A court de carburant par pénurie d’idées !

A court de carburant par pénurie d’idées !

Les Français sont aujourd’hui les otages de quelques syndicats minoritaires. Cela démontre une fois de plus, la nécessité de réformer un système à bout de souffle, avec des représentants totalement déconnectés, plus attachés à la durée de leur mandat qu’à la défense des intérêts des salariés. Avec seulement 8 % de salariés syndiqués dans l’hexagone (contre 23 % en moyenne dans l’UE), la France est aux mains de professionnels du syndicalisme dont le seul objectif est d’obtenir une majorité au sein d’une minorité de votants ! Et voilà comment s’explique le blocage de tout un pays avec seulement quelques dizaines de manifestants dans nos 8 raffineries !

Nous Citoyens dit STOP ! En 2017, nous devrons avoir le courage d’engager de vraies réformes, et non des réformettes, pour adapter et moderniser le syndicalisme à la Française, un syndicalisme fort, représentatif et connecté à la vie économique.

Nous Citoyens n’a pas attendu les événements récents pour travailler sur des propositions solides, à savoir :

● Reconnecter la représentation syndicale avec les réalités du terrain et du monde du travail en interdisant le cumul des mandats principaux (Délégué du personnel, Membre du Comité d’entreprise et membre du CHSCT) pour permettre aux représentants syndicaux de conserver leur activité de salarié,

● Améliorer la représentation des salariés en entreprise en instaurant le chèque syndical qui transfert aux salariés eux-mêmes l’attribution des moyens de financement aux syndicats de leur choix,

● Donner plus de considération aux salariés en impliquant davantage la représentation syndicale aux orientations stratégiques des entreprises,

● Réorienter l’action syndicale en recentrant le droit de grève sur les questions salariales et les conditions de travail.

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Comments (111)

  • Jacky Social Répondre

    @Jaures: vous etes decevant a la fin. Venez avec des arguments plus couillus. Qu’est-ce qu’on va faire et qu’est-ce qu’on va dire lors de la prochaine greve? Camarade, ne nous laisse pas tomber. Invente-nous des revendications, merde. On est comme un poulet sans tete. Comme le pays. Fais quelque chose, bordel.

    6 juin 2016 à 21 h 08 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    en parlant d’ idées

    Barouin Le Chafouin rejoignant Sarkozy L ‘ Agité ça donne vraiment envie de voter pour le second !

    5 juin 2016 à 19 h 10 min
    • Jacky Social Répondre

      @QC: la carriere des autres, je m’en branle. Sarkon a ete president pendant 5 ans et il n’a rien fait a part se remarier. Barouin est un gros connard pretetieux. A part baiser la Drucker, il n’a pas fait grand chose. Si ces stars eteintes, c’est tout ce que vous avez en rayon, vous repasserez. Revenez-nous avec quelque chose de plus couillu. Bonne chance.

      5 juin 2016 à 19 h 25 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        savez vous ce qu’ est la dérision d’ Jack ?

        5 juin 2016 à 20 h 58 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    les ” classes ” existent , à preuve:

    – les première et seconde classes à la S.N.C.F.

    – les classes touriste et affaire à Air France

    etc … etc …

    et ce ne sont pas forcément ceux qui ont de la … classe qui occupent les sièges ainsi financièrement hiérarchisés …

    en résumé, les classes sont essentiellement d’ essence ” sociale ” et principalement économique et il est préférable … intellectuellement et plus particulièrement moralement de les ignorer… cela évite d’ entretenir ce rongeur : l’ Envie

    5 juin 2016 à 9 h 31 min
    • Jacky Social Répondre

      @QC: exactement. Et le probleme, ce n’est pas l’existence de classes sociales qui est le moteur de la vie (cela donne l’envie de bouger, non?), mais le concept de “lutte des classes” dont le carburant est effectivement l’envie et le negative et la perversion. Rien dans la vie n’est jamais acquis pour de bon. Il y a peu d’existences lineaires vers l’aisance materielle sans avoir a souffir d’echec et de retour en arriere. On peut etre un monsieur aujourd’hui et ruine demain et vice versa meme si c’est certainement plus difficile. Dans la vie, chez la plupart, l’immense majorite meme, il y a des hauts et des bas. Il faut se battre pour vivre et non attendre que l’on vous donne ou redistribue les affaires des autres, les nantis, en tant que revenu principal. Cela n’exclut en rien l’entraide et la solidarite. Mais celles-ci doivent etre tres limitees afin d’inciter les beneficiaires a se bouger et non se reposer sur les autres. Quand je lis qu’il faut combattre les actionnaires ou les grands patrons, je trouve cela absurde et meme grotesque. C’est d’un populisme abject qui joue sur les peurs, les frustrations et le manque de confiance en soi (la loose). C’est dire comme ce concept errone de lutte des classes a vieilli et est completement sans fondement. Les lois, les regles et les reglements ont fini par bloquer l’acenseur social qui ne peut exister que par la participation active a l’activite economique creatrice de richesses. Pour moi, la reussite sociale, ce n’est pas etre haut syndicaliste (oxymore) ou haut fonctionnaire (autre oxymore). Ca, c’est plutot reussir le theoreme de F. Bastiat: “L’etat est cette fiction par laquelle tout le monde essaie de vivre aux crochets de tout le monde”. Mais ce n’est pas ca, l’ascenseur social. C’est tellement plus facile de se lamenter et de faire greve en bloquant un pays. Il va falloir mettre ces organisations mafieuses et fraudeuses, appelees “syndicats” au pas de l’oie et ce tres vite.

      5 juin 2016 à 10 h 40 min
      • Jaures Répondre

        La question n’est pas “d’attendre que l’on vous donne ou redistribue les affaires des autres”. La richesse produite par une entreprise n’appartient à personne tant qu’elle n’est pas partagée. Une fois l’accord signé, la part des actionnaires leur appartient, peu importe ce qu’ils en font.
        La lutte des classes s’exprime au moment du partage.
        Et ce n’est pas “facile” de faire grève. En ce moment, les cheminots sont en grève non pour gagner plus ou travailler moins mais pour ne pas que l’on dégrade leurs conditions de travail actuelles. Pour cela, ils ont déjà perdu 10 jours de salaire.
        C’est peut être un détail pour vous mais pour eux ça veut dire beaucoup.

        5 juin 2016 à 12 h 11 min
        • Jacky Social Répondre

          @Jaures: vous prenez vraiment les gens pour des cons. Ca marche sans doute a la central, mais avec moi ca ne prend pas. Les richesses produites par l’entreprises appartiennent aux proprietaries de l’entreprise. Vous avez un raisonnement typiquement mrxiste. Un exemple: si vous mettez une sale de bain dans une maison ancienne, vous lui dnnez de la valeur. Lorsque vous revendez cette maison (ca, c’est le business), allez-vous rechercher les ouvriers (carreleurs et plmbiers) qui ont effectue le travail pour partager la plys value avec eux. Non, bien sur. Pourquoi? Parce qu’ils ont deja ete payes pour effectuer ce travail et c’est tout. orsqu’on revendez de l’or avec un benefice, courrez-vous derriere les mineurs sud-africains pour leur reverser une partie de a plus-value? Non, bien sur.
          Si facile de faire greve. Il suffit de ne rien faire et aurtout de ne pas penser. Travailler moins, c’est gagner plus. Desole. Si je travaille 8 heures a 7 euros l’heure, ca fait 56 euros. Si je travaille 7 heures pour 56 euros, ca fait 8 euros l’heure. Donc si l’entreprse veut 8 heures de travail, cela lui coute 64 euros au lieu de 56. Tout cela est evidemment gratuity. De plus, si es ouvriers peuvent realiser le meme travail en travaillant moins, cela veut dire qu’ils sont trop nombreux et qu’il faut degraisser ou alors delocaliser. Point barre. De quelle degradation des conditions de travail parlez-vous? E Belgique, la SNCB “occupe” 34.000 (trente quatre mille) personnes (je n’oserais pas dire “travailleurs”) pour un pays minuscule comme le notre. Le PDG de la SNCB a declare que l’on pouvait faire tourner la boite avec 1/3 des employes. Connaissant l’entreprise, cela ne fait aucun doute.

          5 juin 2016 à 13 h 02 min
          • quinctius cincinnatus

            ” Jaurès vous prenez les gens pour des c..s ”

            et il n’ a pas tort ! heureusement il y a les … statistiques ! mais oui les sta-tis-ti-ques ! le tout est de savoir les ressortir à bon escient et de les bien utiliser !

            ainsi avec 119 homicides pour 100.000 habitants la ville mélancholique de Caracas au Venezuela démocratique bolivarien et chaviste ( je sais cela fait beaucoup ! ) est la ville la plus criminogène du Monde … ah ce lobbying du syndicat des fabricants d’ armes yankees et cette foutue constitution américaine !

