Trump contre la corruption ploutocratique

Trump contre la corruption ploutocratique

De sa visite d’État à Bruxel­les, on peut dire que Trump est venu, a vu et a décidé.

L’Amérique d’abord, le concept de l’entre-deux-guerres complètement rénové avec Trump, consiste à décider souverainement de la politique américaine et à mener le monde libre par l’exemple, la technologie et le leadership.

Plus question de suivre dans ses délires et ses utopies ruineuses « l’opinion internationale » (c’est-à-dire la gauche transnationale).

Tous ces mondialistes, bardés de fausses certitudes morales, scientifiques et idéologiques, et aussi d’avantages très matériels, agissent comme si la mondialisation politique était achevée. Tout dissident à la doxa devient paria.

Et voici que Trump, à contre-courant de l’idéologie imposée, braque l’opinion internationale, une fois de plus, tandis qu’il enchante son électorat.

Un président qui tient ses promesses de campagne, c’est de l’inédit !

Les raisons économiques seules justifiaient le retrait des États-Unis des accords de Paris, nuls et non avenus, puisque fortement désapprouvés et donc non signés par le Congrès.

En refusant de participer au Fond Vert Mondial (qui doit percevoir 100 milliards de dollars par an et a déjà reçu d’Obama 1 milliard d’avance), Trump économise à son pays entre 2,5 et 3 trillions de dollars d’ici à 2035, empêche la destruction de 400 000 emplois industriels et assure aux consommateurs un avenir de factures énergétiques supportables.

Il défait le mal de son prédécesseur qui, lui, suivait les préceptes d’Alinsky et du couple Cloward-Piven : « rendre les factures énergétiques inaborda­bles pour miner la société ».

En même temps, Trump signale un retour en force du simple bon sens et rappelle que les États-Unis sont à la pointe du progrès en matière de production d’énergies fossiles désormais propres. L’opinion internationale a donc, là encore, 20 ans de retard.

Pourquoi 194 signataires, soit le monde entier, dont l’Iran et même la Corée du Nord, mais pas la Syrie ni le Nicaragua ?

Escroquerie mondialiste-type, d’envergure véritablement mondiale, dont les contribuables occidentaux inconscients font tous les frais, les « accords » sur le climat (qui ne sont pas un traité) ont plusieurs buts :
1) Redistribuer les richesses du « nord » vers le « sud » (les pays les plus intransigeants subventionnant éhontément les plus gros pollueurs en échange de leur consentement à un gouvernement mondial).
2) Empêcher la concurrence énergétique en condamnant à mort les énergies fossiles, tout en arrosant de milliards de dollars les grosses compagnies d’énergies dites « renouvelables ».
3) Confisquer le pouvoir, en établissant les bases de la gouvernance mondiale aux dépens des États-nations condamnés.

Tout cela pour quoi ? Les pays occidentaux auront été saignés à blanc avant qu’une improbable et infime influence puisse jamais être perçue sur les variations climatiques. Seront-ils toujours aussi fiers et heureux d’avoir tant sacrifié au sauvetage de la planète ? Et la planète qu’ils humanisent et divinisent à la fois, en païens infantiles, leur sera-t-elle seulement reconnaissante ? Elle ne fera que les enterrer tous.
Mais nous vivons des temps où les utopies collectives s’amoncellent, où les hystéries collectives se succèdent, où la guerre culturelle a produit une société profondément malade, aux valeurs inversées, un asile d’aliénés mondial où les rares gardiens de la raison, des traditions éprouvées et de l’ordre naturel sont insultés et honnis.

Le déluge de commentaires insanes contre Trump ne fait que confirmer le divorce entamé depuis longtemps entre l’UE et l’Amérique qui a élu Trump.

Chacune des décisions de Trump lui attire un surcroît de haine et d’incompréhension. Mais celle-ci particulièrement parce qu’elle affirme l’autre raison du retrait : sa vision légale et constitutionnelle de la politique. Trump ravive l’idée fondatrice américaine et un nationalisme populiste axé sur la souveraineté et l’intérêt national.

On en arrive à cette ironie que Trump est plus dans la ligne d’un De Gaulle que le nouveau président français antipopuliste imposé par le système mondialiste, tandis que le legs d’Obama est conservé par le tandem Macron-Merkel !

Ce que l’on vient de voir sur l’imposture climatique se répétera sur les autres sujets où le désaccord est profond, comme la révision prochaine du calamiteux accord avec l’Iran.

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Comments (1)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    c’ est le côté sympathique ( populiste disent les esprits branchés ) de Donald Trump

    7 juin 2017 à 11 h 48 min

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