Les apôtres de la Sidamania

Les apôtres de la Sidamania

Le SidaSi j’avais eu le moindre doute sur le fait que la médecine est devenue une religion, mon article sur le très hypothétique virus du sida m’en aurait apporté une confirmation éclatante. Il m’a valu une avalanche d’e-mails de protestation, notamment dans les commentaires sur notre site Web, protestations d’une indigence intellectuelle abyssale. Les bigots du caducée, hypnotisés par la grand-messe médicaliste quotidiennement servie dans les petites lucarnes, ont jugé mes propos littéralement blasphématoires. À l’exception de deux ou trois personnes, sceptiques mais cependant soucieuses de s’informer objectivement, ce ne fut qu’un concert d’imprécations. Comment osai-je mettre en question la parole sacrée des mandarins ? Honte au trublion provocateur qui se permet de demander si quelqu’un a vraiment découvert le virus du sida ! Je n’aurais certainement pas fait pire si j’avais mis en doute la virginité de Jeanne d’Arc.

Ce que ces pauvres gens ignorent (ou plus exactement ne veulent pas savoir), c’est que de grands scientifiques ont dénoncé depuis des années l’imposture du sida. Je citerai notamment le microbiologiste Peter Duesberg, professeur à l’Université de Berkeley, membre éminent de l’Académie des sciences des Etats-Unis, spécialiste respecté des rétrovirus, qui contesta l’hypothèse virale dès 1987. Il était si convaincu de l’inexistence du virus, qu’il alla jusqu’à proposer qu’on lui injecte du sang d’un malade. Mais personne ne releva le défi, et il ne pouvait le faire lui-même sans risquer d’être accusé de tricherie. Malgré sa notoriété internationale, il subit l’ostracisme de la nomenklatura médico-industrielle qui commençait à bâtir des fortunes en fabriquant des médicaments ultra-toxiques comme le tristement célèbre AZT, qui tua un nombre considérable de patients, et que Duesberg appelait « un poison sur ordonnance ».

Cependant, John Maddox, l’éditeur de la célèbre revue scientifique « Nature », écrivit dans un éditorial qu’il regrettait de ne pas avoir accordé foi aux arguments de Duesberg, alors que de nombreuses études lui donnaient raison. Le mois suivant, Maddox fut contraint de se rétracter sous la pression des mandarins.

Une quarantaine de scientifiques courageux se joignirent à Duesberg et fondèrent en 1991 le « Groupe pour une réévaluation scientifique de l’hypothèse VIH-sida », à l’initiative du Dr Charles Thomas, biologiste moléculaire à l’Université d’Harvard et qui écrivit : « Je pense que, pour un scientifique, garder le silence devant un doute aussi important équivaut à une négligence criminelle ». On ne saurait mieux dire. Certes, je peux comprendre le scepticisme de personnes victimes d’une propagande habilement orchestrée et qui ne parviennent pas à croire que l’on puisse tromper ainsi le public et provoquer morts et souffrances par des traitements inappropriés. Ils ne peuvent admettre qu’une erreur d’une telle gravité puisse se perpétuer si longtemps.

L’explication de ce phénomène révoltant a été clairement donnée par le Professeur David Rasnick, PhD, Membre du Comité consultatif du Président d’Afrique du Sud, qui, dans un article publié en première page du « Mail & Guardian » de Johannesburg, écrivit notamment : « Plusieurs centaines de milliers de médecins et de scientifiques ont construit leur carrière et leur réputation en acceptant docilement les divers éléments du dogme du sida. C’est la peur d’être si manifestement et désespérément dans l’erreur qui maintient les bouches cousues et qui perpétue le flot de crédits de recherche, alors que la rhétorique sidéenne atteint des sommets stratosphériques d’absurdité ».
Retranchés dans leur vertueuse ignorance, mes contradicteurs veulent oublier qu’il est impossible de traiter à fond un problème de cette envergure dans un trop court article de notre journal. On ne peut que donner des pistes de recherche à ceux qui se soucient vraiment de connaître la vérité, et qui sont, hélas, rarissimes. C’est pourquoi je leur conseillais, et je réitère, la lecture du livre de Jean-Claude Roussez et du Dr Étienne de Haven « Les 10 plus gros mensonges sur le sida » (Éditions Dangles). J’espère que leurs yeux se dessilleront et qu’ils comprendront que le sida est la plus gigantesque escroquerie du xxe siècle.
………………………

Voir également : http://www.sidasante.com/

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Comments (83)

  • grandpas Répondre

    Au moyen âge, On estimait que les pandémies étaint des punitions divines,il est vrai qu’on ne voyait les microbes. Donc pas de microbes,pas de maladie.Les séropositfs vont être heureux de l’apprendre,vous n’ êtes pas malades mais en d’une santé de fer,un seul probléme la rouille attaque! Pour terminer,si il s’agit simplemnt d’un probléme virale,un bon coup de sirop Typhon du docteur Richard Antony et tout ira pour le mieux.

    8 octobre 2006 à 19 h 03 min
  • plumotorax Répondre

    rien de probant dans tout cela. théorie, théorie. moi tant que je n’aurai pas vu le virus avec ses petites pattes…

    8 octobre 2006 à 13 h 13 min
  • Alain1 Répondre

    Oui, tu jouis parce que tu ne comprends pas vraiment ce que tu lis. Mais tu vas très vite arrêter de jouir. Ils ont juste marqué une protéine qu’il supposent être caractéristique du virus (et donc, faisant partie de celui-ci). Seulement, ils ne fournissent pas la preuve que cette protéine est caractéristique du virus et donc, fait partie de lui. Donc, au final, leur expérience se caractérise juste par le fait qu’ils ont lié un marqueur fluo à une protéine. Ca ne prouve strictement rien par rapport à l’existence supposée du VIH. Tiens par exemple, la p24, la protéine sensée être la plus caractéristique du virus. 40 % des chiens testés, si je me souviens bien, ont réagi positifs à la p24. Des chiens séropositifs ! Tu vois le problème des protéines sensées être caractéristiques du virus. Evidemment, vu que la cellule se nourrit en partie de protéines, il y a de forte chance qu’une protéine à proximité d’une cellule soit ingérée par celle-ci. Ce qu’ils ont vu, c’est comme si moi, je marquais une banane avec des marqueurs fluo et que je disais que j’ai suivi le cheminement d’un virus à l’intérieur de mon corps. Bref, tout ça ne prouve absolument rien.

    8 octobre 2006 à 11 h 01 min
  • chevalier teutonique Répondre

    Youhou ! Pierre Lance ! http://www.radio-canada.ca/nouvelles/Science-Sante/2006/10/02/003-sida-chemin-visualisation.shtml?ref=rss ” Le voyage du virus du SIDA (VIH) jusqu’au coeur de la cellule a été visualisé pour la première fois par des chercheurs français. ” Je jouis ! Je jouis !

    7 octobre 2006 à 18 h 21 min
  • Anconé Répondre

    quoi qu’il en soit on n’a toujours pas vu le virus.

    7 octobre 2006 à 9 h 52 min
  • grandpas Répondre

    M Lance Toujours ausi prétentieux,votre santé ne m’interesse guére car vous n’ êtes point mon centre d’intérêts par contre vos délires me font passer d’agréables moments comiques. Le comique involontaire est toujours plus amusant et dans cet art,vous êtes un maître.Chapeau bas l’Auguste!

    4 octobre 2006 à 22 h 53 min
  • Pierre LANCE Répondre

    A “grandpas” : Je vois que vous voulez à toute force m’envoyer chez le médecin. Ah ! comme vous seriez content si je tombais malade : cela transparaît à l’évidence entre les lignes de vos propos. Quelle bonne âme volus êtes ! Désolé de vous décevoir, mais je ne suis JAMAIS malade. Et je n’ai pas consulté de médecin depuis… 53 ans, ce qui pourrait sans doute me mériter de figurer dans le Guiness des records. Bien entendu, le fait de ne jamais voir de médecin est une des causes premières de ma belle santé. Quand vous aurez compris cela, vous commencerez à vous approcher de l’intelligence salvatrice. Pour tous ceux qui s’intéressent à cette question du sida et qui ne sont pas abonnés aux “4 Vérités”, je reproduis ci-dessous la réponse à mes détracteurs parue dans le N° du 4 octobre et qu’ils ne trouveront pas sur ce site : SIDAMANIA : DROIT DE RÉPONSE de Pierre Lance Ma probité intellectuelle ayant été mise en doute par trois personnes dans le courrier des lecteurs de notre précédent numéro, à propos de mes articles sur le sida, l’une d’elles ayant même osé affirmer que j’écrivais “une monstrueuse ânerie”, je me vois contraint de réagir à ces attaques insultantes, à seule fin d’éclairer nos lecteurs soucieux d’information véridique. Hors de toute polémique, je me contenterai de donner les précisions suivantes : Le Dr Etienne de Harven, co-auteur du livre “Les 10 plus gros mensonges sur le sida” (Editions Dangles), dont je tirais mes informations, et que mes détracteurs se sont évidemment bien gardés de lire, n’est pas n’importe qui. Professeur Émérite de pathologie à l’Université de Toronto, il a passé la majeure partie de sa carrière professionnelle à l’Institut Sloan Kettering de New-York, le principal Institut de recherche sur le cancer aux Etats-Unis. Durant 25 années, il a traqué au microscope électronique tous les rétrovirus possibles et imaginables. Malgré tous ses efforts, non seulement il n’a jamais trouvé la moindre particule virale associée au cancer, pourtant espérée anxieusement par le complexe pharmaco-industriel qui en aurait fait ses choux gras, mais il n’a jamais pu apercevoir l’hypothétique VIH présumé responsable du sida. Aussi a-t-il décidé courageusement de partir en guerre contre la plus grande escroquerie médicale du XXe siècle, comme beaucoup d’autres scientifiques honnêtes dont la presse corrompue ou conformiste ne dit mot. D’autre part, le 19 juillet 2002 a été créé le Prix Huw Christie, doté par Alexander Russell de 100.000 dollars de récompense offerts à la première personne qui pourra fournir la preuve photographique de l’existence du VIH. Le donateur précisait” : “Le présent défi est lancé à tout scientifique qualifié, à tout étudiant en microbiologie ou technicien de laboratoire possédant le savoir-faire et le matériel de laboratoire nécessaires pour exécuter les opérations requises.” Quatre années se sont écoulées depuis cette offre et personne n’a été capable de remporter ce prix. Mais je me réjouis de savoir que mon premier contradicteur, le Pr Georges M. Akoun, de l’Université Paris VI, bardé de toutes ses certitudes et compétences, va certainement pouvoir gagner facilement ces 100.000 dollars. (Toutes précisions méthodologiques sont données sur le site : http://www.sidasante.com, que je recommande à tout médecin consciencieux comme à toute personne désirant se soustraire au bourrage de crâne de la mafia médico-pharmaceutique.) P.L.

    4 octobre 2006 à 0 h 56 min
  • arnaud Répondre

    Tout à fait OK avec sas. En tout cas, Monsieur Pierre Lance à au moins le merite de nous parler de chose que l’on entends peu ou pas…d’ailleurs comment ça se fait…!! comment peut-on avoir une pensée correcte sur un sujet si l’on en enlève une partie…En tout, des personnes ont le sida depuis plus de 20ans et certaines n’ont jamais pris de traitement…!! je pense que simplement ces faits devrais permettre à certains de lire ces livres plutot alternatif et qui nous font sortir de notre bulle…!! A moins que des gens souhaitent que l’on en sache un minimum…!! site à voir: http://debatsanteseb.blog4ever.com/blog/index-51810.html

    1 octobre 2006 à 22 h 49 min
  • sas Répondre

    Y a pas à dire….c’est le genre de débat foutrement interessant et……argumenté à souhait… sas

    28 septembre 2006 à 13 h 30 min
  • grandpas Répondre

    Monsieur P Lance Vous parlez toujours avec cette même morgue qui vous caractérise lorsqu’ un intervenant n’est pas en osmose avec vos propos. La grande qualité des ecrits d’Helios ne vous ébranle aucunement puiqu’en dans votre aveuglement idéologique,seul vous avez raison! Si par malheur,vous deveniez souffrant de cette maladie dont personne n’a vu le virus dites le bien au médecin inféodé aux laboratoires qui viendra vous soignez,cela lui évitera de perdre son temps avec vous. Vous n’avez aucune excuse par contre pour être aussi,le mot le plus préis me vient au bout des doigts mais notre modérateur ne le laissera pas passer. Mais la certitude est bien le miroir de la bêtise.

    28 septembre 2006 à 11 h 12 min
  • Pierre lance Répondre

    À Hélios : Alors je suis un démagogue et un mystificateur ? Puis-je savoir de quel droit vous m’injuriez sans aucune retenue ? Ah mais c’est vrai, suis-je bête, n’êtes-vous pas Hélios, l’éblouissant Soleil qui répand la lumière céleste sur nos esprits embrumés ? Et comme vous possédez, de toute évidence, la science infuse, vous n’avez évidemment pas besoin de lire l’excellent livre dont j’ai tiré mes informations. Ce qui vous permet de décréter que mes arguments sont “non scientifiques”. Rien de plus facile, puisque vous refusez d’en prendre connaissance. Heureusement pour vous, le ridicule ne tue personne, sinon vous seriez tombé foudroyé sous le poids de vos affirmations qui ne reposent sur rien. “Le rôle du VIH dans le sida est bien établi” prétendez-vous. Sauf que vous n’en avez-pas la moindre preuve et que vous vous contentez d’avaler les jolies couleuvres diffusées au cours de ces congrès médicaux financés par les laboratoires de la pharmaco-chimie qui rackettent les assurés sociaux. C’est bien vous qui êtes le mystificateur, votre seule excuse étant d’avoir été vous-même complètement mystifié.

    28 septembre 2006 à 0 h 33 min
  • Helios Répondre

    À HF Pour votre information et pour le bénéfice des lecteurs. Le congrès international sur le sida tenu à Toronto (au Canada) du 13 au 18 août dernier a attiré quelque 24 000 participants, scientifiques, médecins généralistes et spécialistes, femmes et hommes politiques, patients, militants, célébrités et plus de 3000 journalistes. Ces participants venaient de 170 pays. Quelques chiffres 4000 présentations de résumés de recherches, 64 symposiums, 100 ateliers de perfectionnement, 140 rencontres par satellite, 100 conférences magistrales. Au moment où débutait le congrès, la base de données PubMed recensait plus de 200 000 articles médicaux liés au VIH depuis 1981. Le bilan des actes scientifiques pour contrer la pandémie de SIDA au cours des 25 dernières années fait état: “…d’accomplissement scientifiques quasi incroyables…” selon le Dr Anthony Fauci, directeur de la U.S. National Institue of Allergy and Infectious Diseases. Il a aussi dégagé les défis-clés auxquels les scientifiques auront à faire face: les événements précoces dans l’infection au VIH, la persistance du réservoir viral, la découvertes de nouvelles cibles permettant la mise au point de nouveaux médicaments, la mise au point de microbicides topiques et de vaccins. Comme on le voit il n’est pas ici question de mettre en doute le rôle du VIH dans le SIDA, on n’en est plus là, on en est plutôt à déterminer les mécanismes permettant au VIH de “désactiver” les lymphocytes T soit les cellules responsables de l’immunité, le rôle précis d’une protéine appelée PD-1 a été découvert, elle est impliquée dans la réponse des cellules dites “tueuses” lesquelles sont inhibées en présence de cette protéine ce qui permet au VIH de proliférer et de détruire les cellules responsables de l’immunité. Cette découverte offre de nouvelles perspectives en ce qui concerne le traitement du SIDA, jusqu’à présent on s’est contenté d’administrer des antirétroviraux, autrement dit des médicaments qui agissent directement sur le virus, il sera probablement possible, du moins on peut l’espérer, de mettre au point des thérapies permettant au système immunitaire de mieux résister contre le VIH. Je me permets de vous citer: “L’essentiel est de pouvoir accepter une remise en cause, pour lancer des recherches alternatives ou de précision, pour essayer d’en savoir plus, et valider ou invalider les dogmes actuels comme les traitements alternatifs. Ce serait une approche rationnelle et scientifique de creuser le sujet, comme le demande implicitement M. Lance, pas nécessairement une dédogmatisation du sujet…” Tout d’abord le terme dogme est inapproprié, il ne s’applique pas dans le domaine scientifique, vous commettez une erreur de logique évidente, celle de mettre la science médicale (mais aussi la science tout court) sur le même pied que la religion ou la théologie. Dans le domaine de la science il est d’usage d’émettre des hypothèses en particulier des hypothèses de travail, c’est même la norme quand il s’agit d’apporter une explication provisoire à un phénomène ou pour dégager de nouvelles avenues à la recherche. L’hypothèse ne perd pas son statut tant qu’elle n’a pas été confirmée ou infirmée par l’expérience. Confirmée, elle prend place dans l’édifice du savoir comme une de ses composantes, réfutée elle perd son statut mais sans disparaître totalement de la carte géographique du savoir, elle y garde une place en tant que chemin sans issue. Nous avons vu plus haut que le rôle du VIH dans le SIDA est bien établi il s’agit d’un fait aussi réel que Jacques Chirac est président de la République Française. Le remettre en question signifie que l’on émet une hypothèse qui nie tout lien entre le SIDA le VIH. Or cette hypothèse (forcément non scientifique) est démentie par les faits, pour la soutenir il faut avoir recours à des arguments non scientifiques, autrement dit s’engager dans une voie sans issue réservée aux démagogues et aux mystificateurs de la trempe de Pierre Lance. Helios

