L’homéopathie est réellement efficace

L’homéopathie est réellement efficace

« Le Figaro » du 23 novembre rapporte des propos très défavorables à l’homéopathie tenus dans la revue médicale britannique « The Lancet ». Les arguments n’ont rien de nouveau et certains manquent de rigueur scientifique. Est-il scientifique, par exemple, de prétendre que si, « au XIXe siècle, dans la grande épidémie de choléra, la mortalité était trois fois inférieure dans un hôpital homéopathique à celle d’un hôpital allopathique », c’était uniquement parce que les allopathes auraient envoyé leurs malades « ad patres » en leur faisant des saignées ? C’est une affirmation sans preuve.

Il est erroné de soutenir que l’homéopathie ne produit pas d’effets secondaires. Que les allopathes – qui déclarent qu’il ne s’agit que de poudre de perlimpinpin – prennent donc, sans préparation, plusieurs doses de Sulfur 9 CH ; ils devront reconnaître leur erreur, quand ils se verront subitement victimes d’une crise hémorroïdaire ou d’un eczéma aigu. Pour un bon médecin homéopathe, la crainte de provoquer une aggravation est un souci constant.

Le défaut majeur de la défense de l’homéopathie, c’est que la plupart des homéopathes, exerçant sous forme libérale, ne disposent pas de statistiques, jugées indispensables aujourd’hui. En revanche, il est nécessaire de rappeler que l’homéopathie réussit très bien en médecine vétérinaire et chez les nourrissons. Prétendra-t-on que les animaux et les nourrissons seraient sensibles à l’effet placebo ?

Toutefois, le médecin homéopathe doit bien connaître la frontière entre les indications de l’homéopathie et celles de l’allopathie. C’est pourquoi je n’ai traité, et par pitié, que les cancers abandonnés par l’autre médecine, en période terminale.
Cependant, un jour, un de mes clients (53 ans, contremaître, dur à cuire), qui ne m’avait jamais consulté que pour des broutilles, vient me voir pour de très violentes douleurs gastriques, avec nausées et vomissements. Je lui fais faire une gastroscopie avec biopsies, qui montre un cancer de l’estomac (mortalité 95 %) et je l’envoie immédiatement au chirurgien, lequel, pour des raisons d’emploi du temps, ne peut l’opérer que quinze jours plus tard.
On dit que le cancer n’est jamais une urgence. Dans ces conditions, je juge que, durant ces quinze jours, il y a place pour l’homéopathie et pour elle seule. Je prescris donc les granules appropriés. Au bout de trois jours, tous les symptômes ont disparu, le malade se sent bien, il a retrouvé l’appétit et refuse de se faire opérer, ce dont je le dissuade.

Le clou de l’affaire se situe lors de l’opération, à laquelle j’assiste évidemment. Le chirurgien palpe et repalpe l’estomac, qu’il trouve, au toucher et à l’œil, absolument normal. Cela l’étonne beaucoup. « Apportez-moi les radios ! » demande-t-il. On les affiche au mur. Les lésions sont énormes. « On s’est trompé de malade », dit-il. Je vais vérifier, moi qui suis seul à bien le connaître. De l’autre côté du champ, c’est son visage, pas le moindre doute. Le désarroi grandit. « Appelez X… ! », un autre chirurgien, qui opère dans la salle contiguë, vient aussitôt et examine, lui aussi, l’estomac avec minutie.

Enfin : « Je crois que c’est un tout petit peu moins souple à cet endroit-là », dit-il. Durant dix minutes a régné une intense stupeur, puis l’estomac est enlevé presque en entier. Les suites opératoires ont été très simples. J’ai encore suivi ce patient durant dix ans, qu’il a passés en bonne santé apparente, puis j’ai cessé d’exercer et je l’ai perdu de vue.

L’examen de la pièce opératoire avait confirmé le diagnostic de cancer, mais les lésions visibles étaient beaucoup moins denses. Le chirurgien n’a pas voulu reconnaître qu’il y aurait eu action sur le cancer. « Il s’y ajoutait, a-t-il dit, de très importantes lésions inflammatoires. C’est cette inflammation que vous avez fait disparaître ».

Il ne faudrait pas en conclure que l’homéopathie guérit le cancer. Elle traite les malades de façon personnalisée, chacun selon son tempérament, et non leur maladie au moyen d’un traitement standard. Les résultats ne sont donc pas superposables d’une personne à l’autre. Cependant, le cas que je viens de rapporter et de nombreux autres, relatifs à d’autres maladies, rencontrés au cours de ma carrière, montrent que la question de l’homéopathie est complexe et qu’on ne peut la traiter avec des bavardages à tendance diffamatoire qui se contentent de reprendre les arguments superficiels utilisés contre elle depuis deux cents ans.

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Comments (21)

  • Anonyme Répondre

    Oui, Tucroy, nous sommes d’accord, mais regardez bien la bouteille, regardez la bien… car elle est au trois quart pleine.

