Un prix Nobel politiquement incorrect

Un prix Nobel politiquement incorrect

Le docteur Watson, découvreur de l’ADN et prix Nobel, un des plus grands génies du siècle dernier, vient de compromettre son image médiatique en affirmant que les Noirs sont moins intelligents que les Blancs, et que c’est d’ailleurs pour cela que les programmes sociaux ou les réformes politiques ne marchent pas en Afrique.

Il n’y a pas un pays d’Afrique noire développé ou sûr, à part l’ex-Afrique du sud, dont la population compte trois millions de Blancs (mais pour combien de temps ?). Il n’y a pas de prix Nobel noir dans un domaine scientifique. Dans bien des domaines qui ne relèvent pas de l’irrationnel, du falsifiable justement (la culture…), cette inégalité des races est patente, ajoute notre savant.

Les crétins qui contestent cette thèse sont pourtant responsables des désastres humanitaires, économiques, écologiques, sociaux de l’Afrique. Depuis l’indépendance, on a laissé s’écharper les tribus et les peuples locaux, déforester un continent, se remplir les coffres des banques suisses, se gaver les ambassades parisiennes. En ignorant cette différence fondamentale, on a laissé se développer l’insécurité dans toutes les sociétés multiraciales : Colombie, Venezuela (États autant caraïbes que latinos), Afrique du sud et Brésil (50 000 morts par an tout de même), et bien sûr États-Unis (52 % des détenus sont des Noirs, pour 12 % de la population)
et maintenant, la France, où bien sûr, tous les chiffres ont été censurés.

En Amérique, la moitié des jeunes noires sont devenues des mères célibataires, puisqu’elles ont été assistées par l’État providence. Et une partie des jeunes sont devenus des criminels : il y a plus de Noirs en prison qu’à l’université. La faute à qui ? Ni au racisme ni au capitalisme : la faute aux programmes sociaux des démocrates. En revoyant le beau film “Ray”, sur la vie de Ray Charles, je ne pouvais que m’étonner de la dégénérescence de la communauté noire en Amérique, qui depuis les années soixante, a perdu son homogénéité, sa liberté (elle avait son propre capitalisme), son originalité et même son sens artistique (c’est l’indianiste Daniélou qui comparait les Noirs de cette époque justement à une caste, avec tous les privilèges qui vont avec).

Watson n’a, en aucun cas, tenu des propos racistes : il n’a pas parlé de la nécessaire domination des Blancs sur les Africains (Mugabe, tyran du Zimbabwe, a chassé les fermiers blancs : le pays est en état de famine, avec 10 000 % d’inflation et une insécurité vertigineuse), il n’a pas parlé de la supériorité des Blancs sur les Jaunes : on sait que ces derniers ont un QI supérieur au nôtre, et il n’y a pas de quoi s’en formaliser.
Ceux qui se formalisent de cela, ce sont les nouveaux fous de l’antiracisme mondialisé qui détruit les pays et les peuples les uns après les autres. Que sont la France de Gabin et l’Amérique de Bogart devenues ? Des Jurassic parks.
En 2050, les Blancs seront minoritaires dans les deux républiques modèles. Le politiquement correct a anéanti les cultures et les personnalités à coups de sermons, d’amendes, de peines de prison et de menaces pour obtenir cette race à prix unique dont parlait Bardèche. Et, en détruisant le pouvoir blanc, il a créé une nouvelle situation de guerre mondiale, dont les acteurs seront les Musulmans, les Chinois et les Turcs. Bien joué !

Comme Watson n’a peur de rien, il a aussi parlé des juifs. Il n’a pas parlé de leurs crimes ou de leurs perversions (il est plus politiquement incorrect que cela…), il a souligné l’extraordinaire qualité intellectuelle des juifs ashkénazes, qui ont ramassé un bon tiers des prix Nobel sérieux depuis un siècle. Leur présence en musique, dans le cinéma, la culture sérieuse, est incontestable. Je recommande à ce propos l’excellent livre “Jewish Mind” de Raphael Patai, qui parle justement de cette créativité, de QI, de ce goût pour l’étude et la science.
Encore cette année, les trois prix Nobel d’économie sont juifs. Et les médias font comme s’ils ne le savaient pas. Le seul à avoir osé le dire en France fut jadis Guy Sorman, dans les Vrais penseurs de notre temps. La moitié des savants interviewés étaient juifs ou d’origine juive (les élites allemandes chassées par Hitler qui en fit cadeau à l’Amérique dans les années trente).

On entend coasser les grenouilles, on entend croasser les corbeaux ! Feront-ils arrêter et torturer Watson ? Feront-ils brûler les livres des prix Nobel qui ont tenu les mêmes propos, tour à tour ignorés ou dénoncés par des médias dont la mission s’apparente de plus en plus à une crétinisation planétaire ?

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Comments (100)

  • Michael Répondre

    Malheureusement c’est vrai, il n’ya pas de prix nobel noir par contre je ne peux en aucun cas laisser planer le bruit d’une quelconque infériorité intellectuelle des noirs! Pour les plus curieux jeter un coup d’oeil sur ce lien: http://www.ladograve.com/histoires/inventeurs-et-savants-noirs

    16 janvier 2012 à 18 h 55 min
  • Albert Répondre

    @ Bibs

     

    – Je ne me livre ni à de la psychiatrie, ni à de la psychologie (qui sortent de mes compétences), je me contente de lire votre texte. Avec un peu d’expérience, n’importe quel élève de seconde est apte à déceler dans un passage écrit des idées ou des sentiments que le scripteur cherche à dissimuler, à travestir ou n’ose assumer…

     

    – Je ne vois pas en quoi votre tirade sur les éléphants ou les espèces animales contredit le caractère naturel (ou humain) du désir d’égalité, à la fois de la part de ceux qui sont en dessous, mais aussi de ceux qui, étant dans la moyenne ou au-dessus, cherchent précisément à aplanir les inégalités. Je pense que c’est même là que réside la spécificité de l’être humain, celui qui admet les inégalités (ou, pire, les recherche), n’étant, quant à lui, pas sorti de la sphère reptilienne…

     

    – «J’ai l’impression que les enfants des féministes […]. Je n’ai pas l’impression que ces différences soient entièrement  réductibles à l’éducation des parents, au contexte culturel, etc.» Justement : ce ne sont que des impressions ! Le féminisme est un mouvement récent, confiné à une infime partie des femmes, les enfants ne recevant pas seulement l’influence du milieu parental, mais aussi celui du reste de la famille, de l’école, du voisinage, des médias, etc. Or, cette influence, omniprésente et de sens contraire, s’exerce d’autant plus efficacement qu’elle est inconsciente, y compris sur les féministes elles-mêmes qui ont été élevées dans une atmosphère phallocrate – et qui, même à leur insu, ne peuvent s’empêcher d’en adopter les attitudes ou d’en reprendre les propos. Il n’existe pas de «nature» féminine, portée à être paisible, et une «nature» masculine, portée à être turbulente… Cela, ce sont des poncifs.

     

    [C’est sans doute là que gît le clivage droite/gauche : s’il existe des différences «naturelles» entre les sexes, ou entre les «races» et que ces différences se traduisent par des aptitudes, point n’est besoin de consentir d’efforts pour élever certains individus (femmes, nègres, pygmées) qui ne seront jamais capables des mêmes performances que d’autres (hommes, blancs, ashkénazes). Donc, plutôt que de voler l’argent des contribuables pour satisfaire leurs lubies constructivistes, les socialistes feraient mieux de le leur laisser pour des usages plus gratifiants : 4 x 4, télévisions à plasma, i-phones et statues en simili-marbre autour de la piscine…].

     

    – Les expériences de scanner (dont, au reste, vous ne fournissez pas les références), ne prouvent rien. Non plus, d’ailleurs, que les différences de niveau aux échecs. Encore une fois, il ne s’agit que de corrélations, pas de relations de cause à effet, que vous continuez à confondre. [C’est d’ailleurs pour ça que vous êtes de droite]. En outre, je récuse radicalement votre vision de l’histoire, centrée sur la politique, le militaire, les «élites», les «grands hommes» (rois, présidents, fondateurs de religions, savants, artistes…)… et, surtout, écrite par des hommes ! C’est avec une telle histoire (obsolète dans l’Université depuis les années 1930 !), histoire anecdotique, superficielle, mais propageant une pernicieuse idéologie – et que les jeux télévisés continuent imperturbablement de propager – qu’on formate les gens, près de 80 ans après, à voter Sarkozy… Lisez plutôt l’«Histoire des femmes» de Michèle Perrot, vous y apprendrez ce que vous n’avez pas envie de savoir…

     

    – Non seulement j’admets la différence des cultures mais je m’en réjouis ! Quant à la différence des sexes, je ne sais pas ce que c’est : rien de ce que vous m’avez dit (Q.I., IRM) ne sort du niveau de la corrélation et rien de ce que vous percevez comme différences (j’entends au point de vue de l’intelligence, des aptitudes ou des caractères) entre hommes et femmes qui ne soit, a contrario, imputable aux influences sociales. Quant aux «races», j’en parlerai lorsque vous m’aurez dit à quel moment se termine un «noir», à quel moment commence un «métis», à quel moment s’achève un métis et à quel moment commence «autre chose» : jaune, blanc, dravidien… J’en parlerai aussi lorsque vous m’aurez démontré que les réfutations de Murray, Herrnstein et autres Jensen (qui prétendaient, à l’issue de travaux pseudo-scientiques, «démontrer» l’inégalité des «races») n’étaient pas valides.

     

    – Je ne prends pas l’Occident pour le centre et la mesure de toutes choses, je le prends pour ce qu’il est : la civilisation qui, depuis le XVIe siècle, exerce sa prédation sur le reste du monde. Même si j’en fais partie, je ne m’en sens pas solidaire et ne le suis pas davantage qu’un Français, durant la dernière guerre, ne l’était de la légion Charlemagne…

     

    – Comme à maintes reprises, pour votre commodité, vous me prêtez des pensées que je n’ai pas. Je n’imagine pas que les autres sont sympas, laïcs, etc. Mais le fait qu’ils aient des tares et des turpitudes n’excuse en rien les tares et les turpitudes (bien supérieures) des Occidentaux. Et vous ne trompez personne lorsque vous prétendez vous placer du point de vue de l’étranger : en fait, vous continuez à vous placer de votre point de vue ! Car cet étranger, vous ne le choisissez pas n’importe où ni n’importe comment. Parmi les myriades d’exemples, vous allez pêcher le plus antipathique pour justifier votre animosité – non seulement envers lui, mais aussi envers tout les autres.

     

    Puisque ça a l’air de vous chagriner, je ne dirai pas que vous êtes parano, mais simplement de très mauvaise foi, en ce que vous biaisez systématiquement vos exemples, et ce, au moins à cinq reprises dans votre dernier passage.

     

    1. D’abord par la dissymétrie du recours aux principes : d’un côté, vous imputez systématiquement le bien dans le christianisme à ses principes iréniques, et, de l’autre, vous imputez non moins systématiquement le mal dans l’islam à ce que vous pensez être les principes mauvais de ce même islam. [Le mal dans le christianisme et le bien dans l’islam étant, eux, imputés à des facteurs inconnus…]. Ou vous procédez de même pour les deux, ou vous ne posez pas de principes du tout…

     

    2. Puis en ce que vous écartez soigneusement du christianisme tout ce qui fait ce qu’il est. D’abord la présence de l’Ancien Testament, que vous scotomisez totalement : d’une part, dans la pratique du protestantisme (où il est omniprésent), et, d’autre part, dans celle du catholicisme (où il apparaît dans le canon de la messe). Or, cet Ancien Testament est, de bout en bout, traversé par la violence… Ensuite à la déformation, au gauchissement, à l’adultération des christianismes catholique et orthodoxe par l’introduction de la philosophie grecque (par les Pères grecs et latins, puis, plus tard, par les Docteurs latins), et, d’autre part, par son empressement à revêtir les défroques de l’empire romain (et il n’est pas innocent qu’on appelle le pape le pontife), puis à se glisser dans ses brodequins et à manier sa trique…

     

    3. Ensuite par ce qui fut la pratique même d’une religion. C’est faire preuve d’une mauvaise foi insigne que d’omettre les pratiques de Saladin (par exemple lors de la reprise de Jérusalem) ou la tolérance de l’islam envers les juifs ou les protestants hongrois ou autrichiens, d’une part, et, d’autre part, de regarder hypocritement ailleurs quand on vous met le nez dans les turpitudes du christianisme ! Car ça leur faisait une belle jambe, aux millions de païens, schismatiques, hérétiques, athées, libres-penseurs, tenants d’autres religions et dissidents de toute sorte, spoliés, emprisonnés, humiliés, battus, torturés, mutilés, pendus, décapités, brûlés (par toutes les branches du christianisme), ça leur faisait une belle jambe de se dire que le christianisme était une religion d’amour ! Parce que toutes ces avanies – j’insiste bien là-dessus – furent toujours justifiées au nom du christianisme… Et ce qui importait aux gens, c’était la pratique, pas les principes !

     

    4. Vous biaisez aussi dans l’exemple du sondage réalisé par le magazine marocain «Tel quel», notamment dans la présentation du dernier item : «Etes vous d’accords avec les mouvements djihadistes?" : 17,6% de oui, 32,2% "ne sait pas", 20,8% de "sans opinion". Seulement 28,9% ne sont pas d’accord avec les mouvements djihadistes». Ce qui est particulièrement malhonnête dans votre manipulation, c’est que vous tirez du côté des mouvements djihadistes les 32,2 % de «ne sait pas» et les 20,8 % de «sans opinion» du côté de ces djihadistes, alors que – précisément en raison du libellé de ces opinions (ou, plutôt, de ces non-opinions») – l’intégrité voudrait soit qu’on les neutralise (auquel cas, les 17,6 % de oui se trouveraient face aux 28,9 % de non, c’est-à-dire, rapporté à ces deux seuls chiffres, qu’on aboutirait à un partage de 62 % à 38 % en défaveur des djihadistes), soit qu’on partage équitablement les «32,2 + 20,8» entre les deux opinions extrêmes, ce qui donnerait, en faveur des djihadistes, 44,1 %, et, contre eux, 55,4 %, ce qui, là aussi, ferait une majorité nette hostile aux dhihadistes. Dans l’un comme dans l’autre cas, on aboutirait précisément à l’inverse de ce que vous voulez «démontrer», à savoir que la société marocaine serait favorable aux djihadistes…

     

    5. Les exemples de conflits que vous alléguez sont tout aussi spécieux, et ce à tous les égards. D’abord en ce que vous imputez à une cause unique (la religion), et, à l’intérieur de cette cause, à un seul des protagonistes (le musulman), ce qui relève de myriades de causes différentes, sociales, économiques, politiques, qui jouent à la fois sur des temporalités et sur des registres différents selon les pays. Ensuite parce que nombre d’exemples que vous choisissez aboutissent précisément à l’inverse de ce que vous prétendez établir ! Exemples non exhaustifs :

     

    – En Bosnie, le massacre de Srebrenica, en 1995, a été l’œuvre de Serbes (ou de Bosno-Serbes) orthodoxes perpétré CONTRE les musulmans.

     

    – En Inde, les musulmans sont une minorité de 12 % face à une majorité de 82 % d’hindouistes, fanatiquement religieux (Gandhi a été assassiné par un hindouiste), et c’est notamment depuis 1992 et la destruction de la mosquée d’Ayodhya par les hindouistes, et l’envenimement de la situation par le BJP, aussi bien dans l’Uttar Pradesh que dans l’ensemble de l’Union indienne, que les choses ont tourné au vinaigre. Quel intérêt les musulmans auraient-ils de provoquer une majorité écrasante et très mal disposée contre eux ?

