Durban : le dogme écologique se meurt

Durban : le dogme écologique se meurt

Bien sûr, il restera des électeurs pour voter Europe Écologie aux prochaines élections présidentielles et pour se rallier aux lunettes rouges d’Éva Joly, ancienne juge façon Fouquier-Tinville.
Bien sûr, on continuera à bétonner les rues de Paris et à y multiplier les garages à vélo afin d’accroître les embouteillages, si merveilleux pour la préservation de l’environnement.
Bien sûr, on parlera encore sur le ton de l’obsession des dangers de la « pollution », de la nécessité de « sauver la planète » en prenant des douches plutôt que des bains…
Bien sûr, on continuera à parler de « dérèglement climatique », expression fourre-tout qui expli­que aussi bien les intempéries que le beau temps, la chaleur que le froid, et qui est venue subtilement remplacer la notion, passablement usagée, de « ré­chauffement global ».

Il n’en reste pas moins que le dogme écologique a du plomb dans l’aile et fait de moins en moins partie des priorités.
Aux États-Unis, la population est très largement revenue de l’enthousiasme irraisonné qui l’avait conduite à porter Barack Obama et sa cohorte socialiste à la Maison Blanche.

L’Agence de Protection de l’environnement continue à réglementer, à asphyxier l’activité économique, mais ceux qui sont au chômage préféreraient le retour à la croissance.

Et celui-ci coïnciderait plutôt avec un retour aux affaires des Républicains qu’avec le maintien à leur poste de gens qui raisonnent en termes de lutte des classes, gaspillent des milliards à financer des entreprises de construction de panneaux solaires ne construisant rien, et qui s’acharnent contre les entreprises…

En Europe, les technocrates qui régissent le continent depuis Bruxelles aimeraient se parer du manteau de la vertu écologiste et donner des leçons au monde entier, et ils s’emploient à maintenir la croissance à un niveau proche de zéro, avec des pointes de récession en Italie, en Grèce, ou au Portugal.

Mais ils n’ont plus un sou en caisse, les déficits se creusent, et il est difficile d’être arrogant quand on glisse vers la mendicité. Les prétentions « vertes » de l’Europe sont à la baisse.

Les pays en voie de développement qui se développent effectivement, tels la Chine, l’Inde ou le Brésil, ne tiennent pas à adopter de politiques suicidaires et préféreraient que les pays qu’on appelait autrefois « pays riches » s’auto-détruisent les premiers.
Les pays en voie de développement qui ne se développent pas du tout aimeraient, eux, obtenir des aides financières des pays autrefois riches, mais dès lors que la richesse s’évanouit, les promesses s’évanouissent aussi.
Le GIEC, au sein des Nations Unies, continue à produire des rapports catastrophistes (le dernier en date promet le commencement de l’apocalypse pour 2017), mais ne parvient plus à susciter une inquiétude suffisante pour délier les cordons des bourses qui sont, de toute façon, vides.

Les imposteurs que le GIEC rémunère et qui osent encore se proclamer « scientifiques » sont dépités, irritables.
Bien qu’ils se soient fait prendre en plein trafic de données falsifiées voici deux ans, ils ont récidivé cette année, et 5 000 mails ignominieux ont été mis au jour. La grande presse, qui est très largement la complice des imposteurs, n’en a pas fait état pour que les trucages puissent se perpétuer.

Un sommet sur le climat s’achève à Durban, censé préparer l’après-Kyoto. Il n’en sortira rien, strictement rien.
Il s’agissait, disaient les textes préparatoires, de dépenser cent milliards d’euros par an pour aider les pays pauvres à « s’adapter » au climat qui vient.

Dès lors qu’on n’est pas même certains que l’euro passera l’année, et que le dollar est à peine mieux portant, qui peut parler de dépenses autrement qu’en proférant des mots vains ?

Les pays en voie de développement qui se développent effectivement continueront à se développer. Les pays en voie de développement qui ne se développent pas devront songer à ce qui vient après la faillite, et s’adapter à un monde où les pays autrefois riches ne peuvent pas donner grand-chose. Les représentants des pays autrefois riches parleront : ils sont payés pour cela. Les imposteurs seront plus dépités encore.

