audacieuses (et l’audace est très relative) concernent des sujets tels que le temps de travail, la TVA, ou le traitement des individus fichés S. Les plus vides et pusillanimes concernent le péril islamique (parler de la burqa, une fois de plus, est pitoyable, et la burqa vient cacher l’existence très concrète d’un danger d’explosion du pays, comme l’arbre vient cacher la forêt).

L’un des candidats présents au débat des élections primaires de la droite française sera sans doute présent au deuxième tour face à Marine Le Pen dans quelques mois, et élu par défaut plus que par adhésion, dès lors que la gauche française est en miettes et que Francois Hollan­de n’en finit pas de montrer sa stupidité et de l’étaler au grand jour.

Le candidat concerné sera ou bien Alain Juppé ou bien Nicolas Sarkozy, et je crains fort que ce soit Alain Juppé. Marine Le Pen sera très haut en nombre de voix, mais ne sera pas élue, et elle sera, sauf changement brusque, une candidate très à gauche dans tous les do­maines, sauf l’immigration.

Son objectif sera l’élection de 2022, et je ne serai pas surpris si, à ce moment-là, elle l’emporte. Je ne serai pas surpris non plus si la France en 2022 est en plus mauvais état encore qu’aujourd’hui. Quand les engrenages du déclin sont enclenchés, il est difficile de les arrêter. Hélas…

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Comments (27)

  • druant philippe Répondre

    @vozuti:

    le fn est plutôt classé “mollusque ” : marine la cagola maxima aime ses français de papier et veut les assimiler au lieu de les remigrer après un passage par la case “dénaturalisation” ; rappelons que cette femme est avocate et a défendu les envahisseurs avant de se lancer en politique .
    Comme vraie droite dure , je ne vois que les identitaires (même de gauche , cela existe) .
    Le FN est en train de se fiottiser (philippot), de se francmaçonniser (collard) et de se multiculturaliser (les candidats afromuzz du fn) .

    26 octobre 2016 à 17 h 10 min
    • vozuti Répondre

      oui,c’est possible,personnellement,je préfère sa nièce,marion marechal lepen.

      26 octobre 2016 à 19 h 38 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        moi itou !

        moins populiste, davantage élitiste et ” historique ” ( je veux parler de la Culture )

        26 octobre 2016 à 21 h 22 min
  • BRENUS Répondre

    A propos du programme de Juppé que la gauche adore et souhaite voir passer : Ce matin sur RMC (radio mon couscous) l’interlocuteur tente de faire accroire que Juppé a un programme de droite “dure” avec l’exemple de la réduction de 20% des allocs chomage a 12 et 18 mois, histoire de bien montrer qu’il a une prévision politique de droite. Le zozo – Neuman je crois, un bon gaucho- OUBLIE seulement de préciser que juputte a dit “SI LE CHOMAGE REGRESSE” (sans préciser jusqu’ou) Autrement dit, chacun a bien compris que ce sera aux calendes grecques mais qu’il faut surtout laisser entendre que l’on ne soutient pas une grosse larve genre chirac qui prendra bien soin de cirer les pompes des bobo-gauchos.

    26 octobre 2016 à 14 h 56 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      Neuman du ” Point ” est un journaliste désespéré ! son idole idéologique Saint François de Tulles s’ est invaginé de lui-même par son nombril !

      26 octobre 2016 à 21 h 25 min
  • vozuti Répondre

    le candidat de la gauche et du centre,juppé, va représenter LR (tous les sondages montrent que juppé est plébiscité par les électeurs de gauche et du centre, qui vont lui faire gagner la primaire).
    à moins qu’un nouveau parti émerge à droite,les électeurs de droite n’ont donc qu’un seul choix possible pour la présidentielle,le FN.

    26 octobre 2016 à 1 h 18 min
    • Jaures Répondre

      Qu’est-ce qui vous fait dire que le FN serait de droite ?
      Mme Le Pen elle-même récuse ce classement et menace même de poursuites ceux qui affirmeraient que le FN serait d’extrême droite.
      Le FN est juste populiste c’est à dire qu’il prend des positions plutôt de gauche ou plutôt de droite selon ce qu’il pressent de l’état de l’opinion.

