Hollande et la décadence française

Hollande et la décadence française

La France n’a donc échappé à Dominique Strauss-Kahn, l’obsédé sexuel amateur de prostituées et de clubs échangistes, que pour se choisir un Président qui passe de maîtresse en maîtresse sans jamais se marier – tout en décidant, par ailleurs, que les homosexuels, eux, doivent avoir la possibilité de convoler en « justes » noces et de permettre aux enfants d’avoir deux papas ou deux ma­mans.

En parallèle, des milliers de gens continuent à trouver désopilant qu’un ancien humoriste incite à la haine antisémite, et estiment que ne pas pouvoir pratiquer ce type d’incitation est une atteinte grave à la liberté de parole. Les mêmes considèrent sans doute que les Femen parlent en urinant sur la Bible (quelle parole éloquente) ou en allant mimer une scène d’avortement sur l’autel d’une église.

J’aimerais ne pas parler de décadence, mais c’est, je dois le dire, le mot qui me vient aux lèvres.

La France est dans une situation économique cataclysmique, dé­crite dans les médias étrangers, mais à peu près jamais en France. Elle est dans une situation politique où, face à un Président incompétent, cynique et plus préoccupé à trousser les actrices qu’à s’occuper des affaires du pays, aucune alternative crédible ne se profile pour l’heure. Elle est, surtout, et c’est sans doute le plus grave, dans une crise culturelle et morale dont elle pourrait bien ne pas se relever.

Dans ces circonstances, je n’ai pu m’empêcher d’avoir une pensée, comme j’en ai une tous les ans, pour un homme assassiné le 21 janvier, il y a maintenant 221 ans, le roi Louis XVI.

Et ma pensée pour cet homme, cette année, a été encore plus douloureuse en voyant ce que ce pays devient.

Je parle d’assassinat de Louis XVI, car c’est à mes yeux un assassinat, au terme d’une pa­rodie de justice sordide, digne de la Révolution française, dont Edmund Burke, dans « Réfle­xions sur la révolution de Fran­ce », avait prévu qu’elle s’achèverait dans le sang et dans la dictature, car s’y trouvait rompu d’emblée le grand contrat qui reliait au droit naturel et à la légitimité.

Louis XVI n’a pas été le seul à être assassiné au cours de cette effroyable période, son épouse et ses enfants le furent aussi, ainsi que des milliers de pauvres gens conduits vers la guillotine par un processus totalitaire qui s’est aussi accompagné des massacres commis en Vendée.

Je pense que la France ne s’est jamais relevée de la Révolution française et qu’elle n’a cessé d’en payer le prix.

Avant François Hollande, combien de dirigeants grotesques, arrogants, amoraux se sont succédés ? Combien de régimes politiques ont-ils scandé ces successions ? Onze, dont cinq républiques, une monarchie constitutionnelle, un retour à la monarchie absolue, quelques dictatures, un régime autoritaire. Économiquement, la France a été plusieurs fois l’« homme malade de l’Europe », et s’est relevée, avant de retomber plus lourdement encore. Elle s’est reconstruite grâce à l’aide américaine pendant ce qu’on a appelé les « trente glorieuses », avant de retrouver peu à peu une pente descendante qu’elle n’a, depuis, plus quittée.

Culturellement, elle a encore produit quelques auteurs et penseurs dignes, mais souvent solitaires, et, en parallèle, beaucoup de pathologies : la gauche française a toujours eu, à des degrés divers, la nostalgie de Robespierre, la droite la nostalgie de Napoléon Bonaparte.

Une prise du pouvoir intellectuel s’est opérée par des gens imprégnés de tentations totalitaires : ces gens n’ont plus de but, puisque les grands totalitarismes se sont effondrés, mais il leur reste l’appétit de la destruction, et la destruction avance…

Où en sera la France dans dix ans, dans vingt ans ? Je n’ose l’imaginer. Si je devais le faire néanmoins, je dirais qu’elle sera plus pauvre, plus délabrée, plus détraquée, moins chrétienne et moins juive, plus musulmane, moins entreprenante encore qu’aujourd’hui, dans une faillite généralisée qui ne dira pas son nom, mais qui n’en sera pas moins une faillite généralisée. Si je vis encore, je penserai, chaque 21 janvier à Louis XVI, et je relirai son testament…

 

