La fantastique évolution de la médecine

La fantastique évolution de la médecine

Depuis soixante ans, l’efficacité de la médecine évolue à une vitesse folle. Laissons de côté les vaccinations obligatoires qui ont éliminé de France des maladies aussi redoutables que la poliomyélite ou les antibiotiques et ont sauvé des millions de vies.

Abordons six points particuliers.

1) La réanimation. Les réanimateurs sont aujourd’hui capables de maintenir en vie pratiquement aussi longtemps qu’ils le veulent un malade, par exemple un nouveau-né venu au monde sans cerveau. Ils ont donc l’obligation de prendre la décision d’arrêter leurs traitements et de laisser mourir leur patient. Sinon, ce serait considéré comme de l’acharnement thérapeutique…

2) Le dépistage prénatal d’anomalies chromosomiques est entré dans la pratique courante depuis 15 ans. On dépiste ainsi de grosses anomalies, comme la trisomie 21. Et aussi des anomalies chromosomiques de plus en plus bénignes. L’interruption thérapeutique de grossesse étant légale (ITG), quelle anomalie justifiera le « traitement » par la destruction du fœtus ?

3) Les molécules ciblées. La maladie d’Alzheimer ou le cancer du sein sont consécutifs au mauvais fonctionnement d’un mécanisme particulier dans une cellule. Ce mauvais fonctionnement peut être stoppé par une molécule chimique particulière. Aujourd’hui, des laboratoires de biologie, en France tout particulièrement, identifient de telles molécules et leurs essais chez l’homme sont en cours. Des médicaments parfaitement efficaces vont bientôt sortir.

4) Les OGM. Actuellement, quand une cellule pancréatique n’est plus capable de produire de l’insuline, on est obligé d’administrer de l’insuline au diabétique jusqu’à sa mort. L’insuline que les chimistes arrivaient à synthétiser avait une importante toxicité. On utilise maintenant une insuline fabriquée par une bactérie génétiquement modifiée : on lui a greffé le morceau de chromosome humain responsable de la fabrication de l’insuline. Cette nouvelle bactérie OGM est un nouvel être vivant, une chimère, mélange d’animal et d’homme.

5) Les cellules souches. Notre corps est composé de milliards de cellules. Cellules nerveuses, cellules pancréatiques ou cellules musculaires. Ces cellules meurent sans arrêt et sont remplacées par de nouvelles cellules. Ce renouvellement est assuré dans chaque organe par ce qu’on appelle les cellules souches, cellules très « jeunes » et proches des cellules embryonnaires. Tant que cette cellule souche fonctionne bien, le renouvellement se fait parfaitement : l’individu reste jeune. Mais à partir d’un certain âge, la cellule souche fait moins bien son travail. Le renouvellement n’est plus parfait : l’organisme vieillit. Or, depuis quelques années, nous savons comment remplacer les cellules souches vieillissantes par des cellules souches jeunes et dynamiques. On pourra ainsi s’opposer au vieillissement et rester jeune toute sa vie. Ce n’est plus de la science-fiction.

6) Le télomère. Une partie de notre génome s’appelle le télomère. Chaque fois qu’un renouvellement cellulaire à lieu dans l’organisme, le télomère se raccourcit. Quand le télomère a perdu toute sa longueur, le renouvellement des cellules ne peut plus se faire : on meurt en bonne santé. Ainsi, la longueur du télomère programme la durée de vie de chaque espèce, et au sein de chaque espèce, la durée de vie de chaque individu. L’homme sait maintenant modifier la longueur du télomère des bactéries ou des souris : il multiplie par dix, s’il le veut, leur durée de vie. Telle est la fantastique évolution de l’efficacité de la médecine.

Les médecins sont capables de diagnostiquer et d’éliminer avant la naissance tous ceux qui sont jugés « anormaux ». Ils vont être capables de soigner chaque maladie avec un médicament individualisé, spécialement adapté et efficace. Ils seront capables de supprimer la vieillesse. Ils pourront même modifier la durée de nos vies. Une telle évolution rend les discussions actuelles sur l’âge de la retraite totalement irréelles…

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Comments (20)

  • Rapetout Répondre

    Cela réchauffe le coeur de voir ici s’exprimer les nostalgiques du temps béni où l’on se les gelait cul nul dans la bise faute de savoir tisser les fibres et tanner les peaux de bêtes, et où les gens bien intentionnés jetaient l’anathème sur les malfaisants qui s’échinait à découvrir comment frotter deux bouts de bois pour faire du feu avant de les jeter à l’eau tout de go (de nos jours je crois ça s’appelle les objecteurs de croissance, j’en connais un, c’est un beau métier car si ça mange du pain c’est celui des autres).

