« Putain de ta race ! », comme ils disent

« Putain de ta race ! », comme ils disent

Après mon article « Miss France métissée » (n° 671), qui m’a valu un nombreux courrier approbateur et une masse de votes favorables à l’élection de Miss Normandie au titre de « Miss France Veritas 2009 », une polémique s’est engagée sur notre site Internet avec deux contestataires. Ces adeptes du métissage « tendance » ne voient rien à redire à ce qu’une « élection » orientée favorise des beautés exotiques au détriment des Gauloises, par le biais d’un jury « aux ordres ». (Non aux ordres de quelqu’un, mais plutôt de l’idéologie dominante à laquelle se soumettent les « béni-oui-oui » du nivellement.)

Ces destructeurs de peuples, qui considèrent le métissage généralisé comme une bénédiction, m’ont mis au défi de prouver l’existence de races différentes au sein de l’humanité. En somme, il faut « prouver » aux beaux esprits que le ciel est bleu, que l’herbe est verte et que les poules n’ont pas de dents.
 Et si vous haussez les épaules en refusant de perdre votre temps à prouver des évidences, ils crient que vous vous dérobez et que c’est un « aveu d’impuissance » (textuel). Comme je ne suis pas homme à céder aux défis stupides, j’ai planté là mes turlupins. En revanche, il m’a semblé utile de faire le point pour nos lecteurs sur cette question des races, dont le seul énoncé plonge en transes les antiracistes patentés qu’Adolf Hitler a réussi à vacciner contre leur propre identité, et qui lui offrent ainsi sa plus grande victoire posthume.

Les différentes races humaines existent, bien sûr, ce qui n’a rien d’effrayant, car chacune participe, selon son génie propre, à la richesse diversifiée de notre espèce, de la même manière que les sous-espèces animales participent à la biodiversité planétaire. Il est d’ailleurs assez comique de voir certains vigoureux défenseurs de cette biodiversité – et qui le sont à juste titre – être saisis de tremblements hystériques dès que l’on veut faire bénéficier l’humanité elle-même de cette biodiversité. Je ne vois pourtant pas ce qu’il y a de choquant à reconnaître que les Noirs courent plus vite que les Blancs et que les Blancs nagent plus vite que les Noirs, ce que les Jeux Olympiques nous démontrent tous les quatre ans. Il faut avoir l’esprit bien malade pour nier ces réalités, et plus encore pour les trouver dangereuses. La vérité, c’est que la question des races humaines, qui relevait avant Hitler de l’anthropologie, a été envahie depuis 1945 par une idéologie négationniste que certains, croyant ainsi combattre le racisme, adoptent fanatiquement pour nier la réalité même des races, jetant le bébé avec l’eau du bain.

Cette domination de l’idéologie sur la science éclate de façon évidente dans cet extrait que j’emprunte à l’Encyclopédie Wikipédia : « Le terme de race demeure usité dans le langage courant pour désigner les ethnies ou les groupes ethniques. Mais si cet emploi ne choque pas aux États-Unis, il est à éviter par exemple en France, où il peut être mal vu de dire « la race » quand il est possible de dire « les origines ». » Néanmoins, l’interdiction de discrimination dans la Constitution française précise « sans distinction d’origine, de race ou de religion. » – On m’accordera que des formules comme « il est à éviter » ou « il peut être mal vu » se réfèrent directement aux ukases du terrorisme intellectuel de la gauche paranoïaque. L’existence des races humaines n’en est pas moins confirmée par notre Constitution.

Dans un article de la revue scientifique « Nature » publié en 2003, Feldman, Lewontin et King, résument ainsi la situation : « Contrairement à l’idée défendue depuis le milieu du XXe siècle, on peut définir scientifiquement des races dans l’espèce humaine. La connaissance du génome humain permet en effet de regrouper les personnes selon les zones géographiques d’où elles sont issues. »

Bien entendu, la réalité des différences raciales ne permet en aucune manière de hiérarchiser les groupes ethniques, et nulle donnée scientifique ne permet de les classer en « supérieurs » et « inférieurs », ce qui caractérise l’odieuse idéologie raciste. Mais s’imaginer que l’on peut combattre le mal en combattant la vérité est d’une extrême sottise, car elle aboutit à conforter le mensonge des malfaisants. La reconnaissance des races, de leur droit à la différence et au respect mutuel sont pourtant les seuls fondements possibles de la fraternité.

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Comments (88)

  • Albert Répondre

     

    @ Scipion (votre message du 2 février à 12 h 53).

     

         «Que vous parliez de sophismes et de paralogismes est révélateur de votre incapacité à considérer la réalité hors du prisme déformant des dogmes de votre Evangile». Deux remarques :

     

         1. N’inversez pas les choses : ce n’est pas moi qui ai un «évangile», c’est vous ! Je me place simplement dans le cadre de la science, pour laquelle les «races» humaines (selon votre acception) n’existent pas. C’est vous qui affirmez une existence mythique (les « races ») comme vous affirmeriez la composition du monde selon les quatre éléments. A vous de prouver l’existence des « races »…

     

         2. Qu’est-ce que la réalité ? Question que je ne cesse de poser à Pierre Lance sans avoir de réponse. Et, s’agissant du présent sujet, qu’est-ce que la «réalité» des «races» ?

     

         Lorsque vous dites que «le racisme existe» ou qu’il est «une des choses les mieux partagées du monde», je ne vois pas en quoi cela est un argument en faveur dudit racisme (à strictement parler, c’est même un argument «pavé de l’ours», comme si vous disiez : la «connerie» – passez-moi le mot – est une des choses les mieux partagées du monde…). Le sexisme aussi est l’une des choses les mieux partagées du monde : le judaïsme, le christianisme, l’Islam, les civilisations de la Chine et de l’Inde l’ont eu (et l’ont encore) en commun. Toutes ont postulé (et postulent encore, pour nombre d’entre elles) «l’infériorité» des femmes. Et s’agissant de la cosmologie, toutes les civilisations ont professé les idées les plus farfelues avant la révolution copernicienne…

     

         A ma question : «Qu’est-ce qu’un groupe réputé à risque ?», vous avez répondu : «C’est un groupe avec lequel les mauvaises expériences sont plus fréquentes qu’avec d’autres», ce qui, comme on le dit en rhétorique, n’est que de la paraphrase. Vous n’expliquez rien du tout, vous vous contentez de répéter mes propos sous une autre forme… Même chose avec la question suivante : c’est qui, les «riches» ?

     

         Vous dites que chacun peut «doit être libre d’accepter ou de rejeter qui il veut pour les raisons qui lui semblent bonnes.». Comment justifiez-vous ce qui apparaît comme un refus de vente, ce qui est interdit par la loi ? Je comprends que le patron exige une «tenue correcte» (encore que la définition en soit floue), que l’on paye ses consommations ou que l’on ne fasse pas de scandale, mais s’il est poursuivi devant les tribunaux par suite d’un «testing», de quelle façon justifie-t-il le rejet d’un client a priori, juste au vu de sa tête ?

     

         En d’autres termes (et malgré vos explications emberlificotées, c’est bien de cela qu’il s’agit), comment justifiez-vous qu’on vous inflige une sanction non pour ce que vous faites (car, à l’entrée de la discothèque, vous n’avez par définition rien fait) mais pour ce que vous êtes ? Ou, en d’autres termes, puisque cela ne semble pas vous poser de problèmes, verriez-vous un inconvénient à apposer un écriteau ainsi libellé : «Etablissement interdit aux Arabes et aux Noirs» ?

     

         Lorsque vous écrivez : «Je trouve profondément choquant que des gens qui sont chez eux doivent se pousser pour faire de la place à des gens qui n’y sont pas…», pouvez-vous me dire en quoi la qualité de Français est liée, en France, à l’allure physique et en quoi une personne ayant un nom arabe ou africain ou une allure correspondante est moins française que telle autre personne dont les ancêtres ne sont pas sortis de leur village depuis Clovis ? Trouvez-moi, dans la Constitution ou les textes législatifs un écrit qui le justifie de tels délires.

     

         [Et ne venez pas me sortir la vieille argutie maurassienne du «pays réel» et du «pays légal» ou la puante expression lepéniste de «Français de papier» : l’immigré malien qui a obtenu sa naturalisation la semaine précédente est aussi pleinement Français que le descendant des Faucigny-Lucinge ou des Rohan-Chabot. Il n’y a pas (et il ne peut pas y avoir), en France, de distinction entre pays légal et pays réel. La dernière fois qu’on s’y est essayé – sous Pétain – la droite nationale a obtenu, en échange, dix fois plus que tout ce qu’elle redoutait avant guerre…]

     

         Que vous vous soyez amusé des petites vexations «racistes» vécues en Afrique du fait des Africains n’est pas – et ne peut pas être un argument – et ce à double titre :

     

         1. D’abord, nul n’est libre d’abdiquer ses droits. Il y a quelques années, existait un spectacle de cirque assez dégradant appelé le «lancer de nains» (l’expression dit ce dont il s’agissait). Même si les intéressés étaient parfaitement d’accord – souvent, d’ailleurs, pour des raisons économiques – pour participer à ce jeu humiliant, un tiers (ministère public ou association antiraciste) était fondé, à leur place, à déposer plainte. Si vous êtes victime de racisme, il est parfaitement légal que quelqu’un se constitue partie civile, avec – sans, voire contre vous !

     

         2. Psychologiquement, vous pouviez être tranquille parce que, à la différence des Africains, même en Afrique, vous êtes, en tant que Français «blanc», en situation de dominant : dominant parce que citoyen d’un pays plus puissant économiquement, financièrement, militairement et politiquement ; dominant parce que possédant un pouvoir d’achat supérieur ; dominant parce que locuteur d’une langue s’imposant au pays hôte et, quelquefois, dominant car exerçant dans le pays hôte, des fonctions d’encadrement, ou d’enseignement, c’est-à-dire de commandement. Alors, à ce compte-là, les vexations, grandes ou petites, ça ne pèse guère…

     

         Lorsque vous dites : «Lorsque je vivais à l’étranger comme lorsque je m’y rends maintenant, je me fais un devoir d’adopter un profil bas dans une quantité de domaines où une trop grande désinvolture ou une trop grande «cavaliérité» pourrait être de nature à heurter les gens du lieu.», j’entends fort bien ce que vous dites, mais quelle relation cela a-t-il avec l’aspect physique de l’individu ?

     

         Si, par ailleurs (pour appeler un chat un chat), vous dites : «Je n’accepte ni les Noirs ni les Arabes», comment faites-vous pour distinguer les uns des autres ? Il est des Arabes (en Syrie et au Liban, mais aussi au Maghreb) qui n’ont pas du tout des «têtes d’Arabes». A l’inverse, certains Européens du sud, Siciliens, Andalous, Grecs ou certains métis antillais ont de vraies têtes de bavures. Comment résolvez-vous la contradiction ? Et à partir de quel moment décidez-vous que quelqu’un est Noir ou ne l’est pas ? Je connais quatre frères mulâtres (père Guadeloupéen, mère Bavaroise) : l’un des frères tire plutôt sur le noir du père, l’autre sur le blanc de la mère. Comment justifiez-vous de faire entrer un frère et pas l’autre ? Et un Dravidien, qui est parfois noir comme du charbon, vous le classez où ?

     

         Je ne vois pas en quoi une France métissée serait «une succursale du tiers monde». Sauf à démontrer que les sujets de souche arabe, turque ou africaine ne possèdent, par nature, aucun des caractères intellectuels ou caractériels des sujets de souche européenne, ce que je vous mets au défi d’établir ! Comme je vous l’ai déjà dit, la plus fameuse – et fumeuse – étude qui prétendait le démontrer, la «Bell Curve» de Murray et Herrnstein, a été réduite en petit bois, comme le fatras d’absurdités qu’elle est…

     

         «L’identité des peuples» que vous croyez pouvoir établir des Gaulois à nos jours n’est concevable qu’au prix de simplifications abusives et de lieux communs, qui ne servent qu’à conforter les habituels clichés. N’oubliez pas que Siegfried est né au XIXe siècle, siècle par excellence de l’affrontement des nationalismes (et des nationalités), précisément en 1875, c’est-à-dire quatre ans après la guerre franco-allemande, qui a représenté un traumatisme profond pour tous les Français, et qu’il a vécu les deux guerres mondiales. Toute sa vie a donc été baignée dans cette atmosphère de conflit de nation (alors qu’au XXe siècle, les conflits de classe ou idéologiques ont été plus prégnants).

     

         Cet état d’esprit amenait à réinterpréter toute la suite de l’histoire, depuis les origines, comme des conflits de nationalités, et à triturer les événements sur un lit de Procuste pour les faire entrer dans ce cadre. Par exemple dans un livre d’histoire de 3e de 1904, à réinterpréter la guerre de Trente ans (et spécialement l’épisode bohémien) comme un conflit entre les Germains et les Slaves ! Un étudiant de première année d’histoire qui se risquerait à écrire de telles billevesées s’en mordrait les doigts… [Et pas – comme je vous vois venir – parce sa copie ne serait pas «politiquement correcte»…].

     

         Ne vous en déplaise, il y a eu, à la libération en Italie, des épisodes atroces, des lynchages de fascistes ou de collaborateurs de la République de Salo qui n’ont rien eu à envier à ceux de la France de 1944. Un vieil Italien m’a rapporté le cas d’un prêtre fasciste empalé et j’ai vu des photos d’un dignitaire mussolinien noyé dans le Tibre. De même, durant les années 1810 à 1813, les Allemands soupçonnés de collaborer avec le régime napoléonien étaient-ils souvent victimes d’assassinats.

     

         Je me demandais ce que vous vouliez dire par les existentialistes. J’ai compris que vous faisiez référence à la phrase de Sartre disant que «c’est l’antisémite qui fait le juif». Je ne vois rien d’autre, là dedans, que l’application particulière du principe selon lequel ce ne sont pas les « races » (puisqu’elles n’existent pas) qui suscitent le racisme, mais, au contraire – et bien plus véritablement – le racisme qui crée les races. Mais cela est tellement évident que ça ne vaut pas même la peine d’en parler… [Je pastiche le proverbe chinois bien connu : quand on montre à un idiot un homme noir, l’idiot ne voit pas l’homme, mais le noir].

     

         Marx n’est pas du tout dépassé ! Bien au contraire, et il faudrait revoir vos clichés ailleurs que dans le Figaro Magazine ou Valeurs actuelles. Actuellement, la proportion de Français propriétaires de leur logement est de 57 %, ce qui en laisse tout de même 43 % locataires, soit, pour une population de 64 millions d’habitants, pas loin de 28 millions de locataires. Une paille, quoi… Quant aux Français qui partent aux sports d’hiver, leur proportion, selon les chiffres du Ministère de la Jeunesse et des Sports, était, en 2004, de 8,6 %, selon ses propres termes, stable depuis 5 ans.

     

         Apparemment, vous êtes moins marxiste que le milliardaire Warren Buffet (un temps l’homme le plus riche des Etats-Unis) qui, lui, déclarait – en orfèvre – «la lutte des classes existe, et c’est la mienne qui est en train de la gagner». Par ailleurs, pratiquement toutes les décisions de la droite depuis 1986, et de façon de plus en plus cynique et visible avec le temps, pour culminer avec Sarkozy, ont été des décisions de classe (sans préjudice de celles qui ont été prises par des gouvernements se disant de gauche).

     

         Et même aujourd’hui, Laurence Parisot s’est scandalisée de ce que le gouvernement Obama «plafonnait» les revenus des patrons à 500 000 $ par an, soit environ 42 000 $ par mois. Si on pose que le dollar a (en gros) la même parité de pouvoir d’achat que l’euro, cela donnerait 42 000 € par mois. Comment cette femme ne voit-elle pas l’ignominie de sa question alors que 30 % des Français ne touchent pas l’équivalent du SMIC brut ? C’est ça aussi la lutte des classes, Scipion…

     

    5 février 2009 à 22 h 40 min
  • sas Répondre

    Putain de la leur……comme je dis…                                                        *

    NAGUY BOCSA SIGNE SES COURRIERS DES TROIS POINTS    *       *(info backchich info)

     

    ainsi donc si vous avez une demande ripoublicaine a formuler……signer ainsi….

    vous serez exhaucés…..

    sas

    5 février 2009 à 20 h 31 min
  • Scipion Répondre

    M. Lance,

    Vous êtes bien aimable et je vous remercie pour vos compliments, quand bien même m’obligeront-ils, à l’avenir, à soigner davantage mon écriture et, surtout, à me relire plus attentivement.

    Cela dit, je constate que nous sommes également sur la même longueur d’ondes pour penser que "ce qui est important est de fournir des points d’appui à ceux qui entendent défendre les réalités contre les chimères.".

    Je m’amuse toujours lorsqu’un interlocuteur me dit : "Si tu crois que tu vas me convaincre avec…"

    Amicalement à vous.

    5 février 2009 à 11 h 22 min
  • IOSA Répondre

    Malheureusement la censure zappe mes réponses …alors tant pis pour scipion et siniq qui n’auront pas de réponse à leurs questions…..

    Sur un autre article..à se relire peut être? ( à se contredire aussi, bien entendu)

    5 février 2009 à 2 h 24 min
  • Pierre LANCE Répondre

    Je n’ai malheureusement pas le temps, et je le regrette, de poursuivre la discussion à la suite de tel ou tel de mes articles, car je suis mobilisé par les suivants. Mais venant parfois “faire un tour” sur le forum lorsque la liste des contributions s’allonge, je constate avec plaisir que certains de nos correspondants prolongent mon travail par des informations ou arguments de grande qualité. Je remercie notamment Scipion, qui a considérablement étoffé le débat par une argumentation très solide soutenue par une grande logique, exprimée de surcroît dans un calme olympien. Rien qui puisse convaincre, bien sûr, les esprits idéologiquement pétrifiés, mais c’est sans importance; ce qui est important est de fournir des points d’appui à ceux qui entendent défendre les réalités contre les chimères.

    4 février 2009 à 1 h 32 min
  • siniq Répondre

    IOSA

    "Qu’une partie de la France fut un territoire conquis par les sarrasins et donc métissé par ce fait"

    Vous faîtes donc partie de ces personnes qui disent ceci pour faire enrager certains français de langue d’Oïl, tout ce qui est en dessous de Poitiers est arabe. C’est vrai qu’il y Castelsarrasin si cher à Monsieur Pierre Perret. A propos d’ où venez les Vandales ?

    A vous relire.

    3 février 2009 à 11 h 51 min
  • Scipion Répondre

    "Surtout n ‘oubliez pas dans votre dissertation sur Clovis, qu’une partie de la France fut un territoire conquis par les sarrasins et donc métissé par ce fait, mais c’est vrai que parfois il vaut mieux "oublier"."

    Oublier pourquoi ? Et pourquoi vaut-il "mieux oublier" ?

    Est-ce que cela change quelque chose à l’identité française ? Est-ce que ce souvenir modifie quelque chose à la perception qu’on a aujourd’hui de l’immigration-invasion ?

    Ou voulez-vous dire que l’entretien de ce souvenir conduit à se résigner à l’islamisation et à la tiers-mondisation de la France ?

    Je crains fort que vous n’ayez rien compris… Mais bon, ce n’est pas bien grave :o)

    3 février 2009 à 11 h 06 min
  • IOSA Répondre

    Scipion@…..

    Belle analyse, mais qui n’a de valeur que pour vous…..c’est à dire un opposant à ceux qui ne vous ressemble pas, ou plutôt…vous ne voulez pas leur ressembler.

    Surtout n ‘oubliez pas dans votre dissertation sur Clovis, qu’une partie de la France fut un territoire conquis par les sarrasins et donc métissé par ce fait, mais c’est vrai que parfois il vaut mieux "oublier".

    En somme, un simple maquillage du passé qui sans doute vous gène et probablement  agit dans vos pensées à votre insu.

    Voilà une des raisons du racisme en France.

    N’est il pas vrai ?.

    2 février 2009 à 23 h 27 min
  • Scipion Répondre

    Que vous parliez de sophismes et de paralogismes est révélateur de votre incapacité à considérer la réalité hors du prisme déformant des dogmes de votre Evangile.

     

    « Mais c’est précisément ça, le racisme ! »

     

    Et bien figurez-vous que cela existe, le racisme. Ce ne sont pas les Grands Principes,les valeurs de la Républiquem les lois, les interdits et les contraintes qui y changeront quoi que ce soit. L’angélisme non plus.

     

    Le racisme est l’une des choses les mieux partagées au monde, preuve qu’il est naturel à toutes les sociétés. A l’opposé, l’antiracisme est une posture intellectuelle, c’est-à-dire artificielle, donc n’ayant aucune chance dans la durée.

     

    «  Qu’est-ce qu’un groupe réputé à risque ? »

     

    C’est un groupe avec lequel les mauvaises expériences sont plus fréquentes qu’avec d’autres.

     

    « En quoi une similitude constitue-t-elle une présomption de culpabilité ? »

     

    Comme dit la sagesse populaire, on ne prête qu’aux riches.

     

    « Comment se fait-il que, dans l’exemple de la discothèque, vous vous soyez mis spontanément, automatiquement, dans la peau du patron de discothèque et non dans celle de celui à qui on refuse l’entrée ? »

     

    Parce que je considère d’une façon tout à fait générale que chacun (patron d’établissement public, propriétaire d’appartements, employeurs) doit être libre d’accepter ou de rejeter qui il veut pour les raisons qui lui semblent bonnes.

     

    Je trouve profondément choquant que des gens qui sont chez eux doivent se pousser pour faire de la place à des gens qui n’y sont pas. De toute évidence, c’est ce que pensaient aussi les colonisés qui ont combattu pour leur indépendance.

     

    « Admettriez-vous, pour vous-même, ce traitement humiliant ? »

     

    Pourquoi humiliant ? On ne peut pas plaire à tout le monde et quand on arrive dans un endroit où on n’est pas le bienvenu, le mieux est de s’en sans insister, pas à chercher à s’imposer une présence non souhaitée.

