La chronique présidentielle N°5 d’Hubert de Beaufort

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Comments (3)

  • gaius Répondre

    Ce n’est pas la fin de la V eme république , c’est la fin de la république tout court … 200 ans de c*onneries et 3 guerres mondials avec des centaines de millions de morts après , nous sommes arrivés prés de la faillite généralisé , envahis en 30 ans par plus de 15 millions d’étrangers analphabètes et haineux , la guerre civile ethnique a commencé il y a 1 an et demi …

    Messieurs les républiquains , messieurs les révolutionnaires du 14 juillet  vous avez tout foiré et détruit un grand pays et son avenir avec … vous êtes des criminelles et vous serez jugé comme tel par l’histoire et par la justice des hommes .

    La conclusion de cette malheureuse affaire est proche …

    Vive le Roi , et Vive la contre révolution .

     

     

    3 avril 2007 à 8 h 44 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    02/04/07    – "Les 4-Vérités" –

    Demandez le changement, demandez le changement ! Le dernier en date : la suppression de l’ENA dont, il faut convenir, les élèves sont principalement responsables de l’état lamentable de la FRANCE.

    Et qui veut ce changement ? François BAYROU, l’homme du consensus mou. IL faut dire que, se trouvant aux Antilles, et trouvant qu’il n’y avait pas foule pour l’acclamer, il fallait bien qu’il donne aux porteurs de stylos, de caméras et de micros un scoop à moudre. Pourquoi pas la disparition de l’ENA dont, faut-il le rappeler, Jean-Marie LE PEN avait été le premier à parler. Comme d’ailleurs de tas d’autres choses que reprennent en choeur ses "concurrents" à la Présidence.

    Va, donc pour ce "CHANGEMENENT" suggéré par François BAYROU. L’ennui c’est que, à y regader près, ce "changement", son "changement",  consisterait principalement à débaptiser l’ENA . A l’exemple de ce que n’a cessé de faire au cours de son histoire le parti "gaulliste" depuis RPF jusqu’à UMP. Comme pour montrer qu’il "changeai". Sans pour autant changer ses dirigeants tout aussi calamiteux les uns que les autres ! On le sait, dans notre bonne République, les places sont bonnes … à garder. Et, puisqu’il nous propose de débaptiser l’ENA, je suggère à l’archéo-européïste qu’est assurément François BAYROU, le nom de E.E.A, ECOLE EUROPENNE d’ADMINISTRATION. Après tout, l’UNION EUROPEENNE n’est-elle pas dirigée par des fonctionnaires ? Les nôtres qui ne cherchent qu’à se caser le plus haut possible ne sont-ils pas aussi bons, voire meilleurs, que leurs" concurrents" européens. Et puis, c’est bien connu, la FRANCE est un pays de fonctionnaires. Et même un pays où l’on plante des fonctionnaires et où l’on récolte des impôts, selon la formule bien connue…

         Cordialement, Jean-Claude THIALET

    2 avril 2007 à 14 h 13 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    01/04/07    – "Les-4-Vérités"-

    Il me paraît dommage qu’Hubert de BEAUFORT se croit obligé d’attribuer à LOUIS XV la phrase aussi éculée qu’apocrryphe ("après moi le déluge !") que l’est le fameux "Ils n’ont pas de pain, qu’ils mangent de la brioche" attribuée à tort à Marie-Antoinette par des gens qui devaient lui couper la tête. Même si, comme pour donner raison à "L’Autrichienne", il nous arrive de voir dans certains taudis, des enfants de clandestins manger des croissants et boire du Coca-Cola, faute sans doute pour leur mère déracinées de penser à leur fdonner du pain, de préférence avec du beurre dessus, et de leur servir de l’eau… Même si, également, les gens qui nous gouvernent s’échinent à nous prouver qu’il pratiquent (impunément) le fameux "Après-nous le déluge" ! Mais ceci, j’en conviens, est une digression largement "hors sujet", inspirée certes par le propos d’Hubert de BEAUFORT, propos que je considère comme désobligeant pour un Roi trop souvent injustement déconsidéré alors que l’on tresse des couronnes à CHIRAC II.

    Pour en venir à la vidéo qui nous est présentée,.je dirai simplement qu’Hubert de BEAUFORT y fait, en peu de temps, un assez bon tour d’horizain de la situation déastreuse (mot qu’apparemment il n’ose pas utiliser) de notre pays, abordant même, en filigramme, quelques unes de ses causes. Par contre, il ne donne pas véritablement d’explications à ce désir de changer le millésime de la V ième République.