Tout ce joli monde, à Durban, ne se sera privé de rien et aura pris des vacances de luxe très gaspilleuses aux frais des contribuables occidentaux…

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Comments (32)

  • GROBIS Répondre

    “Tenez, il y a bien plus d’arbres en Amerique du Nord aujourdui que a l’epoch de Geronimo” Qu’en est il de l’Amerique du sud et notamment d’un pays en plein expansion le Bresil?

    24 janvier 2012 à 11 h 23 min
  • ekoulemaneng Répondre
    Hourra !!! L’imposture climatique tire à sa fin. Réchauffement climatique anthropique, mon oeil! Et die que des "experts" du GIEC sont grâcement rémunérés pour claironner de telles imbécilités!
    23 décembre 2011 à 9 h 55 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    @ grepon
    un bel exemple de capitalisme moralement pur ,limpide et cristallin :
    ….. MURDOCH  !  !   !
    toute croyance a ses failles ….

    20 décembre 2011 à 17 h 07 min
  • grepon Répondre

    Ce n’est pas l’étatisme seul qui est le moteur principal mais , bien à l’évidence , l’AVIDITE qu’elle soit privée ou qu’elle soit collectiviste !

    Voila que l’avidite est un moteur de motivation, de creation en toutes les domaines.    L’avidite du pouvoir politique ou economique, sont des faits, des constats de constants chez l’homme.     Mais, l’etatisme uniquement laisse libre voie aux pires exces et souffrances, alors que le capitalisme et createur surtout de richesse, d’un train de vie toujours plus saine, aise, riche en experiences.

    Le capitalisme, non pas le capitalisme truque francais, mais le capitalisme theorique auquel le business aux Etats-Unis ressemble bien mieux, met en valeur LA CONCURRENCE comme moyen rendre les acteurs du jeu honnete…..a cote d’autres valeurs comme la primatie de la propriete privee, de la propriete intellectuelle(merci Voltaire), la mise en force de contrats privee par un gouvernement qui s’occupe des droits de base. 

    Les etatistes demandent MONOPOLES dans les domaines occupees par le gouvernement, domaines toujours en expansion, car l’avidite est un constant chez l’homme, et ses organisations.    Voila que la meillieur forme de gouvernement est un qui est strictement limite, et mise en conflit avec soi-meme, de facon a limiter son croissance tres strictement, laissant ainsi fleurir la creativite et industrie et surtout LIBERTE, celle veridique, des individus, familles, et entreprises.

    20 décembre 2011 à 0 h 55 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    @ grepon
    Dans un jugement , il faut être "équitable" ( comme le commerce qui s’autoproclame comme tel ) :
    Ce n’est pas l’étatisme seul qui est le moteur principal mais , bien à l’évidence , l’AVIDITE qu’elle soit privée ou qu’elle soit collectiviste !

    19 décembre 2011 à 14 h 48 min
  • Jaures Répondre

    Que voulez-prouvez Shadock avec votre listing ? Que puisque des savants croyaient en Dieu nous devons faire de même ?
    Outre qu’au temps de Galilée on n’avait guère le choix si on ne voulait pas finir comme Bruno, il y eût au XXème siècle, comme je l’écris ailleurs, de grands savants, Prix Nobel et philosophes qui soutinrent Hitler.
    Par ailleurs, en ce qui concerne Einstein, son rapport à Dieu est très personnel comme le montrent les citations suivantes: "Je crois au Dieu de Spinoza, qui se révèle dans l’ordre harmonieux de ce qui existe, et non en un dieu qui se préoccupe du sort et des actions des êtres humains."
    (Albert Einstein / 1879-1955 / Télégramme au rabbin Goldstein de New York, avril 1929).
    "Définissez-moi d’abord ce que vous entendez par Dieu et je vous dirai si j’y crois."
    (Albert Einstein / 1879-1955)
    "Ce que vous avez lu sur mes convictions religieuses était un mensonge, bien sûr, un mensonge qui est répété systématiquement. Je ne crois pas en un Dieu personnel et je n’ai jamais dit le contraire de cela, je l’ai plutôt exprimé clairement." (Albert Einstein : le côté humain" édité par Helen Dukas et Banesh Hoffman, lettre du 24 mars 1954)
    Evitez pour faire valoir vos convictions de vous référer à tel ou tel écrit d’auteurs, aussi illustres qu’ils soient, dont comme chez tout être humains, les idées peuvent évoluer, changer, se contredire.
    Voulez vous que je vous sorte quelques citations de Millière, période relativiste de gauche ?

