Socialisme, corruption et démocratie à la dérive

Socialisme, corruption et démocratie à la dérive

Tous pourris ? L’interro­gation est inquiétante, tant elle est récurrente ! Certes, tous les élus ne sont pas à mettre dans le même sac. Mais, derrière cette formule populaire bien pratique, force est de constater que l’histoire politique du monde est émaillée de scandales sur fond d’appétences pour l’argent, le pouvoir et les délices d’alcôves

La France, en la matière, ne fait, hélas, pas exception !

Les « vestales de l’État de droit » nous adjurent de ne pas céder à l’amalgame et au populisme. C’est la mise en garde traditionnelle, mais aujourd’hui éculée, d’un système à bout de souffle qui tente de minimiser les dérapages et abus de responsables qui ne s’embarrassent pas toujours des principes moraux et éthiques dans l’accomplissement de leurs missions !

Mais le vrai problème est-il la tentation de l’amalgame qui alimente le populisme ou les dérives de la démocratie ?

La force de cette dernière devrait reposer sur la rigueur morale, l’honnêteté intellectuelle, le courage, sans lesquels la légitimité des élections est discutable.

En France, la démocratie n’est pas au mieux. Les édiles ne privilégient-ils pas trop souvent les intérêts partisans au détriment de l’intérêt général ? Les voix qui, à droite ou à gauche, s’élèvent pour dénoncer l’affaire du compte en Suisse sont-elles les plus crédibles ?

Proposer la moralisation des pratiques politiques, c’est avouer des dysfonctionnements graves. C’est admettre que l’affaiblissement des valeurs morales élémentaires a gangrené des pans entiers de notre société.

Nous récoltons aujourd’hui les dividendes d’un système dépassé que des doctrinaires en retard d’un siècle appellent socialisme !

Le mal est là, il perdure dans ce mirage qui n’en finit pas de mourir. Le socialisme entraîne la France dans une fuite en avant qui ruine notre économie, pèse sur la sécurité et affaiblit notre identité nationale.

Un sursaut serait salutaire pour le futur de la France. Il adviendra sûrement, mais faudra-il pour cela boire la coupe jusqu’à la lie ?

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Comments (2)

  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    La doctrine socialiste étant justifiée et animée par des vices, l’envie, la jalousie et la méchanceté, elle ne peut aboutir que sur l’échec.
    Cet échec est d’ailleurs visible partout où cette doctrine a été appliquée.

    26 avril 2013 à 19 h 38 min
  • Claude Roland Répondre

    La démocratie n’est pas en France ; la vraie se trouve en Suisse. En France, nous sommes actuellement en dictature socialiste vu la ténacité de Hollande à garder son cap idéologique.
    Le problème de ce pays n’est pas les politiciens pourris, c’est l’acceptation par les Français d’avoir de tels politiciens de droite comme de gauche.
    Tous pourris , Oui, quasiment sauf peut-être 5 % et encore ; donc tous pourris, oui, sauf preuve du contraire.
    Leur devise est “pas vu, pas pris”. Les plus idiots se font prendre mais l’affaire Cahuzac n’est qu’un enfumage : on jette un os au peuple pour ne pas lui donner tout le squelette. le reste du squelette, lui, se barre en courant dans les coulisses. Autrement dit, Cahuzac c’est l’arbre qui cache la forêt. Même Hollande est délinquant pour avoir dissimulé ce qu’il doit payer au fisc qui devrait être sept fois supérieur selon les experts étant donné la valeur réelle de ses biens immobiliers sous-estimés.
    Et alors ? les Français considèrent ça comme des vaches qui regardent passer un train…
    On a les politiciens que l’on mérite. Point barre.

    25 avril 2013 à 14 h 56 min

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