Guy Millière

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Comments (35)

  • BMN Répondre

    @ Jaures
    “Enfin, BMN, pourquoi donc une notion de « bon père de famille » ? La « mère de famille » n’est donc pas pour vous une notion digne de figurer au droit ?”
    je vais essayer de vous donner ma vision des choses:
    “bon père de famille” qui (est) était un terme juridique, implique la notion de responsabilité du chef sous l’aspect non seulement matériel, ce qui est déjà élémentaire, mais plus encore d’assurer le bien commun de la famille, considérée comme cellule élémentaire de la société (justice, discernement, apprentissage de la vie sociale, morale, équilibre interne/externe, épanouissement, spiritualité, …)
    la “mère de famille” a un rôle d’une certaine façon plus important, bien que certes moins visible, puisqu’elle est le coeur, l’âme de la maison, avec tout ce que cela implique de qualités à déployer.
    il ne s’agit surtout pas d’opposer les deux, mais bien plus de voir la COMPLEMENTARITE dans leur richesse respective, car s’ils sont bien égaux en dignité dans leur humanité, ils ne le sont pas dans leur nature et leur rôle dans la société: il n’y a pas un être supérieur et un être inférieur, mais deux DIFFERENTS, et la dialectique hégélienne du maître et de l’esclave n’y trouve pas d’application.

    pour en revenir à ma remarque sur l’éphéméride du 21 janvier avec la synchronicité des événements de 1793 et 2014, j’ajoute que “bon père de famille” a été remplacé par le terme “raisonnable” ou “raisonnablement”, ce qui me fait furieusement penser au culte de la déesse “raison” représentée par une femme (“mère de famille”, ou cover-girl, ou … ?) défilant à notre dame de paris (toujours 1793, le 10 novembre).
    “raisonnable” me semble être une seule des qualités du “bon père de famille”, qui lui, est un concept bcp plus riche et complètement humain.

    mais comme l’ensemble de vos commentaires de cet article me fait croire que vous avez une vision très matérialiste, voire anarchiste, de l’anthropologie et de la société humaine, j’imagine que mon explication vous paraîtra foireuse …

    5 février 2014 à 19 h 39 min
  • R. Ed. Répondre

    Vals à la place de Danton ?

    1 février 2014 à 20 h 35 min
  • Jaures Répondre

    “Il n’empêche qu’en 1789, la France était le pays le plus peuplé, le plus riche, le plus avancé techniquement, culturellement, militairement, etc.” Outre que ce que vous dîtes est éminemment contestable, quelle signification avait donc cela pour un paysan qui devait régulièrement subir famines et épidémies ?
    Etre le meilleur n’est intéressant que si tout le monde en profite. Or, en 1789, alors que le peuple vivait dans le désoeuvrement, le clergé et la noblesse profitaient de leur privilèges en se pavanant à la cour. Il est évidemment ridicule de juger d’une condamnation plus de 2 siècles après. Les pays qui ont gardé leur roi ont ils donc connu un meilleur sort ? Ont-ils connu moins de conflits, de guerres, de coups d’état ? Evidemment non. Enfin, BMN, pourquoi donc une notion de “bon père de famille” ? La “mère de famille” n’est donc pas pour vous une notion digne de figurer au droit ?

    1 février 2014 à 14 h 15 min
    • oxydent75 Répondre

      @Jaurès
      ” Pourquoi -Bon père de famille”? – Bel argument d’une gauche qui veut le CHANGEMENT. Et qui, en presque deux années de pouvoir n’a tenté (sans succès) que d’aborder des questions de vocabulaire et de concepts aussi perturbateurs que ridicules pour une société comme la nôtre: Des hommes-femmes, des pères-mères, des asexués, des familles (le nom peut aussi être changé en “groupe sociologique idéalisé”), une histoire qui devrait tout à notre passé arabo-musulman, une drogue en libre service et portes ouvertes à des “chances pour la France” comme mohamed Merah ?… Et quel autre enfumage idéologique tendant à pervertir dès leur plus jeune âge nos enfants ? Il faut arrêter ce cirque Messieurs les partisans du désordre, de l’incurie et de la régression de notre société.