            5 juin 2016 à 14 h 19 min
          • Jaures

            Je crois que vous faites plusieurs erreurs de raisonnement.
            Si je demande à une entreprise d’effectuer des travaux chez moi, les ouvriers ne sont pas mes employés mais ceux de l’entrepreneur choisi. C’est à cet employeur que ces ouvriers doivent faire valoir leurs revendications.
            Idem pour les mineurs qui extraient l’or et qui doivent se faire entendre des propriétaires des mines.
            Les salariés ne revendiquent pas la propriété d’une entreprise mais la juste répartition des richesses produites; ces richesses sont le fruit du travail des salariés et ceux-ci doivent également en profiter par des augmentations de salaires et de meilleures conditions de travail. Que les propriétaires refusent de négocier est leur choix mais en ce cas, les salariés peuvent se mettre en grève ce qui fera chuter les bénéfices. Personne n’a intérêt au conflit. Mieux vaut négocier, ce que font d’ailleurs la plupart des directions pas aussi bornées que vous qui feriez couler votre boîte par votre intransigeance dogmatique.
            Votre raisonnement serait recevable si quand une entreprise va mal, les actionnaires prenaient sur eux, tout le poids des difficultés. Or, ce n’est pas le cas: une chute des bénéfices implique des licenciements, des baisses de salaires, du chômage partiel, etc…
            Enfin, bien sûr qu’on peut diminuer le coût de n’importe quelle entreprise ! Il suffit d’aligner salaires et conditions de travail sur la Chine ou l’Inde. On trouve toujours moyen: des investisseurs chinois s’installent au Vietnam où les coûts de main d’oeuvre sont plus favorables qu’en Chine.

            5 juin 2016 à 14 h 26 min
          • Jacky Social

            @Jaures: mais si, ce sont vos employes. Indirects, mais ce sont vos employes quand meme, car c’est vous qui payez. On en reviendra toujours a ca. Il n’y a pas d’erreur de raisonnement On paie pour un travail donne et ce, sur une base contractuelle. C’est pareil. Maintenant, si l’entreprise fait des pertes, demande-t-on aux ouvriers de les assumer en tout ou en partie? Non, bien sur. Chez Jaures, on ne prend que le beau et le gras et le reste, on s’en contrebranle, comme d’habitude. Si les ouvriers ne sont pas associes aux risques, ils ne peuvent etre associes aux benefices. Ils ont un contrat qui les en preserve de patt et d’autre. Point barre. Ou y a-t-il erreur de raisonnement, mon Jaures Thorez?

            5 juin 2016 à 15 h 46 min
          • Jaures

            Soit ! Alors tout le monde est mon employé indirect: le paysan auquel j’achète la viande, le banquier qui gère mon argent, le prof de mes enfants, le mécanicien qui répare ma voiture,…
            Je suis le patron de 25 millions de salariés ! Qui sont eux-mêmes les patrons de 25 millions d’autres salariés.
            C’est évidemment absurde. Le lien de subordination n’existe qu’avec celui qui verse le salaire, qui organise le travail et le contrôle.
            Il ne faut pas confondre patron et client.
            Et encore une fois, vous ne connaissez rien à l’entreprise. Les salariés sont les premières victimes d’une baisse d’activité: suppression de primes, réorganisation, chômage partiel, plans sociaux,…
            Vous écrivez tellement d’énormités sur les entreprises que je me demande si vous n’êtes pas fonctionnaire.

            5 juin 2016 à 17 h 24 min
          • Jacky Social

            @Jaures: c’est exactement ca. Vous raisonnez a l’envers. Lorsqu’on achete un travail ou un service, c’est pareil. Je ne vois pas ou est l’enormite. Quid de partager les risques au meme titre que de partager les benefices? C’est la ou l’on veut vous entendre. L’employe/ouvrier a un contrat et c’est tout. Il s’agit d’un contrat par lequel il est tenu de fournir un travail contre une remuneration egalement etablie contractuelle. Le contrat doit contenir cette information sans que l’on puisse changer les regles du jeu au milieu de la partie. C’est en realite ce que vous faites et c’est ce qui met les entreprises en difficulte. Idem avec les regles d’imposition qui changent tout le temps et uniquement vers le haut. Vos explications sont tres revelatrices de vos intentions destructrices. A chaque post, vous vous enfoncez un peu plus. On croirait que vous etes syndicaliste. Je vous ai pose deux questions: 1) si vous souhaitez que l’ouvrier soit associe aux benefices, il doit etre associe aux risques et aux pertes eventuelles. Sinon, quelle explication fournissez-vous pou justifier que l’un ne va pas sans l’autre? 2) De quelles conditions de travail difficiles parlez-vous en Europe occidentale au 21eme siecle? On veut entendre vos arguments la-dessus.

            5 juin 2016 à 18 h 24 min
          • Jaures

            C’est bien ce que je disais, Jacky, vous ne connaissez rien aux entreprises.
            Les contrats fixent une rémunération selon les grilles négociées en entreprise ou par branche. Ces grilles sont révisables par des négociations aux échéances précises. Les rémunérations sont également révisées selon les évaluations individuelles.
            Je me demande où vous avez bien pu travailler.
            J’ai déjà répondu à votre question: les salariés sont associés aux risques de l’entreprise: baisse d’activité=suppression des primes, pression sur les salaires, chômage partiel, plans sociaux,…
            L’association aux bénéfices, c’est justement le sujet des négociations.
            Quant aux conditions de travail, cela peut être l’amplitude des horaires, le travail de nuit, les temps de pose, l’hygiène et la sécurité, les charges lourdes, l’environnement, les cadences,…
            Décidément, vous n’avez jamais travaillé en entreprise, c’est une évidence.

            5 juin 2016 à 21 h 41 min
          • Jacky Social

            @Jaures: je n’ai jamais eu l’horreur de travailler pour une entreprise francaise, effecivement, et je ne connais rien aux syndicats et preferent m’en tenir la. Je vous ai vu a l’oeuvre, ca m’a suffi. Ce n’est pas a un syndicat de fixer mon salaire, ni a me dire quand je dois entrer en greve, ni a un syndicat a m’apprendre a penser. Mon experience vient tout droit du monde anglo-saxon Thatcherien et Reaganien. La France n’est pas le centre du monde, ni vous son nombril. Les revisions de salaires peuvent etre egelament contratualisees par l’atteinte d’objectifs précis et pas au gre des humeurs et des emotions d’un syndicat ou la dictature, l’arbitraire et l’irrationnel regnent en maître.
            Taisez-vous. Vous n’a jamais travaille tout court. L’association aux benefices ne peut s’envisager que s’il y a une association aux risques et aux pertes. Ou alors vos larbins dociles n’ont qu’a fonder leur cooperative genre kolkhoze (on connait le resultat).
            “l’amplitude des horaires, le travail de nuit, les temps de pose, l’hygiène et la sécurité, les charges lourdes, l’environnement, les cadences “infernales”,… Aie, nous voice dans le socialisme lacrimal. Pouvez-vous fournir plus detail? S’ils ne veulent pas travailler, ils ne seront pas payes. Point barre.

            6 juin 2016 à 13 h 23 min
          • Jaures

            Si vous ne connaisez rien aux entreprises françaises, n’en parlez pas !
            Pour votre gouverne, la convention ne fixe pas votre salaire mais son minimum. Mais je suis sûr qu’en le demandant on pourrait vous faire la faveur d’une dérogation et vous embaucher pour le smic.
            De même, si vous voulez travailler sur un chantier sans casque, ni protections, sans pause déjeuner, la nuit au même taux que le jour et 70 heures par semaine on plaidera en votre faveur.

            6 juin 2016 à 13 h 54 min
          • Jacky Social

            @Jaures: je connais tres bien le monde de l’entreprise, y compris celui de l’entreprise francaise. Ce que je ne connais pas bien, c’est jusqu’ou peut aller le petit monde syndical francais pour tuer l’entreprise francaise. Hallucinant. Cela fait une grande diffrence. Vous, c’est l’inverse. Vous connaissez tous les trucs pour faire chier l’entreprise, mais rien a l’activite entrepreneuriale. Qu’avez-vous deja realise ou entrepris de positif dans votre vie? “De même, si vous voulez travailler sur un chantier sans casque, ni protections, sans pause déjeuner, la nuit au même taux que le jour et 70 heures par semaine on plaidera en votre faveur”. Cela n’existe plus. Sinon, cela releve de l’auditorat du travail et non des syndicats. Ou alors au lieu de debloquer sur ce site, qu’attendez-vous pour “intervener”? Zorro est-il fatigue? Par ailleurs, je n’ai pas besoin de parasites a mes basques.