     

    – Dans le sud de la Thaïlande, d’une part, les musulmans sont d’une ethnie malaise, parlant le jawi, une langue locale, et n’appartenant pas, au début du XXe siècle, au royaume du Siam. Ce que vous imputez à la religion relève bien plus logiquement de questions nationales comme il en existe n’importe où dans le monde. [D’autant plus, d’ailleurs, que, sur les 2,3 millions de musulmans thaïlandais, 500 000 vivent dans le Grand Bangkok sans problème]. En outre, le sud de la Thaïlande est une zone économiquement déprimée, ce qui explique assez bien les troubles, sans invoquer une hypothétique machination islamiste…

     

    – Pour ce qui concerne la Tchétchénie (dans le Caucase), il ne faut ni inverser les causes, ni attribuer à une cause ce qui relève d’une autre ! Il ne faut pas oublier que les Russes menèrent, au début du XIXe siècle, une féroce guerre de conquête, à laquelle, durant plusieurs décennies, les Tchétchènes opposèrent une résistance farouche. Et qu’en 1944, ces mêmes Tchétchènes furent déportés en masse par Staline. Ce qui se joue là est une guerre de libération nationale, qui s’appuie sur la religion, pas d’une fraction du «complot islamique mondial»…

     

    – En Mauritanie, je ne vois pas où sont les non-musulmans. Le pays est entièrement musulman, de même que ses trois voisins (Maroc, Algérie, Mali, Sénégal) sont également musulmans, et les massacres – réciproques – qui, de 1988 à 1992, ont, entre autres, opposé Peuls mauritaniens et Soninkés sénégalais ne concernèrent que des musulmans.

     

    – Enfin, au Soudan, je vous trouve bien imprudent d’interpréter les actuels conflits comme un conflit entre l’islam et les autres religions. Il y entre bien d’autres éléments, notamment des interventions de pays voisins, notamment du Tchad…

    7 janvier 2008 à 0 h 08 min
  • bibs Répondre

    De la psychologie de comptoire encore une fois. meme pas envie d’y repondre.

    L’espece humaine est une espece animale  parmi d’autre. Fais ta petite revolution copernicienne…

    Il n’est pas moins naturel d’inventer l’avion pour aller au bout du monde que d’utiliser un baton pour attraper des termites et les manger.  Il n’y a pas de difference de nature entre un nid d’hirondelle et une maison. Le baton est chez l’homme certe plus gros et  plus complexe qui chez le chimpanzée,  c’est tout.

    L’espece humaine plus que les autres espece animal a suivi un shema d’évolution de domination de son environnement par l’intelligence. Il ne s’adapte pas il adapte son environnement a ses besoins.  Il est naturel pour une espece animale  ayant dévelopé au fil de son evolution des capacité cognitive qui le rende apte a prendre conscience de sa propre mort, ou de la complexité de son environement  ( d’ou vient l’orage? etc) de créer une religion qui puisse le rassurer. Il probable que les elephants aient dévellopé des forme de rituels liés a la mort (il meurent dans des lieux "sanctuaires").

    Il est naturel pour une espèce evoluant en communauté  de fixer des règle en matière de sexualité, de succession, de role des individu etc qui soit consciement integré par ses membres. Non on ne viole pas une fille denudé sur la plage, comme le chevreuil ou l’ourang outan ne se tape pas la femelle qu’il veut. Toute espece gregaire créé des code sociaux plus ou moins sophistiqué.

    "Depuis quelques années, la conduite des hommes s’est «féminisée» en ce qu’elle a tendu, précisément, à être moins agressive, moins pathologiquement portée sur la vitesse. "

    ce serait pas la loi qui se serait un peu "virilisé" concernant la securité routière? j’ai l’impression que les enfant des feministe ressemblent a s’y meprendre aux enfants des sale phalocrates:en moyenne les filles sont plus calme, jouent a la poupée, les garcon se bagarrent et joue avec des pistolet .  Je n’ai pas l’impression que ces difference soient entierement reductible a l’education des parent, au contexte culturel etc.

    Les scanner mesurant l’activité cerebrale permet de distinguer instantanément et avec certitude un  homme et une femme meme sur le traitement d’une operation mathematiques. Il n’y a toujours pas, je le rappelle, de competition mixte aux echecs. Alors meme que ce jeu est enseigné a l’ecole et au lycée comme une matiere a part entiere en russie, il n’y a pas de femme parmis les meilleur joueur.

    Si les comportements sont entierement codifié socialement, on est d’accord avec le sympathique president iranien quand il dit: il n’y a pas "d’homosexuels en iran".

     "cessez de prendre l’Occident pour le centre du monde et la mesure de toutes choses … "

    fais de meme.

    admet la difference des cultures, des sexes, des races. Admet les differences. Sors de ta vision centrée sur l’homme blanc chretiens occidental dont tout procède en bien comme en mal. Sors de l’idée que le monde  est le seul produit des acte et du regard de l’homme blanc.  Au lieu de te poser la question: " comment vois je l’Autre? pose toi la question inverse: comment l’Autre me voit?"

    Accorde a "l’Autre" la possibilité d’avoir un regard autonome, un jugement qui ne procede pas de ton jugement .Accorde a l’Autre la possibilité d’avoir un jugement autre.  

    Ne pars pas du principe qu’il est laïc, sympa, tolerant et ”citoyen du monde”. L’extreme majorité des peuple de la terre ne se definissent pas comme "citoyen" mais comme sujet d’un roi, heritier d’un clan, croyant de la religions vraie etc.

     Quand tu sera sorti du délire selon lequel, la terre entiere pense plus ou moins comme toi tu comprendra qu’une culture pratiquant l’exision ne fait pas  que mutiler les petite fille.  Elle distingue les fille vertueuses et les trainées. Elle defini par consensus social la fille non exisée comme une pute, une chienne en chaleur etc 

    Comment un homme elevé en afrique dans une culture qui pratique l’exision voit il les fille occidentale? 

     pense tu qu’un individu elevé dans une culture ou les femme non exisée sont vue comme des putes aura le meme comportement une fois débarqué en france qu’un norvégien? 

    Si l’inertie culturelle te semble si puissante pour expliquer le fonctionnement actuel de l’occident ( role des femmes etc) admet que l’inertie culturelle soit au moins aussi forte parmi les autres cultures.

    Admet qu’un musulman croyant te voit comme un mécréant, un infidèle, un kuffar, un inferieur.

    Comment un musulman pratiquant voit il les filles occidentale? voila une question que tu devrais te poser. Comment nous voit il?

     les texte islamique sont eux meme violent, mahomet, modele de vertu pour les croyant, a egorgé de ses mains les 800 homme de la dernieres tribu juive de medine ( les femme et enfant ont eté reduit en esclavage), commandité d’assasinner des caricaturiste, dont un centenaire egorgé dans son sommeil.

    On est loin tres loin de  jesus sur sa croix, ou jesus ne jetant pas la premiere pierre… Mahomet lui meme a fait lapider des femmes adultere.

    Les islamistes ne sont malheureusement pas en opposition avec la religion originelle. La totalité des verset pacifiques du coran datent de la periode méquoise et sont  abrogé et sans valeurs.

    evidement tu va dire que je suis parano – de la psychatrie toujours-  et que les islamiste sont une petite minorité etc…

    Un sondage du magazine marocain "tel quel" realisé au maroc, sur la pratique des musulmans du maroc, tes futurs voisin ( j’imagine que tu n’aime pas hortefeux facho qui risque de renvoyer au maroc les sympatique clandestins qui en emigre):

     

    57%  désapprouvent la mixité sur les plages

                                                

    83%  approuvent le port du voile

                                         

    40%  refusent toute interaction entre juifs marocains et musulmans marocains

                                   

    44%  sont favorables à la polygamie

                                       

    61%  n’acceptent pas la cohabitation entre croyants et non croyants

                                                         

    75%  refusent qu’un musulman change de religion

     

    49,8% des 18-24 ans se définissent d’abord par leur identité musulmane, l’identité marocaine venant au second plan.

                                           

    66%  pensent que dans l’islam il y a une solution à tout (médecine, science, économie, politique, technologie)

                                                   

    21%  des jeunes approuvent les mouvements djihadistes, 17,6 pour la population totale.

     La question initiale est "êtes vous d’accords avec les mouvements jihadistes?" : 17,6% de oui, 32,2% "ne sait pas", 20,8% de "sans opinion". Seulement 28,9% ne sont pas d’accord

    avec les mouvements jihadistes.

    40% des musulman anglais souhaitent instaurer la loi islamique en angleterre.

    Et 20% eprouve de la sympathie pour les motivation des attentats de londres en 2005.

     

     http://www.telegraph.co.uk/news/main.jhtml?xml=/news/2006/02/19/nsharia19.xml&DCMP=EMC-new_19022006

    Apprend ce qu’est l’islam. Lis les textes. l’islam jusqu’a preuve du contraire, c’est mahomet, pas saladin.

    aucun pays n’a connu de cohabitation pacifique entre musulmans et non musulman. Aucun. la bosnie, l’inde, le sud de la thailande, le soudan, la mauritanie, le caucase les frontiere du monde musulman sont sanglantes  etc etc etc etc .

    Tu peux penser que les occidentaux on tué aussi. ce n’est pas faux mais ca ne regle pas le probleme, ca l’agrave.

     

     

    4 janvier 2008 à 21 h 24 min
  • Albert Répondre

    @ Bibs

     

    Je reviens sur quelques-uns de vos points :

     

    – «Non, je n’ai aucune passion des inégalités […]. Je les constate sans m’en réjouir». Ce qui est édifiant, dans cette formulation, c’est le choix des deux verbes, et d’abord du second : se réjouir. Pourquoi ce choix est-il édifiant ? Parce que, contrairement à ce que vous affirmez, il atteste que, justement, vous tirez satisfaction des inégalités (et je ne suis pas loin de penser, même si cela paraît paradoxal, y compris lorsque ces inégalités vous affectent…). En effet, face à un ami qui vous apprendrait qu’il a une grave maladie, diriez-vous : «je constate que tu as un cancer, mais je ne m’en réjouis pas» ? J’imagine plutôt que vous emploieriez un verbe fort, exprimant un sentiment «négatif», comme être navré, horrifié, consterné, affligé, abattu, etc.

     

    Or, dans le cas de l’inégalité, le verbe qui vous vient spontanément à l’esprit est «se réjouir», qui exprime, lui, un sentiment positif, approbateur, consentant… sentiment dont vous pensez rattraper l’impression fâcheuse en niant l’éprouver. Mais cette négation est le minimum de ce que vous pouvez faire ! Elle rappelle la réaction du Parti communiste qui, en août 1968, après l’invasion de la Tchécoslovaquie, avait exprimé sa «désapprobation» (et, dans «désapprobation», il y a «approbation»…). Or, face à des situations scandaleuses (et l’inégalité sociale en est une), la tiédeur n’est pas de mise : si la réaction n’est pas radicale, c’est qu’elle penche nécessairement de l’autre côté…

     

    Et ce qui confirme cette approbation, c’est le choix du premier verbe («constater»), car il est des «constatations» qui constituent des alibis commodes à des assentiments qui n’osent s’avouer… [Comme dans «Vol de nuit», où Rivière punit les pilotes pour manquement au service, même lorsque le mauvais temps les empêche de décoller, car il sait qu’ils se réjouissent intimement que cette force majeure (qu’ils ne peuvent que «constater»…) leur épargne l’épreuve du vol.] Et, ce qui le corrobore, c’est que, dans la suite de votre propos, vous ne semblez pas très désireux d’abolir les inégalités en question…

     

    Je trouve, en effet, que vous invoquez bien commodément la nature alors que, précisément, rien de ce que fait l’homme n’est «naturel». Est-il «naturel» que l’homme, qui n’a pas d’ailes, vole ? Est-il «naturel» que l’homme, dont la voix porte au mieux à quelques centaines de mètres, parle à son semblable à l’autre bout de la Terre ? Est-il «naturel» que l’homme soigne des vieux qui, économiquement, ne servent plus à rien ? Est-il «naturel» que, sur une plage, l’homme qui voit une femme dévêtue ne lui saute pas dessus? Est-il «naturel» d’avoir une religion ? En quoi abolir les inégalités est-il moins «naturel» qu’abolir les insuffisances physiques de l’être humain ?

     

    – «Il n’y aura jamais la parité totale dans le monde scientifique…». Cette phrase est étonnante, ne serait-ce que parce qu’elle est formulée ! En effet, en quoi cela vous gêne-t-il que les femmes acquièrent la parité dans les sciences ? Et, à la limite, en quoi cela vous gêne-t-il qu’elles y occupent la position prépondérante que les hommes y ont occupée depuis les origines ? En quoi cela en quoi cela vous gêne-t-il puisque, d’après vous, les hommes ont inventé des machines et des produits utilisés par les deux sexes ? Pourquoi les femmes ne prendraient-elles pas le relais ? J’ai le sentiment très fort que votre affirmation (que vous n’étayez d’ailleurs pas) relève moins de la constatation navrée que du souhait ardent que les femmes n’acquièrent à aucun prix la parité…

     

    – «Qui croit qu’un jour la parité sera réalisée parmi les braqueurs de banques ? Les agresseurs de vielles dames ? Les assassins d’enfants ? Pensez vous sincèrement que ça pourrait un jour être le cas ?» Stupéfiante affirmation ! Pourquoi, en effet, n’imaginez-vous pas l’inverse ? Pourquoi les hommes ne s’adouciraient-ils pas ? Pourquoi n’adviendrait-il pas, en matière de délinquance violente, ce qui est advenu en matière de délinquance routière ? Pendant longtemps, en effet, les femmes avaient beaucoup d’accidents, mais bénins, alors que les hommes avaient peu d’accidents, mais graves. Depuis quelques années, la conduite des hommes s’est «féminisée» en ce qu’elle a tendu, précisément, à être moins agressive, moins pathologiquement portée sur la vitesse.

