Le pouvoir d’achat des Français s’effondre

Le pouvoir d’achat des Français s’effondre

Depuis 1970, tous les trois ans, l’Union des Banques Suisses (UBS) publie une brochure d’une cinquantaine de pages intitulée « Prix et Salaires ». Cette étude, sortie le 16 août, comporte des milliers de chiffres. Elle est effectuée dans 71 villes du monde entier. En France, elle porte sur Paris et Lyon. Elle permet de comparer les prix, les salaires et les pouvoirs d’achat.

La comparaison des prix repose sur douze séries de chiffres. D’abord, un panier de 122 produits ou services pratiquement identiques dans les 71 villes. Ensuite, les prix des denrées alimentaires, des vêtements, des appareils ménagers et électroniques, des loyers, des transports publics, des voitures particulières, des restaurants et hôtels, des services (coiffeur, pressing, téléphone…)…

La comparaison des salaires repose sur 15 séries de chiffres: salaires horaires moyens bruts et nets, durée du temps de travail avec les jours de congés. On donne aussi le revenu d’un mécanicien auto, d’un manœuvre du bâtiment, d’un ouvrier qualifié de l’industrie, d’une ouvrière de l’industrie, d’un ingénieur, d’un chef de département, d’un chef de produit, d’un instituteur, d’un chauffeur d’autobus, d’un cuisinier, d’une secrétaire, ou encore d’une vendeuse…
La brochure mesure le niveau de vie en comparant le temps de travail nécessaire pour acheter un « big mac », un kilo de pain un kilo de riz, ou un téléphone portable…

La comparaison entre les brochures permet enfin de voir l’évolution de chaque pays depuis 1970. Pendant ces 40 années, l’évolution technologique a permis au marché d’atteindre une taille mondiale. Le coût des transports est en effet de plus en plus négligeable, alors qu’un achat par Internet permet à l’acheteur de mettre en concurrence les producteurs du monde entier.
De plus, la France a décidé de participer au Marché commun européen, aboutissant en 1999 à la monnaie unique. Il n’y a plus de droits de douane aux frontières.

Or, depuis 40 ans, les gouvernements français ignorent superbement ces deux réalités. Au lieu de diminuer les impositions touchant leurs entreprises, pour les rendre compétitives, ils les augmentent régulièrement. La taxe carbone en est la dernière mouture. Tandis que les gouvernements étrangers font l’inverse.

Les entreprises françaises sont de ce fait éliminées du marché pour deux raisons. Elles sont obligées de vendre leurs produits plus chers. Elles ont surtout moins d’argent que les entreprises étrangères pour investir dans l’innovation, donc pour faire progresser notre pouvoir d’achat. Le chômage est là…

Il y a trente ans, le pouvoir d’achat des Français était un des meilleurs du monde, dans les dix premiers. Mais, depuis, il progresse bien moins rapidement que celui des autres pays développés. Le pouvoir d’achat annuel moyen des Français est passé au trentième rang, entre celui des Espagnols et celui des Portugais.

Par ailleurs, les contraintes imposées par les gouvernements français à l’économie sont faites au nom du principe égalitaire : l’État a le devoir de « redistribuer ». Or, les chiffres fournis par l’UBS montrent la parfaite inefficacité de la politique de redistribution française. Les bas revenus sont pratiquement identiques en France et aux USA : 11 900 euros à Paris, pour 12 800 à Chicago !
Et les plus hauts revenus le sont aussi, mais ils deviennent supérieurs en France. Ils atteignent 61 800 euros à Paris contre seulement 58 400 à Chicago…

L’étude des milliers de chiffres publiés par l’UBS permet ainsi de tirer une curieuse conclusion. Les interventions des gouvernements français dans l’économie pour corriger les inégalités sont strictement inefficaces.
Par contre, elles sont parfaitement efficaces pour ralentir notre développement économique. Créer la pauvreté relative et le chômage. Nous nous situons maintenant entre les pays développés et les pays sous-développés.
Le marché seul est un bien meilleur régulateur de l’économie !

