Ouvrage : « Mon corps ne vous appartient pas » de Marianne Durano
Voilà un livre révélateur. Le féminisme « façon mai 68 » est en train d’agoniser.
Marianne Durano, normalienne et mère de famille, montre à quel point la révolution sexuelle post-soixante-huitarde et la « libération de la femme » ont, en réalité, asservi les femmes à une nouvelle oppression : la dictature médicale du tout-contraception et la dictature pornographique qui réduit leur corps à un objet de plaisir.
Mais ce livre n’est pas seulement révélateur de la naissance d’un nouveau féminisme, respectant les femmes au lieu d’en faire « des hommes comme les autres », mais aussi d’une nouvelle écologie, beaucoup plus proche des valeurs de droite que de l’utopie libertaire. Les temps changent !
Comments (3)
Le livre de l’année à offrir à toutes les femmes qui s’y reconnaitront !
La femme est étranglée par une tyrannie médicale et sociale dont vous n’avez pas idée vous les hommes.
Ce livre décrit bien ce phénomène qui écrase la femme. Il touche à un problème extrêmement complexe qui concerne la gestion et le contrôle du corps féminin , la haine de l’homme contre le corps de la femme, la mortification du corps de la femme, son humiliation, la violation de son intimité, sa stérilisation, sa marchandisation, la femme dont le corps subit les harcèlements les plus divers…
Il démontre l’acharnement destructif de la société contre le corps de la femme visant à maîtriser la femme perçue comme menaçante et incontrôlable.
Un corps -objet manipulé par des médecins, soumis à un contrôle des experts , violé par des examens gynécologiques invasifs.
Une société qui propose une image dégradante des femmes et de leur corps par la pornographie, une planification technique alienante pour s’insérer sur le marché du travail, des plaisirs faciles ou de la procréation.
De la pillule aux diverses PMA le corps de la femme n’est mis en avant que comme un objet à contrôler.
L’auteur prône un retour au respect du corps féminin et invite à retrouver la liberté du corps et de l’âme.
“L’enfant n’appartient pas à sa famille. Il appartient à l’État.” – J.P. Chevènement, au début des ânées 80 du siècle passé !
…… On comprend mieux pourquoi la décadence de l’enseignement publique n’est pas le fait du hasard ! …… elle n’est pas une fatalité mais un instrument.
Sacha Guitry à qui l’on demandait “êtes vous pour ou contre les femmes” et qui répondait : contre, le plus contre possible. C’est la grande leçon de la nature, notre mère à tous – zé toutes comme dit macron –