      26 octobre 2016 à 8 h 57 min
      • vozuti Répondre

        jaurès,vous êtes un bon baromètre pour savoir qui est de droite ou de gauche :
        vous dénigrez systématiquement le fn,cela montre qu’ils sont de droite.
        inversement,vous avez l’habitude de voler au secours de juppé lorsqu’il est critiqué,cela confirme qu’il est de gauche.
        mais dans le cas de juppé,pas besoin de votre baromètre,tous les gauchistes le vénèrent comme leur sauveur contre la droite.

        26 octobre 2016 à 12 h 07 min
        • Jaures Répondre

          Détrompez-vous, Vozuti. Sur bien des plans, Mme Le Pen est plus à gauche que moi (contrôle administratif des prix, retour de la retraite à 60 ans), sur d’autres elle l’est autant que moi (augmentation de bas salaires, nationalisation de certaines entreprises, pas de RGPB).
          Le problème est qu’elle ne dit pas comment elle va procéder et financer son action.
          Concernant la politique migratoire, Mme Le Pen s’en tient aux slogans. Que veut dire immigration 0 ? Comment controler les frontières ?
          Sur l’Islam ou le MPT, il existe des divergences de fond entre les dicours des membres du FN.
          Sur bien d’autres plans, comme la culture ou l’éducation, la politique du FN est très floue.
          Comme tout parti populiste, le FN est hésitant là où l’opinion est elle-même fluctuante.

          Quant à Juppé, pas d’ambiguïtés: c’est un homme de droite pure et dure que j’ai combattu autrefois comme tel et qui n’a pas changé d’un iota sur l’essentiel.

          26 octobre 2016 à 13 h 08 min
          • vozuti

            cessez de brandir les programmes,qui ne sont que des prospectus publicitaires auxquels personne ne croit,pas même vous.
            juppé est l’homme de gauche que tous les gauchistes soutiennent pour faire barrage en 2017 à ce qu’ils considèrent être la droite.

            26 octobre 2016 à 14 h 25 min
          • Jaures

            Très bien alors si tous les programmes ne valent pas tripette et ne sont que publicité mensongère, inutile de vous déplacer: vous serez forcément déçu.

            26 octobre 2016 à 16 h 23 min
          • vozuti

            on sait au moins ce que feront ceux qui ont déjà eu le pouvoir,la seule inconnue concerne le fn… lorsqu’on a eu des employés calamiteux(les élus sont nos employés),on les vire et on prend quelqu’un d’autre à l’essai.le plus l’important n’est pas ce qu’ils racontent durant l’entretien,mais ce qu’ils feront réellement.
            reprendre un employé(juppé) qui pique dans la caisse,qui favorise l’islam,qui n’a fait que des catastrophes à chaque fois qu’on a eu le malheur de lui donner un pouvoir,c’est de la démence…il vaut mieux payer ce gars à ne rien faire,ou à faire des voyages, pour l’éloigner,mais lui confiez un travail,c’est chercher les ennuis.

            26 octobre 2016 à 19 h 33 min
          • Jaures

            Alors dans ce cas, si n’importe qui fera l’affaire du moment qu’il n’a pas pratiqué, prenez votre boulanger ou votre voisin et votez pour lui !
            Il y a quelque chose d’irrationnel dans ce que vous écrivez: vous ne pensez pas que Mme Le Pen fera ce qu’elle dit, pire, vous êtes en désaccord avec une bonne partie de ce qu’elle annonce, mais vous votez pour elle uniquement sur ce qu’elle affiche: un discours en apparence hostile aux immigrés.
            Quelque chose me dit que si elle promettait la dictature du prolétariat et la nationalisation de tous les moyens de production vous voteriez encore pour elle pourvu qu’elle s’en prenne un peu aux immigrés.

            26 octobre 2016 à 21 h 57 min
  • BRENUS Répondre

    Tiens le clown jojo n’a pas encore pris ses vacances de Toussaint. Pourtant il m’a semblé que dame Tautau l’avait invité à Cayenne pour participer à l’élaboration de son projet présidentiel.

    25 octobre 2016 à 19 h 34 min
  • Jaures Répondre

    M Millière, j’aimerais enfin que vous m’éclairiez sur la notion de “déclin” que chacun utilise ici sans l’expliciter.
    Déclin par rapport à quoi, à quel apogée ?
    Vous alignez les présidents de Giscard à Hollande, est-ce à dire que les années 60 étaient alors les meilleures années de la France ? Ou les années 50 peut-être ?
    Je n’ose imaginer que vous regrettez le temps des guerres mondiales, de la Shoah et du goulag.
    Alors, sur quels critères jugez-vous ?