    Tucroy : " Et là je crois discerner une nuance entre homéopathie et allopathie, la pratique de la première reposant prioritairement sur une connaissance du terrain et non sur les affections qui le touchent. "

    J’apprécie la nuance, qui est d’importance.  La notion de "terrain",  par rapport a celle des crobes, a été expliquée et défendue par Antoine Béchamp et la bataille fit rage, a la fin du sciecle dernier, entre les tenants de Béchamp et ceux de Pasteur.

    La encore, il y a équilibre, et les deux parametres semblent etre tous deux "responsables" de la maladie. Cela me semble cohérent… jusqu’a ce que l’on trouve un troisieme parametre, d’ordre psy par exemple.

    Tucroy : " Lesdits spécialistes n’éprouvent alors pas toujours la curiosité qui les porterait à imaginer que la maladie qu’il soigne n’est pas de leur ressort, puisque le patient leur a été adressé."

    Oui, erreurs et lassitudes humaines… Confiance dans le généraliste… Errare humanum est… Salle d’attente pleine…  whatever… Dans votre exemple, vous dites vous meme que la découverte est "récente". Ils ne pouvaient pas le savoir avant.
    Les chercheurs découvrent et apprennent lentement, comme l’herbe qui pousse. Et ca avance dans le bon sens.
    Je leur dit bravo, par exemple, pour avoir trouvé que l’ablation d’une glande para-thyroide(!?) peut stopper pratiquement complétement la formation de certains calculs rénaux.  Cela ne parait pas évident a premiere vue, n’est ce pas? Cela ressemblerait meme a de l’alchimie.  Well, ils ont trouvé ca, et ca a soigné et guéri pas mal de gens. Il aurait dit quoi, le patient, qui ignore jusqu’a l’existence de ces gandes?

    Alors, comme ca, vous trainiez vos guettres au CNAM dans les années 70. Bravo!

    Best,

    Mancney

    25 décembre 2007 à 18 h 14 min
  • Anonyme Répondre

    @ Mancney

    Nous sommes finalement assez d’accord, même si ce qui nous sépare est fondamental : Si vous voyez la bouteille à moitié pleine, je la vois pour ma part plutôt à moitié vide. Optimiste, vous avez foi en l’être humain, pessimiste j’ai beaucoup de mal à me pardonner d’en être un, bien que je trouve quelqu’excuse dans le fait de n’y être pour rien. Il faut faire avec, mais tout en reconnaissant à la vie certains attraits – pour les plus chanceux – je crois profondément à la suprématie du mal, dont la première manifestation est pour moi le nombre, qui submerge tout. Non sans accorder un grand mérite à ceux que cela ne décourage pas et qui luttent contre, sans se soucier que leur offrande puisse revêtir un sens différent selon les lieux et les époques.

    Pour en revenir à la médecine, lorsque je parle de compassion je ne pense pas à celle du curé, utile et même indispensable à certains, et peut-être même à tous, selon les circonstances ; je pense bien à celle des médecins. Mais probablement devrais-je plutôt parler d’humanisme ; telles qu’en perdent la pratique ceux qui sont tellement pleins de leurs certitudes qu’ils ne condescendent jamais à les suspecter, surtout face à l’ignare qu’est sensé être un patient. C’est pour eux une affaire de dignité bien mal placée, et grave chez un médecin. Et là je crois discerner une nuance entre homéopathie et allopathie, la pratique de la première reposant prioritairement sur une connaissance du terrain et non sur les affections qui le touchent. 

    Pour bien me faire comprendre, un exemple de fourvoiement typiquement allopathique et qui doit tout à cette surdité que je déplore : Il n’y a pas si longtemps qu’a été établie la relation entre certaines maladies pulmonaires et les disfonctionnements du haut système digestif – et vice versa. Or combien de malades, incapables de préciser si la gêne qu’ils éprouvent est d’origine gastrique ou bronchique, sont soignés au petit bonheur la chance, par le pneumologue ou le gastro-entérologue, selon le spécialiste vers lequel les ont orientés des généralistes n’écoutant rien d’autre que leur stéthoscope. Lesdits spécialistes n’éprouvent alors pas toujours la curiosité qui les porterait à imaginer que la maladie qu’il soigne n’est pas de leur ressort, puisque le patient leur a été adressé. Alors peut s’enclencher un processus au long cours éminemment regrettable, fait d’examens inutiles et de traitements inadaptés. La seule ressource du malade est alors de s’expliquer en espérant être entendu et en dernier issue, l’automédication.

    Les causes : Bien entendu le nombre (encore lui) qui provoque l’engorgement de cabinets de consultation ; la raréfaction des médecins généralistes attirés par la spécialisation ; la disparition de ces médecins de famille connaissant les antécédents de leurs patients, avec tout ce qui en résultait (Il faut dire que les patients eux-mêmes sont dorénavant trop mobiles pour qu’il puisse en être autrement),la prolifération des spécialistes et le dogmatisme.

    J’entends encore M. Boisdé, prof au CNAM dans les années 70 clamer : "Méfiez-vous des spécialistes ! à vouloir en savoir toujours davantage sur un sujet de plus en plus limité, ils finissent par savoir tout au sujet de rien". Et lorsqu’il s’agit de rassembler les savoirs c’est encore une autre histoire !

