La France : déclin ou décadence ?

La France : déclin ou décadence ?

Déclin et décadence, les deux mots n’ont pas la même signification. Le déclin est généralement temporaire, la décadence ne l’est pas.

Il est évident que la France au sein de l’Occident chrétien, lui-même très atteint, est, à terme, un pays en fin de parcours. Il ne se relèvera pas.

Ce pays a été construit en plus d’un millénaire par l’Église catholique et la monarchie dont l’ennemi principal a été pendant des siècles l’Angleterre – au moins jusqu’en 1904, date de ce qu’on a appelé « l’entente cordiale ». Assurément, les étapes de cet inexorable abaissement sont discutables. Les historiens en débattent. On peut cependant le faire partir du Traité de Paris (1763) qui, sous les coups de l’Angleterre, fit perdre à la France la quasi-totalité de ses conquêtes coloniales, l’Inde et l’Amérique, lui laissant quelques modestes territoires épars, permettant ainsi à la Grande-Bretagne de devenir la première puissance du monde. Elle le restera jusqu’à la deuxième guerre mondiale.

La Révolution de 1789 fut, en tout cas, l’indiscutable confirmation et l’amplification de la décadence de la France. Elle fut le révélateur d’une mentalité destructrice, faite d’un ensemble d’idées fausses qui perdurent jusqu’à ce jour. Des têtes coupées par dizaines de milliers, des tentatives de génocide, des destructions sans nom donnant au monde le spectacle d’un peuple anarchique et cruel. Le fils du roi mourut de mauvais traitements. Lesquels ? Brutalité, torture, viol… C’était un enfant.
Et tout cela pour aboutir à une épopée conduite par un Génois de mère corse, récemment française, qui, avec génie certes, gagna des batailles mais perdit la guerre. La grande coalition européenne et anti-française occupa Paris, les Russes en tête, ivres du matin au soir, dans la grande tradition slave. Puis, ce fut la Commune de Paris en 1871, sous les yeux de l’occupant prussien, pour arriver à la Grande Guerre qui commença le 3 août 1914 pour se terminer le 8 mai 1945 (car première et deuxième guerres mondiales, ce fut la même guerre, un immense suicide entre des peuples de même civilisation, de même religion, de même culture, qui aurait pu être évité) et dont, aujourd’hui, pour ce qui est de la première guerre mondiale, 95 % des Européens ignorent la cause : l’assassinat de l’archiduc héritier d’Autriche-Hongrie à Sarajevo, le 28 juin 1914.

60 millions de victimes, militaires et civils, des destructions gigantesques (pour sauver Dantzig ?), l’Allema­gne écrasée sous des millions de tonnes de bombes démocratiques. La France vaincue en 1940, mais libérée en 1944, ne fut pas épargnée. En 1914, la guerre se déroula sur son sol et la Libération tua 30 000 civils, rasa un certain nombre de villes et engendra une guerre civile que les historiens ont fort bien décrite, sans oublier quelques autres prouesses des libérateurs considérant, comme les Allemands qui en avaient bien profité, la France comme un vaste bordel – malheur aux vaincus ! –, à tel point que le général Eisenhower, commandant en chef des armées alliées, fit condamner en cour martiale 162 militaires américains auteurs de viols, dont 139 noirs exécutés par pendaison. On trouvera tous les détails de ces hauts faits dans l’ouvrage que vient de publier l’historienne américaine Marie-Louise Roberts, de l’université de Chicago.

Plus grave encore fut, à partir de 1918, l’inoculation du marxisme-léninisme dans la mentalité française et, très logiquement, en 1944, la légitimation de la gauche qui, depuis lors, gouverne la France avec des appellations diverses, sous la surveillance des syndicats dont le plus important est communiste.

À cela s’ajoute une idée-force en constante application : la lutte des classes complétée par la « haine du travail » – du moins chez beaucoup – pour reprendre une expression de François Bayrou.

La droite dont une partie s’était compromise avec le national-socialisme allemand est alors marquée à jamais. Même en 2013, être à droite, c’est être « collabo » et fasciste. Le résultat est là aujourd’hui : une faillite totale et l’une des causes évidentes de la disparition programmée de notre pays dont le territoire millénaire sera à la fin du siècle un espace afro-islamique agité de tueries et livré à la délinquance, comme c’est le cas, depuis la décolonisation, dans toute l’Afri­que, au Proche et au Moyen-Orient.