      4 février 2014 à 15 h 08 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Oui Jaures et en ce moment ce sont les bonzes du PS tout imbus de leurs privilèges et de leur suffisance qui se profilent à la cour du roi volage pendant que des couches importantes du peuple se morfondent dans la précarité.
      Naturellement tout le monde n’en profite pas!
      Apparemment vous prêchez de beaux principes que vous ne vous appliquez pas, c’est tout à fait socialiste puisque le mensonge et la déception sont parties intégrales de cette doctrine léthale.

      4 février 2014 à 16 h 58 min
  • BMN Répondre

    comme dit le philosophe, ‘la france, en coupant la tête de son roi, a perdu la sienne’:
    cette vérité ontologique a une symbolique psychanalytique et spirituelle très forte pour notre pays, puisque le roi était le père de la nation, représentant temporel de dieu pour le peuple (lieutenant, càd tenant lieu de);
    nous avons tué le père et sommes donc une nation parricide parce que régicide; après plus de deux siècles guerre civile et de nombreuses singeries royales, nous avons besoin d’une repentance nationale (une vraie) pour être lavés de ce meurtre et retrouver le chemin de la paix, mais nous en sommes encore loin.
    (coïncidence de dates: exactement 221 ans après l’assassinat de louis 16, l’assemblée nationale, en ce 21 janvier 2014, vient de rayer du droit français la notion de ‘bon père de famille’)

    30 janvier 2014 à 17 h 57 min
  • oxydent75 Répondre

    @ Jaurès
    “Quant à savoir où en sera la France dans 20 ans, Millière n’en sait strictement rien”… C’est en partie vrai ! Le pessimisme de M. Millière n’est autre que l’expression douloureuse de son affection idéaliste pour un “un bon vieux pays” qui subit les agressions d’une gauche sans vergogne, incompétente, opportuniste, démagogue et moraliste seulement obsédée par la prise du pouvoir et son impossible conservation. Une gauche qui tente d’introduire dans notre culture et nos valeurs des idées incompatibles avec nos racines judéo_chrétiennes en vue d’un remplacement de peuple favorable à son maintien. Une gauche qui par ses errements, ses divisions, sa malhonnêteté (ls exemples sont pléthore), son ridicule politique porte atteinte à notre identité nationale, à notre fierté (il en faut:), à notre unité et à notre progrès. Dès lors, Peut-on reprocher son pessimisme à M. Millière ?
    Les autres pays ne vont pas mieux, c’est un fait. Mais alors qu’on ne cesse d’un côté de nous convaincre du rayonnement de notre France, de sa brillance, de ses capacités, de son exemplarité (un “package” acquis difficilement au cours d’une lente maturation séculaire) toutes nos structures sociétales seraient à remettre en cause (famille, enfants, histoire de France, passé arabo-musulman…) dans le cadre d’un enfumage qui trouble le peuple dont la richesse est dans les racines et qui se défie de ses dirigeants. Le trouble s’étend à l’économie, plombée par la sinistrose (qui veut entreprendre et se projeter vers l’avenir aujourd’hui ?) : la liberté de dire, de penser, d’agir dans un pays qui sanctionne tout ce qui n’est pas conforme à la doxa socialo-bobo-écolo est inhibée, chacun se replie sur ses petits plaisirs et le barbare poursuit son avancée, légalisée par un gouvernement sans envergure et à la limite de la trahison.
    La décadence, si tant est que nous ayons cru à une “hauteur” française, peut effleurer l’esprit.

    30 janvier 2014 à 14 h 01 min
    • Jaures Répondre

      Oxydent, la question est: quand donc la France fut-elle “un bon vieux pays” ? Ce groupe nominal n’a aucune signification. De tout temps il y eut des malheureux, des privilégiés, des riches, des pauvres, des victimes et des délinquants.
      Pensez-vous qu’à un quelconque moment de l’Histoire, la grande majorité du peuple ait eu le sentiment de vivre un apogée, un moment particulièrement privilégié ? Oui, sans doute, après une catastrophe ou un conflit. Quand on sort du pire, on a l’impression de vivre le meilleur.
      Si le pessimisme existe, c’est justement que les malheurs diminuent et que ceux-ci nous deviennent de moins en moins supportables. Le nombre de meurtres n’a jamais été aussi bas, les décès sur la route on été divisés par 5 en 40 ans, mais les cambriolages nous traumatisent. Nous vivons de plus en plus vieux et nous ne comprenons pas qu’on décède encore du cancer ou d’une crise cardiaque.
      Nous vivons une crise économique que certains ont comparé à celle de 1929. Si, certes, nous souffrons d’un chômage endémique, les effets de la crise n’ont rien à voir avec ceux de 1929, mais la précarité et l’accès réduit à la consommation nous sont devenus insupportables.
      C’est pourquoi le discours pessimiste relève d’une escroquerie intellectuelle. Personne ne sera jamais satisfait, totalement tranquille sur sa santé et celle de sa famille, sûr de son poste et de ses revenus. Chacun a la nostalgie de sa jeunesse. On pense toujours un jour ou l’autre que “c’était mieux avant”. De tout temps on a pu lire des volumes déplorant la décadence des moeurs, la perte des valeurs, annonçant le pire. Cela n’a d’autre signification que le manque d’inspiration de leurs auteurs.