            6 juin 2016 à 14 h 35 min
          • Bistouille Poirot

            @Jacky Social
            Le paysan français n’est propriétaire que de son foncier réduit à deux dimensions. Le pétrole qui en occupe la troisième sous les racines de ses salades appartient à l’Etat Français….pas au USA !
            Lui reste, le choix de sa plantation, de sa production contrariée par les calamités naturelles, l’asservissement aux perlipinpinates de molécules variées produites par les droguistes de l’agroalimentaire, les dysfonctionnements de l’offre et de la demande à Rungis comme ailleurs, une marge absorbée par le remboursement de ses emprunts et l’obligation de traire ses vaches le dimanche comme elles l’obligent à le faire le reste de la semaine. Mais il envoie son fils à l’école pour que plus tard il devienne un monsieur qui rougira du métier de son père. (citation). Aussi quand j’entends parler dans un post particulier de réduction des conditions de travail qui serait liée à celle du temps passé à l’usine, je flippe….

            6 juin 2016 à 17 h 26 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          la récolte que le paysan tire de son champ ne lui appartient pas; en tout cas c’ est ce que semble dire @ Jocrisse !

          5 juin 2016 à 21 h 02 min
          • Jaures

            La récolte lui appartient mais s’il en tire un bon prix, les ouvriers agricoles seront en droit de demander un intéressement sous forme de primes, d’intégration de d’intérimaires, d’avantages en nature,…

            5 juin 2016 à 21 h 44 min
          • Jacky Social

            @QC: vous avez effectivement tout compris. Et si le paysan vend a perte dans un marche aux conditions defavorables, alors c’est pour sa gueule et uniquement pour sa gueule. Pas mal, la tactique a Jaures, qui arbitrairement pretend exproprier le paysan. Il y a comme un arriere-gout de dekoulakisation et de Holodomor qui me les brise serieusement chez ce dangereux bouffon, qui n’est pas communiste et encore moins stalinien. Qu’est-il sinon un fasciste?

            6 juin 2016 à 13 h 27 min
          • Jaures

            Vous ne lisez pas ce que j’écris.
            Si le paysan ne vend à pertes, il licenciera.
            De quelle planète arrivez-vous donc ?

            6 juin 2016 à 13 h 56 min
          • Jacky Social

            @Jaures: he ca va hein. Du calme, la morue. Le paysan ne pourra pas licencier suivant la “loi” francaise.

            6 juin 2016 à 14 h 27 min
          • quinctius cincinnatus

            à @ Jocrisse

            ” sa récolte ne lui appartient pas ” sauf … ses emprunts ?

            à @ d’ Jack

            je n’ ai pas le souvenir que les ” fascismes ” aient affamé volontairement … leurs Ukraine et leurs Oural

            6 juin 2016 à 14 h 34 min
          • Jacky Social

            @Jaures: le communisme, le socialisme et bien entendu l’islamisme sont des fascismes. On est oblige d’y adherer ou de les subir d’une maniere ou d’une autre, contraints et forces. Vive la democrassie (diktat de la majorite).Y deroger, alors que vous n’avez rien demande et sans que cela ne heurte une quelconque morale, expose a des peines a divers degres: du controle fiscal arbitraire frisant la concussion au “gentil proces” pour delit de presse, de l’assassinat socio-professionnel jusqu’au goulag, voire a la mort par la faim, la lapidation, voire la decapitation.

            6 juin 2016 à 16 h 13 min
          • Jaures

            ” Le paysan ne pourra pas licencier suivant la « loi » francaise.” écrit Jacky sans rire !
            Des ouvriers agricoles licenciés il y en a tous les jours.
            Je comprends que l’on soit de droite et libéral mais a-t-on pour cela besoin d’écrire tant de sottises ?

            6 juin 2016 à 17 h 45 min
          • Jacky Social

            @Jaures: je parle evidemment de licenciement sec et immediat. Si votre physique est a la hauteur de votre mauvaise foi, vous devez etre laid comme un porc. Qu’ai-je dit de sot? Vous ne pouvez pas blairer la contradiction argumentee. Vos idees n’ont pas de sens et sont sottes, ells, car elles ont ete appliquees et ont SYSTEMATIQUEMENT mene a l’echec crapuleux et cuisant que sont les pays disparus: Allemagne de l’Est et l’URSS. Cuba et Venezuela crient famine. Vietnam, Myanmar, Chine et Cambodge ont adopte le capitalisme, certes un capitalisme d’état, mais c’est mieux que vos preceptes communistes ruineux et suicidaires.

            6 juin 2016 à 21 h 03 min
  • BRENUS Répondre

    La formule à la noix ressassée sans cesse par JOJO et ses copains, a savoir la “Lutte des classes”, preterait a sourire si ce n’était pas aussi lourd de conséquences. Par contre, dans la vie, la VRAIE, tout n’est que rapport de force et à priori les relations professionnelles dans les boites, que les dites boites soient dirigées par leur propriétaires (généralement des TPE PME) ou des “cadres managériaux”. Il faut donc bien comprendre que dans ce rapport de forces, celui – ou elle- qui tient le gros baton a un énorme avantage, si rien d’autre ne vient limiter ou cadrer ses volontés. D’où la nécessité de virer l’article 2 de la loi maquereau, injustement appelée “loi travail”. Cette loi n’est pas encore passée que quelques cadres putassiers sont déjà en train de manœuvrer leur troupes afin de les niquer pour complaire à leurs maitres et se positionner encore mieux vis a vis de leur hierarchie, pour en tirer de nouveaux avantages (le pressage de citrons , c’est bon pour eux). Cela vient d’être tenté dans une boite financière, filiale d’un groupe bancaire, ou bosse un de mes enfants depuis des années et dans laquelle elle est bien appréciée. Je lui ai conseillé de tout confirmer par mail interne en gardant les copies et même, oh horreur, d’aller consulter un syndicat bien hargneux à l’extérieur pour demeler les fils de l’embrouille. Et s’il le faut, de cogner fort. Face aux putes, il ne faut pas tendre la joue. C’est aussi ça la France et surtout “the struggle for life”. Nous ne sommes pas sortis de la merde : entre les exigences extravagantes de la CGT et l’inconséquence d’une bonne partie des “décideurs”, le pays n’est pas prêt d’en sortir.

    4 juin 2016 à 12 h 48 min
    • Jaures Répondre

      Encore une fois, Brenus, vous témoignez factuellement de ce qu’est la lutte des classes.
      Si vous voulez l’appeler autrement, peu importe. Ce que vous décrivez est strictement la même chose.

      4 juin 2016 à 14 h 06 min
      • Jacky Social Répondre

        @Jaures: non, il n’y a pas de lute des classes. C’est juste une vue de votre esprit tortueux. ceci dit, le commentaire de Brenus est a la hauteur de ce qu’il denonce: de la merde.

        4 juin 2016 à 22 h 43 min
        • Jaures Répondre

          Vous me rappelez cette anecdote rapportée par Diogène Laerce: “devant un philosophe qui niait le mouvement, Diogène de Sinope se leva et marcha”.
          La lutte des classes, je la vis depuis des années lors des négociations régulières avec les directions. Mais eux ne sont pas comme vous dans le dénie: ils savent (et savent que nous savons) qu’ils viennent pour en céder le moins possible et en donner le maximum aux actionnaires. Au contraire, nous sommes là pour que les salariés touchent leur part de la richesse créée. Cela finit en général par un accord auquel tout le monde a à gagner. Dans le cas contraire, il faut créer un rapport de force:montrer que les actionnaires ont plus à perdre à ne rien céder.
          Appelez cela comme vous voudrez, peu m’importe, mais c’est là la réalité des rapports sociaux en entreprise.

          5 juin 2016 à 12 h 03 min
          • Jacky Social

            @Jaures: peu m’importe. Vous, vous me rappelez Staine. Vous creez les problemes et puis vous accusez les autres en manipulant les pauvres qui “vivent dans l’injustice” qu vous avez instauree. Vous tuez les entreprises, donc l’emploi, et puis vous accusez la propriete privee. Je vous conseille de ne pas toucher a la propriete privee. C’est aussi d’ailleurs pour ca qu’il faut rearmer les Francais contre l’etat, les syndicats et autres voleurs sans classe.

            5 juin 2016 à 16 h 30 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      la ” lutte des classes ” trouve sa justification morale dans la cupidité de certains … et les plus cupides ce sont tout naturellement les … banques et … l’ Etat … il est illusoire et dangereux d’ imaginer un monde sans êtres ou administrations cupides ; c’ est donc aux citoyens de bien choisir ceux qui feront des lois justes et qui les feront appliquer

      4 juin 2016 à 22 h 39 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    un concept social novateur signé @ Jaurès

    ” la lutte apaisée ”

    libre ? … gréco-romaine ? … mandchoue ? … sumo ? …

    3 juin 2016 à 20 h 37 min
    • Jaures Répondre

      Novateurs pour les néophytes !
      La lutte apaisée, cela s’appelle la négociation (du latin negotiationem).

