Journal « Libéral de droite » et « droite libérale »

Journal « Libéral de droite » et « droite libérale »

Nos efforts permanents de recrutement de nouveaux abonnés portent leurs fruits : les lecteurs de notre revue n’ont jamais été aussi nombreux ! Nous partîmes 200, en 1995, quand l’ancienne formule mensuelle fut interrompue, et, par de constants renforts, nous voilà plus de 17 000 ! Un grand merci à vous tous, chers correspondants, qui faites autour de vous la meilleure publicité qui soit pour notre publication : en la prêtant, en nous demandant servir à vos amis quelques numéros gratuits.
28 % des abonnés payants actuels sont des nouveaux abonnés, qui nous ont rejoint depuis moins d’un an. Inversement, plus de 50 % de nos abonnés en sont à leur deuxième réabonnement, ou plus. Ce qui veut dire au moins deux choses : notre lettre de vente – puisque nous n’utilisons pour recruter que le marketing direct – doit être efficace ; la ligne de notre journal est dans l’ensemble conforme à celle annoncée dans ladite lettre de vente. Ceci est démontré par le fait que 70 % de nos nouveaux abonnés renouvellent leur abonnement à l’échéance de la première année, acceptant même de payer le prix normal de 54 euros alors qu’ils avaient bénéficié d’un prix cassé à 29,90 en guise de bienvenue.
Pour ces nouveaux abonnés je crois utile de redire avec clarté notre ligne éditoriale (qui n’a pas varié d’un pouce depuis dix ans), et qui, je le pense, fait à la fois notre succès et notre originalité.
Au plan économique, tous nos collaborateurs réguliers sont résolument des libéraux. Ce qu’expriment, avec fermeté, les articles de Bernard Trémeau, ancien parlementaire gaulliste, qui reprend cette semaine, en page 2, ses contributions, après une absence de quatre mois, consacrée à lutter, avec succès, contre une méchante maladie… La défense du libéralisme n’empêche pas l’expression d’une diversité des points de vue. Elle la suscite et elle la fait aimer. Nous aimons la controverse.
Mais nous avons une divergence importante avec beaucoup de nos amis libéraux. Nombreux sont ceux qui prétendent – avec Alain Madelin – que le libéralisme est une ligne de clivage politique. Nous pensons exactement le contraire. Nous soutenons que le clivage droite-gauche existe, qu’il structure la vie politique française, aujourd’hui comme hier et comme il le fera encore demain. Mais le libéralisme n’est pas spécialement de droite. Hier, Frédéric Bastiat, idole française incontestée de tous les libéraux du monde, ne siégeait-il pas à gauche ? Et aujourd’hui des hommes comme Jean-Marie Bockel en France, comme Tony Blair en Grande-Bretagne ne sont-ils pas des hommes de gauche et des libéraux ?
Bien sûr, depuis que la gauche a été envahie par le marxisme, en particulier en France, les libéraux se sentent plutôt à droite. Mais ils répugnent souvent à ce clivage. Ils n’acceptent pas la définition nominaliste de la droite et de la gauche, à savoir qu’est de droite ou de gauche toute personne qui se dit telle !
Pour ma part, au plan politique, je suis tout simplement de droite. Et je dis que tous ceux qui s’y reconnaissent appartiennent à la même famille, malgré les querelles et les oukases médiatiques. Soyons encore plus précis : je suis libéral ; je désapprouve bien des positions économiques défendues par le Front National ; mais nous appartenons à la même famille politique, au sens le plus large, et il faudra bien que les alliances politiques, un jour, en tiennent compte…
En tout cas, tous ceux qui se disent « de droite » peuvent s’exprimer dans nos colonnes, en particulier dans nos pages réservées à la publication d’un extrait de nos courriers de lecteurs. Je rappelle à cet égard que nous recevons, par courrier, par fax ou courriel, chaque semaine, plusieurs centaines de lettres ! J’en prends connaissance personnellement intégralement, mais je ne peux matériellement pas y répondre et encore moins promettre une publication (même quand certains correspondants, exigeant d’être publiés, menacent de ne pas renouveler leur abonnement si satisfaction ne leur est pas donnée…)

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Comments (13)