    Joyeuses fêtes de fin d’années quand même !

    24 décembre 2007 à 17 h 23 min
  • Anonyme Répondre

    Saint Ex : " Cette organisation (…) n’a plus de raison d’être au XXIème siècle et doit être remplacée par une organisation professionnelle simple, sans système de justice interne autre que la justice Française."

    Hello Saint Ex. Sorry pour les dérives. A quoi servirait cette organisation professionnelle simple si elle n’a pas de pouvoir autre que la distribution de sucettes? Etes vous sur, que, d’une maniere générale, le jugement et la sanction par ses pairs, forcément plus informés techniquement que le juge non spécialisé, n’est pas une bonne chose?

    Best,

    Mancney

    24 décembre 2007 à 14 h 36 min
  • Anonyme Répondre

    C’est fou ce que les commentaires dérivent trop souvent du sujet …  mais bon.

    Le plus important est qu’une thérapie soit éprouvée sur des évidences, c’est à dire des études scientifiques indexées.  Or l’homéopathie, fille de l’alchimie, n’est pas en manque.

    L’homéopathie est fondée sur la mémoire de l’eau, puisqu’il s’agit d’une médecine "informative" des cellules.  Or la mémoire de l’eau a été prouvée par les travaux du¨Pr Benveniste de façon magistrale, malgré les tentatives d’annulation qui ont été tentées désespéremment par ses détracteurs dont le glaive est la mauvaise foi.  Ce qui inquiète les détracteurs, c’est que cette mémoire implique énormément de choses à leur encontre.  Ensuite, le chercheur Emoto Masaru a aussi prouvé par photos (sur l’Internet + livre) la mémoire de l’eau de façon indéniable.  Puis, il y a les études publiées sur The Lancet en 1986 et en 1994, ainsi que l’étude du Pr Doutremepuich (fac de pharmacie de Bordeaux) prouvant encore une fois, avec d’autres précédentes, que l’homéopathie fonctionne bel et bien.

    Certes, celà pose de sérieux problèmes aux labos puisque celà prouve que l’on peut soigner avec de faibles moyens peu coûteux.  Et celà représente aussi un camouflet aux médecins allopathes qui ne jurent que par leur méthodes.

    A vrai dire, toutes les médecines (allopathie, homéopathie, phytothérapie, chiropratique, etc.) sont utiles, chacune dans leur domaine et à leur échelle.  L’allopathie sert à vous sortir du risque mortel et de l’urgence, mais dès que c’est fait, il faut passer à une autre méthode pour améliorer le terrain et s’éloigner du risque sans intoxication car ça, la médecine allopathique ne sait pas faire.  Il faut aussi dire que la médecine allopathique tue énormément de gens, plus que les accidents de la route.  Des études le prouvent, hélas, et elles n’y vont pas avec le dos de la cuillère (faites par des médecins et scientifiques divers)

    En fait, il faut utiliser les médecines comme une boîte de vitesse.  L’allopathie est la 1ère, et toutes les autres suivent.  On ne va pas de Paris à Bordeaux qu’en restant en 1ère…

    Mais ce qu’implique la mémoire de l’eau et l’homéopathie est sérieux en terme de pollution.

    On a beaucoup de plus en plus de mal à épurer les eaux usées et l’eau potable garde des résidus d’antihistamines, de psychotropes, d’antibiotiques, d’hormones qui ne peuvent être supprimées (sauf avec un osmoseur inverse chez soi) et qui posent de très sérieux problèmes à la santé humaine.  En effet, il suffit de traces d’un produit pour que le corps réagisse.  Vous imaginez les conséquences ?  Nous, nous les voyons tous les jours.

    Conclusion : P. Lassieur a raison, bien sûr, et il y a de quoi se poser de sérieuses questions entre les lignes de ce que celà implique à tous les niveaux. 

    Maintenant, pour ceux qui aiment dériver, je propose de discuter de la pérénité de l’Ordre des médecins, structure pétainiste inspirée de l’ordre des médecins nazis et qui devait être liquidée après la guerre.  Cette organisation médiévale très autoritaire n’a plus de raison d’être au XXIème siècle et doit être remplacée par une organisation professionnelle simple, sans système de justice interne autre que la justice Française.  Cette mafia doit disparaître.

     

    23 décembre 2007 à 14 h 39 min
  • raoul Répondre

    Merci pour votre article Monsieur Pierre Lassieur.

    Vous me donnez des idées. Cela confirme ce que j’ai pu observer – sans y croire au début – sur l’effet d’infusions de mélanges de plantes à très très faibles doses.

    Ma première réaction était contre le monopole de la médecine officielle.

    La médecine officielle est dans un état intellectuel lamentable, verrouillée par un académisme, un conformisme obligatoire étayé par la sanction pénale, qui la stérilise et empêche les initiatives aussi bien internes qu’externes.

    (On ne doit pas pratiquer en dehors des rails sous peine de poursuites en cas d’échecs, alors que l’échec, voire l’erreur, selon les rails, est sans conséquence – sauf pour le patient. Pourtant on voit disparaître des médicaments longtemps obligatoires, les uns pour efficacité douteuse, les autres pour effets "secondaires" sur la durée pires que le mal. On voit certaines procédures virer à 180º. Mais il ne faut virer ni trop tôt ni trop tard. Il faut virer avec le troupeau.)

