La secte redoutable des anti-OGM

La secte redoutable des anti-OGM

En 2002, les Académies des Sciences, de Médecine, et de Pharmacie réunies avaient conclu leurs longs travaux sur les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) par un rapport précis. Les aliments issus des OGM ne mettaient pas plus en danger la santé des Français que les aliments issus d’autres plantes ou animaux. D’ailleurs, tout ce que nous mangeons depuis des millénaires n’est qu’organisme génétiquement modifié. Seule la technique de modification des gènes a changé. Autrefois, c’était le paysan dans son champ qui le faisait. Depuis une vingtaine d’années, c’est le chercheur dans son laboratoire.
En juillet 2004 l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA) arrive exactement aux mêmes conclusions que le rapport des Académies. Les aliments OGM ne sont pas plus dangereux pour la santé, que les autres.
Dans tous les pays développés du monde, et sans exception, on est arrivé aux mêmes conclusions, et les Américains mangent depuis des années, sans complexe et sans dommage, du maïs OGM.
Les avantages des OGM sont évidents, aveuglants. Ils permettent à un paysan indien de produire maintenant deux fois plus de riz qu’avant. Ainsi, malgré une forte augmentation de la population, les Indes sont sorties de la famine grâce au riz OGM. Ils permettent à un paysan brésilien de cultiver un maïs OGM qui n’a plus besoin d’être traité plusieurs fois avec des pesticides polluants et dangereux. Ils permettent à un éleveur écossais d’élever un troupeau de brebis dont le lait contient des médicaments traitant, à peu de frais des maladies jusque-là mortelles. Ils permettent à des laboratoires français de faire fabriquer par des bactéries une insuline parfaitement bien tolérée et peu coûteuse, etc, etc, etc.
Les avantages que l’humanité peut tirer des OGM sont immenses. Ses inconvénients sur la santé ne sont pas démontrés et semblent inexistants. Cependant, chaque fois qu’un laboratoire crée un nouvel OGM, il est de son devoir d’en rechercher les éventuels inconvénients. Des plantations expérimentales d’OGM sont donc nécessaires.

Les OGM
que nous mangerons viendront
de l’étranger


Mais en France il existe une chapelle, une secte, regroupant quelques centaines d’adeptes. Ils ont pour gourou un moustachu, José Bové, rejoint par un autre moustachu, Noël Mamère. Ils affirment que l’humanité court à sa perte en utilisant les OGM. Ils veulent donc la sauver en s’opposant aux OGM. Comme les arguments qu’ils avancent ne sont pas crédibles et ne mobilisent pas les foules, ils sortent du comportement démocratique et utilisent la violence pour attirer l’attention sur leurs idées. Ils détruisent les laboratoires expérimentant en France les OGM, cassent quelques ordinateurs ou arrachent les plants d’un champ expérimental. Ils se moquent totalement de la famine qui tuait des millions d’Indiens avant les OGM.
Le Président de la République, en mettant le principe de précaution dans la Constitution, pensait répondre à un souci sécuritaire des Français. Il a malheureusement mis en place, sans aucune violence et démocratiquement, une machinerie juridique qui va bouter hors de France toute la recherche appliquée. Nous consommerons en France des produits nouveaux conçus et fabriqués à l’étranger.
José Bové est le contraire d’un démocrate. C’est un violent, un fasciste qui pense répondre au souci sécuritaire des Français en cassant la recherche scientifique sur les OGM. Il fait fuir hors de France les laboratoires faisant de la recherche sur les OGM. Grâce à lui, nous mangerons des OGM venant de l’étranger.
Le souci sécuritaire des Français a poussé Jacques Chirac et José Bové à empêcher les entreprises françaises d’innover, alors que seule l’innovation est capable de satisfaire à ce souci sécuritaire. Nous sommes tous tombés sur la tête.
Bonnes vacances. Mais méfiez-vous du soleil !…

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Comments (30)

  • Guillaume Répondre

    C’est un bon article même s’il manque d’objectivité : Il développe cependant les bienfaits des OGM et leurs pour l’instant non prouvée mais probable dangerosité

    14 janvier 2007 à 11 h 55 min
  • Pauline Répondre

    NOUS MANGEONS DES OGM DEPUIS DES MILLéNAIRES!!!?? je ne pense pas qu’il y a 200ans on savait mettre un gène de porc dans une plante!!! les ogm existent depuis une dizaine d’année seulement!! et comment pouvez dire que les ogm sont innofensifs pour la santé, alors que nous n’avons pas pris assez de recul avec le temps pour affirmer cela!! nous venons recemment de decouvrir que certains medicaments utilisés depuis 30ans, sont dangereux pour la santé!! ils viennent d’être retirés du marché!! alors mefions nous de ces apprentis sorciers!!

