Les enfants n’appartiennent à personne !

Les enfants n’appartiennent à personne !

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Madame Laurence Rossignol reconnaît avoir dit que « les enfants n’appartiennent pas à leurs parents » et elle a tout à fait raison puisqu’ils sont des êtres humains, de leur conception à leur mort. Ils ne peuvent donc être la propriété de quiconque et n’appartiennent qu’à eux-mêmes (et à Dieu). Toute autre conception ferait des enfants des esclaves ou des marchandises, ce qui n’est pas concevable. Elle dément, à juste titre, avoir dit ensuite qu’ils «appartiennent à l’État». Et elle aurait eu tout à fait tort de le dire, pour la même raison.

Il faut cependant préciser que les enfants sont confiés à leur père et à leur mère, ou, en cas de nécessité, à ceux qui en tiennent lieu. Ceux-ci ont la charge de les élever, c’est-à-dire de les faire monter de l’état d’êtres – certes humains et possédant toute la dignité d’êtres humains, mais qui ne parlent pas et donc s’expriment peu (seulement par les pleurs, les gestes, les expressions du visage) et qui ignorent presque tout du monde qui les entoure – à celui d’adultes responsables. Ils ont aussi la charge de les protéger et d’abord contre eux-mêmes, contre les dangers qu’ils peuvent rencontrer alors que l’ignorance du monde qui les entoure les laisse encore incapables d’y faire face.

Cette responsabilité-là, c’est essentiellement celle des parents et nul, ni l’État, ni l’École ne peut se substituer à eux pour l’exercer, même s’ils peuvent les aider dans la mesure où ils n’y parviendraient pas seuls. Et ni l’État, ni l’École n’ont le droit de prendre les enfants pour cobayes en vue de vérifier ou d’infirmer des théories comme celle du “gender” ou encore de changer de civilisation” (selon les propos de Mme Taubira).

Il ne devrait donc pas être possible de dire ou de laisser entendre que “les enfants appartiennent à l’État“, alors qu’ils ne peuvent appartenir à personne. Il ne devrait pas être possible de dire que l’on devrait “arracher” les enfants aux influences familiales, puisque c’est précisément la famille qui doit élever les enfants de la naissance à l’âge adulte. Il ne devrait être permis à aucun enseignant de sortir de son rôle d’enseignant (chargé de donner aux enfants les connaissances nécessaires pour mener leur vie adulte) autrement qu’en collaborant éventuellement avec les parents à l’éducation des élèves. Il ne devrait pas leur être permis de se concevoir comme « premiers éducateurs », chargés par l’État, supposé propriétaire des enfants, de leur éducation. Ils ne devraient pas se croire en charge d’éduquer les enfants et de façonner leur esprit à leur guise ou selon des principes édictés par l’État, à l’insu des parents et/ou contre les intentions de ceux-ci. Ils ne peuvent agir en éducateurs que du consentement des parents, en collaboration avec eux et de façon totalement transparente à l’égard de ceux-ci.

Seuls des parents gravement maltraitants et/ou négligents peuvent – après sérieuse enquête et sous le contrôle de la justice – être privés de leur droit et de leur devoir d’éduquer leurs enfants et voir ce droit et ce devoir confiés à d’autres.

Marie Merlin

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Comments (31)

  • BRENUS Répondre

    @JAURES : si mon post vous consterne, tant mieux. Cela ne fait que retablir en une faible mesure l’immense somme de consternation que vos mensonges permanents procurent aux lecteurs non gochistes de ce site. Et, comme je suis, moi, un homme du peuple qui a depuis des justres appris a manier l’argot, je peux vous envoyer encore quelques bordées si cela avait au moins une chance de vous faire dégager et d’aller baver sur libération, rue 69 et autres joyeux titres dans lesquels le quart inverse des positions que vous prenez ici ne passerait jamais dans leurs commentaires. Alors, fermez les claque-merdes et comme pour le rossignol : occupez vous de vos fesses.