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Comments (29)

  • sas Répondre

    le pôuvoir d achat des français tombe……pas celui de l ump…

    Par un amendement voté sournoisement à l’Assemblée Nationale, l’Etat-UMP se prépare à transmettre à la RATP, un patrimoine immobilier de 10 milliards d’euros, géré actuellement par le Syndicat des Transports d’Ile-de-France (STIF), structure dirigée par des élus de la Région.

    En permettant à la RATP de rafler la propriété de toutes les gares, de leurs infrastructures et des terrains attenants, le Gouvernement cherche, à terme, à rendre plus facile la vente du patrimoine public à des promoteurs privés pour financer son train de vie et ses gaspillages.

    Il est regrettable qu’une nouvelle fois les usagers des transports en commun franciliens, dont les conditions de vie se dégradent chaque jour, soient pris en otages par des querelles politiciennes.

    Réunis en Commission permanente ce jeudi 24 septembre, l’ensemble des Groupes politiques du Conseil Régional, à l’exception regrettable de la seule UMP, a unanimement condamné cette très grave atteinte à la décentralisation.

    sas

    24 septembre 2009 à 21 h 20 min
  • sas Répondre

    La bête a une fièvre endialblée….vite cassons le thermometre…..

    ARRËTONS AVEC LE pib………et inventons le KG DE BONHEUR…..peut être même que l on pourra exporté avec ce qu il y a a neuilly ou dans le 16 eme….

    Il faut que les francais arrête de rêver et réclamer la lune….car il y a un agité ici, qui ce sent de les exhaucer à chaque fois….

    le bonheur comme indicatif economique……souhaitons que leurs echantillons ne vienne pas de SARCELLE ou du 93,92,91……..sinon on fait comme des rats…

    arf,arf,arf……ils savent plus a quoi s accrocher…c’est le propre du noyer…surtout ne pas l approcher; risque de noyade collective…..ou 2 eme solution la mandale pour anesthésier le malade et lui assurer un autre traitement….mais la mandale d abord.

    sas

    nb sas est diplômé de secourisme…..

    15 septembre 2009 à 13 h 47 min
  • Olivier Répondre

    Il est très difficile de mesurer le niveau de vie, mais celui-ci est en baisse constante depuis au moins 1990, (après avoir cessé de progressé depuis 1974).

    Plusieurs facteurs entrent en jeu :
    – La fiscalité et les réglementations chaque fois plus lourdes qui entravent les entreprises;
    – Le poids de l’immigration qui est devenu un phénomène majoritairement parasitaire (puisque 95% des entrants n’ont pas de contrat de travail) et dont le poids devient de plus en plus écrasant (qui a calculé le coût de la CMU et du RSA, plus celui des logements où il faut loger ces gens ?)
    – L’ouverture des frontières qui a détruit des pans entiers de secteurs productifs (mis à part les voitures et la nourriture, la majeure partie de ce que nous consommons est importé).
    – Le poids des charges sociales et de la dette, dont le fameux trou de la sécu.
    – La spéculation immobilière, qui a plus que doublé le prix des logements, alors qu’il s’agit de la dépense la plus importante.

    Il est clair que tout cela a été voulu ou en tout cas sciemment accepté par les politiciens qui nous gouvernent depuis 30 ans.

    13 septembre 2009 à 17 h 42 min
  • le troll Répondre

    allez Claude, on t’a reconnu!

    8 septembre 2009 à 11 h 32 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Les vrais problèmes exposés ici:
    http://www.reichmantv.com/editorialbis.html

     

    7 septembre 2009 à 20 h 06 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Jaures: complètement à côté de la plaque comme toujours! blah blah….

    7 septembre 2009 à 20 h 03 min
  • Anonyme Répondre

    Jaures

    Quand nous parlerez vous de l’Espagne gouvernait par les socialistes depuis un certain moment qui est dans un état de décrépitude totale et pourtant que de milliards avalés par Zapatero qui reçut pourtant un pays en parfaite santé économique de la part d’ Aznar.

    Le rose est une couleur aveuglante.