    9 janvier 2005 à 18 h 41 min
  • Pierre Répondre

    Tous les anti OGM sont ils foncièrement mauvais ? Voila la question qu’il faudrait avoir l’honneteté de se poser plutot que de stigmatiser ce phénomène autour d’une mouvance gauchisante. Un peu comme si les OGM étaient une question de gauche ou droite. Le danger vient de l’ultralibéralisme américain qui n’a pas peur de poser des actes mauvais afin d’en retirer quelquechose de “bon”.Le pari est risqué. Soyons pondérés et faisons usage du principe de précaution en prenant soin de ne pas se faire manipuler par les USA. Pierre

    3 septembre 2004 à 18 h 15 min
  • Didier Répondre

    Bravo Nadim, toutes mes félicitations ! Vous avez réussi à “occuper le terrain” sans trop forcer. Il aurait été plus honnête de mentionner le site d’où provient ce copier-collé. Mais je vous comprends, ce n’est peut-être pas avouable du point de vue de l’objectivité. Ce texte est un bel exemple de propagande marxiste à y regarder de près. Le procédé de désinformation est toujours le même, directement hérité des pratiques soviétiques du bon vieux temps. Des vérités tronquées, on supprime tout ce qui dérange… Des allégations sans fondements, vous procédez par affirmations péremptoires mais vous ne démontrez rien. Pas de sources vérifiables pour étayer vos propos (ou plutôt celui de l’auteur réel de cet article !) En effet c’est toujours ” d’après un scientifique de l’université du Manitoba “… Qui donc et quelle compétence ? Ou encore ” Certains médias se sont scandalisés de ” Lesquels et pour quelle ligne éditoriale ? Vous voyez, vous avez du chemin à faire vers la vérité et l’honnêteté si vous voulez convaincre… Il vous faudra devenir intelligent… Ce sera dur car vous avez sur les épaules tout un héritage culturel, celui de Lénine qui déclarait: “- Le mensonge est révolutionnaire”.