     

    Pour avoir vécu et travaillé pas mal de temps en Afrique, j’ai comme, tous les Blancs, été victime de petites vexations « racistes », et je m’en suis toujours amusé. Et dans des circonstances identiques, je n’ai jamais rencontré de Blanc qui se soit senti humilié… Parce que je n’ai jamais rencontré de Blanc qui ait des problèmes psychologiques liés à la couleur de sa peau.

     

    « Lorsque vous parlez de «principe de précaution», vous rendez-vous compte que vous exprimez un principe ignoble… »

     

    Ignoble, c’est vous qui le dites. Pour ma part, je pense effectivement qu’il est plus raisonnable d’être un peu injuste a priori qu’un peu sinistré a posteriori.

     

    Et n’oubliez pas que nous parlons de gens qui sont chez eux, par rapport à des gens qui ne sont pas chez eux. Pour vous, cela ne fait sans doute aucune différence, mais nous sommes tout de même un certain nombre à penser que si nos parents nous ont légué un pays en état de marche, ce n’est pas pour le fourguer à n’importe qui affluant de n’importe où.

     

    « …même question : puisque vous énoncez un principe universel, accepteriez-vous que celui de l’innocent puni s’applique à vous ?»

     

    Mais ne pas être accepté dans un établissement public, comme se voir refuser un appartement ou un emploi, n’est pas un châtiment même pas une punition. Votre question est inepte.

     

    « Lorsque vous écrivez : «Peut-être aussi, je l’admets, pour éviter certaines promiscuités à des clients qui ne les apprécient pas.», vous rendez-vous compte de la phrase puante de racisme que vous écrivez ? »

     

    Je comprends tous les mots que j’utilise pour restituer une réalité que tout le monde peut constater. Vous avez cité une différence d’attitudes qui, selon vous, distingue la droite de la gauche. Je vais vous en fournir une autre : la droite vit dans le monde tel qu’il est, la gauche dans le monde tel qu’elle voudrait qu’il soit.

     

    «  Ne voyez-vous pas que le client dont l’existence constitue une promiscuité est celui qui dit : je ne peux pas accepter que cet établissement accueille des Noirs (ou des Arabes) ? Et que c’est lui que le patron de discothèque devrait virer à coups de pompes dans le train…»

     

    Encore une fois, on parle de gens qui sont chez eux, par rapport à des gens qui n’y sont pas. Lorsque je vivais à l’étranger comme lorsque je m’y rends maintenant, je me fais un devoir d’adopter un profil bas dans une quantité de domaines où une trop grande désinvolture ou une trop grande « cavaliérité » pourrait être de nature à heurter les gens du lieu.

     

    Cette attitude est bien évidemment aux antipodes de celle, très fréquente en France, qui consiste à multiplier les incivilités, mais aussi les délits, et quelquefois les crimes, pour signifier sa non-appartenance à la communauté nationale

     

     «  Depuis 2000 ans, la France est passée d’une civilisation celtique et orale à une civilisation romane et écrite, du paganisme au christianisme, du christianisme à la déchristianisation, de la monarchie à la République et d’une France «européenne» à une France «métissée» sans que, pour autant, la Terre s’arrête de tourner… »

     

    Oh la la ! La Terre ne s’arrête jamais de tourner. Quoi qu’il arrive ! Il n’empêche que ce serait une sacrée régression que le pays de Clovis, de Rutebeuf, de Couperin, de Claude-Nicolas Ledoux, de Rodin, d’Autant-Lara, d’Arletty et de Céline devienne un jour, une succursale du tiers monde.

     

    « Ce que vous dites des banlieues ou de l’Afrique du Sud ne constitue pas une preuve : ce que ressentent ceux qui quittent les banlieues (en France) ou ressentent une insécurité (en Afrique du Sud), c’est un sentiment d’insécurité «sociale», pas «raciale». »

     

    Ah non, c’est un sentiment d’insécurité physique.

     

    « Dans tous les pays où j’ai voyagé, j’ai trouvé des malotrus et des gens charmants, parfois à 5 minutes d’intervalle les uns des autres…»

     

    Moi pareil. Mais on s’en moque des malotrus comme des gens charmants. Vous refusez d’admettre qu’il existe un type moyen, ni malotrus ni charmant, et qui est l’individu lambda qu’on côtoie en tous temps et en tous lieux. C’est de lui dont parle André Siegfried quand il écrit :

     

    « Il y a dans la psychologie des peuples, un fond de permanence qui se retrouve toujours. Nous sommes encore, par combien de traits, semblables aux Gaulois nos ancêtres, et les caractéristiques que Tacite notait chez les Barbares ou les Juifs de son temps, sont encore reconnaissables dans les Allemands, les Israéliens d’aujourd’hui. »

     

    Je sais bien que cela gêne les existentialistes, mais enfin leurs théories n’ont aucune base scientifique : dans un univers "progressiste", féru de démonstrations scientifiques, personne n’a jamais prouvé, scientifiquement, que c’est l’antisémite qui fait le Juif, n’est-ce pas ?

     

    « Je le répète : il existe des myriades de façons de ranger les individus en groupes et je conteste radicalement la prégnance que vous accordez à l’empreinte nationale. »

     

    Vous contestez ce que vous voulez, il reste que les peuples ont une identité propre et que, même voisins, ils se comportent de manières extrêmement différentes dans des circonstances identiques. Si vous contestez aussi cette affirmation, je vous invite à considérer comment se sont comportés respectivement les Allemands, les Italiens et les Français, au moment de la Libération, en 1945. En Italie, aucune femme n’a été tondue et si le cadavre du dictateur a été profané, pour l’Allemagne, je n’ai jamais entendu parler de sévices contre des nazis, qu’il s’agisse de dignitaires ou de petits chefs…

     

    « Et, avant – et au-dessus – de Siegfried, je vous recommande un certain Karl Marx dont, pour une large part, les idées n’ont pas pris une ride…»

     

    Pas pris une ride ? Je me suis toujours demandé la tête qu’il aurait faite, si une machine à voyager dans le temps lui permis de découvrir vers 1980, des « damnés de la terre », propriétaires de leur habitat, roulant voiture automobile et allant trois semaines à la mer en été et une semaine au ski en hiver. C’est peu de dire qu’il aurait eu l’air d’un c… 

     

    « Que vient faire votre tirade sur le Bénin et la Suisse ? Et en quoi constitue-t-elle une preuve ? Comme d’habitude à droite, vous vous confondez corrélation et relation de cause à effet… »

     

    Ce n’est pas une preuve, c’est juste une démonstration. Mais je reconnais que j’aurais été mieux inspiré en recourant au Paraguay plutôt qu’au Bénin, puisque le pays latino-américain en est à une encablure de ces deux siècles d’existence… Le constat d’échec est donc beaucoup plus accablant.

    2 février 2009 à 11 h 53 min
  • siniq Répondre

    Un client arabe qui insulte un portier de boîte de nuit noire en l’insultant en terme peu élogieux, c’est quoi?

    Milles excuses, erreur de frappe qui fausse le sans de ma phrase

    Un client arabe qui insulte un portier ou videur de type sub-saharien en terme peu recommandables, comment doit on appeler ce type de comportement ?

    2 février 2009 à 8 h 50 min
  • siniq Répondre

    Les personne niant le plus l’existence des races sont celles qui hurlent le plus au racisme, laissons ces gens dans leur dogmes si cela les rassurent.

    Un arabe qui ne peut rentrer dans une boîte de nuit, c’est du racisme  mais un non-musulman qui ne peut aller à la Mecque, c’est normal !

    Un client arabe qui insulte un portier de boîte de nuit noire en l’insultant en terme peu élogieux, c’est quoi?

    Dans l’immeuble où je réside vivaient différentes types de personnes depuis le départ d’ anciens locataires , ceux ci sont remplacés par des personnes issues de l’ immigration au nom da la mixité sociale .Bizarrement les communs se sont dégradés, je fais une constatation simplement mais connaissant certains intervenants, je connais déjà la réponse:

    De vilains blancs raciste pointant tous au FN  ont détruit  volontairement les accès et ascenseur pour faire accuser les nouveaux arrivants.

    Une amie noire un jour me dit que j’étais bien comme tous les blancs, j’avais «  le cul vissé » insinuant par ce terme que je ne savais pas danser, ce qui ma foi exact tout au moins pour moi .Dois je considérer cette expression comme insultante. Cette tirade se trouve aussi dans un film où un homme blanc sous les conseils d’ un ami se grime en afro-américain avec évidemment  tous les stéréotypes de cette époque et au moment où ce dernier se met à danser , c’est une catastrophe , l’ ami emploie donc cette phase , aucune remontrance des associations antiracistes.

    Deux poids, deux mesures

     

    2 février 2009 à 2 h 56 min
  • Albert Répondre

     

    @ Scipion

     

         Reprenons un à un vos derniers sophismes et paralogismes.

     

         – «Si par allure physique, vous entendez phénotype, on le rejette, l’individu, en raison de son appartenance à un groupe réputé à risques». Mais c’est précisément ça, le racisme ! C’est lorsqu’un individu n’est plus perçu au titre de sa personnalité, comme Pierre, Paul ou Jacques, mais dépersonnalisé et réduit à l’état de «un nègre» ou «un bougnoule», quelconque, interchangeable avec tous ceux de son espèce…

     

         – Qu’est-ce qu’un groupe réputé à risque ? J’imagine, par exemple, que, pour un patron de discothèque, c’est le groupe des gens violents, ou buveurs, ou querelleurs, ou mauvais payeurs, ou dragueurs «lourds». Mais en quoi ces caractères-là sont-ils liés au phénotype ? Où voyez-vous, dans la définition de «noir» ou de «arabe», les attributs susvisés ? Comment passez-vous de l’un à l’autre ? Il est dans la normale qu’un Noir ou un Arabe présente les défauts susvisés : mais, dans ce cas, il appartient au groupe des gens violents, buveurs, querelleurs, etc., dont font aussi partie des Blancs ou des Asiatiques. En quoi une similitude constitue-t-elle une présomption de culpabilité ?

     

         A cet égard, j’ajoute deux remarques :

     

         1. Comment se fait-il que, dans l’exemple de la discothèque, vous vous soyez mis spontanément, automatiquement, dans la peau du patron de discothèque et non dans celle de celui à qui on refuse l’entrée ? Admettriez-vous, pour vous-même, ce traitement humiliant ?

     

         2. Lorsque vous parlez de «principe de précaution», vous rendez-vous compte que vous exprimez un principe ignoble, d’ailleurs très souvent soutenu par la droite (et qui explique, en grande partie, son tropisme pour la peine de mort), à savoir que «le doute doit toujours jouer au détriment de l’accusé» ou «qu’il vaut mieux punir un innocent que laisser échapper un coupable», c’est-à-dire exactement l’inverse du principe sur lequel fonctionne la justice, principe qui n’est pas récent, puisque sa seconde énonciation fut formulée par Trajan… Ici, même question : puisque vous énoncez un principe universel, accepteriez-vous que celui de l’innocent puni s’applique à vous ?

     

         Lorsque vous écrivez : «Peut-être aussi, je l’admets, pour éviter certaines promiscuités à des clients qui ne les apprécient pas.», vous rendez-vous compte de la phrase puante de racisme que vous écrivez ? S’il est parfaitement compréhensible qu’un client qui parle fort, ou soit ivre constitue une gêne, en quoi la différence de son «phénotype» constitue-t-elle une «promiscuité» [sic !] en soi ? Comment pouvez-vous énoncer une telle énormité ? Ne voyez-vous pas que le client dont l’existence constitue une promiscuité est celui qui dit : je ne peux pas accepter que cet établissement accueille des Noirs (ou des Arabes) ? Et que c’est lui que le patron de discothèque devrait virer à coups de pompes dans le train…

     

         Pour l’hypothèse du drapeau français «vert avec un croissant», je n’en sais rien. La plus forte probabilité est que cela ne se produise pas. Je l’ai simplement mentionnée pour dire qu’en tout état de cause, cela ne constituerait pas une catastrophe : les fondamentaux de la France ne résident ni dans l’allure de ses habitants ni dans sa religion majoritaire : il faut être abruti ou d’extrême droite pour le croire. Depuis 2000 ans, la France est passée d’une civilisation celtique et orale à une civilisation romane et écrite, du paganisme au christianisme, du christianisme à la déchristianisation, de la monarchie à la République et d’une France «européenne» à une France «métissée» sans que, pour autant, la Terre s’arrête de tourner…

     

         Ce que vous dites des banlieues ou de l’Afrique du Sud ne constitue pas une preuve : ce que ressentent ceux qui quittent les banlieues (en France) ou ressentent une insécurité (en Afrique du Sud), c’est un sentiment d’insécurité «sociale», pas «raciale». Or, comme vous le dites vous-même, il n’existe pas de lien de l’un à l’autre : les Arabes ne sont pas plus «naturellement» dérangeants par «leur bruit et leur odeur» (comme le disait Chirac), que les Noirs ne sont «naturellement» violents… Il y a des Français «de souche» (hélas trop nombreux), vulgaires, mal élevés, grossiers (dans toutes les classes sociales, d’ailleurs), et des Arabes et des Noirs pleins d’urbanité et de courtoisie (et pas seulement lorsqu’ils sont médecins ou agrégés). Dans tous les pays où j’ai voyagé, j’ai trouvé des malotrus et des gens charmants, parfois à 5 minutes d’intervalle les uns des autres…

     

         Je le répète : il existe des myriades de façons de ranger les individus en groupes et je conteste radicalement la prégnance que vous accordez à l’empreinte nationale. Et, avant – et au-dessus – de Siegfried, je vous recommande un certain Karl Marx dont, pour une large part, les idées n’ont pas pris une ride…

     

         Que vient faire votre tirade sur le Bénin et la Suisse ? Et en quoi constitue-t-elle une preuve ? Comme d’habitude à droite, vous vous confondez corrélation et relation de cause à effet…

     

    1 février 2009 à 11 h 56 min
  • Scipion Répondre

    « – Le racisme n’a que faire des groupes ! Lorsque, à l’entrée d’une discothèque, on refuse une entrée, lorsqu’on refuse un stage, un emploi ou un bail en raison de l’allure physique de celui qui postule à l’entrée (dans toutes les acceptions du mot «entrée»), on le fait à l’égard de ce seul individu… »

     

    Mais absolument pas ! Vous dites plus loin que vous ne savez pas ce que c’est qu’un « groupe », mais la précision était parfaitement inutile. Ca se voit comme le nez au milieu de la figure. Si par allure physique, vous entendez phénotype, on le rejette, l’individu, en raison de son appartenance à un groupe réputé à risques.

     

    Donc le rejet est basé sur le calcul des probabilités et sur le souci de prévention. Peut-être aussi, je l’admets, pour éviter certaines promiscuités à des clients qui ne les apprécient pas. Le bonhomme lui-même ne représente peut-être aucun risque, mais le principe de précaution impose de le tenir à distance. Comme on fait avec un molosse qu’on ne connaît pas, et qui est peut-être la crème des clébards

     

    «  Le drapeau français aurait pu être tout autre – et, de fait, au début de la Révolution, il varia avant d’en arriver à ce modèle. Il pourrait porter trois bandes horizontales, comme les drapeaux néerlandais ou russe. Ou être vert avec un croissant… »

     

    C’est une prophétie ?

     

     

     

             Je ne sais pas ce qu’est un «groupe». En quoi un Français de souche (entant que mâle de l’espèce humaine) est-il plus proche de sa femme (genre femelle) que d’un autre mâle chinois ou zimbabwéen »

     

    Il y a une autre chose qui vous échappe complètement. Le phénotype, passez-moi l’emphase :o) – c’est l’arbre des apparences qui cachent la forêt culturelle. Quand les Français de souche, hommes et femmes, quittent la banlieue, provoquant une ghettoïsation de fait, ce n’est pas à cause des couleurs des nouveaux venus, mais parce qu’ils ne supportent pas leurs moeurs, us, coutumes, habitudes, comportements et incivilités.

     

    Si, depuis la fin de l’apartheid, un million de Blancs a déjà quitté l’Afrique du Sud, ce n’est pas parce le pouvoir a été accordé à des gens à la peau noire, c’est parce que les comportements desdits Noirs tendent à rendre à leur rendre le pays invivable – et figurez-vous qu’il y a des gens qui prédisaient que cela allait finir comme ça, il y a quinze ou vingt ans. Et j’en étais, si, si, si, si ! Moi qui vous parle !

     

    « En quoi un milliardaire français est-il plus proche d’un clochard français que d’un milliardaire pakistanais ? En quoi un mathématicien anglais est-il plus proche d’un littéraire anglais que d’un mathématicien tunisien ? Et ainsi de suite ad libitum… En quoi le genre national (ou « racial », pour reprendre vos catégories) devrait-il être plus prégnant qu’un autre ? »

     

    Dans tous les cas, le national est proche d’un autre national du fait de son appartenance communautaire, pour faire court. Le milliardaire français et le clochard ont peut-être en commun un grand-père tué sur le front en 1940. Que le triste matérialiste que vous êtes le croie ou non, ce sont des éléments qui créent des liens entre les individus.

     

    Quand on connaît la singularité de l’identité britannique, votre exemple à base de mathématiciens et de littéraire est une ineptie. A ce degré élevé d’ignorance, je vous recommande de lire, toutes affaires cessantes, deux ouvrages, l’un ancien et l’autre récent, l’un sérieux et l’autre léger.

     

    Il s’agit de « L’âme des peuples » d’André Siegfried (Payot, 1950) et de « Coups de baguettes sur la fourchette ou les Européens vus par un Chinois », de LInshan Hua (L’Harmattan, 2002). Ils vous permettront de découvrir des affinités communautaires que vous ne soupçonnez même pas, mais qui, elles aussi, rapprochent les gens d’un même terroir et les font se sentir bien ensemble. Je parle de gens qui n’âdoptent pas cette stupide posture intellectuelle en se disant « citoyens du monde ».

     

    « Votre remarque sur l’intelligence est sans fondement, notamment en ce qui concerne la comparaison entre Béninois et Suisses. De manière ingénue (qui révèle des remugles coloniaux mal digérés), vous liez encore niveau de vie – ou maîtrise des technologies – et intelligence, ce qui est tout sauf une preuve… »

     

    Vous ne comprenez rien, et ensuite vous triturez, vous concluez, vous extrapolez. Où allez-vous chercher que je lie « niveau de vie vie – ou maîtrise des technologies – et intelligence ». Je parle ici d’intelligence logique et d’intelligence pratique, de capacité à analyser, à définir et à résoudre un problème SANS maîtrise de quelque technologie que ce soit… Je crois que n’importe qui pouvait le comprendre au premier abord.

     

    « Et je vous ai déjà dit que les pseudo démonstrations de la sorte avaient toutes été réduites en bouillie comme autant de billevesées…»

     

     C’est possible, mais, billevesées ou pas, il reste aussi que le Bénin, ce n’est à peu près rien, et que la Suisse est un pays envié dans le monde entier. Il reste que l’espérance de vie au Bénin est de 45 ans et de 82 ans en Suisse. Et il reste encore qu’il arrive qu’on organise, en Suisse, des collectes pour le Bénin, mais que l’inverse ne se vérifie jamais. Je vous laisse réduire en bouillie.

    29 janvier 2009 à 10 h 51 min
  • Anonyme Répondre

    "Je tiens à préciser que la peste noire emporta dans certaines régions de l’Europe jusqu’ à 70 % de sa population ce qui n’empêcha cette dernière de développer."

     

    Merci siniq, je n’y avais jamais pensé, je ne l’oublierai jamais, celui-là :o)

    28 janvier 2009 à 17 h 10 min
  • siniq Répondre

    Je suis toujours étonné par la haine de l’occident et leurs habitants responsables de la part de certains intervenants qui à longueurs de commentaires que l’européen est responsable de tous les malheurs du monde. Bien qu’il écrivent en long en large et en travers que les races n’ existent pas, ils montrent de façon ostensible que l’ homme blanc est un destructeur né; ici le mot race n’est employée mais sous entendue ce qui est plus insidieux.

    L’esclavage, la pollution et toutes le guerres et massacres que le monde est connu depuis que l’ on peu raconté son histoire.

    Ces aigris oublient simplement que i ils peuvent éructer toute leur rancœur sur le net par exemple c’est grâce à l’ invention d’ un de ces blancs assassins et colonialistes qui ont parfois récupéré des inventions dans d’ autres contrés du monde et qu’ ils ont  su faire évoluer pour le plus grand bien de leurs congénères. Mais comme l’être humain n’est pas parfait, il utilise ces inventions en les détournant de leur objectif initial.

    Quand les chasseurs cueilleurs inventèrent l’arc, ils n’imaginaient pas qu’un jour cette arme se retournerait contre eux même et jusqu’ à un certain temps, cet arc devenu arme fut considérée comme un arme de lâche car le guerrier qui l’utilisait n’oser pas affronter le regard de son ennemi.

    Pour terminer quand je lis que si le continent africain ne s’est pas développé comme les autres était du à l’esclavage qui saigna ce dernier. Je tiens à préciser que la peste noire emporta dabs certaines régions de l’Europe jusqu’ à 70 % de sa population ce qui n’empêcha cette dernière de développer.

    28 janvier 2009 à 8 h 49 min
  • IOSA Répondre

    —.rev.numericable.fr

    Iosa: hum! c’est bon  d’avoir raison… ou de penser qu’on a effectivement raison… ? … si vous voulez avoir raison plus vite, faites des efforts de clarté pour les gens comme moi branchés hors sujet, (le vôtre!) .

    Pour comprendre……reprendre les articles de M.Lance et lire les posts de Daniel@ et les miens…

    Merci.

    ps: le sujet est….Pourquoi M.Lance insiste tant auprès de Jaurès ? ( idem sur le métissage).

    Pourquoi se contenter de lire un article, sans comprendre les motivations de l’auteur ?