     

    – «Si 50% des chercheurs de haut niveau ne sont pas des femmes c’est la preuve qu’on est dans une sale société phallocrate». Pourquoi seulement 50 % ? Pourquoi pas la totalité ? Effectivement – et ne vous en déplaise –nous sommes toujours dans une société phallocrate. Un peu partout dans le monde, les femmes n’ont eu le droit de vote que bien après les hommes (en France depuis 1944). Dans les partis politiques, les responsables préfèrent payer des amendes plutôt que d’accorder la parité sur leurs listes. Et la science elle-même n’échappe ni au mandarinat ni à la phallocratie… L’évolution psychologique de l’humanité est semblable à la course d’un supertanker : l’inertie y est très forte. Il faut plusieurs kilomètres pour stopper ou changer de direction. Or, seulement en Occident (le plus en pointe, actuellement) l’accession des femmes aux domaines réservés aux hommes ne date que de quelques décennies. Qu’est-ce que cela représente après des millénaires de sujétion ? Il faut laisser du temps au temps. Déjà les femmes occupent de plus en plus de postes – et de plus en plus haut placés – dans l’enseignement, la magistrature, la médecine ou les affaires, ce qui aurait été inconcevable au sortir de la guerre…

     

    Dans l’expression «préférer le christianisme à l’islam», que signifie «christianisme» ? C’est le moment de faire dans la nuance, vous qui vous en targuez si fort…

     

    – Que signifie christianisme, lorsqu’on sait que ses trois branches se sont, durant des siècles (depuis 1054 au moins pour l’orthodoxie, depuis 1517 pour le protestantisme), combattues avec un acharnement extraordinaire ? Que signifie «christianisme» lorsque, à la veille de la chute de Constantinople, les orthodoxes nourrissaient une telle haine des catholiques qu’ils préféraient voir dans leur capitale le «turban turc plutôt que la mitre latine» ? Et de quel christianisme s’agit-il, lorsque, sous ce nom-là, se sont regroupées des conceptions parfois radicalement opposées, dans tous les domaines, du monde et du rapport au monde ? S’agit-il du christianisme du salut par la grâce ou du salut par les œuvres ? Du christianisme d’Augustin et de Jansénius ou de Pélage et de Molina ? Du christianisme des iconoclastes ou des iconodoules ? Du christianisme d’Abélard ou de Bernard de Clairvaux ? Du christianisme de Torquemada ou d’Anselme de Canterbury ? Du christianisme de Calvin ou de Servet ? Du christianisme des arminiens ou des gomaristes ? Du christianisme de Las Casas ou de Sepulveda ? Du christianisme de Rancé ou de Mabillon ? Du christianisme de Bossuet ou de Richard Simon ? Du christianisme du cardinal de Bernis ou de Benoît-Joseph Labre ? Du christianisme de l’abbé Mugnier ou de Karl Rahner ? Du christianisme de la théologie de la libération ou de l’Opus dei ? Du christianisme de Leonardo Boff et Eugen Drewermann ou de Joseph Ratzinger et Camillo Ruini ? Du christianisme d’Escriva de Balaguer ou d’Helder Camara ?

     

    – Vous avez, par ailleurs, de l’islam, une vision totalement caricaturale. Autant que je sache (mais vous me démentirez sans doute…), si la prise de Jérusalem par les croisés, en 1099, fut marquée par un bain de sang (y compris contre des non musulmans), sa reprise par Saladin, en 1187, ne donna lieu qu’à une rançon de 30 000 besants. Autant que je sache, les juifs chassés par les Rois Catholiques en 1491 ne trouvèrent de refuge et de paix que dans l’empire ottoman, au point que, quatre siècles plus tard, nombre de ces familles conservaient encore, même en dehors de cet empire, un passeport turc en reconnaissance (comme l’atteste Elias Canetti dans ses souvenirs). Autant que je sache, durant toute la durée de la Contre-Réforme catholique, et jusqu’au règne de Léopold Ier, l’empire ottoman offrit un refuge aux protestants hongrois et à tous les sujets persécutés de l’empire habsbourgeois. Autant que je sache, jusqu’à une époque très récente, la religion catholique a traité de façon abominable les femmes simplement soupçonnées de mauvaise vie. Le film The Magdalene sisters, relate l’histoire d’une institution… qui ne fut fermée qu’en 1996 ! Autant que je sache, l’Eglise catholique s’est radicalement prononcée contre l’usage du préservatif (sans pour autant proposer d’alternative réaliste), ce qui, en connaissance de cause, a condamné des millions de gens aux MST… Autant que je sache, ce n’est pas l’islam qui a théorisé l’antisémitisme ni inventé la Shoah…

     

    – A propos des «préférences» : où avez-vous vu que j’exigeais une «préférence» envers l’Islam ? Vous vous fabriquez à bon compte une existence de persécuté en vous inventant des oppressions imaginaires ! Je ne vous en demande pas tant : je suis moi-même pleinement content de vivre en France, et je n’envisage rien d’autre. Depuis le début, je ne demande qu’une chose, très modeste : accomplissez votre révolution copernicienne, cessez de prendre l’Occident pour le centre du monde et la mesure de toutes choses …

    3 janvier 2008 à 23 h 08 min
  • bibs Répondre

    Non, je n’ai pas la "phobie" de l’égalité. Non, je n’ai aucune passion des inégalité entre les individus, entre les race, entre les nations, entre les cultures, entre les hommes et les femmes. Je les constate sans m’en rejouir.

    Je constate que l’égalité n’est pas le phenomene le plus repandu dans la nature. Et je doute que la nature humaine échappe totalement aux lois, aux pesanteurs, à l’héritage de la nature tout court.

    Pourquoi les hommes sont physiquement  plus forts que les femmes? pourquoi les hommes ne peuvent physiquement pas allaiter?

    Parce que  males et femelles ont évolué par répartition des roles depuis  l’apparition de la reproduction sexuées. Cette specialisation des role s’enracinent au plus profond de nos identité et ne seront probablement jamais entierement dépassé.

    Il n’y aura jamais la parité totale dans le monde scientifique, comme il n’y aura jamais la parité totale dans les prisons.

    Si les comportement etait déterminé uniquement socialement et culturellement, une culture d’égalité homme femme affirmé de maniere constante devrait ammener la parité autant à fleury merogis qu’au palais bourbon.

    Qui croit qu’un jour la parité sera réalisée parmi les braqueurs de banques? les agresseur de vielles dames? les assasin d’enfant? Pensez vous sincerement que ça pourrait un jour etre le cas?

    Il y a une difference immense entre  vouloir que toutes les femmes qui ont la capacités d’apporter des elements nouveaux dans les science puissent suivre une carrière dans la recherche, et affirmer : "si 50% des chercheurs de haut niveau ne sont pas des femmes c’est la preuve qu’on est dans une sale société phalocrate".

    Un peu de nuance ne tue pas. je ne suis pas a t’expliquer toutes les deux phrase que tes opinions relevent de la psychiatrie. Merci de faire de meme.

    preferer spengler à marx, preferer weber à durkheim, preferer le christiannisme à l’islam, preferer les culture européennes aux cultures africaines ne sont pas des choix qui relevent de la psychiatrie. Pas plus que les choix inverses d’ailleurs. 

     on ne peut pas affirmer  la "diversité", un "droit  a la difference" sans accorder en contrepartie un droit à la "preference", le droit légitime d’aimer ou de ne pas aimer telle ou telle cultures, telle ou telle religions. 

    Libre à toi de defendre une religion qui prone la lapidation des epoux adulteres, la mise à mort des apostats, la soumission des mécreants à la loi islamique, et l’egorgement de dessinateurs entre autres joyeusetés, libre a moi de ne pas trouver ça bien folichon.

    certe ce jugement est un prejugés culturellement situé et daté, mais je refuse qu’il soit moins legitime que les préjugés issues de la civilisation pygmée ou lapone.

     

     

    2 janvier 2008 à 17 h 00 min
  • Albert Répondre

    @ Bib

     

    Lorsqu’on suit une pente, on la suit dans tous les domaines. Dans le cas de l’extrême droite (dont vous êtes un bon échantillon), cette pente est celle de la quête pathologique de l’inégalité, du désir obsessionnel de hiérarchies : entre individus, entre collectifs, entre hommes et femmes, entre «races», entre «élite» savante et masse ignare (qui descend dans la rue brandir des banderoles), voire entre domaines du savoir (les mathématiques et sciences «dures» étant arbitrairement décrétées «supérieures» aux lettres…), etc.

     

    Et, de même que l’étude d’un dialecte révèle le type de civilisation où elle a baigné, le vôtre témoigne de l’univers mental où il s’enracine, celui la petite bourgeoisie mâle et droitière de la première moitié du XXe siècle, des Expositions coloniales (où l’on exhibait des Noirs à côté des singes), faraude de sa «supériorité» industrielle et technologique, crispée dans son refus de promotion des femmes, un univers où l’on étalait ingénument son antisémitisme, son racisme et son machisme – comme, ingénument, un rustre pète, rote et se cure le nez en public.

     

    La caractéristique de cette mentalité est de prendre le contingent pour le nécessaire («c’est comme ça, ça a toujours été comme ça, et ça ne pouvait pas être autrement»), de confondre corrélation et relation de cause à effet (si les femmes n’ont rien produit, c’est qu’elles en sont incapables), de procéder par raisonnement circulaire (les Noirs sont délinquants… parce qu’ils sont noirs !), de mêler jugement analytique et jugement synthétique (croire que l’attribut «délinquant» est contenu dans le sujet «Arabe»), d’identifier contraire et contradictoire (s’imaginer que si l’on n’est pas pour Bush on est pour Ben Laden), etc. Bref, d’être de bout en bout préscientifique, ce qui fait, d’ailleurs, qu’elle est d’extrême droite…

     

    [Plus largement, cette mentalité présente un autre caractère, que vous avez dévoilé par une rafale de questions, où l’on sentait croître l’exaspération : «C’est quoi un métis ? C’est quoi un être humain ? C’est quoi un enfant ? C’est quoi une race ? C’est quoi un gène ? C’est quoi une question ?». Cette exaspération traduisait votre refus (conséquence de votre incompréhension) d’un tel questionnement, dont la démarche n’est autre que celle de la philosophie. Or, par essence, cette démarche se situe à l’opposé de votre manière de voir, en ce qu’elle ne tient précisément pas pour évident ce que vous tenez pour tel, et ne décrète donc pas, a priori, que «c’est comme ça». Mais a-t-on besoin de philosopher lorsqu’on dispose d‘aspirateur sans sac, de poêle antiadhésive, de couches jetables, de tampons hygiéniques et de villas en matériaux composites avec installation vidéo ? Greffée sur TF1, bien entendu…].

     

    Or, en un peu plus d’un demi-siècle (de 1904 à la fin des années 1960), le petit bourgeois droitier, blanc et mâle a vu s’écrouler ses raisons d’être : la culpabilité de Dreyfus, l’emprunt russe, l’empire colonial, le bordel de province, l’éducation à la trique, la messe en latin, le patronat de droit divin et la bonne qu’on engrosse dans l’office avant de la virer comme une traînée. On comprend que ça l’angoisse ! Pour se rassurer, il s’est forgé une «supériorité» de substitution : en s’assimilant à une catégorie réputée «supérieure» (celle du mâle ou du «blanc»), il s’est imaginé participer à ses mérites et se retrouver ainsi à un niveau supérieur aux meilleurs de la catégorie «inférieure». Soit, en d’autres termes : ce noir ou cette femme ont beau avoir l’agrégation (que je n’ai pas), ils n’en sont pas moins des singes savants, donc, en dernière analyse, «inférieurs» à moi…

     

    Et comme toutes les catégories sur le déclin, il se raidit d’autant plus qu’il se sent plus menacé. A cet égard, il est notable qu’il fasse la part du feu quand il ne peut contester l’évidence («l’intelligence féminine produit de meilleurs élèves»), encore qu’il ne lâche cette concession que du bout des lèvres, et, on le sent, à regret («l’égalité homme femme est possible et souhaitable»*). Mais, tout aussitôt, c’est pour se retirer sur des donjons qu’il croit inexpugnables («L’intelligence féminine produit de meilleurs élèves et de moins bons chercheurs», «Sur les très hauts QI, supérieurs à 160 il y a plus de 80 % d’hommes»). [*Les féministes rétorqueraient à bon droit qu’elles n’ont rien à faire de ces souhaits ou de cette permission …]. Je termine par quelques mots sur vos deux derniers points :

     

    «Penser qu’en descendant avec des banderoles dans la rue une femme noire issue de l’immigration pygmée aura la même probabilité de devenir mathématicien qu’un homme juif ashkénaze est une idée assez irréaliste ». Il y a, dans cette tirade, deux aspects divertissants :

     

    – D’abord l’expression désordonnée d’une hargne qui vous fait jeter dans le même chaudron tout ce que vous interprétez comme une atteinte à votre vision du monde, à savoir l’intrusion dans un domaine sacré (les mathématiques) de quelqu’un qui, non seulement n’y a pas droit (une femme), mais qui, de surcroît, est noire (et même noire superlativement, puisque pygmée – ce qui en dit long sur le fantasme physique qui apparaît comme modèle en creux), une noire indûment en France (puisque immigrée) et dont la place de mathématicienne (il est d’ailleurs significatif de votre animosité que vous n’ayez pas même daigné accorder le mot au féminin…) ne serait pas due à ses mérites (puisqu’elle n’en a pas !) mais à des manifestations gauchistes, en faveur d’une égalité abhorrée, sur le modèle de «l’affirmative action» …

     

    – Ensuite le renversement de perspective que vous manifestez, et qui trahit votre phobie de l’égalité. Il y a, certes, peu de femmes mathématiciennes de haut niveau, encore moins de noires, et encore moins de pygmées ! Mais l’extension du savoir à des catégories qui jusqu’à présent n’y avaient pas accès devrait vous réjouir puisque c’est un enrichissement de l’humanité (dont, indirectement, vous profitez). Or, c’est tout le contraire qui se produit : lorsque vous envisagez cette possibilité comme «irréaliste», on sent que ce n’est pas un «irréalisme» que vous déplorez (comme le serait l’hypothèse d’une éradication des maladies) mais un «irréalisme» dont vous appréhendez la «réalisation», comme si celle-ci (qui, objectivement, ne vous ôte rien), vous privait néanmoins de quelque chose. [Considérations, bien entendu, sans préjudice de la preuve de la validité de l’excellence en maths comme critère d’intelligence supérieure, ce qui n’est rien moins que démontré…].

     

    «Bref, que des blancs et des juifs parmi tes chercheurs qui nous réconcilient avec le génie africain.». Si j’avais cité des chercheurs africains (ce que j’ai évité), vous auriez dit : «Pas étonnant qu’ils cherchent à valoriser l’Afrique, ce sont des Nègres !». J’ai privilégié des Européens. Réponse n° 1: «Evidemment, ce sont des blancs !» (Sous-entendu : les Africains sont trop bêtes pour entreprendre de telles études). Réponse n° 2 : «Evidemment, ce sont des juifs !» (Sous-entendu : ce sont des subversifs nés, qui ne cherchent qu’à miner notre belle civilisation). Est-il possible d’être de plus mauvaise foi ?

    30 décembre 2007 à 21 h 47 min
  • Anonyme Répondre

    SAS : " A manceney……outre que j’attend toujour tes excuses pour jean claude lahitte notre ancien…."

    Ton Altesse, je vois que tu n’as toujours pas compris :
    1 –  Il n’y a pas eu d’offense intented, donc il n’y aura pas d’excuse.
    2 –  TU fais passer Jean Claude pour un imbecile en tentant  de faire croire qu’il a besoin d’aide.

    Got it, stupid?

    Best,

    Mancney

    29 décembre 2007 à 17 h 59 min
  • BIB Répondre

    la science n’est pas faite par "les hommes" mais par une infime minorité d’individu dont ni toi ni moi ni aucun intervenant d’ici ne fait parti.

    De fait parmi cette infime minorité se trouvent peu de femme. C’etait vrai hier ca l’est toujours aujourd’hui, ça  le sera toujours demain. Il se trouve que la pensée scientifique de rupture, c’est a dire la capacité  de créer des concept nouveau, suppose une capacité inventive qui favorise l’intelligence masculine. L’intelligence feminine produit de meilleurs élève et de moins bon chercheur. C’est d’ailleurs un problème en terme de selection universitaire qui privilégie la capacité de comprehension d’un phenomène à  la capacité créative.

    Il n’y a pratiquement pas de femmes au concour lépine. Quoique confinées pendant des siècle dans les tache menagere, il n’y a pas une seule invention  utile dans ces domaine, – de l’aspirateur sans sac à la poelle anti adhesive ou à  la couche jetable, qui fut le fait d’une femme. Meme le tempon hygienique fut inventé par un homme.  