    24 septembre 2006 à 7 h 59 min
  • Helios Répondre

    À Dan87 Je vous cite: “…dés qu’il y a un grain de sable, la science, si elle s’est imposée par la force à l’individu devient très lourde dans ses conséquences y compris sur ceux qui ne voulaient pas passer par ses contraintes…” Consulter un médecin est un acte volontaire, le patient a droit à des explications détaillées concernant sa condition il a le droit de refuser le plan de soins qui lui est proposé, s’il n’est pas satisfait des soins qui lui sont prodigués il a le droit de changer de médecin ou rompre carrément avec la profession médicale. Mais le patient n’a pas le droit de dicter au médecin la conduite à tenir dans son cas. L’erreur médicale existe, comme toute erreur elle doit être reconnue et assumée. Les médecins reçoivent une formation continue pour les prémunir contre le risque d’erreur cependant elles se produisent, c’est pourquoi les patients ont droit à une compensation équitable en cas de préjudice découlant d’une faute professionnelle. Le médecin fautif de négligence est sanctionné. Je vous cite encore: “On ne peut pas dire qu’on est “disposé à entendre la critique” si c’est sous réserve de conserver ses pouvoirs, ses intérêts, d’être juge et partie, de pouvoir continuer à disposer de la vie d’autrui pour réaliser les seules expériences qu’on décide et que ces expériences seront, quoiqu’il advienne à la charge des hors castes tellement demeurés que seuls les scientifiques savent ce qui est bon pour eux!…” Le système d’assurance maladie existe parce qu’il a été voulu par la collectivité, la volonté des médecins n’y est pour rien, le système obtient l’adhésion de la majorité des citoyens, sa survie dépend principalement du maintien du consensus en sa faveur. Le patient obtient dans le cadre du système d’assurance maladie le droit d’accès à une gamme de services médicaux dont l’utilité est scientifiquement prouvée, le gouvernement dans son rôle de gestionnaire responsable du système s’assure que ces services sont pertinents et qu’ils contribuent au mieux être de la population. Les citoyens ont bien entendu parfaitement le droit de contester le système de santé et d’exiger sa modification ou son abolition pure et simple, pour ce faire ils doivent utiliser les moyens politiques et s’impliquer dans la politique. Ceux qui contestent l’approche scientifique de la médecine moderne et qui s’estiment en droit de “secouer le joug” de l’autorité médicale, se doivent de le faire ouvertement en prêchant la “bonne parole”, en tentant de rallier les sympathisants et en convertissant les sceptiques. Du moment qu’on se reconnaît le droit de critiquer, on donne implicitement à l’adversaire le droit de répliquer. Les contestataires doivent par conséquent comprendre qu’ils mettent en jeu leur crédibilité et qu’ils risquent par leur action de renforcir et non d’affaiblir leur adversaire. Mais ils ont aussi un devoir duquel ils ne doivent pas se défiler, celui de dépasser la polémique stérile et proposer des alternatives crédibles. Autrement dit de se commettre et prendre le risque de voir leur conception soumise à l’examen et à la critique. Car c’est une chose de critiquer, (je devrai plutôt dire RÂLER) mais c’en est une autre de proposer des solutions cohérentes. La désinformation au même titre que le dénigrement a pour objet de miner et de détruire sous couvert d’informer et de critiquer. La désinformation se plaît à semer gratuitement le doute là où les preuves sont solidement établies, et le dénigrement à démolir ce qui de toute évidence mérite l’estime du public. Ces actes sont habituellement le fait de gens, comme Pierre Lance et nombre de commentateurs dans ce forum, n’ayant qu’une connaissance très superficielle du sujet qu’ils attaquent mais qui néanmoins ne ressentent aucune gêne à en parler comme s’ils étaient experts en la matière. La désinformation et le dénigrement sont au débat éclairé ce que la démagogie est au discours politique responsable. Les mobiles comme dans le cas de la démagogie c’est de satisfaire à des besoins psychologiques et acquérir de la notoriété à bon marché. Inutile de souligner que dans ce contexte le droit du public à une information honnête est totalement bafoué. Helios

    24 septembre 2006 à 6 h 05 min
  • Pierre LANCE Répondre

    Je me réjouis de constater que certains partcipants à ce forum (trop rares, hélas) ont pris la peine de réfléchir sérieusement et sans idées préconçues à la question que j’avais soulevée. Je me réjouis aussi de constater que certains (plus rares encore, il est vrai) ont pris la peine de lire le livre dont je m’étais inspiré (faute de quoi on ne peut que pérorer dans le vide). Mais notre ami “gaius” a raison : les débats sont trop houleux et cela ne favorise guère la réflexion sereine. Je ne comprends pas pourquoi certains croient utile de s’invectiver ou de mêler à ce problème de santé toutes sortes de considérations politiques ou partisanes qui n’ont rien à voir avec le sujet.. Je ne suis pas là pour faire la publicité de mes livres, mais je crois sincèrement que si nos correspondants (qu’ils m’approuvent ou me désapprouvent) avaient lu au moin un de mes 3 volumes sur les “Savants maudits, chercheurs exclus” (Guy Trédaniel Editeur), ils comprendraient un peu mieux ce qui se passe dans notre société technocratique et ultra-médicalisée. Je rappelle que ces livres sont constitués de biographies résumées (12 par volume) de scientifiques occultés par la nomenklatura, et cela n’a rien à voir avec la droite ou avec la gauche.

    24 septembre 2006 à 1 h 21 min
  • HF Répondre

    Cet article est bien polémique, comme M.Lance sait bien le faire. Toutefois, il aurait pu avoir le mérite de faire réfléchir de manière plus rationnelle sur le cas du SIDA, plus précisément du VIH, dont le virus est maintes fois décrit de manière graphique dans les magazines. Mais est-ce bien le tueur ? Reprenons le cas de la vache folle, et de ce merveilleux prion qui est une protéine produite par le corps, qui change de forme pour devenir pathogène. Et surtout, qui “contamine” les autres protéines non-pathogènes, les rendant pathogènes par simple contact. Suprenant, unique et inexpliqué… Certes, peut-être (ou pas) que l’azt permet de rallonger la survie des patients, mais comprenons-nous seulement son mode d’action et ce qu’il fait ? Est-ce qu’il ne booste pas de manière généraliste le système immunitaire pour combattre l’infection avant de finalement tuer le patient par sa toxicité latente (qui pourrait être justement ce boost du système immunitaire dont, je le répète, nous ne comprenons pas le mode d’action) ? Quant au rapport avec le virus soit-disant identifié, où est-il ? L’AZT semble fonctionner, cela ne démontre pas à lui tout seul que le virus soit la cause du SIDA. Ne pourrait-il pas s’agir d’un autre mode de maladie, endogène ou exogène, qu’importe ? L’essentiel est de pouvoir accepter une remise en cause, pour lancer des recherches alternatives ou de précision, pour essayer d’en savoir plus, et valider ou invalider les dogmes actuels comme les traitements alternatifs. Ce serait une approche rationnelle et scientifique de creuser le sujet, comme le demande implicitement M. Lance, pas nécessairement une dédogmatisation du sujet…

    23 septembre 2006 à 14 h 07 min
  • dan87 Répondre

    à Hélios Merci pour votre réponse. Désolé de vous amener à justifier longuement vos positions. D’autant que c’est un peu un dialogue de sourds à partir du moment où je suis daccord avec vos arguments qui par ailleurs ne constituent pas une réponse au problème essentiel posé. Ce qui va bien grace à la science ou à l’esprit scientifique est énorme; bien. Sauf que dés qu’il y a un grain de sable, la science, si elle s’est imposée par la force à l’individu devient très lourde dans ses conséquences y compris sur ceux qui ne voulaient pas passer par ses contraintes. Ils se retrouvent victimes plusieurs fois de suite et accusés en plus d’illégalité s’ils veulent quitter le navire. En supprimant les contrepouvoirs naturels et la liberté de choix individuel par le biais de la sécurité sociale obligatoire sans avoir prévu de voie parrallèle, la médecine se prive d’une partie de sa propre dignité et de sa crédibilité. On ne peut pas dire qu’on est “disposé à entendre la critique” si c’est sous réserve de conserver ses pouvoirs, ses intérêts, d’être juge et partie, de pouvoir continuer à disposer de la vie d’autrui pour réaliser les seules expériences qu’on décide et que ces expériences seront, quoiqu’il advienne à la charge des hors castes tellement demeurés que seuls les scientifiques savent ce qui est bon pour eux!… Vous oubliez de prendre en compte le fait que la part de contrainte de la sécu vient s’ajouter à de nombreuses autres contraintes et obligations au nom de la SECURITE elles aussi. Et qui sont les premiers servis en sécurité? ceux qui contraignent les autres à cracher au bassinet et qui mettent ainsi en danger leurs concitoyens; c’est à dire en insécurité (dont indirectement la santé). On comprend pourquoi ils s’accrochent au fromage. C’est oublier que ce type de mépris est inqualifiable( il l’est!). Beaucoup de vos concitoyens sont en situation de survie. Vous ne semblez pas connaitre cet état où survivre change l’échelle des valeurs; tout ce qui est essentiel dans le milieu où vous évoluez devient un luxe provocateur pour d’autres. La sécurité pour les uns c’est d’avoir quelques jours à peu prés assurés où se poser la nuit et pour d’autres dans le même pays, c’est d’avoir toute sa carrière, sa santé, ses vacances, sa retraite… aux frais de ??? de l’insécurité des autres. Pour ce qui est du monde agricole, aprés avoir imposé à coups de subventions ce que la science toute puissante croyait savoir, pour obliger ces demeurés de paysans à faire de l’intensif, sachez que le bilan positif n’existe pas. Même la question de nourrir plus de personnes n’a été qu’un mensonge de plus. A tel point que la même science fait machine arrière et que le must ressemble étrangement à ce qui se pratiquait il y a 60 ans. La pollution ça rapporte dans les 2 sens… Mais de responsables il n’y en a pas; quand on se prétend supérieur, on ne sent pas lié au malheur que l’on sème dans les catégories méprisées. Mais soyons gentils n’appelons pas criminels des gens qui détruisent ou tuent leurs concitoyens s’ils sont estampillés scientifiques, élite… ou collaborateurs de l’Etat. Il est certain que la retraite de tous ceux qui ont mené la profession agricole dans l’impasse (scientifiques, politiques, enseignants, labos …) est de trés loin supérieure à la retraite de ceux qui ont tenté de résister. On voit ce qui est reconnu comme “méritant”!

    22 septembre 2006 à 19 h 26 min
  • Helios Répondre

    À Dan87 Je me permets de vous citer: “Le principe de la science n’est pas à remettre en cause, mais seulement ce qui se veut scientifique pour l’aura de la science, avec des comportements et des méthodes antiscientifiques; c’est à dire indigne de la science…” Les travaux scientifiques n’ont pas comme objectif la glorification de la science, si c’était le cas les savants deviendraient des vedettes aussi riches que les joueurs de foot, non leurs travaux visent simplement à faire progresser les connaissances et les mettre à la disposition du plus grand nombre de gens, ces travaux une fois publiés sont largement accessibles à la critique. En regard de vos affirmations vous devriez nous éclairer sur les comportements et les méthodes antiscientifiques indignes de la science que vous dénoncez. “On peut comprendre ce que vous défendez dans votre dernier message puisque dans le contexte ainsi présenté vos arguments sont cohérents. Ils sont cohérent dans le cadre aux bords solides et hermétiques où vous vous placez!” Quand on aborde le sujet de la médecine et des soins médicaux on ne fait de spéculation métaphysique, on parle de choses concrètes, il faut bien entendu définir le cadre du débat, comme dirait l’autre, on ne boxe pas dans deux rings en même temps! ` Et il me fait plaisir de répondre à la question que vous m’avez posée:”Pourquoi voudriez vous que tous les autres citoyens aient les mêmes désirs d’affronter leur vie et leur mort de la manière dont vous mêmes avez décidez de le faire?” Il n’est pas dans mon intention de faire la promotion et encore moins d’imposer une “vision de la vie” ou une “philosophie” quelconque. La médecine moderne de son côté n’a pas cette prétention, elle se préoccupe uniquement de venir en aide aux gens en leur prodiguant les soins dont ils ont besoin et qu’ils réclament en toute liberté. C’est pourquoi l’accusation “d’hégémonisme” ou “d’abus de pouvoir” que l’on porte à son endroit est injuste et sans rapport avec la réalité. La médecine moderne compte parmi les disciplines scientifiques les plus dynamiques et les plus novatrices. La rapidité des progrès dans les champs diagnostics et thérapeutiques est telle, que la mise à jour des connaissances des médecins est devenue une préoccupation majeure pour les organismes médicaux de la plupart des pays. Pour assurer une qualité de pratique la meilleure possible il devient important que les médecins s’inscrivent dans des programmes d’enseignement médical continu où ils sont à même d’enrichir leur expérience avec les apports nouveaux issus de la recherche. L’approche clinique privilégiée étant la pratique médicale basée sur la preuve ou l’évidence: sont considérées comme approches valables celles qui s’appuient sur des études cliniques rigoureuses où la preuve (l’évidence) est statistiquement bien établie, cette approche n’exclut nullement les données de l’expérience de chaque médecin et très souvent elle les confirme, cependant elle permet de mettre au rancart les pratiques inefficaces et désuètes, elle réduit le risque d’erreurs médicales et contribue à freiner l’augmentation des coûts. C’est pourquoi l’accusation de “dogmatisme” tombe à plat. En tant que discipline scientifique la médecine remet constamment en question les consensus établis, elle le fait dans des forums ouverts à tous où très souvent les tenants d’une approche donnée et ceux qui s’y opposent ont le loisir de confronter leurs opinions lesquelles doivent s’appuyer nécessairement sur les résultats objectifs de la recherche. Il s’agit le plus souvent de discuter des bénéfices et des inconvénients d’une méthode d’investigation ou d’un traitement; ces débats sont à la fois sains et très utiles du fait qu’ils permettent bien souvent de faire le tri entre ce qui est bien établi par la preuve et ce qui devrait faire l’objet d’études plus poussées. Ce sont les questions qui demeurent sans réponse qui font progresser le savoir du fait qu’elles constituent autant de défis à relever. Mais la médecine n’est pas uniquement une science, elle est aussi un “art”, ce mot est utilisé faute d’un terme plus précis. C’est pourquoi il devient important chez le clinicien de réunir en lui ces deux volets, le scientifique et le pratique. Mais il y a un troisième qui de l’avis de tous est incontournable, c’est l’humanisme, le plus difficile à développer et pour cause, le médecin n’est pas étranger à la société dont il est issu, très souvent il la reflète, avec ses points forts et ses points faibles. Tout médecin pourrait reprendre à son compte cette phrase de Térence: Je suis homme rien d’humain ne m’est étranger! “…Pour ma part, je redoute beaucoup plus les certitudes des mèdecins que la mort elle même (je dis bien les certitudes). Ces moments qui précèdent la mort sont, à mes yeux, les plus importants, les plus riches et surtout les plus intimes. Pour un esprit libre, non encombré des attaches et obsessions matérielles, c’est bien l’expérience la plus dense de la vie et elle m’appartient.” Face à la mort les médecins n’ont pas plus de certitudes que leurs patients, ils ont toutefois l’obligation de leur donner l’information la plus honnête possible. Ce devoir de franchise pose quelque fois problème notamment chez les personnes qui éprouvent de la difficulté à faire face à la mort, jusqu’où aller pour informer un malade qui ne demande qu’à être rassuré et qui préfère en savoir le moins sur la gravité de sa condition? L’expérience de la mort est personnelle, les médecins mais aussi tout le personnel soignant sont bien placés pour le savoir, ils se préoccupent de donner aux personnes qui font face à la mort, le cadre le plus convenable leur permettant ainsi qu’à leur famille de cheminer paisiblement, à leur rythme selon leurs croyances et leurs valeurs. Les mots d’ordre étant: respect, disponibilité et support. Le soulagement des symptômes particulièrement de la douleur et les soins de confort sont offerts sans insistance, le patient pose des questions s’informe et choisit. “…Tout comme m’appartient la maladie que j’ai hébergée, développée. AVANT de guérir, je veux savoir son origine, ses cibles, son rôle et son sens à mon égard avant de “guérir” et surtout avant d’être soigné. J’attend du médecin qu’il m’aide à comprendre mes faiblesses afin que je réagisse et que je change ce qui pourrait l’être. Le médicament n’est pas un objectif en soi. Toute expérience de vie est l’occasion de comprendre. C’est là qu’est la science!” Le médecin n’est pas le Bon Dieu, il ne se perçoit pas comme tel et il s’empresse habituellement de descendre du piédestal où certains se plaisent à le hisser. Il a le devoir de donner à son patient les réponses les plus précises possibles, il a surtout l’obligation de lui faire part de son ignorance quand il ne sait pas et lui donner l’opportunité, en consultant un confrère plus spécialisé, d’en savoir plus. Il appartient à chacun de rechercher et de trouver pour lui-même le “sens” de la maladie qui l’atteint, le médecin n’a pas à s’aventurer sur ce territoire, il a cependant le devoir d’écouter avec respect le patient qui désire lui en faire part. Sur ce plan les médecins “apprennent” de leurs patients, car toute expérience humaine est riche en elle-même et le médecin est certainement privilégié du fait qu’il y a accès. Pourquoi faudrait-il que je sois assuré dans un cadre collectif par un système qui noie la compréhension de la maladie individuelle dans la masse collective des préjugés? Il s’agit pour vous de définir ce que vous voulez et de l’exposer clairement car votre question prête à équivoque. Désirez-vous vous dégager du cadre collectif du système de santé et prendre à votre compte la responsabilité de pourvoir à vos besoins de la manière que vous jugez la plus appropriée, ou cherchez-vous à changer le système pour le rendre conforme à votre vision? “…Comme si la science véritable pouvait être séparé de la responsabilité!” Le savoir médical a un objectif, l’amélioration de la santé, cet objectif c’est aussi sa responsabilité. Le système publique de santé tel que défini dans la majorité des pays doit posséder certaines caractéristiques, il doit être universel, accessible, de qualité et gratuit. S’il satisfait à ces exigences il mérite d’être maintenu et il sera d’ailleurs soutenu par la majorité des gens. Dans le cas contraire il sera sérieusement contesté et ne tardera pas à s’écrouler. La question se pose concernant les préférences individuelles, ceux qui rejettent la médecine moderne et qui, en toute connaissance de cause, refusent le recevoir des soins médicaux même au péril de leur vie, ces personnes n’ont-elles pas le droit d’être libérées de l’obligation de participer financièrement au maintien du système? Il est tentant de répondre oui mais à condition qu’elles ne changent pas d’avis, autrement tout le monde pourrait, par opportunisme, se prévaloir de cette disposition et changer d’avis au moment opportun. “Voulez vous que l’on établisse un début de la liste monstrueuse des certitudes scientifiques qu’on a imposé à tout un secteur tel que l’agriculture par exemple depuis 50 ans et mesurer aujourdhui les conséquences en terme de morts?” Il faudra pour être équitable dresser aussi une liste des bienfaits que l’agriculture moderne a apporté à l’humanité, nourrir plus de 5 milliards d’êtres humains ce n’est pas rien, sans compter qu’il faut aussi évaluer les dangers que ferait peser sur l’humanité une décroissance significative de cette industrie. “Ca s’appelle des CROYANCES. Voyez: inutile de finir votre message par “à bon entendeur salut”… ceux qui croient être des scientifiques sont le plus souvent sourd!” Mais ils ont de bons yeux! Il est vrai qu’ils finissent par se lasser d’écouter les jérémiades interminables de ceux qui affirment sans cesse et ne prouvent jamais rien. Voyez-vous les scientifiques sont des gens humbles, ils mesurent sans complaisance l’étendue de tout ce qu’il leur reste à découvrir et comme la vie est courte et que le temps est précieux, ils se font un devoir de ne pas le gaspiller. Disposés à ÉCOUTER la critique et à se remettre en question, ils font peu de cas du dénigrement systématique alimenté par la mauvaise foi. Helios