Déjà, la plus grande mosquée d’Europe est à Évry, dans la banlieue de Paris, circonscription du ministre de l’Intérieur ! 12 millions d’étrangers habitent en France, sous des statuts divers, dont beaucoup ne vivent que de subventions sociales, parfois aussi de pillages et de vols. Des territoires entiers paraissent ne plus être français. La faute a été commise en 1974, lorsque Giscard et Chirac ont instauré le regroupement familial.

J’ajoute que la IIIe République, instaurée à une voix de majorité en 1873, n’a pas produit, à ma connaissance, de personnalités exceptionnelles, sauf peut-être Paul Descha­nel qui, se prenant pour un chat, grimpait aux arbres dans les jardins de l’Élysée. Il finit dans une maison de santé…

La France n’étant plus la France, la culture française s’altère chaque jour davantage et il en sera ainsi plus encore dans les décennies qui viennent. Dans l’enseignement primaire, des classes entières sont issues de l’immigration dont les élèves parlent chez eux arabe ou une langue sub-saharienne. En 1926, un recensement avait établi que vivaient en France métropolitaine 796 noirs. En 2013, ils sont 3 millions et il en arrive chaque jour de nouveaux, souvent analphabètes. Cet intarissable mouvement grossit les rangs d’une jeunesse infantilisée par la télévision en permanence, les vacances à répétition, l’alcool et la drogue, causes d’un banditisme qui sévit partout. Cette désastreuse évolution est cadenassée par le déni permanent. Le seul fait d’exprimer l’évidence vaut exclusion et condamnation…

En conclusion, je citerai un fait divers qui, en réalité, a une signification dépassant largement l’anecdote. Pour représenter Ma­rianne, symbole de la République, l’administration des Postes avec la bénédiction du Très-Haut domicilié à l’Élysée, a choisi, non pas une jolie Française, mais une Ukrainienne, Inna Shevhenko, chef de file des Femens aux seins nus. Elle en fut très flattée. On la comprend. Et, toute heureuse, elle lança : « Désormais, tous les homophobes, les extrémistes et les fascistes devront lécher mon c… pour envoyer une lettre. » Oh, marquise, quelle distinction ! C’est cela, aujourd’hui, la France.

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Comments (20)

  • DRISS Répondre

    J ai toujours essaye de comprendre la France en vain .Les cinq partis politiques tirent chacun de son cote comme si
    chacun apartient a un autre pays . Alors on ne peut pas avancer. Rien qu a voir le syndicat on perd le nord .On se chamaille pour le foulard porte par quelques femmes . C est vraiment dommage .

    27 décembre 2020 à 19 h 33 min
  • Monique Répondre

    L’Ultra-libéralisme généralisé a pour effet pervers d’uniformiser la planète entière prônant le profit et uniquement lui.
    Son leitmotiv : “Personne est irremplaçable” détruit les gens, la société.

    De mon point de vue rien à voir donc avec un problème Franco-français. Si décadence il y a, elle est celle de l’occident.

    21 décembre 2015 à 12 h 05 min
  • Avgardisme Répondre

    Pour moi, le déclin a commencé en 2008. Du moins, le déclin de notre liberté médiatique.

    5 octobre 2015 à 1 h 25 min
  • Magne Répondre

    Jaurès à peut -être raison . Chacun voit midi à sa porte ; la décadence de l’un , n’est pas celle de l’autre .
    Toujours est-il que le Président de la République a dit d’Afrique du Sud : il va falloir avoir des résultats en matière de chômage et d’insécurité pour contrer les votes populaires ( il faisait référence à Brignolo – Brignoles en provençal ) .

    Evidement s’il réduit d’une manière significative le chômage et l’insécurité le vote populaire va décroître .

    Moins de corruption ( la France est à la 25 ème place dans le monde et pratiquement les derniers en Europe ) , moins de précaires ( 10 millions ) moins de suicides ( le plus haut niveau d’Europe ) des prisons respectant un minimum les Droits de l’Homme ( on a été épinglé sur ce sujet à Bruxelles ) … serait aussi bienvenue .

    J’oubliais les impôts que personne ne réfute ; les Français toujours râleurs aimeraient qu’on descende de leur dos et qu’on arrête de leur faire les poches , sans vouloir vous offenser trés cher Jaurès .