    27 janvier 2009 à 19 h 57 min
  • Albert Répondre

     

    @ Scipion

     

         – Le racisme n’a que faire des groupes ! Lorsque, à l’entrée d’une discothèque, on refuse une entrée, lorsqu’on refuse un stage, un emploi ou un bail en raison de l’allure physique de celui qui postule à l’entrée (dans toutes les acceptions du mot «entrée»), on le fait à l’égard de ce seul individu…

     

         Or, je vous défie d’établir une seule relation nécessaire entre l’allure d’un individu et les caractères qui le définissent au point de vue de l’intellect, du caractère, du tempérament, ou des dispositions, d’autre part. J’appelle «relation nécessaire» la relation qui fait qu’en géométrie euclidienne, la somme des angles du triangle fait 180°. A cette relation nécessaire s’oppose la relation contingente. Exemple de relation contingente : le drapeau français est fait de trois bandes verticales d’égale dimension, bleue, blanche et rouge depuis la hampe. Le drapeau français aurait pu être tout autre – et, de fait, au début de la Révolution, il varia avant d’en arriver à ce modèle. Il pourrait porter trois bandes horizontales, comme les drapeaux néerlandais ou russe. Ou être vert avec un croissant…

     

         – Je ne sais pas ce qu’est un «groupe». En quoi un Français de souche (entant que mâle de l’espèce humaine) est-il plus proche de sa femme (genre femelle) que d’un autre mâle chinois ou zimbabwéen ? En quoi un milliardaire français est-il plus proche d’un clochard français que d’un milliardaire pakistanais ? En quoi un mathématicien anglais est-il plus proche d’un littéraire anglais que d’un mathématicien tunisien ? Et ainsi de suite ad libitum… En quoi le genre national (ou « racial », pour reprendre vos catégories) devrait-il être plus prégnant qu’un autre ?

     

         – Votre remarque sur l’intelligence est sans fondement, notamment en ce qui concerne la comparaison entre Béninois et Suisses. De manière ingénue (qui révèle des remugles coloniaux mal digérés), vous liez encore niveau de vie – ou maîtrise des technologies – et intelligence, ce qui est tout sauf une preuve… Et je vous ai déjà dit que les pseudo démonstrations de la sorte avaient toutes été réduites en bouillie comme autant de billevesées…

     

    27 janvier 2009 à 11 h 21 min
  • Anonyme Répondre

    "En reparcourant ce forum après quelques jours, je lis avec surprise que Scipion cite Sforza pour nous dresser un catalogue de races. C’est évidemment une escroquerie et j’invite ceux qui lisent ce forum à se référer aux textes de ce chercheur dont l’ambition n’est pas de définir des races …"

    Voici donc très précisément ce que j’avais écrit :

    Si, politiquement correct, (Cavalli-Sforza) ne parle pas de races, il a néanmoins divisé la planète en neuf groupes qui, comme par hasard, correspondent à des localisations raciales bien précises. Donc l’éminent biologiste italien joue sur les mots.

    Je ne vois pas où est l’escroquerie…

    Sforza rapelle notamment que les populations européennes (notamment celles d’Italie dont il est issu) viennent d’Afrique du Nord.

    Est-ce à dire que cela vous fait dégouliner de poisseuse fraternité à l’égard des populations mghrébines ?

    Sforza ne pourra par ailleurs jamais servir d’appui à P.Lance puisque ses travaux sont un hymne au metissage.

    Comme quoi, on peut être un éminent savant dans sa spécialité et un fieffé crétin dans des domaines ressortissant à d’autres disciplines que les siennes, comme ici la politique, la sociologie, la psychologie des peuples, l’histoire…

    26 janvier 2009 à 10 h 19 min
  • siniq Répondre

    Les italiens du Haut Adige seront content de savoir qu’ il descendent de population d’ origine nord africaine.

    C’est beau, l’ aveuglement idéologique

    26 janvier 2009 à 9 h 26 min
  • Jaures Répondre

    En reparcourant ce forum après quelques jours, je lis avec surprise que Scipion cite Sforza pour nous dresser un catalogue de races. C’est évidemment une escroquerie et j’invite ceux qui lisent ce forum à se référer aux textes de ce chercheur dont l’ambition n’est pas de définir des races mais de chercher génétiquement l’origine des populations qui sont établies dans les différents pays.

    Sforza rapelle notamment que les populations européennes (notamment celles d’Italie dont il est issu) viennent d’Afrique du Nord.

    Sforza ne pourra par ailleurs jamais servir d’appui à P.Lance puisque ses travaux sont un hymne au metissage.

    25 janvier 2009 à 15 h 34 min
  • Scipion Répondre

    Albert,

    " Il n’existe aucune relation entre l’aspect physique d’un individu…"

    L’individu ne représente que lui-même. Il n’en va pas de même du groupe auquel il appartient.

    Vos affirmations ne tiennent la route que parce que vous vous en tenez au niveau de l’individu. Si vous vous placez au niveau des communautés, la donne est complètement modifiée.

    Si vous prenez les 100’000 Béninois, les plus intelligents, ils seront à coups sûrs bien supérieurs aux 100’000 Suisses les plus stupides. Mais si vous prenez 6’000’000 de Béninois, ça donne le Bénin, et si vous prenez 6’000’000 Suisses, ça donne la Suisse.

    A vous de voir, maintenant, s’il est préférable que la France accueille 100’000 Béninois ou 100’000 Suisses, et pourquoi.

     

    25 janvier 2009 à 10 h 33 min
  • Anonyme Répondre

     

    Iosa: hum! c’est bon  d’avoir raison… ou de penser qu’on a effectivement raison… ? … si vous voulez avoir raison plus vite, faites des efforts de clarté pour les gens comme moi branchés hors sujet, (le vôtre!) . 
     

    Un grand merci à Jaurès et Albert : grace à eux, nous savons désormais que les races sont bien une réalité et que nous pouvons passer à autre chose puisque la notion de race  tracasse surtout ceux qui ont peur de leurs pulsions:   P. Lance  "C’est évidemment la peur, au demeurant compréhensible, que cette reconnaissance encourage le racisme. Mais quel racisme ? Eh bien tout simplement le vôtre, inconscient, sous-jacent, refoulé, tapi dans votre cerveau reptilien … " .  Oui, tapi pour la forme crainte et reconnue culturellement comme criminelle (couleur de peau…) . Mais non refoulé, exprimé totalement dans les formes non encore analysées comme moyens criminels par la société dans laquelle évolue Jaurès. Jaurès ne se conforme pas à sa conscience mais réduit sa conscience à la morale à la mode. C’est lui qui explique aussi combien l’éducation conditionne l’individu, et il démontre qu’il a raison, sauf que chacun dispose de sa voix intérieure: ne fais pas à un autre…      

     P. Lance " Alors que moi-même je n’ai rien à craindre de ce genre, parce que je me connais bien et que mon humanisme authentique n’a nul besoin de nier les faits pour respecter tout être humain, si différent soit-il de moi, dès lors qu’il se respecte lui-même et conserve sa dignité.    Vous savez à qui me font penser ceux qui veulent nier l’existence des races ? À ces puritains religieux qui condamnent la sexualité et prônent la chasteté parce qu’ils sont en réalité des obsédés sexuels effrayés par leurs propres démons intérieurs et qui croient pouvoir les tenir en laisse en niant les réalités naturelles."  . 

    Disons que vous faites le maxi pour vous connaitre et restons sur l’essentiel.    Et l’essentiel, c’est que vous êtes au coeur du sujet.  Cela nous rappelle  que les démons des hommes passent aussi bien hors des religions. Pour être véritablement libre, il est impératif d’être vigilant et exigeant avec soi même:  éviter d’assimiler l’homme à une religion et s’imaginer qu’il suffit d’accuser ainsi pour être  hors de portée du mensonge. C’est toujours le même piège. Et puis vient le temps où les pouvoirs de l’ombre de diverses origines seront organisés mondialement pour manipuler. Les moyens techniques sont entre leurs mains.  

    Merci à Scipion.  

    24 janvier 2009 à 0 h 04 min
  • Albert Répondre

     

    @ Pierre Lance et Scipion

     

    A Pierre Lance

     

         Voyons d’abord les remarques de forme. Pour l’usage de «cuistre», j’admets avoir cédé à la facilité, et, si cela vous a offensé, je consens volontiers à m’en excuser. Pour l’intelligence «liée à la gauche», c’était une boutade, au second degré, soulignée par les trois points de suspension à l’intérieur des parenthèses…

     

         Je ne pense pas que votre pastiche de mes propos sur les pamphlets soit pertinent. Sous l’Inquisition (laquelle, d’ailleurs ? L’Inquisition de la croisade contre les Albigeois ? Celle de l’Espagne du siècle d’or ?), l’absence de pamphlets athées ne tient pas tant à la peur ou à la répression qu’à l’absence de concepts permettant de penser l’athéisme (cf. Lucien Febvre, « Le problème de l’incroyance au 16e siècle », Albin Michel, 1942 et 1968). A l’époque la dissidence se manifestait par le schisme, l’hérésie ou la sorcellerie, ou par des déviances ayant rapport avec la religion. L’athéisme pensé – dans une acception proche du 20e siècle – et vraiment répandu n’apparaît pas avant le XVIIe siècle, et encore pas dans tous les pays…

     

         Il en va de même des livres sur les «races» : leur absence ne vient pas d’une imaginaire oppression ou d’un prétendu «terrorisme intellectuel», mais, simplement, d’un manque total de fondement. Il n’y a pas plus d’intérêt à parler des «races» que des «humeurs», de l’influence des planètes ou des «canaux de Mars» : la question est réglée, et réglée définitivement…

     

         Les nazis n’ont pas été les seuls à perpétrer des horreurs : bien après eux, jusqu’en 1991, les Afrikaners (quoique beaucoup moins sanglants) ont maintenu un ignoble – et, surtout, idiot et ridicule – système d’apartheid fondé sur une absurde croyance aux «races». C’est la raison pour laquelle il est pernicieux de dire que Hitler a commis des «abus». De même que l’enfant qui naît est contenu tout entier dès la première milliseconde de la conception, le système concentrationnaire et exterminateur – comme l’insensé système de l’apartheid – est contenu «ab ovo» dans le fait même de la distinction des humains en «races». Lorsque vous suggérez que les chambres à gaz ou les fours crématoires sont des «abus» (et il est révélateur – et scandaleux ! – que vous ayez choisi un terme aussi faible, aussi porteur d’excuse) vous ne faites qu’abaisser un seuil de sensibilité qui, en la matière, devrait, au contraire, se situer très haut…

     

         Ce qui est monstrueux, en effet, ce n’est pas le système des trains, de Dachau, d’Auschwitz, de zyklon B ou des fours, c’est, au départ, le simple acte de distinguer ! C’est le fait de dire : ta différence physique est le signe de telles différences que je ne veux pas vivre avec toi ! Lorsque vous dites «abus» à cause des camps, vous cautionnez implicitement toutes les mesures discriminatoires n’impliquant atteinte ni à l’intégrité physique ni même, dans une certaine mesure, au patrimoine (tels que, par exemple, interdictions de mariage avec «Aryens», exercice de certains métiers ou fréquentation de certains lieux) : cela est déjà au-delà des limites du tolérable.

     

         Or, ces limites, vous les avez déjà franchies par le simple acte de distinguer, d’essentialiser des différences physiques superficielles et archi-secondaires en les nommant races. Votre culpabilité – pire : votre faute ! – vient simplement du fait de penser : tu as la peau noire (ou les yeux bridés), tu es donc plus différent de moi que ne l’est n’importe quel être humain qui partage une grossière similitude physique avec moi.

     

    @ Scipion

     

         Il n’existe aucune relation entre l’aspect physique d’un individu (ce qui fait qu’on l’appréhende dans la catégorie de «race»), d’une part, et les caractères qui le définissent au point de vue de l’intellect, du caractère, du tempérament, ou des dispositions, d’autre part.

     

         Toutes les «études» qui prétendaient «démontrer» le contraire, et, en particulier, la fumeuse «Bell Curve» («La courbe en cloche») de Murray et Herrnstein, ont été réduites en petit bois, minutieusement et méthodiquement, comme autant de fatras, tricheries et entourloupes, et je vous défie de prouver le contraire !

     

         Je vous défie tout autant de m’exposer une méthode qui permette, sur des épreuves de concours rendues anonymes (soit de caractère écrit, soit de caractère construit – comme une sculpture ou un plat cuisiné) de trouver à coup sûr l’allure physique des candidats qui les ont composées. Même chose pour des tests de caractère.

     

         Je vous défie de me donner des critères pertinents permettant, pour reprendre les mots de Pierre Lance, de distinguer un «noir» d’un «presque noir» ou un «blanc» d’un «presque blanc».

     

         Enfin, pas plus que le P.I.B. par habitant n’est un critère pertinent pour juger de la «valeur» d’un pays, le Q.I. (et de surcroît, un Q.I. collectif, qui ne signifie rien) n’est pertinent pour juger de la valeur de chacun des habitants. Enfin, ce que vous croyez pouvoir inférer de la corrélation entre les uns et les autres n’est qu’une corrélation, pas une relation de cause à effet : elle ne prouve strictement rien !

     

         Deux exemples : les Afro-Américains, qui représentent quelque 12 % des habitants des Etats-Unis, forment dans les 60 % de la population carcérale – et encore plus de la population des couloirs de la mort. Cela est une corrélation. Quelle relation de cause à effet existe-t-il de l’allure des intéressés à leur présence en prison ? Aucune !

     

         Autre exemple : dans une autre vie, je fréquentais beaucoup les tribunaux. Un jour, en attendant mon affaire, en correctionnelle, j’avais vu défiler une série de prévenus qui s’appelaient tous Ahmed, Mohamed, Rachid, Mouloud, Hassan et autres Amar. Cela était une corrélation. Quelle relation existe-t-il entre les concepts d’Arabe, de musulman ou d’immigré d’une part, et celle de délinquant d’autre part ? Aucune !

     

         Je vous défie de me démontrer une seule relation de cause à effet dans les deux exemples susvisés. Et je vous préviens tout de suite : il vous sera plus facile de m’amener une deuxième démonstration du théorème de Fermat que de me présenter une telle «démonstration»…

    23 janvier 2009 à 23 h 22 min
  • siniq Répondre

     

    Je dois dire que le billet de Monsieur Lance sur le pourcentage de mélanine de la demoiselle censée représenter la France, m’ a fait beaucoup rire car en cette fin d’ année, il me semble qu’ il y avait des événements plus graves que ce sujet mais apparemment , cet article a passionné beaucoup de monde  et pas seulement les aficionados de concours de beauté.

    Je tiens à faire remarquer que notre chantre de l’ égalité de tout poil , j’ ai nommé ce cher Jaures ne s’ est pas révolté contre cette pratique humiliante pour la femme qui me fait penser à un concours agricole.

    Les Alberts et consort se sont jeter comme des morts de faim dessus pour rebattre ici les yeux de leur refrain habituel: "Point de Race sur terre " ou alors seulement les vilains blancs colonisateurs, etc., etc.

    D’ autres intervenants donc Scipion ont largement expliqué aux tenants de la bien pensance, qu’ il existait des différences ethniques mais ils le font à fonds perdus car il n’ y pas plus sourd que celui qui ne veut entendre.

    Albert

    Votre choix pour une moto se terminera par celui de la couleur car vous lisant depuis un petit moment même si vos tirades me réjouissent parfois ou m’exaspèrent plus rarement, je conçois mal que vous acceptiez que l’ on vous l’ impose de couleur blanche

    23 janvier 2009 à 5 h 07 min
  • IOSA Répondre

    Daniel@…..

    Voyez comme j’ai raison.

    23 janvier 2009 à 0 h 35 min
  • THOMAS Répondre

    @Albert

    Qui a dit que seule la couleur différencie les races? Vous, et seulement vous avez souligné cette nuance, est-ce que la couleur vous pose probléme dans le choix de votre 2 roues? Effectivement, comme vous l’énoncez si bien, le racisme commence ici, dans la nuance, et vous nous l’avez parfaitement illustré à travers votre expertise du 2 roues.

    22 janvier 2009 à 16 h 04 min
  • Scipion Répondre

    Les seules différences qui existent sur Terre sont interpersonnelles, avec n’importe qui. Les moyennes et les écart-types des différences d’un échantillon de population d’allure donnée, n’importe où sur la planète, sont supérieurs aux différences et aux écart-types de cette moyenne à la moyenne d’un échantillon d’allure différente, de même taille et de même structure, en n’importe quel autre endroit. assène Albert…

    Des généticiens, des biologistes, des ethnologues affirmer qu’aucune race humaine ne peut être scientifiquement définie. observe sentencieusement Jaurès.

    Pour des raisons plus idéologiques que scientifiques. Puisque d’autres savent comment faire pour définir génétiquement la zone géographique de provenance des individus, autant son appartenance raciale – même si l’expression choque les bigotes de l’antiracisme rabique.

    Par ailleurs, même si l’on nie l’existence des races, il reste des différences culturelles qui font que des communnautés ne sont pas faites pour vivre ensemble.

    Les "petits blancs" qui ont fui les "banlieues en voie de sensibilisation" – à l’époque – ne l’ont pas fait en raison des  couleurs de peau des nouveaux venus, mais parce qu’ils ne supportaient pas leurs mentalités, moeurs, us, coutumes, habitudes et comportements.

    Et les mêmes causes continuent de générer les mêmes effets. Chirac a très bien résumé cette réalité avec sa métaphore sur le bruit et les odeurs

    Par conséquent, races ou pas, le rejet du fameux "Autre" repose sur des critères dont la couleur de peau n’est que l’arbre (de l’apparence) qui cache la forêt (des griefs). Et vous devriez vous faire à cela, messieurs, parce qu’autrement vous vous priveriez de la compréhension d’un des caractéristiques majeures de notre temps, à savoir l’inanité des politiques d’intégration. Que le modèle soit français. anglais, batave, andalou, allemand, italien ou monfermeillois.

    Les seules différences qui existent sur Terre sont interpersonnelles, avec n’importe qui. Les moyennes et les écart-types des différences d’un échantillon de population d’allure donnée, n’importe où sur la planète, sont supérieurs aux différences et aux écart-types de cette moyenne à la moyenne d’un échantillon d’allure différente, de même taille et de même structure, en n’importe quel autre endroit. assène Albert…

    Des généticiens, des biologistes, des ethnologues affirmer qu’aucune race humaine ne peut être scientifiquement définie. observe sentencieusement Jaurès.

    Pour des raisons plus idéologiques que scientifiques. Puisque d’autres savent comment faire pour définir génétiquement la zone géographique de provenance des individus, autant son appartenance raciale – même si l’expression choque les bigotes de l’antiracisme rabique.

    Par ailleurs, même si l’on nie l’existence des races, il reste des différences culturelles qui font que des communautés ne sont pas faites pour vivre ensemble.

    Les "petits blancs" qui ont fui les "banlieues en voie de sensibilisation" – à l’époque – ne l’ont pas fait en raison des  couleurs de peau des nouveaux venus, mais parce qu’ils ne supportaient pas leurs mentalités, moeurs, us, coutumes, habitudes et comportements.

    Et les mêmes causes continuent de générer les mêmes effets. Chirac a très bien résumé cette réalité avec sa métaphore sur le bruit et les odeurs

    Par conséquent, races ou pas, le rejet du fameux "Autre" repose sur des critères dont la couleur de peau n’est que l’arbre (de l’apparence) qui cache la forêt (des griefs). Et vous devriez vous faire à cela, messieurs, parce qu’autrement vous vous priveriez de la compréhension d’une des caractéristiques majeures de notre temps, à savoir l’inanité des politiques d’intégration. Que le modèle soit français. anglais, batave, andalou, allemand, italien ou montfermeillois.

    22 janvier 2009 à 9 h 10 min
  • Scipion Répondre

    A Scipion : qui sont ces «biologistes» qui ont «démontré» que les «races» peuvent être définies ? Des noms ! Des références !

     

    Le premier d’entre ces biologistes est le professeur Luigi Luca Cavalli Sforza qui parvient à déterminer la provenance géographique d’un individu à partir de 120 de ses allèles. Je vous laisse découvrir de quoi il retourne par vous-même.

     

    Si, politiquement correct, il ne parle pas de races, il a néanmoins divisé la planète en neuf groupes qui, comme par hasard, correspondent à des localisations raciales bien précises. Donc l’éminent biologiste italien joue sur les mots. Ces groupes sont les suivants :

     

    1.  Papous de Nouvelle-Guinée et Aborigènes d’Australie ;
    2.  Habitants des îles du Pacifique (Polynésiens, Canaques de Nouvelle-Calédonie, etc.) ;
    3.  Habitants du Sud-Est asiatique (Khmers, Thailandais, Indonésiens, Malais, Philippins…) ;
    4.  Asiatiques du Nord (Mongols, Tibétains, Coréens, Japonais, Chinois du Nord) ;
    5.  Peuples de l’Arctique ;
    6.  Indiens d’Amérique (du Nord, centrale et du Sud) ;
    7.  Européens blancs (caucasoïdes) ;
    8.  Caucasoïdes non-européens (Nord-Africains, habitants du Proche-Orient, Iraniens, Indiens, Pakistanais, etc.) ;
    9.  Africains.