  • Jean-Claude Lahitte Répondre

    Pierre, même si vous avez rectifié de vous-même, je vous prie de me pardonner de vous avoir attribué – faute d’avoir vu les guillemets qui les accompagnaient, et de trouver après ces guillemets un “fin de citation” des propos tenus par celui que vous appelez sans doute à raison, le “TOURISTE UMP”. Je vous adresse mes excuses. Bien entendu, je je retire rien d’autre à ce que j’ai écrit ci-dessus. Bon dimanche si ce “post” a le temps d’être publié. Cordialement, Jean-Claude Lahitte

    28 janvier 2006 à 10 h 14 min
  • Jean-Claude Lahitte Répondre

    A Pierre. Je pensais que les lecteurs aussi bien des “4-Vérités” que de ce forum étaient des gens qui avaient pris l’habitude de ne pas prendre pour argent comptant les “fabrications” de la presse servile. A la lecture de votre “post”, je m’aperçois qu’il y a au moins une exception. A propos de Le Pen, permettez-moi de vous citer ce mot du journaliste-écrivain “de gauche”, Patrick Besson qui a écrit (“Le POint”, 22 nov.1999) : “Tous ceux qui voient en lui un nazi font preuve d’imagination, on alors, il ne savent pas ce qu’est le nazisme, mais cela m’étonnerait car, chaque année, ils écrivent des tas de livres dessus. Su vous remplacez “nazi” et “nazisme” par “raciste” et “racisme”, ou encore par “antisémite” et “antisémitisme”, vous aurez tout juste. Il faut savoir que, si Jean-Marie Le Pen est parfois victime de ses débordements verbaux (que l’on sort de leur contexte*), il l’est surtout d’une classe médiatico-politique qui s’est liguée contre lui pour mieux asservir les Français (au nom, bien sûr, de la “démocratie”) et leur faire perdre leur identité, en même temps que leurs valeurs et leurs repères. Et parce que Jean-Marie Le Pen, certes nationaliste, mais non point nazi, raciste ou antisémite, tire depuis des lustres le signal d’alarme contre les naufrageurs du “France-Titanic”**, il est la victime de cette Ligue qui regroupe tous ceux qui n’ont qu’un seul but : la dissolution (à tous les sens du mot) de la France. Je vous rappelle ce mot de Chamfort : “En France, on laisse en paix l’incendiaire et on ostracise celui qui sonnne le tocsin. Vous faites semblant de croire que Le Pen est ceci ou cela, et d’ignorer que le Front national compte dans ses rangs des Juifs, des Noirs, des Maghrébins qui, après tout sont peut-être eux-mêmes nazis, racistes, ou antisémites sans le savoir !). Alors continuez à jouer les autruches qui se cachent la tête dans le fumier où se complaît en ce moment le fier coq gaulois et votez pour Marie (c’est son vrai prénom) Royal si cela vous chante… Et puisque vous reprochez à Le Pen son hyper-nationalisme sachez qu’Elisabeth Badinter (il n’est pas utile, j’imagine, de vous rappeler qu’elle est juive et proche, par son mari, du P.S.) qui n’est assurément pas de ses amies, a pronostiqué à juste titre (hier soir sur FRANCE 3) qu’en 2007 la Présidentielle se jouera sur le thème de la NATION. Et vous serez peut-être étonné de voir et d’entendre les Ségolène, Laurent, Dominique, Alain, Arlette, sans oublier les Nicolas, Dominique-bis, sans oublier Philippe, surénchérir sur l’hyper-nationaliste Le Pen. Et si vous êtes “juif” (j’en ai trois – très proches – dans ma propre famille) demandez-vous pourquoi les “Juifs” de France (pour ne parler que d’eux) défendent la politique hyper-nationaliste d’Israël, alors qu’en France, et pas seulement par le biais associatif ou “ligueur”, ils s’acharnent (même quand ils sont Français) à vouloir que la France accepte tous les communautarismes qui la défigurent (au sens de changer son visage, ses moeurs, ses coutumes, sa culture, ses racines). Vous auriez dû écouter, toujours hier soir sur FRANCE 3, Roger Hanin, juif et communiste, tenir des propos … eux aussi “nationalistes” ! Et si vous vous êtes égaré sur le site des “4-Vérités”, je vous conseille d’y revenir en ôtant vos oeuillères, et en abandonnant vos préjugés et vos présupposés..; anti-lepéniste primaires ou autres. Cordialement, Jean-Claude Lahitte * “Donnez-moi un seul mot d’un homme, et je le fais fusiller” disait cyniquement Clemenceau. Talleyrand, lui, se contentait de le “pendre” ! ** qui coule sous le poids d’une dette dépassant les deux-mille milliards de dettes, d’une Sécurité Sociale et de Caisses de Retraites virtuellement en faillite, d’une immigration qu’elle est hors d’état de loger, de nourrir et d’employer*** “toute la mosère du monde” (le mot n’est pas du “raciste” Le Pen, mais du socialiste Michel Rocard) *** d’ailleurs, pourquoi le ferait-elle ? Aux Etats-Unis, par exemple : les immigrants doivent avoir un contrat de travail, et les immigrés clantestins n’ont qu’un droit : travailler dans la clandestinité. Sans que personne traite les Clinton, ou Bush de racistes, d’hyper nationalistes, etc.

