Les attentats de Bruxelles, l’UE et l’OTAN – version public

Les attentats de Bruxelles, l’UE et l’OTAN – version public

Tandis qu’Obama faisait le touriste chez Raùl Castro et que les mé­dias nous expliquaient que Trump était le nouvel Hitler, l’État islamique (EI) nous envo­yait, le 22 mars, un énième avertissement, cette fois-ci à Bru­xelles, capitale pourrie de l’U­nion européenne.
À Bruxelles, à quelques lieues du quartier général de l’OTAN et à quelques centaines de mètres du Parlement européen, il y a Molenbeek, capitale de l’islamisme radical en Europe.

Comme dans toutes les zones de non-droit qui existent de l’Espagne à la Suède, la loi islamique y règne. Molenbeek est le cœur de l’infrastructure terroriste islamique en Europe.

À Bruxelles, symbole de l’avenir voulu pour nous par nos « élites », les musulmans pratiquants sont plus nombreux que les chrétiens pratiquants.

Molenbeek a déjà fourni plus de 500 combattants à l’EI, dont beaucoup sont revenus avec mission de terroriser, aidés et cachés par leur communauté.

Les communautés musulmanes ne sont pas dissociables de l’islamisme radical. La conquête par une présence massive dite « pacifique » fait partie du djihad.

Bruxelles a d’ailleurs un Parti islamique, avec déjà 2 élus, dont le but avoué est de créer un État islamique dans la minuscule Belgique.

Les « leaders européens », les « concepteurs » des origines et leurs émules actuels, enragés d’intégration et d’islamisation, sont évidemment responsables de ces tueries et nous devrions tous les limoger. Hélas, les institutions démocratiques, corset législatif à double verrou, national et européen, n’offrent que des moyens très limités et très lents (votes, motions de censure…).

Alors que faire quand surviennent ces irruptions brutales de violence dans l’utopie européiste ? On a le droit d’allumer des bougies, « dans la dignité », et de subir des états d’urgence qui ne punissent que les honnêtes gens. Mais l’immigration continue. Ni la police ni l’armée n’envahissent les zones de non-droit, pour y rétablir le droit, et personne n’est déporté. Ce se­rait indigne de nous. Les terroristes attrapés vivants ne risquent rien ; ils seront traités comme des criminels civils et défendus à nos frais par des avocats préoccupés de leur couverture médiatique.

L’UE fut créée pour éradiquer la guerre du continent européen. Mais les Européens n’apprennent jamais rien de leurs erreurs : si la leçon est plus que sue pour le « fascisme » (bien qu’ils ne sachent pas précisément ce que c’est), ils n’ont pas encore retenu celle du communisme et ne veulent pas voir le danger présent. Cela ne cadre pas avec leur idéologie.

Par des niveaux d’imposition obscènes, on finance l’accueil des envahisseurs. Les leaders imposent l’intégration forcée vers la ruine et la dhimmitude, alors que les populations veulent le retour à un ensemble de nations souveraines et indépendantes, armées, et protégeant leur culture commune.

Pacifiste par dogme, l’UE ne se défend jamais de rien. Ce serait vulgaire et trop cher. Elle laisse donc cela à l’OTAN, unique cause de la paix en Europe. Mais, depuis 7 ans, l’OTAN est immobilisée par Obama.

Le 21 mars, s’adressant à l’AIPAC, Trump se distingua des autres candidats républicains en affirmant que l’OTAN était ob­solète et que l’Amérique, avec la dette de 20 trillions que laisse Obama, n’avait plus les moyens de défendre gratuitement les Européens.
L’OTAN fut créée en 1945 pour défendre l’Atlantique Nord des agressions communistes.

L’URSS vaincue, l’OTAN n’est pas devenue inutile pour autant. Son rôle était de rester en alerte pour défendre le bloc occidental contre tout danger, « jusqu’à ce que les pays européens soient capables d’assurer leur propre défense ».

Le 11 septembre 2001, déclaration de guerre des islamistes contre l’Occident judéo-chrétien, on n’a pas vu les Euro­péens se hâter d’honorer l’article V et se joindre à l’Amérique, alors qu’il aurait fallu désigner et combattre l’ennemi collectivement, chez lui au Moyen-Orient, mais aussi à l’intérieur de toutes les nations en voie d’islamisation, en Amérique du Nord et en Europe.

Désormais, c’est une urgence. L’OTAN doit être repensée, mais sa mission est toute tracée.

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Comments (2)

  • Le Ket Répondre

    L’OTAN a son siège à Evere, commune de Bruxelles, et le SHAPE lui, siège à Casteaux (près de Mons).
    Aucune de ces deux organisations ne s’est opposée à l’invasion de Chypre, dont la partie nord est occupée depuis 1974 par l’armée turque.
    Mais Jean-Claude JUNKER et sa clique exige de la part des 28 pays de l’UE que la Turquie rejoigne l’Europe ?

    En outre, au Belgikistan, Brüsselabad est devenue la Capitale de l’Eurabia !

    29 mars 2016 à 13 h 26 min
  • Jacky Social Répondre

    @Mme Joslain: excellente analyse en tous points. Le TAN a cependant ete signe en 1949. C’est une organisation remarquable. Tout depend de qui la dirige. Je regretted les periodes Reagan et Rumsfeld. Vous dites que Bruxelles est une capitale pourrie. Exact et c’est encore rien de le dire !

    29 mars 2016 à 11 h 34 min

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