     

    Par ailleurs, sur le site des « Sceptiques du Québec »*, on lit ceci (qui vous permettra de creuser le sujet, puisqu’il ne m’incombe pas de vous mâcher le travail) :

     

    « Peu de gens vont nier qu’il existe plusieurs races ou qu’on constate des différences physiques et culturelles évidentes entre différents groupes ethniques. Depuis la parution, en 1972, de l’article de Richard Lewontin intitulé «The Apportionment of Human Diversity» dans Evolutionary Biology, la plupart des scientifiques ont accepté l’opinion que la race est une construction sociale. L’idée a cependant été remise en question par Armand Marie Leroi, selon Lewontin a commis l’erreur de

    « prendre les gènes un par un sans trouver celui qui était responsable de la race. Par contre, si l’on prend ensemble un groupe de gènes variables – quelques centaines à la fois – la chose devient très facile à faire. D’ailleurs, une étude menée en 2002 par des scientifiques des universités Southern California et Stanford a montré que si on prend un échantillon de sujets venant de partout au monde et qu’on les rassemble, à l’aide d’un ordinateur, en cinq groupes à partir de leurs similitudes génétiques, les catégories qui résultent renvoient à l’Europe, l’Asie de l’Est, l’Afrique, l’Amérique, et l’Australasie, ce qui correspond plus ou moins aux grandes races de l’anthropologie traditionnelle. »

     

    Je vous souhaite un bon travail et beaucoup de découvertes qui remettront en cause vos obsolètes certitudes. Et si cela vous chagrine un peu, pour des raisons idéologiques, consolez-vous en pensant qu’il n’y a que les imbéciles qui ne changent jamais d’avis… :o)

     

     

    * http://www.sceptiques.qc.ca/dictionnaire/iqrace.html

    22 janvier 2009 à 8 h 46 min
  • Scipion Répondre

    « …si je me souciais si peu que ce soit de m’exposer à des accusations idiotes, je n’écrirai rien et me cacherai dans quelque terrier. J’ai publié quelque vingt milliers de pages où l’on peut aisément trouver de quoi m’accuser de n’importe quoi comme de son contraire, ce qui ne me fait ni chaud ni froid. »

     

    J’entends bien, mais mon intention n’était pas de vous reprocher d’avoir parlé de race. Je parlais pour nous, gens du commun, et de ce qu’il vaut mieux dire ou ne pas dire lorsque nous nous entretenons avec nos semblables de « sujets qui fâchent », parce que l’accusation de racisme peut trop facilement servir d’échappatoire à l’interlocuteur.

     

    « À part ça, je vous signale que le QI est établi sur des critères pour le moins contestables, et qu’il est très loin d’être l’infaillible étalon que d’aucuns s’imaginent. »

     

    Ca, c’est ce qu’affirment les tenants de l’existentialisme, qu’un concept comme le QI contrarie fortement. C’est le moins que l’on puisse dire.

     

     

    « Bien des scientifiques le considèrent comme peu fiable. »

     

    Il faudrait être sûr que c’est pour des raisons autres qu’idéologiques et que dogmatiques. La corrélation entre le PIB/hab et le QI est, par ailleurs, beaucoup trop évidente pour ressortir à une simple coïncidence.

    22 janvier 2009 à 8 h 45 min
  • IOSA Répondre

    Daniel@…

    Pour connaître la vérité, il faut l’appliquer dans la pratique :

    Savoir dire non lorsqu’un évènement est contraire au sens moral et il en est ainsi pour cet article, dont la teneur du titre est tout autant provocateur que la semence de la discorde dispensée sur le métissage prétendument voulu par le gratin du gouvernement.

    Vous et moi, nous savons que les couples "inter-raciaux"se forment par affinitées et non par obligation et à part quelques cas isolés, celà n’en fait nullement une généralité de fait, contrairement à ce que cet article laisserait à penser pour des esprits faibles ou même raciste pour employer ce terme incongru, mais néanmoins utile pour la compréhension.

    Certes le racisme primaire existe et vous le définissez à merveille quand vous avancez que son existence ne se base pas seulement sur la couleur de peau, mais aussi sur la couleur politique et de classe parmis des individus de même souche.

    Et c’est exactement de celà dont je fais mention, en allusion à jaurès tout particulièrement (mes autres posts moins limitatifs dans mes propos n’ont pas passés la censure).

    Jaurès est donc ce fameux mouton noir que l’auteur de l’article montre du doigt, afin que la vindicte populaire se perde en conjoncture, pour que certaines questions sans réponses demeurent évasives.

    Pour prendre un exemple……Siniq prend pour cible Jaurès depuis quelques temps, parce que persuadé qu’il est de gauche ( il fait des prédictions sur son retour dans les posts) et Lance le flatte cette semaine. 

    Pourquoi faut il supprimer le mot race pour les êtres humains ?….tout simplement parce qu’ils sont inter-féconds entre eux tous et donc ce terme est inaproprié et sème la mésentente.

    Vous me dites que se sont les racistes qui ne se reconnaissent pas en tant que tel, qui veulent sa suppression, je dirai que les vrais, ceux qui se reconnaissent en tant que tel, désirent tout ardemment que ce mot avec tout le sens engendré, ne passe pas aux oubliettes.

    Albert@ dans son dernier post explicite parfaitement le problème et n’obtiendra tout comme Jaurès aucune véritable réponse qui poserait un véritable débat.

    D’ailleurs, vous trouverez cette semaine un autre article de la même trempe, mais pas du même auteur…..ce qui laisse en suspend l’orientation dirigée ou non du sujet…….?

    Cordialement

    IOSA

    ps: concernant les sauts de ligne du post de Jaurès et de certains…….l’abus de word avec correction automatique, un copié/collé ?

     

    22 janvier 2009 à 4 h 42 min
  • Pierre LANCE Répondre

    À Albert : ” En bref (si j’osais…) je dirais que vous êtes assez intelligent pour mériter d’être à gauche…” Je vous remercie de ce qui, dans votre esprit, est un compliment, mais dans votre esprit seulement et non dans le mien. De toute manière, je ne crois pas que l’intelligence soit un critère valable en matière de politique. Il y a dans tous les partis des imbéciles et des intelligents, mais ce n’est certainement pas leur degré d’intelligence qui explique leur engagement. La preuve en est que la nation se partage à peu près moitié moitié entre la gauche et la droite, les fluctuations décidant parfois de l’alternance étant le plus souvent circonstancielles. Or, dans n’importe quelle population, les personnes méritant d’être qualifiées d’intelligentes (quelles que soient les catégories socio-professionnelles) ne doivent guère dépasser une proportion de 15 %, et je crois que je suis encore généreux. Si c’était davantage, le monde serait plus beau. L’engagement politique découle de bien d’autre facteurs qu’il serait trop long d’exposer ici. Je m’y étais attaqué il y a déjà longtemps dans un article intitulé “Papa la droite, Maman la gauche” dans lequel je m’efforçais de montrer, aussi objectivement que possible, que les gens de droite étaient plus attirés par les vertus paternelles tandis que les gens de gauche l’étaient davantage par les vertus maternelles, entre lesquelles d’ailleurs je me gardais bien d’établir une hiérarchie. Et je concluais en disant que l’inconvénient d’un système bipolaire aussi tranché était de maintenir les peuples dans un certain infantilisme. Un citoyen adulte doit être capable de dépasser cette bipolarité et de mêler harmonieusement les idées qui lui semblent justes, sans se soucier de savoir si elles sont revendiquées par la droite ou par la gauche. C’est personnellement ce que je m’efforce de faire, sans prétendre y réussir toujours, et bien que, parvenu au pied de l’isoloir, je vote toujours à droite sans état d’âme. Pardonnez-moi de vous avoir attribué des propos de Joresse, mais puisque vous les soutenez, tout est en ordre. ” Ne trouvez-vous pas qu’il est pour le moins douteux de vous référer à un ouvrage de 1946, c’est-à-dire de plus de 63 ans ? ” Voilà une question d’une admirable pertinence, que je paraphraserai de cette manière : Ne trouvez-vous pas douteux que nul pamphlet athée n’ai été diffusé durant l’Inquisition ? Si Lahovary a eu la possibilité de publier son ouvrage (au demeurant passionnant et nullement polémique), c’est tout simplement parce qu’il était suisse. À partir de 1945, aucun écrivain français (ou anglais, ou italien, ou allemand…) n’aurait trouvé d’éditeur assez courageux pour publier un livre sur les races. Ce qui peut d’ailleurs se comprendre, compte tenu des abus perpétrés par les nazis en se référant à ce mot et qui étaient encore dans tous les esprits. Mais je trouve beaucoup moins compréhensible que ce soit encore le cas aujourd’hui. Les tabous ont la vie dure. Mais je ne trouve pas très honnête de votre part de tirer parti du terrorisme intellectuel répandu par vos amis depuis 60 ans pour affecter de trouver trop anciens les livres sur le sujet. Argument d’ailleurs irrecevable, pour la bonne raison qu’à l’échelle d’une vie humaine, les races ne changent pas. Pour le reste de vos propos, je ne vois rien d’utile à vous répondre, puisque vous vous contentez de réciter votre catéchisme, dont je connais tous les paragraphes, en long, en large et en travers. Mais veuillez avoir l’amabilité d’éviter à l’avenir des formules comme “langage de cuistre” à mon égard. Je ne suis pas précisément susceptible, mais rien ne m’oblige à m’exposer à des propos aussi désobligeants, que je ne mérite en aucune façon.

    22 janvier 2009 à 1 h 54 min
  • Albert Répondre

     

    @ Pierre Lance

     

         Précision liminaire : ce n’est pas moi mais Jaurès, qui vous ai requis de dresser un «catalogue des races humaines». Bien que je souscrive entièrement aux propos de cet internaute, laissez-moi tout de même la propriété de mes dires…

     

         Lorsque vous dites : «Vous prétendez me faire dresser dans ce forum un "catalogue des races humaines", alors qu’une entreprise de ce genre exigerait au minimum un volume de 400 à 500 pages…», vous rendez-vous compte du vice de votre raisonnement ? Vous formulez en effet une pétition de principe, c’est-à-dire que vous postulez a priori comme démontré… ce qui est précisément à démontrer ! [En l’occurrence l’existence de «races»]. Si vous cherchez quelque chose que vous estimez avoir trouvé, il est évident que vous allez le trouver ! Vous êtes en cela semblable à ces théologiens médiévaux qui, avec une minutie maniaque, établissaient des hiérarchies célestes entre séraphins, chérubins, trônes, dominations, autorités, puissances, principautés, archanges et autres anges. [Dont l’athée que vous êtes, je présume, ne doute pas un instant de l’existence…].

     

         En outre, ne trouvez-vous pas qu’il est pour le moins douteux de vous référer à un ouvrage de 1946, c’est-à-dire de plus de 63 ans ? Auriez-vous l’idée de vous référer à des ouvrages de ces années pour la physique, les mathématiques, l’électronique, l’astronomie ou la médecine ? Soutiendriez-vous encore l’idée des canaux de Mars ? Et, surtout, soutiendriez-vous ces travaux lorsque d’autres, postérieurs, effectués avec des moyens – et, surtout, des outils conceptuels – incomparablement plus évolués, prouvent tous le contraire ?

     

         Sur ma question de la délimitation des «races» dans la population brésilienne, vous croyez, encore une fois, vous tirer d’affaire par une pirouette en disant : «Or il n’y a évidemment aucun "moment" de ce genre, puisqu’il s’agit d’un dosage aléatoire des caractères génétiques.».

     

         D’abord, cette phrase-là ne veut absolument rien dire ! Elle répond à côté du sujet, en répétant, dans un langage de cuistre, une proposition énoncée dans la langue courante. A l’instar d’un de mes amis qui, se plaignant à son médecin d’avoir mal à la tête tous les jours vers 17 h, s’entendit répondre : «Vous avez des chronocéphalées…». Ce qui l’aida beaucoup dans la compréhension de ses douleurs…

     

         Par ailleurs vous vous mettez vous-même dans la contradiction de laquelle vous prétendez vous extraire en déclarant, quelques mots plus loin : «C’est ainsi que dans une famille de plusieurs enfants métissés on pourra trouver côte à côte toutes les nuances colorées à divers degrés, depuis un presque noir jusqu’à un presque blanc.» Je repose donc ma question en me servant, à la lettre, de vos termes : qu’est-ce qui vous permet de distinguer un «presque noir» d’un «noir» et un «presque blanc» d’un «blanc» ? Et selon quels critères ? Et pourquoi parlez-vous de «métis», alors que chacun d’entre nous – dès lors qu’il n’est pas issu d’une lignée d’unions incestueuses, est – précisément – un métis ?

     

         Je ne vois pas ce que votre tirade des deux derniers paragraphes apporte à votre (pseudo)argumentation. Le racisme, ce n’est pas de distinguer les gens d’après leurs origines : je sais reconnaître un Africain d’Afrique sub-saharienne d’un Asiatique d’Extrême-Orient ! Le racisme, c’est de croire que l’apparence physique d’un individu est le marqueur d’une série de caractères (physiques, mais aussi physiologiques et, surtout, intellectuels, caractériels et comportementaux) qui rendent cet individu plus différent de vous-même que vous ne l’êtes des êtres humains d’apparence semblable à vous. Ce qui est entièrement faux !

     

         Les seules différences qui existent sur Terre sont interpersonnelles, avec n’importe qui. Les moyennes et les écart-types des différences d’un échantillon de population d’allure donnée, n’importe où sur la planète, sont supérieurs aux différences et aux écart-types de cette moyenne à la moyenne d’un échantillon d’allure différente, de même taille et de même structure, en n’importe quel autre endroit.

     

         Ou, pour le dire plus simplement : vous n’êtes pas plus éloigné de n’importe quel Bantou ou de n’importe quel Chinois que vous ne verrez jamais de votre vie que de votre voisin, bien «de souche», comme vous, et qui partage les mêmes opinions que vous…

     

         Si vous avez une moto, vous direz que c’est une GT, un roadster, un trail, une sportive, une custom, etc. Vous direz qu’elle a 125 cm3 ou 1000 cm3, qu’elle a la transmission par cardan ou par chaîne, qu’elle est de telle année, que son réservoir a telle autonomie, qu’elle a telle vitesse ou telle accélération, etc., vous ne direz pas qu’elle est rouge ou verte ! La distinction de couleur, totalement secondaire, que vous ne feriez pas pour une mécanique, pourquoi la faites-vous pour un être humain, infiniment plus complexe ?

     

    21 janvier 2009 à 15 h 30 min
  • grutjack Répondre

    A Pickett  

           Comme Pierre Lance, vous m’avez compris à l’envers. Lance s’est excusé, mais vous revenez à la charge. Que voulez-vous que je vous dise ? Simplement ceci.: avant de les attaquer, lisez et même relisez soigneusement les commentaires qui vous semblent inexacts. Vous éviterez ainsi de fâcheux malentendus.

    21 janvier 2009 à 7 h 00 min
  • Pierre LANCE Répondre

    À Albert : Votre mauvaise foi est si excessive qu’elle en devient comique. Vous nous accusez de ne pas aborder le fond du problème, alors que grutjack, Luc Sembour et d’autres ont eu l’amabilité (inutile) de vous donner des précisions d’ordre scientifique que vous écrasez de votre indifférence. Et c’est bien parce que je prévoyais cette attitude de votre part ou de celle de Joresse que j’ai refusé d’entrer dans votre petit jeu, fort lucidement dénoncé par Vox populi, ce dont je me félicite à chaque visite sur ce site. Vos sarcasmes n’auront pas la moindre prise sur moi, prenez-en votre parti. Sans parler du ridicule absolu de vos demandes. Vous prétendez me faire dresser dans ce forum un “catalogue des races humaines”, alors qu’une entreprise de ce genre exigerait au minimum un volume de 400 à 500 pages (tel par exemple celui que l’ethnologue suisse Nicolas Lahovary a consacré aux seuls peuples européens, en 1946), que de toute manière vous vous garderiez bien de lire. Plus ridicule encore votre question à propos de la population brésilienne. “À partir de quel moment cesse-t-on d’être un “Noir”. Or il n’y a évidemment aucun “moment” de ce genre, puisqu’il s’agit d’un dosage aléatoire des caractères génétiques. C’est ainsi que dans une famille de plusieurs enfants métissés on pourra trouver côte à côte toutes les nuances colorées à divers degrés, depuis un presque noir jusqu’à un presque blanc. Cependant, à la réflexion, je crois discerner ce qui empêche les gens comme vous et Joresse d’admettre la réalité des races. C’est évidemment la peur, au demeurant compréhensible, que cette reconnaissance encourage le racisme. Mais quel racisme ? Eh bien tout simplement le vôtre, inconscient, sous-jacent, refoulé, tapi dans votre cerveau reptilien et que vous tenez muselé à grand-peine, comme un féroce chien de combat prêt à bondir. Alors vous tenez obstinément vos yeux fermés devant la réalité, parce que vous n’êtes pas sûr de vous, parce que vous êtes terrifié à l’idée que si votre conscient admettait l’existence des races, vous risqueriez une explosion de racisme dans votre propre tête. Alors que moi-même je n’ai rien à craindre de ce genre, parce que je me connais bien et que mon humanisme authentique n’a nul besoin de nier les faits pour respecter tout être humain, si différent soit-il de moi, dès lors qu’il se respecte lui-même et conserve sa dignité. Vous savez à qui me font penser ceux qui veulent nier l’existence des races ? À ces puritains religieux qui condamnent la sexualité et prônent la chasteté parce qu’ils sont en réalité des obsédés sexuels effrayés par leurs propres démons intérieurs et qui croient pouvoir les tenir en laisse en niant les réalités naturelles. Ce processus psychologique n’est certes pas nouveau, mais il serait temps que les hommes de notre époque retrouvent la capacité d’être en osmose avec la nature, de l’apprécier dans son innocence et de ne pas la noircir avec des tabous idéologiques qui nous ont fait tant de mal.

    21 janvier 2009 à 0 h 19 min
  • Albert Répondre

     

    Remarque aimable.

     

         C’est peu de dire que je suis opposé aux idées des rédacteurs (et lecteurs) des «4 vérités»… J’accorde néanmoins à ce site une certaine tenue et la courtoisie de laisser s’exprimer des opposants, contrairement à certains sites – pourtant proches – que la contradiction (même mesurée dans la forme), met dans des états proches de l’hystérie.

     

         Je note aussi, à son bénéfice, que Pierre Lance prend parfois la peine de répondre aux remarques ou critiques, ce qui n’est pas le cas de tout le monde céans…

    20 janvier 2009 à 15 h 09 min
  • Pickett Répondre

    Grutjack dit une énormité en disant que’en élevant une fille comme un garçon on en fera une fille et vice  versa. Tout n’est pas acquis. de plus il faut qu’il m’explique comment dans le futur on créera un utérus et des  ovaires avec la partie du cerveau qui régle le fonctionnement de ces organes chez un homme ou bien un pénis chez une femme.

    Mais c’est le propre du gaucho bobo de nier la réalité. de dire qu’une chose est son contraire.

    UN homme ne pourra jamis étre une femme et une femme un homme et la science ne pourra rien n’y changer.

    L’homosexualité d’un simple point vue biologique, et non moral, et une abbération, un dysfonctionnement chez l’individu.

    20 janvier 2009 à 12 h 51 min
  • Albert Répondre

     

    @ Pierre Lance et à Scipion

     

         A Pierre Lance. Comme d’habitude, vous ergotez sur des détails pour esquiver l’essentiel. Il est vrai que, sur l’environnement ou les Etats-Unis, vous tenez des propos sensés et pertinents, très loin des délires d’un Guy Millière. Vous avez aussi d’originales positions sur l’anglais ou la religion. Vous avez même – et j’en ai été ravi – une position qui remet à leur place les tests (notamment le Binet-Simon), auxquels nombre de gens s’accrochent encore avec fétichisme. En bref (si j’osais…) je dirais que vous êtes assez intelligent pour mériter d’être à gauche…

     

         Néanmoins, vous ne pouvez vous sortir de certaines ornières (comme sur la peine de mort, le Hamas, la Turquie ou les «races») typiques de la mentalité de droite. Mais, plus important encore – et sans doute même essentiel – vous partagez avec d’autres esprits de droite (auxquels je ne conteste pas que vous vous opposez parfois diamétralement) un certain nombre de croyances naïves, comme la croyance aux «faits» ou à la «réalité». Et ce n’est pas avec votre pirouette qui vous tirera d’affaire : qu’est-ce qu’un fait ?

     

         A Scipion : qui sont ces «biologistes» qui ont «démontré» que les «races» peuvent être définies ? Des noms ! Des références !

    20 janvier 2009 à 10 h 44 min
  • Jaures Répondre

    A Scipion: Vous n’êtes pas le premier dans ce débat à affirmer que DES bilogistes ont démontré l’existence des races. Le problèmes est qu’alors que j’ai cité des ouvrages, des auteurs, des prix Nobel, etc… qui démontrent le contraire, personne, je dis bien personne, n’a été capable de me citer un seul ouvrage, une seule étude émanant de laboratoires, d’Universités ou de centre de recherche répertoriant les races avec, selon la définition scientifique, "leurs caractèristiques physiques et comportementaux transmis héréditairement".

    Après on peut dire que je suis sectaire, pétri d’idéologie, paré des oeillères les plus opaques, avouez que vous ne faites rien pour m’aider

    20 janvier 2009 à 9 h 02 min
  • Pierre LANCE Répondre

    À Scipion : ” Parler de races, c’est s’exposer à l’accusation de racisme…” En effet. Mais si je me souciais si peu que ce soit de m’exposer à des accusations idiotes, je n’écrirai rien et me cacherai dans quelque terrier. J’ai publié quelque vingt milliers de pages où l’on peut aisément trouver de quoi m’accuser de n’importe quoi comme de son contraire, ce qui ne me fait ni chaud ni froid. Mon seul souci est d’avancer dans la connaissance des réalités. Ce que les esprits formatés en pensent m’indiffère complètement. Les chiens aboient, la caravane passe… À part ça, je vous signale que le QI est établi sur des critères pour le moins contestables, et qu’il est très loin d’être l’infaillible étalon que d’aucuns s’imaginent. Bien des scientifiques le considèrent comme peu fiable. À Albert : Je me permets de vous rappeler que mon nom est Pierre Lance et non pas “la droite”. Alors, s’il vous plaît, ne m’attribuez pas les errements de la droite. Et notez que je considère toutes les religions comme des idéologies, ce qui n’est pas précisément une opinion de droite. Et si je vote à droite, ce n’est pas vraiment par amour, mais par nécessité, afin d’écarter la gauche, qui fait toujours pire, toujours, toujours, toujours pire… Je note avec intérêt qu’un fait n’est à vos yeux qu’un “découpage intellectuel” et qu’un fait n’existe pas en lui-même. Avec ce raisonnement, vous pourrez certainement voyager très loin, à perte de vue… À Luc Sembour : Merci d’avoir effectué cette petite plongée dans mes anciens articles, mais je ne suis pas du tout d’accord pour dire que ces articles traitent tous de la question des races, notamment ceux qui traitent des problèmes d’immigration. Le fait qu’une nation doive préserver son identité et sa culture n’a rien à voir avec la race. Le rejet d’une invasion pourrait tout aussi bien concerner des peuples de même race que celle de la nation envahie. À Scipion (2) : La “minorité négligeable d’intellectuels tapageurs” est présente dans toutes les nations. Ce n’est évidemment pas sur cette minorité peu représentative que l’on peut se fonder pour comprendre un peuple. En revanche, les productions de l’art cinématographique représentent assez bien, je crois, les caractéristiques profondes d’une population.