    4 décembre 2007 à 22 h 23 min
  • Anonyme Répondre

    Tucroy cite Alexis Carrel : " – « La longévité n’est désirable que si elle prolonge la jeunesse, et non pas la vieillesse. »

    Tucroy, with all due respect, ca et tout le reste, semble sortir du journal de Mickey et ne nous apporte pas grand chose; évidences, et choses connues. Thanks anyway.
    Personne ne cherche l’immortalité, de meme que personne ne devrait chercher a supprimer définitivement les conflits et les guerres; ceci n’est pas dans notre programmation humaine. Il est temps de revenir a l’ordre des choses, et plutot que de montrer une incapacité a reconnaitre sa propre chance, son propre bonheur potentiel ( je parle de la guérison, pas de la vie éternelle ), il est temps de faire le choix d’Aimer la vie et les hommes comme ils sont, tout en mettant sa pierre a l’amélioration de nos systemes et conditions de vie, sa petite pierre, et, doucement, doucement, comme l’herbe qui pousse, laisser un petit "mieux" aux générations suivantes…  et en apprenant a dire merci a ceux qui nous font du bien.

    Disciplus Simplex, merci beaucoup de m’offrir une approbation inattendue.
    A vous lire, je doute que vous ayez besoin de "mentor". Volez de VOS propres ailes. Ah, by the way, thanks pour l’humour, on en a besoin.

    Best,

    Mancney

    4 décembre 2007 à 16 h 07 min
  • Disciplus simplex Répondre

    Géniale la justif de Mancney sur le respect.
    J’adhère à mort et pour le prouver, je dirais à la façon du maître que certains raisonnent vraiment comme des tordus.
    Là, je viens de louer la finesse d’esprit et la cohérence de mon nouveau mentor (pour ceux qui, bêtement, imagineraient que je l’ai traité de tordu.)

    4 décembre 2007 à 4 h 39 min
  • Anonyme Répondre

    Il se trouve que je viens de relire un auteur qui sent particulièrement le souffre mais qui n’en demeure pas moins une référence (prix Nobel pour une première greffe du rein, sauf erreur). Chacun aura identifié Alexis Carrel et reconnu son célèbre ouvrage "L’homme cet inconnu".

    A plus d’un demi siècle de distance et bien qu’une actualisation s’impose, ce livre est d’un rare intérêt, pour qui peut le lire sans idées préconçues et en dissociant les connaissances des opinions qu’elles peuvent engendrer. Dommage, de ce point de vue  qu’une telle somme conduise à une utopie que l’histoire s’est chargée de condamnée, ce qui n’empêche pas certains de la cultiver imperturbablement.

    Quoi qu’il en soit, je me permets quelques citations à l’intention des inconditionnels de la durée de vie.

    « La longévité n’est désirable que si elle prolonge la jeunesse, et non pas la vieillesse. »

    « il ne faut pas chercher à accroître le nombre des centenaires avant d’avoir découvert le moyen de prévenir la dégénérescence intellectuelle et morale, et les lentes maladies de la vieillesse. »

    « La résistance innée aux maladies donne aux individus une vigueur, une hardiesse, dont sont privés ceux qui doivent leur survie à l’hygiène et à la médecine. »

    « L’accommodation aux conditions de la vie moderne provoque des changements organiques et mentaux qui constituent une véritable détérioration de l’individu. »

    « Le progrès de l’humanité ne viendra certainement pas de l’augmentation du poids et de la longévité des individus. »

    3 décembre 2007 à 19 h 17 min
  • Anonyme Répondre

    SAS : " laisse l’insulte gratuite aux socialistes et autre infirmes….du bulbe

    Dis donc, ton Altesse, et si tu remisais ta parano au vestiaire?

    Toi aussi tu écris parfois comme un vieux con, tu sais?

    Best,

    Mancney

    2 décembre 2007 à 0 h 06 min
  • Anonyme Répondre

    Arretez, Jean Claude, pour un "loupé" médical, il y a dix succes. Votre "étude de cas" est, en fait, un cas de "mauvaise foi"; il est a sens unique, il est déséquilibré.
    Comme dab, on ne pr
    ésente que un seul coté de l’histoire, celui qui nous arrange et qui s’inscrit dans notre vision préconcue, et on le placarde ensuite comme si c’était la Bible.
    Grossier proc
    édé, Jean Claude, tres répandu depuis des ages dans les French telés et médias, mais grossier quand meme.
    Stupide aussi, car ca ne marche pas longtemps.

    Best,

    Mancney

    1 décembre 2007 à 15 h 29 min
  • sas Répondre

    A manceney……notre commissaire a encore frappé….sortant donc par la porte ,je reviens par la fenêtre.