    21 avril 2014 à 0 h 03 min
    • Jaures Répondre

      Fort bien, cher Brenus, continuez ainsi si cela vous chante.
      Pour ma part, je fais depuis des “justres” la différence entre argot et vulgarité.

      21 avril 2014 à 15 h 30 min
  • BRENUS Répondre

    Il a un drôle de chant ce rossignol. Et une tronche peu engageante. Elle doit faire partie des “souris roses” du PS, comme les occupants de 40/44 avaient leurs “souris grises”. Quelqu’un lui a t il demandé de s’occuper de ses fesses plutot que des gosses des autres? A moins qu’elle ne fasse partie d’un groupe de lesbiennes opposées à la procréation (autre que celles de ses protégés “divers”). Toutes ces peine-à-jouir n’en finiront jamais d’emmerder l’humanité avec le produit de leurs dérèglements mentaux. Tiens, au fait, le menteur PS de service sur ce site – jaurès- a bien affirmé, il y a quelques temps que la rombière en question n’avait jamais prononcé ces mots. Et ça prétend faire la leçon?

    18 avril 2014 à 23 h 45 min
  • Marquais Répondre

    Allez raconter toutes ces niaiseries en Afrique ou aux Indes ‘ par exemple, et vous vous les faites couper raz du dard…. enfin pour ceux qui en ont encore , bien entendu!

    17 avril 2014 à 19 h 39 min
  • DavidDomTom Répondre

    La responsabilité d’enseigner les enfants est et reste d’abord celle des parents, et plus particulièrement celle du père. Malheureusement nos société occidentales dites modernes a produit de plus en plus d’hommes irresponsables ne se préoccupant plus de leurs progénitures. Les femmes ont naturellement remplis le vide. Les situations de divorce et de muti-partenariats a amplifié le problème. La société produit donc sur cette base de plus en plus d’enfants déséquilibrés. La faute n’est donc pas de la religion, mais bien d’un changement de moeurs concernant la famille. D’ailleurs les idéologies socialistes sont davantage de nature à démolir les structures familiales. Ils ne feront que contribuer à créer une société sans repères et sans valeurs. L’Homme a et aura toujours besoin d’un cadre pour évoluer. Lequel sommes-nous enclin à lui définir ? L’homme sans Dieu, devient un idôlatre dangereux.

    17 avril 2014 à 15 h 48 min
    • jaures Répondre

      Qu’est-ce qui vous permet de dire que la société moderne produit plus d’enfants déséquilibrés qu’autrefois ? Est-ce qu’autrefois on s’étripait moins qu’aujourd’hui ? Les êtres humains étaient-ils plus respectés quand ils s’épuisaient au travail dés l’enfance, dans les champs ou dans les mines ?
      Les moeurs d’autrefois étaient-ils si vertueux ? Regrettez-vous le temps où les femmes devaient obtenir une autorisation du mari pour travailler ou ouvrir un compte en banque ? Pensez-vous que les hommes s’occupaient mieux des enfants qu’aujourd’hui ? Les changeaient-ils ? Leurs donnaient-ils volontiers à manger ? Leurs chantaient-ils des chansons avant de dormir ?
      Balivernes !
      La famille existe toujours. Elle s’est simplement diversifiée; traditionnelle,monoparentale, homoparentale, recomposée,… Le socialisme n’ a rien à y voir. Voit-on moins de familles diversifiées dans les pays libéraux ? Les droits des femmes, la durée de vie, les moyens de communication, la liberté de circulation,… tous ces éléments de la vie moderne ont fait voler en éclats la famille monolithique d’autrefois. Sommes-nous plus heureux pour autant? J’en doute. Etait-ce mieux avant ? Pour le savoir, demandez donc aux jeunes s’ils souhaitent en revenir aux moeurs anciennes.