    20 janvier 2009 à 1 h 12 min
  • Scipion Répondre

    Des généticiens, des biologistes, des ethnologues affirmer qu’aucune race humaine ne peut être scientifiquement définie.

    Si. si. Des biologistes l’ont démontré. Vous n’êtes tout simplement pas au courant de leurs travaux. Vous deviez vous y intéresser.

    Par ailleurs, tous les chirurgiens spécialisés dans les transplantations connaissent des problèmes d’incompatibilité interraciale, qui peuvent prendre une tournure dramatique pour les allogènes en attente d’organes. Informez-vous, avant de répéter ce que tous les crédules répètent à l’envi.

    20 janvier 2009 à 0 h 45 min
  • Daniel Répondre

    Iosa:

    "Pourquoi maintenir le mot "race" porteur en soi de prévisibles futures difficultées de communication, si ce n’est pour maintenir la main mise sur une hypothétique supériorité intellectuelle sur l’autre ?Et c’est bien, ce que le cours des posts finit par démontrer une nouvelle fois."  Iosa j’aime bien vos posts mais là … moins.

    "Prévisibles difficultés de comm"… :   face à des difficultés,on recherche précisément les causes qui seront ensuite les bases de la vraie communication. 

    "race pour maintenir une hypothétique supériorité intellectuelle"… :   celui qui peut s’affirmer par le biais  de telles aneries démontre précisément l’inverse: il est stupide, il le démontre, et ainsi nous le savons.  Donc tout est pour le mieux dans la mesure où cela ne lui confère pas de droits "spéciaux".  Mais dans le cas où l‘hypothétique supériorité intellectuelle est affirmée par d’autres supports que la race et s’octroie à ce titre des privilèges, avec violences sur autrui,   là vous n’y voyez que du feu car vous êtes né dedans et vous y êtes habitué, comme toute notre génération.    

    Ceci expliquant cela, vous en arrivez à penser que "le cours des posts finit par démontrer"  … la seule chose que vous avez bien intégrée:   le racisme caractérisé par le nazisme, l’esclavage, la couleur de peau,  alors qu’il est largement dépassé,   mais insidieusement remplacé. Aujourdhui, il nous appartient de traiter des injustices actuelles dont la gravité n’est pas encore monté au cerveau matérialiste de ceux qui en sont les cyniques bénéficiaires.  

    On peut maintenir ou non le mot race, modifier ou maintenir la définition, c’est une question de détail purement technique.

    Par contre, il serait malvenu de cautionner le racisme et les discriminations de ceux qui ne veulent supprimer ce mot que:

    – pour se blanchir de la nature criminelle bien réelle de leurs privilèges,

    – pour laisser croire qu’il faut supprimer ce mot car ceux parmi les français qui souhaitent le maintien du mot race le font par racisme  et "caractérisent" "justement" la droite,

    – pour laisser croire que la société sera définitivement débarrassée de ce fléau! …

    alors que précisément, ce fléau a  changé de moyens et de visage. Nous ne faisons que commencer une nouvelle série de mensonges puisque nous nous sommes contentés de condamner culturellement une ou deux formes de discrimination secondaire visible avec un outil fondamentalement discriminatoire qui n’est pas prêt de s’accuser lui même…  jusqu’à ce que le peuple  comprennent comment il s’est fait piéger, exploiter, avec la culpabilité en prime.   

    Observez la malhonnêteté de Jaurès dans son dernier post (par exemple) qui n’a d’arguments que ceux qui constituent une critique des idées qu’il projette sur les autres. Un bel exemple de politicard imperméable à la notion de vérité.  Imperméable également à la souffrance qui l’entoure sauf pour se valoriser d’en parler, comme de la race. Mais dans les actes, il ne donne rien, il réclame.

    Pour "connaitre" la vérité, il faut la pratiquer.

    19 janvier 2009 à 23 h 44 min
  • Guillermo Répondre

    Dsl j’ai oublié de "signer" le post que je viens d’envoyer.
    Guillermo.

    19 janvier 2009 à 23 h 24 min
  • Anonyme Répondre

    A Luc Sembour,

    les Espagnols ont souvent de très bons résultats en tennis sur terre battue; ceci parce que les terrains sont très nombreux et accessibles en Espagne, et non parce que les Espagnols ont le gène (autrefois on aurait dit la « bosse ») de ce sport. Mais, ainsi que vous le faites remarquer, il est souvent difficile de cerner vraiment l’étendue des facteurs culturels et environnementaux bien que ceux-ci diminuent au fil des années. Ceci est dû au fait que beaucoup de sports tendent à devenir universels.J’avais d’ailleurs pris à dessein l’exemple des sports de combats dont beaucoup comme le judo, la boxe, tendent à s’universaliser. Dans ces sports la comparaison est donc plus probante que dans des sports géographiquement limités par exemple.

    Pour le reste je vous redonne mon sentiment : il faut nuancer beaucoup. Ainsi le Noir est excellent en foot (statistiquement) mais peut-être pas à tous les postes ou dans toutes les phases du jeu. Ainsi en tant que goal et surtout lors des tirs aux pénalties je ne suis pas certains qu’ils soient aussi brillants.

    Par ailleurs les marathoniens Africains sont là pour démontrer que certains Noirs sont très durs à l’ effort de longue durée. Encore que là on puisse aussi évoquer les facteurs environnementaux comme les mômes n’ont pas de ramassages scolaires et peuvent être très éloignés de leur école.

    La revue « Sport et vie » avait publié une enquête à ce sujet pour connaître la raison de la supériorité des Noirs en athlétisme (en France). Parmi les facteurs invoqués, certains étaient classiques comme la forte implantation de l’ athlétisme aux Antilles. Mais d’autres faits plus originaux ont été dégagés : par exemple on a observé qu’entre les entrainements, le Noir réduisait fortement ses activités professionnelles, ce qui n’était pas du tout le cas du Blanc. La question reste ouverte pour savoir si ces différences sont d’ordre culturel.

    A Pierre Lance,

    merci de votre appréciation sur les Germains que j’ai trouvée particulièrement singulière et intéressante. Quant-à la mise au point sur votre article, c’est bien comme cela qu’il apparaissait. Je vous rejoins aussi sur un point très précis : la comparaison entre Blancs et Noirs est la plus fréquente, la plus « tentante » parce que la plus visible. Ceci me fait immédiatement penser aux groupes sanguins. De mon point de vue, la différence entre deux Blancs (ou deux Noirs) de groupes sanguins différents est bien plus marquante qu’entre un Noir et un Blanc qui ont le même groupe sanguin, (même si elle n’apparait pas au premier abord). Il y aurait là aussi vaste sujet de curiosités. Il reste que la nature nous a tous « spécialisés » d’une certaine façon en fonction des conditions qu’ont connus nos ascendants au cours des millénaires, ce qui peut nous favoriser ou nous défavoriser suivant les circonstances. Il est toujours amusant de voir que certains ont tant de mal à admettre de telles évidences. Je ne suis pas certain qu’au temps de Galilée, les mêmes auraient admis que la terre est ronde.

    19 janvier 2009 à 23 h 23 min
  • Kamarad Répondre
     Il n’existe qu’une seule race humaine :
    « Une race est un ensemble de populations dont les patrimoines génétiques ont des structures semblables et nettement différentes des structures des populations considérées comme appartenant à d’autres races.
    Il se révèle impossible de classer les différentes populations humaines en races.
    Selon le niveau de précision que l’on cherche à respecter, on peut finalement énoncer soit qu’il n’y a pas de races dans notre espèce, soit qu’il n’y en a qu’une : l’Humanité, soit qu’il y en a autant que d’humains, soit que le "concept de race n’est pas opérationnel pour notre espèce."
    La conséquence la plus claire est que tout raisonnement faisant référence à des races humaines est dépourvu de base scientifique.
    Il se trouve qu’aucun des groupes formant aujourd’hui l’humanité n’a connu un isolement suffisamment long et rigoureux pour représenter une véritable race. »
    Albert Jacquard
    Extrait de « L’Equation du Nénuphar »
    Bien sûr Pierre " botte-en-touche " Lance et son fan’s club ont le droit de contester ce point de vue, mais soit ils nous éclairent sur cette fameuse relation entre génome humain et zone géographique, soit ils passent à un autre sujet.
    Peuvent-ils le dire ?
    Oui ! Tout comme le Sar Rabindranath Duval, ils peuvent le dire !
    19 janvier 2009 à 22 h 04 min
  • IOSA Répondre

    A luc sembour@….

    Merci de votre réponse, elle a au moins le mérite d’être honnête et c’est exactement celà le problème dans ce genre de discussion, avoir la capacité de communiquer sans appriories ou resentiments .

    Est il vraiment important que la souche blanche des Français soit conservé à tout prix ou bien le plus important ne serait il pas de vivre heureux parmis ses concitoyens et peu importe la couleur, du moment que nos aspirations soient les mêmes ?

    Montrez du doigt le mouton noir parce qu’il est noir, ce n’est pas faire preuve de grande intelligence, mais désigner du doigt ce que l’on aime pas, avec les explications logiques qui vont affirmer votre prise de position, est surement plus favorable pour que chacun et chacune puisse se faire une réelle opinion du problème.

    Pourquoi maintenir le mot "race" porteur en soi de prévisibles futures difficultées de communication, si ce n’est pour maintenir la main mise sur une hypothétique supériorité intellectuelle sur l’autre ?

    Et c’est bien, ce que le cours des posts finit par démontrer une nouvelle fois .

    Voir plus loin que l’avenir immédiat, c’est aussi voir la raison de cet article….

     

    19 janvier 2009 à 13 h 42 min
  • Jaures Répondre

    Je m’étonne de la complaisance avec laquelle certains vivent ce qui leur parait relever de l’évidence.

    Des philosophes écrivent des volumes pour démontrer que les choses sont ce qu’elles sont. D’autres pour dire que nous ne pensons que dans le cadre de l’Espace et du Temps. Mais pour le concept de race humaine. Il n’est besoin ni d’études, ni de recherche, ni d’expériences, ni de statistiques: c’est évident. Mieux, des volumes peuvent être écrits niant ce concept. Des généticiens, des biologistes, des ethnologues affirmer qu’aucune race humaine ne peut être scientifiquement définie. Peu importe ! Une épreuve olympique et quelques dessins sur une peau de bison valent mieux que tout cela. C’est évident !

    Rappelons qu’avec ce même genre d’approche on pourra affirmer dans tous les troquets de France que "les noirs ont le rythme dans la peau", "les arabes sont des fainéants", "les juifs sont avares", "les homosexuels des drogués", "les cht’its des consanguins",… Et quoi, direz vous, sur quoi s’appuient de telles bêtises ? Mais enfin, vous répondra-t-on, c’est évident !

    19 janvier 2009 à 13 h 04 min
  • Scipion Répondre

    "Ensuite parce que la sinistre aventure nazie, qui a pu mettre en relief chez les Allemands certaines capacités indéniables d’organisation et de méthode (qui peuvent d’ailleurs et ont pu se démontrer mieux encore dans l’industrie du temps de paix), ont révélé d’autre part une évidente infériorité collective sur le plan de l’éthique, de l’esprit critique et de la sensibilité…"

    Mais ne croyez-vous pas, M. Lance, que la personnalité d’un peuple forme un tout indissoluble (cf L’âme des peuples, d’André Siegfried) et que ces deux facettes de leur personnalité sont indissociables, étant entendu que ce que les Allemands montrent, aujourd’hui, "sur le plan de l’éthique, de l’esprit critique et de la sensibilité" n’est le fait que d’une minorité négligeable d’intellectuels tapageurs ?

    19 janvier 2009 à 12 h 56 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    A P.LANCE,

        vous avez écrit le 17 déc. 2008  « Miss France métissée », le 16 juillet 2008 de « Enfin l’Europe se protège », le 14 fév. 2007 « Non à la France métissée », le 22 mars 2006 « Les fourriers du racisme », le 11 déc. 2005 « Discrimination, on m’incrimine », le 3 avril 2005 « Les fourriers du racisme »(bis), le 11 sept 2004 « Les bleus doivent-ils être noirs ?» etc…

       Oui ces articles ne traitent pas tous spécifiquement des races mais ils abordent des problématiques liées. Ma remarque n’était d’ailleurs pas un reproche. Ce qui est amusant, c’est l’automatisme conditionné qui fait monter « Joresse » au créneau pour déverser du plomb fondu.

    A Guillermo,

       oui le problème est compliqué. Franchement je ne sais pas pourquoi dans certains sports les noirs s’en tirent mal, alors que dans d’autres ils sont presque imbattables. Malgré la disparition de beaucoup de préjugés sociaux et donc d’inhibitions psychologiques pour l’athlète, il reste certainement  encore des facteurs sociologiques importants qui faussent un constat factuel des capacités purement liées à la génétique. Le cyclisme par exemple est curieusement « non-noir ». Mais peut-être que la concentration de longue durée et la pression intense et permanente pendant plusieurs semaines ne les favorisent pas.

       D’une façon générale, les noir(e)s sont très bon(ne)s là où il y a besoin d’efforts musculaires très rapides et très intenses sur une assez courte durée (mais si possible pas dans l’eau). Les noirs n’aiment pas les sports où les entrainements sont de vrais calvaires quotidiens sur de très longues périodes. Le cyclisme, l’aviron, la natation font partie de ces galères…

       Les noirs sont beaucoup plus spontanés que les autres races: ça passe ou ça casse. Fi des entrainements-galères interminables, des plans de carrière trop élaborés, réfléchis et alambiqués.

    A Jaurès,

       Mon raisonnement tient puisque je ne raisonne pas et ne fais que constater. Vous par contre, vous raisonnez en fonction de vos dogmes socialistes et justement vous faites une déduction qui ne tient pas puisque vous dites : « Si être noir est si rédhibitoire pour un nageur, le fait d’être métis devrait être un handicap insurmontable au haut niveau ».

       Rien ne vous autorise à cette déduction logique puisqu’un métis peut capter le meilleur comme le pire des capacités de ses ancêtres. On ne voit donc pas pourquoi il serait aussi handicapé que les uns ou les autres. Vous êtes tellement endoctriné que vous croyez vos ennemis condamnés à voir en un noir ou un métis, un sous-homme qui n’a pas le droit d’accéder au plus hauts honneurs sportifs (ou autres).

      Justement j’avais souligné que (jusqu’ici et à ma connaissance) aucun noir pur jus n’était un grand champion de natation.

       Ayant nagé moi-même en compétition ou à ses terribles entrainements presque 40 000 km, je connais particulièrement bien ce sport.

       J’ai la joie de vous annoncer qu’il y a des asiatiques au plus haut niveau :

       Kosuke Kitajima (Japonais) brasseur recordman du monde

       Liu Zige (Chinoise) papillonneuse recordwoman du monde

       Je ne connais pas de Nord-Africain mais je sais que la natation est très peu développée là où il y a beaucoup de Nord-Africains. A ma connaissance, ils sont assez doués pour ce sport, s’ils le veulent. Les filles sont cependant très handicapées par des contraintes non raciales (islamiques).

       Je crois que les véritables laboratoires raciaux de la natation sont dans l’ordre: l’Amérique du Nord, l’Amérique du Sud, l’Australie, puis l’Europe. Les autres zones sont moins mélangées et même si elles disposent de grands programmes de natation, elles ont une matière première raciale trop homogène pour des comparaisons internes. De toutes les zones l’Afrique a la plus insignifiante natation.

       Attention Kirsty Coventry (Zimbabwe) dosseuse et 4-nageuse, est une blanche pure laine.

       Je citerai Ranomi Kromowidjojo (métis hollandaise très peu bronzée). Grande relayeuse.

       Finalement le seul et unique métis (presque noir) très haut de gamme est le magnifique et sculptural Cullen Jones (américain) qui est très typé. Spécialiste des très courtes distances (pas plus de 100m). Mais il n’a jamais eu de record du monde individuel (toujours relais).

       http://www.swimmingworldmagazine.com/media/Jones1img.jpg

    19 janvier 2009 à 10 h 26 min
  • Pierre LANCE Répondre

    Pour une raison inconnue, ce message envoyé hier n’est pas passé. Ce qui montre bien que certains manquements résultent d’incidents informatiques n’ayant rien à voir avec une quelconque censure. Il est donc conseillé de garder copie de ses textes, afin de les envoyer une seconde fois si nécessaire, commeje le fais ci-dessous : À Guillermo : Votre histoire de kimonos est amusante. On peut trouver une multitude de paramètres physiques ou tempéramentaux permettant de définir les différents types raciaux qui peuplent la planète. Et je ne crois pas qu’il faille s’appesantir excessivement sur la comparaison entre les Noirs et les Blancs, qui est la plus facile parce qu’elle est la plus visible. Je n’avais pris cet exemple de la course et de la nage que parce qu’il est incontestable (du moins pour les gens de bonne foi qui préfèrent les réalités aux utopies). J’aurais pu aussi bien prendre le foot-ball pour les uns et le cyclisme pour les autres. Ces comparaisons d’ordre physique ont en outre l’avantage de montrer que la nature nous offre des équilibrages et des compensations qui interdisent de prétendre désigner une supériorité ou une infériorité globales. Hitler revendiquait pour les Germains la gouvernance du monde, affirmant qu’elle était la race supérieure à toutes. Double erreur. D’abord parce que les Germains ne sont pas une race, mais seulement un sous-groupe de la race nordique. Ensuite parce que la sinistre aventure nazie, qui a pu mettre en relief chez les Allemands certaines capacités indéniables d’organisation et de méthode (qui peuvent d’ailleurs et ont pu se démontrer mieux encore dans l’industrie du temps de paix), ont révélé d’autre part une évidente infériorité collective sur le plan de l’éthique, de l’esprit critique et de la sensibilité (ce qui explique à mon avis la totale indigence de l’art cinématographique allemand). Durant la seconde guerre mondiale, les Germains d’Allemagne (il y en a beaucoup ailleurs, notamment aux USA) ont surtout montré leur propension à suivre aveuglément un chef au verbe haut, ce qui n’est certainement pas un signe de supériorité, et ils ont seulement confirmé cette définition lapidaire que Nietzsche donnait des Germains : “Obéissance et longues jambes”. Au reste, même une supériorité qui serait parfaitement prouvée n’autoriserait aucunement à diriger le destin d’autrui, et comme je l’ai écrit dans un de mes livres : “La supériorité ne donne qu’un droit : celui de marcher devant.”

    19 janvier 2009 à 0 h 17 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    A IOSA,

       Je ne peux guère vous donner de réponse sur le métissage, car je ne suis pas du tout généticien et ne connais pas les règles et conséquences des croisements de races. Il est possible que ceux qui s’occupent commercialement de chevaux ou même de chameaux de course, aient des choses intéressantes à dire, parce que beaucoup d’argent dépend des ascendances des bêtes de compétition.

        Moi je ne peux qu’observer que les noirs ont du mal à nager (je veux dire à atteindre de très hauts niveaux). C’est en tout cas une constatation que tout le monde fait dans ce sport. Le nageur Cullen JONES est une des rarissimes exceptions qui semble confirmer cette règle. Bénéficie-t-il de caractéristiques physiques peu communes chez les noirs? Est-ce grâce à sa mère qui parait très « blanche ». Est-ce surtout son environnement familial très coopératif depuis son plus jeune âge pour en faire un vrai champion?

       Je sais qu’il a voulu apprendre à bien nager après avoir survécu tout jeune à une quasi-noyade. Il est en tout cas devenu le porte-drapeau de l’« African-American » qui fait mentir la règle universelle du noir nageant comme un fer-à-repasser.

       Ci-après une vidéo que j’ai trouvée où il dit ça très bien lui-même:

       http://www.cullenjones.com/media.php

       Et deux autres vidéos où il savoure sa médaille d’or du relais US à Pékin et où on voit sa mère :

       http://fr.youtube.com/watch?v=yRRHZEYQaCw

       http://fr.youtube.com/watch?v=stYF7ix4uIM

    18 janvier 2009 à 22 h 05 min
  • Daniel Répondre

     

    Voici un affrontement sur un problème qui n’existe pas: cela démontre s’il en était besoin que la bêtise humaine n‘a pas besoin de la religion pour établir des dogmes.

    Oh, Seigneur Jésus! Les athées sont donc faits du même bois?. Quelle déception!!!. Combien nous sommes tristes de constater que les sauveurs de l’humanité, ces athées « purs », incorruptibles, en qui nous placions toute notre confiance pour avoir des réactions saines , justes, intelligentes et dégagées de toute influence dogmatique, se trouvent avoir les mêmes travers que ces classés « abrutis » du secteur religieux !!. Voila qu’on se sent moins seuls dans la catégorie: merci tout particulièrement à Jaurès qui nous rassure plus que nécessaire et fait preuve à sa façon d’une délicate empathie pour ses « concitoyens« .     Si tous les Jaurès avaient la même empathie lorsqu’ils exercent leurs fonctions syndicales, la société française aurait vite fait de trouver les remèdes à ses maux puisque précisément, les luttes fratricides en France sont quasiment toutes fondées sur une recherche de discriminations dont Jaurès profite pour partie, mais ne veut surtout pas reconnaître les fondements de type raciste.