    27 janvier 2006 à 11 h 13 min
  • Pierre Répondre

    Le Touriste UMP-PSiste ecrit ‘Comment un libéral peut-il se trouver le moindre point commun avec Le Pen, anti-sémite notoire, raciste viscéral et hyper nationaliste ? Je suis avant tout libéral. De droite, certes, mais pas de n’importe laquelle: les fascistes et néo-pétainistes de tous crains ne sont pas de ma famille. Bref, je n’adhère pas au slogan “plutôt Le Pen que Ségolène” et quitte définitivement ce site où je m’étais égaré sur le nom de G.Millière dont je m’étonne encore de la présence sur ces pages brunes. L’âge n’excuse pas tout.’ Tes incantations haineuses et mensongeres n’operent pas ici et salissent injustement le seul parti, Le Front National, qui defend inlassablement et courageusement les interets de nos compatiotes. Amities

    26 janvier 2006 à 23 h 29 min
  • grepon le texan Répondre

    Webmaster: J’ai (le webmaster) oublié de dire à la graphiste de garder le sous-titre propre au site (droite libérale) donc celle-ci a fait son boulot en reprennant la maquette du journal papier. Grepon: Ouf. J’ai fait une montagne de cela sur quelques uns de mes postes sous les articles de Pierre LANCE. Je suis heureux de voir que vous reprennez cette etiquette, au moins pour le journal en ligne. Aujourdhui n’est pas le moment d’eviter l’etiquette “droite liberale” seulement du fait que “liberale” est “doite” ne sont pas cool. Il ne faut pas faire, par exemple, comme les conservateurs brittanique d’aujourdhui, qui singent les blairistes pour le seul et unique but ultime de retrouver du pouvoir.

    26 janvier 2006 à 0 h 37 min
  • sas Répondre

    Au touriste…qui nous quitte(nous le regrettons déjà…)LEPEN raciste et antisemite ????tu as raison Chirac est bien censé de “droite” et Mitterand décoré de la francisque était lui de “gauche”….ce sont aussi des “touristes” qui nous le certifiaient…prière de ne point confondre patriote et hyper nationaliste, car si lepen est hyper nationaliste, que dis tu des ricains ???? sas ou la voie du milieu. NB) LAISSE TON ADRESSE A MILLIERE QU IL PUISSE TE SUIVRE…STP

    25 janvier 2006 à 22 h 17 min
  • Charmetant Répondre

    Seule, la liberté de produire, de vendre, de travailler et d’échanger peut assurer la croissance et la prospérité. L’hypertophie de l’Etat qui coûte cher et qui empêche les gens de travailler en rond conduit à la récession et à la pauvreté. On a vu la Russie soviétique et les pays sous sa coupe, on voit encore Cuba et la Corée du nord : le dirigisme ne peut conduire qu’à la misère. Sans aller aussi loin, c’est l’étatisme et lui seul qui a fait perdre à la France dix places dans le classement mondial des pays les plus compétitifs. Pour le PIB par habitant, nous étions seconds en Europe et maintenant dixièmes. Nous avons rechigné à accepter l’Irlande, puis l’Espagne dans l’Europe, parce qu’elles étaient trop pauvres. Nous sommes aujourd’hui dépassés par l’Irlande, talonnés par l’Italie et l’Espagne et bientôt par le Portugal, en attendant d’être rejoints par la Hongrie, la Tchécoslovaquie et la Pologne. On envie, sans vraiment les comprendre, les pays nordiques qui allient une protection sociale, certes coûteuse mais généreuse et efficace, avec une économie libérale en pleine croissance. Pour une fois, l’exemple nous vient du sud. Les Portugais viennent de choisir un Président libéral, M. Anibal Cavaco Silva. Depuis 2005, leur gouvernement socialiste réaliste a entrepris de réduire le train de vie de l’Etat et il s’est attaqué aux sacro-saints privilèges des fonctionnaires : Ils prendront leur retraite à 65 ans comme tout le monde (au lieu de 60 ans actuellement) ; en cas de maladie, ils seront indemnisés à 65 % (au lieu de 100 % aujourd’hui). Le gouvernement portugais a prévenu : ” avec le régime actuel, nous ne pouvons même pas garantir que, dans dix ans, nous pourrions payer les retraites des fonctionnaires.” En France, on laisse ce souci à nos enfants. On n’ose même pas concevoir de telles réformes. Oserait-on les entreprendre et risquer des grèves préventives qui prendraient, une fois de plus, les Français en otage ? Jean-Claude Charmetant