      Il n’y a pas de competition mixte aux échec en raison d’un écart de niveau entre homme et femme trop important.

    Sur les tres haut QI, superieur a 160 il ya plus de 80% d’homme. Population qui ne represente qu’un dix millieme de la population generale – dire "les hommes" n’a donc pas grand sens.

    Dans la vie quotidienne, dans la vie de couple, dans la vie sociale courante l’égalité homme femme est possible et souhaitable. Mais esperer que cette égalité se traduise par une égale representation des homme et des femmes dans les secteurs de  pointe de la recherche et des mathematique est un voeu pieux. Penser qu’en descendant avec des banderole dans la rue une femme noir issue de l’immigration pygmée aura la meme probabilité de devenir mathematicien qu’un homme juif ashkenase est une idée assez irréaliste.

    ______________________

    "Ce qui m’amuse, en vous lisant, c’est de constater à quel point, d’une catégorie à l’autre, l’extrême droite recycle le même schéma de pensée, aussi inégalitaire que caricatural : le stéréotype du Noir, «doué» pour être boy, joueur de football, danseur de samba et porteur de sexe démesuré

    ______________

    Doué pour le foot et le sport en general certainement.  ( a l’exception du cyclisme et de la natation). 

    A noter qu’en football les noirs font d’excellent joueurs et de tres mauvaise equipes.  Entre une équipe du nigéria uniquement composé de joueurs exellent, voir géniaux ( okocha) qui individuellement jouent tous et s’entrainent tous dans les meilleurs club du monde,  et danemark composé de joueurs moyens voir franchement médiocre, mais dans un shéma d’organisation stricte et respecté par les joueur, à la fin ca donne danemark 4 nigeria 1.

    __________________

    Je note enfin, votre fabuleuse volonté d’ignorance de l’histoire africaine, des travaux de l’Institut de Recherche sur le Développement, des laboratoires du C.N.R.S., des œuvres de Georges Balandier, Claude Meillassoux, Jean Copans, Emmanuel Terray, Pierre Bonafé, Catherine Coquery-Vidrovitch, Jean-Suret Canale, Hélène d’Almeida Topor, Jean-François Bayart, Jean-Pierre Chrétien, Alain Dubresson, Annick Osmont, Alain Marie, Jean-Pierre Warnier et de tant d’autres…

    __________________

    Bref, que des blancs et des juifs parmi tes chercheurs qui nous réconcilient avec le génie africains.

    28 décembre 2007 à 13 h 56 min
  • sas Répondre

    A manceney……outre que j’attend toujour tes excuses pour jean claude lahitte notre ancien….

    tu devrais conserver des forces pour tes "véritables" ennemis, dont je ne suis même pas sure que tu saches les reconnaitre le profil si d’aventure ils vennaient sur ton palier sonner à ta porte….

    tu serais plutot du style accadabrantesque, à les renvoyer à l’etage du dessous ,leur mentionnant qu’ils se sont trompés d’adresses……et ce malgrés des mines patibulaires et des souffleurs plein les pognes…..

    ….à sacré toi va….

    excuse stp…

    sas qui t’aime bien…..quand même

    28 décembre 2007 à 13 h 34 min
  • no second to Répondre

    Nagadef Albert

    Notre ethnologue se double d’ un grand historien du peuple et comme d’ habitude ne répond qu’ aux seules questions qui lui permettent de nous faire étalage de sa grande culture mais commence à perdre son calme et a l’ insulte facile.

    Les chiens aboient et la caravane passe.

    Aropos du club de l’ horloge,je ne le fréquente pas et je lis encore moins leurs publications mais vous cher Albert,vous  me donnez l’ impression que ,oui! Donc pourriez vous dans votre grande mansuétude me donner leurs titres

    Salutation à votre mai Diop.

    Oncquesne faillit

    28 décembre 2007 à 11 h 39 min
  • Albert Répondre

    @ No second to

     

    – A l’époque de Proclos, un des derniers néo-platoniciens, la philosophie grecque avait déjà fourni les écoles présocratique, platonicienne, aristotélicienne, épicurienne et stoïcienne, la science grecque avait (entre beaucoup d’autres…) fourni Pythagore, Archimède, Euclide, Aristarque de Samos, Eratosthène, Hipparque, la grammaire grecque avait fourni Aristarque de Samothrace, l’histoire grecque avait fourni Hérodote, Thucydide, Plutarque et Polybe, la littérature grecque avait fourni Homère, Euripide, Sophocle, Aristophane, Pindare, la théologie chrétienne venait de fournir les quatre grands Cappadociens… A l’époque de Proclos, quel était l’apport des Germains dans ces domaines ? A l’époque de Proclos, les devanciers des «4 Vérités» considéraient les Barbares transalpins comme tout justes bons pour fournir des mercenaires et culbuter les femmes des patriciens…

     

    – Quel est l’apport des femmes en physique, mathématiques, chimie, médecine, droit, économie, philosophie, théologie, littérature, histoire, géographie, sociologie, théâtre, grammaire, peinture, sculpture, architecture, musique, et, en général, dans tous les domaines des disciplines canoniques ? Quelle est, actuellement, la part des femmes dans la cuisine ou la couture de haut de gamme ? Il y a quelques décennies, pour les devanciers des «4 Vérités», les femmes étaient tout justes bonnes pour assurer le repos du guerrier et la reproduction de l’espèce… Ce qui m’amuse, en vous lisant, c’est de constater à quel point, d’une catégorie à l’autre, l’extrême droite recycle le même schéma de pensée, aussi inégalitaire que caricatural : le stéréotype du Noir, «doué» pour être boy, joueur de football, danseur de samba et porteur de sexe démesuré, reproduit celui de la femme, si talentueusement décrit par Guy Bechtel dans «Les quatre femmes de Dieu : la putain, la sorcière, la sainte et Bécassine»…

     

    – Je note enfin, votre fabuleuse volonté d’ignorance de l’histoire africaine, des travaux de l’Institut de Recherche sur le Développement, des laboratoires du C.N.R.S., des œuvres de Georges Balandier, Claude Meillassoux, Jean Copans, Emmanuel Terray, Pierre Bonafé, Catherine Coquery-Vidrovitch, Jean-Suret Canale, Hélène d’Almeida Topor, Jean-François Bayart, Jean-Pierre Chrétien, Alain Dubresson, Annick Osmont, Alain Marie, Jean-Pierre Warnier et de tant d’autres… Ce n’est pas en vous repaissant des feuilles de chou du Club de l’Horloge que vous risquez de vous instruire…

     

    27 décembre 2007 à 23 h 19 min
  • grepon le texan Répondre

    "…Surtout les continents ont évolues des civilisations extraordinaires et ont laissées des traces visibles de cette grandeur,sauf en Afrique sub saharienne."

    Extraordinaire dans le sens que qu’ils s’agissaient surtout e civilisations esclavagistes/guerrieres mene par des sortes de theocraties heriditaires avec au sommet des etres qui fabulait plus qu’il ne raisonnaient.   C’est le pourquoi de leur non-existence.    Pour ce qui en est de leur temples en pierre, la fabulation combine a la dictature vous menent facilement vers ce genre d’ouvres extroardinairement inutiles.    Voila que les civilisations sous-sahariens n’ont meme pas pu produire de tels oeuvres, mais je crois que les paroles de notre anthropologue de service sont plus interessant comme explication de ce fait(sitiuation climatique, densite de population, maladies etc etc).

     

    27 décembre 2007 à 21 h 58 min
  • Anonyme Répondre

    Voici un excellent site, qui permet de comprendre un peu mieux nos amis Senegalais :
    http://www.senegalaisement.com/forum/read.php?f=5&i=31&t=31

    Best,

    Mancney

    27 décembre 2007 à 19 h 41 min
  • no second to Répondre

    Ne sachant pas si mon premier commentaire est passé,je recommence donc.

    Messieurs nous avons en ce cher Albert un grand, un très grand ethnologue,un scientifique hors pair.Comment osons nous pauvres béotiens que nous sommes,mettre en doute ses affirmations,méa culpa ,mea maxima culpa!

    Bib

    N’ avez vous pas compris que l’ errance du peuple noir est du à l’ agression permanente des occidentaux qui ont volé toutes les inventions et la philosophie des civilisations négres.Le piano ou le clavecin descende de la kora,instruemnt extraordinaire certes à cordes frappées comme le piano mais pas le clavecin qui est à cordes pincées.Selon son mentor sheik Anta Diop,la philosopie gracque serait un vulgaire succédané de la grande philosophie noire.On pourrait continué sur des centaines de pages de toute façon ,notre cher Albert trouverait une raison pour nous prouver le contraire.

    Si les occidentaux ont adopté l’ écriture ,c’est simplement parce qu ‘ils n’ avaient pas de mémoire à la différence des africains qui eux gardent tout en mémoire d’ où le proverbe africain: " Un vieux qui meure, c’est une bibliothéque qui brûle " Perdre une "Alexandrie" tous les 50 ou 60 ans pa s évident pour l’ évolution.

    J ‘aimerais que ce cher Albert m’ explique pourquoi les civilisations amérindiennes ont évolue avec tant de grandeur et qu’ il ne vienne pas me parler des Conquistadors,certaine se sont auto- détruites bien avant l’ arrivée des vilains barbus sur leurs chevaux et leurs gros mousquetons.Surtout les continents ont évolues des civilisations extraordinaires et ont laissées des traces visibles de cette grandeur,sauf en Afrique sub saharienne.

    Allez cher Albert, nagadef.

    Oncques ne faillit

     

    26 décembre 2007 à 20 h 50 min
  • grepon le texan Répondre

    "bib" a presque tout dit avec les mots que je recopie plus bas.    Quand on met ensemble ses deux phrases  et en tire la conclusion…que l’Europe socialiste est une construction tres instable.  Les europeens recolteront l’inverse de leur souhaits:  guerre civile au lieu de paix eternel, cleansings et genocides au lieu d’extermination finale du racisme, declin vertigineuse de leur economie au lieu de croissance soutenable…etc. 

    QUOTE(de bib):  Entre une europe  blanche, feminisée, egalitarisée, qui ne fait que 1,3 enfant par femmes, et une afrique patriarchale, miserable, homophobe, exiseuse,  et qui fait 6 enfant par femme, c’est l’afrique qui supplante l’europe et qui l’envahit.

    ce n’est pas parce que le communisme est immoral que l’urss s’est effondré, c’est parce que communisme  produit un systeme  inefficace.

    UNQUOTE

    26 décembre 2007 à 20 h 29 min
  • Albert Répondre

    @ Adolphos

     

    Je vous défie de m’apporter la moindre preuve que l’intelligence (qu’au demeurant vous confondez avec une des innombrables appréciations de ses manifestations…) soit en quoi que ce soit héréditaire. Vous confondez corrélation et relation de cause à effet (et cette confusion semble une marque de fabrique de la droite…). Les manipulations, approximations et falsifications des Jensen, Murray et autres Herrnstein ont suffisamment été démontées (et démontrées) pour qu’il ne soit plus la peine d’y revenir. Il n’est de pire sourd que celui qui ne veut pas entendre…

     

    Par ailleurs, il est assez plaisant de voir le langage raciste suivre constamment la même ornière. A l’instar du terme «juif», déconsidéré par des décennies d’utilisation, et que les antisémites ont cru malin de camoufler en lui substituant «israélite». Or, sans qu’ils en aperçoivent, ils sont les seuls à l’employer en ce sens, et s’il est un marqueur de l’antisémitisme aujourd’hui, c’est bien ce mot ! De même pour le terme «ethnie» ou «ethnique», censé camoufler le mot «race», jugé infréquentable. Hélas pour eux, et malgré la connotation pseudo-scientifique du terme, il n’y a que les racistes pour l’employer…

     

    Ces élucubrations sur l’hérédité de l’intelligence, cette croyance superstitieuse aux Q.I., ont, en fait, un arrière-plan très vulgaire. D’abord de nourrir l’aversion invétérée de la droite envers l’impôt (et plus particulièrement envers l’impôt redistributif, l’argent ne manquant jamais, en revanche, pour faire la guerre aux contestataires du système…). Si donc, on «démontre» – ô miracle ! – que l’intelligence est héréditaire, si un test d’une heure décide de l’avenir d’un individu, inutile de gaspiller son précieux argent à éduquer des gens qui ne seront jamais que des ratés. [Il est si utile de le garder pour s’acheter des 4 x 4 et téléviseurs à plasma greffés sur TF1]. Ensuite, de justifier un racisme impénitent, dont l’horloge est restée bloquée à l’époque des Expositions coloniales. Si, en effet, les métèques (noirs, arabes, bananés de toute espèce) sont irrécupérables, on peut maintenir à perpétuité le système dont on a décrété qu’il est «naturel» : on postule que les Africains sont idiots… et on s’arrange pour qu’ils le restent ! [Comme jadis, les juifs, interdits de tous les métiers, sauf de ceux du change d’argent, et stigmatisés précisément cette raison…].

     

    Les tests PISA n’ont pas davantage de valeur que les Q.I. Comme ceux-ci, ils relèvent du charlatanisme. Et, l’un comme l’autre, ils révèlent le caractère «cancéreux» de la pensée de droite. [J’entends par «cancéreux», par analogie avec la pathologie, une pensée qui a une fonction parasite : en l’occurrence, celui de classer, de hiérarchiser les êtres humains entre eux, de façon individuelle ou collective. Ou, en d’autres termes : il m’est agréable de me sentir intelligent, mais il me l’est encore plus de sentir que d’autres ne le sont pas…].

     

    – En mathématiques, le test PISA 2003 de la France n’était pas «catastrophique». Sur un total de 15 pays européens, la France venait au 5e rang, avec une «note» de 511, le meilleur étant la Finlande (avec 544) et le moins bon la Grèce, avec 444. En accordant l’indice 100 au meilleur, la France se hissait à l’indice 94, avant le Royaume-Uni (que 23 ans d’ultralibéralisme thatchérien – puis blairiste – auraient dû protéger de ces médiocrités…). Comme «catastrophique», on a vu pire…

     

    – Les tests PISA émanent de l’OCDE, grande dispensatrice de la pensée unique ultralibérale, qui, dans ce test, ne visait pas à évaluer des connaissances en mathématiques, mais des compétences, ce qui est tout à fait différent, et pas innocent du tout ! En effet, ce que recherche l’OCDE, ce ne sont pas tant les connaissances pures que les compétences qui permettront la flexibilité, l’adaptabilité, la différenciation, l’instrumentalisation en fonction des besoins pratiques de l’industrie. Un peu comme si, pour comparer les pays sur le plan des performances sportives, on les soumettait à une épreuve de pétanque…

     

    – Les mêmes remarques peuvent être faites sur les tests PISA à caractère littéraire, par exemple en 2000, où les biais culturels ont assez sensiblement faussé l’expérience. Cf. l’étude d’Isabelle Robin sur le sujet : http://www.cndp.fr/archivage/valid/17585/17585-4487-4298.pdf. De même, l’enquête PISA de 2003 amène parfois des surprises pour les thuriféraires des inégalités, notamment le fait que l’écart-type des résultats PISA à l’intérieur des pays considérés (ainsi que le pourcentage de cet écart-type à la moyenne) révèle de fortes disparités (c’est-à-dire l’existence d’établissements particulièrement médiocres, révélant une éducation duale) dans des pays censés être «meilleurs» que la France…

    26 décembre 2007 à 12 h 20 min
  • no second to Répondre

    Vitruve

    Je vous avais répondu mais le censeur est passé avec sa redoutable faux.