    Il y a ceux qui tentent de diviser (en générant des catègories supérieures…) pour mieux régner et il y a ceux qui réclament, acceptent puis profitent des divisions. Sans l’esprit collabo de certains français, ceux qui tentent de diviser en seraient pour leurs frais et se sentiraient très seuls: avec la race dans notre vocabulaire ou sans la race!. Non?

    Il serait peut-être utile de nous rappeler que les doctrines deviennent dangereuses lorsque des individus vident les mots de leur sens humain pour ne plus se servir que de la coquille vide que deviennent alors les mots, ceci à des fins de pouvoir et d’intérêts personnels.

    Le mot race n’est-il pas seulement une convenance de langage? Juste une définition dont nous savons qu’elles évoluent avec les époques, celle de la race comme les autres. Par contre le racisme a un caractère actif dangereux qui justifie d’en analyser les causes. Or, impossible de comprendre le racisme quand on pratique la discrimination!. Jaurès ne peut concevoir cette évidence:    malgré toute sa bonne volonté, ses choix de vie sont bien de type raciste et Jaurès serait inspiré, non pas de résister au mot race, (la forme inerte) mais de résister aux actes discriminants (nature criminelle).

    Jaurès, je n’ai aucun plaisir à une quelconque humiliation puisque je suis faillible comme vous. Mais ce problème d’époque est une clé particulièrement grave .

    La Vie nous invite toujours à comprendre ensemble le plus vite possible, sinon c’est la violence qui s’en charge.

     

    Ce n’est pas la femme qui enfante dans les douleurs mais bien l’homme qui accouche de l’Homme. Et ça dure, avec ou sans religion. Il tient à nous de le changer.

    18 janvier 2009 à 21 h 31 min
  • Anonyme Répondre

    Je comprends mal tous ces émois.  Mr Lance a raison.

    Les indiens peau-rouges ont, depuis l’aube des temps, distingué 4 races humaines qui sont inscrites dans leurs symboles et dessins.  Ils ne sont pas les seuls d’ailleurs.

    Etre racialiste (reconnaître l’existence de races et sous-races) n’est pas être raciste. C’est appeler un chat un chat, tout simplement.   Je ne vois pas où est le problème si ce n’est chez les malades qui cherchent la polémique parce qu’ils s’ennuient à mourir et qu’ils ne savent rien faire d’autre.

    Dire qu’il y a des différences biologiques entre les races est une évidence comme dire qu’il existe des différences biologiques chez les singes, par exemple.  Il existe forcément des supériorités mais tout dépend de quel point de vue on se place. Et si on énumère les différences biologiques en question, de façon scientifique et prouvée, on en a pour des dizaines d’années.

    Je ne vois pas où est le mal, sauf dans les esprit tordus rongés de névroses et d’ignorance crasse.  Et ça, il y en a au point qu’on est envahis car ils prolifèrent dans la société comme les cafards dans un immeuble pourri.

    18 janvier 2009 à 21 h 03 min
  • Albert Répondre

     

    @ Pierre Lance

     

         Je reprends un passage assez révélateur de votre message du 17 janvier à 1 h 12. « En répondant à grutjack, vous lui parlez de "l’idéologie des races". Mais qui parle ici d’idéologie, à part vous ? Nous vous parlons de FAITS, nous vous parlons de RÉALITÉS. Que de certaines réalités, d’aucuns, en les déformant, veuillent tirer des idéologies, c’est hélas incontestable, et les marxistes n’ont pas été les derniers à le faire. »

     

         En quoi est-il révélateur ? En ce qu’il exprime la croyance naïve, à peu près consubstantielle à la droite, «de ne pas avoir d’idéologie». Le mot idéologie, dans le vocabulaire de droite, est très souvent synonyme de gauche. Il est le corollaire de ce que vous dites, d’ailleurs, quelques mots plus loin, à savoir que, à droite, on s’imagine ne s’appuyer que sur des «faits» et sur la «réalité», contrairement à la gauche qui, elle, ne naviguerait que dans des théories fumeuses, surnommées par la droite «idéologies» (ou même «idéologie», au singulier, pour stigmatiser davantage la gauche).

     

         [Vous noterez, à cet égard, que typographiquement, j’ai dégradé le statut de ces termes – auxquels vous confériez la majesté de la capitale en les écrivant non seulement en minuscules, mais aussi entre guillemets, comme entre des pincettes…].

     

         Qu’est-ce, en effet, qu’un «fait», sinon un découpage intellectuel (souvent non conscient) opéré dans le champ de la perception ? Contrairement à ce que vous pensez, le «fait» n’existe pas en lui-même, lisse, rond et bien distinct comme un galet, qui n’attendrait que d’être saisi. C’est un objet construit…

     

         Et, en ce qui concerne la «réalité», vous avez beaucoup de chance de pouvoir l’appréhender ! S’il est un concept difficile à saisir, c’est bien, en effet, cette fameuse «réalité» que vous semblez si sûr d’appréhender ! Et, pour prévenir votre objection, vous noterez que ces remarques, non seulement sont loin d’être inspirées par Marx, mais qu’elles tireraient plutôt du côté de Berkeley (Esse est percipi aut percipire), ce qui nous transporte à des années-lumière du matérialisme dialectique…

     

    18 janvier 2009 à 15 h 37 min
  • Scipion Répondre

    Pour ma part, j’estime ce concept de "races" dépassé parce que contre-productif, sous une forme autre que celle de commodité de langage. Parler de races, c’est s’exposer à l’accusation de racisme, et le racisme induit, qu’on le veuille ou non, une hiérarchisation des peuples en fonction de la couleur de leur peau.

    Or, cette hiérarchisation est un non sens, puisqu’il y des peuples "ratés" et des peuples médiocres de toutes les "couleurs" !

    Si l’on veut être concret, il faut parler de peuples et, à ce niveau-là, on se reportera avec profit aux travaux des Prs Richard Lynn et Tatu Vanhanen* sur les corélations entre le PIB/hab et le QI moyen des habitants des divers pays de la planète.

    Les différences arithmétiques sont d’une ampleur telle que le politiquement correct n’a jamais osé s’attaquer à l’ouvrage et à ses auteurs, préférant les ignorer purement et simplement. Ce qui reste le meilleur moyen d’étouffer les idées gênantes. Ou qui le restait avant Internet.

    Pour illustrer le fossé séparent les différents pays, je donnerai trois exemples qui seront de nature, je l’espère, à éveiller les curiosités :

    – Hong Kong – pib/hab en dollars 29’763 – QI moyen 107

    – France – pib/hab en dollars 21’175 – QI moyen 98

    – Guinée équatoriale – pib/hab en dollars 1’817 – QI moyen 59

    * "IQ and the Wealth of Nations" – Praeger Pub Text (USA), 2002, à ce jour non traduit en français (et pour cause !)

    18 janvier 2009 à 11 h 32 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Pour Jaures:

    à propos des sauts de 2 lignes.
    Appuyez sur les touches [shift] et [Enter] en même temps pour ne faire qu’un seul saut de ligne.
    Un seul saut de ligne.

    Deux sauts de ligne. Alles klar!

    PS: pourriez-vous arrêter votre polémique stérile? Cela déborde…
    D’avance merci (un seul saut de ligne)!

    18 janvier 2009 à 11 h 28 min
  • vitruve Répondre

    ave

    " comme je l’ai déjà dit : la viande de Salers est plus savoureuse que la Charolaise…"

    Comment peut-on encore  à ce jour, noircir des pages sur ces races qui sont d’une réalité indéniable, la seule différence qui puisse exister se tient pour l’instant dans l’insondable de la connerie et concerne la certitude qu’on est meilleur que l’autre et qu’on doit le commander ou l’exploiter…A en débattre on retombe donc sur le banal racisme au sens d’Intolérance ( à ce sujet revoir le film du même nom restauré en 2007 que W.A.Griffith réalisa en 1916, attention il y en a pour 2h 57… prévoir de la bière et de sandwiches ) sinon tout n’est ici que blabla et peur de l’Autre.

    vale

    18 janvier 2009 à 11 h 19 min
  • Pierre LANCE Répondre

    À Guillermo : Votre histoire de kimonos est amusante. On peut trouver une multitude de paramètres physiques ou tempéramentaux permettant de définir les différents types raciaux qui peuplent la planète. Et je ne crois pas qu’il faille s’appesantir excessivement sur la comparaison entre les Noirs et les Blancs, qui est la plus facile parce qu’elle est la plus visible. Je n’avais pris cet exemple de la course et de la nage que parce qu’il est incontestable (du moins pour les gens de bonne foi qui préfèrent les réalités aux utopies). J’aurais pu aussi bien prendre le foot-ball pour les uns et le cyclisme pour les autres. Ces comparaisons d’ordre physique ont en outre l’avantage de montrer que la nature nous offre des équilibrages et des compensations qui interdisent de prétendre désigner une supériorité ou une infériorité globales. Hitler revendiquait pour les Germains la gouvernance du monde, affirmant qu’elle était la race supérieure à toutes. Double erreur. D’abord parce que les Germains ne sont pas une race, mais seulement un sous-groupe de la race nordique. Ensuite parce que la sinistre aventure nazie, qui a pu mettre en relief chez les Allemands certaines capacités indéniables d’organisation et de méthode (qui peuvent d’ailleurs et ont pu se démontrer mieux encore dans l’industrie du temps de paix), ont révélé d’autre part une évidente infériorité collective sur le plan de l’éthique, de l’esprit critique et de la sensibilité (ce qui explique à mon avis la totale indigence de l’art cinématographique allemand). Durant la seconde guerre mondiale, les Germains d’Allemagne (il y en a beaucoup ailleurs, notamment aux USA) ont surtout montré leur propension à suivre aveuglément un chef au verbe haut, ce qui n’est certainement pas un signe de supériorité, et ils ont seulement confirmé cette définition lapidaire que Nietzsche donnait des Germains : “Obéissance et longues jambes”. Au reste, même une supériorité qui serait parfaitement prouvée n’autoriserait aucunement à diriger le destin d’autrui, et comme je l’ai écrit dans un de mes livres : “La supériorité ne donne qu’un droit : celui de marcher devant.”

    18 janvier 2009 à 1 h 08 min
  • IOSA Répondre

    Au censeur…..Avant de jeter mon post, prière de lire, merci.

    Je suis obligé de le dire, parce que mes posts pourtant courtois finissent quasiment tous à la poubelle depuis l’article de Miss France métissée…mes interrogations dérangent peut être ?

    Kamarad@…..

    "J’aurais bien voulu savoir également où il voulait en venir et pourquoi cette question le turlupine, car visiblement il ne s’est pas remis de l’élection de Miss France."

    Albert@….

    "J’attends toujours en particulier, la réponse à une question pourtant fort simple, et devant laquelle vous vous défilez tous. Dans une société comme le Brésil, dont les types humains sont très divers, à partir de quel moment cesse-t-on d’être un «Noir» – ou un Amérindien ou un Asiatique (car il y a eu une notable immigration japonaise) pour devenir «autre chose» (et quoi ?) et selon quels critères ? Et, lorsque vous aurez répondu à cette question, j’en aurai d’autres à votre service…"

    Tous deux, vous avez mis le doigt en plein dans le mille…..Le talon d’achille est là et la réponse aussi !

    Albert@, vous n’obtiendrez pas de véritable réponse à votre question, par contre en relisant les articles concernant M.Lance, dont notamment "Miss France métissée" ou encore ceux qui font référence à "l’ identité nationale" vous pouvez vous faire votre opinion et qui sait, sans doute découvrir qui vous êtes ?…..bien que le "autre chose" m’en dise long de ce que vous avez en" tête", mais peut être que je me trompe ?

    ps: Voir un peu plus loin que l’avenir…immédiat ?

     

    17 janvier 2009 à 20 h 41 min
  • Jaures Répondre

    Cher P.Lance je suis loin d’être un fainéant. Mais partout où je cherche, je ne lis que des travaux niant l’existence de races humaines. Depuis les 600 scientifiques dont je vous ai cité quelques noms, jusqu’à mon encyclopédie Hachette qui précise à l’article race: "Aujourd’hui les progrès de la génétique conduisent au rejet des classifications raciales de l’espèce humaine".

    Mais que voulez-vous dont que je vous dise ! Je pourrai vous ensevelir sous les volumes, multiplier par mille les témoignages, vous êtes accroché à cette chimère comme ma tante Alice à celle de la bête du Gévaudan ! C’est pourquoi, en désespoir de cause je me tourne vers votre sommité. Pitié, P.Lance ! Donnez-moi une piste ! Une référence ! Une adresse ! même sur un post-it !

    Par ailleurs, plus sérieusement, vous dîtes remuer cette histoire d’élection truquée par souci de justice. Certes, cela vous honore, mais, entre nous, n’y aurait il aujourd’hui quelques causes qui méritent infiniment plus que l’on y consacra du temps. Les SDF qui tombent par centaines, la pauvreté qui s’installe, les femmes violées, les mal logés, les enfants en échec  scolaire, l’insertion des handicapés, …Pourquoi donc vous attacher ainsi à la cause dérisoire des miss de France ou d’ailleurs dont chacun sait que l’organisation y est manipulée comme à l’Eurovision ou dans les galas de catch, alors que tant de problèmes douloureux mériteraient que vous leur consacriez votre temps et votre talent ?

    Guillermo: vos commentaires sur les résultats des ethnies dans le sport sont très interessants. Sauf que les vérités d’aujourd’hui, comme celles d’hier, seront un jour démenties. Ainsi on a longtemps dit que le judo est un sport d’asiatique. Les anglais ont longtemps dominé le demi-fond. On a longtemps considéré les noirs américains comme imbattables au basket, jusqu’à ce que les Croates, les Russes,…

    Bref, la tentative d’utiliser le sport comme "marqueur racial" est également voué à l’échec.

    je suis ravi par ailleurs qu’une page blanche provoque votre hillarité. A d’autres, trop snobs, il faut du Alphonse Allais, du Woody Allen ou du Raymond Devos….

     

    17 janvier 2009 à 19 h 23 min
  • Monneuil Répondre

    je me suis complètement exclaffé que vous ayez rempli des pages entières de blancs : ça ne pouvait tomber que sur vous ! Je me suis dit que vous étiez presque plus constructif que d’ordinaire. 

    Après la deferlante de choses incompréhensibles (pour moi) lues cette semaine, il me semble que la dernière phrase – rapportée ci-dessus, est probablement la plus élaborée qui soit. Elle dénote un don d’observation supérieur et une pertinence hors du commun, et que je n’hésite pas à placer très très au-dessus de la moyenne…. Félicitations…
    Pour le reste – je veux dire, les commantaires de ce fil, nous avons eu droit à une belle parlotte…

    17 janvier 2009 à 18 h 13 min
  • Guillermo Répondre

    A Luc Sembour,

    je suis globalement d’accord avec vos arguments. Mais sur les différences entre les races, je pense que c’est un peu plus compliqué que ce que vous paraissez avancer, dont je retiens pour l’essentiel : "le Noir est meilleur sur la terre ferme et le Blanc est meilleur dans l’eau".

    Ainsi dans les épreuves des hommes <les plus forts du monde>, il n’y a presque jamais de Noirs et quand il y en a un, il est souvent mal placé.  Dans le cyclisme pareil, le Noir tire rarement son épingle du jeu.  Pour le moment tout au moins … on peut toujours se demander si la différence est physiologique ou culturelle.

    Dans le combat, certes le Noir est nettement avantagé pour la boxe, question de détente peut-être mais surtout question d’allonge de bras.  Il y a quelques années j’ai d’ailleurs vu des kimonos venant d’Asie qui désignaient la race à laquelle ils étaient destinés, les tailles de manches étant différentes suivant que l’ont est de type caucasien, asiatique ou africain.  (Quel scandale : on se demande ce que foutent ou foutaient les copains à Joresse !).   A l’opposé de ce que l’on constate dans la boxe, le Noir se débrouille plutôt moins bien que le Blanc, le Métis ou le Japonais dans la lutte ainsi que dans les combats dits "sans règles" tels que UFC (ultimate fighting championship) ou MMA (mixed martial arts).

     

    A Joresse,

    je me suis complètement exclaffé que vous ayez rempli des pages entières de blancs : ça ne pouvait tomber que sur vous ! Je me suis dit que vous étiez presque plus constructif que d’ordinaire.  

    17 janvier 2009 à 1 h 17 min
  • Pierre LANCE Répondre

    À grutjack : J’avais en effet mal compris votre propos et n’avais pas saisi que vous nous transmettiez seulement le stupide credo des “faux chercheurs”. Je suis en effet obligé de lire et d’écrire très vite, sinon je ne pourrais pas participer à ce forum, compte tenu de mes nombreuses heures d’écriture quotidienne. Il en résulte donc des risques d’erreur. Je vous présente toutes mes excuses. À Joresse : Seriez-vous paresseux ? Je vous ai déjà dit que vous trouveriez sur Internet la trace des ouvrages d’anthropologues qui se sont consacrés à la description des races. Vous ne vous figurez tout de même pas que je vais faire le travail à votre place ? Je vous vois venir avec vos gros sabots depuis le début de cette polémique. Vous rêvez de me voir perdre du temps à essayer de vous convaincre. Mais vous ne m’aurez pas, mon petit père, et je vous ai déjà dit qu’il était inutile d’insister. D’autant que vous convaincre est le cadet de mes soucis. Vous ne voulez pas croire que les races existent ? Qu’est-ce que vous voulez que ça me fasse ? Si vous tenez à rester dans l’erreur, à qui cela fera-t-il du tort ? À vous ou à moi ? À vous, bien sûr. Donc, c’est votre problème, non le mien. Et comme l’a fort bien dit Aldous Huxley : “Les faits ne cessent pas d’exister parce qu’on les ignore.” Car les faits sont têtus, comme disait un de vos copains. En répondant à grutjack, vous lui parlez de “l’idéologie des races”. Mais qui parle ici d’idéologie, à part vous ? Nous vous parlons de FAITS, nous vous parlons de RÉALITÉS. Que de certaines réalités, d’aucuns, en les déformant, veuillent tirer des idéologies, c’est hélas incontestable, et les marxistes n’ont pas été les derniers à le faire. Mais cela ne me concerne pas, et pas davantage grutjack. Il existe malheureusement une idéologie raciste, que je condamne comme vous, ou plutôt beaucoup mieux que vous. Alors cessez ce petit jeu de fléchettes qui ne vous mènera nulle part. Et je vous signale au passage qu’il n’a jamais existé de “race juive”. Le peuple juif est le plus mélangé de la planète et son unité est d’une tout autre nature que génétique. À Luc Sembour : Merci de votre amusante coopération. À propos de mes articles prétendus “cycliques” sur les races, soyez gentil de me préciser auxquels de mes articles sur ce thème vous faites allusion ? Je ne crois pas avoir traité ce sujet plus de deux fois en huit ans. Serait-ce trop ? Au webmasteur4V : Bonne remarque sur les sauts de ligne inutiles. Mais Joresse n’est pas le seul à en faire. Je crois bien que je suis même le seul à n’en faire jamais. Cela dit juste pour soutenir ma réputation d’être prétentieux (hi hi hi !).

    17 janvier 2009 à 1 h 12 min
  • Kamarad Répondre

     

    Bon ! Nous ne connaîtrons pas la primauté du cour magistral de Pierre « botte-en-touche » Lance sur le sujet…
    Dommage, nous saurons seulement que, lui, il sait !
    Nous resterons dans l’ignorance de ce qu’est une race, car avant tout il faut savoir de quoi l’on parle et Pierre « botte-en-touche » Lance aurait dû commencer par en donner une définition un peu plus étoffée que celle de Wikipédia, dont chacun connaît les faiblesses.
    A lire son article, je suppose que le mot race signifie pour lui « variété de l’espèce humaine », ce qui est un peu court et n’apporte rien d’intéressant.
    En effet, qui pourrait nier l’existence de différences morphologiques entre la plupart des peuples de la planète ?
    Et puis après ?
    Ainsi, parce qu’un homme est morphologiquement différent d’une femme, existerait-il une race masculine et une race féminine ?
    Cette simple boutade suffit à ridiculiser les propos solennels de certains intervenants, parmi lesquels je range l’auteur, et en souligne l’absence de rigueur.
    Pierre « botte-en-touche » Lance aurait été bien inspiré d’effectuer quelques rappels historiques, de faire état des différents points de vue de la communauté scientifique, d’avancer quelques hypothèses, de définir des critères OBJECTIFS, de justifier ses choix…
    Force est de constater que son travail a été bâclé, mais je ne suis pas le seul a avoir remarqué un certain relâchement de sa part.
    J’aurais bien voulu savoir également où il voulait en venir et pourquoi cette question le turlupine, car visiblement il ne s’est pas remis de l’élection de Miss France.
    Mais enfin, Pierre « botte-en-touche » Lance, l’élection d’une Miss n’est qu’une manifestation commerciale sans grand intérêt et la beauté est intrinsèquement SUBJECTIVE !
    En dépit de ce que vous affirmez, nous vous lisons attentivement et je vous devine gêné qu’une personne un peu plus bronzée que la moyenne puisse représenter la France.
    Si tel n’est pas le cas, expliquez-vous clairement, au lieu de tenter de vous justifier par des foucades, des périphrases, des propos sibyllins et des pensées abracadabrantes.
    Tempérez-vous, Pierre « botte-en-touche » Lance, personne ne veut détruire votre Peuple : il évolue tout simplement, certes bien plus vite que par le passé, mais la mondialisation que vous prônez n’en est-elle pas la principale cause ?
    (Inutile de m’accuser d’être un rétrograde ennemi de la mondialisation, cette dernière ne me déplaît que lorsqu’elle est capitaliste)
    Il n’existe pas davantage de complot d’une pensée dominante de gauche, d’ailleurs il me semble que la pensée ultra dominante se conjugue plutôt avec l’économie de marché et le capitalisme.
    Allez ! Je vous suggère d’avaler un grand bol de verveine, de vous inscrire à un cours de yoga et pensez aussi à prendre un peu de repos…
    16 janvier 2009 à 21 h 13 min
  • IOSA Répondre

    Lucsembour@…..

