Ce sont les puissances démocratiques qui ont assuré la victoire mondiale du communisme

Ce sont les puissances démocratiques qui ont assuré la victoire mondiale du communisme

En décembre 1941, Hitler, dans le sillage du Japon, déclara la guerre aux États-Unis, signant ainsi sa perte. Aussitôt les États-Unis, le Canada, la Grande-Bretagne se mirent à aider massivement l’Union soviétique, d’autant plus que Roosevelt, pourtant démocrate, franc-maçon et défenseur universel des droits de l’homme, éprouvait la plus grande admiration pour Staline, alors qu’il n’ignorait rien des crimes innombrables commis par le dictateur soviétique.

Un armement considérable fut ainsi livré à l’URSS dont on a peine à imaginer la quantité : 23 000 avions, 13 000 chars, 77 000 jeeps, 650 000 camions, 345 000 tonnes d’explosifs, ce qui permit à l’industrie soviétique de se concentrer sur la production de canons. À cet armement s’ajouta l’ouverture de très larges crédits, des milliards de dollars, et le prêt-bail allié plus que généreux.

La France, pour sa part, ne pouvait évidemment rien fournir à Moscou puisque, vaincue, elle était occupée par les armées allemandes. Mais De Gaulle, lui aussi, nourrissait beaucoup de considération pour l’URSS, à tel point qu’il pensa déplacer le siège de la France libre de Londres à Moscou. Il faut dire que les Anglo-Saxons supportaient difficilement la raideur et l’orgueil quasi pathologique de De Gaulle.

Churchill disait à son sujet : « Que voulez-vous ? Chacun a sa croix, moi j’ai la croix de Lorraine. » Roosevelt, lui, se moquait ouvertement du général, l’appelant Jeanne d’Arc. Il redoutait que De Gaulle devînt dans la France libérée un dictateur de droite et il mit sur pied une administration américaine qui devait diriger la France libérée, et succéder à l’occupant allemand.

Sans doute, dira-t-on, tout cela, c’est de l’histoire ancienne.

Eh bien non, 67 ans à l’échelle de l’histoire, c’est hier et si, en 1989, l’URSS s’est effondrée d’elle-même, les séquelles du bolchevisme sont encore très présentes et agissantes dans le monde entier.
En Chine, vaste puissance communiste qui ne cesse de se renforcer, en Corée du Nord à la dictature déifiée et nucléaire, au Vietnam qui contrôle toute l’Indochine, à Cuba et un peu partout dans le monde où Staline, avec l’aide de l’ami Roosevelt, imposa la décolonisation.

Celle-ci créa un tel chaos meurtrier, toujours en cours, que l’on peut la qualifier comme l’un des plus grands crimes contre l’humanité jamais commis. De là, l’immigration massive en Europe de l’Ouest des populations du Tiers-monde, un problème insoluble, aggravé par l’irruption d’un islam agressif dont les 1,5 milliard de fidèles rêvent d’anéantir la civilisation orientale et chrétienne remplacée par un système totalitaire, religieux et politique, pré-moyenâgeux.

En voici un exemple parmi tant d’autres : dans l’ex pays de Kadhafi, assassiné vous savez par qui, des « maisons à crédit » servent de centres de rétention et de torture pour les migrants africains n’ayant plus le sou. Leurs photos les montrant en piteux état, affamés et tuméfiés à force d’avoir été battus, sont postées sur Facebook pour extorquer à leurs parents la rançon de leur libération, quand ils ne sont pas vendus purement et simplement sur les marchés d’esclaves de la Libye décolonisée.

Dans ce bilan, on ne peut oublier la mainmise de toute l’Europe de l’Est, dont un tiers de l’Allemagne, par les Soviétiques en 1945. Churchill chercha à s’y opposer, mais Roosevelt le rabroua vertement, lui intimant l’ordre de se taire, laissant aux amis soviétiques la conquête et l’occupation de Berlin.

Ce qui est pour le moins étonnant dans cette tragique histoire contemporaine, c’est que, de tous les peuples du monde, c’est probablement le peuple français, plus que le peuple russe, qui adhéra pleinement à l’idéologie bolchevique, 1917 ne faisant que réaliser les virtualités de 1789. C’est ce que me disaient immanquablement les ambassadeurs soviétiques chaque fois que je les rencontrais.

En 1945, 30 % des Français votaient communiste et 50 % étaient favorables à Moscou. Un train entier de victuailles et de grands vins fut envoyé à Staline pour le remercier de sa victoire, alors que les Français, eux, avaient faim.

Pendant des années, les communistes furent au pouvoir en France.

En 1936, avec leurs amis socialistes, ils avaient déjà expédié une grande quantité d’armement aux camarades espagnols.

En 1945, De Gaulle choisit pour bras droit Maurice Thorez, secrétaire général du PC, qu’il nomma ministre d’État, bien qu’il ait été condamné à mort pour désertion devant l’ennemi allemand. L’armement était confié à un autre communiste, François Billioud.

Ce même Thorez, fidèle agent de Staline, « constructeur génial du socialisme, lui écrivait-il, chef aimé des travailleurs du monde entier, guide des peuples, le maître et ami qui me fit, un jour heureux entre tous, le grand honneur de me recevoir en témoignage de ma fidélité absolue et de mon amour filial » (sic), avait été, ainsi que ses camarades restés en France, un collabo empressé de l’occupant nazi jusqu’en juin 1941.

Mitterrand, quant à lui, n’a pu devenir président de la République que grâce aux communistes, très présents dans son gouvernement, et François Hollande a déclaré, une fois président, qu’il tenait l’idéologie communiste en haute considération.

Il faut savoir aussi qu’en 1993, les services spéciaux britanniques ont transmis secrètement à leurs homologues français une liste de 300 noms de hauts fonctionnaires, dont quelques diplomates, qui auraient travaillé pour Moscou. On y trouvait aussi le nom d’un ministre de la Défense qui avait au KGB le nom de code d’André.

Balladur donna l’ordre de tenir cette liste absolument secrète !

Aujourd’hui, le Parti communiste proprement dit est amoindri, mais il reste très influent par l’intermédiaire de la CGT, son bras armé, qui vient de faire savoir que, si le gouvernement Macron diminuait ses privilèges notamment financiers, le syndicat serait en mesure, en 24 heures de couper l’eau, l’électricité et le gaz dans toute la France, et d’arrêter les transports ferroviaires.

Le bilan de cette idéologie utopique et criminelle est, on vient de le voir, dramatiquement négatif.

Si le communisme et son cousin germain, le socialisme, étaient gages de liberté, de sécurité, et de prospérité, il faudrait être communiste, mais le communisme, ce sont les camps d’extermination, la misère et la corruption.

Néanmoins, si cela vous plaît, allez donc vous installer en Corée du Nord, où même les fleurs s’inclinent devant le cher grand leader suprême et bien-aimé, qui, gras et rose, se nourrit de caviar et de langoustes de qualité, assaisonnés de pensées émues pour son peuple qui, lui, parfois crève de faim.

 

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Comments (2)

  • Archange Répondre

    ce concentré d’anti-communisme primaire est élogieux et digne d’un extrémisme de droite… Chacun son truc !!

    11 septembre 2019 à 21 h 13 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    comme disait Wiston Churchill : …

    ” on a tué le mauvais cochon ”

    rappelons par respect pour … l’ Histoire que ce sont les Britanniques qui, les premiers, ont inventé les … ” camps de concentration ” lors de la guerre contre les Boers pour que les ” capitalistes ” puissent s’ approprier les … mines

    10 mars 2018 à 7 h 36 min

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