    22 septembre 2006 à 7 h 24 min
  • gaius Répondre

    Sur ce sujet de débat , je soutiens Mr Pierre Lance , le réflexe maffieu sévit partout , et pas qu’en politique , pourquoi le milieu de la recherche médicale et pharmaceutique serait épargnés ? Et puis je trouve les débats trop houleux , il est vrai que nous sommes tous sous tension vu la situation de notre pays …MAIS , nous sommes tous ici entre AMIS , ne l’oublions pas .

    21 septembre 2006 à 9 h 25 min
  • dagmar Répondre

    Monsieur Lance Merci, merci beaucoup pour le lien qui m’a guidé vers amazon (dont je suis une fidèle cliente depuis des années). Je les ai achetés…les livres… et je les ai lus. C’est pourqoui je vous écris que maintenent. En plus je suis stomatoloque donc médecin et je travaille dans mon cabinet dentaire. Je ne suis pas, bien entendu expert en SIDA, mais absolument tout les agruments avancés dans les livres vers lequelles vous nous avez guidé, tiennet la route si je m’appuis sur mes connaissences médicales. D’autant plus que je suis une fille de deux médecins. Ma mère, médecin des temps jadis, nous martélait la tête que c’est nôtre système immunitaire qu’il faut soigner. Le someil, l’équilibre allimentaire (à l’époque on n’appelait pas cela “régime”). étaient ses principalss reméde. “Rien que la position allongée” disait t elle, aide à guérire.Cela ne veut pas dire qu’elle s’est limité à cela. Elle était spécialiste en hépatologie. Aujourd’hui, quand sa fille fait les découvertes étonantes sur la chute de notre noble métier, elle se rétourne dans sa tombe. En lisant ces livres je pense à elle. Merci dagmar

    21 septembre 2006 à 8 h 58 min
  • dan87 Répondre

    Hélios Le principe de la science n’est pas à remettre en cause, mais seulement ce qui se veut scientifique pour l’aura de la science, avec des comportements et des méthodes antiscientifiques; c’est à dire indigne de la science. On peut comprendre ce que vous défendez dans votre dernier message puisque dans le contexte ainsi présenté vos arguments sont cohérents. Ils sont cohérent dans le cadre aux bords solides et hermétiques où vous vous placez! Pourquoi voudriez vous que tous les autres citoyens aient les mêmes désirs d’affronter leur vie et leur mort de la manière dont vous mêmes avez décidez de le faire? Pour ma part, je redoute beaucoup plus les certitudes des mèdecins que la mort elle même (je dis bien les certitudes). Ces moments qui précèdent la mort sont, à mes yeux, les plus importants, les plus riches et surtout les plus intimes. Pour un esprit libre, non encombré des attaches et obsessions matérielles, c’est bien l’expérience la plus dense de la vie et elle m’appartient. Tout comme m’appartient la maladie que j’ai hébergée, développée. AVANT de guérir, je veux savoir son origine, ses cibles, son rôle et son sens à mon égard avant de “guérir” et surtout avant d’être soigné. J’attend du médecin qu’il m’aide à comprendre mes faiblesses afin que je réagisse et que je change ce qui pourrait l’être. Le médicament n’est pas un objectif en soi. Toute expérience de vie est l’occasion de comprendre. C’est là qu’est la science! Pourquoi faudrait-il que je sois assuré dans un cadre collectif par un système qui noie la compréhension de la maladie individuelle dans la masse collective des préjugés? un système qui commence par se sucrer au passage et qui ferait mieux de regarder sa propre maladie, une maladie mentale grave qui s’appelle la peur de la responsabilité, qu’il projette sur les autres et qui lui permet avant toute chose de plumer ses concitoyens sous la contrainte en se donnant des airs généreux … à connotation scientifique. Comme si la science véritable pouvait être séparé de la responsabilité! Voulez vous que l’on établisse un début de la liste monstrueuse des certitudes scientifiques qu’on a imposé à tout un secteur tel que l’agriculture par exemple depuis 50 ans et mesurer aujourdhui les conséquences en terme de morts? Ca s’appelle des CROYANCES. Voyez: inutile de finir votre message par “à bon entendeur salut”… ceux qui croient être des scientifiques sont le plus souvent sourd!

    20 septembre 2006 à 22 h 51 min
  • Pierre Répondre

    Pour ce qui est du SIDA je ne me permettrai pas d’émettre d’opinion. Les connaissances me manquent. A ce sujet comme pour bien d’autres, je pense « qu’ on nous cache tout, qu’on nous dit rien. » Bon nombre de médecins sont des anes. Une chose est sure, les labos pharmaceutique font fortune. En cas de soucis de fin de mois on sort une grippe aviaire ou autre. A l’époque, je n’ai pas suivi les cours des actions Pasteur, Merieux et autres. Cela aurait peu être été instructif . En attendant, le contribuable casque………. Manques à gagner de la filière avicole….

    20 septembre 2006 à 21 h 57 min
  • Helios Répondre

    Mise au point, Que des personnes refusent d’être assujetties à un système d’assurance maladie étatisé, aucune personne ne s’y objecterait en principe, l’autonomie des individus et leur capacité de choisir doit primer sur toute autre considération. Cependant sur le plan pratique ces choix individuels peuvent poser problème. Qu’adviendrait-il d’une personne ayant choisi de rester en dehors du système si elle subissait un accident grave ou si elle présentait une condition de santé aiguë nécessitant des soins spécialisés? Étant désengagée du système auquel elle ne participe pas financièrement, comment pourrait-elle dans ces conditions le réintégrer en cas de besoin? Comme dirait Alfred de Musset: il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée! Il est difficile d’être en même temps dehors et dedans. Bien entendu les gens qui décident de quitter le système peuvent, s’ils en ont les moyens dépenser leur propre argent pour se faire traiter, certaines maladies coûtent cher même pour un portefeuille bien garni, cependant la majorité des gens n’ont simplement pas les reins assez solides pour supporter les dépenses inhérentes au traitement d’une grave maladie. Mais il y a aussi un autre élément important, c’est le vieillissement de la population, Comme dirait Yvon Deschamps humoriste québécois; “vaut mieux être riche et en bonne santé que pauvre et malade!” Il faut s’ouvrir les yeux, la maladie cela frappe plus durement les petits vieux et les petites vieilles, plus souvent qu’autrement ils n’ont pour tout revenu que leur maigre pension, il faut bien que quelqu’un prenne en charge leur facture de soins médicaux, et c’est forcément la collectivité qui l’assume dans tous les pays avancés, États Unis compris. Et quand la collectivité assume la responsabilité cela veut dire que les personnes jeunes et en bonne santé payent pour les personnes vieilles et malades, juste retour des choses, car ces vieilles personnes ont contribué à bâtir la société dans laquelle ces jeunes se sont donnés la peine de naître et où (malgré tout les problèmes) il fait si bon vivre. Supposons que tous ces jeunes décident de quitter le système qu’adviendra-t-il de nos vieux? qui va payer pour leurs soins? Au sujet de l’ordre des médecins. Certains voudraient dissocier leur médecin de la “mafia médicale”, la déclaration habituelle est celle-là: les médecins sont des salauds, mais le mien est formidable, c’est “l’exception”. On serait tenté de le croire jusqu’au moment où on réalise que le même discours est tenu par tous les détracteurs de la médecine, et comme ils sont assez nombreux l’on en vient à penser que tous les médecins sont individuellement des êtres exceptionnels et collectivement des salauds, pour la logique on repassera. Mais nous répliquent certains ce ne sont pas les médecins qui méritent d’être dénoncés c’est l’ordre des médecins, et suivent les doléances et les jérémiades: abus de pouvoir (quel pouvoir?) “censure” sur certaines “vérités révélées” par je ne sais quel gourou médical ou autre, imposition par la force de la “foi” (ni plus ni moins) dans certains “dogmes” médicaux tels que le virus du SIDA et la vaccination obligatoire, “connivence” pour ne pas dire “collusion” avec les compagnies pharmaceutiques etc. Ces doléances pour ne pas dire ces accusations à prime abord ne méritent pas qu’on s’y arrête tant elles sont farfelues, cependant beaucoup de personnes y prêtent foi et à l’examen attentif on se rend compte qu’elles s’inscrivent dans cette mouvance qui soutient la thèse du complot dans plusieurs sphères. Discuter sérieusement de ces allégations c’est se mettre au même niveau que les gens qui les soutiennent, c’est comme argumenter sur la réincarnation d’Elvis Presley. Telle discussion n’est pas pertinente, tout d’abord parce qu’il ne sert à rien de débattre de croyances bien ancrées dans les esprits et parce qu’en discuter c’est d’une certaine façon apporter de l’eau au moulin de ceux qui répandent les sottises. Une baliverne se suffit à elle-même, et il suffit à celui qui la répète pour se discréditer. Au sujet des méthodes non scientifiques Elles ne méritent pas d’être appelées médecines, tout d’abord parce qu’elles sont totalement incapables de poser un diagnostic, par conséquent elles ne savent pas où elles vont ni ce qu’elles traitent. Or en médecine le diagnostic est l’étape indispensable avant d’amorcer un traitement. Telle personne consulte un ostéopathe ou un chiropraticien pour un mal de dos, suivent la série des traitements, tous inefficaces bien sûr, jusqu’au moment où le croyant, pardon le malade, perde la foi et se décide à consulter un vrai médecin, la radio de la colonne met en évidence des métastases osseuses ou l’écrasement d’un corps vertébral par ostéoporose, il ne s’agit pas ici de faits isolés mais d’histoires qui se répètent à tous les jours. Les défenseurs des granules ont quitté le domaine du curatif, il est difficile en effet de trouver quelque granule que ce soit pour éradiquer une infection, traiter l’hypertension, baisser le cholestérol, contrôler l’asthme, soulager la migraine, prévenir les crises d’épilepsie, soulager la dépression, contrôler le diabète, guérir la leucémie etc. Ils se sont donc décidés de quitter le domaine de la maladie (là où ils ont fait chou blanc) pour se rabattre sur le domaine de la santé, rien de moins. Tant que le sujet est en bonne santé leur truc “fonctionne”: Je suis en santé, je prends des granules, donc ce sont les granules qui font que je suis en santé. On pourrait en suivant la même logique remplacer le “je prends des granules” par “je fais mes prières” ou “je fais des ronds en crachant dans l’eau” et la conclusion restera la même. C’est ce qu’on appelle de la SUPERSTITION, exactement comme pour les pilotes de courses qui gardent dans leur habitacle un vieux nounours miniature comme porte-chance pour empêcher les accidents! C’est puéril mais c’est humain, ôter à ce pilote de course son nounours le rendrait anxieux et pourrait en effet le rendre plus vulnérable aux accidents. Quand on investit quelque chose d’un pouvoir qu’elle ne possède pas, on cherche seulement à calmer son angoisse, c’est un vieux truc primitif que les sorciers connaissent par coeur. Cela laisse croire que nos contemporains, à certains égards, sont restés fixés au néolithique. Au sujet des personnes qui insultent faute de convaincre Leur colère (je devrais dire leur rage) est compréhensible, le roi est nu et ils n’aiment pas qu’on le dise. Ils devront cependant s’y habituer, du moins dans le cadre de ce forum. Et à bon entendeur salut! Helios

    20 septembre 2006 à 8 h 22 min
  • sas Répondre

    A rosanov…..CQFD; sans parano…juste de la curiosité,de la culture et une percpicacité à toute épreuve, vérifiée par le vécu… sas

    20 septembre 2006 à 0 h 25 min
  • Laurent Répondre

    Une precision : Helios indique qu’il est demontre que les medecines alternatives ne donnent pas plus de resultat que les placebos. Je n’en doute pas; mais je rappelerais juste que l’effet placebo existe bel et bien. Quand je souffle sur le bobo de mon fils cadet (5 ans) en murmurant une formule magique, il arrete de pleurer et n’a plus “mal”. Bien entendu, ce “remede” ne lui sera d’aucune utilite en cas de blessure plus serieuse. Mais de maniere generale, le fait de croire a un remede augmente les probabilites de guerison, toutes choses egales par ailleurs. Il me semble que le fait est etabli. Les medecins, qui n’ignorent pas ce fait, en jouent tres bien en ecrivant leur ordonnance d’un ton savant et superieur, avec leur blouse blanche, leur stylo a plume, leur ecriture incomprehensible et prononcant des noms de medicaments aux consonnances esoteriques. Cette mise en scene fait partie integrante du remede. Donc, si les pratiques des medecins denoncees par SAS et Rosanov peuvent etre dangereuses, elles ont aussi un fondement “rationnel”. Quant aux medecines alternatives, je ne dirais pas que’elles ne marchent pas, mais qu’elles ne marchent pas PLUS que l’effet placebo.

    19 septembre 2006 à 23 h 08 min
  • toto Répondre

    Bravo Dan. Tu as tout à fait raison à propos de Jaures. Je dirais meme mieux: puisque Jaures adore le socialo-communisme, qu’il aille donc à la Havane et qu’il y reste ( au moins la bas, il n’y pas de riches mais que des pauvres) Avec un peu de chance, Jaures trouvera peut etre aussi son Michel_Ange à lui qu’il a l’air d’affectionner tout particulièrement lol!

    19 septembre 2006 à 18 h 10 min
  • Jaures Répondre

    A dan87: Désopilant! Savez-vous qu’il existe aussi des femmes socialistes (si!si!). Je vous en présenterai si vous en doutez. Pour le reste, ce site, comme les autres est un espace de liberté qui m’appartient autant qu’à vous.Je m’y installe donc sans regret. A Helios: Sur l’homéopathie, des études ont monté qu’elle fonctionne également sur les nourissons et …les animaux. Ce qui exclut le strict effet placebo. De toute façon, comme je l’ai écrit plus haut, seule la pratique compte et quand je vois autour de moi les enfants prendre antibiotiques sur antibiotiques alors que les miens s’en passent sans problème, je me félicite chaque jour de mon choix. Mais chacun est libre.

