Depuis 1918…

Depuis 1918…

Novembre 1918. La France est victorieuse.

Certains vont alors jusqu’à dire qu’elle est la première puissance du monde, la plus glorieuse, celle qu’on admire, qu’on vénère, dont on recherche l’alliance.

C’était une illusion.

La France, en réalité, comme l’a écrit l’historien britannique Arnold Toynbee, venait de tomber au champ d’honneur. Elle venait de perdre sa jeunesse, d’être saignée, d’être détruite.

Cette guerre de 4 ans fut pour la France un désastre immense, auquel s’en ajouta un autre à partir de 1917, l’adhésion de beaucoup à une idéologie illusoire et criminelle, qui avait pris corps en Russie sous le nom de bolchevisme.

En France, le Parti communiste, qui l’adopta, avait pour programme la prolétarisation du pays, la fin de la bourgeoisie, et montra vite ce qu’il savait faire par des grèves et des actions de toute nature contre toute forme d’autorité.

Il fallait se mobiliser et agir contre le «fascisme» et, à cette fin, pour commencer, s’engager dans les Brigades internationales de la guerre d’Espagne où les Français furent nombreux, dont certains se distinguèrent par leur cruauté.

Et, lorsque le général Franco fut vainqueur, les vaincus se réfugièrent en France.

Leurs descendants y sont toujours.

Tous cherchèrent à lutter contre l’armée des «galonnards» et contre les patrons, grands et petits – tous des «salauds».

Dans ce climat et cette agitation, la France «invincible» déclara la guerre à l’Allemagne.

Elle ne pouvait, dans l’état où elle était, que la perdre.

Elle la perdit en effet, et de façon honteuse et lamentable, laissant notamment aux mains des armées hitlériennes 3 millions de prisonniers. Cette guerre, qui ne pouvait être que perdue, fut un suicide. S’en est-on remis ?

Après dix ans de guerre civile conduite pour l’essentiel par le Parti communiste, qui entourait le général De Gaulle, la France se remit enfin au travail.

Elle se reconstruisit pour arriver au régime socialo-communiste que nous connaissons. 616384 élus cheminent d’élection en élection où s’affrontent une bonne douzaine de partis, tous plus ou moins subventionnés par le contribuable. Près de mille parlementaires, députés et sénateurs, tiennent le haut du pavé. La démocratie, ça coûte cher, très cher, surtout lorsque ladite démocratie s’est transformée en démagogie.

Toujours est-il qu’aujourd’hui, après ce long et peu glorieux parcours, la France s’enfonce sous le coup de ses trois misères essentielles: l’insécurité, la fiscalité, et la complexité.

On ne le dira jamais assez.

Ce que l’on ignore encore, c’est le nombre de Français qui seront assassinés par l’un des millions de musulmans qui se sont fixés en France, légalement ou non, et aussi le nombre des petits enfants prêts à naître qui auront été assassinés légalement.

La presse du 29 avril fait état du banditisme organisé avec et par les «mineurs isolés».

Ces mineurs isolés, pour la plupart Maghrébins et généralement âgés de 20 à 30 ans, sont dirigés et éduqués par d’autres immigrés plus âgés. Ils sont formés pour la délinquance, notamment dans les transports en commun, métro et RER, et pour le cambriolage. C’est une organisation à l’échelle de la nation. Les pouvoirs publics disent qu’ils vont s’en occuper …

Quelle considération peut-on avoir pour une telle gouvernance qui, chaque jour, nous rappelle ainsi son incurie et son impuissance?

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