    7 septembre 2009 à 19 h 19 min
  • Jaures Répondre

    A Hans : je ne fustige pas les chiffres de mes voisins car, en Irlande comme en France, le chômage est un drame pour les familles qui en sont victimes. Je constate simplement que les pays qualifiés autrefois d’exemplaires par Tremeau sont aujourd’hui au fond du trou et que, pour les mêmes maux, les travailleurs souffrent d’autant plus qu’ils ne bénéficient pas de protections et d’aides sociales. Ces aides n’ont d’ailleurs pas plus "grvé le budget" que les exemptions de toutes sortes dont on bénéficié les plus riches. Où est cet argent aujourd’hui ? Où sont les dizaines de milliards d’euros versés sans contreparties à l’Irlande depuis 30 ans ?

    7 septembre 2009 à 13 h 39 min
  • UN chouka Répondre

    Cela me parait hélas évident @ IOSA ,mais la tendance, ne me semble pas du tout nouvelle .

    Les moyens de puissance actuels aux mains d’une poignée de gens de la classe supèrieure,est cèrtainement une illusion qui risque de pas peser bien lourd si ce poids devient un tant soit peut trop lourd pour une majorité de puissants sèrviteurs actifs qui partagent leurs  intérets avec les gens de leur classe du bas ?

    A mon avis, cette suprématie du fric de bois ,est une illusion bien légère face aux valeurs  réelles ,il me semble ?

    7 septembre 2009 à 13 h 35 min
  • IOSA Répondre

    SAS@…

    L’effondrement du pouvoir d’achat et le traité européen, dont notamment la possibilité de la peine de mort pour les insurgés en cas d’émeutes, ressemble davantage à un plan échafaudé tenant compte des remoux prévisibles, en vue de briser toutes formes d’opposition à l’Organisation Européen et certainement mondiale.

    La main mise sur tout au détriment des autres……comme une nouvelle forme de religion vampirisant la terre entière et dont les habitants/esclaves ne seraient que la matière première à la perversion du nouvel ordre mondial.

    IOSA  

    6 septembre 2009 à 9 h 05 min
  • UN chouka Répondre

    C’est bien ce que je pense aussi  hélas, @ SAS.

    5 septembre 2009 à 9 h 14 min
  • sas Répondre

    A chouka….les travailleurs et les autres…….car quand les dernier caissons vont imploser , le naufrage va être d enfer….et peu s en sortiront.

    ……c’est d ailleurs le but recherché…

    sas

    5 septembre 2009 à 0 h 04 min
  • UN chouka Répondre

    Franchement @ SAS, lorsque l’on est travailleur,et,en voyant ce qui se passe ,je crois que l’on est tenté "parfois "’ (lol) d’aller bosser dans un coin ou aprés avoir ete saigné de tous les cotés, il en rèste encore un peut pour vivre pour soit ?

    Ici, ce lux est me semble t’il rèsèrvé aux activités souterraines "MAFIA " :-D

    4 septembre 2009 à 13 h 36 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Avec un doublement du déficit à hauteur de 109 milliards d’€  en 1 an la France n’est pas prête à sortir entière de l’auberge. Ce surtout les coûts de tous ces services soi-disant gratuits qui ont plombé le budget et les tentatives de diversion de certains à citer les chiffres d’autres pays n’y changeront rien. Les temps des 7 années de vaches maigres ont commencé, bienvenue à bord du Titanic…
    PS: n’oubliez surtout pas d’emmener avec vous votre clé MP3 contenant le tube rétro célèbre "Plus près de toi mon Dieu…". L’océan étant infecté d’icebergs cela pourrait servir, qui sait?

    4 septembre 2009 à 10 h 34 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Le taux de chômage en France est de 9.5%, vers Noël il devrait être supérieur à 10%. Il est donc inutile, pour avoir bonne conscience, de fustiger les chiffres des voisins.

    4 septembre 2009 à 8 h 45 min
  • Tof Répondre

    Peut-être une faillite est-elle nécessaire au rebond (purge des avantages mal acquis et sortie de l’euro) ?

    4 septembre 2009 à 8 h 37 min
  • Tof Répondre

    Peut-être une faillite est-elle nécessaire au rebond (purge des avantages mal acquis et sortie de l’euro) ?