    19 septembre 2006 à 14 h 05 min
  • sas Répondre

    c’est bien rosanov… Ayant atteint le vide parfait,je me laisse porter par l’aile puissante du silence, je contemple l(agitation des hommes. Retourner à son origine…retourner à son origine,c’est retrouver le repos. lE repos,c’est le retour dans sa demeure véritable. C’est renouer avec son destin. Ce retouir est la loi eternelle. Connaitre la loi éternelle, c’est être éclairé. l’ignorer, c’est la confusion et, par là,c’est le malheur. Celui qui connait la loi possède le savoir. Il se montre, alors impartial. Impartial , il agit royalement. Royal, il atteint le divin. Le divin atteint, il est uni au tao et se trouve désormais au-delà de tout péril. Rien ne peu surprendre Rien ne peut l’émouvoir Rien ne peut le toucher Pas même la mort. LAO TSEU ou la voie du TAO sas

    19 septembre 2006 à 13 h 37 min
  • kikinos Répondre

    Monsieur Helios, Vous dites; “…la médecine scientifique (à vrai dire la seule qui a du sens parce qu’elle est objective honnête et donne des résultats)…,” Avec tout le respect que j’ai à votre égard, je voudrais vous transmettre ce que je sais. Je m’excuse d’avance pour mon pauvre talent de conteur. Je suis un inconditionnel partisan des valeurs occidentales sauf de la médecine moderne parce que je sais qu’elle est mal née et, de ce fait, obligée de nier la vérité. L’Occident, cartésien, a naturellement appliqué à la science de la vie la méthode matérialiste, qui ont d’ailleurs très bien marché pour expliquer les phénomènes physiques ou pour faire fonctionner les machines etc. Mais l’essence même de cette méthode cartésienne qui consiste d’analyser, en le décortiquant, chaque phénomène séparément, affole les cellules placées sous microscope, déconnectées de son mileu normal. La médecine moderne arrache un bébé à sa mère et le place dans une forêt et l’obseve pour conclure qu’un bébé est un être criard. Que répondez-vous aux questions suivantes ? – comment se crée une cellule ? par division ? – où se fabrique le sang ? dans la moelle d’os ? – d’où viennent les microbes ? de l’extérieur ? Si vous répondez sans état d’âme oui à une de ces questions, vous êtes bien victime de la médecine moderne vouée à l’échec qui était partie d’une base complètement erronée par l’inconscience, inadvertance voire malveillance de ces pères fondateurs que sont Virchow, Mendel, Koch and Pasteur (ce dernier a même “triché” son expérience pour “prouver” son idée. On le sait maintenant sauf peut-être en France). Cette erreur monumentale du début est à l’origine de la tragédie d’aujourd’hui pour la plupart dont nous faisons partie et d’une extraordinaire manne pour l’Industrie pharmaceutique. Si vous commencez maintenant à douter de notre médecine moderne, si vous êtes plus partant à écouter les medecins et scientifiques bannis (pourquoi sont-ils percécutés à ce point-là ?), je suis heureux parce qu’on peut compter un talent de plus pour la défense de la vie.

    19 septembre 2006 à 12 h 43 min
  • Jean-Claude Lahitte senior Répondre

    ROSANOV. Merci pour vos appréciations auxquelle je suis sensible. Concernant votre expression, “passe-droit”, je n’y avait même pas pensé. Mais, à bien y réfléchir, elle me paraît justifiée. Même si des médecins-ostéopathes m’ont fait remarquer, non sans une apparence de bon sens, qu’ils avaient eux-mêmes derrière eux des milliers d’heures d’édude sur les maladies et sur l’Homme, que n’ont pas les ostéopathes. Seule question : combien, parmi ces “milliers d’heures”, combien sont-elles consacrées varitablement à rendre la santé, et combien sont utilisées uniquement à apprendre aux médecins comment bourrer de médicaments ou de vaccins leurs futurs patients pour les empoisonner en toute bonne conscience, en toute bonne science ? Mais c’est là le propos d’un “medically no-correct”, doublé d’un “politically, philosophico et même religiously no-correct” !!! qui n’est pas abonné au “dictionnaire des idées, des préjugés et des présupposée reçus”. Sans pour autant être devenu un mécréant. A SAS (ROSANOV m’a devancé !): concernant le caducée, je vois que nous avons fait les mêmes “études”. Mais pas le même style style(1). Surtout en matière d’image. Je vous salue bien bas… Cordialement, Jean-Claude Lahitte (1) il est vrai que, pour avoir fait une fois une “plongée”, j’en ait éprouvé le dégoût du sous-marin. Mais non des sous-mariniers. En tout bien tout honneur, faut-il le préciser !

    19 septembre 2006 à 10 h 49 min
  • Rosanov Répondre

    A Jean-Claude Lahitte et à SAS, merci de votre approbation. Lisant souvent (et avec plaisir) vos commentaires, je constate que nous avons des opinions similaires sur bien des sujets. Il m’arrive souvent de m’abstenir de rédiger un commentaire, parce que les vôtres reflètent exactement de ce que je voulais exprimer. A Jean-Claude Lahitte, je n’avais pas connaissance du “passe-droit” pour les médecins d’effectuer des études accélérée d’ostéopathe. C’est toujours bon à savoir. Du reste ceci me rappelle les places réservées à l’ENA pour les anciens élèves de l’X (double-voie royale choisie par Giscard spécialiste de toutes les chasses gardées qui a d’ailleurs par la suite voulu bénéficier d’une monté accélérée dans la Francmaconnaille du fait qu’il était ancien président). Pour ce qui concerne les cartes scolaires, les socialos sont champions toutes catégories de la générosité outrancière qui commencent par les autres, ceci à travers toutes les associations honteusement dite de bienfaisance, ou anti-racisme etc… A SAS, bien trouvée ta remarque sur le “sigle des médecin”. Je ne le regarderai plus avec les mêmes yeux dorénavant. Sans être parano et adepte du complot tous azimuts, je me dis que tout ce qui est société, surtout secrète, procède de la volonté de se croire supérieur aux autres et de les manipuler. Il est vrai que l’ordre des médecins rentre tout à fait dans cet état d’esprit : constitué sous une période des plus troubles, il sait ce qui est bon pour nous (à l’instar des vaccins, à l’intar des dossiers médicaux qu’il fallait pleurer pour obtenir), il sait ce que nous devons penser, il sait menacer, sévir et tirer toutes les ficelles pour faire régner sa petite loi quasi-moyenâgeuse et mafiesque, visant à protéger les parrains à la tête et bien sûr certains intérets financiers. D’un certain point de vue, cet Ordre est plus dangereux que les vraies Mafias calabraises ou napolitaines, car celles-ci ont la Loi ainsi que l’institution judiciaire, contre elles et non avec elles. Pour la petite histoire, rappelons aussi que pendant longtemps, dans un snobisme ridicule, notre médecine officielle utilisait le latin ce qui permettait simplement à une “élite” de se reconnaître entre elle, tout comme les macons ont leur façon de se saluer, ou même comme les X qui font des études de math fort poussées pour, ensuite, s’en tenir à gérer les congés dans les administrations. Cordialement.

    19 septembre 2006 à 8 h 24 min
  • Helios Répondre

    À tous ceux qui m’ont fait l’honneur d’une réaction véhémente, En ce qui concerne les médecines douces (ou alternatives mais alternatives à quoi au juste?) telles que l’homéopathie, les études cliniques bien randomisées et à double insu effectuées en Amérique du Nord par des chercheurs indépendants et neutres (le sujet et le chercheur tous deux ignorant la nature des produits administrés) n’ont détecté aucune différence statistiquement significative entre les placebos et les produits homéopathiques. Cependant ces produits sont en vente libre tant aux États Unis qu’au Canada, il y a bien quelques homéopathes qui tentent de gagner leur vie en les prescrivant mais le public, plus réaliste ou moins dupe n’a pas mordu à l’hameçon. Ceci dit, libre à ceux qui en ont gros sur le coeur contre la médecine scientifique (à vrai dire la seule qui a du sens parce qu’elle est objective honnête et donne des résultats), libre à eux de ne pas y avoir recours. Sauf erreur le consentement est requis pour administrer un traitement. Les témoins de Jéhovah qui préfèrent mourir d’hémorragie plutôt que de recevoir une transfusion de sang, sont assurés du respect de leur volonté. Même chose pour ceux qui refusent une intervention chirurgicale. Ceux qui sont en bonne santé et n’envisagent pas d’avoir recours aux soins médicaux devraient prier le ciel pour ne pas tomber malades, autrement ils se retrouveraient dans un dilemme. Que feraient-ils s’ils se trouvaient subitement atteints d’un infarctus du myocarde? Refuseraient-ils d’aller à l’urgence de l’hôpital? Auraient-ils recours à leur homéopathe? Ben voyons, la “mort dans l’âme” ils devront bien accepter tout le tra la la, les soins intensifs, l’angiographie coronarienne, la dilatation, le stent et cela peut aller jusqu’au pontage aorto-coronarien, autrement ils verraient leur espérance de vie se rétrécir dangereusement. Mais ils devront par la suite (s’ils tiennent à la vie) cesser de fumer, manger moins gras et moins sucré, perdre du poids, faire de l’exercice et prendre un peu plus de bon temps, toutes choses que leur médecin de famille ou leur cardiologue se fera un plaisir de leur expliquer patiemment, ils devront (s’ils y consentent bien entendu) prendre des médicaments surtout s’ils font de l’hypertension et si leur taux de cholestérol est élevé, ils devront aussi (mais personne ne les obligera) se faire suivre par leur médecin. Ah oui j’allais oublier quelque chose, ils devront aussi remercier le ciel (s’ils sont croyants) des progrès de la médecine, attendu que l’infarctus du myocarde, il y a à peine trente ans, tuait dix fois plus de malades qu’à présent. Ceux qui se retrouvent avec un diabète insulino-dépendant ou de type II peuvent toujours se contenter d’une diète stricte assortie d’exercice, mais cela n’est habituellement pas suffisant, que feront-ils? Le sorcier du coin, la guérisseuse, la reflexologue, l’homéopathe ou l’ostéopathe auront beau leur faire des gli gli gli, leur satanée glycémie restera accrochée au plafond! À moins de pousser l’obstination (ou la connerie) jusqu’à l’absurde et attendre le coma diabétique ou pire la gangrène, ils devront se résoudre à recevoir, qui de l’insuline, qui des hypoglycémiants oraux. Et ceux qui font de l’asthme, certains se précipitent chez l’acupuncteur, s’ils tombent sur un type honnête il leur dira que leur essoufflement sera probablement soulagé (pas pour longtemps) mais que leur maladie persistera et qu’il ne prendra pas le risque de perdre sa réputation en ne leur disant pas d’aller voir leur médecin au plus vite, trop de gens meurent de crises d’asthme faute d’avoir suivi les mesures préventives recommandées et pris leurs inhalateurs et leurs pilules. Pour les braves gens qui idolâtrent les granules sucrées et l’imposition des mains quand ce n’est pas le transfert d’énergie, attention à l’insuffisance rénale! Là encore régime stricte et restriction liquidienne aident beaucoup et retardent le recours à la suppléance rénale, mais vient un moment où elle devient inévitable, l’hémodialyse et si l’on est chanceux la greffe rénale permettent aux malades de reprendre une vie proche de la normale. Que les détracteurs de la médecine scientifique nous signalent un traitement “alternatif” à l’hémodialyse, si leur propre enfant souffrait d’insuffisance rénale, le priveraient-il d’hémodialyse et consentiraient-il à le voir mourir en “martyr” de la médecine dite alternative? Que la médecine scientifique ait des limites, rien de moins étonnant, elle en avait davantage il y a à peine quelques années et elle en aura moins à l’avenir, grâce aux recherches et aux découvertes ces limites sont de plus en plus repoussées. Si elle coûte cher, c’est dans l’ordre des choses, mais bien des gens vous diront que leur plombier ou leur électricien leur coûte au moins aussi cher que le médecin si ce n’est pas davantage. La médecine moderne utilise au mieux les outils qu’elle a développés pour le bien de l’humanité, elle ne dédaigne pas d’expérimenter et d’explorer toutes les avenues qui se présentent à elle, mais elle le fait avec discernement et sens des responsabilités. Le soi-disant pouvoir qu’elle détient n’en est pas un, pas plus que la compagnie d’électricité et celles qui distribue l’eau et le gaz ne détiennent un pouvoir sur les consommateurs du simple fait qu’elles sont indispensables à la vie moderne. La médecine est actuellement un service public mais contrairement à l’électricité et au gaz il ne s’agit pas d’un produit mais d’un service lequel est fourni par des êtres humains qui, bien qu’imparfaits se dévouent à leurs semblables en leur offrant ce qu’ils ont de meilleur tant sur le plan scientifique que sur le plan humain. Et quand ils voient des gens les lapider et porter aux nues des charlatans, ils le prennent avec un brin d’humour, (l’irrationnel et la pensée magique c’est vieux comme le monde) il savent que c’est dans l’ordre des choses, après tout leurs détracteurs sont bien inoffensifs quand ils sont en bonne santé, imaginez quand ils tombent malades! Sans rancune. Helios

    19 septembre 2006 à 7 h 54 min
  • arnaud Répondre

    Je ne peux que vous conseiller se site…il a le mérite de faire réflechir un peu je pense. La partie Virus émet des commentaires interessants sur le sujet Sida: http://debatsanteseb.blog4ever.com/blog/index-51810.html

    18 septembre 2006 à 22 h 42 min
  • dan87 Répondre

    Laurent, Alain, Rosanov, JC Lahitte, Sas, Voici quelques messages irréfutables. Sous des angles différents, ils fournissent des arguments trés complémentaires. Jaurés Ce n’est pas moi qui nie ton existence, mais toi même. Les arguments que tu développes disent que tu es un ventre et un consommateur. Un ventre en guerre hélas! Et comme tu as choisi ces valeurs de survie et non de vie pour définir le bonheur de ton existence, tu es syndicaliste et socialiste car c’est dans ce cadre que tu as le plus de possibilités d’avoir les retours en accord avec tes propres demandes. Les femmes de ta vie ont bien dû tenter de te faire changer, ou plus précisément évoluer; c’est à dire ouvrir ton esprit et ton coeur à d’autres façons de percevoir la Vie à laquelle tu prêtes la tienne. Mais tu préfères t’inventer des ennemis chez ceux qui sont plus libres que toi. Ceux là ne te demandent rien; ils ne cherchent pas le pouvoir, comme toi par les privilèges, mais la liberté de vivre à l’extérieur ce qu’ils vivent à l’intérieur. Eux ne se sentent pas des droits sur ta vie et n’en veulent surtout pas; c’est tout le contraire de toi qui puise tes motivations dans la lutte contre tous ceux que tu jalouses. Si tu veux être têtu jusqu’à la fin de tes jours, arrêtes de coller tes pattes sales dans ce forum puisque tu n’apportes que la mauvaise foi de ton catéchisme socialiste qui te prémache ce que tu dois penser. Comment voudrais tu alors avoir une vie personnelle, c’est à dire vivre TA Vie?

    18 septembre 2006 à 21 h 52 min
  • grandpas Répondre

    La politesse est l’élégance des gentlemens.* Puis que vous n’êtes jamais malade,le jour et il viendra où vous serez agé et que vous syez de la prostate lorsque vous verrez le médecin qui voudra vous soignez,j’espéree que vous aurez l’honnêté de refuser toutes médications qui pourra vous evitez de souffrir. *Ilest evident qu’à la lectrure de votre prose vous n’en êtes pas un,mais vous avez le soutien tout officiel des deux hideux de sevice et certainement la bébédiction du nouveau pape de la médecine naturelle Pierre 1er. Comme disait je ne sais plus qui”les cons ça ose tout et c’est comme ça qu’on les reconnait”

    18 septembre 2006 à 17 h 08 min
  • Alain1 Répondre

    Bon, sinon, revenons aux fondamentaux. 1) Le VIH n’a jamais été isolé. Pour faire un isolement de virus, il faut : faire une culture de cellules avec le virus (avec une autre culture, de controle, qui ne contient pas de virus), purifier cette culture, identifier les protéines et l’ADN et l’ARN. En 1984, il n’y a pas eu de purification. Donc, on a loupé une étape essentielle. On ne peut pas considérer que le virus a été isolé en 1984. En 1997, une équipe a refait le processus. Il y a eu purification, mais dans la culture de controle, on a trouvé les mêmes protéines que dans la culture virale. Ce qui signifie que les protéines supposées du VIH étaient endogènes (produites par le corps). Donc, en 1997, la conclusion était que le VIH n’existait pas. 2) Les morts dus au “SIDA” l’ont été en réalité par les médicaments donnés aux séropositifs. Médicaments anti-VIH, comme l’AZT, ou des médicaments utilisés pour soigner les maladies opportunistes, comme les antibiotiques (qui ont un fort pouvoir oxydant). Le principal responsable des morts est l’AZT : un anticancéreux non mis sur le marché à cause de ses effets toxiques (à la fin des années 60). On constate que le nombre de morts a explosé à partir de 1987, date de la commercialisation de l’AZT. Puis, ce même nombre a commencé à diminuer vers 1991/92, quand on s’est mis à diminuer les doses d’AZT. Enfin, vers 1996, quand on a introduit les trithérapies, le nombre de mort a encore baissé. En effet, on a encore réduit les doses d’AZT, voir, on le supprimait de la thérapie ; et il y avait une molécule, le 3TC, qui était plutot un antioxydant, qui neutralisait l’effet de l’AZT. Avant l’ère de l’AZT, c’est plus subtil, mais le problème vient aussi pour l’essentiel des médicaments. Là, on s’adressait essentiellement à une population de drogués (les homo qui étaient traités à l’époque étaient surtout des poly drogués). Le fait de prendre des drogues s’accompagne fréquemment d’une mauvaise alimentation et en faible quantité. Et comme ces gens avaient forcément souvent des maladies dues aux effets néfastes des drogues, mais qu’on attribuait à des microbes, on leur donnait des antibiotiques à répétition. Or, les antibiotiques ont un effet oxydant. Certain prenaient même des antibiotiques en continue pour éviter les maladies microbiennes. Enfin, quand ils arrivaient dans un service hospitalier, on leur donnait à nouveau… des antibiotiques. Et des antifongiques aussi parfois. Et également de l’interféron. Etc… Des médicaments aux effets oxydants, alors que justement, le problème de ces gens là était de subir un stres oxydatif très important. Alors, forcément, il y en avait qui crevaient. Et s’ils ne crevaient pas cette fois là, vu que beaucoup n’abandonnaient pas leur style de vie, ce n’était que partie remise pour la prochaine hospitalisation. On remarquera que ces gens mourraient en 2 ou 3 ans après le diagnostic de séropositivité, alors que maintenant, on dit que la période de latence avant l’apparition de la maladie est d’environ 10 ans. Bizarre, vous avez dit bizarre ?