    14 octobre 2013 à 15 h 47 min
  • Audrey Répondre

    Pas besoin d’être prophète pour bien comprendre que “La disparition de notre belle culture française ne fait plus aucun doute. Simple question de temps” suivant ce récit sentimental étonnant d’une jeunesse désabusée “les corps indécents”. Bientôt une seule et même question sur toutes les lèvres “Quel sera le sort des autochtones de souche devenus minoritaires sur la terre de leurs ancêtres ? ” En son temps, de Gaulle nous avait pourtant bien mis en garde.

    14 octobre 2013 à 8 h 20 min
  • HOMERE Répondre

    La décadence de la France vient de ses déclins successifs.
    Déclin économique,
    Déclin identitaire,
    Déclin culturel,
    Déclin patriotique.
    Certes nous sommes soignés,logés,nourris….mais ceci à quel prix ?
    Perdue notre indépendance,diluée notre identité dans le Golem mondial,cancérisé notre culture dans le cul cul média grotesque et porno,effacés nos repères moraux,perdu notre libre arbitre au profit des parleurs experts en rien et penseurs officiels en tout,carbonisés nos intelligences créatrices,explosé notre lien social…
    Nous ne sommes plus que des indifférents à tout et à tous,courbant l’échine au destin standardisé ou exploiteurs canailles…
    Notre nation s’est dissoute sous les boutoirs des dogmes matérialistes et des lâchetés nationalistes.
    Oui alors,dans ces conditions il sera plus que probable que nous versions,encore,dans ces turpitudes et ce magma engloutira notre glorieuse civilisation..
    Regardons simplement à quoi rêvent les français…alors on comprend tout le reste !

    13 octobre 2013 à 11 h 50 min
    • Jaures Répondre

      Encore une fois déclin par rapport à quoi ?
      Economie ?: la France a de tous temps connu des hauts et des bas, des moments de développements suivis de crises ou de guerres. Quoi qu’il en soit, même dans les difficultés actuelles, rien à voir avec les famines récurrentes du temps de l’apogée de M Lambert.
      Déclin patriotique ? Mais qu’en était-il autrefois quand il y avait plus de lettres de dénonciations qui arrivaient à la gestapo que d’habitants ? Les volontaires de la division Charlemagne étaient-ils des patriotes ?
      Qu’on me donne enfin le moment de référence, cet “âge d’or” d’où aurait commencé notre déclin !

      14 octobre 2013 à 10 h 39 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        Quand vous tombez dans un goufre Jaures vous ne pouvez-plus vous situer par rapport à la surface, car vous ne savez plus à quelle profondeur vous vous trouvez à un moment donné.
        De même quand un pays décline vous constatez sa chute par des faits ou des évènements mais les points de répère changent constamment.
        Mathématiquement parlant nos pouvons mesurer la dérivée dDéclin / dt. Pour le calcul de l’intégrale de cette fonction il faut des décennies et je constate que l’article s’est conformé à cette vue de longue durée.
        Enfin pour votre question “déclin par rapport à quoi?”, je répondrais comme Einstein pour la vitesse de la lumière, par rapport à tout.

        14 octobre 2013 à 13 h 32 min
      • HOMERE Répondre

        Le déclin se mesure par rapport à une situation antérieure donnée,bien évidemment plus favorable pour les populations mais aussi pour le rayonnement d’un pays et sa capacité à produire de la richesse et de l’intelligence.
        Ainsi,la convergence de l’ensemble des critères vers une dégradation,constitue le début d’une période de déclin.
        La référence à la dernière guerre est on ne peut plus inexacte car,précisément cette époque fut le plus grand instant de solidarité, de fraternité entre les français.
        Bien sûr les volontaires de la division Charlemagne se considéraient comme patriotes car ils allaient combattre les soviétiques communistes qu’ils considéraient comme les pires ennemis de leur pays.Bien sûr les petits français chantaient “Maréchal nous voilà” pour affirmer leur soutient à un chef qui représentait le pays d’alors….moi même l’ai chanté;suis je pour autant Vichyste aujourd’hui ? Tout celà n’est que du détail par rapport à la cohésion inégalée des patriotes et le sens inouï de leur devoir.
        Pour répondre plus précisément au pérempteur, le déclin de la France a pris forme dès lors que les valeurs immatérielles et spirituelles ont disparues pour faire place à une gabegie d’inutilités qui ont submergé les populations pour occuper intégralement leur esprit , leurs forces vives et leurs intelligences.
        Certains ont appelé celà les “trente glorieuses” que l’on devrait plutôt nommer les “trente honteuses”.
        Aussi les groupes ultra matérialistes et “progressistes”ont oeuvré dans le sens du déclin,c’est à dire en mettant en cause les notions antérieures de patriotisme, d’effort,d’identité et de famille.Eux considèrent qu’ils s’agit de progrès,nous de déclin.Les premiers sont socialistes,les seconds libéraux et patriotes.
        S’agissant des progressistes,ont peut dire qu’ils ne savent pas où ils vont et,lorsqu’ils se trouvent quelque part,ils ne savent pas où ils sont.
        Certains aussi fixent l’année 1968 comme le début du déclin de la France…..ce me semble pertinent !