      3 juin 2016 à 20 h 57 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        les négociations désignent des discussions ( ici entre PARTENAIRES sociaux ) en vue d’ aboutir à un ARRANGEMENT sur un problème posé … on voit donc que nous en sommes actuellement loin en France et je ne vous promet pas un grand avenir à la C.G.T . si celle ci a connaissance de votre interprétation schismatique … car pour cette ” centrale ” ( comme pour vous en réalité ) il n’ y a pas de partenaire mais comme vous le répétez à l’ envi ” un ennemi de classe ”

        vient du latin ” negotiatio ” et non pas de négotiationem qui en est une simple déclinaison

        4 juin 2016 à 8 h 47 min
        • Jaures Répondre

          La CGT signe plus de 86 000 accords chaque année.
          On peut s’appeler “partenaire” car personne n’a intérêt au conflit mais admettre néanmoins que les intérêts des uns et des autres sont contradictoires.
          L’entreprise a fait des bénéfices ? Combien pour les actionnaires ? Combien pour les investissements ? Lesquels ? Combien pour les salaires ? Lesquels sont à privilégier ? Combien pour les conditions de travail ? La sécurité ? Les travaux de nuit ?
          On peut, c’est le plus souvent, trouver un accord. Mais si ce n’est pas le cas, il faut établir un rapport de force.

          4 juin 2016 à 9 h 52 min
          • Jacky Social

            @Jaures: un CDI et vos cheques-repas vous attendent au musee du socialisme a Prague. Frappez et l’on vous ouvrira. Dites-leur que vos venez de ma part. On se verra lors de ma prochaine visite. Rassurez-vous, vous n’aurez rien a faire, a part veiller sur les precieuses reliques totalitaires d’une ideologie depassee. Au fait, le sigle CGT existe aussi en Republique Populaire de Walbanie. Il s’agit du Commissariat General au Tourisme. Que je vous rassure, c’est un brol du meme tonneau (allusion discrete au camarade-self-serviteur Rene Tonneau) que le votre, cad. tout aussi inutile et malveillant.

            4 juin 2016 à 10 h 25 min
          • Jaures

            J’ai beaucoup d’amis à Prague, cher Jacky et dans sa proche banlieue, Kladno, où j’ai travaillé à de nombreuses reprises.
            Je n’ai donc aucunement besoin de votre entremise. Ahoj !

            4 juin 2016 à 10 h 42 min
          • Jacky Social

            @Jaures: “où j’ai travaillé à de nombreuses reprises”. Attendez, il y a un mot qui ne colle pas a la realite. Vous avez fait quoi a de nombreuses reprises ? On veut quelques petits details la, sans en dire trop. Ca devait etre dans une autre vie, non? Auriez-vous oeuvre a de nombreuses reprises du travail afin de mieux concurrence les Francais? Qu’en est-il ?

            4 juin 2016 à 10 h 51 min
          • Jaures

            Sans entrer dans les détails, Jacky, des milliers de Français travaillent à l’étranger temporairement pour suivre des chantiers, installer du matériel sophistiqué, réaliser de la maintenance, former des équipes,…
            Si vous aviez travaillé en entreprise vous ne poseriez pas ce genre de question.

            4 juin 2016 à 11 h 49 min
          • Jacky Social

            @Jaures: rien dans vos posts ne suggere que vous travaillez. C’est a pisser de rire. Vous etes donc un petit delegue syndical, un mannedaille comme dit chez nous, cad. juste une courroie de roue edentee. Etant donne votre connaissance assez impressionnantes des langues (francais et langue de bois – vous etes un parfait bilingue enfantin en la matiere), en quelle langue formiez-vous vos equipes, cher Jaures? En tcheque? On en doute. En slovaque, qui est quasi-identique? On en doute aussi. En anglais? Cela serait etonnant ou alors vous avez du beaucoup oublier depuis. En francais, cela m’etonnerait vu qu’en Tchequie, le francais n’est pas vraiment la lingua franca. Il ya d’abord l’anglais, puis l’allemand. C’est interessant de savoir. Pour le reste, je suis certainement un mytho, c’est plus qu’evident, comme il n’existe qu’une sorte d’entreprise.

            4 juin 2016 à 12 h 57 min
          • Jaures

            Juste un mot pour un béotien en matière d’entreprise; pour être délégué syndical il faut nécessairement travailler et être élu.
            Pour le reste, tout ce que vous pourrez imaginer sera forcément erroné.

            4 juin 2016 à 14 h 09 min
          • quinctius cincinnatus

            lisez attentivement ce qu ‘ écrit @Jaurès :

            ” oui j’ AI travaillé à de nombreuses reprises … ”

            ce qui peut laisser sous-entendre des interprétations multiples comme … le laisse entendre Jack

            4 juin 2016 à 19 h 06 min
          • Jaures

            “où j’ai travaillé à de nombreuses reprises”, Quinctius.
            C’est quand votre prochaine visite chez l’ophtalmo ?

            5 juin 2016 à 9 h 21 min
          • quinctius cincinnatus

            où , oui, qu’ est ce que cela change au fond ?

            5 juin 2016 à 21 h 04 min
          • quinctius cincinnatus

            la question est de savoir si ces ” accords ” forcément temporaires et donc pouvant être dénoncés sont bénéfiques pour l’ emplois

            5 juin 2016 à 21 h 07 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” ni Dieu, ni Maître ” nous dit @ Jaurès l’ anarchiste tennisman lequel devrait lire ce petit bijou de la littérature portugaise

    ” le banquier anarchiste ” de Fernando Pessoa

    éditions La Différence

    collection littérature

    environ 10 euros

    2 juin 2016 à 11 h 31 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” actionnaire ou grand patron ” ce sont également des … choix et il n’ y a qu’ un @ Jaurès pour nous dire qu’ il s’ agit d’ une ” position sociale ” … parmi les personnes que je connais certaines ,d’ origine pourtant modeste, ont CHOISI d’ être des hommes ou des femmes d’ affaires … en France ou à l’ étranger

    2 juin 2016 à 11 h 24 min
    • Jaures Répondre

      Homme ou femme d’affaire n’est pas une position sociale mais l’objectif que l’on donne à son activité: gagner de l’argent.
      On peut être artisan, artiste, sportif, avocat,… et homme d’affaire. Tout dépend du sens que l’on donne à son métier. Vous même, je pense, faites la différence entre le chirurgien qui fait tourner sa clinique de chirurgie esthétique et celui qui part exercer dans un dispensaire en Afrique.
      Grand patron ou actionnaire est une position sociale de classe: elle implique des intérêts contradictoires avec celui de salariés.

      3 juin 2016 à 12 h 23 min
      • Le Ket Répondre

        @ Jaurès : “Grand patron ou actionnaire est une position sociale : elle implique des intérêts contradictoires avec celui de salariés.”

        NON ! Les intérêts des uns sont liés à ceux des autres : le plus grand investissement de la MAJORITE des sociétés anonymes ou par actions est le personnel !

        Montrer du doigt les grands patrons comme étant d’affreux exploiteurs du peuple est une erreur : nous ne sommes plus à l’époque des maîtres de forges….

        3 juin 2016 à 13 h 02 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          c’ est par le miracle d’ esprits aussi ” éclairés ” que celui de @Jaurès que ce pays est ingouvernable et irréformable … la faute à qui ? …à l’ E.N. !

          3 juin 2016 à 13 h 38 min
          • Jaures

            Vous ne sortez pas de l’E.N vous ?

            3 juin 2016 à 19 h 11 min
          • quinctius cincinnatus

            non puisque je m’ en suis … sorti !

            3 juin 2016 à 20 h 39 min
          • Jaures

            Médecin autodidacte ?

            3 juin 2016 à 20 h 54 min
          • quinctius cincinnatus

            tout comme !

            4 juin 2016 à 8 h 48 min
          • Jaures

            Mytho de première, plutôt !

            4 juin 2016 à 9 h 43 min
          • quinctius cincinnatus

            pas du tout … seulement un peu rebelle !

            4 juin 2016 à 19 h 08 min
        • Jaures Répondre

          On peut avoir des intérêts communs (la production de richesses) et contradictoires (le partage de ces richesses).
          La meilleure façon d’avoir une lutte des classes apaisée est de la reconnaître. Le partage des richesses peut se faire dans la négociation.
          Quand vous achetez votre véhicule, vous ne le payez pas au prix catalogue: vous négociez. Pourtant l’intérêt du vendeur (vendre le véhicule le plus cher possible pour augmenter sa commission) est contradictoire avec celui de l’acheteur (acheter le produit au meilleur prix).
          Les deux ont cependant un intérêt commun: que le produit soit de bonne qualité.
          Pourquoi ne pas admettre que ce type de négociation ait également lieu au sein d’une entreprise ?

          3 juin 2016 à 19 h 19 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        le chirurgien en esthétique, par exemple Cahuzac et Madame , répond à un ” besoin ” du ” marché ” et pas seulement … occidental ; vous devriez aller faire un tour en … Afrique

        5 juin 2016 à 18 h 37 min
  • druant philippe Répondre

    @Bistouille:

    ce comportement aux portes du supermarché est peut -être une répétition générale avant la raréfaction du pétrole et son remplacement par …. rien du tout (le gaz naturel se fait plus rare aussi et l’ huile d’ algues (diatomées) est à ranger au rayon des farces et attrapes car la quantité produite même à échelle mondiale sera toujours insuffisante ).