      30 janvier 2014 à 18 h 01 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        ” un groupe nominal ”

        Diantre, bourgeois ( gentilhomme ) , vous faites dans la plus élémentaire cuistrerie E.N.

        l’élégance, la clarté, et la pertinence de la langue française ne sont assurément, et définitivement, pas votre fort

        1 février 2014 à 21 h 49 min
        • Jaures Répondre

          Relisez la définition du groupe nominal avant d’ironiser dans l’erreur.

          4 février 2014 à 14 h 41 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        ” chacun à la nostalgie de sa jeunesse ”

        et bien … PAS MOI voyez vous … dois JE consulter urgemment un(e) psychanalyste ?

        ma santé mentale est elle en danger Monsieur le Docteur en Sociologie socialiste ?

        1 février 2014 à 22 h 04 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Le progrès selon Jaures c’est le mariage des sodomites, les ventres des mères porteuses mis en vente, les chaines d’avortements automatisées et l’assassinat légal des incurables.
        Avec un tel progrès, pas étonnant que la morosité ait envahi tout le pays.

        2 février 2014 à 21 h 30 min
        • Jaures Répondre

          Bien sûr, cher Hans. Et en plus je mange les petits enfants.

          4 février 2014 à 14 h 39 min
    • oxydent75 Répondre

      @Jaurès
      “Bon Vieux pays” oui, une expression de De Gaulle. C’est, au delà de la froide statistique, un imaginaire collectif qui donne tout son sens à une identité nationale (énorme injure pour la doxa socialo-gauchisante) et qui peut conduire à un idéal de construction commune. Bien entendu, tout s’améliore et les Français du XVI ème siècle vivaient bien mieux (alimentation, vêtements, transports…) que les hommes des cavernes. Mais allez vous promener sur le parvis de la Basilique de Saint-Denis où séjournent nos “bons vieux Rois de France” et vous comprendrez que le Français peut s’interroger et s’inquiéter sur le paysage hallal qui lui est offert. Mais Tout va très bien Madame la marquise… Et là, il ne s’agit plus d’impressions, M. Jaurès.

      3 février 2014 à 11 h 46 min
      • Jaures Répondre

        Basilique de St Denis reconstruite au XIIIème siècle par notre bon roi de France Louis IX (St Louis) l’un des plus rude persécuteur de juifs de l’Histoire.

        4 février 2014 à 14 h 38 min
        • oxydent75 Répondre

          @Jaurès
          Ok Louis XI, Les croisades, L’inquisition, l’invasion de la gaule et l’homme de cro-magnon… Mais quid de l’invasion actuelle sur ce parvis, témoignage de notre passé, de notre histoire, de notre culture ? C’est notre dette envers les “méfaits de la colonisation”, ne manquerez-vous pas de me répondre.
          Toujours cette espèce de référence inutile à l’histoire pour noyer le poisson, technique propre à la gauche qui tente d’exceller par les mots (enfumage) afin de divertir de son incurie.