    27 août 2004 à 10 h 48 min
  • Nadim Répondre

    L’opposition aux organismes génétiquement modifiés (OGM) repose sur plusieurs constats : le caractère irréversible de la pollution environnementale qu’ils peuvent provoquer ; la volonté d’une poignée de grandes entreprises de contrôler des marchés potentiellement gigantesques ; la tentative de mainmise des intérêts économiques et politiques américains sur l’Europe et sur le reste du monde, avec le soutien actif de la Commission européenne. La culture commerciale des OGM s’étend rapidement. En 2000, quelque 45 millions d’hectares étaient plantés dans le monde, les Etats-Unis représentant 68 % de ce total, l’Argentine 23 %, le Canada 7 % et la Chine 1 % (1). Le maïs et le soja couvrent plus des quatre cinquièmes de ces surfaces, le colza, le coton et les pommes de terre venant assez loin derrière. Le chiffre d’affaires annuel du marché mondial des semences s’élève à plus de 45 milliards d’euros, mais 80 % des agriculteurs, surtout ceux du Sud, n’ont pas encore renoncé à les conserver d’une année sur l’autre et à les échanger avec des voisins au lieu de les acheter. Les transnationales des semences visent donc une triple expansion : géographique, variétale et commerciale. Leur domaine d’intervention dépasse les seules semences : elles produisent et commercialisent également herbicides et pesticides, et parfois produits pharmaceutiques. Monsanto, Syngenta, Aventis, DuPont, Dow et quelques autres géantes du secteur sont toutes issues de fusions et d’acquisitions créatrices de synergies internes. Elles s’autodésignent comme entreprises des « sciences de la vie », mais leur objectif est de breveter à la fois les gènes, les semences et toutes les technologies qui leur sont associées afin de s’assurer rien moins que le contrôle effectif de l’agriculture mondiale. Aux Etats-Unis, avant de mettre une nouvelle variété OGM sur le marché, les firmes doivent obtenir l’aval du département de l’agriculture (USDA). Sur 87 demandes de « nouvelles variétés » qui lui ont été soumises depuis 1992, Monsanto (qui a fusionné avec Upjohn, Calgene, DeKalb et Asgrow) en a déposé 45, soit plus de la moitié. Les deux géantes suivantes, Aventis (qui a absorbé AgrEvo et Plant Genetic Systems) et Syngenta (qui en a fait autant avec Ciba, Novartis, Northrup et Zeneca) ont déposé respectivement 18 % et 9 % des demandes. Si l’on ajoute les deux firmes suivantes (DuPont et Dow), on constate qu’aux Etats-Unis cinq entreprises contrôlent presque les neuf dixièmes des semences OGM, ainsi que les pesticides et herbicides qui leur sont associés, avec Monsanto en leader absolu. Pour cet oligopole, tous les moyens sont bons pour combattre les opposants aux OGM. « Absolument impossible à contrôler » Deux chercheurs de l’université de Californie à Berkeley, David Quist et Ignacio Chapela, l’ont appris à leurs dépens après avoir publié, en novembre 2001, un article dans la prestigieuse revue Nature (2). Ils y annonçaient des traces de maïs OGM détectées dans les variétés de maïs mexicains indigènes. C’était déjà très grave, car le Mexique est le berceau mondial du maïs ; pour protéger ce patrimoine génétique irremplaçable, le gouvernement a décrété, en 1998, un moratoire sur la culture du maïs OGM, ce qui n’empêche d’ailleurs pas des firmes biotechnologiques de posséder encore de nombreux champs expérimentaux un peu partout dans le pays. Mais les deux chercheurs affirmaient aussi que l’ADN génétiquement modifié s’est fragmenté et s’est déplacé de manière imprévisible dans le génome du maïs local atteint. Si personne ne pouvait contester la première affirmation – la contamination -, la seconde constituait une véritable bombe mettant en cause la propagande de l’industrie biotechnologique, qui prétend que les gènes ne se déplacent jamais de l’endroit précis où ils ont été introduits dans le génome. La guerre était déclenchée. En 1997, Monsanto avait failli se retrouver acculée à la faillite à cause de sa campagne agressive en faveur des OGM. Pour ne plus commettre les mêmes erreurs, elle s’était attaché les services d’une entreprise de relations publiques, le Bivings Group, spécialiste de la manipulation sur Internet. Cette officine orchestra en catimini une campagne sur la Toile afin de dénigrer les chercheurs de Berkeley. Elle recruta des scientifiques liés à l’industrie pour contester leurs travaux et alla jusqu’à utiliser des individus fictifs pour envenimer le débat (3). Cette campagne virulente porta ses fruits et aboutit à la décision sans précédent de Nature de désavouer la publication de l’article incriminé. A ce jour, la revue n’a pas publié les résultats des travaux de chercheurs mexicains qui ont corroboré à plusieurs reprises ceux de leurs collègues de Berkeley. Contrairement aux Académies des sciences et de médecine françaises (4), la British Medical Association et la Royal Society britannique, comme beaucoup d’autres chercheurs indépendants, se sont penchées sur les dangers de la culture des OGM en plein champ (5). Il est désormais établi que les échanges de pollen entre OGM et plantes cultivées ou sauvages sont courants. Selon la culture et son type de pollinisation, cette pollution s’étend bien au-delà des limites officielles fixées pour « protéger » les champs voisins ; elle contamine d’autres espèces, et pas seulement celles qui en sont génétiquement les plus proches. Si les essais d’OGM en plein champ se généralisent, nous savons que la contamination rendra très vite impossible la culture biologique. C’est se fermer une voie vitale et économiquement prometteuse pour l’avenir ; c’est aussi refuser à l’agriculteur la liberté de choix. On sait également que les OGM, conçus pour résister aux herbicides et aux pesticides, provoquent l’évolution de super-mauvaises herbes et de super-prédateurs. Ils peuvent envahir le patrimoine génétique dont l’agriculture dépend et en réduire la variété. Bref, la culture d’OGM, si elle ne se fait pas en milieu confiné, constitue une grave et irréversible irresponsabilité écologique. Ainsi au Canada, où la production commerciale du colza OGM a débuté il y a six ans à peine, le Centre de recherche du ministère de l’agriculture, à Saskatoon, peut affirmer que « le pollen et les semences se sont tellement éparpillés qu’il est désormais difficile de cultiver des variétés traditionnelles ou organiques de colza sans qu’elles soient contaminées ». On en est arrivé à une situation où, pour tenter d’enrayer les critiques, Monsanto a dû proposer aux agriculteurs canadiens d’envoyer des équipes pour arracher manuellement le colza OGM qui envahit des champs où il n’a jamais été semé. Sélectionné pour résister aux herbicides, il est devenu « absolument impossible à contrôler », d’après un scientifique de l’université du Manitoba (6). Bref, les entreprises des « sciences de la vie » procèdent comme si Darwin n’avait jamais existé ; comme si la résistance des organismes vivants aux pesticides et aux herbicides n’augmentait pas de génération en génération ; comme si l’on n’avait pas connu l’expérience désastreuse du DDT. C’est un nucléaire biologique qui produira fatalement ses Tchernobyl. La mise en culture d’OGM serait-elle alors justifiée par des gains économiques, ne serait-ce qu’à court terme ? Même pas. Malgré des subventions atteignant plusieurs milliards de dollars, les agriculteurs américains qui se sont lancés dans cette aventure ont non seulement perdu beaucoup d’argent, mais ont dû faire face à des infestations végétales ultrarésistantes (7). Les seuls et uniques bénéficiaires des cultures OGM sont les grandes firmes de la biotechnologie et leurs soutiens politiques aux Etats-Unis et en Europe. Les affamés ont-ils le droit de faire la fine bouche ? Certains médias se sont scandalisés de l’attitude de la Zambie, qui a refusé du maïs contenant des OGM fourni par le programme d’aide alimentaire américain. Ces médias ont toutefois omis d’expliquer que les paysans zambiens auraient immanquablement gardé une partie de cette aide – fournie en graines – pour leurs semailles (si le maïs avait été moulu, ou pouvait l’être par le gouvernement, le problème ne se serait pas posé). Les Zambiens voulaient tout simplement éviter une pollution irréversible de leurs cultures afin de continuer à pouvoir exporter vers l’Union européenne. L’aide alimentaire américaine est rarement fournie sans arrière-pensées commerciales. Même si un petit pays africain n’est pas à négliger, l’Europe demeure le marché privilégié pour les produits OGM, notamment pour le maïs et le soja. En 1999, l’Union européenne a mis en place un moratoire contre les importations d’OGM (8) et, depuis, les Etats-Unis menacent de la traduire devant l’Organe de règlement des différends (ORD) de l’Organisation mondiale du commerce (OMC), ce qui constituerait aussi un avertissement pour les pays qui, comme le Brésil et le Mexique, ont adopté une démarche similaire. Mis en sourdine pour ne pas donner d’armes aux partis Verts lors des élections françaises et allemandes de 2002, le débat est désormais monté jusqu’au Bureau ovale de la Maison Blanche (9). L’agriculture biologique paiera Après avoir dénoncé comme « immorales », en janvier dernier, les mesures européennes et annoncé son intention de saisir l’ORD, M. Robert Zoellick, représentant du président des Etats-Unis pour le commerce international, avait dû faire machine arrière, le département d’Etat et l’entourage de M. Bush ne voulant pas ouvrir un front supplémentaire avec les Européens en pleine crise diplomatique au sujet de l’Irak. Ces tergiversations avaient été fort mal reçues au Congrès où le président de la commission des finances du Sénat, élu de l’Etat agricole de l’Iowa, M. Charles Grassley, invoquant les 300 millions de dollars de ventes perdues en Europe, déclarait, début mars, que « le statu quo dans ce domaine est totalement inacceptable » et que « le gouvernement doit faire quelque chose et le faire vite » (10). Les désaccords au sein de l’exécutif américain portent uniquement sur la méthode et nullement sur l’objectif : ni moratoire ni règles sur la traçabilité et l’étiquetage. Si la voie de la diplomatie reste encore ouverte, c’est aussi parce que Washington décèle des signes encourageants au sein de la Commission européenne. On sait M. Pascal Lamy, commissaire chargé du commerce, farouche partisan, et de longue date, de la levée du moratoire. Il estime que, du point de vue européen, il peut être remplacé par des règles sur la traçabilité et l’étiquetage, susceptibles, selon lui, d’être acceptées par l’OMC. Une fois ces règles en place, la Commission pourrait attaquer devant la Cour de justice de Luxembourg les Etats membres qui refuseraient alors de lever le moratoire. C’est en particulier ce que laisse entendre le commissaire à l’agriculture, M. Franz Fischler, en s’adressant à ses partenaires américains : « Je peux réellement vous assurer que nous, à la Commission, ferons tout pour démontrer que nous parlons sérieusement quand nous disons que nous sommes en faveur des biotechnologies (11). » M. Fischler est effectivement capable de « tout » faire pour les OGM. A preuve, les effarantes réflexions sur la « coexistence » entre cultures génétiquement modifiées et agriculture conventionnelle et biologique qu’il a présentées le 6 mars à ses collègues de la Commission et qui doivent servir de base à une table ronde, prévue le 24 avril, avec toutes les parties intéressées. Au mépris de toutes les données connues formulées par des sources indépendantes des industriels, notamment celles rappelées plus haut, le commissaire considère que cette « coexistence » n’est pas un problème environnemental, mais soulève seulement des questions juridiques et économiques. En substance, il pense que c’est aux agriculteurs non OGM de prendre à leur charge les mesures de protection contre les risques de contamination des cultures OGM : ce ne serait donc pas au pollueur de payer, mais au pollué… Et, invoquant le principe de subsidiarité, M. Fischler écarte la possibilité de toute législation communautaire contraignante. On reste confondu devant une telle obstination dans la défense des transnationales américaines de la part de la Commission dite « européenne ». Et l’on se prend à penser que la lutte contre ce complexe politico-génético-industriel devient véritablement une oeuvre de salubrité publique. Susan George