    Un remarquable documentaire a été fait par le national géographic (aftermath) sur ce sujet et les conclusions sont terribles pour notre mode de vie .

    Sur le site “manicore ” de JM Jancovici , les lords of illusions du développement durable se font dégonfler la baudruche que sont leur suffisance et leurs certitudes boboiques .

    1 juin 2016 à 16 h 23 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    slogan d’ un autre temps :

    ” en France nous n’ avons pas de pétrole, mais nous avons des idées … [ marxistes ] “

    28 mai 2016 à 12 h 49 min
    • Jaures Répondre

      Je crois me souvenir que quand les médecins sont mécontents, il n’hésitent pas à faire la grève administrative et à fermer leurs cabinets. On ne dit pas pour autant qu’ils ont des “idées marxistes”.
      Ceux qui protestent régulièrement sur les mesures prises qui les concernent devraient être un peu plus compréhensifs quand d’autres se battent également pour leurs intérêts.

      28 mai 2016 à 14 h 02 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        je ne vois pas le rapport … mesquin et envieux !

        d’ autre part les médecins conventionnés n’ ont de libéraux que le nom, car dans la réalité ils sont les salariés de l’ assurance maladie

        enfin, certains médecins,je parle d’ il il y a 20 ans, et ils étaient relativement nombreux, n’ ont JAMAIS fait une grève y compris administrative par simple soucis éthique et plus prosaïquement par un tout aussi simple esprit de logique … leurs malades ne venaient tout simplement pas les ” déranger ” à ces moments là, sans pour autant se retourner vers le secteur public … j’ étais de ceux là ; et pour terminer je n’ ai JAMAIS trouvé un seul syndicat médical qui ait eu des propositions ( je ne dis pas des ” revendications ” ) globalement efficaces ! mais cela est une autre histoire … professionnelle qui ne vous regarde pas … contentez vous des ” urgences ” comme on se contente avec un bordeaux technique de chez Nicolas

        28 mai 2016 à 14 h 40 min
        • Jaures Répondre

          Etrange. Quand vous stigmatisez les salariés en grève, je ne vous qualifie pas de “mesquin” et d”envieux”.
          Les médecins revendiquent exactement comme les salariés pour leurs revenus et leurs conditions de travail. Et quand je parle des médecins, je ne parle pas votre cas particulier que je ne connais pas mais de l’ensemble de la corporation.

          28 mai 2016 à 15 h 35 min
      • Jacky Social Répondre

        @Jaures: vos petits larbins dociles et imbeciles utiles ne sont pas ecrases de taxes et de charges comme les medecins dont ils se voudraient les egaux (en revenus, bien entendu). Les medecins sont utiles a la societe et sont souvent une denree rare, ce qui n’est pas le cas de vos bouffons et autres racailles de basse classe qui sont interchangeables et donc aisement remplacables et, comme la racaille et les rasoirs Gillette, jetables sans aucun regret. Mais ou est le President Reagan??? J’espere en tout cas que vos losers, ces envieux perpetuels et rates professionnels, lisent vos commentaires sur ce site, comme ca ils doivent lire aussi les notres. Quand est-ce que la police va enfin tirer a balles reelles après les sommations d’usage afin de deloger les forts chabrol? Ces andouilles de syndicalistes d’un autre age sortis tout droit d’un livre d’Engels preface par Hugo (nowhere) n’ont aucune legitimite democratique. Les medecins doivent gagner leur vie. Vos fonctionnaires ont le win for life en contrepartie d’une vie de patachon mediocre consacree essentiellement a faire chier le peuple. Et ces mecs se sentent exploites. C’est la ou ca ne va plus. Qu’ils aillent se faire foutre. Qu’on les remplace.

        1 juin 2016 à 16 h 05 min
        • Jaures Répondre

          Propos d’après boire, Jacky !
          Ce ne sont pas les fonctionnaires qui sont actuellement en grève (je ne crois pas que Total ait été nationalisé).
          Qui a dit que les médecins ne méritent pas de bien gagner leur vie ? Certainement pas moi ! Et je ne connais pas un salarié qui revendique de gagner le revenu de son médecin (82 000€ en moyenne/an pour un généraliste).
          Vous crachez à longueur de posts sur les ouvriers, les fonctionnaires, les journalistes,…et dîtes qu’ils font “chier le peuple” (sic), mais quel peuple reste-t-il une fois que vous en avez retiré ceux que vous haïssez ?
          Ne pensez pas récupérer quelques miettes en flattant servilement les puissants. Vous ne récolterez que leur mépris.

          1 juin 2016 à 16 h 41 min
          • Jacky Social

            @Jaures: eh bien, a Total de les debarquer pour “faute grave”. Le droit de greve d’accord, mais pas de prise d’otage, ni de violence. C’est tres different. Je crache sur les ouvriers et sur vous car vous crachez sur nous. Si vous croyez obtenir notre admiration et notre respect pour votre “courage” (parlons plutot de lachete), vous vous trompez lourdement. VOUS ne recoltez que mepris. Je ne flatte personne (qui ai-je flatte?). Quant a votre derniere remarque, elle illustre parfaitement la situation: “quel peuple reste-t-il une fois que vous en avez retiré ceux que vous haïssez ?” Ben oui, en France, il ne reste presque plus personne effectivement. Vous avez detruit les entreprises et les “classes moyennes”. Que vous etes bête, Jaures, a ne voir la societe qu’au travers du prisme de la “lutte des classes”, qui est un euphemisme pour mise a mort: en anglais, cela se dit “class warfare”. Bete a bouffer du foin, ce Jaures. Il parle de la faible frequentation des eglises, mais son cliochemerle a lui, c’est guere mieux. Meme pas 10% de syndiques en France. Et ca se permet tout. Pour qui vous prenez-vous? Vous n’avez aucune legitimite. Vous etes un terroriste. Vous n’avez que la violence et le chantage. Bref, la panoplie des laches du chaos marxiste. Et puis vous donnez des lecons. Non mais.

            1 juin 2016 à 16 h 56 min
          • Jaures

            “vous crachez sur nous” dîtes-vous ?
            Mais c’est qui “nous” ? Vous êtes quoi ? Actionnaire ? Grand patron ? Si ce n’est pas le cas, je n’ai rien contre vous.
            Vous pouvez continuer à chanter “merci m’sieur not’ maître” à votre convenance.

            1 juin 2016 à 17 h 10 min
          • quinctius cincinnatus

            quand je vois des ” maîtres ” comme Staline ou Mao, je préfère Ford ou Schneider ! enfin … à chacun ses ” maîtres ” !

            1 juin 2016 à 17 h 25 min
          • Jacky Social

            @Jaures: nous, c’est le peuple encore debout que vous vous efforcez de faire chier tant et plus. Mais il va y avoir un retour de manivelle tant a l’interieur avec ce qui reste de forces vives et grace au reste du monde va vous donner. Cela a deja commence avec l’Asie, mais aussi plus pres, en Autriche, par exemple, ou la fraude electorale est averee. Vous aez gagne de justesse grace a cette fraude. Mais cela n’est rien a cote de ras de mare qui se prepare. Aux prochaines elections presidentielles francaises, on attend de voir. Le lavage des cerveaux par les medias ne fonctionnera plus. Il vascille deja. Je ne chante pas “Merci m’sieur not’maitre”. Je n’en ai aucun. Et puis, surtout pas a vous, car vous n’etes pas un maître, rien qu’un sous-fifre. Mais souffrai que ne pas avoir de maitre puisse exister en dehors de vos normes sociales bipolaires.

            1 juin 2016 à 17 h 25 min
          • Jaures

            Ni dieux, ni maîtres, Quinctius.
            Ni Staline, ni Ford.

            1 juin 2016 à 17 h 30 min
        • Bistouille Poirot Répondre

          @Jacky Social
          “Un terroriste…”. Le penser est une chose, le dire, par les temps qui courent, risque de vous amener sur le banc des d’accusés en compagnie de Gattaz. Quant au tir à balles réelles, je me demande ce que viennent faire les sommations. Vous cherchez quoi ? à rater une cible qui ne vous renverra jamais l’ascenseur ?

          1 juin 2016 à 22 h 11 min
          • Jacky Social

            @Bistouille: je ne crois pas, non. Autrefois, il y avait l’esclavage, cad. le travail obligatoire non-remunere. Aujourd’hui, il y a des salaires, des avantages et autres privileges et ils ne veulent pas travailler. Vous comprenez quelque chose?

            2 juin 2016 à 9 h 24 min
  • barbanzed Répondre

    Les syndicats ont été inventé pour servir de relais et de moyens de contrôle du monde ouvrier par les gouvernements qui, moment où le monde ouvrier est apparu, n’avaient t aucune connaissance de ce ” milieu” . depuis le Congrès d’Erfurt dans les années 1880 rien n’a changé.