    4 septembre 2009 à 8 h 22 min
  • Tof Répondre

    Peut-être une faillite est-elle nécessaire au rebond (purge des avantages mal acquis et sortie de l’euro) ?

    4 septembre 2009 à 8 h 22 min
  • Tof Répondre

    Peut-être une faillite est-elle nécessaire au rebond (purge des avantages mal acquis et sortie de l’euro) ?

    4 septembre 2009 à 8 h 21 min
  • Tof Répondre

    Peut-être une faillite est-elle nécessaire au rebond (purge des avantages mal acquis et sortie de l’euro) ?

    4 septembre 2009 à 8 h 20 min
  • sas Répondre

    Je désespere,je ne vois pas ce que l on peut dire ou démontrer encore…pour atteindre l indignation de nos compatriotes…..

    le nez dans la merde….ils y verraient encore un grand plaisir et nous expliqueraient assurément que c’est du chocolat…

    ….je reviens donc à ma première idée ; il faut se casser…

    les sans culottes,la gueuse et nos envahisseurs se démerder ensembles…..

     

    sas

    3 septembre 2009 à 18 h 48 min
  • Jaures Répondre

    A Hans: La France aussi a un taux d’inflation négatif (- 0,7 %). Depuis quand la déflation est un signe de bonne santé économique ?  Mais sans doute trouvez-vous exemplaire les autres scores de l’Irlande: chômage à 12,4%, déficit budgétaire à 12%, récession à – 8%, …

    3 septembre 2009 à 18 h 44 min
  • LEPIAF Répondre

    Rien à faire : la FRANCE ( non: la france) est foutue, car gérée par des cons sur tous les plans :social, financier,économique, identitaire, éducatif et morale. Dans les années glorieuses (1960 à 1980) me déplaçant très souvent à l’étranger (EST et OUEST) j’étais fier d’être français pour de justes raisons. Maintenant j’ai honte de ma nationalité à l’identité chancelante, composée d’incapables, de fainéants, de profiteurs, d’opportunistes le tout complété par des importations de  batards féodaux verrues et sangsues de notre société. Merci messieurs les politiciens verreux !

    à JAURES : Tant que les travailleurs représenteront les frais généraux d’un pays et non la valeur ajouté la ruine est au bout du chemin.  (ABC de l’économie !) 

    3 septembre 2009 à 18 h 18 min
  • Anonyme Répondre

    Une réalité est que l’on cherche à Brésilianniser la France, ce qui permettra à une caste ultrariche (les politiciens de tous bords en tête de régner sur un peuple de gueux, comme au moyen_âge mais version XXIème siècle.

    Celà dit, contrairement à ce que pense Joresse, ce n’est pas le système capitaliste qui est mauvais mais ce que les hommes en font, les tricheurs et puissants en tête.

    3 septembre 2009 à 17 h 48 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Mr. Trémeau a raison, les pays libéraux se remettent plus vite de la crise que les pays gangrénés par les impôts. L’Irlande a en 2009 un taux d’inflation négatif. Qui dit mieux?

    3 septembre 2009 à 17 h 18 min
  • MINUX75 Répondre

    Bonjour

    Il y a un an, devant les résultats économiques catastrophiques de la france, j’avais pronostiqué que tout cela se terminerait par une baisse du pouvoir d’achat.  C’est effectivement ce qui se produit. Maintenant, l’affaire paraît évidente. Tout le monde parlait à l’époque de crise momentanée,  j’avais pronostiqué un affaissement du pouvoir d’achat  plus ou moins brutal et définitif à la manière d’un cliquetis. Pour le futur, la france est en très mauvaise posture, nous avons à faire à une dictature de fonctionnaires qui n’a que faire du pouvoir d’achat : ce n’est pas son objectif, au contraire, son véritable objectif à long terme est de faire baisser le pouvoir d’achat et d’augmenter le chômage. Nul doute que  son funeste projet réussira haut la main.
    Pour faire baisser le pouvoir d’achat d’un pays, il y a trois moyens, le premier est le protectionnisme, le deuxièmme est d’augmenter le montant des prelevements obligatoires. Le troisièmme est de créer une pénurie de monnaie de manière à fabriquer du chômage. Inutile de préciser que la france utilise au moins deux moyens sur trois ce qui est déjà pas mal. Le niveau de prelevements obligatoires est le plus élevé du monde, cela veut dire que la hausse de prélevements obligatoire est une des plus élevées au monde si ce n’est la plus élevée. En clair cela veut dire que pour faire baisser le pouvoir d’achat, nous sommes les mieux placés au monde. Nous somme aidés en cela par une europe très restrictive en matière de monnaie d’ou une pénurie de monnaie qui  conduit compte tenu de la situation des banques à une explosion massive  du chômage.