    26 août 2004 à 13 h 31 min
  • A Heurtebise Répondre

    Comme beaucoup, je regrette le manque de rigueur de l’article. Au sujet de l’inocuité des OGM, il est toujours facile de partir du principe que les OGM ne sont pas dangereux tant qu’on n’a pas pu mesurer leur danger. C’était aussi l’argumentaire des partisans du Gaucho et du Régent qui ont décimé le cheptel de nombreux apiculteurs et dont les effets se feront encore longtemps sentir. (comme seront longtemps dans la nature les gènes OGM que le pollen aura disséminé). Aucune étude n’a réellement été faite sur les marqueurs antibiotiques qui accompagnaient les manipulations génétiques jusqu’à une époque récente. En revanche, toutes les variétés “Roundup ready”, qui encouragent l’utilisation du glyphosate contribuent assurément à la pollution des nappes phréatiques ou l’on retrouve maintenant quasi-systèmatiquement ce produit que Mansonto a si longtemps juré biodégradable. A voir les commentaires concernant cet article, il y a probablement plus de “quelques centaines d’adeptes” de la lutte contre les OGM, d’ailleurs si Chirac a introduit le principe de précaution, il y a fort à parier qu’il y trouve un intérêt électoral. Quant au paysan qui faisait des OGM dans son champs, quelle naïveté ! Depuis toujours, l’homme a au contraire été soumis à la nature et n’a pu qu’accompagner la sélection qu’elle opérait elle-même sans franchir les barrières d’espèces en sélectionnant ce que la pression du milieu avait pu produire. Au sujet de la famine combattue par les OGM, je n’en ai vu de sources que dans les prospectus de Monsanto et ses affidés, j’ai au contraire appris l’échec complet d’un riz manipulé, au Brésil je crois, où les paysans ont vu leur rendement baiser au bout de 3 ans nettement en dessous des semences classiques, les précipitant à la ruine d’autant plus sûrement que Monsanto les avait lié par un contrat d’exclusivité. Se prendre pour des Dieux et vouloir créer la matière parfaite est un vieux rêve des hommes.

