Pensée unique et matérialisme

Pensée unique et matérialisme

Le désir de contrôler les gens a toujours reposé sur le fait de les maintenir dans l’ignorance en opprimant les découvertes dans le domaine des sciences humaines, la philosophie et les nouveaux mouvements religieux basés sur la constatation de la nature spirituelle de l¹homme.

En conséquence, nous avons abouti à un déséquilibre entre les sciences physiques et les sciences humaines. Nous savons construire et faire exploser une bombe atomique, mais nous ne savons pas grand chose sur l’êre qui peut appuyer sur le bouton. Les sciences humaines officielles se bornent à une discipline archaïque, barbare et pour le moins matérialiste, qui enferme ses patients pour les droguer et les électrocuter, qui fait accuser des innocents et qui relâche des criminels : la psychiatrie.

Intéressée par les techniques de manipulation et de contrôle, financée à outrance par différents gouvernements au cours de la guerre froide, on lui attribue même de fabriquer des criminels par la brutalité des ses méthodes. Un exemple des plus flagrants fut les crimes commis par les soldats serbes en ex-Yougoslavie. Depuis, elle défraie régulièrement la chronique par la criminalité et la folie qu’elle a engendrées.

On peut donc affirmer que le domaine des sciences humaines, qui devrait permettre de comprendre et d’aider son semblable à s’améliorer, n’a non seulement pas progressé, mais il a assurément régressé, et ce, du fait de l¹obscurantisme de ceux qui nous gouvernent.

Daniel Jacquier

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Comments (2)

  • IOSA Répondre

    La spychiatrie est la science qui définit le processus mental basé sur des schémas types, or ces mêmes schémas n’ont plus évolués depuis leur création et ne sont pratiquement plus du tout adaptés aux nouveaux environnements et des humains qui y vivent et subissent directement l’influence de ces environnements (religion, mode de vie, suffisance de nourriture, libido débordante ou restrictive, etc).

    Alors oui, la spychiatrie est la continuité des maux d’aujourd’hui et non le remède car inadaptée par la volonté de certains pontes incapables de s’affranchir du religieux ( au sens large).

    Concernant la Serbie, lorsqu’il y a crime, il doit avoir sanction/chatiment en corrélation directe avec ce qu’ a subit la ou les victimes et non un ersatz  de condamnation, qui ne donne aux victimes rescapées que le goût amère d’une vérité étouffée( cas du Rwanda) pour ne pas faire de vagues capable de devenir des tsunamis et gener ainsi un futur très profitable pour les requins de ce monde, toutes races confondues. 

    Justice ne rime pas avec impunité et la religion instruit le contraire en prétendant l’enfer pour les mécréants et le paradis pour les justes.

    La religion ne sert que les profiteurs du moment et jamais ses fidèles à qui depuis des lustres, on demande de pardonner la faute d’autrui car celui ci sera punit par un Dieu invisible*.

    * instrument des profiteurs pour asservir sans chaînes le peuple, ce même peuple faisant le travail des premiers pour maintenir sous silence la vérité sur son asservissement, comme celà est actuellement pratiqué dans tous les pays musulmans et en phase d’extinction dans les pays européens.

    IOSA

     

     

     

    10 juillet 2011 à 14 h 31 min
  • Budanski Répondre

    Mais de quelle triste pensée peut partir une réflexion aussi simpliste sur la psychiatrie? Il n’est tout de même pas nouveau que n’importe quel texte sacré, philosophique, religieux, scientifique, ou savoir, idéologie, est instrumentalisable par le premier potentat politique ou non, qui surgit et veut, par la volonté de son cerveau étroit, asseoir un pouvoir écrasant. Comment distinguer l’assassin au marteau du bâtisseur, certainement pas en accusant le marteau! Cela n’explique rien et surtout ne démontre pas où commence la perversion de ces systèmes, parfois pavés de bonnes intentions et presque toujours récupérés par opportunisme ou cynisme, parfois par ignorance. L’esprit malfaisant ou la faiblesse des hommes devant la facilité, l’argent, surtout le manque d’exigence dans le choix des “gouvernants” (même quand il est réellement accessible à une population, ce qui est rarissime – donc un point noir de toute société élective), corollaire du manque de rigueur morale jusque dans les sphères les plus hautes du pouvoir, leur infiltration par des mafias financières de l’obédience “vituli aurei”, sont les humeurs morbides qui intoxiquent les orientations politiques conduisant à ces catastrophes humaines. Comment créée une organisation efficace de nos sociétés sans qu’elles soit dévoyées. Les modèles sont toujours dépassés par ce même travers humain de la corruption, que même le droit ne peut éradiqué parce qu’aucune société ne peut contrôler chaque individu sans tomber dans l’auto-destruction. L’organisation du vivant, du vivable ne peut être que moral, donc spirituel et la séparation de l’église et de l’état n’a fait que déplacer le problème en déniant le rapport de l’homme à l’univers et son essence, qui n’est pas marchande. Depuis il cherche la quadrature du cercle, et en arrive, encore, à tuer au nom de l’humanité. Ou pire en faisant tuer au nom de la liberté par l’intervention et avec la bénédiction de pseudo-philosophe, larbin au bénéfice des mêmes apôtres du pouvoir par le veau d’or. Mais aussi au nom d’un mode de vie qui serait le seul acceptable, parce que principalement mercantile, au mépris de l’histoire des populations et en caricaturant leurs mœurs. Dénoncer les “prêtres” (scientifiques, philosophes ou autres) qui prêtent leurs connaissances (ou leur propre stupidité) à ces processus tyranniques est utile et peut-être nécessaire mais ne règlent pas cette question de l’origine de leur félonie. Surtout il ne souligne pas le caractère de cette trahison, double trahison : de leurs congénères et de leur propre discipline. Enfin elle ne pointe pas le doigt sur ceux qui les utilisent, les achètent et les soudoient. Il y a beaucoup d’intelligences en France. Comment mettre au pouvoir des agents de probité suffisante pour avoir une chance de réduire misère, injustice, ignorance et souffrance? Ces quatre fronts du combat fondamental de l’Homme, que peut choisir chacun à sa place, qui veut garder un peu de sens à son existence. Même si, ou plus encore parce que précisément cela est sans fin. La monstruosité de l’homme est proportionnelle à ses facultés mises au service de sa nature primitive. Il ne peut en sortir que par le haut, mais rien n’est acquit. L’intelligence au service du coeur ce n’est pas une naïveté, c’est le pendant de “caritas in veritatis”. Mais oui le mensonge séduit, fait rêver et règne sur le monde innocent et aveuglé par l’immédiateté, l’avidité, entretenues par les profiteurs qui endettent le monde pour mieux lui vendre la corde à laquelle il sera pendu.(cf deutéronome). Le combat est la voie, Mais il faut savoir choisir son objet. DLP

    9 juillet 2011 à 2 h 05 min

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