      17 avril 2014 à 19 h 23 min
      • HansImSchnoggeLoch Répondre

        ça y est nous avons de nouveau droit aux comptes en banque des femmes mariées, aux enfants épuisés par les travaux aux champs et à tout le reste. Ressorti du tiroir poussiéreux “archives xyz” n’est-ce pas Jaures?
        En ce qui concerne le socialisme voir le sympathique Duch qui a oeuvré d’une manière fort progressiste au Cambodge. Les performances éblouissantes réalisées danc ce pays ont d’ailleurs été relatées élogieusement par le baveux français l’iMonde, un de vos canard de référence je suppose.
        Quant à savoir à qui appartenait les enfants du Cambodge cette question avait été tranchée d’une manière très “salomonesque”, on les a liquidé, le problème était ainsi résolu. Ouf on respire!.
        Détail minime de l’histoire, l’iMonde ne s’est jamais excusé.

        18 avril 2014 à 10 h 16 min
        • Jaures Répondre

          Ah bon ? On parle du Cambodge maintenant ?

          18 avril 2014 à 16 h 56 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          tenez moi, par exemple, j’ai un copain ” bien instruit ” qui a récemment passé les épreuves du ” certif ” de l’année 1930 ( je crois ) … hé bien il a été …. proprement recalé … autant dire que je ne vais pas me risquer à pareille (més)aventure … j’ai mon ” propre ” amour propre

          19 avril 2014 à 9 h 11 min
          • Jaures

            Reste à savoir si le titulaire du certif de 1930 l’obtiendrait en 2014. Les exigences d’alors ne sont plus celles d’aujourd’hui.
            Et il faut rappeler que les enseignants présentaient au certif uniquement ceux qui avaient une chance l’obtenir. Et quelle est la signification d’une comparaison anachronique ? Un mineur d’aujourd’hui tiendrait-il la cadence d’une gueule noire de 1880 ? Combien de soldats de nos armées survivraient dans les tranchées de 1914 ? Faut-il revenir aux classes de 45 élèves sous prétexte que les enseignants des années 50 y survivaient très bien ?
            Méfions nous de la nostalgie du bon vieux temps. On oublie vite la dure réalité d’alors quand on ne la subit plus.

            20 avril 2014 à 13 h 42 min
          • quinctius cincinnatus

            vous avez raison @ Jaurès vous n’êtes certainement pas du même calibre que ces ” ancêtres ” et nous savons que vous êtes un privilégié du privé qui ne travaillez qu’au rythme particulièrement soutenu , épuisant et pour tout dire inhumain de la Fonction Publique !

            21 avril 2014 à 15 h 14 min
  • BUTHIAU Répondre

    voilà un article de bon sens de la part de Mme Merlin. les parents ont un devoir de guidance et d’éveil à la vie, à l’autonomie et à la responsabilité de ses actes. les enseignants un devoir de transmission des savoirs et de
    discipline le cas échéant. ni les uns ni les autres ne devraient jouer un rôle “idéologique” dans la vie des enfants dont ils ont
    à respecter la personnalité et le caractère dans la mesure où ils sont compatibles avec les règles essentielles de la vie sociale, qui se résument en 2 phrases bien connues : “ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu’on te fit” et “ma liberté s’arrête là où commence celle d’autrui”.

    17 avril 2014 à 12 h 22 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      surtout à la responsabilité ( personnelle ) et à l’autonomie ( individuelle ) … les adjectifs qualificatifs entre parenthèses sont évidemment là pour bien insister sur l’individu et pas seulement sur ” la famille ” qui peut AUSSI fabriquer des clones qui seront des boulets pour la Société , sans oublier qu’ils en deviendront ” névrosés ” !