    19 décembre 2011 à 11 h 58 min
  • grepon Répondre

    Grepon, la forêt primaire est la garantie de la biodiversité, mais je sais qu’il s’agit là pour vous d’un gros mot: tant qu’il y a une route pour votre 4/4…

    Je suis un amateur des espaces sauvages depuis l’enfance, a l’aise en montagne, et pas que dans la foret que j’aime bien, mais meme en plein paroi, ou negociant une rimee difficile, pour info.  Je goute la sauvagerie de la nature en directe. 

    A propos des forets, pour info, avant 20ieme siecle a peu pret, il n y avait personne pour combattre les feux des forets et plaines, mais il y en avait pour les mettre en feux, ces sacres indiens!     Aujourdhui il y a une armee prete a attaquer aux feux, et enormement d’investissement preventative en place pour limiter l’etendu des degats.

    Il y a investissment et sacrifice pour preserver la faune et la flore, enormement.  Aux Etats-Unis, s’entend.   Si vous est au courant pour une destruction d’un habitat unique ou une species quelquonque, vous n’avez que a le signaler, et vous auriez une armee derriere vous depuis "Go", le gouvernement federale, l’etat, la compte, tout plein de NGO’s puissants. 

    Encore, aux Etats-Unis. Nous sommes suffisamment riche, voyez, pour se payer le luxe de preserver nos espaces et creature sauvages.   A mon avis de montagnard amateur de la nature en directe, nous le sommes un peu trop meme, pour exemple dans le cas du "delta smelt" un poisson inutile et ininterressant au possible pour laquelle quantite enorme de terres tres productive du Central Valley sont en friche, en depit des droits des proprietaires, pour plaire a des bobo-gauchos ignorants des grande villes.    Voila une exemple ou la biodiversite, vous pouvez la mettre ou le soleil ne brille pas(ou peu, si vous etes nudiste).  

    Malheureusement, grace aux idiots d’etatistes ET aux environmentalistes absolutistes, l;etat de Californie et le gouvernement federale vont pour la banqueroute.  L’implosion de l’etatisme, inevitable, et pour demain, laissera derriere destruction economique en forme de dettes qui ne seront pas repaye, une longue recession/stagnation ici, et une depression suivie par stagnation(au ieux) en Europe vieillissant.    Les histoires de "global warming" et les divers "delta smelt" vont en morfler…j’espere!…mais d’autre degats, a lamenter s’entend, seront a attendre avec.   L’environmentalisme ecolo-bobo est un luxe resultant et rendu possible par la liberte economique, c.a.d. le capitalisme.   Partout aillieurs, ou l’etatisme reigne, c’est la pauvrete et la resultante, automatique hecatombe des especes et catastrophes ecologique sur l’echelle sovietique ou chinoise.