    Sur ton propos à l’egard de jean claude l’ancien…..outre le fait que l’on est toujour le con d’un autre…..ce petit commentaire en plus attifé d’un qualificatif pour mieux toucher le destinataire…..n’est pas digne d’un contradicteur dans quelque domaine que ce soit sauf a être vraiment à cour d’argument sérieux et cérébré……comme à l’accoutumé , jean claude et moi même ne sommes jamis dans le cas particulier….mais dans la généralité…….seules les années à vennir nous diront, comme dans bien d’autre domaine, si la NOUVELLE médecine est réellement un progrès POUR TOUS…..

    Pour birn répondre,il convient de bien comprendre et pour bien comprendre ,il convient de bien connaitre…..manceney je te prenais pour un mousquetaire , tirant haut avec honneur…..tu n’est qu’un spadassin un vulgaire coupe jarret…..

    des excuses plates et sans conditions , te rameneraient à la place où tu te trouvais……sas ose espérer qu’à 77 BALAIS passé…..tu ai la même plume (forme et fond) que notre ami jean claude.

    laisse l’insulte gratuite aux socialistes et autre infirmes….du bulbe

    sas  

    1 décembre 2007 à 14 h 20 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    30/11/07   "Les 4-Vérités"

    Chaque mois, je participe, à Paris, au déjeuner de membres du Bureau d’une Amicale à laquelle j’appartiens. Le hasard fait qu’aujourd’hui, étant placé à table à côté d’un ami Mulhousien, je lui ai demandé des nouvelles de son épouse dont je savais qu’elle était traitée pour une "nécrose de la hanche". Il y a environ six mois, cette dame   – que dis-je ? cette patiente – qui ressentait de plus en plus des signes de fatigue, parfois généralisée, après avoir consulté, outre deux ou trois généralistes, je ne sais combien de spécialistes, tous de "très grands professeurs"(1) – j’imagine – comme on l’entend régulièrement dire, s’était entendu dire par l’un d’entre eux qui avait critiqué le "diagnosctic" (2) de ses prédécesseurs :  "Madame, vous avez une nécrose de la hanche". N’aimant pas entrer dans les détails tant des maladies que des différents traitements, je n’avais pas demandé à son mari (notre dernière rencontre remontait à juin dernier) ce que l’on faisait "subir" à son épouse pour la "guérir". Aujoud’hui, devinez ma stupeur en apprenant que non seulement le traitement qu’elle avait suivi n’avait eu aucun effet  – bien au contraire  !- mais encore qu’un autre grand professeur qu’elle s’était résignée à aller consulter à STRASBOURG (2) lui avait déclaré "MAIS MADAME, VOUS N’AVEZ PAS, VOUS N’AVEZ JAMAIS EU, DE NECROSE DE LA HANCHE !". Sans toutefois pourvoir lui dire de quoi elle était atteinte. Tout cela après avoir consulté, consulté et reconsulté, subi des analyses et des examens de toutes sortes, mais aussi des radios et même deux IRM … Je laisse à chacun le soin de deviner le coût   – inutile – pour les Sécurité Sociale. Mais aussi, et surtout l’angoisse grandissante de l’épouse et du mari devant cette "maladie" que la médecine, dont Bernard TREMEAU nous indique qu’elle est excellente, qu’elle a fait des progrès considérables et tout et tout, est incapable de traiter, pas même de "diagnistiquer" !

    Pour ma part, je dirai après cette "étude de cas" (comme on dirait à la HARVARD BUSINNES SCHOOl – où j’ai traîné mes guêtres juste le temps d’une étude de cas, rassurez-vous, ou à HEC, où j’ai fait un stage de 15 jours !) dont nous avons chacun au moins une demi-dizaine (pour être modeste!)(3) à citer,  QUE LA MEDECINE A ENCORE BEAUCOUP DE PROGRES A FAIRE, ET, NOTAMMENT, LA MENTALITE DE CEUX QUI LA PRATIQUENT, les praticiens comme les patients.

    Tant que l’on ne m’aura pas convaincu du contraire, vieux con je suis, vieux con je risque de rester encore longtemps pourvu que Dieu me garde de fréquenter les médecins autrement qu’en amis (4)

       Bon dimanche, bonne santé ! Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) Bizarre, mais je n’ai jamais entendu dire de quelqu’un que lui, ou un de ses proches, était soigné par un "petit" ou un "moyen" professeur. La France, on le sait, ne compte que de grands (et même savants) professeurs …. C’est peut-être pour cela que la Sécurité Sociale en crève !

    (2) je ne sais si le mot est juste car combien de médecins sont capables de faire un bon diagnostic, même pour des maladies courantes, sans s’entourer de tous les "progrès de la médecine moderne" ?

    (3) multiplié par l’ensemble des familles, cela doit faire un nombre impressionnant de patients qui de promènent pendant des mois, de spécialistes en spécialistes à la recherche de la maladie perdue de vue ..

    (4) non seulement j’en ai (pas seulement conservé), mais ma belle-fille est elle-même est médecin….