    Voilà une thèse bien étayée sur les capacités physiques selon l’appartenance singulière de chaque groupe d’individu…..Quoique qu’évasivement vous faîtes allusion au métissage réussit dans le domaine de la natation.

    Est ce à dire?…… qu’éventuellement il serait du domaine du possible?……. que les métis de tout poil, seraient donc  plus proche du genre caucasien, que ne laisse sous entendre cet article ?

    Ce qui remet en question le pour ou le contre du métissage, puisque apparemment il n’ y aurait pas abatardisation de la souche blanche….non ?

    ps: au zappeur de service…….c’est symptomatique de votre part de censurer à tout va mes posts, ou alors c’est la confrérie Véritas qui veut ?

    16 janvier 2009 à 18 h 15 min
  • Jaures Répondre

    A Luc Sembour: votre raisonnement ne tient pas. Si être noir est si rédhibitoire pour un nageur, le fait d’être métis devrait être un handicap insurmontable au haut niveau. Or, en France, 2 de nos meilleures nageuses sont, au moins, métis. Par ailleurs, aucun champion de natation n’est d’origine nord africaine ou asiatique. Question de densité corporelle ?

     Votre raisonnement a été tenu autrefois sur maintes activités humaines: les noirs seraient incapables de faire ceci, les asiatiques ne pourraient jamais  accomplir cela…A chaque fois, le temps et l’éducation ont montré le contraire. Imaginez une étude faites aux USA il y a 30 ou 35 ans pour savoir si un noir peut devenir président des Etats Unis.

    On disait que les noirs courent "génétiquement" plus vite et c’est un chinois qui est devenu champion olympique de 100m haies.

    Mais, sur le fond, pensez-vous que les résultats aux jeux olympiques définissent les races humaines ?

    Auquel cas, inutile de faire des recherches coûteuses. Il suffit d’acheter "L’Equipe". Le problème est que les races d’aujourd’hui ne sont plus celles d’hier et qu’elles ne seront plus celles de demain.

    Mais, au fait, qui va me les lister ces fichues races ?! Depuis le temps qu’on en disserte…

    Cher Webmasteur, je suis désolé si j’ai commis une fausse manoeuvre. C’ est comme le dit un cycliste célèbre ( tient ! encore un sport monocolore qui doit dépendre de la "densité corporelle") "à l’insu de mon plein gré".

     

    16 janvier 2009 à 17 h 41 min
  • vox populi Répondre

    A "Joresse" .

    Votre harcèlement  à l’égard de Pierre Lance sur le thème des races devient pitoyable. 

    Quand, dernièrement, vous osez écrire ce qui suit (nb :  j’ y ai corrigé deux fautes d’orthographe. Par souci pédagogique, je vous laisse rechercher où) :

    – "A P.Lance: Votre courroux est, je pense, à la mesure de votre dépit. Je sais que vous êtes un admirateur de Brassens et je vous en citerai un de ses bons vers: "Or s’il est une chose, amère, désolante, en rendant l’âme à Dieu c’est bien de constater, qu’on a fait fausse route, qu’on s’est trompé d’idée". Je souhaite que vous soyez au fond de vous conscient de vos égarements intellectuels. Par ailleurs, si vous ne dialoguez qu’avec les abonnés des 4V, inutile d’intervenir sur le net (qui plus est en interpellant directement vos contradicteurs). Le fait que vous ne m’ayez pas convaincu ne fait pas de moi plus que vous, qui ne l’avez pas été, apparemment, par mes arguments, un "pharisien conformiste et opportuniste". Concevez qu’on puisse penser différemment de vous sans être un crétin fini."

    …..vous ne vous rendez même pas compte que l’ensemble de ces paroles, tant celles que vous empruntez à BRASSENS que les vôtres propres, peuvent vous être très exactement retournées en boomerang. 

    Vous n’êtes pas d’accord avec ses assertions ? Soit.  Vous avez eu le loisir d’en débattre longtemps et en toute liberté. Vous n’êtes toujours pas d’accord ? Bon, c’est votre droit le plus strict, IL SUFFIT D’EN FAIRE LE CONSTAT, POINT. Personne ne vous oblige à changer d’idée mais, de grâce, il est temps de votre côté d’adopter la même attitude. Sinon, soyez bien persuadé que l’image que vous donnerez de vous ne sera pas flatteuse.

    Chacun sait que Pierre Lance n’a pas besoin de défenseur et que c’est avec beaucoup d’à-propos, de pertinence et de verve qu’il répond à ses contradicteurs : mon intervention n’engage que moi. Mais si je me permets cette digression, c’est parce que dans un post récent il nous a fait la courtoisie, je serais même tenté de dire l’amitié, de nous livrer un peu de sa vie personnelle. Or, assumer tout ce qu’il assume et prendre encore la peine de tenter de faire partager aux lecteurs des "4 vérités" ses convictions fortes, issues d’une longue expérience de la Vie, avoir encore comme  il le fait le souci d’expliquer et de réexpliquer son approche différente des choses, eh bien, moi, je dis chapeau Monsieur Lance.  Et d’aucuns, au lieu de tirer profit de ce regard original qu’il nous livre ou, à minima, de s’interroger, pinaillent et lui cherchent querelle à l’infini sur des vétilles. 

    J’ai aussi un parcours de vie conséquent puisque je suis né pendant la guerre de 39 – 45. De ce fait, il ne me paraît ni déplacé, ni outrageant pour eux (*), de délivrer le message suivant aux plus jeunes des lecteurs de ce site : "soyez des esprits libres, forgez-vous vos propres idées en observant et en exerçant votre esprit critique. Et surtout, surtout, ayez toujours en tête qu’aucune idée n’est jamais définitive et qu’on doit toujours réviser ses opinions à l’aune du temps que l’on est en train de vivre. C’est, malheureusement, ce que ne sont pas capables de faire les doctrinaires.

    (*)  ça y est, je vous vois déjà ("Joresse"), vous qui êtes si prompt à la réaction  –  mais, comme presque toujours, en vous mettant à l’abri d’un référent  –   je vous vois, donc, prêt à me balancer en travers de la figure la chanson de BRASSENS "le temps ne fait rien à l’affaire". C’est curieux, moi qui "fréquente" BRASSENS depuis pas loin de 50 ans, il me semble que lui et vous, ça ne colle pas vraiment.

    p. s. :  si à votre tour, vous découvrez dans mon texte des fautes d’orthographe, je vous remercie d’avance de me les signaler afin que, moi aussi, j’en fasse mon profit.

    16 janvier 2009 à 15 h 54 min
  • Thomas Répondre

    Lorsque j’entends les propos désolants d’un Jaures éduqué, je comprends clairement comment certains beaux parleurs réussissent parfois à saisir le pouvoir au détriment de pauvres petites gens n’ayant pas eu l’opportunité d’accèder à la connaissance en l’état actuel, et je constate toute la souffrance que ces imposteurs infligent à la majorité, à travers des idées couardes dans un but toujours limité à des ambitions perverses égocentriques, tout celà par manque d’intelligence. Jaures, votre prose n’est pas synonyme d’intelligence, c’est bien la votre plus grand défaut.

    16 janvier 2009 à 15 h 45 min
  • VITRUVE Répondre

    webmaster 4 pour info,

     il y a déja un moment que l’on ne peut plus aller simplement à la ligne, l’opération nous fait sauter 2 lignes chaque fois , je pense qu’il est possible de règler cela, merci.

    16 janvier 2009 à 15 h 19 min
  • sas Répondre

    SVP…..

    sas souhaiterais avoir des nouvelles de notre erudit et sage jean claude lahitte…..j espere qu il va bien et lui présente mes voeux chaleureux pour 2009…..ainsi que les quelques personnes biens de ce site…..ils se reconnaitront.

    j’aimerais lire ses pensées profondes sur la situation générale actuelle….dont gaza

    jean claude répond nous….ta cohérence durable et ton verbe me rassure….et m oxygènise les neurones

    sas

    16 janvier 2009 à 13 h 07 min
  • Albert Répondre

     

    @ Pierre Lance, Monneuil, grutjack, vox populi…

     

         Remarque de forme. J’ai noté qu’absolument aucune de vos réponses n’aborde le fond du sujet : vous vous contentez de renvoyer à des «études», à des «ouvrages», à des «chercheurs» [sic !] dont (comme par hasard…) les noms ou les références sont inconnus. Et Pierre Lance a, d’ailleurs, cet aveu significatif : «Et je n’ai aucune envie de dresser un catalogue des races humaines qui a déjà été dressé maintes fois dans la première moitié du vingtième siècle…». La «première moitié» du vingtième siècle ! Celle où l’on croyait encore qu’il existait une «race juive», celle où, dans les expositions universelles, on exhibait encore des « sauvages», dans des enclos, à côté des singes et des lions…

     

         Il ne devrait pourtant pas être difficile de formuler de façon simple vos idées. Certains scientifiques traitant de sciences « dures » savent se faire entendre. Ainsi, ai-je à plusieurs reprises écouté Jean-Marc Lévy-Leblond, physicien, faire passer des données particulièrement ardues de manière imagée et convaincante. Ce qui se conçoit bien s’énonce clairement…

     

         J’attends toujours en particulier, la réponse à une question pourtant fort simple, et devant laquelle vous vous défilez tous. Dans une société comme le Brésil, dont les types humains sont très divers, à partir de quel moment cesse-t-on d’être un «Noir» – ou un Amérindien ou un Asiatique (car il y a eu une notable immigration japonaise) pour devenir «autre chose» (et quoi ?) et selon quels critères ? Et, lorsque vous aurez répondu à cette question, j’en aurai d’autres à votre service…

     

         Ce ne sont pas les « races » qui suscitent le racisme, c’est le racisme qui crée les « races » !

     

    16 janvier 2009 à 12 h 56 min
  • Anonyme Répondre

    Jaures, attention à la façon dont vous tapez vos messages. Vous aviez ajouté des sauts de lignes inutiles.

    16 janvier 2009 à 12 h 20 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

       Nous sommes au théâtre de 4V.

       P.LANCE nous ressort son article cyclique sur les races, nième remake d’articles précédents du même tonneau. Dans un jeu de rôle convenu, Jaurès lui donne sa nième réplique gaucho-stalinienne.

       Mais cette fois-ci, la réponse de P.LANCE à "Joresse" est un morceau de bravoure bien meilleur que l’article, lequel est assez fade et enfonce des portes ouvertes (mais il y a tant de gens qui les croient fermées).

       Pour cette fois j’apporterai de l’eau au moulin de P.LANCE en faisant remarquer que les programmes de sports scolaires et universitaires américains ont maintes fois testé les capacités raciales des uns et des autres. Après de nombreuses décades d’expérience et un "coaching" serré de dizaines de milliers d’athlètes nageurs suivis de 7 à 25 ans, il est statistiquement certain qu’on ne fera jamais flotter un "noir" aussi bien qu’un "blanc". C’est bête mais c’est ainsi. C’est la faute à Archimède, qui n’avait pas sa carte du Parti.

       Cela tient à la densité corporelle, et à d’autres facteurs physiques purement génétiques. Les noirs sont trop « denses ». Il est établi sans l’ombre d’un doute, qu’indépendamment de tout facteur social, environnemental, diététique, etc., le jeune noir est défavorisé d’entrée (discrimination négative naturelle) pour faire un grand nageur. Les quelques très bons nageurs à la peau matte qui ont "percé" en haute compétition sont tous métis. On n’a jamais vu un(e) noir(e) d’ébène monter sur un podium dans les compétitions de haut niveau. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé car le sport est un excellent moyen d’ascension sociale aux USA. Il y a des noirs à l’entrainement mais la compétition a depuis très longtemps et partout atteint de tels niveaux que leur léger déficit de flottabilité est suffisant pour leur interdire les hautes marches du podium.

       Dans beaucoup d’autres disciplines athlétiques, là où le corps est seulement plongé dans le fluide atmosphérique (l’air), la haute densité corporelle intervient dans un sens positif, et c’est l’inverse qui se produit : la race noire bénéficie d’une "discrimination positive" octroyée par la Nature.

       « Joresse » doit intenter un procès à la Nature. Il est scandaleusement injuste que les médailles de natation soient réservées aux non-noirs. Mickaël PHELPS gagne beaucoup trop d’argent (son coach estime que sur toute sa carrière , il pourrait atteindre les 100 millions de $, ce qui est inégalé pour un nageur). Avec « Joresse » et en  France, il lui faudrait reverser tout ça à la caisse du PPU, le Parti de la Pensée Unique, pour redistribution aux mythiques « plus défavorisés » de tous poils, couleurs et obédiences…

       De même »Joresse » peut essayer d’obliger les propriétaires de chevaux de course à engager des percherons, des poneys, des purs sangs arabes etc…, dans tous les grands prix, en plus de leurs magnifiques purs sangs, hauts sur pattes, habituels. Il ne s’agit bien que de chevaux, n’est-ce-pas ? Les parieurs seront priés de jouer leurs économies en étant assez gentils pour ne pas faire attention à la race des chevaux joués. Seul « Joresse » sera autorisé à pratiquer, sans retenue, la discrimination positive, en risquant tout son pécule sur les percherons…  

       LS

     

    16 janvier 2009 à 10 h 30 min
  • Jaures Répondre

    A P.Lance: Je ne comprends pas, cher ami. Vous sachant par nature adepte du dialogue, voire de la querelle, soucieux de piquer d’un cinglante estocade le piètre polémiste, vous n’ayez saisi l’occasion de me ridiculisre aux yeux de vos lecteurs en rappelant en quelques lignes le catalogue des races humaines "déjà maintes fois dressé". Où ? Par qui ? C’est dommage car depuis des semaines que dure ce débat vous n’avez qu’évoquer des arguments aussi peu convaincant que des résultats sportifs ou la tuberculose chez les familles africaines mal logées.

    Par ailleurs, vous vous cantonnez à affirmer qu’il s’agit là d’évidences "comme le ciel est bleu et l’herbe est verte". Sauf qu’un scientifique ne s’arrêtera pas à ces grossières apparences. Il comprendra alors que la couleur du ciel n’est pas dûe à sa nature mais au reflet de la lumière du soleil sur l’atmosphère comme la couleur d’un objet est celle de la lumière qu’il reflète, non celle qu’il possède.

    Il est regrettable alors que vous êtes le seul des 4V a accepter le dialogue (et je vous en rend hommage) vous le quittiez dés que la polémique devient un peu difficile. Allez vous retrouver Millière sur son rocher ?

    A Grutjak: L’idéologie des races du XIXème siècle, qui a trouvé son apogée avec Hitler, s’est toujours servie de ce que vous appelez "le regard" ou "la tradition". Rappelez-vous la fameuse exposition sur la "race juive" sous la France Pétainiste qui expliquait comment reconnaître physiologiquement un juif.

    Ce que vous dîtes sur les femmes est évidemment faux. Le mouvement féministe n’a jamais réclamer l’identité mais l’égalité des droits. Souvenez-vous que les femmes, il y a moins de 50 ans, devaient demander l’autorisation à leur mari pour travailler, posséder un compte en banque, … Je ne sais pas ce que vous entendez par "élever une femme comme un garçon". Si c’est lui donner les mêmes chances de s’élever socialement, elle obtiendra selon toutes probabilités, des résultats comparables.

    Quant à "l’hormone de l’homosexualité", je préfère attendre qu’elle soit découverte avant d’en parler. Des fois qu’on découvre avant l’hormone du libéral-néoconservateur.

    16 janvier 2009 à 9 h 55 min
  • grutjack Répondre

      Décidément, vous baissez, Pierre Lance. Vous ne lisez même plus les commentaires de vos articles, tellement vous êtes pressé de les contredire. Je parlais de "faux chercheurs",  de fausse science, de modes des années soixante. Faites-moi l’honneur de me relire à tête reposée, s’il vous plaît.

    16 janvier 2009 à 8 h 15 min
  • Pierre LANCE Répondre

    À Philippe Landeux : Merci d’apporter ici un peu de bon sens. Comme vous le dites fort justement : “S’il y avait uniformité, la notion même de métissage n’aurait aucun sens !!!” C’est une évidence. Mais les adeptes du métissage sont tellement obtus qu’ils ne sont même pas capables d’apercevoir qu’en prônant le métissage, ils confirment eux-mêmes l’existence des races. À grutjack : Vos premières remarque sont pertinentes, mais vous auriez pu nous épargner votre couplet sur l’homosexualité, qui n’a vraiment rien à faire dans ce débat. En outre, je trouve particulièrement déplacé de toujours ramener les différences entre humains, quelles qu’elles soient, sur le terrain de la persécution. Que des tyraneaux abusent de certaines supériorités éphémères pour dominer les autres, cela tient à leur absence d’éthique, et non pas aux différences elles-mêmes, qui ne devraient rien susciter d’autre qu’un intérêt respectueux. Le racisme est une abomination, mais ce n’est pas l’existence des races qui crée le racisme, c’est l’immoralité de la loi du plus fort, qui peut trouver à s’exercer dans n’importe quel domaine et utilise n’importe quel prétexte pour tenter de “justifier” ses abus. ” Si vous prenez un bébé fille et que vous l’élevez comme un garçon, elle deviendra un garçon. De même que si vous élevez un bébé garçon comme une fille, il deviendra une fille.” Voilà une vraie trouvaille ! Vous n’allez pas me soutenir que vous pouvez croire un instant à une pareille ânerie ? Laissez-donc cela aux mânes de Simone de Beauvoir, qui s’est ridiculisée à jamais sur ce thème. À Joresse : Je ne suis ni courroucé ni dépité, je suis seulement lassé de vos “égarements intellectuels”, comme vous dites, et surtout de votre incapacité à lire correctement. Vous lisez avec des lunettes teintées par l’idéologie. Tant pis pour vous. Et je n’ai aucune envie de dresser un “catalogue des races humaines” qui a déjà été dressé maintes fois dans la première moitié du vingtième siècle, mais que vous ne voulez pas lire, ni même chercher. Alors, gardez vos préjugés au chaud et brisons-là.

    16 janvier 2009 à 0 h 57 min
  • Jaures Répondre

    A P.Lance: Votre courroux est, je pense, à la mesure de votre dépit. Je sais que vous êtes un admirateur de Brassens et je vous en citerai un de ses bons vers: "Or s’il est une chose, amère, désolante, en rendant l’âme à Dieu c’est bien de constater, qu’on a fait fausse route, qu’on s’est trompé d’idée". Je souhaite que vous soyez au fond de vous conscient de vos égarements intellectuels. Par ailleurs, si vous ne dialoguez qu’avec les abonnés des 4V, inutile d’intervenir sur le net (qui plus est en interpelant directement vos contradicteurs). Le fait que vous ne m’ayez pas convaincu ne fait pas de moi plus que vous, qui ne l’avez pas été, apparemment, par mes arguments, un "pharisien conformiste et oportuniste". Concevez qu’on puisse penser différemment de vous sans être un crétin fini.

    Cela dit, vous n’avez toujours pas été capable de me dresser un catalogue des races humaines.

    Pour les autres, je vois que dans chaque post, on intègre au concept de race un peu tout et n’importe quoi: us et coutumes, inconscient collectif, morphologie génétique, différences culturelles, …

    On peut tous en ce débat trouver un accord. Si vous appelez "race" des différences physiologiques type (telles que le vocabulaire policier les utilise: type africain, nord-africain, européen, asiatique,…), vous ne faites qu’un abus de langage (qui peut induire en erreur, on peut être nord-africain et de type européen, par exemple). Par contre, si on prétend désigner une catégorie humaine dont le comportement serait inscrit génétiquement et, par ce fait, serait plus ou moins compétente à telle ou telle activité (ce qui correspond à la définition scientifique des races animales), on commet là un dangereux égarement.

    A Monneuil: Nier l’existence de races humaines ne veut pas dire du tout considèrer que les hommes sont identiques ni militer pour l’uniformité. Bien au contraire, c’est prétendre que rien n’est écrit et que quelle que soit son aspect physiologique, un homme pourra s’accomplir si son environnement lui est favorable. J’attends avec impatience que vous retrouviez les références de ce scientifique qui aurait, selon vous, identifié 7 races humaines.