    18 décembre 2011 à 23 h 30 min
  • Shadok Répondre

    Au fur et à mesure que la France se déchristianise plus elle perd sa mémoire et son identité. Mémoire et identité, voilà probablement ce que certain idéologues veulent voir définitivement disparaître. Alors, un peu de mémoire et de reconnaissance. Louis Pasteur (1822-1895) «Plus j’étudie la nature et plus je suis émerveillé par les travaux de Notre Créateur. La science me ramène plus proche de Dieu» (Louis Pasteur, cité dans un livre de John Hudson Tiner «Louis Pasteur, fondateur de la medecine moderne», 1990) «Un peu de science vous éloigne de Dieu. Beaucoup vous y ramène» (Louis Pasteur, cité dans «Dieu et la science» de Jean Guitton, 1991) Albert Einstein (1879-1955)«Je veux savoir comment Dieu a créé ce monde, je ne suis pas intéressé par tel ou tel phénomène, dans le spectre de tel ou tel élément. Je veux connaître Ses pensées, le reste sont des détails» (Albert Einstein, cité dans «Une conversation avec Einstein» de E. Salaman,(1955) 370-371) Galilée (1565-1642)«Lorsque je médite sur toute les choses merveilleuses que les êtres humains ont saisi, recherché, et fait, j’ai tendance à reconnaître encore plus clairement que l’intelligence humaine ne peut qu’être le résultat d’un Créateur» (Cité dans «Galileo Galilei» de Paul Poupard, p 101) Nicolas Copernic (1473-1543)«Le fait de connaître les oeuvres grandioses de Dieu, d’essayer de comprendre Sa sagesse, Sa majesté et Son pouvoir et d’apprécier d’une certaine manière le fonctionnement de Ses lois, est certainement une manière d’adorer Dieu, pour qui l’ignorance ne peut pas être plus reconnaissant que la connaissance» (cité dans «les chevaliers parmi les nations» (1907) de Louis E. Van Norman, p. 290) Blaise Pascal. 1623 – 1662 Paris. Philosophe, son œuvre en tant que mathématicien et physicien est immense (arithmétique, probabilité, thermodynamique, etc…). Son engagement catholique est entier. Homme de prière, ses écrits sont un monument de la littérature spirituelle. « C’est le cœur qui sent Dieu, et non la raison ». « Le cœur a ses raisons que la raison ne connaît pas. » Gregor Mendel. 1822-1884 Autrichien. Moine, il fut nommé prélat en 1868. Dans le jardin de son couvent, il faisait des expériences de botanique et il fut le premier à proposer une explication de la transmission aléatoire des caractères héréditaires. Sa théorie était tellement en avance sur la culture de son époque que ses travaux ne furent pas compris et qu’il fallu attendre 30 ans pour que ses résultats soient redécouverts. Georges Lemaître. 1894-1966 Chanoine Belge. Astrophysicien et mathématicien. Ce scientifique affirme dès 1933 que notre Univers est en expansion. Il est le premier à formuler la loi de proportionnalité entre la distance et la vitesse d’éloignement des galaxies ; il pense que l’Univers s’est construit à partir d’un atome primitif : le Big-Bang. Georges Lemaître illustre parfaitement la cohabitation réussie de la foi, la religion et de la science. Mais, il ne veut cependant faire du concordisme. Ainsi, lorsqu’en 1951, Pie XII déclare que les avancées scientifiques sont une voie pour prouver l’existence de Dieu, Lemaître n’hésite pas à faire part de son désaccord. Membre de l’Académie pontificale des sciences.

    18 décembre 2011 à 20 h 17 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<vous me parlez de la France où le cas est très différent>>

    Oui tout est différent dans ce pays y compris l’intervenant qui est d’ailleurs le seul à y croire. Avec les milliards engrangés par les syndicats rénégats on peut comprendre cette position. Les caisses sont pleines vivent les vacances de neige pour les fêtes de fin d’année.

    PS: La déforestation française existait avant la découverte des Amériques, pour utiliser la tournure "à l’américaine" il faut une sacrée dose de fourberie. Pourquoi pas la déforestation à "la française" que tous les autres ont copiée?

    18 décembre 2011 à 18 h 47 min
  • Jaures Répondre

    Comme d’habitude sur ce forum, quand on répond à une ineptie ("Tenez, il y a bien plus d’arbres en Amerique du Nord aujourdui que a l’epoch de Geronimo, ou meme a l’arivee du Mayflower quelques siecles avant ca"), on préfère changer la conversation.
    Hans, vous me parlez de la France où le cas est très différent: après avoir connu une déforestation anarchique à l’américaine, une gestion plus rationnelle s’est mise en place permettant d’avoir en France une forêt relativement bien préservée, ce qui n’est pas le cas, par exemple de notre littoral, notamment dans le sud. Pour ce qui concerne les marée vertes, la mauvaise gestion agricole est évidente. Je vous invite à rejoindre le combat de ceux qui propose une agriculture alternative et durable.
    Grepon, la forêt primaire est la garantie de la biodiversité, mais je sais qu’il s’agit là pour vous d’un gros mot: tant qu’il y a une route pour votre 4/4…

    18 décembre 2011 à 10 h 14 min
  • grepon Répondre

     1 que les usa laissent pourrir leur environnement ;c’est qq un qui n ‘a jamais mis un pied aux usa !!!!