    1m90,130kgs ,diantre ça vous impose un homme et quel sport de combat pour agrémenter le tout !

    Pour la photo du beau Sumotori,il s’ agit ici de Konoshiki,un beau bébé 260 kgs pour 1m85 sur le cercle sacré pratiquement imbattable mais en dehors;il ne tiendrait pas deux rounds contre un boxeur moyen.Tout est affaire de situation,d’ endroit ou d’évolution.

    Merci cher Mancney

    Pour votre intervention,l’ union fait la force et les differences notre vérité à tous.

    oncques ne faillit

    25 décembre 2007 à 17 h 11 min
  • décalage Répondre

    La disparition des religions et de ses avatars idéologiques mis en place depuis un peu plus d’un siècle matérialisé par l’effondrement du bloc soviétique, laisse aux nostalgiques de la morale publique, des débats dont on se demande si les intervenants ne sortent pas d’une caverne. Le monde qui est en train de naître sous nos yeux pose des défis d’une autre envergure. L’hyper technicité qui se développe dans la découverte de l’infiniment petit, comme de l’infiniment grand, ce monde où la frontière qui séparait le vivant du non être est de plus en plus floue, où les variations climatiques modifient les probabilités de survie des espèces animales dont la nôtre, ce monde se pique de débats pour savoir qui du noir, du blanc, de l’asiate est le plus intelligent. A mon humble avis, seuls ceux qui sauront relever ces défis ont une probabilité de s’en sortir. Comme ni la force physique, ni le nombre de descendants, ne peuvent influencer le moral d’une bombe propre qui éradique le vivant en laissant le matériel intact, ceux qui maitriseront ces techniques ont un net avantage… L’esprit humain à la traîne de ces découvertes se plait à entretenir des débats idéologiques d’un autre âge, car ceux-ci ont une apparence d’égalitarisme, dans lesquels ni la compétence, ni le savoir n’entrent en ligne de compte, seule la bonne foi des participants est requise, et, la bonne foi et les sentiments sont des valeurs unanimement partagés parait-il. Il est interressant de voir que dans une époque où on se pique de recueuillir l’opinion de Mme Michu sur  la manipulation du génome, on la laisse croire que son avis peut influencer la marche du monde. Il y a une fracture de plus en plus béante dans nos sociétés : ceux qui maitrisent la technique et ceux qui l’utilisent comme un cadeau de Noël. Une grande partie de l’espèce humaine a décroché depuis le dernier siècle, prise de court par la rapidité du developpement technique, elle n’est plus propriétaire de son existence comme dans les anciennes sociétés, une menace pèse sur elle, sur laquelle elle n’a aucune prise. L’équilibre de la terreur est en place dans chacune de nos conscience si tant est qu’on en ait une…

    25 décembre 2007 à 9 h 41 min
  • Adolphos Répondre

    Bon, je suis insulté et traité de NAZI, et je trouve cela triste car c’est une maniére de refuser le débat.

    Que l’intelligence est héréditaire, c’est prouvé, même si cela ne plait pas. Aprés tout, il suffit de voir les centaines de milliards gaspillé dans NOTRE éducation national pour finalement trés peu de mobilité social. Si 20% des enfants de 6eme ne savent pas lire, ce n’est pas parce que les profs sont différents de ceux des autres établissements ! Au contraire, ils sont formaté depuis leur enfance pour être tous pareils, voter pareil, enseigner pareil, et le concour en témoigne. Et les méthodes sont grosso modo les même (des conneries Made in 68).  Evidement, je ne dirais rien sur l’origine ethnique qu’on devine de ces 20%, de fois qu’un donneur de leçon me traite encore de raciste..

    Aprés sur le QI des noirs qui semble avoir marqué les esprits , je rassure tous le monde : les méthodes suivi sont parfaitements scientifiques. Evidement, on ne parle que de QI. Pour les études sur l’hérédité, les scientifique utilise des IRM, pour mesurer la vitesse de traitement du cerveau, et sur plusieurs génération, enfin bref, c’est autrement plus moderne que le simple test de QI.

     

    Quand à dire que le test de QI est uniquement culturel, c’est une bonne blague. Car si c’est vrai, pourquoi les français, ==>qui l’ont concu<==, n’obtiennent pas la meilleur note ? Hum ?

    Ca me rappel le dénégation du ministre de l’éducation national français lors de résultat (catastrophique) des test PISA : "les français ne sont pas habitué aux QCM, d’ou leur mauvais score". Puis l’année suivant "Les enfants français n’ont pas compris les questions, donc ce test est nul et sans intret pour faire des comparaisons international". Bein voyons…

     

    Quand à ressemblance à 99% entre les hommes, je ne vois pas ou est le probléme. Je l’admet tout à fait. D’ailleur, un Windows à 99% indentique à un autre pourrait fonctionner….

     

     

    PS : Ces résultat sur l’hérédité sont tellement banales qu’il passent en GB sur les chaines public et que personne n’y trouve à redire : la science se fou de la morale.

     

     

    PS2 : Bon Noël à tous !

    25 décembre 2007 à 3 h 59 min
  • no second to Répondre

    J ‘ avis pensé à l’ idole de mon camarade  Doc Kanibal

     

     

    Oncques ne faillit

    24 décembre 2007 à 20 h 39 min
  • Anonyme Répondre

    Vitruve, vous n’y etes pas et Leonardo est décu, il me l’a dit. Chello n’est ni" fayot" ni "contempteur", ni Iznogood" et il est bien meilleur que moi.
    Bravo pour vos mensurations; je ne les atteints pas, mais j’ai d’autres défauts qui compensent, pas forcement sur mon dos. Chello aussi, mais je ne pense pas que nos arguements devraient se tourner contre nous-meme.  Please, stop it.

    By the way, catastrophe nucléaire et écologique, je ne sais pas, mais catastrophe ethnique et de civilisation, ca, ca en prend le chemin… et c’est DEJA arrivé in the past, et c’est en cours aujourd’hui. Comme ca, vous savez ou placer vos 190/130.
    D’aileurs, Audiart a dit, "Chez moi, quand les Hommes parlent, les Muslims se taillent".

    Merry Christmas

    Gorille Mancney

    24 décembre 2007 à 16 h 48 min
  • VITRUVE Répondre

    chello@

    AVE

    il semblerait que notre "dos argenté" ait trouvé un contempteur, mais je n’apprendrai pas à Mancney qu’en règle générale le plus fayot de la bande est celui qui brigue le poste de celui à qui il cire les bottes( c’est aussi, reconnaissons-le, la plus sage attitude chez les primates supérieurs si on veut rester intact jusqu’au moment où le leader fera son premier faux pas , voir l’UMP et le PS en ces temps implacables )

    petit rappel pour l’hypothétique et téméraire tartineur/ buveur de bière: Vitruve 1.90M et 130 kg (comme disait Audiard ça calme les excités en général, mais il ont un quand même un avantage sur moi, j’arrive de plus en plus difficilement les rattraper…allez savoir pourquoi?)

    Remercions le grand Leonardo :son "Uomo de Vitruvio" est la juste reconnaissance de ce que le sublime architecte a légué au monde avec ses 10 livres d’architecture( relire l’édition illustrée par Claude Perrault, idéale si un jour on veut redémarrer la civilisation au niveau du monde romain ,aprés une catastrophe nucléaire ou écologique par exemple voire même une relégation en 2e division…)
    VIVE VALEQUE

    23 décembre 2007 à 18 h 41 min
  • Anonyme Répondre

    "oncques ne faillit", merci de votre support. Sachez que je treasure mes amis.
    Mais je ne pense pas que Vitruve soit anim
    é de mauvaises attentions. Juste un peu d’humour distrayant. Et puis, il se place sous la protection du Grand Leonardo, il nous faut respecter et apprecier cela.
    Mais l’autre ane, la bas, dans son ile, SAS, I mean, lui aurait besoin, parfois, qu’on lui moutarde ses bananes! Moutarde, hein, pas arsenic.

    Best,

    Mancney

    22 décembre 2007 à 16 h 08 min
  • Anonyme Répondre

    Vitruve

    Lâchons tous ces beaux surdoués dans la taïga avec un canif et une pelote de ficelle pendant 3 mois et revenons ramasser les ossements…( revoir GUERZOU OUZALA de KUROZAWA où deux intelligences, celle du géomètre et celle du Yakoute sibérien sont mesurées à l’aune de la nature.

    Mes grands parents tuaient le cochon,chassaient pour mon grand pére,fabriquer des galoches et savaient ceuillir les champignons.60 ans plus tard,j’ en suis incapable pourtant je surf sur internet,connait un petit plus mots et pris l’ avion etc…………….Cela s’ appelle l’ évolution camarade!

    Mais même de nos jours ,il existe des sociétes de Ceuilleur-chasseur vivant comme au Néo-lithique et pourtant dans leurs forêts de Papouasie Nouvelle Guinée,je serais comme un handicapée.Faites les vivre en cette sociéte et ils seraient incapables tout autant que moi dans le leur. Voir ce film puisque vous êtes un cinéphile : "Les Dieux sont tombés sur la tête".

    Pour les "dos argentés" vous feriez mieux de prendre garde dans certains cas ,ils sont les mâles dominants.Laissez donc Mancney tranquille,vous pourriez avoir un voisin de gradin remuant qui pourrait moutarder vos saucisses un peu trop et boire votre biére si celle ci est un bon choix.

    oncques ne faillit

    21 décembre 2007 à 22 h 08 min
  • nicolas Répondre

    etudier la situation de villiers le bel pour comprendre ces problemes de qi…. aussi bien que les tests en labo….

    21 décembre 2007 à 15 h 53 min
  • Anonyme Répondre

    Vitruve, je crois que j’aime bien votre humour, soyez remercié des sourires que vous m’offrez. Aussi, on se souvient bien de Guerzou Ouzala.
    Combat contre SAS? Non, pensez vous. Son Altesse dort dans un lit d’incohérences et de contradictions, et un peu comme votre Mensa man, il a coté de la plaque, lui aussi. Mais, c’est un bon camarade,

    Best,

    Mancney

    21 décembre 2007 à 15 h 28 min
  • Albert Répondre

    @ Bib

     

    – «Pourquoi ne pas dire : Les hausses des prix agricoles avantagent les paysans mexicains et désavantagent les populations des villes. La baisse des prix agricole avantage les populations des villes et désavantage les paysans mexicains». Argument spécieux, arguties !

     

    – Parce que, dans un cas comme dans l’autre, la variation de prix est extérieure à la communauté considérée et qu’elle vise de tous autres objectifs que le bien-être des populations ! Dans le cas des surplus agricoles, le but est de désengorger les stocks du Nord (comme les Européens libidineux et pleins de fric vont soulager leurs glandes sur les petites filles du tiers monde…). Parallèlement, cela met les populations du Sud dans la dépendance alimentaire des pays du Nord (pas tout à fait innocemment) et s’inscrit dans la ligne de la prédation ininterrompue du Nord depuis le XVIe siècle. En outre, le secteur agricole étant encore très important dans le Sud, cela entraîne une paupérisation des populations rurales et un exode vers les mégapoles.

     

    – Dans le cas de la hausse du maïs, cela n’avantage pas «les paysans» mexicains, mais les latifundiaires (les paysans mexicains qui cultivent le maïs en ont trop peu pour le distraire de l’autoconsommation). L’enrichissement profite à une classe sociale exploiteuse, riche, de droite, liée aux Etats-Unis (Fox, Calderon), massacreuse de son peuple. Si la hausse profitait aux petits paysans et qu’elle soit modérée, elle serait bénéfique. Ce qui n’est pas le cas…

     

    Apparemment, vous êtes toujours dans une vision des Etats-Unis inspirée par Hollywood, Mickey et SAS, où les Latinos sont fourbes, paresseux, mal rasés, où ils se mettent à 10 pour attaquer un Américain, qui en abat 9, sauf le dernier, qui le frappe par derrière…

     

    – Les mérites du Dr Watson n’impliquent nullement que sa parole vaille hors de son domaine de compétence. Copernic, Tycho Brahé et Kepler, en dépit de leur apport à l’astronomie, n’en tirèrent pas moins des horoscopes ! Le mathématicien Michel Chasles, tout éminent qu’il fût, ne s’en laissa pas moins embarquer dans l’abracabrantesque supercherie de Vrain Lucas. Et on pourrait multiplier les exemples… En leur temps, Alexis Carrel et Konrad Lorenz ont eux aussi sorti des âneries racistes. Ce furent simplement des âneries nobélisées…

     

    – Si vous entendez par «idéologie» courant de pensée qui interprète la réalité d’une façon particulière (en général biaisée), il ne peut, par définition, exister d’idéologie antiraciste puisque le problème des « races », précisément, ne se pose pas ! En revanche, il existe bien une «idéologie raciste» en ce que celle-ci invente des catégories et des problèmes là où il n’y en a pas… Un scientifique qui prétendrait travailler sur les «races» n’aurait précisément rien à faire dans la recherche scientifique ! Il pourrait aller traîner ses guêtres chez Le Pen ou Mégret, il n’aurait plus sa place dans un laboratoire…

     

    – Apparemment, certains esprits chagrins n’arrivent pas à se vider l’esprit de ces inepties, et, régulièrement, reviennent à la charge avec des «études» pseudo-scientifiques. La dernière en date de ces élucubrations a été réduite en miettes en 1996 : Claude Fischer, Michael Hout, Martin Sanchez Jankowski, Samuel Lucas, Ann Swidler et Kim Voss, Inequality by Design : Cracking the Bell Curve Myth, Princeton University Press, Princeton.

     

    La maladie de Tay Sachs ne se rencontre pas que chez les juifs ashkénazes, mais aussi chez les Canadiens français et les Cajuns de Louisiane. En tout état de cause, il ne s’agit là que d’une corrélation et non d’une relation de cause à effet, la judéité n’existant pas.

     

    – Comment peut-on, une seule seconde, vous accorder le moindre crédit alors que vous prétendez reconnaître, «au doigt mouillé», les races ? Comment procédez-vous ? Comme un flic zélé de Sarkozy, qui contrôle au faciès ? Je vous attends toujours sur ces définitions que vous semblez croire irréfutables…

     

    – A chaque instant, vous confondez contraire et contradictoire, nécessaire et contingent, corrélation et relation de cause à effet, jugement synthétique et jugement analytique, inférence et constatation, etc. Vos informations sur l’Afrique remontent à Tintin au Congo. Comment puis-je discuter avec quelqu’un qui, dans sa boîte à outils conceptuelle, ne dispose que d’un marteau et ne voit les problèmes que sous forme de clous ?

    21 décembre 2007 à 15 h 00 min
  • Bibs Répondre

    "Lâchons tous ces beaux surdoués dans la taïga avec un canif et une pelote de ficelle pendant 3 mois et revenons ramasser les ossements…( revoir GUERZOU OUZALA de KUROZAWA où deux intelligences, celle du géomètre et celle du Yakoute sibérien sont mesurées à l’aune de la nature"

    ______________________________________________________

    C’est un exemple ridicule. Le yakoute siberien ne survit pas grace à une "intelligence de la nature" il survit grace à un capital culturel elaboré sur plusieurs siècle par les plus doués de sa communauté.

    Le yakoute siberien construit une maison sur des plan ancestraux et chasse selon des techniques qu’il a aprise dès l’enfance et qu’il applique sans reflechir. exactement comme l’occidental moyen utilise un ordinateur sans connaitre le moindre element de codage binaire ou de java script. 