     

    30 novembre 2007 à 19 h 32 min
  • Anonyme Répondre

    Ah, Jean Claude, je l’attendais bien votre réaction!

    Explications, enfin sur la forme: Contrairement a ce que vous semblez insinuer, je ne vous ai PAS traité de c.. .
    J’ai d’abord utilisé le mot "comme un" ce qui VOUS exclut automatiquement du sujet, car ce n’est pas vous, puisque c’est "comme" un autre, qui LUI est le "con".  Ensuite, l’expression elle-meme, "Vieux con", est un terme en lui- meme, qui n’a pas a etre "décortiqué".  Votre expérience de la connerie, que vous venez de nous exprimer ( l’expérience, that is)  devrait vous confimer que "un con" et un "vieux con" sont deux entités différentes et, pour bien préciser, on peut etre un "vieux con" (ce que je n’ai pas écrit, encore une fois) sans etre un "con", et vice-versa. Cumuler les deux demande certaines dispositions. Voila. Tout le monde sait cela.
    Enfin, que les choses soient bien claires, personne, ne devrait vous manquer de respect, ni a personne d’ailleurs, et cela n’a jamais été mon cas, et ne le sera jamais.  Veuillez donc considérer qu’il n’y a aucun disrespect a votre égard, dans mon post, pas plus qu’envers la Vierge Marie.

    Par contre, ce que vous avez écrit, la haut, EST profondement IRRESPECTUEUX envers le corp médical. Dans ce cas, sorry, cela ne passe pas avec moi, et souffrez que je prenne leur défense, a ses pauvres thérapeutes, de la meme maniere que je prendrais la votre, si vous n’étiez pas la pour vous défendre vous-meme, dans une situation equivalente.

    Sur le fond, sur la médecine, sur le corp médical, vous avez tort, tort et tort, car avec leurs moyens, et avec un dévouement que vous ne semblez pas connaitre, et que je regrette de ne pas pouvoir vous montrer, ces gens-la sauvent des vies, et, comme je l’ai écrit plus haut a Son Altesse SAS, je déteste l’ingratitude, probablement le plus mesquin des défauts. Je revois encore les larmes coulant sur les joues de cette infirmiere quand elle a appris que un des patients est parti définitivement. 
    Mais, soyez rassuré, Jean Claude, 9/10 des commentateurs sont ou seront de votre coté, et je suis, une fois de plus, en minorité, mais sachez que je m’y sens bien mieux ,que d’etre un ingrat.

    Best,
    Mancney

    30 novembre 2007 à 2 h 32 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

     

    29/11/07    – "Les 4-Vérités"

    Bravo, GRUTKACK, pour cette légende (dont j’ignorais tout !). La mésaventure de cet homme condamné sans le vouloir à la "vieillsse éternelle" est la partfaite illustration de ce qu’est devenue la "vieillesse" à notre époque de progrès ou la Médecine, grâce aux "avancées" ( (1) techniques, ou technologiques, on ne cesse, année après année, de gagner sur la longévité. Sans se soucier de l’état de délabrement dans lequel nous aurons mis tous les poisons de la chimie alimentaire et/ou médico-pharmaceutique ainsi que les pollutions de la modernité…

    Si l’on se posait la question, la réponse serait  : c’est parce que, la vieillesse, comme la maladie (2) "FAIT VIVRE" des centaines de milliers de gens, et même permet à certains de faire fortune ! Alors, qu’importe que nous finissions en légumes, si cela permet à d’autres de "nous cultiver" dans leur jardin réservé sans se croire obligés de nous traiter "biologiquement" ? Ceci étant dit, je me demande pourquoi la Médecine officielle tolère, et même accepte de pratiquer l’avortement  –  pardon l’IVG !Combien de futurs clients de la médecine, des laboratoires, de l’ontologie, de la gérontologie, etc. périssent-ils ainsi AVANT MËME D’AVOIR TROUVE LE TEMPS D’ÊTRE MALADES ?

    Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) pourquoi ne cesse-t-on d’utliser ce barbarisme au lieu de "progrès", "améliorations", etc ?

    (2) je ne sais plus combien de personnes "fait vivre". J’entends par là non les "cancéreux" dont on prolonge (ou "sauve") la vie, mais ceux qui s’occupent d’eux !

    29 novembre 2007 à 15 h 23 min
  • Jean_Riz Répondre

    Au fond, ces commentaires sont rassurants : il reste quand même des gens raisonnables…
    Et même des miraculés !