    18 septembre 2006 à 16 h 39 min
  • sas Répondre

    A rosanov…..gratte encore e et encore et tire les bonne conclusions/ les médecins et l’ordre ont des pouvoir sociaux et judiciaires exhorbitant (telle les sectes)…regarde bien à quoi ressemble le “sigle des médecins”,car depuis la nuit des temps leur science et enseignement bordait l’occultisme et l’esotérisme tout comme les tailleurs de pierre… …..un bâton avec 2 serpents qui s’enroulent autour : ob et od et au sommet une pierre ou boule: du savoir et de l’équilibre….le caducée est un sigle puissant de l’esoterisme et en droite ligne de “la fraternité du serpent” devenu au cour du temps les illuminati….d’où leur puissance irrationnelle et leur main mise sur le pactol de la sécurité sociale par procuration. sas qui souhaite que ce mail ne soit pas encore strappé.

    18 septembre 2006 à 13 h 46 min
  • Jean-Claude Lahitte senior Répondre

    Bravo, ROSANOV, pour vos propos de sagesse, de bon sens et d’expérience. Vous avez raison de souligner que les membres du corps médical (à quelques rares exceptions près qui sont celles de fanatiques) ont de plus en plus recours aux médecines naturelles, sans parler des rebouteux, des ostéopathes (mon ostéopathe pourrait en témoigner !), etc.. D’une certaine façon, ils me font penser à ces politiciens socialistes qui prêchent la “mixité scolaire”, la carte scolaire et qui mettent leurs enfants de préférence à l’Ecole Alsacienne (quand ils en ont la possibilité et les moyens), dans le privé ou qui cherchent toutes les dérogations possibles pour choisir un Etablissement côté. Tout comme les bons camarades syndiqués de l’Education (prétendue) nationale sont les champions du passe-droit. Pas fous ! ils sont payés pour savoir le désastre scolaire qui attend leur progéniture dans des établissements à “forte mixité”(“républicaine” !) où les enseignants passent le plus clair de leur temps à essayer de faire régner un semblant de discipline ! Mais j’arrête-là, je vois déjà certain camarade s’agiter. Pas touche au Mammouth ! et, surtout, à tous ceux qui en profitent ! En commençant par les dirigeants syncalistes qui le cornaquent et dont beaucoup ont oublié ce qu’était un cours, ce qu’était un élève ! Cordialement, Jean-Claude Lahitte senior P.S. A propos de l’ostéopathie, deux remarques. En France, contrairement à la Grande-Bretagne, le traitement ostéopathique n’est pas remboursé par la Sécurité Sociale. Par contre, certains médececins (dont les soins sont remboursés par la sécurité Sociale), comprenant qu’il y avait là un “créneau” intéressant, se sont formés à cette discipline… Comme d’autres l’ont fait pour l’homéomathie (tout en restant allopathes), l’acupuncture, etc. Ne sont-ils pas devenus des commerçants ? Mais ils oublient de rappeler à leurs patients qu’ils n’ont suivi que 300 heures de formation en ostéopathie, contre 3000 pour ceux que j’oserai appeler les “vrais” ostéopathes !

    18 septembre 2006 à 12 h 41 min
  • Rosanov Répondre

    Réponse à Hélios, STP, HELIOS LE QUI_SAIT_TOUT, FAIS MOI PLAISIR DE LIRE MA PROSE. T’es complètement à coté de la plaque. Je précise d’abord que je ne rejette pas tout de la médecine classique et que je considère que bien des filous viennent se mettre dans le sillage des médecines alternatives. En dehors de ça j’estime à bien des égards en connaitre plus que les médecins (tout en ayant étudié beaucoup moins) sur la façon de gérer ma propre santé, car en général ils sont formés pour gérer la maladie et non pour maintenir la santé (comme l’a déjà très justement souligné Pierre Lance). Et puis, ça ne me met pas en confiance d’entendre des infirmières de mon entourage me dire qu’elles vont voir elles aussi le même guérisseur que moi, et pour le diagnostic STP ! Ca ne met pas en confiance quand je vois que ceux qui sont morts précocement dans ma famille sont tous ceux qui y croyaient le plus comme toi. J’attends toujours de voir où est le pouvoir exorbitant dont tu parles. Ca me fout pas en confiance quand je pense au grand cancérologue d’une ville où je me trouvais y a quelques années qui s’est suicidé en sachant qu’il avait un cancer. Ca ne fout pas en confiance non plus de savoir qu’un grand cancérologue de Caen s’est vu offert un poste en or en Suisse, après avoir été d’abord mis à l’index par notre Mafia parce qu’il avait établi un lien entre le cancer et le mercure dentaire. Personnellement, je suis très rarement malade, et consulte très rarement un médecin. Vivement le jour bénit où la sécu ne sera plus obligatoire, parce que crois moi, avec les gogos dans ton genre qui y croient encore, elle fait bien plus mal à mon portefeuille que les remèdes homéopathiques. Ce sont aussi des gogos dans ton genre qui n’ont toujours pas compris la Mafia qui sévit dans notre pays et qui au lieu de chercher à s’informer croient que les médecines parallèles s’arrêtent aux tisanes. A coté de cela, notre médecine (à quelques domaines près) reste 50 ans en arrière à la traîne derrière les Suisses, Hollandais, Allemands, les Japonais, les Coréens etc. … Faut voir aussi que toute la branche formidable des Heilpratiker allemands (reconnus et remboursés) fonctionne sur la découverte d’un généraliste français mis à l’index chez nous. Je ne me dis pas, comme tu le penses de façon totalement déplacée, que les médecins ont trop de pouvoir, mais que l’ordre des médecins a trop de pouvoir et la nuance est considérable. Et encore je ne parle pas de pouvoir médical, mais de pouvoir juridique et cette seconde nuance est aussi considérable que la première. Bref je pourrais encore t’en raconter à l’infini, mais je m’arrête là, conscient de ce que seuls les imbéciles ne changent pas d’avis.

    17 septembre 2006 à 20 h 36 min
  • Alain1 Répondre

    “Hélios à dit : Sigmund Freud dirait qu’ils cherchent à tuer fantasmatiquement le “père” c’est à dire l’autorité. Dans le cas qui nous intéresse c’est l’autorité médicale. Secouer le joug, lever le drapeau noir de la révolte, contester, c’est chercher à cacher sa vulnérabilité et son désarroi face à la maladie et surtout face aux médecins perçus comme détenteurs d’un pouvoir démesuré” C’est ça, avoir des salopards qui inventent une maladie qui n’existe pas, qui vous donnent des produits toxiques mortels, et qui vous font payer hyper cher pour ça, et chercher à les stopper, c’est tuer le père. Ben voyons. Bonjour la psychologie de bazar. Mais, même si c’était le cas, et qu’il s’agissait effectivement de tuer le père, je suis désolé, mais un père qui fait ce genre de saloperies, ben, le bon sens le plus élémentaire, c’est effectivement de le mettre hors d’état de nuire. Ne pas le faire, c’est de la connerie pure et simple, du masochisme à la con, ou du respect de l’autorité à la limite de la débilité mentale. Cela dit, je ne savais pas que c’était l’industrie pharmaceutique qui m’avait fait naitre, je croyais que c’était mes parents. Mais bon, père –> autorité, donc autorité = père pour Hélios. Et donc, combattre n’importe quelle autorité, c’est combattre le père. Voilà ce que ça donne de mettre la psychologie à toutes les sauces : du n’importe quoi. Donc, si on suit Hélios, que des enfants se révoltent contre un père qui a été abusif envers eux (genre viole, coups, etc…), ce n’est pas normal. Ce sont simplement des petits cons qui n’ont pas fini leur adolescence et qui veulent tuer le père. Et tous les problèmes avec le père, c’est uniquement dans leur tête de petits rebelles en herbe. C’est bizarre, je suis sur que dans ce cas, au contraire, Hélios trouverait parfaitement normal que le père soit chatié.

    17 septembre 2006 à 17 h 48 min
  • Laurent Répondre

    Après les 10 commandements des gauchistes et ceux des liberaux (revus et corriges), voici ceux des socio-democrates droits-de-l’hommistes et bien-pensants : 1. Tu auras le droit à un emploi rémunérateur. 2. Tu auras le droit de gagner suffisamment d’argent pour pourvoir à une alimentation, des vêtements et des loisirs adéquats. 3. Tu auras le droit de cultiver ta terre et de vendre tes produits à un rendement qui t’assurera, ainsi qu’à ta famille, une vie décente. 4. Tu auras le droit à un logement décent. 5. Tu auras le droit à des soins médicaux adéquats et à l’opportunité de jouir d’une bonne santé. 6. Tu auras le droit d’être protégé des soucis financiers de la vieillesse. 7. Tu auras le droit d’être protégé des soucis financiers de la maladie. 8. Tu auras le droit d’être protégé des soucis financiers consécutifs aux accidents. 9. Tu auras le droit d’être protégé des soucis financiers du chômage. 10. Tu auras le droit à une bonne éducation. ——————————————- Le liberal que je suis n’ajouterait qu’une seule question après chacun des commandements : Aux frais de qui? Et le conservateur que je suis ajouterait : et où se trouve la liste des devoirs?

    17 septembre 2006 à 16 h 42 min
  • kikinos Répondre

    Pour votre info, C’est pas relatif au sida mais de la même veine, j’ai trouvé quelque-chose qui nous fait réfléchir une fois de plus(c’était marqué “Link Free”); http://www.geocities.jp/rsyhs454cam_med2004/page2trans.html C’est un peu rébarbatif(ça m’a donné de la migraine), on peut donc se contenter d’en lire; 3. The End of The Materialistic Science 4. The Fatal Errors of Medical Theories 5. Live Matter “Monera” 6. Doctors with No Knowledge of Digestion/Blood-forming Mechanism En tout cas, ça m’a décoiffé et m’a donné de la force. Bonne lecture à tous.

    17 septembre 2006 à 14 h 59 min
  • dan87 Répondre

    Hélios. Je lis avec beaucoup d’attention les idées que vous défendez parceque vous les justifiez fort bien et c’est un plaisir d’apprendre dans ces conditions de respect du sens que doivent avoir les idées. Pour ce qui est du pouvoir médical, il est bien évident à mes yeux, pas aux vôtres, qu’on peut le qualifier d’écrasant à partir du moment où la participation financière à ce système est obligatoire pour tout citoyen, même ceux désireux de gérer leur santé en adulte et non en assistés. le 2ème point qui rend ce système incohérent et dictatorial est le fait qu’une fois que le citoyen considéré comme malade est plumé, des individus d’une race apparemment supérieure (ordre des mèdecins et dérivés ) choisissent à sa place les moyens et les voies à exploiter pour: ou guérir d’une maladie effective, ou organiser la préservation de sa bonne santé! Bonne santé dont je crois devoir rappeler qu’elle est naturelle dés lors qu’on en a percé les régles… naturelles. C’est ce que toute personne qui a le droit de vote , donc le droit d’intervenir sur la vie des autres devrait pour le moins exiger d’elle même: chercher en premier à assumer sa santé c’est à dire être autonome dans ce domaine comme sur le plan matériel. L’autorité dont vous parlez est-elle vraiment une autorité dés lors qu’elle veut contraindre les autres à passer par son moule de pensées tout en se déclarant non responsable des désordres consécutifs aux chemins qu’elle nous contraint à prendre par la force le la loi. Expliquez moi comment on peut être indigent sur le plan intellectuel, professionnel et moral au point de se déclarer irresponsable des contraintes que l’on impose par la force aux autres? …et se prendre pour scientifique sans fonder son raisonnement sur le réel! Expliquez moi autrement que par des idées racistes le fait que je doive croire les raisonnements d’individus qui ne croient pas eux mêmes en leurs idées puisqu’ils ne veulent pas en assumer les conséquences? Merci à Pierre Lance d’avoir provoqué des réactions. Même si Pierre lance se trompe, éventuellement, même s’il fait erreur sur la forme, ses erreurs sont des détails en comparaison des mensonges fondamentaux qui déhonorent le monde de la santé et ses buts éminemment humains.

    17 septembre 2006 à 13 h 11 min
  • Jaures Répondre

    A Gino: Vous vous trompez une fois encore. Dans l’Antiquité occidentale (soit plus d’un millénaire), l’homosexualité était un comportement normal, voire même prôné par certains philosophes (relisez le “Phèdre” de Platon). A dan87: Après le vih, voilà que l’on nie jusquà ma propre existence. Peut-être parceque ma réalité ne correspond pas à vos a priori sur un travailleur syndicaliste et socialiste. A Helios: Vos paroles sur l’homeopathie traduisent votre ignorance. Mes enfants de 11 et 14 ans n’ont pris qu’1 seule fois des antibiotique (il n’y a pas toujours d’homéopathe sur les lieux de vacances). Renseignez-vous.

    17 septembre 2006 à 11 h 45 min
  • Helios Répondre

    Nier l’existence du VIH ne fait aucun mal, pourvu qu’on s’abstienne de relations sexuelles non protégées et que l’on évite de partager des seringues avec d’autres toxicomanes. Avaler des kilos de granules homéopathiques ne fait aucun bien et aucun mal (sauf au portefeuille) à moins d’être diabétique, à cause du sucre. On ne peut rien contre une conviction ou une certitude et il n’existe pas d’anti-virus pour débarrasser les gens des idées fausses, existerait-il qu’on ne serait pas justifié de l’utiliser tant le respect de la liberté humaine est important, même la liberté de s’aveugler et d’aveugler les autres. Les négationnistes du VIH espèrent-ils interrompre la recherche dans ce domaine? Ont-ils comme objectif de retirer du marché les antirétroviraux? Voudraient-il leur substituer les tisanes et les granules homéopathiques? Probablement non, alors que cherchent-ils au juste? Sigmund Freud dirait qu’ils cherchent à tuer fantasmatiquement le “père” c’est à dire l’autorité. Dans le cas qui nous intéresse c’est l’autorité médicale. Secouer le joug, lever le drapeau noir de la révolte, contester, c’est chercher à cacher sa vulnérabilité et son désarroi face à la maladie et surtout face aux médecins perçus comme détenteurs d’un pouvoir démesuré. Cela signifie qu’il faut replacer le débat non sur le plan scientifique mais au niveau psychologique et émotionnel. Les négationnistes du VIH devraient modifier leur discours et parler des “vrais problèmes” soit de leur contentieux avec la médecine, de cette peur qu’elle leur inspire et du pouvoir médical qu’ils perçoivent (mais à tort) comme écrasant. Helios

    17 septembre 2006 à 8 h 00 min
  • dan87 Répondre

    Ameladius: Excellent rappel des principes humains, de coeur, qui fondent les mots solidarité/ charité. Les dirigeants de gauche utilise le mot solidarité pour servir leurs intérêts personnels au dériment des citoyens qu’ils obligent à être des assistés aprés les avoir plumés. La gauche se définie par son rejet de la spiritualité. Quand elle parle de coeur, elle parle de la forme et non du fond. La générosité à court terme est le moyen le plus sûr de se priver des moyens de la générosité à long terme tout en privant les individus des moyens de la réflexion individuelle concernant les choix solides sur le long terme. Exemple les 2000 milliards de dettes compris les retraites des privilégiés de la fonction publique qui exploitent leurs voisins autant que leurs propres enfants au nom de la “solidarité”. Et qui voient pas le crime collectif qu’ils organisent; braves collabos aux bonnes intentions. Comme JAURES qui joue le double jeu du type bien, propre, tout en partipant par intérêt personnel à la destruction de ceux qu’il exploite par ses privilèges, moyen bien plus pervers que le capitalisme qu’il dénonce, non sans raisons pourtant. Je n’ai jamais vu jaurès, pas plus que le virus du sida, mais au travers des idées auxquelles il s’accroche simplement parcequ’elle seraient de gauche, je peux dire sans rique d’erreur que Jaurès n’existe pas. Il n’existe pas comme être humain, c’est à dire comme adulte libre , libre parceque responsable. Pour ce qui est de l’article de Pierre Lance, il ne fait que proposer sur une page une remise en question sur un tout petit point de l’immense mensonge qui vit de la maladie dont le meilleur allié est la sécurité socia

    16 septembre 2006 à 23 h 33 min
  • Barratin I° Répondre

    Pour Ameladius : En écrivant « vraie droite », je visais plus particulièrement l’extrême droite, vous savez, celle qui trouve que Jacques Chirac est trotsko-communiste… (Réécouter les propos de Le Pen sur le sida et les « détails » de l’Histoire, par exemple) Vous vous prétendez libéral, mais ce courant de pensée n’est pas spécifiquement de droite : il existe des socio-libéraux et même des anarcho-libéraux. Mais visiblement, vous n’avez guère le sens de la nuance, vous êtes même l’archétype du manichéen, avec d’un côté les bons de droite et de l’autre les méchants de « gôche » qui enferment les gens dans des camps de concentration. (Il paraît aussi qu’ils ont un couteau entre les dents et qu’ils mangent des enfants !) Overdose de westerns de John Wayne ? Pour autant, s’il existe des libéraux de droite ET de gauche, leurs prétendues théories économiques COMMUNES n’en sont pas moins une arnaque intellectuelle, bien réelle celle-là, mais pour en discuter sereinement, il faudrait pouvoir raisonner avec des statistiques fiables et indiscutables. Or ce n’est pas possible : la mondialisation libérale s’est étendue à la quasi-totalité de la planète, s’est encore renforcée après l’effondrement de l’URSS, et tous les médias appartiennent aux grandes puissances financières. (Ce qui d’ailleurs ne vous empêche pas d’affirmer sans rire que la presse est totalement verrouillée par la « gôche » !) Ainsi, des budgets colossaux sont consacrés pour nous enfoncer dans le crâne qu’il n’est rien de meilleur que l’économie de marché et mettre en œuvre son corollaire le suffrage universel, ou plus exactement cette parodie de démocratie conçue exclusivement pour pérenniser l’ordre établi, quelle que soit l’issue du scrutin. Bref, la « main invisible du marché » a montré son œuvre sur tous les continents : croissance exponentielle des inégalités, récession économique, pillage irrémédiable de la planète, dictateurs mis au pouvoir par des « démocraties » dans tous les pays du tiers-monde dont les richesses sont convoitées, recul très inquiétant des libertés individuelles, menaces sanitaires, conflits armés sur tous les continent, flux migratoires sans précédents, violation de la souveraineté des états, mépris total du droit international, mensonges d’état, crimes de guerre envers les populations civiles… Les coupables ? Ils sont tout trouvés, puisque Ameladius et ses petits laudateurs qui ont tout compris les pointent du doigt : l’héritage de Staline, celui de Mahomet et, bien sûr, pas assez de LIBERALISME !

