Ouvrage : Ainsi, Dieu choisit la France – de Camille Pascal

Ouvrage : Ainsi, Dieu choisit la France – de Camille Pascal

Presses de la Renaissance

Alors qu’il est de bon ton, aujourd’hui, de dénigrer l’histoire de France, réduite à une longue cohorte d’exactions, Camille Pascal, naguère « plume » de Nicolas Sarkozy, nous propose un livre d’histoire « à l’ancienne ». Chaque chapitre est consacré à une personne et un événement qui ont fait l’histoire de France : Clovis, Saint Louis, sainte Jeanne d’Arc, ou Bonaparte… Se dessinent alors des héros très humains, mais capables de tout sacrifier à leur vision de la France et du bien commun. Comble « d’archaïsme », Camille Pascal nous propose donc une histoire événementielle, que les « pédagogistes » récuse­raient avec horreur, mais que nous lisons avec jubilation !

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Comments (13)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    non , ce n’ est pas Dieu qui a choisi la France, mais c’ est le Roi des Francs *** qui a choisi Dieu

    …. et le Roi des Francs n’ était pas à proprement dire un Gaulois comme Sarkozy !

    *** d’ abord Roi de Neustrie … autant dire de l’ Allemagne rhénane et de Lorraine

    15 décembre 2016 à 15 h 32 min
    • Gérard Pierre Répondre

      Réserviste de nos armées [*], il m’est arrivé quelque fois, par le passé, d’entrer dans une église en uniforme, couvert de mon couvre-chef militaire, portant fièrement nos trois couleurs.

      Nous avions place dans le chœur et, au moment de l’Offertoire, par deux fois nos drapeaux s’inclinaient vers l’autel, dans un mouvement lent, digne et recueilli, au moment de la Consécration.

      Chaque fois, je pensais en mon for intérieur : « Mon D.ieu, reçois en cet instant l’Hommage de la France ! » et je ressentais une grande joie en étant le modeste instrument de cette allégeance. Plus de quarante années me séparaient pourtant de ma promesse scoute au cours de laquelle je j’avais juré de servir fidèlement D.ieu, l’Église et la Patrie. Se développait alors en moi un sentiment bienfaisant d’avoir toujours été constant dans mes convictions et dans ma façon de les vivre.

      « Quand la patrie n’est pas le territoire des temples et des tombes, mais une simple somme d’intérêts, le patriotisme est déshonorant. » – Nicolás Gómez Dávila – Aphorismes.

      [*] Il m’est arrivé, parfois, après avoir décliné mon grade et mon nom, d’ajouter « Mercenaire lorrain au service de la France ! ». Ça ne faisait pas toujours florès ! … mais tant pis !

      15 décembre 2016 à 21 h 32 min
  • Jaures Répondre

    ” Se dessinent alors des héros très humains, mais capables de tout sacrifier à leur vision de la France “.
    Tout sacrifier, ce fut souvent des populations qui n’avaient rien demandé.
    C’est ce que disait M Verdoux: tuez 1 personne vous êtes un assassin, tuez-en 100 000 et vous êtes un héros. Le nombre sanctifie.
    Où était le bien commun dans les assassinats en série fomentés par Clovis, les batailles sanglantes suivies de pillages ? Où était le bien commun dans les persécutions des juifs par Louis IX ? Où était le bien commun dans la campagne de Russie et son (au moins) million de morts ?

    14 décembre 2016 à 17 h 35 min
    • Chevalier Noir Répondre

      Jaurès… Vous avez oublié le trop fameux TUREAU et ses colonnes infernales qui était bien sur un ardent défenseur du bien commun …

      15 décembre 2016 à 16 h 48 min
      • Jaures Répondre

        Oh ! TURREAU a su s’accommoder à toutes les sauces puisque après avoir massacré au nom de la République, il a été nommé baron de l’Empire avant d’être inscrit sous Louis XVIII sur la liste pour recevoir la Croix de St Louis.
        Apparemment, il fut lui-même considéré par tous comme un bien commun.

        15 décembre 2016 à 17 h 07 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          ” un bien commun ” ? même pour les Vendéens ? vous m’ étonnerez toujours ? …et au fait, Pol Pot aussi ?

          précision : il mourut avant de recevoir la Croix de Saint-Louis

          15 décembre 2016 à 20 h 12 min
          • Jaures

            Savez-vous lire ?”Apparemment, il fut lui-même considéré par tous comme un bien commun.” écris-je ci-dessus.
            “Fut” est le verbe être au passé. “Tous”, ceux qui l’ont honoré en leur temps: républicains, bonapartistes et royalistes.
            Est-il aujourd’hui nécessaire de préciser que Turreau fut un des plus cruels criminels de guerre pour des exactions qu’il revendiqua d’ailleurs lui-même ?

            15 décembre 2016 à 21 h 20 min
        • Chevalier Noir Répondre

          Pauvre Jaures; vous êtes vraiment lamentable!!!

          15 décembre 2016 à 20 h 26 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      parlez nous plutôt de Pol Pot , de Mao, de Staline ils sont à mon avis plus ” actuels ” dans notre civilisation des Droits de l’ Homme !

      15 décembre 2016 à 20 h 16 min
      • Jaures Répondre

        Il me semble que le livre commenté parle de la France.

        15 décembre 2016 à 21 h 22 min
        • Gérard Pierre Répondre

          Ça, c’est ce qu’on appelle ”botter en corner” !

          15 décembre 2016 à 21 h 42 min
  • Gérard Pierre Répondre

    « Remettre en rayon » un historien comme Jacques BAINVILLE, … entre autres, … constituerait le début d’une œuvre salutaire de reconstruction culturelle en matière d’Histoire de France.

    Croisant un jour la plume, sur un autre site, avec un jeune étudiant en Histoire enorgueilli de sa science toute fraîche, il me soutint que Jacques BAINVILLE, … [auteur de « Histoire de deux peuples », pour ne citer que ce titre] … n’était pas un Historien au sens strict du terme, et il en donnait pour seule preuve le fait qu’aucun de ses ouvrages ne figurait dans les rayons de la bibliothèque de sa faculté ! ! ! ……

    Imparable comme argument ‘’scientifique‘’ ? … non ?

    Pauvre garçon, déjà mûr pour devenir le docile Psittacidé que les écolâtres d’une Éducation Nationale gauchisée attendent de lui !

    14 décembre 2016 à 8 h 10 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      oui, cet historien qui, aujourd ‘ hui, serait qualifié plus justement de ” géo-politologue ” était le plus lucide des écrivains et journalistes français de son époque ; c’ est la raison pour laquelle il est absent de la plus part des rayons des bibliothèques universitaires françaises …ici, il ne faut jamais avoir, même partiellement, raison avant les COPISTES de la pensée dominante

      14 décembre 2016 à 8 h 45 min

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