    Bon, moi aussi, je peux dire que je dois la vie à la médecine. Que j’eusse été conçu 20 ans plus tôt, j’aurais fait un superbe mort-né, et ma mère avec ! Et après ? Je ne serais pas là à lire les génuflexions des aficionados qui idolâtrent une assemblées de quelconques qui se prennent pour des dieux, tout un faisant un maximum de blé au passage. Je hais la mafia médicale – terme que je ne suis pas le seul à employer, puisqu’un livre porte déjà ce titre. Et comme vous pouvez l’imaginer, c’est un ouvrage difficile à trouver ! Et si je hais la mafia médicale, c’est uniquement pour son côté mafieux justement, ce qui ne m’empêche pas d’aller voir un médecin si j’estime que cette démarche le mérite. Mais comme je suis un individu responsable, c’est moi qui décide si je dois ou non faire la démarche, ce n’est pas le mafieu !
    Autre chose : quand vous avez à faire avec cette caste affairiste, vous remarquerez qu’ils vous abaissent systématiquement en vous appelant "patient"… Quelle prétention ! Face à cette attitude méprisante et dégradante, ma réaction est toujours la même : "Vous tombez mal, je ne suis pas patient ! Mais alors, pas du tout patient ! Je suis un client, et vous vous êtes un prestataire de service, tout comme un garagiste ou un plombier ! Et encore, le plombier, lui, il a devoir de résultat, le médecin, non".
    Généralement, ça les calme assez rapidement ! Répliquer que des médecins sont parfois condamnés n’infirme pas mon propos, bien au contraire : les médecins sont parfois condamnés (souvent par étalage publicitaire – illusion de sérieux, on fusille pour l’exemple) pour faute, jamais pour "erreur de diagnostic"; et encore moins pour "résultat non conforme à l’engagement du devis". Et leur phrase clé est toujours la même, après ordonance : « Et si ça ne s’arrange pas, revenez me voir dans 8 jours » ! Gratuitement bien entendu, c’est le SAV !

    Il y a quelques années, être médecin de campagne relevait du véritable sacerdoce, maintenant c’est une grosse envie de pognon, et de préférence en sévissant en ville, et nettement au sud de la Loire ! Et probablement aussi un attrait incontestable pour le titre : n’est-ce pas jouissif de s’entendre appeler « docteur » quand on va acheter sa baguette ? Pur moi, le titre de « monsieur » suffit largement, et ils ne sont jamais gratifiés d’un autre, qu’ils soient avocat, médecin, notaire, ou curé. J’ai trop de respect pour l’Homme pour accorder une quelconque importance aux titres ronflants qu’il a eu la vanité de s’inventer.

    Les progrès faussement attribués à la médecine sont presque tous des progrès globaux, dans moult domaines, et surtout techniques. L’opérateur peut maintenant explorer et voir des choses que ses prédécesseurs ne pouvaient même imaginer : c’est donc bien un progrès technique, pas vraiment médical. De même pour la recherche médicale, si elle a bien évolué, c’est que des techniciens sans titres ont réussi à créer des machines ou des appareils susceptibles de développer la recherche. Notez aussi au passage que le budget « marketing » d’un laboratoire pharmaceutique est en général beaucoup plus élevé que son budget « recherches ». Je n’ai pas de chiffres, ils sont du reste un peu différents d’une boîte de pilules à l’autre, mais le triple ou le double ne paraît pas exagéré.

    Au risque de me répéter, je persiste à penser que le véritable progrès médical viendra le jour où ces prétentieux réaliseront qu’ils s’occupent d’Humains. Leur position est certainement trop confortable pour qu’ils envisagent sérieusement ce progrès … psychologique.

    29 novembre 2007 à 12 h 29 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    29/11/07    – "Les 4-Vérités"

    MANCNEY : Vous m’écrivez : "C’est simplement dégueulasse d’écrire ça ! Jean-Claude, vous écrivez parfois(1) comme un vieux con !"(2) (fin de citation).

    CON…cernant la Médecine, j’ai l’habitude ! Nous vivons une époque ou l’on a le droit d’insulter la Religion chrétienne, le Christ, la Vierge Marie, et bien entendu les chrétiens, mais pas l’islam et le judaïsme, soeurs jumelles) et ENCORE MOINS CETTE NOUVELLE RELIGION QU’EST DEVENUE LA MEDECINE et, bien entendu, pas davantage ses fidèles serviteurs dès lors qu’ils obéissent aux ukases de l’ORDRE DES MEDECINS (4). Gardez vos CON…victions, je maintiens mes critiques !

    VIEUX CON  JE SUIS, VIEUX ( de plus en plus, hélas ! ) CON (de moins en mois, je l’espère !) , JE RESTE ! Que Dieu vous garde, de la médecine officielle, sinon des médecins ! CON … gratulations !

    Cordialement à vous-même, comme, bien sûr, à toutes et tous, Jean-Claude THIALET

    P.S. Je ne résiste pas à vous livrer cette citation de Frédéric DARD (le père de San Antonio, dont le vocabulaire a été étudié dans une Université à CHICAGO) :

    "Si LES CONS pouvaient voler, le ciel en serait obscurci !".