          5 février 2014 à 19 h 29 min
  • jean Baud Répondre

    AJjaurés
    Pôvre Jaurés!Vous pédalez lamentablement dans la choucroute,vous perdez votre temps avec vos commentaires stériles et votre mauvaise foi.Que n’écrivez vous sur les sites qui vous ressemblent:le monde,le nouvel obs etc où vous seriez entre Kamarades.
    Cependant,continuez comme cela car en croyant nous contester,vous nous dynamisez
    Merci Jaurés

    30 janvier 2014 à 11 h 20 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      à propos du Nouvel Ob’s

      entendu l’entrevue d’un journaliste de cet hebdomadaire ( la troisième dotation par l’Etat d’aide à la presse, faut il aussi préciser ) qui avait demandé à Olivenne ( alors directeur de l’hebdo bien pensant ) ) d’enquêter sur D.S.K. et ses relations ” troubles ” ( assiduités sexuelles ) au F.M.I. … Réponse du dit directeur ” c’est … NIET … D.S.K. un personnage OFFICIEL, ses ” frasques “, si frasques il y a, ne peuvent DE CE FAIT être traitées comme un vulgaire ” fait divers “

      1 février 2014 à 21 h 59 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Jean Baud, votre constatation sur Jaures est à 100% juste. Mais évitez svp à l’avenir de prendre la choucroute comme défouloir pour les pieds de Jaures, elle mérite mieux.
      D’avance merci.

      3 février 2014 à 11 h 37 min
  • ummite Répondre

    les combats d’idées mènent le pays par le haut et le bas selon la personne choisie .
    les gens pour la plupart , votent par émotion : il est beau , il parle bien etc..etc.. ceux-ci ne s’attardent pas vraiment aux vrais dessein du candidat , peu importe , il enivre de ses paroles .
    mais ce qui importe plus , ce sont les abstentionnistes qui cautionnent par leurs absence les forfaits contre la nation par ces gens qu’ils conspuent .

    30 janvier 2014 à 10 h 30 min
  • ummite Répondre

    bonjour

    quelques mots !

    bravo jaures !

    30 janvier 2014 à 10 h 22 min
  • druant philippe Répondre

    on devrait plutôt parler d’ accélération de la décadence sub imperiis Sarkozi et Hollandi :

    – immigration délirante (portes du pays béantes) et regroupement familial absurde
    -théories du métissage et multiculturalisme exacerbé
    -théorie du gender
    -légalisation du mariage pédé ouvrant la voie à l’ horreur de l’ adoption de mômes par des invertis
    Nul ne peut dire ce que la groite / drauche UMPS va sortir de son sac à maléfices mais je lui fais confiance pour nous enfoncer encore plus dans la mouise 8

    30 janvier 2014 à 9 h 46 min
  • André Répondre

    Par rapport aux pays du sud, la France se porte moins mal mais par rapport aux autres pays occidentaux elle se porte plus mal. En terme de pouvoir d’achat, sa situation est bien pire que la moyenne des pays occidentaux même si elle fait mieux que les pays du sud. La France est le pays occidental ou la proportion de smicards est le plus élevé alors que le smic français n’est pas plus élevé que ceux des autres pays occidentaux.

    29 janvier 2014 à 21 h 08 min
  • BRENUS Répondre

    Mais puisque l’on vous dit qu’il n’y a pas de décadence française, ni dans les coeurs, ni dans les esprits. Cessez donc de voir tout en noir. Un peu comme la méthode ABCD a l’école -version soft et provisoire de l’enseignement programmé (en dépit des dénégations) du “gender” voulu par les assos LGBT , Peillon Belkacem et cie: vous n’y comprenez rien. Sinon que, parti tel que c’est, je ne voudrais pas être un enseignant dispensant ce genre cours : il pourrait pour le moins se faire tabasser dans un coin bien discret, voire passer l’arme a gauche, tellement les “méchants” seront remontés contre ce lavage de cerveau pervers.

    29 janvier 2014 à 19 h 45 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      ” moi j’ ” ai confiance en la France …. sans Sarko, sans Hollande et même sans @ Jaurès … vous voyez que ma confiance tient à … peu de choses ! ! !

      1 février 2014 à 22 h 07 min
  • ludvigvonprinn Répondre

    Il existe bien un objet muni d’ un lourd tranchant acéré mais bien entretenu qui pourrait règler le compte de bien des dégénérés (journalopes, politiciens corrompus(pléonasme),…) responsables de la décadence actuelle .
    Nul doute que bien des Français accompliraient cette oeuvre salutaire à titre gratuit dont votre serviteur !