    27 mai 2016 à 22 h 13 min
  • Bistouille Poirot Répondre

    j’ai remisé mon véhicule au garage. Aucune activité professionnelle. mais en allant faire mes courses dans le quartier, j’ai pu voir l’entrée d’un super marché bloquée par les voitures se rendant à la pompe. sans que les clients victuailles majoritaires ne puissent y accéder. Une pagaille monstre assortie d’algarades qui m’ont permis d’imaginer ce qui se passerait en cas de conflit majeur. En quelques heures le marché noir s’installerait naturellement. Je ne me trompais guère, Roger un voisin m’annonce que dans la nuit, sa voiture avait été fracturée, les coussins arrières relevés et son réservoir de carburant vidé par le passage de l’opercule supérieur.
    – Pour quelques litres de gas oil seulement…
    Tout cela en dit long sur ce qui pourrait se passer. La CGT nous en a donné un avant goût.

    26 mai 2016 à 21 h 18 min
    • Bistouille Poirot Répondre

      Le plein moyen des véhicules réservés à la vie domestique et au transport sur les lieux de l’activité professionnelle (sans pour autant s”en servir à titre prof. pendant les heures de travail), se consolide tous les 15 jours. Comment ces mêmes consommateurs qui représentent la quasi totalité des véhicules de tourisme ont pu remplir leurs réservoirs 3 fois en 4 jours? en achetant des bidons plastiques d’une contenance de 3 x 50 litres = 150 litres ? Il faut arrêter d’enfumer le pékin de base.

      29 mai 2016 à 0 h 16 min
      • Bistouille Poirot Répondre

        Bien entendu quand d’autres professions usent de leur droit de grève, le plus souvent on nous livre des reportages où des usagers gênés dans leurs activités régulières apportent souvent leur soutien au mouvement revendicatif. Il faut dire que dans le cas de celle des médecins, la casse, les cagoulards et la CGT sont quasiment absents. Un référendum dans un quartier représentatif nous donnerait tout de suite la différence.

        29 mai 2016 à 0 h 24 min
        • Bistouille Poirot Répondre

          @de soyer
          Consultez “Economie et Socialisme” 4 V du 26/5

          29 mai 2016 à 0 h 50 min
  • BRENUS Répondre

    Sans vouloir jamais adhérer aux thèses de la CGT et des syndicats qui s’opposent à tout, bloquent, cassent et mettent le pays en danger, je tiens, par ce que je considère être de l’honnêteté morale à porter un bémol sur la grande avancée que produirait l’article 2 ( choix de la politique de l’entreprise uniquement au sein de l’entreprise). Pour avoir travaillé à la fois dans un grand groupe et dans plusieurs PME, j’ai toujours pu constater, au moins dans les PME, qu’il était illusoire de compter sur la raison du patronat seul. S’il y a quelques euros à gratter , soyez certains que le patron ne vous en laissera que des miettes. Si son intérêt est de vous amener à signer des avenants dangereux pour vous à votre contrat de travail, il ne se gênera pas et vous n’aurez que la solution de dégager de la boite. En des temps difficiles, on y réfléchit à deux fois, surtout chargé de famille. La “négociation libre et équilibrée entre patronat et employés dans une PME” c’est un leurre . Je dirais même une arnaque, pour l’avoir vécu. Et prétendre que cela ne se peut pas du fait du soutient des collègues de travail, c’est du pipeau : s’ils craignent pour leur situation, vous les verrez détourner la tête piteusement en vous laissant dans la merde devant le boss. Bien sur, cela peut paraitre difficile à comprendre pour ceux qui, comme l’exprime si bien QC font partie d’un “autre milieu social” , le leur étant protégé et supposé supérieur. Mais vous ne ferez jamais avaler cela aux gens lucides ayant un minimum d’expérience. Si des réformes doivent être faites – et il y en a des tonnes à faire- surtout pas celle la. Désolé pour ceux que ce commentaire pourrait déranger, mais il reflète la triste vérité. Et je m’y tiens.

    26 mai 2016 à 17 h 44 min
    • Jaures Répondre

      Brenus, votre témoignage illustre parfaitement ce qu’est la lutte des classes.

      26 mai 2016 à 18 h 10 min
      • Jacky Social Répondre

        @Jaures: non, cela n’a rien a voir avec la lutte des classes. C’est une question de choix de vie. Je n’ai jamais travaille pour une PME. JAMAIS!!!! Pourquoi? Parce que les reves des autres ne m’interessent pas. Si vous vous sentez l’ame d’un serviteur employe a vie, c’est votre choix. Plein de gens intelligents ont besoin d’un maître et veulent que ce maître prenne bien soin d’eux en pensant a tout pour eux. Mais la vraie vie, ce n’est pas ca du tout. La vraie vie, c’est chacun pour soi et Dieu pour tous. Travaillez-vous pour les autres? Partagez-vous le montant de votre fiche de paie avec les autres? Non, et c’est bien juste. Ca, c’est la realite. Quand une entreprise n’a plus besoin de vous, elle vous debarquera d’une maniere ou d’une autre et c’est normal, meme si elle fait des benefices. Certes, cela peut paraitre cruel ou deplorable, mais C’EST LA VIE. Le proprietaire aura toujours le dernier mot face au locataire, meme après une decision de justice. Le conseil que je donne est qu’il faut s’armer, cad avoir plusieurs cordes a son arc, non pas pour etre polyvalent, mais pour retomber sur ses pattes lorsqu’une situation tourne mal et etre pret a entreprendre pour soi. Il y a des tas d’autres solutions que la greve, celle-ci etant le chant des sirenes de la facilite et de la complaisance et donc de la sterilite. C’est completement depasse, surane, un truc pour debiles mentaux.

        1 juin 2016 à 16 h 18 min
        • Jaures Répondre

          La grève, une “solution de facilité” ? On voit que vous ne l’avez jamais pratiquée.
          J’admets très bien que l’on nie la lutte des classes et que l’on ne revendique jamais. Mais alors que l’on soit conséquent et que l’on refuse les augmentations de salaire, les améliorations de conditions de travail et tous les avantages obtenus après luttes et négociations.
          J’ai connu moult gens râlant après les grévistes. Je n’ai rencontré personne refusant une augmentation de salaire obtenue par les syndicalistes et les salariés en lutte.

          1 juin 2016 à 16 h 48 min
          • Jacky Social

            @Jaures: j’ai connu cela. Il y a tres longtemps, on m’a refuse une augmentation de salaire. Je demandais juste le double. Ben oui, pour aller s’etablir en Asie Centrale, la situation le valait bien. Cela m’a ete refuse. Je suis donc parti et ai ete engage immedatement ailleurs. La je n’ai pas obtenu cette augmentation, mais j’ai gagne beaucoup plus quand meme et le manque a gagner a ete comble largement par un gain en confort de vie. Maintenant, s’il n’y a pas de mobilite professionnelle en France, c’est parce que vous l’avez tuee avec vos regles a la con et votre allergie a toute prise de risques. J’aurais pu partir en Asie Centrale. J’aurais ete augmente, mais pas aussi rapidement. J’ai du faire un choix et je l’ai ASSUME en homme libre et pas en homme lige. Mais jamais l’idee de faire greve ou de faire appel a un syndicat ne m’a JAMAIS effleure l’esprit, tant cette mediocrite est tout simplement inconcevable.

            1 juin 2016 à 17 h 35 min
          • Jaures

            Et bien parfait, Jacky !
            Vous avez vécu en homme libre et avec un bon “confort de vie”.
            Dés lors, pourquoi tant de haine ? Visiblement vous avez mené la vie qui vous a convenu et vous vous êtes accompli dans la plénitude de vos capacités remarquables.
            Vous devriez considérer avec la bienveillance du sage une société qui a pemis ce destin choisi et la reconnaissance matérielle de vos talents.

            1 juin 2016 à 17 h 55 min
          • Jacky Social

            @Jaures: ce n’est pas grace a vous ni a vos petits nervis, mais grace a une grande volonte d’une part, et aux impots payes par mes parents d’autre part. Par ailleurs, dans la vie j’ai eu des hauts surtout a l’etranger et des bas surtout en Vieille Europe. A mon immense surprise, j’ai recemment decouvert de la famille aux USA. Des gens de la NASA. Juste perdus de vue par la generation precedente. Y sont plein de thunes et loin de s’imaginer ce qu’est un syndicaliste de votre trempe. Ici en Europe “occidentale”, rien de ce qui doit etre encradre serieusement ne l’est: etat, socialisme, islam, mosquees, syndicats, manifs, medias, beauffs. Vous pouvez bien vous moquer de moi. Cela me rassure meme, car cela me pouve que vos connaissances des sujets dont vous traitez sont tres, tres superficielles. Non, vous ne connaissez pas les entreprises. Vous connaissez juste vos prejuges. Vous me demandez si je suis actionnaire ou grand patron, sinon vous n’etes pas mon ennemi. C’est comme si je vous demandais si vous etes musulman, etatiste, islamophile ou socialiste, sinon je n’ai rien contre vous. Vous etes un specimen interessant, Jaures. Enfin si vous perdez votre sinecure syndicale, j’ai quelque chose pour vous au musee du communisme a Prague. Le salaire n’est pas eleve et on bouffe mal, mais vous savez donner, hein, vous, le grand Jaures partageur des biens des autres, mais pas de leurs malheurs.