    Il faudrait pour comparer l’efficacité d’une très hypothetique "intelligence adaptée a la nature" à l’intelligence rationnelle "occidentale" envoyer les individus sur terrain neutre: un  japonais et un yakoute siberien en foret guyanaise, ou un européen et un dogon en siberie.

    Comparer yakoute et geometre japonais en siberie  pour conclure " vous voyez que notre intelligence supposée ne vaut rien en pleine nature" n’a aucun sens. Pas plus que de coller sans le moindre aprentissage un yakoute dans une salle de marché ou une centrale hydraulique et de conclure " vous voyez qu’il sont  moins intelligent que nous".

    Comment pouvez vous avaler ce genre de propagande idiote?

     

    21 décembre 2007 à 14 h 21 min
  • no second to Répondre

    Albert

    Je ne vois pas ce que vient faire cette citation sur Cheikh Anta Diop, ni en quoi, d’ailleurs, elle remet en cause le lustre des civilisations africaines. Hors sujet

    Même pas étonné par votre réponse,êtes vous le cousin de P.Lance?

    Tout sujet qui vous dérange ,ets nul et non avenu.La pensée unique a encore de beaux jours.Vous en êtes le chantre.

    Pour ce qui est d’ être hors sujet,il est vrai que vous savez de quoi vous parlez.

    ne jamais être le second

    21 décembre 2007 à 10 h 15 min
  • bib Répondre

    pourquoi ne pas dire:

    les hausse des prix agricoles avantage les paysans mexicain et desavantage les population des ville

    la baisse des prix agricole avantage les population des villes et desavantages les paysan mexicains.

     

    Dans les deux situations il y a des gagnants et des perdants. La situation n’est pas binaire, et supose un minimum de bonne foi pour etre bien comprise.  de surcroit l’expansion de l’éthanol carburant tient a l’explosion du prix du petrole dont le mexique est un producteur et exportateur majeur. Le petrole mexicain est exploité  en totalité par la PEMEX, une bonne grosse entreprise d’etat  comme tu dois les aimer et qui fournit a l’etat mexicain un bon tiers de son budget. 

     Bref, un peu de nuance ne te tuerait pas et te ferait sortir d’un antiamericanisme benêt et pavlovien.

     

    ____________________________________________________________

     

    "Pourquoi voulez-vous que l’on s’inscrive dans un modèle de développement économique occidental ? Pourquoi modèle ? Pourquoi économique ? Et pourquoi occidental ? Vous n’avez toujours pas décolonisé votre imaginaire… "

     

    parce que c’est le sujet de l’article!

    personne ne remet en cause la capacité des noirs à vivre dans des hutte en bouse avec une paille dans le nez, personne ne remet en cause la capacité des noirs a vivre de chasse ou d’elevage de chevre. Personne.

    Ce qu’on remet en question c’est justement la capacité des noir a reussir collectivement  dans un modele occidental. Avec industrie etcaetera.

    _____________________________________________________________

     

    La génétique est un champs d’investigation immense et dont on sait encore peu de choses.

    Le tabou des questions raciales est un poid concidérable qui joue contre la recherche et le progres des connaissances.

    Watson  est a la fin de sa vie, il peut dire ce qu’il pense et n’a plus grand chose à perdre.

    Les reactions contre cet homme  ont montré la hargne  la force dont etait capable  l’idéologie antiraciste.

    Il a été viré des conseils d’administrations ou il travaillait encore, il a recu des centaine de menace de mort, toutes ses conferences ont été annulées sous la pression des associations " antiraciste". Il et a du faire face à une campagne de presse mondiale d’une violence incroyable.  

     

    Un chercheur plus jeune, qui a sa carrière à faire, ses recherches à poursuivre, des crédit a trouver, oserait il se lancer sur ce thème?

     

    Dire "il n’y a pas de scientifique serieux qui defendent l’idée que les races existent" sera un argument pertinent quand ceux qui penseront le contraire auront le droit de travailler librement.

     

    Aujourd’hui en génétique il y a les scientifique qui defendent – publiquement- l’idées que les  races n’existent pas, les autres voient leurs vie démolie. Quel beau debat.

     

    Ne pas defendre la liberté de parole d’un prix nobel de médecine est une aberation.

     

    Censurer un prix nobel au crepuscule de sa vie, un homme qui a donné à l’humanité  l’une de ses decouvertes les plus extraordinnaires – la structure de l’ADN-  pour se taper 30 minute de dominique sopo c’est la barbarie en action.

     

    Le sujet n’est pas un sujet accessoire c’est un enjeu vital.

     

    Il y a un ecart encore plus fort d’aptitude intellectuelle entre noir et blanc ( 80 contre 100 qu’entre blanc et juifs 100 contre 115). L’ecart de reussite entre blanc et juif a provoqué un génocide. L’ecart entre coréens et noirs a los angeles a produit des scene de guerre civiles.  L’écart entre indonesiens et  chinois en indonesie a provoqué des massacres.

     

    L’antiracisme est une position morale intenable sur le plan scientifique. 

     

    Le relativisme culturel encore plus absurde.

     

     

    La mosquée de tombouctou : (population noire QI median 70)

     

     

    la chapelle sixtine: ( population blanche QI median 100)

     

     

     

     cité interdite (population han  QI median 105)

     

     

     

    Il n’y avait aucun batiment en pierre en afrique subsaharienne?

     

    reponse obligatoire: c’est culturel, c’est une question de point de vue. Qui est on pour dire qu’une hutte en bouse est "moins bien" qu’une villa en materiaux composite avec chauffage,  eau courante et installation video?

     

    Aucune culture africaine n’a dévellopé l’ecriture ?

     

    reponse obligatoire: et apres? en quoi une culture orale serait inferieure a une culture basée sur l’ecrit? hein? facho!

     

    aucun pays noir n’a developpé la moindre industrie?

     

    Reponse obligatoire: c’est a cause des blanc. Avant la colonisation, tombouctou ( voir photo) etait un centre majeur de R&D.

     

    toutes les communautés noires quel que soit le pays ou elles sont etablies sont au bas de l’echelle sociale?

     

    Reponse obligatoire: C’est a cause des blancs racistes.

     

    les noires reussissent moins bien a l’ecole que les blanc ou les asiatique?

     

    Reponse obligatoire: C’est parce qu’il viennent de famille pauvre.

     

    Les enfants noir adoptés et elevés par des blanc bourgeois ne  reussissent statistiquement pas mieux que les enfants noirs elevés par des parents noirs?

     

    reponse obligatoire: c’est parce qu’il se sentent deracinés de leur communauté d’origine. il ont du mal a trouver leur place.

     

    Les enfants metisses adoptés par des blanc bourgeois reussissent mieux que les enfant noirs et moins bien que les enfant blanc?

     

    reponse obligatoire: c’est pas scientifique ces etudes. Et puis c’est quoi un metisse? c’est quoi un etre humain? c’est quoi un enfant? C’est quoi une race? c’est quoi un gene? C’est quoi une question?

     

    30% des prix nobels sont juifs ashkenaze?

     

    reponse obligatoire: le judaisme c’est une culture c’est pas une race.

     

    Donc le judaïsme culturellement  est plus efficace que les culture africaine ou européenne pour déclancher l’apparition de génie dans sa population?

     

    reponse obligatoire: ce genre de question est une incitation a la haine raciale c’est puni d’un an de prison.

     

    La maladie de tay sachs ne touche que les juifs ashkenases, les juif ont des taux d’exogamie tres faible ( moins d’un demi pourcent par generation)?

     

    reponse obligatoire:  c du nazisme c nimporte koi

     

    Les population noire scorent en moyenne 15 a 20 point en dessous des population blanche?

     

    reponse obligatoire: c’est culturel. Le QI est inventé par les blancs  pour les blancs avec une vision etroitement culturelle de l’intelligence.  Et le QI c’est pas heréditaire.

     

    Les coréens scorent 5 point au dessus des blancs a ces test fait par les blanc pour les blancs?

     

    reponse obligatoire:  si  les africains faisaient leur propre test de QI vous seriez nuls sales batards de racistes.

     

    et de conclure:

     

    " vous voyez bien qu’on peut demolir en 2 minutes vos sales theorie raciste!"

     

     

    c’est tellement orwelien comme situation…

     

    20 décembre 2007 à 22 h 03 min
  • Albert Répondre

    @ No second to

     

    Je ne vois pas ce que vient faire cette citation sur Cheikh Anta Diop, ni en quoi, d’ailleurs, elle remet en cause le lustre des civilisations africaines. Hors sujet…

    20 décembre 2007 à 21 h 20 min
  • Anonyme Répondre

    Ton Altesse, j’aime tes pirouettes, "TU" prends la mouche, et tu dis que c’est moi!
    Mais tu "dodges" bien les questions de fond, car tu refuses de répondre, et, sans offense ni polémique, c’est dommage.
    Tu n’as pas aimé la réponse de mon Grand Maitre Black? J’aurais voulu que tu sois la, vraiment. C’était il y a une vingtaine d’années, a Paris, dans ce que tes potes appellent une "tenue blanche ouverte" ou quelque chose comme ca. Et il y avait un monde fou, la dedans. Je te dis, il ne manquait que toi!
    Alors, oui, la position des Francs Macs sur le métissage encouragé n’est pas appropriée, enfin, elle ne l’était pas a cette époque, car aujourd’hui, je n’ai pas la moindre idée de ce qu’ils préconisent.

    Et tu ne réponds pas non plus, a propos des explications écrites par bib, qui sont autrement plus saines et cohérentes que la frustration a peine cachée qui habite les propos d’Albert, qui écrit  : " et, aujourd’hui, les Békés, descendants des anciens esclavagistes, tiennent toujours le haut du pavé dans les DOM,"
    Le haut du pav
    é, c’est CA son vrai probleme; tu vois la frustration du mec? Elle transpire de partout.

    Allez, take care, ton Altesse,

    Mancney

    20 décembre 2007 à 19 h 33 min
  • VITRUVE Répondre

    AVE

    j’ai fréquenté un membre de la MENSA: c’était un bon compagnon mais un vrai irresponsable, toujours à côté de la plaque.
    Avoir 127 de QI et s’en vanter c’est déja être un con…

    Lâchons tous ces beaux surdoués dans la taïga avec un canif et une pelote de ficelle pendant 3 mois et revenons ramasser les ossements…( revoir GUERZOU OUZALA de KUROZAWA où deux intelligences, celle du géomètre et celle du Yakoute sibérien sont mesurées à l’aune de la nature )

    Mais pour l’instant, silence, formons le cercle , le combat des vieux mâles, nos "dos argentés" est annoncé:
     SAS vs MANCNEY pour… on ne sait déja plus quoi,mais le sol en tremble déja…

    J’adore ce site, pour un peu , comme au stade, je commanderais une saucisse grillée…

    VALE

    20 décembre 2007 à 18 h 19 min
  • no second to Répondre

    Monsieur Albert

    Censure,censure tu as fait ton oeuvre.

    Dans ma réponse d’ hier je vous écrivais ne pas pratager les théses particuliéres de cheik Anta Diop.Un aigri que les méchants blancs n’ avaient assez bien noté lors de ses éxamens.D’ autres savants aussi zéles que votre égérie ont analysé de façon différente ces propos.

    Critique de l’oeuvre de Diop [modifier]

    Bien que démonstration ait été faite avant les travaux de Diop que l’égyptien n’appartient pas au groupe sémitique des langues afroasiatiques, il n’en résulte pas nécessairement qu’elle n’appartient pas au phylum afroasiatique[67]. Ainsi, le linguiste comparatiste A. Loprieno[68] notamment[69] relève les caractéristiques communes à l’égyptien et aux autres langues afroasiatiques : entre autres la présence de racines bi- et trilitères, constantes dans les thèmes verbaux et nominaux qui en dérivent ; la fréquence de consonnes glottales et laryngales, la plus caractéristique étant l’occlusive laryngale ˁayn ; le suffixe féminin *-at ; le préfixe nominal m- ; le suffixe adjectival –i (le nisba arabe). À la Conférence internationale de Toulouse (septembre 2005), A. Anselin quant à lui « a délivré une communication portant sur les noms de nombres en égyptien ancien où il considère deux courants d’influence, l’un tchado-égyptien, l’autre égypto-sémitique »[70]. La parenté génétique de l’égyptien ancien avec les langues négro-africaines contemporaines est pareillement contestée par certains philologues et lexicologues. Ainsi, Henry Tourneux, spécialiste des langues africaines (mbara, fulfulde, munjuk, kotoko…) et membre de l’unité mixte de recherche Langage, Langues et Cultures d’Afrique noire (CNRS)[71], observe que « la coïncidence de trois langues non contiguës » ne garantit pas « le caractère commun, « négro-égyptien », d’un mot » : en effet, il ne suffit pas qu’un fait linguistique soit attesté dans deux langues non contiguës du « négro-africain » contemporain (la troisième langue étant l’égyptien ancien ou le copte) ni que les champs sémantiques soient identiques pour que l’on ait la preuve que le fait linguistique en question relève d’une hypothétique matrice « négro-égyptienne »[72].

    Les critiques d’Henry Tourneux ont fait l’objet d’une réponse circonstanciée de Théophile Obenga dans "Le sens de la lutte contre l’africanisme eurocentriste"[73], où il estime que son contradicteur n’est pas compétent en matière de linguistique historique comparative, ni même spécialiste de la langue égyptienne. En effet, Henry Tourneux est « spécialiste des langues tchadiques et de la lexicographie peule »[74]. Par ailleurs, d’après Obenga, aucun linguiste spécialiste de linguistique historique n’a encore contesté ses travaux et ceux de Diop, particulièrement en ce qui concerne la régularité des propriétés communes aux langues négro-africaines, au copte et à l’égyptien ancien. Or, toujours selon Théophile Obenga, c’est très précisément cette régularité, faisant force de loi linguistique (Cf. F. de Saussure, A. Meillet, E. Benveniste), qui fonde sa théorie générale du "négro-égyptien" : des similitudes éparses, irrégulières entre les langues ou groupes de langues comparées pouvant relever, ou bien de coïncidences, ou – plus sûrement en l’espèce du paradigme afroasiatique – d’emprunts réciproques de langues dont les locuteurs sont géographiquement mitoyens depuis des millénaires. Pour Obenga, le fait même que les langues africaines modernes ne soient pas contemporaines de l’égyptien ancien, et que beaucoup de ces langues soient attestées à des milliers de kilomètres de l’Égypte, serait un argument favorable à sa théorie linguistique du "négro-égyptien"[75] :

    « L’énorme discontinuité géographique milite en faveur de l’exclusion de l’emprunt dans ces temps anciens, sur l’ensemble des concordances établies, morphologiques, phonétiques et lexicologiques. C’est-à-dire que la séparation très ancienne de la souche commune prédialectale élimine les effets de convergence, de hasard et d’emprunt. En d’autres mots, si des connexions de caractère sérial sont établies entre l’égyptien pharaonique, le copte et les langues négro-africaines modernes, on est autorisé de reconnaître un « air de famille », une « parenté par enchaînement » selon l’expression de la systématique des plantes, même si l’on s’éloigne beaucoup du type initial, des prototypes reconstruits. Ainsi, le temps qui sépare l’égyptien ancien des langues africaines actuelles – un hiatus de 5000 ans – au lieu de constituer une difficulté se présente au contraire comme un critère sûr de comparaison (le temps qui sépare le hittite du portugais actuel est également énorme, mais rien n’empêche de comparer directement ces deux langues, dans un ensemble donné, pour rejoindre précisément l’indo-européen. 