        14 octobre 2013 à 17 h 38 min
        • Jaures Répondre

          Homère, je rejoins en partie ce que vous dîtes. Je pense qu’effectivement les volontaires de la division Charlemagne, tout comme les miliciens qui livraient les résistants se sentaient patriotes. Parallèlement, le groupe Manouchian formé de juifs polonais, espagnols, arméniens se sentait patriotes, Manouchian déclarant son amour pour la France dans sa dernières lettre.
          On voit donc que le patriotisme, comme toute valeur, est subjective et qu’en son nom on peut accomplir les meilleures choses comme les plus abominables.
          Quant à la décadence, on voit que chacun y va de sa date de prétendu commencement. Mais si on peut regretter ceci ou cela d’une période révolue, qui accepterait d’y revenir dans l’état d’alors ? N’est-ce pas au fond sa propre jeunesse dont on a la nostalgie ?

          15 octobre 2013 à 10 h 31 min
  • germinus Répondre

    Un grand merci pour vos commentaires précis et tellement réel sur la situation de notre pays…Je me régale , bien que ce soit triste . non M jaures! ce n’est pas le bruit des bottes
    que nous entendons actuellement, mais le silence des babouches très inquiétant , toujours plus nombreux grâce à des collaborateurs zélés comme vous qui les font venir en masse ! Décadence et déclin nous avons déjà fait un beau de chemin avec la brochette d’incompétents que nous avons depuis 40 ans mais avec des jaures au pouvoir, nous avons enclencher la 5ème vitesse! pauvre FRANCE!

    12 octobre 2013 à 18 h 08 min
    • Jaures Répondre

      Mais, cher Geminus, décadence par rapport à quoi ? Depuis quelle apogée dégringolons nous irrévocablement ?
      Vous parlez de babouches mais autrefois on haïssait l’Anglais, l’Allemand, l’italien, le Juif, le Belge, le Polonais,… Pensez-vous comme Lambert que 1763 était pour notre peuple un moment d’élévation que nous n’avons plus retrouvé depuis ?
      Mais je lis dans les commentaires depuis que ce terme de décadence est utilisé des dates bien différentes: années 30, De Gaulle, … Bien entendu, quelle que soit la période en référence, si on avait demandé alors à la population si elle avait conscience de vivre une apogée, elle nous aurait ri au nez.

      13 octobre 2013 à 9 h 42 min
  • Jaures Répondre

    L’Histoire selon Lambert est d’un grand intérêt.
    Ainsi, selon lui, l’apogée de la France serait le milieu du XVIIIème siècle et nous connaitrions depuis une longue décadence.
    En fait, Lambert ne considère que la position de la France dans le Monde. Qu’un pays, en l’occurrence le nôtre, accumule les conquêtes, qu’il fasse bâtir quelques somptueux palais et Lambert est aux anges.
    Par contre, que le peuple meurt de faim, qu’il soit victime de conflits de territoires ou de religions, qu’il soit illettré, dépourvu des conditions sanitaires minimales, que les enfants travaillent dés le plus jeune âge, que les mariages soient arrangés uniquement dans le but de la transmission des patrimoines et des compétences,…
    tous ces menus détails ne jouent aucunement dans son appréciation.
    Aujourd’hui, dans la France décadente, on peut vivre deux fois et demi plus longtemps que lors de notre “apogée”, on profite d’hôpitaux, la mortalité infantile est dérisoire, les enfants sont protégés et éduqués, le peuple choisit ses représentants qui édictent les lois (au lieu d’un roi qui les invente pour son intérêt du moment), les femmes ont le droit de vote et l’accès à toutes les professions, la presse est libre, il n’y a plus de religion d’Etat, chacun est libre de circuler, de voyager, de s’établir à l’étranger,…
    Tout cela est bien marque de décadence mais je me demande qui, à part Lambert, souhaiterait retrouver notre “apogée”.
    Mais même lui, je doute qu’il souhaite la retrouver dans la peau d’un paysan victime d’une des régulières famines hivernales d’alors.