    29 janvier 2014 à 14 h 38 min
    • oxydent75 Répondre

      La tâche serait longue. Mieux vaudrait les employer sur des chantiers, des routes, au nettoyage des rues, afin de leur apprendre la sueur… et leur inculquer la notion de vrai TRAVAIL. Mais là encore, ils risquerait de piquer dans la caisse.
      Après réflexion votre solution est la meilleure :-)

      30 janvier 2014 à 14 h 14 min
  • Agathe Répondre

    Guerre de l’ombre: la cocaïne et son cortège de malades sexuels qui veulent parvenir au pouvoir.

    29 janvier 2014 à 13 h 15 min
  • Jaures Répondre

    Millière nous rejoue l’éternelle rengaine de la décadence, air connu depuis que le monde existe.
    Aujourd’hui, c’est à l’exécution de Louis XVI que Millière fait remonter ce déclin. Est-ce à dire que les années qui précédèrent la Révolution correspondent à un âge d’or à jamais révolu ?
    Souvenons nous que la Guerre de 7 ans (1756-1763) a ruiné l’Europe, causé 1, 5 millions de morts et provoqué des famines atroces. Ces mêmes famines firent des centaines de milliers de morts en 1775 et en 1788, accompagnées d’épidémies de dysenterie et de pneumonie. Mais, bon, c’était l’âge d’or !
    Que les Révolutions coûtent de nombreuses vies, personne ne le conteste. Ce fut le cas en France mais en fut-il autrement ailleurs ? Que coûtèrent les unifications italiennes et allemandes ? Millière, en bon connaisseur des Etats-Unis sait que l’Indépendance donna lieu à de nombreuses années de conflit, suivies des guerres indiennes puis de la guerre de sécession, 600 000 morts en 4 ans (ce qui ramène la guerre civile syrienne à un simple combat de rue).
    On voit qu’il n’existe pas d’âge d’or ni de décadence. L’Histoire est une suite de conflits sanglants qui nous fait d’autant mieux apprécier les quelques décennies de relative tranquillité que nous connaissons en Europe.
    L’autre imposture intellectuelle consiste à donner à croire qu’il existerait une exception française dans un monde occidental paisible et prospère. C’est bien entendu faux. Si la situation de la France est “cataclysmique” que dire de l’Espagne, l’Italie, le Portugal, l’Irlande,…?
    On admire les statistiques allemandes en oubliant que 7,5 millions de personnes y travaillent avec un minijob à 450€/mois et que le taux de pauvreté y est de plus de 15%.
    On nous présente le Royaume-Uni comme un pays qui sort de la crise alors que la croissance y est dopée par la création monétaire et le déficit public (7,4% du PIB, le double de la France).
    Bref, on peut, on doit dire que la France va mal. Mais sa situation est globalement dans la moyenne des autres pays.Quant à savoir où en sera la France dans 20 ans, Millière n’en sait strictement rien, lui qui quelques semaines avant la faillite de Lehman Brothers assurait que les Etats-Unis se portaient au mieux et qu’aucune crise économique n’était à craindre.

    29 janvier 2014 à 10 h 23 min
    • Dr H. Répondre

      Il n’empêche qu’en 1789, la France était le pays le plus peuplé, le plus riche, le plus avancé techniquement, culturellement, militairement, etc.. Et depuis la révolution, c’est le toboggan…

      30 janvier 2014 à 8 h 29 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Les révolutions française et bolchévique ont toutes deux débouchés sur la terreur et la guerre civile.
        Quand un régime nait sur des exactions cela n’augure rien de bon pour la suite et pour l’avenir.
        On retrouve aujourd’hui des traces de cette violence dans le socialiasme français, digne hériter des coupeurs de tête d’antan.
        Le dénommé Peillon, pour n’en citer qu’un, est le digne représentant de Robespierre et de ses sbires.

        30 janvier 2014 à 20 h 45 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        la Hollande était pas mal non plus puisqu’elle mit un terme à la gloire militaire française !

        1 février 2014 à 22 h 12 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Malheureusement pour le pays la Hollande, son nom et sa réputation sont mises à rude épreuve ces derniers temps.
          God zegene het land van Holland.

          4 février 2014 à 17 h 06 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      à croire que ce ” lourdaud ” de Millière-Texan écrit ses articles à seule fin de susciter les longs sermons sur la ” décadence ” du frère prêcheur ( et … ) @ Jaurès … c’est du Laurel et Hardy

      1 février 2014 à 22 h 11 min

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