    25 janvier 2006 à 21 h 59 min
  • le touriste Répondre

    Comment un libéral peut-il se trouver le moindre point commun avec Le Pen, anti-sémite notoire, raciste viscéral et hyper nationaliste ? Je suis avant tout libéral. De droite, certes, mais pas de n’importe laquelle: les fascistes et néo-pétainistes de tous crains ne sont pas de ma famille. Bref, je n’adhère pas au slogan “plutôt Le Pen que Ségolène” et quitte définitivement ce site où je m’étais égaré sur le nom de G.Millière dont je m’étonne encore de la présence sur ces pages brunes. L’âge n’excuse pas tout.

    25 janvier 2006 à 13 h 59 min
  • sas Répondre

    Au commissaire politique aseptisé du centre du milieu…en ce qui concerne sas…c’eut été plus judicieux d’évoquer le journal de “la droite libérée”…que de la droit libérale… sas ou la voie du milieu…

    25 janvier 2006 à 12 h 47 min
  • moderateur Répondre

    Cher Grepon, Le changement de titre en haut de page ne doit absolument rien à Alain Dumait. Il s’agit simplement du slogan que le journal utilise depuis des années sur sa version papier. Nous avons recemment changé de graphisme sur le site. J’ai (le webmaster) oublié de dire à la graphiste de garder le sous-titre propre au site (droite libérale) donc celle-ci a fait son boulot en reprennant la maquette du journal papier. Le titre “journal de droite libérale” qui est bien utile pour le referencement du site reviendra un jours prochain.

    25 janvier 2006 à 9 h 10 min
  • grepon le texan Répondre

    Pour Alain Dumait: Comment etes-vous arrive a changer la phrase en haut du page (web) DE: ” journal de droite liberale ” A ” la publication anti-bourrage de crain ” C’est recent, et ce genre de changement, assez souvent, se fait que apres des discussions formelles. Vous parlez ici du semantique de “droite” et de “liberale”, un d’un certain sensibilite a propos de ces etiquettes. Peut-etre que vous avez laisse tombe ces mots en faveur de quelque chose bien plus vague apres une discussion entres les contributeurs/editeurs?

    25 janvier 2006 à 7 h 16 min
  • Jean-Claude Lahitte Répondre

    Cher Celte (un pseudo qui doit plaire à l’ami Pierre Lance !) je ne suis pas aussi certain que vous que Guy Millière, pour paraphraser une formule connue, soit un îlot de libéralisme au milieu d’un océan de “collectivisme”. En tout cas, son “libéralisme” ne s’applique sûrement pas à l’égard de ceux qui ne sont pas des soutiens inconditionnels de la politique de G.-.W. Bush ou d’Ariel Sharon. Sans doute y-a-til un “libéralisme” sélectif ! Mais à chacun ses illusions. Moi j’en ai d’autres. Et sand doute beaucoup trop. Vous avez la chance d’habiter un beau pays où, il y a cinquante ans, j’étais sur le point d’émigrer lorsque j’ai rencontré celle qui devait devenir mon épouse. Mais je continue à m’intéresser au Canada où je suis obligé de le constater certain “libéralisme” en matière d’immigration comme de moeurs n’est pas forcément la meilleure chose qui soit. Tout en notant avec plaisir que les immigrés que les “libéraux” caressaient dans le sens du poil paraissent leur préférer désormais un concurrent “conservateur” (je tape ces lignes sans avoir le résultats de “vos” élections). “Poignez vilain, il vous oindra, oignez vilain, il vous poindra”, comme on dit chez nous, et peut-être au Canada. Cordialement, Jean-Claude Lahiitte