    On peut pronostiquer dans ces conditions une baisse de pouvoir  importante et continue dans les 30 années à venir. Nous serons dans le poloton de queue des pays les plus pauvres d’europe, prêt à recevoir l’islam à bras ouverts. La prochaine génération de français sera une génération d’immigrés qui ira chercher du travail en australie, aux états unis etc…

    Enfin pour répondre à JAURES, si en IRELANDE, les salaires à l’embauches baissent de 41%, en france, il n’y a plus d’embauche mais une explosion du chômage. Je connais une directrice  des ressources humaines et lui ai demande quel était son chiffre d’affaire pour 2009, réponse avec des larmes dans les yeux ZERO EURO c’est à dire une baisse du chiffre d’affaire de 100% RIEN NADA. On peut donc en conclure que la baisse des "salaires" à l’embauche est de 100%. Voila ou nous mène le modèle de JAURES.

    à bientôt

        

    3 septembre 2009 à 13 h 18 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Allez constater la stupidité de l’état français sur le site suivant:
    http://le12eliberal.over-blog.org/
    L’article "Maître-chanteur" est édifiant. Mao lui-même n’était pas aussi con. N’avait-il pas dit  "peu importe la couleur du chat, l’essentiel étant qu’il attrape les souris".
    PS: Quand on sait à qui on a à faire, on sait à quoi s’attendre.

    3 septembre 2009 à 11 h 11 min
  • Jaures Répondre

    En 2007, l’institut GFK classait la France au 9ème rang pour le pouvoir d’achat (juste devant l’Allemagne). Devant on trouvait notamment l’Irlande et l’Islande qui ont appliqué à la lettre les préceptes de Trémeau. Alors que le premier atteint aujourd’hui 12,7% de chômage, le second a dû être sauvé par le FMI.

    Dans ces 2 pays, le pouvoir d’achat dopé par la spéculation et l’endettement s’effondre. En Irlande, la baisse des salaires à l’embauche atteint 41%, les traitements des fonctionnaires ont été baissés de 7%, alors que Dublin est une des villes les plus chères d’Europe. L’Islande revoit également les salaires à la baisse alors que l’inflation atteint 18% et que les impôts vont être augmentés pour affronter un déficit abyssal.

    Alors oui, sans doute, les français voient leur pouvoir d’achat baisser. Mais le modèle Français, malgré les coups de boutoir de Sarkozy,permet aux retraites d’être payées, aux malades d’être indemnisés, aux chômeurs (pour la moitié d’entre eux) de toucher leurs allocations, aux ménages de ne pas se sur-endetter. De fait, c’est en France que la baisse de la consommation est la moins importante.

    Pour s’en sortir, c’est simple, il faut lire Trémeau et faire exactement le contraire.

    2 septembre 2009 à 16 h 52 min
  • sas Répondre

    Naguy bocsa avant d être élu….vous a dit: "les français et la france ne sont pas assez endettés…"

    il est en train de remédier au problème….

    gaulois chrétien de ce pays: arrêtez d être cons ….ca me fait honte et sa nous détruit…et je vous le dits d avance la solution n’est certainement pas à gauche….avec l idiote du poitoux

     

    l’ex dame sarkoziene , elle était fière de ne pas  avoir de sang français…..pour la 1 ère dame c’était déjà pas mal…

    debout goïms…

    sas

     

    2 septembre 2009 à 14 h 11 min

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