    Pour le reste, rien de nouveau puisque depuis des décennies, vous donnez votre soutien à un candidat pour le vouer aux gémonies quelques mois après qu’il ait été élu.
    Et puis comme lorsque vous étiez en France vous ne formuliez guère de propositions originales ou mobilisatrices, je doute que de l’autre côté de l’Atlantique vous viennent tout à coup les idées que vous reprochez aux autres de ne pas produire.
    Mais peut-être me trompé-je et vais-je bientôt lire sous votre plume ce que vous préconisez pour la France en livrant vos idées au débat…

    25 octobre 2016 à 17 h 30 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      le déclin c’ est un peu comme l’ inversion de la courbe [ du chômage ] : ce n’ est pas un outil mathématique à proprement dire [ pour faire rapide : l’ inversion du signe de la dérivée ] c’ est comment dire … ” subjectif ” et c’ est pour ces deux raisons que vous revenez inlassablement sur le mot

      25 octobre 2016 à 18 h 27 min
      • Jaures Répondre

        Subjectif ?
        Soit !
        Quelle est donc votre approche subjective du déclin ? Quel fut pour vous, subjectivement, l’apogée depuis lequel nous déclinons ?

        25 octobre 2016 à 21 h 25 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          ce n’ est pas parce que je n’ entame pas une discussion ( stérile ) avec vous sur ce sujet … ” subjectif ” que pour cela il vous faut croire que vous avez emporté la manche …

          je dis que tout cela est ” subjectif ” et cela suffit à répondre à vos interrogations historiques et existentielles

          26 octobre 2016 à 8 h 34 min
          • Rpuletabille

            Eh oui quinctius. C’est subjectif car tout est dans les regrets.
            Mitterrand nous fit regretter Giscard, Sarkozy Chirac et aujourd’hui Hollande Sarkozy.
            Seigneur! en sera-t-il de même avec le successeur de notre président?
            C’est bien cela le déclin, aller de mal en pis.

            26 octobre 2016 à 10 h 20 min
    • Guy Milliere Répondre

      Il n’y a pas eu d’apogée, mais il y a eu une société française ou des valeurs fondamentales étaient encore transmises, la valeur du travail, l’esprit d’entreprise, l’amour du pays et de la civilisation occidentale dont la france fait partie, des règles éthiques définissant le bien et le mal. ce n’était pas parfait. la france était moins riche, mais il y avait moins de chômeurs, les criminels n’étaient que rarement traites comme des victimes de la société, le relativisme moral et culturel ne frappait pas le pays. l’économie était déjà étatisée, certes, la bureaucratie très présente, l’état de droit déborde par l’autoritarisme, mais il restait des repères qui sont en train de se disloquer. Le déclin est surtout la. Les années Pompidou ont été les dernières années de la france que je décris. tous les présidents depuis giscard ont été médiocres ou crapuleux. Giscard fut médiocre et vaguement socialiste, il a préparé le terrain a mitterrand, qui fut crapuleux, chirac a été crapuleux et médiocre, sarkozy aussi, hollande tout juste médiocre. La France n’a eu ni Reagan ni Thatcher. Mes propositions sont celles de mes amis libéraux et conservateurs. il y en a des traces chez quelques candidats républicains, mais un programme susceptible de redresser la france n’a aucune chance de passer dans la france d aujourd hui, donc j’analyse, je n’ai pas a faire de propositions, celles énoncées dans le programme pour un président de mon ami jacques garello sont toujours d’actualité. je ne puis soutenir le meilleur en france, mais, a la rigueur le moins mauvais, et je ne peux soutenir juppé. mon ami alain madelin s est retire de la politique et nous ne parlons quasiment jamais de politique. Le rôle d’analyste me convient. je n’ai aucune volonté d être militant et de m impliquer dans la politique politicienne. j’ai conseille des hommes politiques, je n’ai jamais été plus loin. je n’irai jamais plus loin.