    Effectivement, "nous" vont de l’avant en matiere de le  "environnement" par rapport a tout autre pays de la planete3    C’est ainsi, le capitalisme, et meme le quasi capitalisme etato-complaisant virant au fascisme douce que nous experimentons aujourdhui, depuis quelque temps.    Le capitalisme etant un resultat d’un etat de liberte, et le liberte permettant a tout un chacun a agir, exprimer, etc, librement, la mouvance ecologiste/environmentaliste est novatrice ici, et imitatrice chez vous, largement.      USA #1, meme dans l’ecologie bobo-gaucho-chouette.

    18 décembre 2011 à 10 h 03 min
  • francois Répondre

    nous savons donc 2 choses:

     1 que les usa laissent pourrir leur environnement ;c’est qq un qui n ‘a jamais mis un pied aux usa !!!! mais il faut le croire car ce qq un n’est pas n’importe qui ;il est socialiste donc il detient la verité….

    2 que cet article est lamentable.su ce point jaures doit avoir raison car coté lamentable il en connait un rayon.

    j’apprecie vraiment ce type d’analyse intellectuelle qui n’est pas lamentable…..

     

    17 décembre 2011 à 22 h 06 min
  • grepon Répondre

    à @ Grepon  il est nécessaire de rappeler que les colons ont transformé des prairies en déserts de poussière , lire "les raisins de la colère" , et que le Gouvernement Fédéral créa , pour la première fois dans l’Histoire du Monde , un Parc Naturel  , celui de Yellowstone , justement pour SAUVEGARDER le PATRIMOINE et la BIODIVERSITE nord-américaine

    …Effectivement, presque la moitier des Etats-Unis est propriete du gouvernement federale, et la grande majorite de ca est exploitable et beaucoup de ca est effectivement exploitee par le secteur privee par un systeme de permis et de paiements.   Yellowstone, et Yosemite, etc, ne representent q’une petite partie des terres federaux qui ne peuvent pas etre exploitee. 

    "The Grapes of Wrath" a ete une fiction, malheureusement, bien que le "Dust Bowl" a effectivement eu lieu, merci a des changements climatiques ponctuels qui vient et qui vont.  Evidemment les professionels de l’agriculture ont change leur methodes pour mieux tenir les coups de la nature.   Remarquez, aussi, que a l’epoch l’abandon des petit terres par les agriculteurs a ete en marche depuis un long moment deja, avec toutes les changements, des fois dramatiques, mais pour la plupart des cas salvatrice, car les villes ont offert des carrieres bien moins durs.   Au milieu de ca tout un cas ete fait(et profits engrangees) par poetes, ecrivains(dont l’auteur du The Grapes of Wrath), photographeurs, et surtout demagogues, au service de mouvances politiques progressivistes recherchant l’expansion de l’etat comme solution aux maux qu’ils ont amplifiee dans l’imaginaire de par leur choix de sujets.  Voyez, les photographeurs du miseres ne vous montre pas milliers de photographs dont certain sont particulierement atroce et la majorite ne le sont pas du tout, ils font des collections que des images puissant, qui vont dans la direction de leur message.

    Pour Jaures, la "foret primaire" vous excite peut-etre, mais un foret gere pour produire du bois et d’autres  produits sert beaucoup mieux, par hectare, a l’homme.    Qu’un foret soit "primaire" ou "vierge" ou toute autre definition chouetto-ecolo-boboite ne donne pas que c’est un bien absolu, a preserver a tout prix.  Nous avons les parc nationals et notre national forest service pour veiller a l’equilibre entre preservation(facon ecolo) et conservation(pour servir a la nation, economiquement,sur la duree).     Pour ce qui en est des pourcentages de forets et surtout de leur definition….ce qui laisse passer de inepties par des organisations et personnages divers…sachez que beaucoup des terres federaux denommee "forets" n’ont pas beaucoup d’arbres dessus bien qu’ils sont a l’etat assez naturel.   Veritables forets (AVEC arbres) laissee a l’etat naturel brulent regulierement, tout de meme, sont detruit par parasites, etc.   En contraste, le management des forets par l’homme a eu pour effet la preservation des forets, et l’acroissement de leur quantite en Amerique du Nord, par rapport a leur etat avant la colonisation par les europeens.