    24 août 2004 à 22 h 21 min
  • Julien Répondre

    Chère Antonia (nina?) Absolument d’accord avec vos singeries, c’est l’utilisation d’un “mot compliqué qui fait chouette” qui vous a valu cette petite pique. Sans rancunes bien sur

    24 août 2004 à 19 h 38 min
  • Antonia Répondre

    Réponse à Julien, Pour le mot ‘oraganoleptique’ laissez tomber si ça vous parait trop compliqué. Ce qui d’avantage c’est que vous me traitiez de frimeuse, alors que je me contentais de singer Kakieuse (ou Catherine) deuxième commentaire ci-dessus.

    24 août 2004 à 9 h 52 min
  • Rosanov Répondre

    A l’attention de Kakiueuse. A vous lire, on se demande si le snobisme prend le pas sur la mauvaise foi ou si c’est plutôt l’inverse. Il y a 4 ans j’ai gagné une croisière sur le plus grand paquebot du monde, bateau de nationalité américaine et basé à Miami. Si tout était parfait sur le plan de l’organisation et du décors, je vous avoue qu’au niveau des repas il me tardait bien de retrouver la France, ne serait-ce que pour ma cantine d’entreprise. Pour votre gouverne, je suis mince (puisque c’est un critère de bienséance pour votre esprit rétréci par le snobisme), je bois peu et j’ai horreur du tabac. Tout ça ne m’empèche pas d’étre un bon Français. Et enfin je ne frime pas, comme vous.

    24 août 2004 à 9 h 46 min
  • Guillermo Répondre

    A OLAC. Si on me fout des éoliennes, je suis plus que d’accord. Si l’on me fout de la nourriture bio, je suis tout aussi d’accord. A défaut de nourriture bio, je préfère une nourriture traitée avec des pesticides raisonnables plutôt qu’une bouffe OGM, laquelle n’a rien de naturel quoi qu’on en dise à coup de matraquage médiatique. Comme le dit “Alex” ci-dessus, les techniques naturelles n’ont jamais permis de croiser un grain de mais et une grenouille.

    24 août 2004 à 9 h 31 min
  • julien Répondre

    Je n’ai pas compris le mot “organoleptique” danns le post d’Antonina. ;-) Frimeuse

    22 août 2004 à 0 h 11 min
  • Christophe Pickettt Répondre

    “Les avantages des OGM sont évidents, aveuglants. Ils permettent à un paysan indien de produire maintenant deux fois plus de riz qu’avant.” N’importe quoi. Non les pays en voie de dévellopement sont réellements demandeurs de nouvelles semences plus résistante et a un meilleurs rendements. L’agriculture biologique c’est bien beau mais c’est un truc de bobo qui a les moyens de payer chers ses aliments mais quand vous devez nourrir des millions d’étres humains c’est autres choses. Si l’agriculture n’avait pas évolué les famines seraient encore plus terribles de part le monde. Parmi les anti ogm on ne retrouve AUCUN agriculteur sérieux, ceux ci savent tout le bien qu’il peuvent retirer de la recherche, l’anti ogm n’est qu’un petit bourgeois qui se fout des problémes de malnutrition ce qui ui importe c’est de trouver de si sympathique commerces ou l’on vend des produits “bio” a des prix prohibitifs. Mais de un tout le monde ne sait pas se payer de telles produits mis à part eux et quand bien lême ces producteurs bio ne seraient pas à même de produire des aliments en suffisance. Alors vive le progrés et merde à la secte des adorateurs de l’ancienne agriculture ou tout le monde crevait de faim.

    21 août 2004 à 20 h 34 min
  • T.Larger Répondre

    à l’intention de ceux et celles qui vantent l’alimentation américaine, je témoigne que j’ai passé l’an dernier 15 jours aux USA et que j’ai vécu l’alimentation américaine comme une atrocité; à la fin j’appréhendais les repas made in us comme une punition; mais ça n’a aucun rapport avec les OGM. J’avoue que pour ces derniers, je n’ai pas d’opinion arrétée, il peut y avoir de bons et de mauvais OGM. Quand à leur toxicité alimentaire, il faudrait vraiment etre C… pour produire des OGM à visée toxique. Les OGM les plus évidents et les plus anciens sont les vaccins, et en dehors de certains obtus, on ne peut nier leur interet dans la prévention et l’éradication de certaines maladies. Quant aux pesticides, pour en avoir manipulé quelques un, je peux vous dire que le foin fait récemment par le grand manipulateur José Bové, les plus récents sont très peu toxiques, ce n’est rien par rapport aux anciens qui étaient véritablement dangereux par ingestion, avec risques d’intoxication très grave à très court terme. Ceci ne me laisse plus guère d’illusions sur l’honnéteté du personnage.