            1 juin 2016 à 21 h 10 min
          • Jaures

            Vous vous égarez, Jacky. Actionnaire ou grand patron est une position sociale (d’ailleurs les grands patrons sont également actionnaires). Socialiste ou musulman sont des opinions ou des engagements religieux qui relèvent du choix, de la conscience individuelle. Comme syndicaliste, je défends n’importe quel salarié qu’il soit Noir ou Blanc, catholique ou musulman, de droite ou de gauche. Et peu m’importe également les convictions intimes du patron.
            Vous avez tout à fait le droit de penser que vous pourrez vous en tirer individuellement. Tant mieux pour vous si vous réussissez. Je pense personnellement qu’il est plus efficace et plus positif pour le lien social de s’engager collectivement. Je ne me satisfais pas d’un avantage individuel s’il est conquis au détriment des collègues. J’ai autant de satisfaction a obtenir une augmentation des bas salaires ou des améliorations de conditions de travail pour les travaux les plus durs qu’améliorer mon propre sort.
            C’est sans doute ce qui nous différencie. Vous êtes complètement accaparé par vous même, ce qui crée chez vous cette sorte de paranoïa sociale, cette haine que vous exprimez pour tout ce qui ne vous ressemble pas.
            Encore une fois, si vous menez la vie que vous souhaitez, si vous trouvez aux USA le système qui vous convient, cela ne me pose aucun problème. Il n’existe pas de murs en France. Vous êtes libre. Vous n’avez pas besoin de l’Etat, des syndicats,…passez-vous en !
            Mais accordez tout autant la liberté à ceux qui le souhaitent de s’organiser pour collectivement améliorer leur vie.

            2 juin 2016 à 9 h 34 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      vous avez entièrement raison pour ce qui concerne les P.M.E. ( pas toutes cependant certaines sont assez ” paternalistes ” ce qui est tout aussi rétrograde ) …

      cependant ces problèmes, ces litiges, ces abus pourraient être assez facilement traités si la législation du travail était plus simple et donc plus réactive

      il n’ es reste pas moins vrai que les syndicats français ( C.G.T. et F.O. ) sont idéologiquement dans un archaïsme culturel ” révolutionnaire ” pour le premier et de défense de ” privilèges ” pour le second

      en somme en France tout est à réinventer y compris et en premier lieu un code de … bonne vie sociale

      27 mai 2016 à 15 h 48 min
      • Jaures Répondre

        Qu’appelez-vous une “législation du travail plus simple” ?
        Dans les faits, on constate que dés qu’une brèche est ouverte les employeurs s’y engouffrent pour s’en prendre aux salaires et conditions de travail. Je n’ai jamais vu un employeur aller au devant des désidératas de ses salariés.
        Je ne dis pas que cela n’existe pas mais que c’est marginal.
        Il suffit d’assister aux audiences des prud’hommes: manquements aux règles d’hygiène et sécurité, travail au noir, heures supplémentaires non payées, licenciements abusifs,…Si tout n’est pas précisément cadré, c’est le salarié qui en pâtit.

        27 mai 2016 à 16 h 12 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          c.f. la Suisse

          27 mai 2016 à 18 h 50 min
          • Jaures

            La situation sociale d’un pays ne s’explique pas par l’épaisseur du code du travail, sinon, la Suisse, l’Irlande ou l’Espagne seraient dans un état économique et social comparables.
            Est-ce le cas ?

            28 mai 2016 à 9 h 08 min
          • quinctius cincinnatus

            je sais, je sais, vous ne savez pas distinguer le poids de l’ esprit !

            28 mai 2016 à 14 h 42 min
          • Jaures

            Au contraire ! Je repère immédiatement un esprit lourd !

            28 mai 2016 à 15 h 37 min
          • Bistouille Poirot

            @QC
            J’ignorais votre poids spirituel mais n’en savais pas davantage sur la précision du trébuchet. La volatilité mental de vos détracteurs, n’est pas prête d’effrayer le plateau d’une balance de laboratoire quand on sait le soin qu’ils apportent à
            “piler le mil avec une banane mûre” (proverbe africain)

            1 juin 2016 à 22 h 32 min
          • Bistouille Poirot

            volatilité mentale

            1 juin 2016 à 22 h 37 min
          • Bistouille Poirot

            @QC
            Pour l’illustration je vous rapporte un ragot qui meuble les temps morts de “Roland” et qui nous apprend que le fameux double mixte qui participait à la compétition tournait chaque fois sa raquette d’un demi tour entre le coup droit et le revers de manière à frapper la balle avec la même face, prétendant qu’elle est plus efficace que sa voisine….

            1 juin 2016 à 22 h 53 min
          • Bistouille Poirot

            @QC
            Interrogée sur l’élimination de la paire dès les éliminatoires, celle ci laissa entendre qu’elle aurait pu se qualifier en jouant par temps sec ou sur un cours bâché, leur surface de prédilection… What else ?

            1 juin 2016 à 23 h 06 min
        • Jacky Social Répondre

          @Jaures: “plus simple”, cad. moins rigide. Un employe doit pouvoir refuser une legislation qui lui serait preduciable et defavorable, car reduisant sa flexibilite. Il s’agit la encre de la camisole de force du socialisme, ce que j’appelle du socialo-fascisme. La loi n’est pas tout. Je dirais meme que c’est rien du tout, car ce code du travail est illegitime. Une entreprise n’est pas d’abord faite pour epanouir les gens ou creer de l’emploi. Cela n’a meme rien a voir. Il s’agit de gagner de l’argent en produisant un bien ou un service. Si le travail est epanouissant, tant mieux. Il est demontre que l’epanouissement renforce la rentabilite. Mais celle-ci reste TOUJOURS la priorite seule et unique au bout du compte. Une entreprise n’est pas un jardin d’enfants, ni un atelier protégé, sauf dans la tete de Hollande, de la votre et consorts.
          “Je n’ai jamais vu un employeur aller au devant des désidératas de ses salaries”. Cela s’est pourtant vu au 19eme siècle, mon Jaures. Chez Solvay, notamment. Mais c’etait un – comment dites-vous – un paternaliste. D’autres entrepreneurs l’ont fait egalement a cette époque precapitaliste que vous detestez tellement et sans nuance. Par ailleurs, je suis pour ce que vous appelez avec perversion “le travail au noir”. Il y a plusieurs raisons a cela. Je ne vous parlerai meme pas de la fiscalite. Non, il s’agit d’autre chose de bien plus pragmatique. Prenons un exemple, vous avez tellement bien “travaille” qu’il est aujourd’hui difficile de faire effectuer des reparations mineures dans un bien d’habitation, un toit par exemple. Croyez-vous qu’un independant ou une entreprise de toiture (petite, moyenne ou grande) s’interesse a votre toit? Ils ne vont jamais se mobiliser pendant une demi-journee pour changer trois tuiles, ni remplacer un tuyau ou resouder une corniche. Ils cherchent des gros chantiers, sinon leur activite n’est pas rentable. Et donc ils viendront chez vous que lorsqu’ils auront un trou dans leur carnet de commandes, cad. dans 6 mois. Des lors qui effectuera ce travail urgent? Vous, le representant de l’etat dont les poches fuient de partout autant qu’une vieille corniche? Je ne crois pas non. Vous etes un maniaque du legalisme et du juridisme. Il doit s’agir d’une deformation professionnelle. Enculer les mouches, effectivement, cela peut vous deformer un membre actif, meme dans le social. Les autres exemples que vous donnez font partie d’un monde ideal pour vous, ou tout irait systematiquement mal. Toutes vos mesures securitaires ne servent a rien. Cela n’empeche pas les incendies, parfois tres nombreux assez curieusement . Sans doute pour demolir l’outil et se casser en douce en touchant l’assurance. Ben oui, c’est le juste retour en quelques sortes. Vous et vos imbeciles utiles, vous leur pourrissez tellement la vie qu’a un moment donne, la patience lache et l’envie de delocaliser deviant irresistible, le tout etant d’avoir une strategie de sortie efficace et surtout irreversible. La terre brulee en est une.

          4 juin 2016 à 11 h 19 min
          • Jaures

            Une entreprise est faite pour gagner de l’argent, certes, mais dans un cadre précis. Comme vous avez le droit de vous déplacer mais en respectant le code de la route.
            S’il n’y a pas de code du travail alors c’est Dacca.
            Le travail au noir ? Et si votre ouvrier tombe du toit, qui le prendra en charge ? Vous ?