    17 décembre 2011 à 21 h 10 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    SAS <<la c est sure tu n aime ni la nature….ni les squales….tu veux les empoisonner…>>

    Désolé je n’y avais pas pensé*),  il faudra donc servir de la viande "hallal"  c.à.d. saignée aux squales pour leur éviter de subir le sort de leurs congénères marinant dans le lisier.
    La nature que j’aime tellement peut continuer à respirer et les petits poissons du grand bleu seront ainsi sécurisés.

    *) Honni soit qui mal y pense!

    17 décembre 2011 à 20 h 49 min
  • bellicha Répondre

    joiei citation mais incorrecte et Geronimo n en est pas l auteur

    17 décembre 2011 à 17 h 58 min
  • SAS Répondre

    A quintius chacun sont dieux…..

    …..les uns les métaux…..les autres (le plus grand nombre)…les vegetaux…….depuis peu en france nous avons même le culte du poireau (ils nous prenent pour tel)….et celui des salades….ce sont des menteurs invétérés..

     

    sas

    17 décembre 2011 à 14 h 16 min
  • sas Répondre

    a hans….

     

    la c est sure tu n aime ni la nature….ni les squales….tu veux les empoisonner…

    lol

    sas…

    en revanche faut les saigner avant de les mettre à l eau afin d inviter tous les convives….un banquet a fonds perdus et poublics est un banquet….surtout du tigre, du blanc et du bouledog…rien que ca …encore que pour eux ils prédatent pour survivre…..les autres enclumes elles prédatent pour le veau d or…thesoriser..accumuler….s engraisser oisivement…

     

    17 décembre 2011 à 14 h 11 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Encore J !

    Avant l’arrivée des colons, la moitié du territoire des Etats-Unis était couverte par la forêt primaire. A la fin du XIXème siècle, celle-ci n’existait plus qu’à l’ouest:

    Et avant l’arrivée des natifs américains au néolithique durant la dernière glaciation, la forêt primaire couvrait la totalité du continent US !

    so what ?

    17 décembre 2011 à 13 h 36 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<Je ne souhaitais pas spécialement intervenir sur cet article lamentable mais je ne peux laisser passer toutes les inepties.>>

    Attention tenez vous bien, l’intervenant sans peur et sans reproche, euh…. intervient.
    Je dessine vite la lune pour éviter d’utiliser mon doigt, ici tout de suite à droite:  lamentable(s) ineptie(s) pour ineptie(s) lamentable(s)

    http://fr-fr.facebook.com/pages/D%C3%A9forestation/112229765460263?sk=info

    Extrait:
    <<La déforestation est le phénomène de régression des surfaces couvertes de forêt. Elle résulte des actions de déboisement puis de défrichement, liées à l’extension des terres agricoles, à l’exploitation des ressources minières du sous-sol, à l’urbanisation, voire à l’exploitation excessive ou anarchique de certaines essences forestières. La déforestation n’est pas un phénomène récent. Du Moyen Âge au début de la révolution industrielle, le défrichage et les coupes opérés pour accroître les surfaces agricoles et fournir des bois d’œuvre et de chauffage font passer le territoire de l’ancienne Gaule d’un taux de boisement de 90 % à moins de 15 % seulement.>>

    Pas mal le score hein, notez le bien les Yankees, les Frenchies ont encore fait mieux que vous. Vous l’avez dans l’os, gotcha!
    Parlons aussi un peu des rivières et ruisseaux de Bretagne où à un certain moment le lisier des porcheries coulait à ciel ouvert. Les poissons n’avaient qu’à bien se tenir ou à périr. Ils ont choisis pour la plupart la dernière option, soit le suicide collectif (terme politiquement plus correct et qui évite l’utilisation du mot qui fâche "décimer"). Il est vrai que depuis que le "hallal" est à la  mode ces mêmes rivières ont repris de la couleur, ou plutôt de la transparence.