    Hélas ! si je suis CON (ce qu’à Dieu ne plaise !), je ne vole pas. Pas même dans les Caisses de l’ETAT!

    (1) "parfois "seulement ? Merci pour la restriction !

    (2) ayant 77 ans (j’ai passé, donc, l’âge de lire TINTIN, mais non, j’imagine de le RElire !) (3), j’accepte le "vieux". Quant au "con", je vous laisse, dans le secret de votre CON… science, le soin d’apprécier lequel de nous deux est  – parfois, ou le plus souvent –  (jeune ou vieux) CON !

    (3) avec un possible dilemne : que se passera-t-il si, sous la pression du lobby anticolonialiste qui veut faire dispararaître jusque dans nos Musées (voir avec la "Cité de l’immigration") et dans nos livres, le moindre relent de colonialisme, ON DECIDAIT D’ECRIRE UNE VERSION EDULCOREE DE "TINTIN AU CONGO" ?

    (4) un "ORDRE DES MEDECINS" que l’on doit au Gouvernement du Maréchal Pétain. Ce qu’il n’a pas fait de mieux. L’étonnant étant que ce sont les mêmes qui dénoncent la "dictature" de ce Gouvernement et qui défendent avec becs et ongles ce même "ORDRE" lui-même très … dictatorial … Insondables mystéres de l’âme humaine !

    29 novembre 2007 à 11 h 10 min
  • grutjack Répondre

      J’ai oublié le nom de ce personnage de la mythologie antique qui avait obtenu des dieux la vie éternelle, mais qui avait oublié de leur demander également la jeunesse éternelle. Il vieillissait et vieillissait, devenait chaque jour plus malade et plus moche, si moche qu’il finit par se suicider. Ce personnage pourrait être emblématique de la médecine actuelle, qui n’essaye plus de guérir, mais veut "sauver des vies" à tout prix. Mais à quoi bon ? A quoi bon maintenir "en vie" un homme plongé dans un coma irréversible pendant un an, deux ans, seize ans… Remarquons que ce genre de "miracle" n’est possible qu’à une faible échelle, car si l’on devait maintenir en vie tous les moribonds, toutes les ressources de l’Etat n’y suffiraient pas. Ceci souligne le côté théatral, spectaculaire du progrès médical. On fait des efforts inouïs pour sauver UN individu, mais la santé moyenne de l’humanité ne s’améliore pas. Il y a soixante ans, le SIDA n’existait pas et l’OMS nous annonce pour bientôt une pandémie qui laissera loin derrière elle la grippe espagnole. On vaccine à tour de bras les nouveaux-nés du monde entier sans se soucier de l’énorme catastrophe qui se produira lorsque l’accroissement continu de l’humanité sera devenu intolérable.   C’ est vrai que la médecine réussit des exploits qui auraient été impensables il y a cent ans. Mais c’est l’avant-garde d’une société déboussolée qui ne sait plus très bien ce qu’elle fait.

     

     

    29 novembre 2007 à 5 h 00 min
  • Anonyme Répondre

    J.C. Thialet : " (…) les patients, comme on dit sans doute à cause de la patience dont ils font la preuve aussi bien face à la maladie qu’aux errements de leurs médecins"

    C’est simplement dégueulasse d’écrire ca! Jean Claude, vous écrivez parfois comme un vieux con!

    Best,

    Mancney

    28 novembre 2007 à 22 h 55 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    28/11/07    – "Les 4-Vérités"

    Je crains que  – en toute bonne foi, certes – le Docteur Bernard TREMEAU ne se soit aventuré sur un sujet dont il peut   –  certes à juste titre – se croire mieux informé que la moyenne des lecteurs des "’4-Vérités" – qui prête à mille controverses.

    Depuis qu’elle s’est placée sous le joug de Gallien, et de Pasteur, et des laboratoires pharmaceutiques qui sont derrière, la médecine n’a cessé de perdre de vue que le patient était UN ÊTRE NON SEULEMENT DIVIN, MAIS UNIQUE. En perdant tout le sens du diagnostic qui faisait généralement la différence entre un "bon" et un, disons "médiocre" médecin, en ne se fiant plus qu’aux analyses, aux examens, aux radios, IRM, etc. pour distribuer toutes sortes de pillules ou de médicaments, en renvoyant de plus en plus leurs clients à des spécialistes, les médecins d’aujourd’hui ont perdu de vue l’enseignement d’Hippocrate, le NON NOCERE qui, à l’égal d’un prêtre de chez nous, les sanctifiait en quelque, sorte, leur donnait une sorte d’aura divine…

    Je me demande d’ailleurs pourquoi on continue à leur faire prêter le fameux "SERMENT D’HIPPOCRATE" (d’aucuns disent "serment d’hypocrite" !), au lieu du serment de GALLIEN, et même, pourquoi pas ? de PASTEUR.