    20 août 2004 à 22 h 58 min
  • OLAC Répondre

    – Vous mangez à longueur de journée des produits traitées avec des insecticides des pesticides et autres saleté. – Vous respirez tout un tas de gaz toxiques jours et nuits. – Les OGM vous éviteront pour la nourriture tous ces inconvéniants tout comme les éoliennes vous permettront de respirer de l’air pur. – Vous les éternels raleur pourquoi ne pas donner l’exemple en vous déplaçant avec des charettes et bourricots Et pour les pays pauvres, pourquoi ne travaillent ils pas un peu plus ?… Je mangerai des OGM c’est l’avenir Salut

    19 août 2004 à 4 h 18 min
  • Antonina Répondre

    A l’attention de Catherine, NH, USA. Merci pour votre fantastique carte postale. Tout comme HyPNOS LE BENET, je pense que je ne rève pas toute éveillée du beau rève américan. J’envisage moi aussi d’émigrer vers un pays où la mal-bouffe n’existe pas, où je pourrais taster les organoleptiques vins californiens ou chilliens, où je pourrais enfin vivre sainement et ne plus être obligée de manger du fromage gras qui pue; et être enfin mince et sexy comme toutes les Ricaines que l’on voit débarquer à Paris au mois d’Août dans leur basquet tout cleans. Si vous vouliez bien m’assister dans mes démarches et commencer par m’envoyer un plan de carrière ainsi que la liste des valeurs bousières succeptibles d’assurer mon nouveau standing. Réponse en deux exemplaires dans ma boite aux lettre : “[email protected]”. Thank.

    17 août 2004 à 15 h 04 min
  • N. Répondre

    On voit vien que les gauchos sont venu faire un tour… De façon détaillée vous nous dites ? Eh bien je préfère encore les infos vagues de cet articles que vos attaques insipides dans le genre *PUR MENSONGE* … Si vous aussi pouviez développer votre argumentation qui, je n’en doute pas, écrase amplement cette de ces horribles libéraux ici présents, vous pourriez peut-être essayer de nous convaincre. En attendant, à chaque nouveauté, on crache dessus, c’est Français (Européen ?) il faut croire. on a gueulé sur chaque nouvelle technique, technologie, etc… Les pesticides… Nous savons pour l’heure qu’il sont potentiellement dangereux cependant à une époque ils ont sauvé des millions de personnes de la famine et la population sauvée vaut bien plus que quelques personnes qui auraient pu souffrir de ces pesticides. Les OGM c’est le même et en plus on a le luxe de pouvoir faire plein de tests, d’analyses, de rapports, etc… Mais c’est vrai, n’oublions pas que ce ne sont pas les Français qui crèvent de famine et que manger des OGM serait un blasphème, une copie de ces affreux cowboys américains totalitaires assoifés de sang. Vous en avez pas marre d’avaler les salades génétiquement modifiées de France Télévision chaque midi ?

    16 août 2004 à 11 h 23 min
  • José Répondre

    Pas tant un problème de nocivité … Les arguments des militants anti OGM et de leurs sympatisants est à terme l’assujetissement brutal et irréversible du paysan; Ils redoutent un new deal économique au profit des pays riches imposant une planification mondiale des semances à base d’OGM; ils annoncent la réduction de la variété des espèces cultivées dans le monde (le riz par exemple) et la main mise des richesses naturelles vitales par les consortiums agro économiques (l’eau vivendi par exemple). Quelqu’un boit-il encore de l’eau du robinet? Si on arrivait à exploiter le sable, il n’y aurait bientôt plus de désert.

    14 août 2004 à 14 h 56 min
  • Gérard Répondre

    Cet article est doublement dangereux : Il fait croire que les OGM ne sont pas dangereux, alors que l’on saura cela dans 50 ans au plus tôt. Eh oui il faut du temps à l’homme pour se reproduire. Les expériences génétiques n’ont pas d’impact visible à court terme, mais à long terme. Il traîte de faschos des personnes qui vont jusqu’au bout de leurs convictions. Mais alors vous qui allez plus qu’au bout de vos pensées : vous êtes des super-fascos alors ? Les 4 vérités donnent à réfléchir. Sur leurs conneries surtout !