    17 décembre 2011 à 12 h 02 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    Ce qu’il y a de plus constant sur ce site c’est ce qu’on peut appeler "la lecture "étroite" , à oeillières
    Lorsque je cite Jéronimo , je ne maintiens pas un regard fixé sur les seuls U.S.A. ,  il balaie tout aussi bien la forêt Amazonienne  que celles des  Iles de la Sonde , aussi bien  que les rivières de Chine ou que les lacs  des steppes de l’Asie Centrale , pour ne citer que quelques fléaux humains
    à @ Grepon  il est nécessaire de rappeler que les colons ont transformé des prairies en déserts de poussière , lire "les raisins de la colère" , et que le Gouvernement Fédéral créa , pour la première fois dans l’Histoire du Monde , un Parc Naturel  , celui de Yellowstone , justement pour SAUVEGARDER le PATRIMOINE et la BIODIVERSITE nord-américaine
    mais je sais que je m’adresse à un " homo oeconomicus " … donc , a priori , à un sourd …de Nature !

    16 décembre 2011 à 18 h 47 min
  • Jaures Répondre

    Je ne souhaitai pas spécialement intervenir sur cet article lamentable mais je ne peux laisser passer toutes les inepties.
    Avant l’arrivée des colons, la moitié du territoire des Etats-Unis était couverte par la forêt primaire. A la fin du XIXème siècle, celle-ci n’existait plus qu’à l’ouest:
    http://www.globalchange.umich.edu/globalchange2/current/lectures/deforest/defores9.JPG
    Par ailleurs, de très nombreuses espèces de poisson comestible ont disparu des rivières et des étangs américains notamment en Caroline du Nord ou en Géorgie , d’autres disparaissent chaque année en raison de la pollution et de la sécheresse.
    Mais soyons justes: les Etats-Unis ne sont pas les seuls à laisser pourrir ainsi leur environnement.

    16 décembre 2011 à 17 h 33 min
  • BORGAL Répondre

     

    "  ……    climato  s  e  p  t  i  q  u  e  s   " ……….  comme la fosse du même nom  ?  ?

    Quand le défaut d’orthographe débouche sur l’humour involontaire

    Quand la cuistrerie nous tient, aurais-je dû dire …….. et ceci n’est qu’un exemple entre mille rencontrés sur des dizaines de sites français pourtant censés être d’une tenue intellectuelle ………  un peu meilleure que la moyenne  !

    Un internaute belge

     

    16 décembre 2011 à 14 h 49 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<Rockfeller, Nature et Geronimo>>

    Beaucoup de Français épellent mal ce patronyme.
    En réalité il s’agit de Rockefeller, prononcé à la française comme suit: RockéFéllèr.
    Grepon pourra confirmer.
    Pour ce qui est des forêts en Amérique du Nord uniquement celles de Sibérie et d’une partie de la Scandinavie sont comparables. Ce qu’on appelle forêt en France est qualifié approximativement de "grove" (bosquet) aux USA.
    Par ailleurs le chef Apache Geronimo guerroyait également contre les Mexicains à ses heures perdues et non uniquement contre les Yankees.

    PS: j’aime bien le vert mais uniquement quand il reste cantonné dans la nature. Quand les humains s’en emparent pour symboliser un de leurs nombreux dogmes "then they’re walkin’ on the fightin’ side of me!"

    16 décembre 2011 à 11 h 35 min
  • grepon Répondre

    " Quand le dernier arbre aura été abattu , quand la dernière rivière aura été empoisonnée , quand le dernier poisson aura été pêché , alors vous saurez que l’argent ne se mange pas "

                                               Gérinomo chef Appache

    Tenez, il y a bien plus d’arbres en Amerique du Nord aujourdui que a l’epoch de Geronimo, ou meme a l’arivee du Mayflower quelques siecles avant ca.   Que c’est bizarre!     Ca se passe comme si le simple fait que, quand une terre quelqonque devient la propriete, l’actif, de quelqun ou d’une boite, voire d’un etat penche vers le commerce, la terre en question va en fructifiant.   C’est quand une terre n’appartient a personne qu’elle est ravagee, ou laissee pour pourir…voir bruler, dans le cas des forets d’Amerique du Nord.   Adam Smith predate le developpement des Etats-Unis, ce qui a eu comme resultat un niveau de preservation, meme de multiplication, des ressources de ce pays assez etonnant dans l’histoire de l’occident.   (Avis aux donneurs de lecons europeens).