    Un Pasteur est impensable aujourd’hui alors qu’il en existe certainement parmi les scientifiques autres que les médecins. Il est même interdit à des malades déclarés par la médecine officielle être en phase terminale d’expérimenter volontairement les yeux ouverts. "Dans leur état, ils ne sont pas aptes à juger sainement " (… qu’il leur faut mourrir selon les règles.)

    La médecine officielle nous laisse très démunis en dehors de son emprise. Démunis aux deux bouts.

    Celui des autres techniques scientifiques non médicales très pointues. (Nous sommes limités à ce que des médecins comprennent, et encore des médecins officiellement habilités à le faire, les autres suivent et le patient doit dire merci.)

    Celui des remèdes anciens qui se perdent alors qu’ils pourraient évoluer en fonction de nos nouvelles connaissances.

    Joyeux Noël et très bonnes fêtes à tous.

    23 décembre 2007 à 11 h 34 min
  • Anonyme Répondre

    Hello Tucroy,

    Je me souviens de votre post dans lequel vous citiez les propos du professeur Carel. With all due respect, ceux-ci ne m’avaient guere impressionné, je les avais trouvé trop "évidents"; j’étais (et je suis) TROP d’accord. Comment le contraire pourrait il exister?
    Apres réflexion, je me suis souvenu qu’il a probablement parlé a une époque ou cela N’ETAIT peut etre pas si évident, et il est alors facile de dire, apres coup, que merci, on connait; on doit s’efforcer de replacer faits et pensées dans leur époque, meme a 30 ou 50 ans pres. Donc, je remballe un peu mes critiques et lui sait gré d’avoir énoncé en son temps, des vérités d’aujourd’hui. Tout le monde n’a pas cette clairvoyance. Nous lui devons tout notre respect, et notre gratitude.

    A propos de l’immortalité, voici ce que je vous avais répondu, en m’éloignant un peu du sujet, il est vrai :
    " Personne ne cherche l’immortalité, de meme que personne ne devrait chercher a supprimer définitivement les conflits et les guerres; ceci n’est pas dans notre programmation humaine. Il est temps de revenir a l’ordre des choses, et plutot que de montrer une incapacité a reconnaitre sa propre chance, son propre bonheur potentiel ( je parle des guérisons, pas de la vie éternelle ), il est temps de faire le choix d’Aimer la vie et les hommes comme ils sont, tout en mettant sa pierre a l’amélioration de nos systemes et conditions de vie, sa petite pierre, et, doucement, doucement, comme l’herbe qui pousse, laisser un petit "mieux" aux générations suivantes…  et en apprenant a dire merci a ceux qui nous font du bien."

    D’accord avec vous, aussi, dans votre dernier post, sur la répartition des crétins, sur le dualisme Médecine-Chirurgie, qu’il convient d’associer et non pas d’opposer, malgré l’existence (et pourquoi non) de chirurgiens "interventionistes", je crois que c’est le terme qui décrit ceux qui operent avant de discutter, pour les raisons que l’on connait. (J’en ai rencontré un, dans l’Ouest Banlieue Parisienne, il y a longtemps : Type sympa, ouvert, l’air cool, veste cravatte et Levis 501, vous voyez. Le type avec qui vous avez envie d’aller boire un verre, de faire une partie de tennis. Et bien ma vie serait sans doute différente aujourd’hui, si je l’avais écouté: ce mec, il devait trimbaler ses scalpels dans sa boite a gant. Mais je ne méjugerais pas les autres, ceux qui font un travail formidable, ceux dont la fatigue se voit sur la face apres des heures d’opération, ceux qui ont sauvé votre vie et la mienne. Je ne me tromperais pas de cibles, et, sous pretexte qu’ily a des mauvais, je ne découragerais pas les bons. Les toubibs, comme les garagistes ou les présidents, il faut apprendre a les deviner.)

    C’est vrai, le médecin "normal" et honnete, cherche a diagnostiquer la maladie, et il est payé pour cela, et c’est ce qu’il a appris a faire, et c’est ce qu’il fait le mieux.  Je ne vois pas ce qu’il devrait/pourrait faire plus… je ne tiens pas ce qu’il me fasse des calins. Le Commandant de bord de l’avion, est tres concerné par les passagers, mais il passera plus de temps a effectuer des procédures techniques et a la gestion de son vol, God bless, qu’a écouter nos états d’ame et qu’on lui raconte pourquoi, décidemment, on a peur dans les "trous d’air".  De meme fera le macon qui construit la maison. Pourquoi le médecin serait il différent? Parce que, malade, nous sommes en état de faiblesse? C’est plutot notre affaire, ce n’est pas vraiment la sienne, enfin a partir d’un certain point, bien sur.  Pour "s’occuper de nous", de notre "intérieur", pour la "compassion" comme vous dites, il y avait le curé… avant ; il ne fallait pas le balancer.