     

    15 janvier 2009 à 19 h 24 min
  • grutjack Répondre

      La négation de l’existence des races fait partie de tout un mouvement de redéfinition de la nature humaine qui a pris naissance au début des années soixante aux Etats-Unis. Il s’agissait de donner des fondements "scientifiques" à des considérations essentiellement morales. On est parti d’idées globalement justes et généreuses pour aboutir rapidement à des aberrations. Il est évident qu’au cours des temps, les femmes avaient été souvent maltraitées et considérées comme inférieures aux hommes, que les Noirs avaient connu l’esclavage et la colonisation, que les homosexuels avaient dû subir bien des humiliations et parfois des persécutions. On se voulait désormais plus généreux et plus fraternel envers les autres, ce qui était tout à fait louable. On devait donc tenter un effort de perfectionnement moral et aussi d’éducation. Mais aux yeux de la génération de 1960 qui pensait que le monde entrait dans une phase nouvelle, cela ne suffisait pas. Les idées et les morales sont fragiles, passent de mode, seule la science demeure. Il fallait donc donner une base scientifique au nouvel égalitarisme.
       Les faux chercheurs se sont mis au travail. Ils ont "démontré" dans des revues très sérieuses que tout ce que nous apprenaient notre regard, le bon sens et la tradition, tout cela n’était que préjugés. Vous aviez vu, de vos yeux vu des peaux de couleur différente et vous pensiez savoir que cette différence de peau correspondait à des différences morphologiques. La belle affaire! Ne voyez-vous pas tous les jours le soleil "se lever" et "se coucher", alors qu’en réalité il reste immobile et que c’est la Terre qui tourne autour de lui ? Allons, mon petit, il est temps de faire votre révolution copernicienne. L’injustice envers les femmes, c’est tout simple : c’est parce qu’on n’a pas compris jusqu’ici cette vérité scientifique, à savoir qu’un homme et une femme, c’est au fond exactement pareil. Si vous prenez un bébé fille et que vous l’élevez comme un garçon, elle deviendra un garçon. De même que si vous élevez un bébé garçon comme une fille, il deviendra une fille. Bien sûr, pour que la transformation soit parfaite, une petite opération sera nécessaire, mais la chirurgie n’arrête pas de faire des progrès et bientôt le changement de sexe sera si réussi que les médecins eux-mêmes n’y verront que du feu. Vous dites que l’homosexualité, ce n’est pas naturel. Eh bien, je vais vous confier un secret : nous travaillons très fort sur le sujet et nous vous préparons une fameuse surprise. Un de ces jours, pas tellement lointain, nous allons découvrir l’hormone de l’homosexualité ! Alors, qu’est-ce que vous direz, hein, qu’est-ce que vous direz ?
       Ainsi, dans les années soixante, on préparait un nouveau monde, parfaitement égalitaire, hygiénique, pacifique, prospère, libre et heureux. Les esprits chagrins constatent que la grande réconciliation de l’humanité ne semble pas encore avoir eu lieu, qu’il y a encore, un peu partout, beaucoup de dépressions et de suicides, et que notre prospérité économique est un peu compromise aujourd’hui, si l’on en croit les journaux. Allons, vouis n’allez quand même pas douter de la Science !

    15 janvier 2009 à 16 h 44 min
  • Philippe Landeux Répondre

    Entièrement d’accord avec M. Lance sur le fond.
    L’espèce humaine ou le genre humain se divise en sous-espèces que l’on nomme depuis toujours "races". En admettant que le mot "race" soit impropre (personnellement, je ne vois pas pourquoi), cela change-t-il le fait qu’il existe chez les hommes différentes morphologies, que ces morphologies sont caractéristiques des populations habitant un certain coin de la Terre ?
    Le problème n’est pas le mot "race" mais la négation de ces différences morphologiques (donc génétiques, géographiques, culturelles, etc.) que le rejet de ce mot suppose. Le métissage n’est-il pas une preuve de ces différences, puisqu’il a tendance à les gommer par le mélange ? S’il y avait uniformité, la notion même de métissage n’aurait aucun sens !!! Le métissage, synonyme de mélange, peut s’opérer aussi au niveau culturel. Mais celui auquel on pense, celui dont les chantres du métissage eux-mêmes parlent, est bien le mélange ethnique, racial, génétique. (Petit Larousse. Métissage : Union féconde entre  hommes et femmes de groupes humains présentant un certain degré de différenciation génétique.)
    Bref, que ceux qui rejettent le terme de "race" reconnaissent qu’il existe différents groupes humains (définis par des caractéristiques physiques) et proposent, s’ils le veulent, un autre terme pour les qualifier, et tout le monde sera d’accord. 

    15 janvier 2009 à 10 h 48 min
  • Pierre LANCE Répondre

    Au modérateur : Attention, il y a un immense blanc après le premier message. À Joresse : J’écris mes articles à destination des abonnés des “4 Vérités hebdo”, dont vous ne faites évidemment pas partie, et non pour répondre aux discours préfabriqués des idéologues gauchis qui ont tourné le dos une fois pour toutes à la nature et à la vérité et se contentent de réciter le catéchisme égalitariste, niveleur et massifiant qui leur tient lieu de pensée. Alors n’espérez pas que je perde une minute de plus à votre service. Votre religion est faite et, quoi que je dise, vous n’en changerez pas plus que les catholiques pur sucre qui me critiquent par l’autre bord. Je n’écris pas pour les pharisiens, fussent-ils Prix Nobel ou professeurs au Collège de France. Les titres et les prix n’ont à mes yeux aucune valeur et ne sont que des colifichets tout juste bons à effarer les béotiens. Vos 600 signataires ne sont que des conformistes ou des opportunistes soumis à l’idéologie régnante. (Si par malheur Hitler avait gagné la guerre, ils signeraient toute honte bue un texte exactement contraire à celui dont vous nous parlez.) Seraient-ils 6.000, ou 60.000 ou 600.000 qu’ils ne m’intimideraient pas davantage. Suivez donc ces petits bourgeois si cela vous épargne la fatigue de réfléchir. D’ailleurs, vous ne comprenez rien de ce que vous lisez, tellement votre esprit est plombé par la dogmatique. Votre mesquinerie est si inconsciente que vous m’en attribuez la petitesse. Jamais je n’ai dit ni pensé qu’une personne de couleur ou métissée ne pouvait pas être Miss France, si sa beauté le méritait vraiment. Ce contre quoi je me suis insurgé, c’est l’injustice discriminatoire qui privilégiait une candidate métissée uniquement parce qu’elle était métissée et la propulsait au premier rang par une décision arbitraire écartant les autres candidates sans égard pour leurs qualités. Je ne combats rien d’autre que l’injustice, mais l’injustice, c’est évidemment le cadet de vos soucis, et il en est de même des 600 pantins couverts de peaux d’âne qui ont signé l’aveu de leur propre bêtise et de leur propre lâcheté. Vous êtes, en effet, en très bonne compagnie. Cependant, je recommande moi aussi à nos lecteurs de lire intégralement la rubrique de Wikipédia, très objective et bien équilibrée. Bien entendu, je ne pouvais qu’y piocher quelques phrases parce que la place d’un article des “4 Vérités” est très mesurée. Mais Joresse en tire aussitôt argument contre ma loyauté, ce qui a pour effet immédiat d’anéantir la sienne. Je savoure… À Kamarad : Vos premières phrases sont pleines de bon sens. Dommage que vous les gâchiez ensuite…

    15 janvier 2009 à 1 h 00 min
  • vox populi Répondre

    Monsieur Lance.

    Vous appelez "turlupins" vos deux ou trois contradicteurs obsessionnels qui encombrent ces colonnes de façon compulsive, agressive, et déplacée. Je trouve le terme extrêmement gentil !

    Après avoir déployé tant de temps, tant d’énergie et tant de diplomatie à  essayer d’ouvrir un tant  soit peu leurs esprits bloqués, il est bien légitime que vous ayez pris la résolution de ne plus leur répondre, au moins sur ce thème de "races". Hélas, comme une fois de plus ils n’ont pas compris ce qu’ils lisaient, ils s’acharnent cette fois encore et en toute indécence à déverser leurs inepties et à nous imposer leurs verbiages stériles, immatures,  endoctrinés, stéréotypés.  Voilà des mois que ces personnes nous accablent de discours fleuves sur tous les thèmes  sans s’apercevoir que le plus souvent elles dissertent à côté du sujet, démontrant ou bien qu’elles ne comprennent pas leur propre langue, ou bien qu’elles sont une bonne fois pour toutes figées dans des postures définitives. Bref, qu’elles sont incapables d’objectivité, ni même de simple bonne foi. Et, partant, qu’elles sont incapables d’évolution.

    Merci de continuer à nourrir notre réflexion.  

       

     

    15 janvier 2009 à 0 h 37 min
  • Magny Répondre

    à HEFF : cellule antiblanchiment ? C’est pas de la discrimination positive ça ?

    Sinon côté article la tarte à la crême de la race commence à être aussi lassante que les résurgences infinies du conflit toujours presque jamais réglé israelo-palestinien .

    Il existe des catégories , des sortes de tableaux sur lesquels on colle des étiquettes , qui permettent de différencier les organismes vivants . Ainsi il existe les familles ( les canidés / les félidés / etc ) , les genres et les espèces ( canis lupus , le loup , est une espèce de canidé par exemple ) , bon en remontant dans les classifications on trouve les carnivores/herbivores etc , les vertébrés/invertébrés etc ,  mais là n’est pas la question .

    Nous appartenons tous au genre humain quelles que soient nos caractéristiques physiques , et nous pouvons engendrer une descendance (  c’ est la principale caractéristique d’appartenance à un même genre ) . Point barre . Pourquoi vouloir à tout prix voir le verre à moitié vide ( tout ce qui nous sépare ) alors que nous sommes tellement semblables qu’un chimpanzé savant rirait à se rouler par terre de nos prétentions à nous voir différents à tout prix . 

    Aucune crainte à avoir : nous sommes tous différents , avec nos qualités et nos défauts . Depuis le commencement des temps il n’est pas tombé un seul flocon de neige identique à un autre .     

    14 janvier 2009 à 22 h 55 min
  • Monneuil Répondre

    Que de discours….
    Pour ma part, cela ne me dérange pas trop d’appartenir à une race. Je trouve même plutôt ça bien, je n’aurais vaiment pas aimé que tous les terriens fussent aussi beaux et intelligents comme moi…
    (J’arrête j’en connais trop ici qui vont prendre ça au premier degré)
     Il se trouve que je partage, avec des gens, un certain nombre de caractéristiques, des points communs que d’autres n’ont pas et des points communs qu’elles ont, et que je n’ai pas. Alors, où est le problème ?… Ces points communs sont un certain "héritage" et, ajoutés aux us et coutumes de mes ancêtre, je crois me souvenir qu’en psychologie, on appelle cela l’inconscient collectif.  Et je trouve que c’est plutôt bien. De prime abord, cela me permet donc que, voyant (au sens large du terme), telle ou telle personne, je peux savoir très rapidement si cette personne partage un certain nombre de points avec moi. Ce qui me donnera – à priori – une certaine conduite, dictée par mon inconscient :  on est donc là dans les automatismes, la raison n’étant pas encore intervenue. Par contre, cet état de fait est très incomplet, et rien ne me dit que celui qui présente une similitude avec mes origines n’est pas la dernière des crapules, ou le pire escroc, ou encore, qu’il en veuille se prendre à ma vie ou à mes biens. J’aurai donc besoin, pour étayer un jugement, de recourir à un peu de raison. Mais où prendre cette "raison" ?
    Il est par exemple possible de regarder les "tendances" au sein d’une société : qui est qui et qui fait quoi ? Par exemple, pour reprendre l’exemple du courreur ou du nageur, on "remarque" que, etc. etc. On peut en tirer une loi, mais pas de cas obligatoires : il y a probablement des blancs qui courrent plus vite que certains noirs, idem pour la natation. Alors, là, je ne vois vraiment pas où il y a problème, ou il y a débat, et à quoi peut servir un débat et ce qu’il peut apporter, à part des chicaneries stupides comme ici ?..
    J’ai vu, il n’y a pas longtemps, un article d’un chercheur qui explique très bien les races et démontrent qu’elles se traduisent par 3 groupes, et 7 sous-groupes (je n’ai pas noté le lien, malheureusement). Cete découverte est intéressante car elle situe bien l’évolution de l’homme  à partir des origines que l’on peut supposer, je dis "supposer" pour deux raisons : la première, parce que je n’ai pas le savoir, contrairement à beaucoup de gens ici, la seconde, c’est qu’il semble que les certitudes sont d’autant plus difficiles à établir au fur et à mesure que l’on s’enfonce dans le temps.
    Je ne vois donc pas les dégats que pourrait occasionner le terme de "race", je remarque simplement que le terme a été tellement galvaudé qu’il ne veut plus dire grand chose, à part vous faire comdamner par le mrap ou la halde. Je remarque au passage que si la race n’existait pas, les musulmans en panne de réponse crédible face à une argumentation un peu sensée, n’ont qu’une seule réponse possible : vous traiter de "raciste". Si on est raciste – d’après eux, c’est que la race existe, la leur en particulier.
    Cela dit, cette polémique est vraiment stupide. Il me semble que ce n’est pas parce que un noir préfère les noirs qu’il va pour autant vouloir exterminer tous les blancs, ou tous les jaunes, vous ne pensez pas ?…
    Je voudrais aussi apporter un bémol à tous ceux qui se réfugient derrière la "communauté scientifique" et qui citent, pour se justifier, les chercheurs machins, les autorités truc, etc. Il faut de temps en temps avoir le courage de regarder les choses en face et essayer de ne pas trop limiter son observation au trou de serrure.
    La très grande majorité des chercheurs ou penseurs officiels – surtout en France, mais aussi dans le monde, sont payés par les états, pour d’autres, par de très grands groupes aux moyens énormes (financiers et pressions – chantage). Il semble donc logique que les dits employés agissent comme tous les employés, c’est-à-dire, qu’ils n’ont aucun intérêt à décevoir leur employeur… C’est pourtant évident ! Bien entendu, il existe des gens honnêtes, consciencieux, curieux, avides de savoir et excessivement objectifs. Seulement, imaginez un instant que le fruit de leur travaux aille contrecarrer ouvertement la bienséance, en un mot, que leur "découverte" ou opinion n’aille point de le sens du vent ? Avez-vous pensé aux conséquences ? Résultat des courses : moyens d’investigations diminués – voire supprimés, refus de publication, avancement systématiquement bloqué – voire licenciement, et si l’individu persiste et signe, mort professionnelle ! Alors, forcément,ceux qui restent, ils pensent un peu tous dans le même sens…
    Naturellement, certains s’accrochent et continuent leurs travaux avec des moyens de fortune, et parfois même avec des aides privées fort élémentaires… L’auteur que j’ai cité ci-dessus, et qui a découvert les 7 sous-groupes, appartient naturellement à cette catégorie, vous l’aviez déjà compris, naturellement !

    Bonne soirée à tous et à bas les races qui ‘discriminent" et … gare au réchauffement climatique !
    (C’était un communiqué de la "communauté scientifique"…..)

    14 janvier 2009 à 22 h 06 min
  • HEFF Répondre

    La cellule antiblanchiment du ministère des Finances, a relevé que les "paiements réalisés" par le député socialiste Julien Dray avec sa carte bancaire "depuis la mi-décembre 2005 s’élèvent, pour les seuls flux supérieurs à 500 euros, à 313.180,56 euros" :

    http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5g7cToegawUDzK9tk2alb31leNlFA

     

    14 janvier 2009 à 18 h 28 min
  • Kamarad Répondre

       

     

    Voilà résumée toute la rhétorique de Pierre Lance : le concept de races humaines se justifie puisqu’il existe des disparités entre différents groupes humains, c’est évident puisque je le vois et par suite je n’ai pas besoin de le démontrer.
    En suivant le même type de raisonnement, je pourrais dire que je remarque au fil des heures la rotation du soleil autour de moi, or j’ai les pieds bien arrimés sur le sol et donc la Terre se trouve au centre du Monde.
    CQFD, circulez sans ergoter, si vous pensez différemment, c’est parce que vous êtes un crétin.
    A part cela, notre brave chevalier blanc du libéralisme ne se drape jamais de certitudes, c’est un rationnel, un grand sceptique, un pragmatique de premier plan, un scientifique de renom, un esprit délié.
    Moi, l’indécrottable béotien de base, le poil à gratter de service, je n’ai pas cette chance et j’en suis réduit à m’interroger : je vois qu’un lévrier court plus vite qu’un labrador, qu’un bouledogue est moins doué qu’un ratier pour briser le cou d’un rat et qu’il vaut mieux se faire mordre par un chihuahua que par un dobermann.
    Pourtant, on peut dire tout aussi justement que tous partagent un très grand nombre de similitudes, de caractères communs, au point que l’on pourrait les classer sans commettre le moindre vice de raisonnement dans une même famille, désignée par exemple sous le terme de race canine.
    Pourquoi diable pérorer sur d’insignifiantes querelles de vocabulaire et vouloir chercher aujourd’hui une réponse définitive à cette question, que seule l’évolution de la science apportera en temps opportun ?
    Ce qui importe, c’est d’appréhender ce sujet avec détachement, avec sérénité et surtout sans arrière-pensée aucune, car toute la gravité du problème est là :
    • Certains veulent imposer une discrimination en s’appuyant sur des conclusions hâtives, dans l’unique but de justifier un ordre social qui leur taille la part du lion.
    • D’autres, comme Pierre Lance, cèdent à la paranoïa et voient dans toute question subversive – et c’en est une – un complot ourdi par les communistes et un prétendu choc des civilisations pour ébranler le capitalisme.
    Mais le capitalisme a de toutes façons vécu, il n’est que d’attendre sa chute qui se produira bientôt dans un assourdissant vacarme, non à cause d’une action coordonnée par je-ne-sais-qui, mais parce qu’il s’agit d’un système économique obsolète, qui se nourrit d’antinomies et vient de montrer ses limites.

    14 janvier 2009 à 18 h 18 min
  • Jaures Répondre

    Pierre Lance, je viens de lire l’article de Wikipedia auquel vous faites allusion en lequel vous avez pioché l’allusion aux travaux de Feldman.

    J’invite les lecteurs à se reporter à cet article. En prenant connaissance de l’intégralité de ce qui y est écrit, vous verrez que les conclusions en sont bien évidemment très différentes.

    Ce n’est pas très loyal, M Lance. Vous nous avez habitué, parfois, à mieux.

    14 janvier 2009 à 17 h 56 min
  • sas Répondre

    Alors frangin…..

    un moment de lucidité ?????

    sas

    nb) ce qui te sert un jour mon frère…..te dessert 100 fois

    14 janvier 2009 à 16 h 40 min
  • IOSA Répondre

     

    M.Lance…

     Vous mettez le doigt dessus et vous ne semblez pas comprendre le fond même de votre article.

     je ne vous connais qu’au travers des  4V et je ne doute pas de votre bonne foi, lorsque vous tenez pour acquis la différence morphologique des sous espèces composant la race humaine, parce que même moi, je vois les nuances de couleur, mais aussi l’énorme fossé qui sépare les différentes ethnies humaine par l’esprit  ou le cheminement de la pensée pour être plus préçis.

    Ne vous en prenez pas aux anti-racistes de tout bords dont certains sont de bonne foi…confondent souvent le droit à la différence et le droit pour tous à devenir  Monsieur tout le monde et ne font que par leurs actions marquer davantage la différence des « traditions/religion/mode de vie » que chacun se complait à associer à une couleur que l’on aime ou pas du tout.

    Est-ce le racisme qui a fait que les lois anti-racisme existent ?…….Certainement, mais elles sont devenues obsolètes.

    Est-ce que lois anti-racisme contribuent au racisme ?…..Certainement, car elles octroyent à certains des privilèges que d’ autres n’auront pas ou auront du mal à obtenir.

    Est-ce que le comité de Miss France a commit un abus de droit ?….Certainement, puisque la majorité des votants étaient pour une autre Miss et que cette « erreur » annote magistralement l’arnaque financière de cette élection, mais sans faire pour autant démonstration de complaisance positive envers une minorité tout de même…. française.

    Si Mireille Mathieu avait été élu Miss France 2009, l’impact aurait il été le même ?

    Est-ce que votre élection de Miss Véritas sert à rétablir une vérité ?…..Oui et non.

    Oui, parce qu’elle met en évidence le côté mercantile et outrancier du comité Miss France.

    Non, parce qu’elle met en avant des arguments identiques à ceux avancés par le racisme, c’est-à-dire une élection blanche dans tout le sens du terme.

    Le droit à la différence, vous autorise t’il à être négligeant sur ce point ?

    Là, est toute la question…..

    14 janvier 2009 à 16 h 00 min
  • Jaures Répondre

    M Lance, si l’existence des races vous parait une telle évidence et les "destructeurs de civilisation" comme votre serviteur, de tels écervelés qu’ils en nient que 1 + 1 font 2, pourquoi y consacrer un article ?

    Surtout que celui que vous nous offrez n’amène rien de plus à votre argumentaire.

    Ainsi ce bon sens populaire qui dit que les noirs courent plus vite que les blancs (si tant est que qu’une demi-seconde sur cent mêtres suffise à définir une race) et les blancs nagent plus vite que les noirs montre vite ses limites dés lors que l’environnement social s’en mêle.

    Ainsi, notre nouvelle championne de natation s’appelle Coralie Balmy et ne trouverait guère grâce à vos yeux comme miss France vu sa couleur de peau. Construisez des piscines dans les quartiers populaires de banlieue, dans les ghettos américains et vous aurez des champions de natation noirs  dans quelques années. Depuis que des écoles de rugby fleurissent, notamment à Massy, des jeunes de couleur s’intègrent à un sport réservé jusqu’ici aux Français du sud-ouest.

    Par ailleurs, ce raisonnement pourrait amener divers développements. Ainsi, existerait-il une "race hispanique" expliquant que les Espagnols et les Argentins courent plus vite que les Américains sur terre battue ?

    Je vous rappelle qu’il y a quelques années, un texte niant l’existence des races humaines a été signé par 600 scientifiques de renom, professeurs au collège de France, prix Nobel, Universitaires, sociologues, …Je n’ai pas honte d’être si bien entouré dans ma négation "d’évidences" dont j’attends que vous me donniez la démonstration scientifique. J’évoquais dans un autre post l’existence d’un "Livre vert des races de chiens" fort bien fait. J’attends que vous me donniez les références d’un "Livre vert des races humaines". Celles-ci relevant selon vous de l’évidence, comme pour les chiens, il ne devrait pas manquer de spécialistes patentés ayant publié un tel ouvrage. Comme vous le dîtes, si ces races sont démontrées, j’en prendrai note et considèrerai qu’il s’agit d’une diversité naturelle. Si l’espèce Néanderthalienne existait encore, je ne la nierais pas et me battrai pour qu’elle soit respectée.

    Par contre si vous vous en tenez à un "c’est évident" ou à un "tout le monde sait", inutile d’en écrire plus sur ce sujet et passez à une nouvelle idée reçue, histoire de varier les plaisirs.

    14 janvier 2009 à 15 h 53 min

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