    16 septembre 2006 à 23 h 31 min
  • Gino Répondre

    A Jaurès, je vais bouffer là et j’aime pas chicaner (et pour te répondre on est forcément obligé de chicaner), parce qu’il parait que c’est pas bon de chicaner avant de bouffer. Mais juste avant quand même je tiens à te dire 2 choses vite fait. Primo tu mets dans le même sac un gaucher et un homo. Ca prouve à quel point tu peux être vicelard quand même. Les homos ont été toujours mis à l’index, sauf dans les périodes de décadence. Les gauchers l’ont été à l’inquisition; mais à cette periode tout le monde était mis à l’index. Sinon je voulais également te dire que ton conseil de parler de Pierre Lance à mon médecin de famille, je m’en tape parce que j’ai pas de médecin (que ce soit de famille ou autre).

    16 septembre 2006 à 19 h 37 min
  • AMeladius Répondre

    J’avais oublie les deux derniers commandements: « Le riche et le puissant, tu vénèreras, » Le riche qui a gagné sa fortune par son travail HONNETE n’a rien à se reprocher. Quant au culte du chef ou du puissant, à nouveau c’est l’hôpital qui se fout de la charité ! Les libéraux sont pour la séparation stricte des pouvoirs, les contre-pouvoirs, le partage du pouvoir. En aucun cas derrière les puissants… « Le partage, tu exècreras, » Oui, le partage forcé, le communisme nous exécrons. Mais partager volontairement, autrement dit la charité, nous sommes pour. Quand a votre post, je vous réponds : « La réalité, c’est que les ressources naturelles s’épuisent, la pollution explose, le climat se dérègle, la surpopulation va bientôt atteindre un seuil insupportable… » Vous NIEZ la réalité, sans même vous en rendre compte. – Une ressource naturelle, en soi, ca n’existe pas ! C’est le génie humain qui transforme une matière quelconque en ce qu’on appelle ressource naturelle. En gros, avant l’invention du moteur à explosion, le pétrole existait déjà, mais ne servait à RIEN, ce n’était pas une ressource naturelle. Avant l’invention du microprocesseur, le silicium existait déjà, mais ne servait à rien. Une ressource naturelle n’existe QUE parce qu’un homme lui a inventé un usage. L’age de pierre s’est terminé, pourtant on n’avait pas épuisé le stock de pierre. L’age du bronze, du fer, du charbon se sont terminé bien qu’on n’ait pas épuisé le bronze, le fer, le charbon … L’age du pétrole se terminera, lorsqu’on aura inventé une meilleure source de carburant. Il ne se terminera pas à cause d’un épuisement du pétrole. Les malthusiens et le club de rome se trompent LOURDEMENT. (selon le club de rome nous ne devrions déjà plus avoir de pétrole ni de cuivre ni d’autres « ressources naturelles » !) Pour vous cultiver à propos de la pollution et l’épuisement des ressources lisez BJORN LOMBORG « L’ecologiste sceptique ». Voici des FAITS, et non pas les litanies des médias : -Les réserves des principales matières premières sont plus élevées de nos jours que dans les années 70. -La pollution de nos jours dans les pays développés est de loin plus faible qu’au milieu du siècle. « « L’antisemitisme (renommé antisionisme), l’antiamericanisme, l’antioccidentalisme, le nihilisme tu chériras » Si c’est ainsi que vous nommez l’anti-impérialisme, le rejet du néocolonialisme et d’une uniformisation des valeurs sur le mode du capitalisme triomphant anglo-saxon, j’accepte volontiers la critique. » Je n’utilise pas la NOVLANGE des gens de gauche ! Je répète les gens de gauche chérissent l’antisémitisme, l’antiaméricanisme, l’anti-occidentalisme et le nihilisme. « Pour synthétiser, les « gochos » ne sont que des feignants » Exact. Puisqu’il faudrait selon vous prendre à la fourmi son bien, pour nourrir la cigale ! « des amoraux » OUI. Puisque quand Cohn Bendit faisait l’apologie de la pédophile, Jack Lang et la gauche le défendaient, puisque la gauche défend le terroriste Batistat contre la justice italienne, puisque la gauche soutenait le terroriste Arafat, puisque la gauche admire le dictateur castro, chavez … Puisque la gauche c’est « faites ce que je dis, pas ce que je fais » Ex : – Contournement de la carte scolaire par les personnalités de gauche pour leurs enfants, mais les prolétaires eux ne devraient pas le faire … – Promotion de la mixité sociale pour les gens du commun alors que les « intellectuels » de gauche vivent coupés des immigrés et des pauvres dans les beaux quartiers parisiens … « des odieux personnages, des assassins » OUI, puisque la gauche a soutenu Lenine, puis Staline, puis Mao, puis Pol Pot (Cf titre du monde lors de la « libération de Pnom Penh », puis Castro, à présent Chavez … « je n’ai fait que reprendre une petite partie de ce que je lis sur ce site et qui reflète bien ce que pense la droite extrême. (Pour ne pas dire l’extrême droite !) » Effectivement, je pense également qu’il y a des gens d’extrême droite sur ce site, mais de loin pas tous. Ils se reconnaissent à leur haine des juifs, des américains, du libéralisme. Mais il y a beaucoup d’autres personnes ici qui ne sont nullement d’extrême droite. « Alors, relisez-moi, puis relisez-vous et voyez où se niche le plus de haine. » Le plus de haine se trouve chez ceux qui persécutent leurs contradicteurs qui leur refusent une représentation nationale, accès aux médias, tout en se vantant d’être des parangons de morale et d’être les défenseurs de la démocratie. Chez ceux qui haïssent les Américains, les Juifs, les patrons, les entrepreneurs, le premier de la classe, celui qui gagne plus que soi, celui qui réussi mieux que soit … Le plus de haine se trouve chez ceux qui se sont toujours trompé dans l’histoire, qui ont toujours choisi la mauvaise cause à défendre (le léninisme puis le stalinisme puis le maoïsme à présent l’islamisme …), qui ont refusé de se battre lorsque c’était inévitable (accord de Munich, pacifisme à deux balles qui à cause la perte du Vietnam, où en est-il à présent ? Comparez avec la Corée du Sud !) et qui refusent de voir le nouveau totalitarisme étendre son voile sur le monde … Voilà Cordialement A. Meladius

    16 septembre 2006 à 18 h 35 min
  • AMeladius Répondre

    Pour Baratin Ier : Etant donne que vous commentez mes commandements des gens de gauche, je vais également vous faire-part de mon avis sur vos commandements des gens de droite : « L’existence du sida, tu nieras » Vous-même admettez que ce commandement n’a aucun fondement, donc on est d’accord. « La réalité de la Shoa, tu contesteras, » 1. La vrai droite (conservatrice libérale) n’est pas antisémite et ne nie donc pas la shoa. Cf Villier, les républicains US, la CDU allemande, Azenar … 2. L’antisémitisme actuel est dû à la propagande télévisuelle des médias de GAUCHE qui en tant qu’idiots utiles font le jeu de leurs amis islamistes. 3. La gauche est de plus en plus contaminée : cf Les « Morts aux Juifs » scandés dans une manifestation du MRAP, le tabassage de pacifistes juifs de gauche dans une manif anti-bush, les propos antisémites de Bovés, Dieudonné, certains articles antisémites du Monde, certains dessins antisémites de Serguei et Plantu, les alliances islamistes/gauchistes (Tarik Ramadan au forum social européen) etc … « Le Capitalisme, tu adoreras » Commandement parfaitement exact. Car le capitalisme c’est ce qui fait que chacun à une voiture même le prolétaire, alors que le socialo-communisme c’est ce qui vous fait attendre 2h dans une queue pour vous entendre dire qu’il ne reste plus de pain et qu’il faut repasser demain à la coopérative ! « La solidarité, tu détesteras, » A nouveau commandement parfaitement exact. Car la solidarité socialiste n’est absolument pas souhaitable. Elle OBLIGE des gens à « donner » à d’autres de l’argent qu’ils ont gagné par leur labeur. C’est donc du vol. De plus moralement, il n’y a aucune grandeur d’âme à donner quelque chose sous la contrainte de l’état. Enfin, comme on donne déjà sous la contrainte à l’état beaucoup d’argent devant prétendument être employé à aider les pauvres, on devient moins généreux individuellement. On se dit « L’état est la pour s’occuper des pauvres » et on se défausse sur lui. Donc la « solidarité » imposée rend plus égoïste. Comme toujours les principes socialistes sont contre-productif ! Nous, la vrai droite sommes pour la « CHARITE ». La charité est nettement supérieure moralement et dans ses résultats à la solidarité socialiste. En effet quoi de plus noble que de donner VOLONTAIREMENT à autrui ? Quand aux résultats voir les fondations aux USA qui aident les pauvres (ex Bill Gates) « En la main invisible du Marché, tu croiras, » Commandement parfaitement exact. « L’État Providence, tu honniras, » Commandement parfaitement exact. « L’Islam, tu combattras, » Commandement parfaitement exact. En effet les conservateurs libéraux se sont toujours battus contre les totalitarismes. D’abord contre les nazis, puis contre vos amis socialo-communistes, enfin contre les islamistes. « Ceux qui ne vivent ni ne pensent comme toi, tu rejetteras, » Commandement de gens de gauche, mais pas de droite. Les spécialistes des camps, des internements psychiatrique, des rééducations ce sont bien vous les gens de gauche. Le politiquement correct de la gauche, l’opprobre jetée sur les gens de droite ne vous dit rien ? Seriez-vous également hypocrite ? Cordialement A. Meladius

    16 septembre 2006 à 17 h 57 min
  • Jaures Répondre

    Que ceux qui ne croient qu’en ce qu’ils voient m’affirment avoir déjà vu une asymptote. Je suis curieux de recueillir leur témoignage. La statistique du jour (revue médicale “The Lancet” juin 2006). Etude sur 22 200 patients européens et américains de 1995 à 2003: Les séropositifs homos sont passés de 56 à 34 %. Les hétéros de 20 à 47%. On sait que les homos, premières victimes du sida ont été les premiers à réagir en se protégeant. Cher Gino, je vous laisse la responsabilité de vos commentaires gras sur une communauté qui a compté entre autres, Michel-Ange, Tchaikovsky, Proust, Gide, Wilde, … Cette “déviance”, on disait ça également des gauchers (“la main du diable”) il y a quelque temps, n’exclue pas le talent. Comme l’hétérosexualité, vous en ètes la preuve, n’implique pas le bon sens. Enfin, pour ceux qui seraient troublés par la patamédecine qui hante ce site, je vous invite à vous adresser à votre médecin de famille. Soumettez lui les articles de Lance et leurs commentaires. Après, décidez en toute conscience. Ca vous regarde.

    16 septembre 2006 à 16 h 35 min
  • richard Répondre

    j’aime bien Pierre LANCE.Je ne sais d’ailleurs pas pourquoi?peut être parce que il met les pieds dans le plat, et ouste cela ne veut pas dire que je l’approuve à chaque fois… car il pose aussi les pieds en dehors de ses pompes,probablement victime de la pollution médiatique qui nous entoure, ce qui est peut être une excuse? alors pourquoi s’emballer!

    16 septembre 2006 à 15 h 59 min
  • Jean-Claude Lahitte senior Répondre

    A GRANDPAS. Diatribe ? où sont les “injures” que j’aurais prodigué à votre égard. OU même les propos violents. Lesquels n’auraient jamais répondu qu’à la façon injurieuse dont vous traitez ceux qui ont la chance de ne pas croire, ou de ne plus croire, aux “bienfaits” des vaccins, ou des médicaments, ou qui doutent de l’existence d’un prétendu “virus du sida” que personne ne prétend avoir vraîment “isolé”. Permettez-moi, ne voulant pas me répéter (même si l’ancien publicitaire que je fus aussi connaît les pouvoirs de la répétition) de vous suggérer le message que j’envoie, sur je ne sais plus quel partie de ce forum, à HELIOS. Vous verrais que je n’y manie ni la véhémence, ni les injures, et par voie de conséquence la “diatribe”. Cordialement, Jean-Claude Lahitte P.S. BLACKMETAL4EVER. Répondre à votre double question serait long. Lisez plutôt le livre dédjà cité de “Sylvie SIMON”, “Vaccination, l’overdose” (édition “déjà”)qui “démonte” plusieurs vaccins… Sachez quand même, pour la “polio”, que celle-ci sévissait particulièrement aux Etats-Unis du fait que les piscines privées étaient très développées, et qu’on ne les “traitaient” pas. Ce qui en faisait de véritables bouillons de culture. La “polio” a commencé à être éradiquée à partir du moment où on a su “traiter” l’eau des piscines. La courbe, en baisse, de la polio a recommencé à “monter” lorsqu’est apparu le premier vaccin ! Sachez qu’un de mes petits-cousins a attrapé la polio alors qu’il venait d’être vacciné ! Il est aujourd’hui infirme à vie et porte une sorte d’attelle mobile métallique. Doctement, le médecin avait expliqué à ses parents que s’il n’avait pas été vacciné, il serait mort … D’une manière générale, la disparition des maladies endémiques tient UNIQUEMENT à la mise en oeuvre de précautions sanitaires et hygiéniques : faire bouillir l’eau, se laver les mains, manger des aliments frais (grâce au réfrigérateur), contrôler l’état sanitaire des produits alimentaires, etc. TOUT LE RESTE N’EST QUE DU BONIMENT bon à enrichir les laboratoires !

    16 septembre 2006 à 15 h 34 min
  • olécrane Répondre

    j’avais calculé en son temps un jour où, comme cela m’arrive encore souvent, je n’avais rien à faire de bien particulier, qu’une dilution à ch30 (la plus diluée et donc, pour les tenants de l’homéopathie, la plus active) devait bien correspondre à quelque chose… je me souviens du résultat de cette cogitation déja ancienne qui m’était apparu dans toute sa rigoureuse splendeur enveloppé dans une formule logarithmique. prenez 1 gramme d’un produit quelconque et diluez le dans de l’eau. lorsque vous arriverez à ch30 votre gramme sera dilué dans un certain volume d’eau. en représentant ce volume par une sphère on en calcule le rayon. et bien tenez vous bien. ce rayon n’est pas l’équivalent de marseille paris ou de moscou sidney ni terre lune ni terre soleil. ce rayon est égal à la distance entre le système solaire et l’étoile polaire. quelque chose comme 400 années lumière. encore plus grand que le goufre de la sécu. l’homéopathie ne guérit rien puisque il n’y a rien dans un tel granule. ce qui “guérit” c’est la personnalité du prescripteur. comme cela ne coûte pas plus cher que l’allopathie il n’y a aucune raison d’être contre l’homéopathie.