    Par aillieurs, les indiens des territoires de l’actuel Etats-Unis n’ont pas mis des efforts remarquable dans la conservation.   Certains tribus brulaient les forets et l’herbe des plaines.    Si, dans l’apparance, ils n’ont pas consomme beaucoup, c’etait de par leur technologie de l’age de pierre et vies tribales et dans le cas de beaucoup nomadiques et guerriers, et non pas de par une moralite superieur au notre. 

    15 décembre 2011 à 23 h 14 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    " Quand le dernier arbre aura été abattu , quand la dernière rivière aura été empoisonnée , quand le dernier poisson aura été pêché , alors vous saurez que l’argent ne se mange pas "
                                               Gérinomo chef Appache

       enfin si vous préférez des Rothschild , des Rockfeller , des Marburg … pas moi
                                             qui suis un "fasciste" vert

    15 décembre 2011 à 14 h 59 min
  • François Répondre

      @ Hans, Shannon et francois, ne nous plaignons pas trop de la dépense inutile du sommet de Durban. A tout prendre, je préfère qu’on dépense un peu d’argent pour que ces nuisibles ne décident rien que d’en dépenser pour qu’ils décident de mesures qui nous ruineront davantage.
      C’est exactement comme quand on a payé une place de cinéma pour un film qui ne vous plaît pas, il vaut mieux sortir et avoir dépensé son argent pour des prunes plutôt que de rester et donc d’avoir payé pour s’emmerder…
      Maintenant, vous avez raison, si cela pouvait servir de leçon et éviter la prochaine fois d’acheter un billet pour le même film…

    15 décembre 2011 à 10 h 36 min
  • francois Répondre

    le pire c’est que c ‘est vrai!!! quel gaspi d’argent public ces sommets qui accouchent d’une souris verte !!!

    eva nous fait presque regretter nicolas mulot qui lui au moins ne transpirait pas la haine de tout.

    le parti ecolo va faire ave elle entre 1 à 3 pour cent l’année de fukushima.bravo aux ecolos pour le choix du candidat !!!

    n’importe quel cretin aurait fait au moins 5p100 les doigts de le nez mais avec elle tous les espoirs de nullilé sont permis !!

    14 décembre 2011 à 23 h 57 min
  • Shannon Répondre

    Millière a raison, ce sommet de Durban est un énorme gaspillage pour un problème qui n’existe pas : le réchauffement climatique. Ces écolos sont devenus des "éco-terroristes" et essaient par tous les moyens de forcer le politiquement correcte partout et tout le temps. Heureusement que des pays comme le Canada et les US ne se laissent plus berner…

    14 décembre 2011 à 22 h 13 min
  • François Répondre

     J’entendais juste après la clôture de Durban, une déclaration ahurissante de notre ministre de l’écologie, NKM: Dans la même phrase, elle a réussi à dire: " on n’a pas sauvé la planète…..mais on a préservé l’essentiel, la volonté de donner un suite à Kyoto…"
      Lapsus significatif de la part de gens pour qui le dogme est plus important que la planète?

    14 décembre 2011 à 19 h 58 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Les sanglots longs des écolos bobos¨
    à flots se déversent dans la fosse septique
    sous les yeux ravis des climatosceptiques
    trop heureux de cet inespéré cadeau.

    Amen!

    14 décembre 2011 à 19 h 23 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    <<Tout ce joli monde, à Durban, ne se sera privé de rien et aura pris des vacances de luxe très gaspilleuses aux frais des contribuables occidentaux…>>

    Espérons que certains écolos iront se baigner dans les eaux infestées de requins blancs au large des plages de Durban. Les squales apprécieront certainement la chair bio de ces verts connards et cela soulagera nos porte-monnaies à l’avenir.
    Pour maintenir l’équilibre des espèces en surnombre rien de tel que les moyens naturels. Bon appétit les petits poissons.

    14 décembre 2011 à 18 h 23 min
  • kaldor Répondre

    C’est toujours rafraichissant de lire un article de Guy Millière. Ce qui est remarquable, c’est de constater que les auteurs qui prônent le libéralisme économique sont aussi, dans la majorité des cas, climatoseptiques.

    14 décembre 2011 à 17 h 16 min

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