    Bien compris pour mon "language". Je regrette qu’il vous ai déplu: cela n’a pas de raison d’etre. Je n’aime pas plus que vous la vulgarité, et vais donc tenter de traquer mes "loupés". Vous avez raison, l’élégance naturelle ne donne pas tous les droits (humour!).

    Best,

    Mancney

    22 décembre 2007 à 23 h 54 min
  • Anonyme Répondre

    Post de 19:19
    Erratum dernier paragraphe :
    Lire " se préoccupe de moins en moins des malades et de plus en plus des maladies"

    22 décembre 2007 à 22 h 29 min
  • raoul Répondre

    Ainsi Monsieur Pierre Lassieur vous nous dites :

     – l’homéopathie marche (même en simple aveugle enfants et animaux)

     – j’ai fait enlever ("je le dissuade") la quasi de totalité de l’estomac d’un patient en voie de guérison (lésions beaucoup moins denses).

    (Le chirurgien comme de juste avait réponse à tout.)

     Vantressingri! étonnants ces chamanes!

    22 décembre 2007 à 14 h 46 min
  • Anonyme Répondre

    Bonjour Vitruve
    "aurait-il permis également l’émergence de toutes les religions et idéologies?"
    S’il s’agit bien de l’effet placebo, j’en suis persuadé, bien qu’il porte un autre nom : ‘la foi". L’un comme l’autre étant à ranger au rayon des superstitions, attentivement entretenues par une humanité qui se soigne comme elle peut ; sans guérir pour autant, bien au contraire. Je ne pense pas trouver beaucoup de contradicteurs si j’affirme que l’espèce à fait bien peu de progrès
    dans son combat contre le mal, quelle qu’en soit la nature, depuis qu’elle s’est reconnue. Et quand il lui arrive d’en faire, le nombre la prive de ce bénéfice de manière inéluctable.

    Ave Mancney
    Voici bien longtemps que nous avons échangé, regrettant dans l’intervalle une certaine détérioration de votre langage. Si je puis me permettre, vous devriez éviter les grossièretés et encore plus d’en légitimer l’emploi. Ceci dit et pour revenir à votre propos, qui nous ramène au sujet plus général des mérites de la médecine, je me contenterai de citer un auteur autorisé (même s’il n’a pas tout bon) : Alexis Carrel. Je me permet
    d’ailleurs (encore) de vous conseiller de lire (ou relire) ce Nobel, précurseur de la greffe d’organes

    « La longévité n’est désirable que si elle prolonge la jeunesse, et non pas la vieillesse. »

    « il ne faut pas chercher à accroître le nombre des centenaires avant d’avoir découvert le moyen de prévenir la dégénérescence intellectuelle et morale, et les lentes maladies de la vieillesse. »

    Me croyant d’autant plus autorisé à en parler  que je dois à la médecine d’être en sursis depuis bien longtemps, je ne sombre pas pour autant dans une béate considération. Il existe probablement la même proportion de crétins dans le corps médical que dans tout autre catégorie d’être humains.

    Dans notre société occidentale du moins, les progrès de la médecine sont souvent comparés à ceux de la chirurgie, l’avantage étant largement donné à cette dernière. En fait, pour l’une comme pour l’autre il y a, comme trop souvent en toute chose, confusion entre apparences et réalités. Pour ce qui est de la médecine, ce n’est pas elle qui a progressée (et encore moins les médecins) mais notamment la biologie et la chimie, qui ont toujours été ses principaux instruments. Pour la chirurgie, ses progrès doivent tout à la technologie, depuis les temps les plus reculés. Ses dernières avancées, d’autant plus spectaculaires qu’elles sont récentes, se fondent sur les technologies de pointe. Ce qui réduit au demeurant en rien le mérite d’avoir su utiliser ces moyens.

    Mais ceci peut expliquer que la médecine se préoccupe de moins en moins des maladies que des maladies ; le culte voué à la science prenant le pas sur la compassion. Pendant ce temps, avec son hypocrisie naturelle et à grand renfort de mots, l’homme donne et se donne le change.

    Cordialement

    22 décembre 2007 à 10 h 29 min
  • Anonyme Répondre

    Allopathie + Homeopathie = Equilibre.
    Ou est le probleme?

    Best,

    Mancney

    21 décembre 2007 à 16 h 27 min
  • Anonyme Répondre

    Tucroy : "Je puis en tout cas témoigner de l’efficacité de l’une comme de l’autre des deux médecines, dès lors que le praticien a bien voulu m’écouter et m’entendre"

    Well, je peux témoigner de la meme chose…  sauf qu’ILS n’ont pas vraiment eu besoin de m’entendre. Allez, ils ont courtoisement fait semblant de m’écouter. Dammit, ils m’ont sauvé la vie malgré moi! Ca, c’est un comble!?!

    Merci les toubibs.