    16 septembre 2006 à 15 h 33 min
  • Saint-Tex Répondre

    L’homéopathie est efficace car depuis le temps que des millions de gens l’utilisent, si elle était un placébo, elle aurait été passée par la trappe depuis des siècles (Pour info, Hahnemann ne l’a pas inventée, il n’a fait que terminer les travaux de plusieurs générations d’alchimistes). Partout, les humains se fient à ce qui marche, c’est une règle logique. Réflechissez ! Dire qu’elle fonctionne par effet placébo c’est avouer que finalement, on peut se soigner par la force de persuasion, donc exit les médicaments… Quant au prix des tubes de granules, c’est vraiment pas la ruine. Il faut par ailleurs être complètement con pour croire qu’un médicament remboursé par la sécu l’est parce qu’il est efficace. Efficace à tuer aussi (risque iatrogène) ? Je me marre généralement avec le niveau de reflexion des Français vis à vis des soins de santé. Ils n’ont pas compris ce qu’on compris les autres européens, notamment les Espagnols : Si on veut être remboursé, on a des soins express de merde, mais si on veut vraiment être soigné, on paye de vrais soins attentifs de notre poche. Sachez que beaucoup de mes amis médecins sont d’accord avec cette formule, par la force des faits : On ne peut pas faire de vraie médecine lors de consultations de 15 minutes payées 21 euros. J’ai oublié de dire aussi que le sida était également provoqué par les transfusions, surtout par excès. Les hémophiles en ont fréquement et celà bousille leur immunité à la longue. D’où l’intérêt du sérum de Quinton (eau de mer purifiée et déssallée à 0.9%) qui remplace le sang à la perfection. Moins de 20 euros la poche contre 900 euros pour le sang et 2000 euros pour les plaquettes. Vous pigez le business ? Les travaux de Quinton (1912) ont été revalidés lors d’un congrès médical fin 2003. L’usage de son sérum aurait évité l’affaire du sang contaminé.

    16 septembre 2006 à 13 h 53 min
  • Gino Répondre

    A Jaurès, sur le chapitre des homos je me marre. Décidément, comme je disais, cette réflexion de Pierre Lance t’a bien fait monter au créneau. Je pourrais ajouter que la plupart des homos que je connais sont mal dans leur peau. Mais désolé tu diras qu’aucune statistique ne le confirme, et que toi ton voisin est justement homo et qu’il est radieux. Sinon je vais me laisser entraîner sur ton chemin de fadaises qui éloignent, comme presque toujours avec toi, du sujet de départ. Ainsi pour toi le sida toucherait donc les milieux hétéros en priorité. Je ne suis pas sur que ce soit vrai, puisque chaque fois qu’un séropo est interrogé à la TV, il a généralement les manières d’un homo. Faudrait que tu m’expliques pourquoi. Faudrait surtout distinguer ceux qui sont contaminés (du moins séropositifs) suite à sodomie des autres (contaminés par transfusion par exemple). Et là les homos tiendraient le haut du pavé. Sinon je ne suis pas homophobe comme tu le prétends, mais j’ai une réaction de dégoût instinctif à l’égard de cette déviation (j’ai bien dit déviation, pour te donner matière à répondre), ceci comme il se doit quand on est normalement constitué. Sinon j’aime bien ta vanne adressée à Olécrane : en critère d’efficacité d’un médicament, le fait qu’il est remboursé par la sécu. Elle est bonne celle-là. (Ca ne m’empêche pas de croire en partie à l’homéopathie, je précise comme tu t’apprêtais sûrement à trouver là encore matière à chicane).

    16 septembre 2006 à 8 h 01 min
  • kikinos Répondre

    Monsieur Jaures, Vous dites; “… De plus, le sida touche aujourd’hui en majorité les milieux hétéros…” Mais c’est justement ce constat qui est déjà le résultat de la manipulation. Je vous supplie de prendre la peine de lire attentivement le livre en question. Vous le comprendrez sans aucune difficulté.

    16 septembre 2006 à 0 h 45 min
  • olécrane Répondre

    de jaures:”L’homeopathie n’est pas une religion, il ne s’agit donc pas d’y “croire”, mais une technique médicale qui a fait ses preuve. Des médecins spécialisés la prescrivent chaque jour à des millions de patients qui en sont remboursés par la sécu.” c’est comme le virus du sida. lui on ne le voit pas mais…il existe. l’homéopathie il n’y a rien dans le granule mais…ça marche. il y a des choses formidables…

    15 septembre 2006 à 23 h 03 min
  • Jean-Claude Lahitte senior Répondre

    Effectivement, JAURES, l’homéopathie a fait ses preuves. Ce qui n’empêche pas la Médecine officielle, avec la complicité des fonctionnaires socialistes qui dirigent le Ministère de la santé et ceux de la Sécurité “socialiste”(1) de tenter régulièrement le non- remboursement des produits homéopathiques. Comme disait une publicité “Clio”, “pas assez cher, mon fils !”. Oui, parce qu’ils sont beaucoup moins chers que les médicaments allopathiques, les médicaments homéopathiques sont de moins en moins bien remboursés. En mettant bien sûr en doute leur efficacité. Et pendant ce temps, les gouvernement successifs dépensent l’argent des contribuables pour les inciter à “consommer” des “génériques” qui sont tout aussi nocifs (contrairement aux médicaments homéopathiques !) que les produits qu’ils sont sensés remplacer à meilleur prix ! Encore un bel exemple du socialisme étatique ! Cordialement, Jean-Claude Lahitte senior (1) lapsus volontaire

    15 septembre 2006 à 21 h 54 min
  • Barratin I° Répondre

    Pour répondre à Ameladius : « Le reel, tu nieras » La réalité, c’est que les ressources naturelles s’épuisent, la pollution explose, le climat se dérègle, la surpopulation va bientôt atteindre un seuil insupportable… Qui nie ce que l’on peut toucher du doigt chaque jour ? « L’antisemitisme (renommé antisionisme), l’antiamericanisme, l’antioccidentalisme, le nihilisme tu chériras » Si c’est ainsi que vous nommez l’anti-impérialisme, le rejet du néocolonialisme et d’une uniformisation des valeurs sur le mode du capitalisme triomphant anglo-saxon, j’accepte volontiers la critique. « L’international et le national socialisme (marx, lenine, trotsky, mao, castro, pol pot, mengistu, hitler …), tu adoreras » Amalgames absurdes et présupposés sans fondement. Il est inutile que je réponde ensuite point par point, car vous ne développez plus aucune idée nouvelle et ne faites que des procès d’intention. Pour synthétiser, les « gochos » ne sont que des feignants, des amoraux, des odieux personnages, des assassins, des sous cultivés, des abrutis, des aigris, des envieux, des profiteurs… Contrairement à vous, je n’ai exprimé aucun a priori, puisque je n’ai fait que reprendre une petite partie de ce que je lis sur ce site et qui reflète bien ce que pense la droite extrême. (Pour ne pas dire l’extrême droite !) Sauf en ce qui concerne le sida : il est vrai que cette négation de la maladie n’est pas majoritaire à droite, mais ça, c’était juste un effet de style… Alors, relisez-moi, puis relisez-vous et voyez où se niche le plus de haine.

    15 septembre 2006 à 21 h 51 min
  • blackmetal4ever Répondre

    petite question a MR lahitte: puisque la vaccination est bonne pour les gogos pouvez vous m expliquer comment la variole et la polio ont ete quasiment eradiquer? merci

    15 septembre 2006 à 21 h 46 min
  • Laurent Répondre

    Baratin 1er : pour votre info, la vraie droite (liberale), c’est exactement l’antithese des 10 commandements d’Ameladius (au passage, bravo pour cette excellente definition des socialo-communistes). Et notez bien que, en tant qu’homme de “droite” liberale (cad liberal politique et conservateur moral): je ne nie pas l’existence du sida ni la realite de la Shoah; je deteste la solidarite IMPOSEE mais partage volontiers avec qui je choisis et quand je le choisis; je ne rejette pas ceux qui ne pensent pas comme moi mais je tente de les convaincre; j’admire le riche qui doit sa richesse a son travail, son ingeniosite, sa prise de risque; et j’honnis le puissant qui contraint les autres par la force et la menace. Bien a vous, Laurent

    15 septembre 2006 à 21 h 34 min
  • Saint-Tex Répondre

    Je félicite AC, Alain 1er et Kikinos pour leur réflexion et leur démarche pour comprendre, par la lecture et la cogitation. Respect. J’applaudie Améladius pour sa riposte excellente avec les 10 commandements du gauchiste. C’est la réalité vérifiable chaque jour, hélas. Gino et Olécrane me semblent lucides. Bravo. Par contre, Etonnée mélange tout : sida, virus, tuberculose, épurations, bref, un magma lyrique de bonne conscience qui n’est pas de sa faute, j’ose l’espérer, mais le témoignage de ce que les journalistes ignares injectent dans les cerveaux faibles des gens qui avalent le “prêt-à-penser” des médias sans jamais en douter 30 secondes. La TV a raison, donc tous les autres ont tort. J’appelle ces gens là le bétail des bourreaux. Donc je répète, 20ème édition : LISEZ, et RE-FLE-CHI-SSEZ. -Aucune étude n’a prouvé à ce jour que le HIV déclenche quoi que ce soit. -Il n’est nul besoin du HIV pour déclencher un sida. Les drogues suffisent, appuyées par la malnutrition bien connue chez les drogués (pour économiser et se payer la drogue) et dans le 1/3 monde. -Par drogues, on entend aussi médicaments avalés par dizaines chaque jour pour beaucoup de gens et notamment l’AZT bien connu pour être hypertoxique. Maintenant, arrêtez les délirium trémens de complots antijuifs ou noirs, ou communistes ou autres. Quant aux homos, il sont généralement adeptes des drogues et c’est par leur usage des poppers (PCP) qu’ils développaient le sarcome de kaposi. Le HIV n’y était pour rien et les scientifiques ont demandé de pardonner leurs conclusions hatives. Donc les homos ne sont pas atteints par le fait d’être homos mais simplement drogués. J’ai deux amis homos qui se portent bien car ils ne se droguent pas. Point. En tant que scientifique, je pourrais en dire plus mais ce serait trop long et non compris par les gens ignorants et, en plus, de mauvaise foi. Que peut-on contre ceux qui veulent croire aveuglément que la terre est cubique ?

    15 septembre 2006 à 21 h 19 min
  • chevalier teutonique Répondre

    Cher Monsieur Jaurès-l’-importance-de-l’-origine-sociale, ayez le courage de regarder les résultats de QI de la pauvre Chine de 1980. http://www.vdare.com/sailer/060423_lynn.htm

    15 septembre 2006 à 21 h 00 min
  • Jaures Répondre

    A Alain 1: Mefiez-vous de ce genre d’étude. Une autre, également d’origine américaine comparait les QI des Noirs, des Latinos et des Blancs. Les Blancs arrivaient largement en tête devant les latinos et les Noirs. Mais une contre-étude comparant les mêmes en respectant les clivages sociaux arrivait à un résultat inverse. Que veut-dire une étude de 170 cas sur une communauté égale à environ 10% de la population (soit, aux E.Unis… 25 millions d’individus). Si la drogue était la seule explication au sida dans les pays industrialisés, celui-ci serait apparu dans les années 60-70 alors que se droguer était dans l’air du temps. De plus, le sida touche aujourd’hui en majorité les milieux hétéros. A Gino: Les 2 seuls arabes de mon entourage (mes voisins) sont tous livreurs de pizza. Soit une proportion bien plus élevée que la moyenne des Italiens qui sont autour. Plus sérieusement, P.Lance sait de façon pernicieuse se mettre son public dans sa poche en flattant son homophobie latente.Pas de quoi être fier. A Olécrane: L’homeopathie n’est pas une religion, il ne s’agit donc pas d’y “croire”, mais une technique médicale qui a fait ses preuve. Des médecins spécialisés la prescrivent chaque jour à des millions de patients qui en sont remboursés par la sécu.

    15 septembre 2006 à 13 h 22 min
  • Ameladius Répondre

    Pour Jaures et Baratin Iier: Voici les dix commandements des aficionados de la gauche : 1) Le reel, tu nieras, 2) L’antisemitisme (renommé antisionisme), l’antiamericanisme, l’antioccidentalisme, le nihilisme tu chériras, 3) L’international et le national socialisme (marx, lenine, trotsky, mao, castro, pol pot, mengistu, hitler …), tu adoreras, 4) La liberte, la responsabilite tu détesteras, 5) En les utopies totalitaires et mortiferes, tu croiras, 6) Les USA, Israel, l’occident tu honniras, 7) Le travail, le merite, l’honneur, le courage, la verite tu combattras, 8) Ceux qui ne vivent ni ne pensent comme toi, tu extermineras, 9) Le guide supreme (marx, lenine, trotsky, mao, castro, pol pot, mengistu, hitler …), tu vénèreras, 10) Les individus, tu exècreras, Et pour conclure, de l’histoire jamais aucune lecon tu ne tireras et tu soutiendras a chaque fois le nouveau totalitarisme (aujourd’hui tu es l’idiot utile des islamistes … )

    15 septembre 2006 à 12 h 29 min
  • kikinos Répondre

    J’ai lu “Les 10 plus gros mensonges sur le sida”. (et relu par endroits car il fallait dès fois m’accrocher à des détails scientifiques pour bien comprendre.) Merci, Monsieur Lance, de nous en avoir conseillé la lecture. A mon tour, j’en parle déjà à tous mes êtres chers pour qui je ne souhaite pas la mort bête.

    15 septembre 2006 à 9 h 35 min
  • Gino Répondre

    A Jaurès, Décidément tu insistes lourdement sur la réflexion de Pierre Lance qui estime que les homos sont plus toxicos que la moyenne. On dirait même que ça t’a touché. Je me marre ! En ce qui me concerne, j’ai trois homos dans mon entourage professionnel. Sur ces trois, deux prennent de la dope effectivement ; soit bien plus que la moyenne des hétéros qui sont autour. Notons aussi qu’en France, contrairement à bien d’autres pays, on n’a pas le droit (mais quel droit finira t’il par rester ?) de faire des statistiques basées sur l’ethnie, la religion, la race etc … Certes, cette interdiction a des bons cotés. Malheureusement elle permet à certains comme toi de crier au blasphème à tout propos. Entre toi et Pierre Lance je pense bien que c’est toi le désinformateur qui divagues. Ah la censure est bien une maladie obligée des gauchistes !!!

    15 septembre 2006 à 5 h 31 min
  • Alain1 Répondre

    Pour la consommation de drogue de la part des homosexuels au début des années 80 (puisque c’est de cette époque dont on parle), je pensais aussi que ça ne devait être le fait que d’une minorité. Ben, apparemment, pas du tout. Voilà ce qu’en dit une étude du CDC, datant de 1983, citée dans le livre “les 10 plus gros mensonges sur le SIDA”, et portant sur 170 homos vivant aux USA, dont 50 étaient déjà en état de SIDA déclaré. Drogues consommées ; pourcentage d’utilisateurs Poppers ; 96 % Chlorure d’Ethyle ; 35 à 50 % Cocaïne ; 50 à 60 % Amphétamines ; 50 à 70 % PCP ; 40 % LSD ; 40 à 60 % Méthaqualone (médicament psychotrope) ; 40 à 60 % Barbituriques ; 25 % Marijuana ; 90 % Heroïne ; 10 % Aucune drogue ; aucun cas rapporté Donc, forcément, avec toutes les saloperies absorbées, c’est sur qu’il devait y en avoir un sacré paquet qui devait devenir malade. C’est la raison pour laquelle les dissidents disent que le style de vie homo au début des années 80 suffisait déjà amplement à expliquer les maladies qui frappaient ceux-ci. Heureusement, il semble que la consommation des drogues dans le milieu homo masculin a très fortement chuté par la suite.

    15 septembre 2006 à 1 h 01 min
  • grandpas Répondre

    Monsieur Lahitte J’avais repondu à votre diatribe mais apparemment,ce doux mot n’est pas passé. Si moi je suis entouré de certitudes et bien c’est l’ hôpital qui se moque de la charité.

    14 septembre 2006 à 22 h 47 min
  • olécrane Répondre

    de Zermikus: “le médecin est un “ordonateur”, il ordonne ce que les délégués médicaux lui prescrivent” et c’est tout-à-fait vrai…mais que faire d’autre ? de l’homéopathie ? si l’on y croit aprés tout pourquoi pas ? mais là je doute encore plus quant à l’approche de la maladie et de son traitement !

    14 septembre 2006 à 20 h 58 min
  • Barratin I° Répondre

    Les dix commandements des aficionados de la « vraie droite » : 1) L’existence du sida, tu nieras, 2) La réalité de la Shoa, tu contesteras, 3) Le Capitalisme, tu adoreras, 4) La solidarité, tu détesteras, 5) En la main invisible du Marché, tu croiras, 6) L’État Providence, tu honniras, 7) L’Islam, tu combattras, 8) Ceux qui ne vivent ni ne pensent comme toi, tu rejetteras, 9) Le riche et le puissant, tu vénèreras, 10) Le partage, tu exècreras, Et pour conclure, de la vie, jamais rien tu ne comprendras.

    14 septembre 2006 à 20 h 16 min
  • Jaures Répondre

    A J.C.Lahitte: la phrase que vous citez est joliment écrite mais vide de sens (peut-être hors de son contexte). Pourquoi la nouvelle théorie serait forcément juste ? Doit-on prendre au sérieux les théories qui affirment que les attentats du 11 septembre ne sont qu’un vaste complot ? Que la shoah n’a jamais existé ? Que la Terre a été créée en 7 jours ? Par ailleurs comment prendre au sérieux un P.Lance lançant comme argument que “la plupart des homosexuels sont toxicomanes”. Pourrait-on prèter attention à une théorie s’appuyant sur une pareille idée reçue de brève de comptoir ? Pour son prochain article, P.Lance va-t-il nous servir des “la plupart des noirs ont le rythme dans la peau”. Enfin, ne pas être dupe de ces sottises ne veut pas dire montrer allégeance à l’ensemble du corps médical: je me suis insurgé contre la récente mise en cause de l’homéopathie dont j’ai la preuve chaque jour de l’efficacité (lorsqu’elle est prescrite par un médecin).

