Lettre ouverte à Jacques Chirac
Monsieur le Président, le 29 novembre 2015, vous aurez 83 ans. Vous avez été un acteur incontournable de la politique française pendant plus de 40 ans.
En vous souhaitant un joyeux anniversaire, vos amis mettront en valeur les aspects positifs de votre carrière.
Quant à moi, Français moyen de Franche-Comté ayant toujours voté à droite, je me limiterai à dresser la liste des grandes lois promulguées sous votre autorité, et dont nous subissons aujourd’hui les conséquences et les méfaits.
Premier ministre de 1974 à 1976, c’est sous votre responsabilité que la loi Veil, légalisant l’avortement a vu le jour. Depuis, environ 200 000 petits êtres sont éliminés chaque année.
Votre regroupement familial a donné naissance à des ghettos communautaires, devenus au fil des ans, des zones de non-droit.
En 1986, vous avez inauguré le principe de la cohabitation, occasion rêvée pour le président socialiste François Mitterrand de se refaire une santé politique avant d’être réélu triomphalement en 1988.
Président de la République en 1995, vous reculez, face à la rue, en enterrant le « Plan Juppé » qui prévoyait l’alignement des régimes de retraites du public sur le privé. Vingt ans après, cette reculade compromet gravement la pérennité du système et en accentue les inégalités.
Vous suspendez le service national, privant notre jeunesse d’un formidable outil d’intégration.
Coup de génie, en 1997, vous décidez de dissoudre l’Assemblée nationale, offrant Matignon au Parti socialiste de Lionel Jospin.
Cinq années, marquées par une avalanche de lois aussi funestes les unes que les autres : l’IVG qui passe de 10 à 12 semaines le PACS, les 35 heures, la CMU, l’AME et la SRU…
Autant de bombes à retardement qui nous sautent aujourd’hui à la figure !
Vous faites adopter le quinquennat présidentiel, faisant voler en éclats la clé de voûte de la Ve République, à savoir, l’indépendance politique du Président de la République. De plus cette loi freine toute initiative pour réformer notre pays.
Arroseur arrosé, vous profitez en 2002, de l’effet « cohabitation ».
Votre second mandat sera marqué par le principe de précaution, inscrit dans la constitution, et qui décourage la recherche et l’innovation.
Certes, ce tableau n’est pas très flatteur, mais l’histoire jugera et nos enfants paieront… Bon anniversaire tout de même !
Comments (9)
dans la funeste liste du personnage, vous oubliez le “discours” du Vel d hiv, pondu d ailleurs par une peronelle de son entourage, Chirac le plus grand traitre a la patrie sans doute
Françaises ,Francais ,contemplez du haut des idoles de vos partis politiques ,la puissance intellectuelle des parasites de la Nation.Amen.
Un coût annuel de 2 millions d’euros non imposable (train de vie d’ancien président) plus sa retraite de 31 000 € par mois. La retraite moyenne d’un Français est de 1 240 € par mois…
Chirac, un camion avec un moteur de 2CV. Il n’a fait qu’impressionner, pour ne vendre qu’une lessive insipide d’abandon progressif de la France.
“Et sent trop mauvais pour les mouches
Bon voyage dans tes babouches”
Les arabes sont comme des mouches , ils bouffent la m…e avec leur bouche : pour l’ ancien d’ Algérie que vous devez être .
A serré beaucoup trop de louches
Pour enfin finir sur la touche.
Et sent trop mauvais pour les mouches
Bon voyage dans tes babouches
Te disent tous les français de souche.
Je sais, ce n’est pas “terrible” mais l’a t il été ?
C ‘ était quand même l’ Elite [ autoproclamée il est vrai ] de la France à ce qu’ on disait de lui et de ses semblables énarques ! … la … ” discrimination ” au concours avait des failles comme les frontières dites de … Schengen , cela ne peut plus être maintenant contesté … car comme disait [ de façon méprisante, je vous l’ accorde ] mon prof de maths en terminale, membre du groupe Bourbaki s.v. p. , en parlant des ” traînards ” de la classe : ” ils pourrons toujours faire H.E.C. ou l’ E.N.A. “
iI ne peut plus nuire maintenant qu’il est gâteux, mais il va encore nous coûter cher, entre le maintien de ses avantages d’ancien président qui permettent au personnel qui lui est attaché de bien vivre sans trop se fatiguer et sa maladie qui le traînera de son lit doré à des funérailles en or ; à le supporter nous aurons bien mérité de la patrie.
Bon vent,
assez fort pour l’emporter le plus loin possible !
laissez donc ce ” légume ” aux ” bons soins ” de son épouse aimante … et laissons à l’ Histoire le soin de lui régler ses comptes ! …