    24 janvier 2006 à 11 h 31 min
  • Le celte Répondre

    Cher Alain Dumait, c’est du canada, depuis deux ans, que je continu à lire les textes de votre revue, en particulier, et surtout ceux de Guy Millière qui m’apparaît comme le seul vrai libéral français….qui est Bernard Trémeau ? je lis votre lettre depuis près de dix ans maintenant et sans Guy Millière je l’aurais quitté depuis longtemps E.L

    24 janvier 2006 à 4 h 21 min
  • Jean-Claude Lahitte Répondre

    Cher Monsieur Dumait, si je me réjouis avec vous de voir progresser le nombre des lecteurs des “4-Vérités”(1), quoique étant résolument contre tout type d’économe marxiste, je crains que le libéralisme à tout crin soit loin d’être la panacée. Comme il en est d’ailleurs de tout système appliqué automatiquement sans contrôle, sans mesure, comme sans humanité, surtout s’il se veut “mondialiste”, échappant à tous les “citoyens”, mais aussi à leurs gouvernements (qui jouent là le rôle d’apprentis sorciers) pour le plus grand profit de certains trusts dont les dirigeants, à l’exemple de la maffia(2)savent très bien manipuler les marionnettes que sont, entre leurs mains, les politiciens comme les consommateurs. Ces derniers, dans les pays prétendus riches, n’ayant pas compris que, s’ils n’évoluaient pas dans leur métier (en en changeant au besoin) ou, pour les moins doués, dans leurs “prétentions” salariales, ils étaient condamnés à la disparition, ni même que, en achetant ce qui leur paressait le meileur marché (donc nécessairement fabriqué à moindre prix, donc avec des salaires largement inférieurs aux leurs), ils CREUSAIENT LEUR PROPRE TOMBE… A propos du programme du Front National, programme qui, certes, n’est pas celui du libéralisme mondialiste, je me rappelle avoir lu quelque part, que, pour éviter précisément les dégâts de frontières ouvertes à tous les vents de la concurrence (je suis de ceux qui connaissent les bienfaits de la concurrence, à condition qu’elle ne soit pas faussée, que les dés ne soient pas pipés !) internationale, ce programme proposait une sorte de “système d’écluses” qui, à l’époque m’avait paru pertinent. Encore une remarque si vous le permettez : je ne pense pas que, dans notre pays, “le clivage gauche-droite existe’, et encore moins qu'”il structure la vie politique française”. Peut-être le ferat-il … demain. Depuis des lustres, en se succédant dans une fausse alternance, la droite et la gauche en matière économique (et pas seulement, hélas, dans ce seul domaine) ont suivi le même programme inspiré du “marxisme”. Jamais, revenue au pouvoir, la (fausse) droite n’a osé toucher à un seul des acquis offerts par la gauche à une classe de moins en moins laborieuse (3)Et si, la gauche comme la droite, dans le cadre de l’Union européenne, du Gatt, ou de l’OMC, etc. ont signé des accords, toujours les gouvernements français se sont efforcés de freiner des quatre fers l’application de ces accords ou traités(4), dès lors que leurs “sujets” (généralement non informés, et encore moins consultés(5)que ces accords risquaient de toucher à leurs acquis, ou même simplement à leurs habitudes, réclamaient la fameuse “exception française”. Cordialement, Jean-Claude Lahitte (1) avec si j’en juge par les réactions de certains d’entre eux, le même pourcentage de cons ou de sectaires relevé par Frédéric Dard dans toute groupe d’individus (2) on peut dire sans exaggération que ce sont les dirigeants de la maffia qui ont, les premiers, compris les avantages – pour eux et pour leur organisation – ce ce qu’on appelait à l’époque l’internationalisation. (3) exemple : les “35 heures” auxquelles pas plus Raffarin que Villepin n’ont osé abroger, après que, étant dans l’opposition, l’IMP, comme l’UDC, n’aient cessé de les critiquer ! (4) exemple, le tollé au moment de la circulaire Bolkenstein qui découlait poourtant d’accords signés par un gouvernement … de gauche. Ou encore, l’invasion des textiles chinois qui découlait d’accords signés dans le cadre de l’OMC (5) où est la démocratie dans tout cela ? démocratie sans laquelle il ne peut exister de véritable libéralisme

    23 janvier 2006 à 18 h 08 min

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