    14 septembre 2006 à 19 h 24 min
  • olécrane Répondre

    ce qui est irritant avec “le sida” c’est le cinéma fait autour de cette maladie par ces associations multiformes: elles luttent. rien que ce mot à consonnance marxotrotskiste me hérisse. voyez vous un tel ramdam pour les autres maladies et malades ? voyez vous autant d’excités sur les radios et tv venir faire les intéressants et nous dire comment penser et faire ? aprés tout il n’y a pas que les malades du sida – que l’on traite médiatiquement comme des chevaliers des temps modernes – qui sont dignes d’intérêt et de compassion.

    14 septembre 2006 à 18 h 51 min
  • Zermikus Répondre

    Ah la la….. Que le sida existe ou pas, cela n’a guère d’importance sur la finalité de la chose… Faut-il le rappeler ? “Tout bien portant est un malade qui s’ignore”… J’ai joué Knock dans ma jeunesse… A l’apoque, cela m’avait beaucoup amusé, au soir de ma vie, sa vérité douloureuse me fait vraiment souffrir… J’ai eu l’idée d’écrire un livre un jour, je voulais l’appeler : “La maffia médicale”. Et en cherchant un peu, je me suis aperçu qu’il était déjà écrit…(Mais difficile à trouver : vous avez dit … bizarre ?…) Le “médical” n’est pas là pour guérir les gens, mais pour retarder leur moment de mourir. Quel est le secteur le plus en croissance dans nos pays avachis ?…. Evidemment, me direz-vous, les gens se soignent d’avantage… Cela veut donc dire qu’il y a de plus en plus de malades !… Et comme on les “traîne” plus longtemps, ils meurent (statistiquement), plus âgés… Enfin, en France, nous avons la carte de fidélité… Mon “révérend” (ne se prennent-ils pas pour des dieux), s’est complètement emporté – manque flagrant de contrôle chez un sbire à qui je devrais confier ma maladie (pour la santé, je n’ai pas besoin de lui), oui, il s’est emporté quand je lui ai demandé si j’aurai droit à une petite ristourne ou un visite gratuite au bout de la 15ème visite, ou autre chose, comme une boîte d’aspirine, qui peut toujours servir. Hélas, le grand homme s’est fâché rouge de colère, ne comprenant pas qu’un imbécile qui refuse le terme de “patient” se permette en plus de douter de sa supériorité…. Pauvre âne : le médecin est un “ordonateur”, il ordonne ce que les délégués médicaux lui prescrivent…. Et les contribuables bouchent le sécu-trou…

    14 septembre 2006 à 18 h 28 min
  • AC Répondre

    Comment pensez-vous que les mentalités puissent évoluer? On est “vacciné” à coup de désinformation, et si quelqu’un ose émettre un avis contraire, on le met au placard en le traitant d’idiot. Heureusement qu’il y a encore quelques uns qui osent dénoncer les abus de nos “bienfaiteurs” de tout bord. Je vous invite à aller lire un article parut sur le forum de ce site; vous allez page 46 (pour le moment) le titre: “grippe aviaire et le nouvel ordre mondial”. Lisez le plusieurs fois……et réfléchissez ! On y parle d’épuration par la maladie, mais dans les pays dit riches, il faut aussi que la maladie rapporte. Et si vous en voulez plus, relisez “le malade imaginaire” de Molière. Précurseur ou idiot?

    14 septembre 2006 à 17 h 29 min
  • étonnée Répondre

    ça c’est sûr,tant qu’on se borne à lire, il me paraît difficile de se faire une idée. On peut trouver tout et son contraire dans la littérature . Et un immense tas de bêtises ! et surtout sur l’Internet, la preuve sur ce site même ! je me demande, tiens, en y réfléchissant, si ce gros mensonge sur la non existance du SIDA ne serait pas une sorte de complot pour éliminer tous ceux qui ne sont pas conformes à VOS idées = immigrés africains, homosexuels ou toxicos, pauvres chinois dans leurs campagne, pauvres victimes de transfusion qui n’avaient qu’à pas être malades, tous ces gens dont vous n’avez que faire ! Une sorte d’épuration par la maladie…. En ne les soignant pas ( ou en leur faisant croire que ça va guérir tout seul ou qu’ils ne sont pas malades ), vous allez vous en débarrasser ! Et vive l’épuration !!! C’est écoeurant ! Un avis, qui vaut ce qu’il vaut en l’état actuel des connaissances (et malgré, nous en sommes tous conscients, les effets secondaires des traitements qui ne sont pas encore efficaces hélas à 100%) de quelqu’un qui fait partie “des escouades de sientifiques, travailleurs sociaux, médecins, bénévoles, [qui] sont chaque jour sur le terrain et peuvent apporter des précisions claires sur l’état de la recherche notamment par l’association arcat-sida.” mentionnées par Jaures

    14 septembre 2006 à 15 h 06 min
  • Jean-Claude Lahitte senior Répondre

    Que ceux, apparemment nombreux, qui ne sont pas d’accord avec les propos de Pierre LANCE (1)réfléchissent à ces conseils de Max Heindel extraits de “Un mot pour le Sage” et écrits en préface à un de ses ouvrages(2), qui, bien qu’ écrit avant la Première Guerre Mondiale, fait encore autorité après avoir été sans cesse réédité. Traitant de l’attitude des lecteurs chaque fois qu’ils se trouvent confrontés à une nouvelle théorie, à une nouvelle philosophoe…, l’auteur les classe en deux catégories. Je le cite : “Les-uns (les lecteurs, donc) s’emparent avidement de tout nouveau concept (…) pour s’assurer jusqu’à quel point il concorde avec leurs idées personnelles. Pour eux, (cette) théorie nouvelle est d’une importance secondaire. SON PREMIER MERITE EST D’APPORTER UNE JUSTIFICATION A LEURS PROPRES IDEES. Si l’oeuvre répond à leur attente, il l’adopteront avec enthousiasme et s’y attacheront avec un parti-pris absolument déraisonnable. Dans le cas contraire, il est probable qu’ils rejetteront l’ouvrage, écoeurés et déçus comme si l’auteur leur avait fait une offense personnelle. D’autres, ayant découvert que le livre contient des choses qu’ILS n’ont pas encore ni lues ni entendues auparavant, et qu’ils n’ont pas conçues dans leur propre cerveau, adoptent une attitude sceptique et s’y enferment. Ils penseraient probablement qu’on est souverainement injuste à leur égard, si on leur disait que LEUR ATTITUDE MENTALE EST LE COMBLE DE LA SUFFISANCE ET DE L’INTOLERANCE(…) Ces deux classes de lecteurs tournent le dos à la lumière. Leurs idées préconçues empêchent la vérité de les pénétrer (….) ” (fin de citation)(3) Max HEINDEL dont je rappelle qu’il avait écrit son livre au début du siècle dernier, n’avait pas prévu qu’avec le développement extraordinaire du bourrage de crâne politico-médico-médiatique (celui de la radio et de la TV, particulièrement), le mur de l’intolérance (4)serait largement dépassé ! Une “intolérance” qui vaut des tonnes de sarcasmes ou d’instultes, voire de haines recuites à ceux qui pensent différemment, à ceux qui ont le courage d’essayer de percer ou de dévoiler la vérite, de dénoncer les mensonges, etc. Dont, au plan politique, Jean-Marie LE PEN est sans doute la première victime(5) … Je laisse à chacun le soin de réfléchir à ces paroles de sagesse. Cordialement, Jean-Claude Lahitte (1)ceux de la semaine dernière et ceux de cette semaine (2) “LA COSMOGONIE DES ROSE-CROIX” (de Max Heindel)dont vous retrouverez des extraits sur < www.rosicrucien.org > (3) les mots mis en CAPITALES le sont par moi, sauf dans “qu’ILS” (4) ne pas confondre avec le fameux “mur du çon” ! (5) sans doute parce que, bien que lui-même résistant, le “Menhir” (un surnom qui, à lui seul évoque un esprit de résistance, pas seulement passée) en dénonçant les mensonges “officiels” rappelle trop cette phrase du Maréchal Pétain : “Je hais les mensonges qui ont fait tant de mal à la France”. A la France, certes, mais, par voie de conséquence, aux Français qui continuent, perinde ac cadaver, à gober tous les mensonges : ceux des politiciens pour lesquels ils votent, ceux de l’Education (prétendue) nationale qu’on leur fait gober dès la maternelle, et ceux de leur journal, de leur radio ou de leur TV favoris !

    14 septembre 2006 à 11 h 53 min
  • Jaures Répondre

    Sans doute en mal d’imagination P.Lance récidive. Comment ne pas être stupéfait devant la pauvreté de ses arguments. Peter Duisberg ? Ses thèses datent d’il y a 20 ans. Personne n’a depuis repris le flambeau. Les traitements anti-viraux ont fait la preuve de leur efficacité. Que les sceptiques recueillent le témoignage de malades. De plus, pourquoi Lance accorde t-il foi à d’obscurs universitaires (où la proportion d’abrutis et d’aigris n’est pas plus mais pas moins élevée que dans d’autres corporations) alors que des escouades de sientifiques, travailleurs sociaux, médecins, bénévoles, sont chaque jour sur le terrain et peuvent apporter des précisions claires sur l’état de la recherche notamment par l’association arcat-sida. Evidemment beaucoup d’incertitudes demeurent. Selon leur état d’esprit, certains vont se lancer dans la recherche et confronter leurs résultats et d’autres, moins brillants ou opportunistes, vont s’engouffrer dans les incertitudes pour avancer des thèses farfelues. L’exemple du 11 septembre mais aussi celui des créationnistes montre que tout le monde, y compris les plus incompétents peuvent dire n’importe quoi sur n’importe quel sujet, il trouvera toujours quelques naïfs paranos pour les suivre et les financer. Enfin, je conseil entre autre la lecture du livre ” Les traitements du sida” par P.Debré (Pr à Paris VIII, chercheur au CNRS et membre de l’INSERM), ça se lit moins facilement que du P.Lance mais c’est une synthèse assez clair de l’état de nos connaissances. Pour les débats scientifiques sérieux,voir le site hiv-sida.com. A J.C.Lahitte: franchement, vous avez déjà vu P.Lance faire part de ses “doutes” ?

    14 septembre 2006 à 9 h 58 min
  • Jean-Claude Lahitte senior Répondre

    GRANDPAS. Je vous dédis cette phrase de Bertrand Russel : “L’ennui dans ce monde, c’est que les idiots sont sûrs d’eux et les gens sensés pleins de doutes”. Et sachez simplement que c’est parce que certains (au rang desquels je me range) ont eu un jour des doutes sur l’intérêt des vaccins que, d’abord leurs parents (sur les conseils du médecin de famille), ensuite les médecins miltaires, leur ont fait administrer, qu’ils se sont mis à douter de leur efficacité. Et qu’ensuite, après avoir étudié les ouvrages tant de médecins non inféodés aux laboratoires, que de biologistes et de naturopathes, ils en ont découvert la nocivité. Idem pour les médicaments. Alors, restez mûré dans vos certitudes, mais de grâce ne prenez pas Pierre Lance pour un génie (un “dieu”, nous assurez-vous) entouré d’idiots. Seuls les fanatiques s’entourent d’idiots. Notamment les fanatiques de la vaccination qui en ont fait une religion de … pîqués ! Cordialement, Jean-Claude Lahitte senior

    13 septembre 2006 à 23 h 08 min
  • grandpas Répondre

    Dieu Lance a parlé,les autres doivent se taire. Les idiots ont de beaux jours depuis qu’ils ont un guide.

    13 septembre 2006 à 17 h 38 min
  • Jean-Claude Lahitte senior Répondre

    En se jetant, la semaine dernière dans la fosse aux lions des tenants de la Médecine officielle, Pierre LANCE qui a le courage de réciddiver cette semaine (1) a eu le mérite de débusquer les tenants du “politically Correct”. Car, sans s’en rendre compte toujours, ce sont les mêmes qui croient dur comme fer à l’efficacité des médicaments et des vaccins, et aux dogmes de la nouvelle religion enseignée par la Médecine officielle, qui SOIT s’imaginent que, demain, par la grâce d’une Ségolène ou le come back d’un Lionel, la France pourra continuer à se vautrer dans l’assistanat, travailler de moins en moins tout en augmentant son sacro-saint popuvoir d’achat, accueillir tous les immigrés d’Afrique ou d’ailleurs en leur offrant gratuitement le logement, les allocations familiales et autres avantages sociaux qu’ils exigent, etc? SOIT comptent ferme sur le petit Nicolas pour redresser le “France-Titanic” ans avoir à accomplir les réformes qui fâchent, sans faire des coupes sombres dans les rangs de fonctionnaires budgétivores, pour remettre de l’ordre dans les banlieues sans expulser ceuxc qui n’ont tien à faire chez nous, etc. Remercions Pierre LANCE d’avoir débusqué, peut-être involontairement, ces autruches de “droite” ou de gauche qui continuent à se plonger la tête dans le sable de leirs illusions, de leurs préjugés ou de leur présupposés pour ne pas voir qu’il va falloir que, TOUTES ET TOUS, nous changions radicalement. Si nous ne voulons pas périr sous les périls qui nous attendent. Aussi bien dans le domaine de la santé, que dans ceux de l’économie, de l’Education, de la sécurité et de l’avenir de notre civilisation ! Mais, pour une majorité de Français, périsse la France, périsse l’Occident, plutôt que leurs illusions avec lesquelles ils préfèrent mourir … Cordialement, Jean-Claude Lahitte senior P.S. Pour GRISON Stéphane. Seriez-vous têtu comme un … grison ? Pensez-vous sérieusement que toutes les thérapies aussi lourdes (pour les patients) que coûteuses (pour la collectivité) aient permis aux malades de “rependre une vraie vie”, alors qu’ils sont devenus esclaves et du sida et du traitement qu’ils suivent. Si vous appelez cela la “vraie vie” ? Ces “thérapies”, salvatrices selon vous, ont surtout permis aux “populations à risques” de croire – en attendant le “vacci salvateur” – qu’elles pourraient continuer (ou se remettre) à toutes sortes de licences en matière sexuelle et à toutes sortes d’abus (drogue, alcool, etc., et aux “humanitaires” de tous poils de dénoncer les laboratoires qui s’en mettent plein les poches (ce qui est exact) sans mettre à portée de bourse des déshérités leur tri-thérapie prétendue miraculeuse. Et à tous les Associatifs en peau de zébie de vouer aux gémonies un Pape qui avait eu le courage de recommander, particulièrement aux Africains, la chasteté, ou la fidélité dans le mariage… Même si vous croyez (ce qui est parfaitement votre droit, sauf qu’en même temps, si vous avez des enfants, vous vous donnez celui d’empoisonner votre descendance !) aux vertus des médicaments et des vaccins, convenez au moins que leur corollaire est, pour une Humanité vouée au “consumérisme”, de plus en plus décervelée et privée de ses repères moraux ou religieux, l’incitation a braver tous les tabous d’une hygiène de vie naturelle, la seule qui soit capable de faire des homes sains et libres ! (1) dans le genre “enfoncez-vous le bien dans le crâne” que l’on enseginait naguère dans les écoles de publicité

    13 septembre 2006 à 15 h 56 min
  • étonnée Répondre

    D’accord avec Stéphane grison. Qu’il y ait des dogmes en médecine, soit. Mais il y en a aussi beaucoup chez les anti médicaux ! Faisant partie de ce milieu honis par votre “auteur”, ayant participé à de nombreuses rtéunions dans le cadre associations contre le SIDA, j’ai beaucoup lu, entendu, étudié la “chose” et …lu des comptes rendus d’analyse … Certes les médicaments utilisés ont des effets secondaires, que l’on peut appeler iatrogènes si on le veut. mais je doute que ces gens meurent uniquement de cette iatrogénie. Leur espérance de vie, n’en déplaise à cet auteur, est plus grande sous antirétroviraux que sans rien ! Certes, cette maladie engendrant une baisse de l’immunité, les pauvres gens meurent de maladies diverses. Cela va de soi ! Ils meurent de cancers, pour la plupart, voire de tuberculose dont on remarque ainsi la recrudescence. Ce n’est pas pour autant que le SIDA n’existe pas . La perte d’immunité qu’il induit permet à ces maladies de s’installer ! je me demande également comment on peut être parano au point d’imaginer que tous les labos de France et du monde puissent truquer TOUTES les analyses de sang de ces malades ( taux d’anticorps, d’antigènes….) Bref, le plus triste dans l’histoire c’est que vous risquez, cher lance Pierre, d’empecher des séropositifs de se soigner , sans compter l’accélération de la propagation de la maladie. Vraiment triste à en pleurer !

    13 septembre 2006 à 15 h 18 min
  • grison strephane Répondre

    je suis stupefait ! qu’il y ait des mensonges, des erreurs, des dogmes, soit … mais je sais, pour avoir soigne des sideens, que , qu’elle qu’en soit l’origine, cette maladie est catastrophique, equivalente d’un cancer, mais en version contagieuse. Et j’ai vu des personnes sauvees par les antiviraux -par sauvees, j’entends qu’elles ont, du jour au lendemain, repris une VRAIE vie, c’est a dire quitter cet etat de cadavre ambulant qui caracterise le VIH. Ces histoires de complot, ca me rappelle ces gens qui pensent qu’aucun avion ne s’est crasher sur le Pentagone …

    13 septembre 2006 à 10 h 04 min

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