    Mais je suis sûr que vous réfuterez d’ u revers de clavier ce que ces messieurs ont écrit.Mainteant si cela vous arrenge de mettre sur le dos de la civilisation occidentale ,les échecs du peuple noir,grand bien vous fasse.

    Mon cher que pensez vous de la vision biblique de Cham et sur descendance.Encore la faute aux vilains blancs.Noé vous auriez du porter un slip en laine.

    20 décembre 2007 à 12 h 52 min
  • sas Répondre

    Cher manceney……je vois que tu prend la mouche…donc que mes propos t’ont touché…good

    Tu vois donc ainsi que l’art de l’invective "dite gratuite" est à la portée de n’importe quel couillon…moi compris…..aussi je persiste à te dire que vu la qualité de nombre de tes interventions sur ce site….ton ecart de plume envers un ancien et homme de qualité certaine…….etait inutile et injustifiable……donc en conséquence , et juste dans un souci de retablissement de la vérité chere au titre du dessus…les 4 verites….je te redis modestement et amicalement que tu sortirais grandi…d’excuse en bonnes et dues formes……à notre compagon de rout jean claude

    et je t’en remercie par avance…

    sas 

    20 décembre 2007 à 12 h 01 min
  • Albert Répondre

    @ Bib

     

    – Pourquoi voulez-vous que l’on s’inscrive dans un modèle de développement économique occidental ? Pourquoi modèle ? Pourquoi économique ? Et pourquoi occidental ? Vous n’avez toujours pas décolonisé votre imaginaire…

     

    – «Mais je ne vois pas en quoi l’existence de différents points de vue devrait remettre en cause la légitimité du point de vue occidental». Si, par «légitime», vous entendez légitime pour les Occidentaux eux-mêmes, comme vous voudrez ! Si, en revanche, vous voulez dire «supérieur» aux autres, et supérieur dans le sens que vous conférez à cet adjectif : infondé ! Votre modèle n’est pas plus «légitime» que celui des autres, de la même façon que votre langue n’est pas « la » langue par excellence, toutes les autres n’étant que des patois… Vous êtes un relatif, pas un absolu…

     

    – «Je revendique mon droit total à trouver la musique asiatique absolument horrible […]. Je revendique même le droit de penser que les asiatiques ne sont apparemment peu doués pour la chose. […] Vous trouvez franchement normal que penser ça soit illégal ? Plusieurs observations.

     

    – Vous pouvez revendiquer ce que vous voulez, ça n’a aucune importance. Ce n’est pas à vous que les instrumentistes du Wiener Philarmoniker ont demandé conseil pour se choisir Seiji Ozawa ou Zubin Mehta comme chefs. Je ne vois pas, par ailleurs, sur quoi vous vous fondez pour affirmer que les Asiatiques sont «apparemment» peu doués pour la chose. Qui vous donne cette sûreté de jugement ? Etes-vous soliste ? Chef d’orchestre ? Compositeur ? Musicologue ? Quant à votre jugement sur la musique tibétaine ou japonaise, elle n’est que celle d’un Occidental : un Japonais ou un Tibétain vous rendrait la pareille. Les musiques chinoise ou tibétaine ne sont pas plus laides ou disharmonieuses que le chinois ou le tibétain ne sont, par essence, des langues «étrangères». Toute langue est étrangère aux autres et toute culture a sa de beauté. Décolonisez votre imaginaire…

     

    – «Parce que c’est comme ça. […] C’est la vie». Ce que vous exprimez est la quintessence du conservatisme ! Vous rendez-vous compte de la faiblesse de l’argument ? C’est quoi, «ça» ? C’est quoi, la vie ? C’est la conception que vous en avez ? En quoi celle-ci est-elle supérieure ?

     

    – Je ne vois pas ce qu’Albert Jacquard a de commun avec Lyssenko (sauf d’avoir eu son nom mêlé à celui du Soviétique par les élucubrations du Club de l’Horloge, qui est tout, sauf sérieux…).

     

    – La comparaison que vous effectuez entre les différences de groupes humains sur la planète, d’une part, et les différences des températures à Toulouse et à Lille, d’autre part, est sans valeur. Et elle est sans valeur parce que, comme pour les théories des darwinistes, elle procède d’un raisonnement circulaire : elle postule comme démontré ce qu’il y a à démontrer ! [Et que l’on ne démontre pas…]. Exemple de ces «démonstrations» : l’éléphant, ainsi nommé, à cause de sa grande mémoire… Application : vous postulez l’analogie des différences inter humaines et des amplitudes de température (sans en fournir d’ailleurs la moindre preuve) et, comme l’évidence de ces différences vous saute aux yeux, vous concluez de l’identité de l’un à l’autre : mais où est la démonstration ? [Même si cela vous choque, la moyenne des différences interpersonnelles d’un groupe humain donné est plus grande que la différence des moyennes de ce groupe à un groupe homologue, n’importe où ailleurs dans le monde…].

     

    – «Le racisme scientifique ça produit Hitler». Deux observations : d’abord, le racisme ne peut être scientifique. Les deux termes sont antinomiques (comme une glace chaude ou un cercle carré). Le racisme ne peut être scientifique et tout travail scientifique ne peut conclure qu’à son absurdité. Par ailleurs, effectivement, le régime nazi (avec celui de l’apartheid) est le seul qui ait cherché à fonder ses délires sur une apparence de science, d’où son caractère absolu et les horreurs engendrées… Donc, je confirme: la légitimation du racisme par des arguments à coloration scientifique (on ne peut guère leur accorder davantage…) conduit bien au nazisme.

     

    – «… comme Albert Jacquard qui [démontre] par A plus B, et sans contestation possible, qu’avec un réel effort budgétaire les pygmées seraient géniaux en maths ». Quelques questions : d’abord, dans quel ouvrage d’Albert Jacquard (titre, page), avez-vous trouvé ce passage ? Jacquard a-t-il effectivement  formulé son affirmation ainsi ? Et, s’il l’a formulée ainsi – ou autrement – quelles objections scientifiques lui opposez-vous ?

     

    – « Je ne te refuse pas le droit d’être créationniste, je refuse aux créationnistes le droit  de me jeter en taule… ». Deux observations : pourquoi voulez-vous être jeté en taule ? Pour la jouissance de vous dire persécuté ? Qu’est cette paranoïa ? Pourquoi me croyez-vous créationniste ? Parce que j’ai critiqué le darwinisme ? Mais je n’ai pas critiqué le darwinisme au nom de ce qui lui était antérieur (comme le fixisme ou le lamarckisme), mais au nom de ce qui est venu ultérieurement ! Le darwinisme a été un moment important de la pensée, il a fait franchir un pas irréversible, mais s’est trouvé insuffisant pour tout expliquer (et on a eu le néo-darwinisme et le post-néo-darwinisme, et d’autres théories encore). Quant à ce que vous appelez darwinisme appliqué aux humains entre eux, il s’agit du darwinisme social, extension droitière (et abusive, si je me permets ce pléonasme) des théories de Darwin aux relations sociales, pour justifier les inégalités… Donc : à la poubelle !

     

    – Un crime est toujours abominable, quelle que soit la personne sur laquelle il s’exerce. Mais là, précisément, nous ne nous plaçons pas du point de vue individuel, mais collectif : d’une part, rapporté aux exactions des Américains, les crimes des clandestins latinos sont peu de chose, d’autre part si ces mêmes Latinos n’étaient pas traités comme des chiens par les Américains, ils ne sombreraient pas dans la délinquance.

     

    – «C’est beau un raisonnement d’extrême gauche, ça permet de faire des mises en page de folie : Quand les américains font baisser les prix, ils ont tort ils  ruinent le tiers monde, Quand les américains font  monter les prix, ils ont tort ils ruinent le tiers monde.» Où voyez-vous une contradiction ? Il n’y en a pas. Examinons plusieurs cas :

     

    – Les Américains (ou les Européens) en subventionnant leur agriculture, exportent leurs surplus (cas des ailes ou des pattes de poulet européens au Sénégal, du riz américain aux Philippines). Ces produits étant moins chers que les produits locaux, destinés à une consommation vivrière (c’est-à-dire strictement locale), ils ruinent les petits producteurs locaux. La baisse des prix, imposée à des producteurs indigènes, pour des produits consommés localement, est néfaste aux producteurs de ce pays.

     

    – Les Américains, pour ne surtout pas changer leur mode de vie (4 x 4 et véhicules tous crétins) et pour se déprendre de la sujétion des importations de pétrole, se tournent vers les agrocarburants (que cela soit une absurdité et une calamité est autre chose). Mais ces agrocarburants sont issus, précisément, de substances (en l’occurrence le maïs) qui ont aussi (et qui ont même d’abord) une vocation alimentaire. Comme une grande partie de ce maïs provient de grandes exploitations, qui ont plusieurs clients potentiels, tout accroissement de la demande provoque une hausse des prix, qui se répercute, cette fois-ci, sur les petits consommateurs non producteurs de maïs (c’est-à-dire une grande partie de la population urbaine mexicaine). Donc, la hausse comme la baisse provoquées par les pays du Nord ont des effets tout aussi calamiteux, simplement, elles ne touchent pas les mêmes catégories. CQFD…

     

    – «Vous ne semblez pas avoir de problème a dire "les blancs " quand il s’agit d’en dire du mal […]. Mais une dernière fois: n’appelez pas ça une vision non raciste.» Où voyez-vous une contradiction ? Il n’y en a pas…

     

    – D’abord, parce que, comme je le disais à un autre interlocuteur, la langue possède une inertie qui lui fait conserver des expressions lors même que la réalité (ou la croyance) qui fondait celles-ci a disparu. Ainsi dit-on «le soleil se lève», «le coq chante» ou «le vent souffle», sans pour autant adhérer à la cosmologie ptoléméenne ou conférer un caractère anthropomorphique au coq ou au vent. Parce que je ne nie pas (comme je l’ai déjà dit) les différences physiques et que j’admets aussi qu’elles peuvent être regroupées sous les noms génériques de noirs, jaunes, mulâtres, eurasiens, dravidiens, etc. [Il faut bien que j’emploie vos mots pour que vous les compreniez…].

     

    – Ensuite parce que, lorsque je dis que le modèle dominant est : mâle, hétérosexuel, instruit, riche, agressif, capitaliste (et, éventuellement blanc et chrétien), je ne le stigmatise pas en tant que tel, je reprends l’idéologie du porteur de ce modèle dominant, telle qu’il l’exprime lui-même à l’égard des catégories ne répondant pas à son canon : machisme, homophobie, mépris des pauvres et des pacifistes, aversion à l’égard de la justice sociale, croyance en la supériorité blanche, dédain des autres religions. Celui que je stigmatise, ce n’est pas le Blanc en tant que tel, auquel je ne confère aucun caractère particulier, ni en bon ni en mauvais, c’est celui qui considère ce «Blanc» comme une catégorie supérieure…  

     

     

    20 décembre 2007 à 3 h 26 min
  • no second to Répondre

    Albert

    Vous venez de me confirmer ce que je préssentais par votre style d’ écriture ampoulée à souhait.Vous êtes un pur produit du pan-afriicanisme, Cheik Anta Diop son nom m’ échappait.

    Pour l’ avoir lu,je n’ ai jamais autant ri non pas parce que je crois les Africains incapable de civilisation mais sij’ avais l’ imprsssions de lire le négatif d’ un suprémasiste blanc du KKK.

    Donc je préfere donc arréter ici mes réponses à vos articles.

    19 décembre 2007 à 22 h 49 min
  • nicolas bonnal Répondre

    c’est toujours marrant de voir des internautes s’en prendre au qi d’un prix Nobel.

    19 décembre 2007 à 20 h 21 min
  • BIB Répondre

    " Le Q.I. ne donne pas plus d’indication sur la nature de l’intelligence que la mesure de l’ampérage n’en donne sur la nature de l’électricité. Les tests de Q.I. ne sont que l’étalonnage d’un aspect très partiel de l’intelligence, dont il existe des multitudes de modalités."

    L’amperage, le voltage etc  ne donnent pas la nature de l’electricité, et encore moins celle de l’énergie, et apres?  Ce n’est pas son role.  Ces indicateur permettent en revanche de prevoir avec une certaine precision si une lampe va briller ou non.  Pareil pour le QI.

    Faux également, en ce que les tests (et le Q.I. subséquent) ne sont pas un outil universel, mais un outil connoté culturellement, et que si les Africains élaboraient leurs propres critères d’intelligence, les Européens auraient, sans nul doute, de médiocres résultats. Or, il semble que, là aussi, vous n’ayez pas fait votre révolution copernicienne. Pas plus que le soleil ne tourne autour de la Terre, le monde ne tourne autour de l’Occident et de ses valeurs. En dépit de la décolonisation, vous n’avez toujours pas appris le relativisme

    Le QI serait un outil connoté culturellement? et après? la modernité, le liberalisme economique, l’industrie, le materialisme aussi.

    Quand bien meme le QI serait il un indicateur partiel et culturellement situé, il mesure une forme de l’intelligence essentielle pour s’incrire dans un modèle économique  occidental.  On n’a pas la capacité de raisonnement  pauvrement, tristement , culturellement,  froidement  rationnel pour devenir ingenieur avec un QI inferieur à 120. Que le score  soit biaisé culturelement n’y change rien. Avec moins de 120 on peut etre un genie du sport, un marabout efficace,  un dieu de la musique, un honnete comptable, un shaman de grand talent,  mais on ne dissinera pas un avion de chasse ou un pont suspendu. Et c’est un peu ça ce qui distingue à long terme un pays riche – au sens betement froidement et tristement occidental du terme-   d’un pays pauvres – au sens aussi reducteur et culturellement  biaisé du terme-: avoir en son sein suffisament  d’individu capable de créer des aspirateur sans sac,  microprocesseur, et autre gadget qui nous coupent betement des Esprit de la riviere.

    Pour ce qui est du relativisme culturel, effectivement un homme avec 4 epouse et 25 enfant sera bien plus riche -au sens baoulé ou peul ou autre- qu’une femme célibataire ingenieur chez dassaut avec un seul enfant.

    Mais je ne vois pas en quoi l’existence de different point de vue  devrait remettre en cause la légitimité du point de vue occidental. J’admet parfaitement que pour un africain venant dans une culture ou les femme sont exisée, les femme non exisées sont des trainées. Je conçois parfaitement que pour un musulman ma fille avec son piercing ridicule au nombril soit la dernière des putes.  Mais fichtre! qu’on admette mon peu d’enthousiasme  à  les avoir comme voisins.

    je revendique mon droit total a trouver la musique asiatique absolument horrible. Depuis les bonze tibetain qui jouent n’importe quoi n’importe comment à la variété japonaise – à coté de laquelle daniel guichard serait un genre de pink floyd.

    Je revendique meme le droit de penser que les asiatiques ne sont apparement peu doués pour la chose, qu’il vivent en occident ou en asie. Contrairement aux noirs qui de duke ellington à bob marley, en passant par les gospell et les musique africaines traditionnelles,  ont produit de vrai chefs d’oeuvre. Meme le hip n’est musicalement pas ininteressant.

    vous trouvez franchement normal que penser ça soit illegal?

     "en quoi un individu qui comprend quelque chose en une heure est-il moins «intelligent» que quelqu’un qui la comprend en un quart d’heure ?"

    Parce que c’est comme ça. 