    13 août 2004 à 18 h 49 min
  • Magalie Répondre

    Lola, je sais bien que ce sont aux pays riches de faire avancer la recherche car ils en ont les moyens. Je n’ai absolument pas critiqué le fait que la France s’investisse dans la recherche, y compris bien entendu dans le domaine des OGM. Cependant, je suis totalement contre le fait que l’on cultive en France et dans les autres pays riches des OGM pour améliorer les rendements alors même que des agriculteurs souffrent de problèmes de surproduction. De plus, je ne crois pas que la France risque de “se replier à l’arrière des bancs des nations émergentespour ne plus vivre, à court terme, que de l’assistanat international” si elle refuse les OGM. Croyez-vous vraiment que les OGM sont une découverte nécessaire à l’humanité au même titre que “les vaccins ou l’électricité ou l’aviation” ? A mon avis, refuser les OGM, c’est se demarquer, c’est refuser l’impérialisme américain et c’est ne pas s’exposer à des risques inutiles.

    13 août 2004 à 11 h 05 min
  • Alex Répondre

    “D’ailleurs, tout ce que nous mangeons depuis des millénaires n’est qu’organisme génétiquement modifié. Seule la technique de modification des gènes a changé.” Certe mais issus d’hybridations entre espèces proches… Les techniques ‘naturelles’ n’ont jamais permis de croiser un épis de maïs avec une bactérie ou un grenouille… Là est peut-être toute la différence.

    12 août 2004 à 11 h 34 min
  • Rosanov Répondre

    Oui c’est bien un article en forme de propagande pour MONSANTO que vous nous servez là ! Je ne vais pas donc pas perdre mon temps à réfuter vos arguments comme je l’ai déjà fait à la suite d’autres articles de ce journal qui étaient aussi inconditionnellement favorables aux OGM. Je vois, du reste, que certains lecteurs vous ont déjà répondu de façon détaillée. En outre, je crois que vous ne faites pas de désinformation seulement sur les OGM, mais aussi sur les mouvements anti-OGM. Contrairement à vos affirmations ou insinuations, plusieurs d’entre eux sont favorables à la recherche, mais par contre, ils sont totalement opposés à la dissémination des OGM. C’est une nuance cruciale qui à l’air de vous avoir complètement échappée. Enfin, vous faites aussi une sublime impasse sur les problèmes de brevetabilité des semences. Au bout du compte, vous me faites étroitement penser à ceux qui disaient que l’immigration n’était pas un danger mais une chance pour notre pays, et que ceux qui ne voulaient pas l’admettre n’étaient que d’obtus ringards moyenâgeux.

    11 août 2004 à 21 h 31 min
  • mira Répondre

    cet article manque d’informations, c’est très évident. Et les choses ne sont jamais aussi simples qu’il n’y paraît. Il faut aller se renseigner à plusieurs sources (les pour et les contre) pour se faire une idée. Par exemple, savez-vous qu’il est INTERDIT de divulguer les infos de l’AFSSA ? sous peine de poursuites judiciaires… Si la transparence et la non dangerosité des OGM est si “vraie” pourquoi en interdir la diffusion ? Cet article est vraiment léger, sans informations scientifiques. Il n’est qu’idéologique… et surtout pas scientifique !!!

    11 août 2004 à 17 h 18 min
  • HyPNOS Répondre

    A l’attention de Catherine, NH, USA. J’envisage moi aussi de partir aux USA, pourriez-vous me conseiller ? Réponse sur ma boîte SVP Merci.

    11 août 2004 à 11 h 09 min
  • lola Répondre

    Magalie, il semble que le problème ne se pose pas en ces termes. On n’a jamais vu un pays en voie de développement ou sous-développé faire progresser la recherche pour le plus grand bien de l’humanité toute entière (à qui doit-on les vaccins ou l’électricité ou l’aviation ou internet…?) La question est plutôt de savoir si la France veut faire partie des pays riches, développés, progressistes, donc innovateurs, ou si elle a décidé de se replier à l’arrière banc des nations émergentes pour ne plus vivre, à court terme, que de l’assistanat international. La recherhce est le monopole des pays riches, car ils ont les moyens intellectuels et financiés d’expérimenter, au profit du reste du monde. Nous en donnons-nous les moyens? Nous en donne-t-on les moyens?

    10 août 2004 à 17 h 42 min
  • Adolphos Répondre

    Ce Bové est un maboule, et l’autre, Mamére, un dangereu Stalinien. Maintenant, j’attend l’étude qui me prouvera que la consomation de de produit non OGM n’est pas mauvais pour la santé. Pas de chance, ca n’existe pas.

    10 août 2004 à 1 h 22 min
  • Banania Répondre

    Une question revient toujours lorsque je lis des articles sur les OGM,pourquoi Bovè et les autres agissent-ils ainsi?Quels intèrets défendent ils? Qu’est ce que cela cache? Comment se fait il que ces gens là ont un impact et une écoute médiatique que des scientifiques de renommées mondiales n’ont pas? Et la pédagogie dans tout ça? Bizarre,bizarre,vous avez dit……