    Mancney

    21 décembre 2007 à 16 h 06 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    21/12/07    – "Les 4-Vérités"

    Dans mon précédent "post" (pas encore publié), j’aurais pu expliquer certaine retenue de Pierre LASSIEUR par son "DEVOIR DE RESERVE" vis-à-vis de ses collègues allopathes. Réserve qui l’honore, sans parler du fait que rien de ce qui est humain n’étant parfait, je ne vois pas pourquoi il se serait montré dithyrambique à l’égard d’une pratique médicale qui connaît assurément ses limites. Notamment, j’imagine, dans le traitement de la connerie ! En écrivant cela, je pense à certain "post" qui accuse à tort Pierre LASSIEUR d’avoir fait de l’homéopahtie la panacée. Il est vrai que l’ensemble de son article a pu mettre en colère plus d’un tenant  (particulièrement chez les patients dont la "patience" n’a généralement d’égal que … la connerie !) de la Médecine pure et dure, la médecine allopathique en particulier, qui prétend TOUT guérir aujourd’hui ou demain avec les vaccins et les médicaments déjà découverts ou à découvrir.(1) Jusqu’à la découverte d’un sérum de BOGOMOLETZ qui prétendra donner aux hommes la vie – sinon la jeunesse – éternelle…

    Pour ceux qui sont sur le chemin de la véritable médecine naturelle, l’homéopathie est une médecine qui respecte l’intégrité et l’individualité de chaque être humain, tout en les soignant. Elle montre la voie à la nécessaire évolution de la Médecine, celle que nous l’ont imposée Galien, et, surtout Pasteur. Un Pasteur dont il faudra bien qu’éclate un jour toute l’imposture ! 

                   Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) sans même se soucier de savoir que leur "consommation", et surtout la multiplication de leur consommation et les interférences, ainsi que leur propre multiplication, finissent toujours par emploisonner ceux que médicaments et vaccins prétendent guérir et/ou protéger. Sans parler des maladies de dégénérescence qu’ils finissent par provoquer sans que cela entre dans les statistiques des maladies nosocomiales, ou des accidents de … vaccination… Pour ne parler que "vaccins", a-t-on seulement réfléchi aux effets sur l’organisme, si nous acceptions tous ceux qu’on nous propose (parfois sous une menace à peine voilée)  – selon le "principe de précaution –  pour nous prémunir de toutes les maladies qui nous menacent ? Que sera-ce demain, si l’on met sur le maréché un vaccin universel destiné, notamment, à nous éviter le SIDA, le CANCER, LES RIDES, LA STERILITE, L’IMPUISSANCE, ALZEIMER, etc ?

    21 décembre 2007 à 15 h 38 min
  • VITRUVE Répondre

    AVE
    il y a des domaines dans lequel je suis surement sectaire mais là non, j’ai été soigné allo et homeo, avec le même bonheur, j’ai vu des bovins soignés à l’homeo et ça marchait!
    mais sur le sujet de la bactério, je reste ferme et définitif, la boîte de Petri barbouillée à la granule diluée : jamais vu!

    quand à l’effet placebo, la plupart de nos politiques( et les psys) lui doivent leur rente de situation ( voir la Belgique où les trains roulent, les commerces fonctionnent et le courrier arrive à temps sans gouvernement… 
    Question:aurait-il permis également l’émergence de toutes les religions et idéologies?
    VALE

    21 décembre 2007 à 15 h 35 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    21/12/07    – "Les 4-Vérités" –

    Même si j’ai beaucoup apprécié l’article de Pierre LASSIEUR, j’ai envie d’interpeler son auteur en disant "Homme de peu de foi, pourquoi doutez-vous ?". Tout en n’oubliant pas qu’il est arrivé aux plus grands saints de … douter !

    Ceci étant dit, me mettant à la place de ce "contremaître dur à cuire", je regrette que le docteur LASSIEUR, puisque médecin il était, n’ait pas osé éviter à son patient de passer sur le billard. Je suis certain que la poursuite du traitement homéopathique qu’il lui avait prescrit aurait parachevé l’oeuvre de la nature. A sa décharge, Pierre LASSIEUR, outre qu’il avait  peut-être été sans doute saisi d’un doute, devait surtout craindre les foudres de ses confrères au cas où…  Un patient ne peut mourir que selon les règles, celles de l’ordre des Médecins celle qui endoctrinent  dès la Faculté de Médecine !

    Et si  – tout comme l’ostéopathie –   l’homéopathie souffre d’un manque "d’expérimentation" en hôpital, ou de recension statistique, rien n’interdit de penser que c’est parce que la Médecine officielle dont le bras armé est l’Ordre des Médecins, ne souhaite pas véritablement que soit démontrée de manière éclatante que, comme l’indique le titre de l’article de Pierre LASSIEUR, "L’HOMEOPATHIE EST REELLEMENT EFFICACE"

    Que l’on me permette, sans avoir la prétention de conclure sur un sujet dont j’imagine qu’il se posera dans les mêmes termes dans 10 ou 20 ans, tant que le diktat de l’Ordre des Médecins règnera sur la Médecine, de rappeler deux citations.

    L’une d’HIPPOCRATE qui, "400 ans avant Jésus-Chist" (avait formulé) déjà les fondements de la naturopathie et de l’homéopathie" en disant : "LA NATURE EST SON PROPRE MEDECIN SI ON LUI EN FOURNIT LES MOYENS; ELLE L’EST TOUT D’ABORD EN NE NUISANT PAS ET ENSUITE EN TRAITANT LES CAUSES PAR LES SEMBLABLES."