    11 octobre 2013 à 16 h 24 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Jaures, vous venez de d’écrire que va bien Mme la Marquise. Hôpitaux, mortalité infantile, droit de vote des femmes, et tutti quanti, tout y est.
      Alors pourquoi vos potes socialistes augmentent-ils constamment les impôts de celles et de ceux qui travaillent.
      Que voulez-vous encore de plus?
      Tuer la poule, alors adieu les oeufs d’or…

      11 octobre 2013 à 20 h 39 min
      • Jaures Répondre

        Certes, Hans, comparé à 1763, tout va très bien Mme la Marquise.
        Bien heureusement nous avons aujourd’hui d’autres exigences que “l’apogée” selon Lambert.

        12 octobre 2013 à 16 h 14 min
  • Magne Répondre

    Le déclin , l’affaissement a commencé sous De gaulle qui déclarait : ” l’Intendance suivra ” . Et bien elle n’a pas suivi .
    Il ne s’agit pas d’une décadence ( cela viendra peut -être un jour ) , la France a d’autres atouts .

    10 octobre 2013 à 14 h 56 min
  • NUMERO_9 Répondre

    C’est toujours un plaisir Monsieur LAMBERT de lire vos articles pleins d’esprit, de lucidité et d’érudition.

    Mais je crois qu’il va falloir bientôt vous déterminer avec davantage de précision car :

    Soit vous considérez la France comme un cadavre et dans ce cas votre diagnostic de médecin-légiste est parfait.

    Soit vous estimez qu’il y a des chances de guérison : alors dans ce cas faites un travail de médecin et rédigez une ordonnance mais ne restez pas confit dans le voyeurisme de nos maux…

    Merci pour cet article et bon courage.

    NUMERO_9

    10 octobre 2013 à 14 h 07 min
  • PHILIPPE Répondre

    J’ai, heureusement 64 ans, et je vis à la campagne, non loin de la mer, car, ancien Officier de Police, j’ai été confronté à une délinquance en pleine expansion, ( a 80 % afro-maghrébine!..) en Ile de France.. Depuis, je suis, de loin, la mort programmée de la France, orchestrée, notamment par le ‘B’nai B’rith’.. dont la disparition de notre pays, en tant qu’Etat-Nation,, est le but de son complot!..La France est fichue.. je dirais surtout à cause de la fausse droite(??..) laxiste, molle, veule et lâche, Giscadr-Chirac-Sarkozy, qui a trompé les français!..Mais, après tout, ce sont quand même ces ‘veaux ‘ de français (de Gaulle dixit..) qui sont responsables, et qui continuent à voter pour l’UMPS (Une M.. de plus!..).. Ils ont le gouvernement qu’ILS méritent!!!…Je m’en lave les mains..

    10 octobre 2013 à 13 h 31 min
  • mariedefrance Répondre

    Les deux, bien sûr, mon général….
    Nous sommes dans une tristesse sans commune mesure.
    Mon général, qu’attendez-vous ?

    les mots ne suffisent plus et si vous aimez la France, alors, AIDEZ-NOUS !!
    Ils vous ont aussi détruit mais “LA GRANDE ARMEE” des Français malheureux vous suivront.

    S’il vous plait…
    AIDEZ-NOUS.

    10 octobre 2013 à 8 h 12 min
  • obachiwa Répondre

    Excellent article helas.

    Mais je regrette d’avoir a dire que tous les traitres que vous citez, pour les periodes recentes, se sont trouves a la tete du pays parce qu’ils y ont ete places par les francais eux-memes.

    Et il n’y a aucune raison pour que ca s’arrete. Vous verrez, ils sont capables de mettre le valls sur le podium le prochain coup. Ce sera encore pire, le pire n’est jamais atteint.

    Alors a la question “declin ou decadence”, c’est les 2 Mon Capitaine.

    Je me rappelle quand j’avais quelques 2o ans, il y avait dans mon boulot un patron qui etait la connerie personnifiee , pour etre gentille, et cela me faisait bizarre qu’on puisse avoir aussi con. Je suis a la retraite depuis longtemps, mais rien n’a change toutes ces decennies, un con en a surpasse un autre et puis un autre… Ce sera pareil pour la tete pourrie du pays, sauf que maintenant, en plus, le peuple pourrit lui aussi.

    10 octobre 2013 à 2 h 31 min

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