    8 août 2004 à 19 h 19 min
  • Vincent Hébert Répondre

    “En 2002, les Académies des Sciences, de Médecine, et de Pharmacie réunies…” Il y a une académie des Sciences, et une académie de Médecine et de pharmacie. Il faudrait apprendre à faire des phrases cohérentes. “…avaient conclu leurs longs travaux sur les Organismes Génétiquement Modifiés (OGM) par un rapport précis.” L’Académie des Sciences a fourni un rapport (imprécis), l’autre a fourni un simple communiqué. Pour de “longs travaux”, on repassera. “Les aliments issus des OGM ne mettaient pas plus en danger la santé des Français que les aliments issus d’autres plantes ou animaux.” PUR MENSONGE. L’auteur de l’article a-t’il au moins lu ses sources ? “D’ailleurs, tout ce que nous mangeons depuis des millénaires n’est qu’organisme génétiquement modifié.” Ben voyons. Et l’on pourrait également boire du pétrole, puisque c’est un produit naturel. “Seule la technique de modification des gènes a changé. Autrefois, c’était le paysan dans son champ qui le faisait. Depuis une vingtaine d’années, c’est le chercheur dans son laboratoire.” C’était pas bête, un paysan d’autrefois. Il faut désormais des BAC+12 pour les remplacer. En juillet 2004 l’Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments (AFSSA) arrive exactement aux mêmes conclusions que le rapport des Académies. Les aliments OGM ne sont pas plus dangereux pour la santé, que les autres. PUR MENSONGE. Même question que précédemment. “Dans tous les pays développés du monde, et sans exception, on est arrivé aux mêmes conclusions, PUR MENSONGE. Sources ? “et les Américains mangent depuis des années, sans complexe et sans dommage, du maïs OGM.” Depuis 1996…Quand un médicament nécessite typiquement 15 ans d’essais cliniques avant commercialisation… “Les avantages des OGM sont évidents, aveuglants. Ils permettent à un paysan indien de produire maintenant deux fois plus de riz qu’avant.” N’importe quoi. “Ainsi, malgré une forte augmentation de la population, les Indes sont sorties de la famine grâce au riz OGM.” Sources ?? “Ils permettent à un paysan brésilien de cultiver un maïs OGM qui n’a plus besoin d’être traité plusieurs fois avec des pesticides polluants et dangereux. Ils permettent à un éleveur écossais d’élever un troupeau de brebis dont le lait contient des médicaments traitant, à peu de frais des maladies jusque-là mortelles. Ils permettent à des laboratoires français de faire fabriquer par des bactéries une insuline parfaitement bien tolérée et peu coûteuse, etc, etc, etc.” Delirium tremens… “Les avantages que l’humanité peut tirer des OGM sont immenses. Ses inconvénients sur la santé ne sont pas démontrés et semblent inexistants.” SEMBLENT inexistants ? Relire ci-dessus: “Les aliments OGM ne sont pas plus dangereux pour la santé, que les autres”. Se contredire au sein de l’article même, c’est faire fort… “Cependant, chaque fois qu’un laboratoire crée un nouvel OGM, il est de son devoir d’en rechercher les éventuels inconvénients. Des plantations expérimentales d’OGM sont donc nécessaires.” Ceci a t’il été fait pour les OGM qui “ne sont pas plus dangereux pour la santé, que les autres” ?? “Mais en France il existe une chapelle, une secte, regroupant quelques centaines d’adeptes gnagnagnagnagna…… ” On arrête les frais. Les “4 vérités” qui parle de “faciste” et qui fustige les soucis sécuritaires, c’est l’hôpital qui se moque de la charité. Rigolo, va…

    8 août 2004 à 17 h 04 min
  • [email protected] Répondre

    En gros les pauvres ils peuvent crever “si les OGM sont nocifs” mais les riches eux non. Le probleme c’est que les Riches crevent de leurs pesticides en tout genre et que ca derangent personne. Et surtout pas Asterix et sa bande qui sont persuades de vivre dans un pays de cocagne. Je suggere qu’on les mette dans une galere pour faire le tour du monde et voir ce que les pauvres veulent au lieu de toujours decider pour eux. Et plus la galere voguera et plus je serai contente. Et vive le nouveau monde ca fait 6 ans que je “bouffe” la nourriture americaine a dose normale j’ai maigri car je ne mange plus de fromage gras et de sauce lourde je fais du sport car je suis motivee on ne me regarde pas de travers dans la salle de gym, je ne fume plus car c’est mal vu et ce sont les beaufs ici qui fument………j’ai garde le bon vin rouge de preference chilien ou californien car……..c’est moins cher et tout aussi bon!!! Catherine Atkinson New Hampshire USA

    8 août 2004 à 0 h 11 min
  • Magalie Répondre

    J’ai toujours été contre les OGM, d’une part car je ne crois pas qu’il soit actuellement possible d’écarter tout risque pour la santé et d’autre part car créer des OGM va à l’encontre de la Nature. Cependant, on ne peut nier les avantages des OGM dans les régions du monde où il y de gros problèmes de famines. C’est pourquoi je ne suis pas totalement opposée au fait que les pays touchés par la famine utilisent les OGM si cela peut sauver des vies. En revanche, je ne suis pas d’accord que l’on cultive des OGM dans les pays riches où il y des problèmes de surproductions.

    6 août 2004 à 10 h 39 min

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