      19 avril 2014 à 9 h 16 min
  • Jaures Répondre

    Encore étrange cette manière, de Hans à Caillou, de refuser le dialogue.
    Ainsi, l’article réécrit à plusieurs reprises que l’enfant n’appartient pas à l’Etat. Mais personne de sensé n’avance pareille chose. L’enfant n’appartient qu’à lui-même sous le tutorat des parents. L’Etat participe à l’éducation de l’enfant par l’école mais l’enfant s’éduque également seul par la confrontation sociale et la pensée.
    L’article dit plus loin que l’Etat ne doit pas “façonner” l’esprit des enfants. Là encore, étrange conception de l’éducation. Comme si un esprit se façonnait comme une potiche !
    Mais surtout, il convient de répondre aux questions simples qui concernent l’éducation. L’école doit-elle se dispenser de rappeler en classe les valeurs de la république ? Doit-elle oublier de dire que tous quels que soit leur sexe, leur couleur ou leur religion sont égaux en droits ? Doit-elle renoncer à expliquer que chacun est libre dans le cadre des lois, et même de changer ces lois par le jeu démocratique ? Doit-elle refuser la laïcité, c’est à dire la liberté de chacun de croire à ce qu’il veut tant que ces convictions ne s’expriment qu’en dehors de l’école, dans les lieux de culte ou dans la sphère privée ?
    D’où vient cette peur de se voir “arracher ” ses enfants ?
    Sans doute le constat que les vieux dogmes se diluent et qu’il est plus commode d’accuser l’école, la télévision, 68, l’immigration,… de leur déclin que de réfléchir à leur essence.

    17 avril 2014 à 12 h 02 min
    • HansImSchnoggeLoch Répondre

      Dialoguer avec vous, Jaures?
      Sur quel sujet, vous nagez contre le courant à tout bout de champ. Réexpliquer que 1+1=2, non merci.
      Caillou vous a montré la marche à suivre, suivez ses conseils, ils sauveront votre âme en perdition.

      17 avril 2014 à 19 h 02 min
      • Jaures Répondre

        Si vous ne dialoguez qu’avec ceux qui suivent votre courant le débat doit tourner court.
        Sur un site voisin des 4V, seuls les abonnés ont désormais le droit de poster un commentaire. Résultat, alors que les intervenants débattaient par dizaines, ils se comptent aujourd’hui sur les doigts d’une main.
        Mais au moins tous suivent le même courant.

        18 avril 2014 à 11 h 09 min
        • HansImSchnoggeLoch Répondre

          Jaures, quel débat?
          Pour débattre il faut au minimum deux personnes. La plupart des intervenants des 4V lisent les articles et ne veulent surtout pas débattre avec vous.
          La preuve que c’est exact vous venez de l’avancer vous même, en effet les articles du journal papier sont lus mais comme vous n’arrivez pas à les lire vous ne pouvez donc intervenir.
          Ce qui vous réduit au silence et évite de lire vos sempiternelles élucubrations et c’est tant mieux.

          18 avril 2014 à 18 h 44 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        est ce que l’âme ( ? ) a STATISTIQUEMENT une possibilité d’exister ? toute la question est là ! je me souviens de ce médecin écossais ( je crois dans les années 1850 ) ) qui avait pesé avec la plus grande précision pour l’époque le corps d’un homme à l’agonie juste avant et au moment de son dernier ” souffle ” ayant trouvé un déficit de quelques onces il en avait conclu que l’âme pesait exactement la perte du poids observée … c’était un peu la loi d’Archimède appliquée à la Théologie !

        19 avril 2014 à 9 h 22 min
        • Jaures Répondre

          C’était un médecin américain: Mc Dougall avec sa théorie des 21 grammes. Cette hypothèse a largement été réfutée depuis: ce poids change d’un individu à l’autre et certains le reprennent après le décès.

          20 avril 2014 à 13 h 47 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      j’ai bien aimé ” potiche ” c’est exactement ce que fabrique l’E.N.

      21 avril 2014 à 15 h 15 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Jaures trouve cet article curieux , peut-être tout simplement parce que lui même est bizarre et compliqué.
    Personnellement je trouve l’article clair et net, les compétences état / parents y sont bien définies.