            4 juin 2016 à 11 h 44 min
          • Jacky Social

            @Jaures: c’est deja Dacca. Quant a l’ouvrier qui tombe du toit, vous ne comprenez vraiment rien a rien. Et si ceci, et si cela. Pour des questions de garantie sur la qualite, il peut s’agir d’un independent a titre complementaire, qui vient après sa journee et qui vous fait le travail en noir pour vous comme pour lui. Et tout le monde est content. Il y a plusieurs facons d’envisager le travail en noir. On voit dans votre reponse toute votre rigidite. Elle est quasi-cadaverique comme l’economie cegetiste. Un balai dans le Q. Heureusement, on saura TOUJOURS vous contourner EN NOIR.

            4 juin 2016 à 12 h 50 min
          • Jaures

            Jacky, j’espère que vous n’êtes pas aussi irresponsable avec votre famille.
            Le bâtiment, c’est 110 000 accidents du travail, 8500 incapacités permanentes et 200 morts chaque année. Si l’un d’eux se blesse en réparant votre toit ou en montant votre mur, prendrez-vous soin de la famille de votre employé au noir ? Le travail au noir, c’est comme la conduite sans permis ou la restauration sans contrôle sanitaire: tout va bien jusqu’à la première victime.
            Et bien heureusement, la France a un code du travail, qui exclut tout Dacca (plus de 1100 morts pour fabriquer votre tee shirt).

            4 juin 2016 à 14 h 03 min
          • Jacky Social

            @Jaues: “Le bâtiment, c’est 110 000 accidents du travail, 8500 incapacités permanentes et 200 morts chaque année”. Il s’agit d’une hecatombe effectivement, ce qui demontre que vos lois, vos regles, vos cadres et autres billevesees libertyicides ne servent a rien. Absolument a rien du tout. Hahahahaha. Dites, ils sont tous des zigotos comme vous a la CGT? Vys croyez vraiment ce que vous enoncer. Quant a mon experience de l’entreprise, nous ne vivons pas dans le meme monde. Moi, je vis dans un monde ain. Vous vivez dans la sinistrose conomique que voys avez creee et dans laquelle vous vous complaisez. Un porc, il est vrai, n’est jamais degoute de son bac. Plus de 1100 morts pour fabriquer un T-Shirt. Et un France, prs de 5 million de chomeurs qui ne fabriquent rien.

            4 juin 2016 à 19 h 11 min
    • Le Ket Répondre

      @ Brenus = EXACT !
      Pour avoir un parcours similaire ( Agent de l’Etat, Multinationale, puis PME et pour terminer Chef d’entreprise) je confirme votre analyse : la plupart des indépendants patrons de TPE et PME pensent d’abord à leur pomme et seulement ensuite à leurs travailleurs – investissement essentiel de la société- quand ils ne sont pas totalement ignares de la gestion de leur entreprise.

      Mais c’est aussi le cas dans d’autres pays d’Europe où, ce n’est pas un secret, les patrons se livrent également à la fraude sociale et fiscale.
      Et dans ce domaine il y a du boulot !

      Ce qui n’exclu nullement de reconnaître que de très nombreux patrons et indépendants français et européens aiment leur métier, y consacrent plus de 60hres par semaine et se rétribuent chichement à la fin du mois, malgré des normes et des règlements loufoques imposés par des eurocrates incompétents qui conduisent à une bureaucratie stalinienne insupportable en temps de crise.

      27 mai 2016 à 16 h 43 min
  • Jaures Répondre

    Tout d’abord, ce ne sont pas les syndicalistes qui ont provoqué la pénurie mais tous les Français qui se sont précipités sur les pompes, multipliant en moyenne leur consommation par 3 (par 5 en certaines régions !).
    Il y a peut-être la dessus une question collective à se poser.

    Ensuite, je suis tout à fait d’accord avec les propositions de “Nous Citoyens”.
    – Si on trouve des volontaires en nombre suffisant pour assumer sans cumul les fonctions de délégué syndical, membre du CHSCT et dirigeant du CE c’est parfait. Que “Nous Citoyens” se rende dans les entreprises: les volontaires sont rares, les délégués peu estimés (sauf en cas de problème) et être membre du CHSCT demande une formation préalable que bien peu ont envie de suivre.
    – Les salariés s’expriment librement aux élections professionnelles. Il y a fort à parier que leur “chèque syndical” serait attribué à celui pour lequel ils votent. Qu’est-ce que cela changerait fondamentalement à la répartition actuelle des aides ?
    – Les syndicats revendiquent depuis des années leur présence aux conseils d’administration (même sans jeton de présence). Chiche ?
    – Le mouvement actuel est lié directement aux salaires et conditions de travail. On l’a vu avec les routiers qui craignaient pour le taux de leurs heures supplémentaires.
    Si les entreprises peuvent négocier individuellement sans tenir compte des accords de branches, les salariés des grandes entreprises à forte représentation syndicale bénéficieront d’une situation largement privilégiée quand ceux des PME cumuleront précarité et bas salaires.
    Une discussion au niveau de l’entreprise, pourquoi pas, mais toute dérogation à un accord de branche doit être justifié et ponctuel.

    26 mai 2016 à 16 h 14 min
  • Drakkar Répondre

    Une réponse ferme et radicale doit être opposée aux actions des communistes : BLOCAGE DES ENTREPOTS DE PERNOD RICARD !
    Ils s’arrêteront par manque de carburant…

    26 mai 2016 à 14 h 24 min
  • Dodds Répondre

    Est-il nécessaire rappeler que la CGT est le syndicat qui perçoit la plus grande part des subventions publiques généreusement allouées par le Gouvernement ? Alors, de deux choses l’une : soit ces gens crachent dans la soupe sans laquelle ils n’existeraient pas, soit on peut penser qu’ils ne font qu’appliquer un plan mis en œuvre par ceux qui les paient !!
    https://www.contribuables.org/2014/12/syndicats-entre-22-et-81-de-subventions-publiques/

    26 mai 2016 à 9 h 13 min
    • Philiberte Répondre

      Je suis tout-à-fait d’accord avec vous!
      il faut supprimer toutes subventions à ces syndicats et associations qui vivent grassement sur notre dos, payés pour nous pourrir la vie. Je ne sais plus quelle asso anti-racisme a des comptes mirobolants, mais ne s’occupe jamais du racisme anti-blanc..

      26 mai 2016 à 11 h 28 min
  • balanine Répondre

    Pas grave tout cela… dans un peu plus de 10 jours le FOOT commence ! alors tous ces petits tracas seront oubliés …. aaarrgggghh! le foot !
    ensuite les vacances …. aahh mince pas de carburant, pas d’électricité, pas d’avion, pas de train…
    le positif : plus d’embouteillage, l’air enfin respirable…. la verdure. Bon bien sûr, c’est moins palpitant que la plage, mais pensez que ceux qui habitent au bord de l’eau auront la plage pour eux, les montagnards auront leurs montagnes….
    C’est sûr, les frigos, les congélos, les machines à laver ne fonctionneront pas, mais voilà des économies d’énergies réalisées réduiront sensiblement les factures ! YOUPIIIIII !!!!

    —————–

    Bon à tous les lecteurs : c’est de l’humour … noir !

    25 mai 2016 à 18 h 51 min
    • Le Ket Répondre

      YEEEESSSS Balanine ! Et pour suivre le FOOOOOT il y aura en complément le TOOOOOUR et comme dessert les JJJJJJO ! QUE DU BONHEUR ……2 mois scotché à la télé avec des 1664 et des chips : que réclame encore le peuple ? ? ? Une petite guerre en Lybie, comme distraction ?

      27 mai 2016 à 16 h 50 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        les tévés nous montrent déjà la résistible avancée de l’ Armée libyenne … à noter que les ” cadres ” et les … combattants volontaires sont le plus souvent d’ anciens soutiens de l’ ancien régime ! ! !

        28 mai 2016 à 14 h 47 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    – si j’ ai bien compris l’ importance de l’ enjeu, la C.G.T. , principalement elle, entend maintenir la place prépondérante qui est actuellement la sienne comme syndicat représentatif dans le dialogue entre partenaires sociaux, ce que les nouvelles dispositions ( article 2 ) de la loi el Khomri lui enlèveraient en partie

    – si j’ ai bien compris et pour ce qui est du patronat celui ci n’ est plus intéressé par cette loi vidée de toute sa substance pour ce qui concerne la flexibilité

    c’ est donc l’ occasion rêvée de casser ces fossiles soviétiques , travail qu’ a refusé d’ exécuter, Hercule Chirac qui n’ a jamais promulgué les lois pourtant votées par sa majorité sous le gouvernement Villepin ( se rappeler du double jeu de Sarkozy, ministre de l’Intérieur, à cette époque ) , ni réussi Sarkozy lui même 2010 ( lois croupion sur les retraites de Fillon )

    comme à son habitude Nicolas l’ Agité se flatte ce jour d ‘avoir mieux réussi que Valls

    pour une fois soutenons … Valls ( contre la C.G.T. et … contre … Hollande ? ) … les ennemis de nos ennemis sont ( provisoirement ) nos amis

    si ce gouvernement échouait dans cette entreprise je serai très inquiet pour son successeur

    25 mai 2016 à 18 h 46 min

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