    Et si, comme nous l’assure avec une sincérité évidente, Bernard TREMEAU, la médecine n’a cessé de progresser, ce serait plutôt les techniques mises en oeuvre par la recherche, par les laboratoires, etc. plutôt que la Médecine proprement dite. La preuve, c’est que les malades  – les patients, comme on dit sans doute à cause de la patience dont ils font la preuve aussi bien face à la maladie qu’aux errements de leurs médecins (1) – sont de plus en plus souvent malades, qu’ils se sentent de moins en moins bien portants,  et de plus en plus empoisonnés par les médicaments qu’on leur faire ingurgiter à la mondre anicroche, de plus en plus souvent victimes d’effets interractifs. Sans que, j’en conviens – les  statistiques mettent en chiffres les effets pernicieux de médicaments qui prétendent vous "guérir" d’un mal, alors qu’ils en provoquent, à plus ou moins long termes, certes, des tas d’autres bien plus pernicieux. Notamment ces maladies de dégénérescence dont on vous assure gravement qu’elles sont normales à partir d’un certain âge.

    Sagement, Bernard TREMEAU ne traite pas des "bienfaits" des vaccinations auxquelles   – enfonçons-nous bien cela dans le crâne disent les vaccinalistes à tous crins  – l’humanité doit l’éradication de maladies telles que la tuberculose, la typhoïde, le choléra, la polyomiélite, etc. Je me bornerai à lui opposer  – ce qui fera la  transition entre la "médecine médicamenteuse" et la "medecine vaccinaliste" (les deux vont généralement de pair !) –  une paraphrase de PIE XII : je me méfie de cette médecine de troupeau qui empoisonne les malades et de cette politique vaccination qui finit par rendre malades les bien portants. Tout cela pour le plus grand profit des laboratoires, et la faillute programmée de la Sécurité Sociale qui, au lieu d’enseigner à ses assurés les règles de l’hygiène naturelle de santé, les laisse être abreuver de  campagnes de publicité qui les incitent à "consulter", "consulter" en "reconsulter",… au cas où, notamment en attirant leur attention sur des maladies qu’ils pourraient avoir, et dont parfois ils n’ont jamais entendu parler, sachant très bien, depuis le docteur Knock, "le bien portant est un malade qui s’ignore", et leur donnant en permanence l’inquiétude de ne pas être malades. Comme d’autres finissent par se croire impuissants ou frigides si ….

    Et  pour les fidèles qui ont une une foi à toute épreuve à l’égard des médicaments et des vaccins, et que mes propos rendraient sceptiques je conseillerai la lecture du livre "EN FINIR AVEC PASTEUR" (Collection Résurgence) écrit par le docteur Eric ANCELET,

    28 novembre 2007 à 21 h 06 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    28/11/07    – "Les 4-Vérités"

    Je crains que  – en toute bonne foi, certes – le Docteur Bernard TREMEAU ne se soit aventuré sur un sujet dont il peut   –  certes à juste titre – se croire mieux informé que la moyenne des lecteurs des "’4-Vérités" – qui prête à mille controverses.

    Depuis qu’elle s’est placée sous le joug de Gallien, et de Pasteur, et des laboratoires pharmaceutiques qui sont derrière, la médecine n’a cessé de perdre de vue que le patient était UN ÊTRE NON SEULEMENT DIVIN, MAIS UNIQUE. En perdant tout le sens du diagnostic qui faisait généralement la différence entre un "bon" et un, disons "médiocre" médecin, en ne se fiant plus qu’aux analyses, aux examens, aux radios, IRM, etc. pour distribuer toutes sortes de pillules ou de médicaments, en renvoyant de plus en plus leurs clients à des spécialistes, les médecins d’aujourd’hui ont perdu de vue l’enseignement d’Hippocrate, le NON NOCERE qui, à l’égal d’un prêtre de chez nous, les sanctifiait en quelque, sorte, leur donnait une sorte d’aura divine…

    Je me demande d’ailleurs pourquoi on continue à leur faire prêter le fameux "SERMENT D’HIPPOCRATE" (d’aucuns disent "serment d’hypocrite" !), au lieu du serment de GALLIEN, et même, pourquoi pas ? de PASTEUR.

    Et si, comme nous l’assure avec une sincérité évidente, Bernard TREMEAU, la médecine n’a cessé de progresser, ce serait plutôt les techniques mises en oeuvre par la recherche, par les laboratoires, etc. plutôt que la Médecine proprement dite. La preuve, c’est que les malades  – les patients, comme on dit sans doute à cause de la patience dont ils font la preuve aussi bien face à la maladie qu’aux errements de leurs médecins (1) – sont de plus en plus souvent malades, qu’ils se sentent de moins en moins bien portants,  et de plus en plus empoisonnés par les médicaments qu’on leur faire ingurgiter à la mondre anicroche, de plus en plus souvent victimes d’effets interractifs. Sans que, j’en conviens – les  statistiques mettent en chiffres les effets pernicieux de médicaments qui prétendent vous "guérir" d’un mal, alors qu’ils en provoquent, à plus ou moins long termes, certes, des tas d’autres bien plus pernicieux. Notamment ces maladies de dégénérescence dont on vous assure gravement qu’elles sont normales à partir d’un certain âge.