    PS: pour écrire son post Jaures a certainement empiété sur ses heures de travail. Mais peu importe, les lois c’est pour les autres, en tant que socialiste on a ses dérogations, n’est-ce pas?

    17 avril 2014 à 9 h 21 min
  • caillou Répondre

    Vous êtes parfaitement dans l’optique des diables de gauche Jaurès ! Cachez-vous et qu’on ne vous entende plus ! Occupez-vous de vous-même et seulement vous-même car apparemment vous manquez de beaucoup de lumière et vous avez beaucoup à faire pour produire de la Vraie Vie. Dans très peu d’années, les gens comme vous qui ne se seront Unpas repentis vont disparaître tout Soudain Et Par L’ Autorité De Celui Qui A précisément Investi Les Parents Des Droits Et Des Devoirs réexpliqués dans cet article.

    17 avril 2014 à 8 h 03 min
  • caillou Répondre

    Merci pour cet article simple et clair qui était vraiment nécessaire!

    17 avril 2014 à 7 h 55 min
  • Agathe Répondre

    La gauche est utopiste, la droite réaliste. Pour rester équilibre Hollande aurait dû aussi prendre des politiciens de droite dans son gouvernement. Il avait dit être le président de tous les français.
    L’expérience millénaire montre que être élevé au sein d’ une famille normale est le meilleur.
    Parce que la famille, pour l’enfant est un microcosme de la société, ou il débute ses premiers repères.
    Enfin, l’expérience montre aussi que les enfants élèves en pension, même chère, n’y sont pas heureux.

    16 avril 2014 à 12 h 42 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      Si ” LaDroite ” avait été, comme vous l’affirmez, ” réaliste ” , nous n’en serions pas là où nous sommes présentement … et puisque nous en sommes ( dans les réactions de ce blog à une morale de nature religieuse ) l’introspection politique ( sans culpabilisation ) serait aussi bien utile !
      Voyez vous , Madame, ce qui fait cruellement défaut à ” LaDroite ” c’est justement l’observation et l’ analyse logique des causes … bref ce qui lui manque c’est un esprit de clinicien ou de physicien … tout le reste n’étant que” pures ” chimères conceptuelles !

      19 avril 2014 à 9 h 30 min
  • Jaures Répondre

    Curieuse analyse. Les parents ne sont pas une sorte de bunker édifié autour des enfants. Dés leur naissance, les enfants échappent aux parents. A l’école, le contact avec d’autres enfants et d’autres adultes leur font connaitre le monde avec d’autres yeux. Même si les enseignants se contentent d’apprendre aux enfants à lire et à compter, dés qu’ils se confrontent à un texte (même à des images), ils acquièrent petit à petit une autonomie de pensée et d’affection.
    Les parents ont le tutorat de leurs enfants: ils leur apporte la sécurité matérielle et affective dont ils ont besoin. S’ils tiennent à transmettre leurs valeurs, ce n’est que par l’exemple de leur comportement qu’ils seront efficaces, beaucoup plus que par un code d’interdits qu’adolescents ils se feront un devoir de transgresser.
    L’école se doit de transmettre les valeurs de la république: liberté, égalité, fraternité, laïcité, car celles-ci s’imposent également aux parents et ne sont pas négociables. Par exemple, l’école dira à l’enfant qu’il s’appartient à lui-même et c’est lui, adulte, qui décidera s’il appartient aussi à Dieu, pas ses parents. Qui ira demander aux enseignants de traiter différemment les filles des garçons ? De ne pas leur enseigner la même chose ou de dire que tel métier est destiné aux hommes et tel autre aux femmes ?
    Si dans une famille la femme n’est pas considérée comme égale en droits au mari, ce n’est pas cette règle qui doit s’imposer à l’école sous prétexte que les parents ont la responsabilité des enfants.
    Les parents élèvent leurs enfants dans le cadre de règles collectives qui s’imposent à tous et dont l’école rappelle justement la teneur.

    16 avril 2014 à 11 h 50 min

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