    Remarques : le grand Ambroise PARE avait repris une partie de ce propos en disant "Ce n’est pas moi qui guérit, c’est la Nature !". Par ailleurs, qui peut prétendre que les médicaments allopathiques NE NUISENT PAS, tôt ou tard, aux patients qu’ils sont sensés … guérir ?

    L’autre du Docteur Samuel HAHNEMANN (1755-1843), le "père" de l’homéopathie : "CHOISIS TOUJOURS, PIUR GUERIR UNE MALADIE DE MANIERE DOUCE, RAPIDE, CERTAINE ET DURABLE, UN MEDICAMENT CAPABLE DE PRODUIRE EN LUI-¨MÊME UN MAL SEMBLABLABLE (jomoion/pathos) A CELUI QU’IL DOIT GUERIR." (1)

    Conclusion : comme l’indique fort justement Pierre LASSIEUR, l’homéopathie "traite les malades de façon personnalisée, chacun selon son tempérament, et non leur maladie au moyen d’un traitement standard." Tout est dit là, ou presque. Sinon que le non-médecin que je suis peut ajouter : l’homéopathie se garde bien d’empoisonner ses patients avec les médicaments de l’industrie pharmaceutique traditionnelle. Laquelle a très bien compris que les gros profits ne viendraient pas de l’homéopathie dont les produits ont un grand tort, celui dont j’emprunte la formule à une ancienne publicité de la Clio de Renault : "PAS ASSEZ CHER (mon fils) !".

    Mais tant que les Médecine officielle ne voudra pas traiter ses pattients en êtres UNIQUES, tant qu’elle ne reconnaîtra pas que c’est la Nature qui guérit, et enfin tant qu’elle ne sera pas devenue une médecine holistique, je doute fort que l’homéopathie trouve grâce à ses yeux. Comme d’ailleurs l’ostéopathie. Et le pire qui puisse arriver à ces deux thérapies  – l’homéopathie et l’ostéopathie, donc – c’est que les allopathes s’en emparent   – au risque de les "diluer" dans la médecine allopathique – uniquement parce ce que c’est "tendance", qu’il y a une clientèle pour cela, que c’est un "plus", etc. qu’ aucun bon "commerçant" ne peut ignorer. C’est ce qui est en train d’arriver à l’ostéopathie dont des médecins se prévalent après une formation de trois ou qautre-cent heures(2), face à des ostéopathes qui, certes, ne sont pas médecins, MAIS ONT QUELQUES TROIS MILLE HEURES DE FORMATION (2) 

    Alors, il appartient aux patients de s’informer, de lire, de réfléchir sur toues les médecines naturelles, sur l’homéopathie, sur l’ostéopathie, sur la naturopathie, etc. et de faire pression sur leur médecin. Ne sont-ils pas des CLIENT. Et, on le sait, sur le "marché’", le client a toujours raison ! Surtout depuis que la médecine est devenue "commerciale" …

     Heureux Noël à toutes et à tous dans la paix et l’harmonie divines ! Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) ce même HAHNEMANN avait indiqué lui-même les bases de l’homéopathie lorsqu’il avait défini, en 1790, comme suit le principe de "sililitude" : "Toute substance qui, lorsqu’elle est prise en quantité suffisante, peut produire des effets toxiques spécifiques chez l’individu en santé; guérira un malade manifestant ces mêmes sympatômes lorsqu’elle est donnée en petite quantité très diluée et dunamisée."

    (2) chiffres cités de mémoire, mais qui donnent une idée de la proportion, ou plutôt de la … disprortion ! 

    21 décembre 2007 à 11 h 56 min
  • Anonyme Répondre

    @ Vitruve
    N’êtes-vous pas vous-même quelque peu sectaire en mettant l’homéopathie au défi de ….
    Plus sagement, n’est-il pas possible d’imaginer que la médecine puisse s’exercer de diverses manières plutôt que de s’enfermer dans l’une ou l’autre, à la manière d’idéologues incapables de croire qu’il puisse exister d’autres vérités que la leur ?
    L’effet placébo se manifeste également chez des patients traités autrement que par par l’homéopathie ; Non ?
    Et l’homéopathe peut aussi admettre ses limites

    21 décembre 2007 à 8 h 43 min
  • VITRUVE Répondre

    AVE

    restons sérieux et ne mélangeons pas les affections, parlons de vraies maladies, aussi, je mets au défi les homeopathes de soigner une gangrène, la tuberculose, d’ éradiquer un pseudomonas ou une klebsielle résistante ou le terrifiant et pourtant si banal staphylocoque doré.
    Sur qu’on ne tue pas une mouche avec un canon mais il est des infections qui, sans les AB auraient ravagé une bonne partie de l’humanité.  Mon homeopathe travaille avec toutes les ressources de la pharmacopée, à bon escient, c’est tout.
    Au delà on tombe dans des débats sectaires.