    Je rappellerai que, parmi les douze candidats, seule Marie-Ségolène (et timidement je ne sais quel candidat "anti-libéral) a avancé l’idée d’une VI ième République. Sans préciser pourquoi et comment. Il y a quelques années, Jean-Marie LE PEN (c’est fou ce que, tant à gauche qu’à "droite", on le pille !) avait certes préconisé l’établissement d’une VI ième République. Lui, ne se limitait pas à un changement de millésime, il demandait LE CHANGEMENT DE L’ENSEMBLE DES INSTITUTIONS d’une République (qualifiée de plus en plus aujourd’hui de "bananière) qui avait permis, en quelques lustres (et dès son origine) toutes sortes de dérèglements, d’entorses aux lois (et même à la Constitution !), mais aussi de débordements et d’enrichissement sans cause… Marie-Ségolène ROYAL, au contraire, comme tant d’autres candidats présents ou passés, ne parle que de "changer". Comme si cela pouvait avoir des vertus magiques pour réparer les dégâts d’une gouvernance calamiteuse tant de la Gauche que de la Droite. Car, en Réalité si la République est malade, on s’en fout. Par contre, les nationaux se préoccupent sérieusement de l’état de la FRANCE. Et celle-ci est malade pas tant de la République que des hommes qui se la sont appropriée sous prétexte d’avoir été "élus" avec à peine le tiers des voix du Corps électoral. Et qui, parvenus aux "affaires", s’y accrochent le plus longtemps possible comme des arapètes sur leur rocher.

    Pourquoi les candidats des PARTIS GOUVERNEMENTAUX n’ont-ils que le mot "CHANGEMENT" aux lèvres. Tout simplement parce qu’ils n’ont pas la volonté de se changer eux-mêmes (ce qui n’avait pas empêché Nicolas SARKÖZY, au tout début de sa campagne, d’annoncer triomphalement "J’ai changé, toujours sans dire comment et en quoi !) pas plus d’ailleurs que de changer de casting à propos de leurs futurs ministres , députés ou autres. C’est ainsi que Marie-Ségolène ROYAL, pour redonner de la vigueur à une campagne qui s’étiolait; a ressorti les "éléphants socialistes", alors qu’elle a comme conseillers des vieilles lunes du genre de l’indéboulonnable Jack Lang, ou encore Julies DRAY et quelques autres du même acabit, tandis que Nicolas SARKÖZY et François BAYROU se disputent les ralliements de hiérarques tant de l’UDF que de l’UMP, parmi lesquels des ministres présents ou passés qui ont leur part de responsabilité dans le situation tragique du "FRANCE-TITANIC".

    Pour tous ces gens, le "CHANGEMENT" correspond en réalité à un changement d’habits comme le font les "transformistes". Le meilleur exemple en est tous les changements d’appellation qu’a subi le RPF (créé par les proches de De Gaulle, sur ordre d’icelui) j pour aboutir à l’UMP  d’aujourd’hui (nota : à quand le prochain changement ? le jour de la déconfiture ?). Comme je l’ai écrit, je crois, dans un autre "post", ce "maquillage" (le mot me fait penser  à "maquignonage"), ce "changement’, si l’on préfère, consiste pour les profiteurs du Régime (entendez par là la République bananière !) à se refaire une virginité. Comme il y a des chirurgiens spécialisés dans la réfection d’hymens pour venir au secours de prétendues "jeunes filles" prisonnières de traditions, il y a des politiciens qui sont passés maîtres, eux, dans l’art de faire croire qu’ils sont, eux aussi, TOUT NEUFS. Pour mieux se glisser dans les draps de la République. Une République dont le sort est entre les mains d’électeurs/électrices qui se comportent à la façon de ces femmes qui épousent des "Don Juan" en s’imaginant qu’elles vont les changer. Et qui se l’imaginent d’autant mieux que, la main sur le coeur, les prétendants qui briguent leurs suffrages, leur font croire à grand coups de promesses, qu’ils ont CHANGE et qu’ils leur feront un un avenir radieux.  Il y a des femmes qui ont la vocation non seulement d’être cocues mais de s’attacher à des hommes qui picolent, qui les battent et, de surcroît, mangent leur dot. Le corps électoral a montré, élections après élections, qu’il a le même comportement que ces femmes. Et qu’il ne se souci même pas de voir brader les richesses de la FRANCE, laquelle est endettée à hauteur de deux-mille-milliards-cinq-cent-millions d’euros. Il y a bien longtemps que la "dot" de la FRANCE a disparu !  Alors, vive le changement, vive la Républiquye (V ième ou VI ième) et tant pis si la FRANCE finit par en crever ! Si l’on devait en arriver à cette extrémité, j’espère bien que les premiers atteints seront ceux qui, en ne cessant de  "voter utile", ont ramené au pouvoir, d’aternance en alternance, l’UMP et l’UDF et le PS et le pC"F". Ils l’auront bien mérité !

       Cordialement, Jean-Claude THIALET

    Citation : "les femmes s’imaginent qu’elles peuvent changer les hommes, les hommes, eux, s’imaginent qu’ils peuvent changer … de femme"

    1 avril 2007 à 23 h 11 min

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