      28 octobre 2016 à 10 h 30 min
      • Jaures Répondre

        Si pour vous la période gaulliste, jusqu’à Pompidou était celle qui a précédé notre déclin c’est pour le moins étonnant de la part d’un libéral. Vous parlez d’une époque où les médias étaient étatisée, celle de l’ORTF. Les films étaient censurés. L’économie était encore celle des plans quinquennaux.
        Pareillement, les valeurs étaient-elles enseignées dans votre sens avant Giscard ? Qui a donc transmis ces valeurs à ceux qui ont fait 68 sinon les professeurs des années 50/60 ?
        Qu’est-ce qui vous fait dire que les délinquants étaient traités avec plus de sévérité alors ? Le taux d’incarcération était-il plus élevé ?
        Il y avait, c’est vrai, moins de chômeurs mais pas moins de pauvres, bien au contraire.
        Sur “l’amour du pays”, c’est dans les années 60/70 que sont parues les chansons et les films les plus contestataires.

        Bref, je crains que vous ne fantasmiez une époque où la population était bien loin alors de se sentir privilégiée ou forte de “valeurs fondamentales”. Il y avait des actes terroristes, des immigrés par centaines de milliers, des bidonvilles autour de toutes les grandes villes, des grèves parfois violentes,…
        “Il est toujours joli le temps passé” chante Brassens.
        Et cela vaut également pour Reagan ou Thatcher. Inutile de se quereller sur leur bilan. Qu’en est-il aujourd’hui ? Vous n’avez pas de mots assez durs sur l’état des Etats-Unis.
        Et personne en France n’envie le sort des Daniel Blake britanniques.

        Enfin, pour le reste, je n’ai jamais vraiment compris votre position. En effet, vous êtes intraitable sur tous les dirigeants, vous ne leur trouvez aucun élément positifs, tous quel qu’ils soient sont traités par le mépris, le rejet, l’insulte sans nuances.
        Pourtant, dés qu’on vous demande ce que vous vous feriez, vous éludez et vous retirez du jeu.
        Ce n’est pas très responsable. C’est intellectuellement immature.
        D’autant que vos amis n’ont absolument pas les mêmes positions. Madelin taxe les propositions libérales des candidats LR de “purges”.
        En ne vous engageant pas, vous ne décidez pas de ne pas “aller plus loin” mais juste d’aller nulle part.

        28 octobre 2016 à 11 h 58 min
        • vozuti Répondre

          prenez exemple sur @jaurés,la soumission au pouvoir en place(quel qu’il soit) est le seul moyen de pouvoir croquer dans le gâteau.
          les rebelles sont toujours écartés du festin.alors pourquoi ne pas dire simplement “notre époque est formidable,nos dirigeants sont les meilleurs de l’histoire de l’humanité”.
          c’est absurde,mais ça rapporte.

          28 octobre 2016 à 12 h 35 min
          • quinctius cincinnatus

            le problème est d’ ordre moral ; en France la position de J@urès n’ est pas même précaire … en cas de coup de tabac, on lui trouvera une sinécure

            tout est là

            ainsi, prenons le cas emblématique de la seconde femme de Juppé :

            sa profession : journaliste au quotidien catholique ( ? ) ” La Croix ”

            elle fait du gringue à l’ intoxiqué chronique à l’ arsenic et finit par se faire épouser

            elle quitte son journal et devient , et c’ est proprement merveilleux, directrice du département de l’ environnement chez Lagardère ( qui emploie également Trierweiler )

            en résumé des super-woomen aptes et prêtes à tout … sauf à être des dépouilles

            28 octobre 2016 à 14 h 37 min
          • Jaures

            Et quelle est votre proposition, Quinctius ?
            Instituer la précarisation généralisée ? Contrat 0 heure pour tous ? Suppression de l’héritage ? Plus de placements garantis ? Plus de numerus clausus ?…

            28 octobre 2016 à 15 h 48 min
          • quinctius cincinnatus

            à J@urès 28 / 10 / 2016 à 12H 35

            ? .. ? …. ? …… ?…………? ……………. ?

            28 octobre 2016 à 16 h 23 min
          • Jaures

            J’ai beau chercher, aimable Quinctius, je n’ai pas envoyé de post ce jour à cet horaire.

            28 octobre 2016 à 16 h 40 min
          • quinctius cincinnatus

            à 15 h 48 durant votre pose … goûter … en réalité je pense que votre poste de travail se trouve juste devant la machine à ( mauvais ) café

            les” ? ” demeurent

            28 octobre 2016 à 17 h 43 min

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