    Sagement,

    28 novembre 2007 à 17 h 47 min
  • Hervé Répondre

    C’est surement pas à cause du comité d’éthique en France que le monde a fait des progrès au sujet des cellules souches. Et c’est bien à cause du fanatisme de ayatollahs du genre professeur Testart ou Alex Kahn ou Mattei que l’on est tellement en retard dans ce domaine. Ces trois prof. n’ont pas arrêter de mettre un frein à cette recherche.
                     En France on se croit seul au monde on se croit le phare de l’univers et parce que l’on opte pour une position on s’imagine que tout le monde va suivre. Que d’illusions les frontières étant ouvertes le monde est libre et ne s’occupent guère des positions ringardes des français

                                 Louis

    28 novembre 2007 à 17 h 15 min
  • Anonyme Répondre

    Et bingo, les commentaires sympas:  ca y va les critiques, ca y va l’ingratitude. Surtout ne pas dire Merci, hein?
    Ton Altesse, je prie Dieu que tu n’aies jamais besoin de la médecine.
    En ce qui me concerne, et bein que je deteste les exemples perso, je t’annonce que je lui dois la vie, a la "médecine moderne".  Et tous les jours, absolument tous les jours, j’ai une pensée de remerciements pour les chirurgiens et autres praticiens qui m’ont permis de prolonger ma vie et de pouvoir t’écrire que je déteste l’ingratitude et les ingrats.  Bande de Clowns!

    Best,

    Mancney

    28 novembre 2007 à 16 h 31 min
  • sas Répondre

    La medecine a surtout enrichit quelques laboratoires et ces m^mes actionnaires……..crée un monopole de fait ruineux  et combinard…..: le securité sociale…..dont les turpitudes et les colossales dépenses produisent plus de méfaits que de bienfaits……elle a rendu dépendente nombre de nos citoyens…..appauvrissant autant leur porte monnaie que leur organisme……elle a certainement prolongée provisoirement la vie , mais en revanche aura su affaiblir la résistance humaine , en inhibant les défenses immunitaires naturelles et habituant le corps à de plus en plus de produits néfastes…..la encore l’avenir nous dira si c’est une évolution ou une involution……Quand à l’impact sur la démographie et l’environnement…….triste perspective

    les vaccinations obligatoires en furent un vecteur….à l’insue de notre plein gré

    sas

    28 novembre 2007 à 12 h 11 min
  • Jean_Riz Répondre

    C’est bien tout ça !
    L’auteur oublie de dire aussi combien la médecine tue (plus que la route) : incompétences médicales, erreurs, légèretés, profits prioritaires. La médecine ne guérit pratiquement jamais : au mieux, elle stoppe ou ralentit la maladie. L’auteur ne parle pas de la mafia médicale et des docteurs Knock, ce n’est du reste pas le propos de l’article.
    L’auteur ne parle pas non plus d’une autre approche qui consisterait à rester plutôt en bonne santé au lieu d’essayer de soigner des maladies, que ce soit par des traitements souvent coûteux et inadaptés, ou des techniques douteuses comme les greffes d’organes. Il est vrai que pour les médecins, le terrain concerne des machines et des maladies. Le vrai progrès viendra sans doute le jour où ils s’apercevront qu’ils ont à faire avec des Humains.
    Le diagnostic prénatal : On aurait presque envie de rire si la chose n’était pas aussi grave, aussi catastrophique ! Certes, la mortalité infantile a disparu, mais le nombre des enfants prématurés, handicapés, malformés, incomplets, anormaux, malades, idiots n’a jamais été aussi important. Si l’auteur avait un tel fardeau à porter, peut-être verrait-il les choses autrement et rangerait humblement son optimisme inconscient au vestiaire des inepties.
    Enfin, le clou de l’article : la vie éternelle ! Celle promise par toutes les religions ! LE délire…
    Sachant que la poussée démographique croit d’une manière exponentielle, il faut vraiment être dépourvu de raison pour ne pas se rendre compte que, très vite, la planète Terre ne pourra jamais supporter ce poids impossible ! Et les super taxes carbones et autres âneries dites écologiques n’arrangeront rien, si ce n’est d’augmenter la misère un peu plus rapidement. Enfin, toutes les religions n’invitent-elles pas à croire aux miracles ?….

    Merci pour votre articlle Monsieur Aldous Huxley, nous sommes bien dans le meilleur des mondes….

    28 novembre 2007 à 9 h 56 min

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