    Merci encore sir Alexander Fleming.*

    (  *peu de collèges et lycées à son nom alors que les Salvator Allende et les Aragon fleurissent, vous avez dit bizarre?)
    VALE

    20 décembre 2007 à 16 h 14 min
  • Noël Hanssler Répondre

    L’homéopathie marchant justement trop bien : une loi vient de passer obligeant à chauffer les préparations afin de les stériliser (prétexte sécuritaire, ça marche toujours). Cette opération, selon certains homéopathes, réduit grandement, voire annihile complètement, l’efficacité du procédé homéopathique.
    Devant l’absence de réaction (à cette loi) des homéopathes français, je les soupçonne de croire eux-mêmes (en majorité) que leur spécialité soit fondée sur l’effet placebo.
    Si cela est vrai, c’est triste. Si ça ne l’est pas, pourquoi 10 000 homéopathes ne sont-ils pas descendus dans la rue lorsque cette loi a été discutée ?
    Déjà, il y a quelques années, l’interdiction de certaines préparations faites à partir de substances animales (pourquoi diable, si ce n’est que de l’eau et du sucre ?) n’avaient pas provoqué de remous bien spectaculaires.

    20 décembre 2007 à 0 h 23 min
  • Jaures Répondre

    Mes 2 filles de 11 et 14ans ont toujours été soignées à l’homeopathie. Elle n’ont pris des antibiotiques qu’une fois ou deux (il n’y a pas toujours de médecins homéopathes sur les lieux de vacances). Un jour, souffrant d’otite céreuse, la plus jeune a subi un examen en clinique. Le praticien apprenant que je la soignais à l’homéopathie m’a interpelé sur un ton autoritaire en affirmant qu’une otite céreuse ne se soigne que par antibiotiques. J’ai suivi le traitement homéopathique de mon médecin et l’otite avait disparu un mois après. Lors du contrôle,mal à l’aise, le praticien a alors avancé qu’il s’agissait d’une guérison spontanée.

    Grâce à l’homéopathie mes enfants guérissent spontanément de tous les maux infantiles qui conduisent leurs camarades à prendre 2 ou 3 fois par an des antibiotiques.

    19 décembre 2007 à 12 h 47 min
  • sas Répondre

    He oui……il y a la" maîtresse exhorbitante" à entretenir……madame la securité sociale…

    hahahah…….laissez moi vous raconter :la semaine dernière à fort de france…il y avait un défilé de grèvistes(encore un me direz-vous…) he bien celui là de défilé etait suréaliste….. puisque c’était les pharmaciens de l ile….qui revendiquaient, et manifestaient contre la décision du gouvernement de ne plus rembourser à taux pleins certaines drogues distribuées officiellement…..tranquilisants,antibiotiques et consorts……….pôôô^vres pharmaciens dont la moindre echope vaut des millions d’euros……ils vont perdre sur leur pouvoir d’achat……terminé les incursion à MEGEVE……les villégiatures aquatique en carrraibe……les defiscalisations outrancières immobilières….

    avec marsupilami , gageons que ceux qui ont auront toujours plus..

    sas

    19 décembre 2007 à 11 h 08 min
  • Anonyme Répondre

    Toujours du même conflit.
    "S’il en meurt ce sera par votre faute" disait l’allopathe
    "Et s’il n’en guérit pas, ce sera de la vôtre," répondait l’homéopathe.
    Ils avaient du moins le mérite, l’un comme l’autre, de se préoccuper davantage du malade que de la maladie, ce qui est de moins en moins le cas

    Dans notre société occidentale du moins, les progrès de la médecine sont souvent comparés à ceux de la chirurgie, l’avantage étant donné largement à cette dernière. En fait , pour l’une comme pour l’autre, il y a comme souvent confusion entre apparences et réalités.
    Pour ce qui est de la médecine, c’est moins elle qui a progressée que la biologie et la chimie, qui sont devenus ses principaux instruments.
    Pour la chirurgie, ses progrès doivent tout à la technique, depuis les temps les plus reculés. Et ses avancées sont d’autant plus spectaculaires qu’elles sont récentes, se fondant sur les dernières technologies de pointe.
    Serait-ce à dire que l’homme est plus adroit de ses mains que de son cerveau, même si celui-ci les dirige?

    Je puis en tout cas témoigner de l’efficacité de l’une comme de l’autre des deux médecines, dès lors que le praticien a bien voulu m’écouter et m’entendre

    19 décembre 2007 à 9 h 30 min
  • PHILIPPE Répondre

    Bien sûr que l’homépathie fonctionne pour la grande majorité de personnes! Ce qui fonctionne encore mieux, c’est le lobby pharmaceutique de conivence avec la plupart des médecins!

    Je vous recommande 3 titres très lus ici au Canada et aux USA: "Ce que votre médecin ignore qui pourrait vous être fatal !" du Dr Ray Strand et "Mort par ordonnance" toujours du même auteur et enfin "Miracles invisibles" du scientifique le Dr Myron Wentz qui a reçu cet été le prix Albert Einstein.

    Bien à vous,

    PHILIPPE NENQUIN

    19 décembre 2007 à 5 h 56 min

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