    A partir du moment ou l’on admet qu’on ne se baigne jamais 2 fois dans le meme fleuve et que la réalité est changeante, on admet que la vitesse de formation d’un jugement, d’une reflexion n’est pas un critère anodin  quand on mesure la capacité d’un individu à maitriser cette realité. 

    De surcroit, l’intelligence ne sert pas qu’à comprendre, elle sert aussi a produire. Mettre 4 fois plus de temps a formuler un raisonnement, mettre 4 fois plus de temps qu’un autre  pour effectuer une recherche, dessiner un avion, prendre une decision d’achat quelconque c’est un desavantage  enorme d’un point de vue trivialement bassement, occidentalement economique. Inventer le transistor en 2006, le moteur à explosion en 2031, le vélo en 2065,  ne presente aucun interet. D’autre l’on fait a votre place. Embaucher un ingenieur qui vous pondra un travail en 2 ans quand d’autre mettraient 6 mois ne presente aucun interet.

    c’est comme ca. c’est la vie.

      "Faux en ce que ces tests partent des présupposés des principes sociaux darwinistes, datant du XIXe siècle, qui exprimaient moins un point de vue scientifique qu’une prise de position idéologique. Faux en ce que les tenants de cette thèse empilent au moins deux séries d’hypothèses hasardeuses : d’une part l’hérédité du Q.I. (dont les auteurs du test reconnaissent eux-mêmes qu’elle est douteuse !) "

    Pourquoi diable les chercheurs darwiniste auraient le monopole du biais idéologique? Albert jacquard ou lyssenko serait des modèle de probité?

    les argument des "scientifiques" antiraciste:

    1)  les hommes sont génétiquement identiques à 99,9%

    On entendait déjà ça avant meme que le sequençage global du génome humain soit commencé… On est passé d’une estimation de 100 000 gène à finalement 20 000 à 25000 gènes exprimés. Et les connaissances sur le génome sont encore tres aproximatives.  ce qui n’empeche pas les "scientifique antiraciste" d’annoncer benoitement, au doigt mouillé, et 30 ans avant de pouvoir verifier leur hypothese que les diferences raciales sont " peu significative".

    2) les difference entre les individu d’un meme "groupe racial" sont plus forte qu’entre les "races".

    ce qui est aussi pertinent que de dire: il y a un plus grand écart entre le maximum et le minimum de temperature à  toulouse qu’entre la temperature moyenne  entre toulouse et lille. (Il fait aussi tres froid a toulouse). Donc les diference de climat entre toulouse et lille sont marginale et sans pertinence.  absurde.

    3) le racisme scientifique ça produit hitler.

    l’argument débile qui permet à un obscur journaliste de libé de donner des leçon de génétique au co-découvreur de l’ADN et prix nobel de medecine.

    Il n’y a pas les méchant scientifiques qui grugent leurs resultats pour justifier d’infame politique réactionnaire et de l’autre d’honnete scientifique, la rigueur chevillé au corps comme albert jacquart qui demontrent par A plus B et sans contestation possible qu’avec un réel effort budgetaire les pygmées seraient géniaux en maths .

    Si on admet que l’homme n’est pas le fils de dieu créé au sixième jour, mais un animal de la famille des primates, si l’on admet qu’on a plus de point commun avec un chimpanzé qu’avec un dauphin, avec une souris qu’avec un oiseaux, avec un oiseaux qu’avec une abeille bref, si l’on admet la nature animale de l’homme on accepte les règles darwinienne pour expliquer au moins en partie le fonctionnement du genre humain.

    Je ne te refuse pas le droit d’etre créationniste, je  refuse aux créationniste le droit  de me jeter en taule pour affirmer que l’homme est un animal à peu pres comme les autres soumis à peu pres aux meme règles.

    "D’abord au point de vue du rapport des préjudices. Depuis les années 1840, les Etats-Unis n’ont cessé d’exercer, sur l’Amérique latine, des prédations en tout genre (conquêtes, annexions, complots, putschs, interventions armées, bombardements, détournements, exploitation, déstabilisations, soutiens des oligarchies et des dictatures, entraînement des polices locales à la torture, déversements de déchets toxiques, etc.).  "

    les crime commis par les clandestins sont à prendre en compte. Ne pas le faire c’est trouver normal que la vie d’un blanc ne vale rien. L’immigration clandestine ce n’est pas seulement des africain qui meurt sur des barque et des eboubeur pas trop cher, c’est aussi en france un gamin de quinze ans qui se fait assasiné a la hache par un clandestin marocain. Un gamin de 15 ans qui n’aurait pas connu cette fin atroce si les frontiere etaient défendues.  Ce genre de détail est a mettre dans la balance quand on juge du phenomene migratoire.  

    "Ensuite, en raison de l’ordre des causalités. Si les Américains ne détournaient pas les eaux des fleuves frontaliers ou transfrontaliers avec le Mexique, tuant ainsi l’agriculture locale, s’ils n’avaient pas ruiné les paysans mexicains avec l’Alena (Accord de Libre Echange Nord Américain), s’ils ne faisaient pas gonfler artificiellement le prix du maïs (aliment de base) en raison de sa transformation en éthanol (pour mettre dans leurs 4 x 4 et véhicules « tous crétins »), s’ils ne soutenaient pas toutes les oligarchies locales et leurs tyranneaux, les Battista, Somoza, Pinochet, Banzer, Galtieri, etc., s’ils ne réduisaient pas les Sud-Américains à la misère, ceux-ci seraient moins nombreux à émigrer aux Etats-Unis. Vous avez de l’Amérique latine une vision de Hollywood, où les Latinos sont invariablement fourbes, paresseux, sales, envieux, incapables et traîtres… Sortez un peu : les torts ne sont pas là où vous l’imaginez."

    Y a exactement 3 posts vous ecriviez que les subventions agricoles des pays du nord ruinent le sud en maintenant des prix trop bas sur le marché mondial.

    Maintenant que les états unis font monter les prix sur le marché mondial  avec les biocarburant il ruinent aussi le tiers monde.

    c’est beau un raisonnement d’extreme gauche, ça permet de faire des mises en page de folie:

    Quand les americains font baisser les prix, ils ont tort ils  ruinent le tiers monde, Quand les americains font  monter les prix, ils ont tort ils ruinent le tiers monde.

    Ne rayer aucune mention, les utiliser en alternance et s’acheter un poster du hezbollah.

    Je veux bien admettre que les blancs – vous ne semblez pas avoir de probleme a dire "les blancs " quand il s’agit d’en dire du mal- soient particulierement mauvais, exploiteurs, racistes. Pourquoi pas apres tout,  ça nous change des juifs. Mais une derniere fois: n’appelez pas ça une vision non raciste.

     

    19 décembre 2007 à 17 h 25 min
  • Anonyme Répondre

    SAS  : "explique moi pourquoi dans les contre allée di boulevard haussemann,ou a tilsit,ou victor hugo, là où toute les ambassades africaines se trouvent, il y a autant de client et de diplômés de nos grandes ecole militaire et civil, st cyr, polytechnique,maistrance, ena,science po, dauphine……"
     – Probablement parce que c’est toi, ou quelqu’un comme toi, qui a corrigé leur copies. Tu le reconnais toi-meme, et c’est connu, et le double standard est généralisé… Pourquoi le faire pour un seul et vexer tous les autres?

    Surpris que les explications de Bib ne t’aient pas convaincu, elles me paraissent tres claires, tres justes, et, by the way, gros malin, tu défends les EXACTES meme theses que tes potes les Francs-Macs, et je me souviens, tres bien, il y a qqs années, avoir entendu ce gros noir, sur l’estrade, parmi une dizaine de grands maitres, bardés de tablier, sautoir, calot et j’en passe, répondre a la question d’un zozo, "qu’il n’y avait pas de différences (entre races) et que lui, n’est ce pas, il préférait le métissage" …. Tu veux aussi que je t’explique ce qui lui plait, au grand maitre black et franc-mac, dans le métissage? Hein? Dis donc, ton Altesse, tu veux vraiment que je t’explique?

    Il n’y a pas eu d’offense envers ton copain Lahitte, il faut etre tordu pour en avoir vu, et cela a été expliqué, il n’y aura donc pas d’excuses.  Accessoirement, puisque tu parles de subtilité, tu ne lui rends pas service, a J.C.T. , en venant a son secours, car d’abord, il n’est pas attaqué, sauf dans ta parano, et ensuite, et surtout, cela implique qu’il ne serait pas capable de se défendre lui-meme… CA, c’est une vrai insulte!
    Mais toi, par contre, Ton Altesse, tu deviens un vieux con, car tu cherches a etre vexant et tu deviens vulgaire, comme avec l’exemple de l’éprouvette, et cela est pathétique et montre ta faiblesse, et cela est simplement la vérité. Tu perds pieds, mon coco, et donc tu me décois. Allez,  joyeux Noel!

    Best,

    Mancney

    19 décembre 2007 à 16 h 29 min
  • Albert Répondre

    @ No second to

     

    – Il n’y a aucune contradiction dans mes propos ! Parce que la langue possède une inertie qui lui fait conserver des expressions lors même que la réalité (ou la croyance) qui fondait celles-ci a disparu. Ainsi dit-on «le soleil se lève», «le coq chante» ou «le vent souffle», sans pour autant adhérer à la cosmologie ptoléméenne ou conférer un caractère anthropomorphique au coq ou au vent. Parce que je ne nie pas (comme je l’ai déjà dit) les différences physiques et que j’admets aussi qu’elles peuvent être regroupées sous les noms génériques de noirs, jaunes, mulâtres, eurasiens, dravidiens, etc. [Il faut bien que j’emploie vos mots pour que vous les compreniez…]. Simplement, je dis que ces différences sont superficielles et qu’elles n’ont aucun rapport avec des traits d’intelligence, de caractère ou de comportement. Les noirs ne sont pas plus «doués» pour courir derrière un ballon que les blancs ne sont «doués» pour découvrir la relativité… Contrairement à ce que vous pensez, la pensée de gauche ne s’oppose pas à celle de droite (comme un point s’oppose à un autre de part et d’autre d’un axe ou d’un plan de symétrie) : elle l’englobe, comme l’espace englobe le plan. A vos arguments, je n’oppose pas un «contraire», mais une multitude de «contradictoires»…

     

    – Sur le Sénégal, vous êtes reparti dans les mêmes poncifs (croyances, lieux communs…) qui avaient amené la scandaleuse loi du 23 février 2005, portant reconnaissance «du rôle positif [sic] de la présence française outre-mer, notamment en Afrique du Nord». Vous en êtes resté, sur la question coloniale, au niveau des expositions du même nom, c’est-à-dire à l’avant-guerre. Cinquante ans de travaux scientifiques semblent vous échapper, notamment ceux de l’historien sénégalais Cheikh Anta Diop, mais aussi, entre autres, ceux du sociologue Georges Balandier ou de l’historienne Hélène d’Almeida-Topor. Tous montrent la modernité des sociétés africaines et réhabilitent un passé longtemps déformé. Savez-vous, par exemple, qu’alors que l’Europe était encore féodale l’Afrique connaissait des royaumes «constitutionnels» dotés de contre-pouvoirs, que ne désavoueraient pas les promoteurs actuels de la «bonne gouvernance» ? Savez-vous que l’université de Sankoré, dans l’actuel Mali, comptait vingt-cinq mille étudiants au XVIe siècle ? Savez-vous que des milliers de manuscrits centenaires, trouvés notamment à Tombouctou, recèlent toute l’étendue du savoir technologique africain avant l’arrivée des Blancs ?

     

    [En passant, juste comme ça, un conseil : sur l’Afrique et la colonisation, il n’y a pas que des publications de droite, il y a aussi des publications intelligentes…].

     

    Je ne vois pas en quoi votre remarque sur le Groenland répond en quoi que ce soit à mes considérations sur le statut d’invisibilité des différences physiques…

    19 décembre 2007 à 14 h 25 min
  • Albert Répondre

    @ Bib

     

    – Lorsque vous entendez expliquer les différences de civilisation par les climats, vous plaisantez ? Que Montesquieu y ait cru, passe encore, mais, en 2007, vous n’allez pas couper dans ces âneries ! Cela ne vaut pas pour un grand nombre de civilisations asiatiques, qui relèvent de la zone intertropicale (Inde, Indochine), ce qui ne les a pas empêchées de développer des civilisations brillantes. Et cela ne vaut pas non plus pour l’Afrique, qui a, elle aussi, développé de brillantes civilisations, et il faut avoir l’inculture crasse de Sarkozy pour débiter le lamentable discours de Dakar (26 juillet 2007), sommet de tous les poncifs en la matière…

     

    – Les chiffres que vous fournissez sur les Q.I. n’ont, à tous les égards, aucune valeur ! Je répète donc ce que je ne cesse de répéter depuis le début.

     

    1. Le Q.I. ne donne pas plus d’indication sur la nature de l’intelligence que la mesure de l’ampérage n’en donne sur la nature de l’électricité. Les tests de Q.I. ne sont que l’étalonnage d’un aspect très partiel de l’intelligence, dont il existe des multitudes de modalités. Vous assimilez naïvement intelligence et niveau technologique. Vous commettez, à cet égard, une faute de logique : si l’essor de la technologie en Europe postule une forme d’intelligence, son moindre développement en Afrique n’implique nullement – ne vous en déplaise ! –que les formes d’intelligence qui y sont rattachées le cèdent en quoi que ce soit à celles des pays du Nord. Si A implique B, non-A n’implique pas logiquement non-B…

     

    2. Vous avez, envers le Q.I. une attitude fétichiste, lié au caractère hypothético-déductif (ou inductif) d’un grand nombre de questions des tests. Comme beaucoup de monde, vous êtes hypnotisé par les sciences de la matière qui nous ont donné barre sur le monde (physique, chimie, biologie…) et qui, soit fonctionnent selon cette démarche, soit utilisent l’outil mathématique. Et vous pensez ingénument : «si nous avons inventé le portable et qu’eux en sont restés au tam-tam, c’est que nous sommes “meilleurs” qu’eux !». Ce qui, d’un point de vue épistémologique, est faux, à de multiples points de vue :

     

    – Faux, d’abord, en ce que l’usage d’outils savants (par exemple ceux des mathématiques) n’implique pas pour autant la rigueur de l’étude à laquelle s’appliquent ces outils. Ainsi en est-il par exemple de l’économie, friande d’équations, de dérivées, d’intégrales, de logarithmes mais qui, lorsqu’elle se réclame de l’école de Chicago, n’a, en fait, qu’une visée idéologique (justifier la domination des riches…).

     

    – Faux, ensuite, en ce que le discours «sur» la science n’est pas le discours «de» la science. Ce n’est pas parce qu’un individu a fait preuve de capacités intellectuelles au cours de tests que les conclusions que l’on peut tirer de ces tests peuvent prétendre à une valeur identique.

     

    – Faux également, en ce que les tests (et le Q.I. subséquent) ne sont pas un outil universel, mais un outil connoté culturellement, et que si les Africains élaboraient leurs propres critères d’intelligence, les Européens auraient, sans nul doute, de médiocres résultats. Or, il semble que, là aussi, vous n’ayez pas fait votre révolution copernicienne. Pas plus que le soleil ne tourne autour de la Terre, le monde ne tourne autour de l’Occident et de ses valeurs. En dépit de la décolonisation, vous n’avez toujours pas appris le relativisme…

     

    – Faux, encore, en ce les tests comportent un élément culturel propre à l’Occident, et qui est celui de la vitesse (les tests sont chronométrés). Or, la validité de cet élément ne va nullement de soi : en quoi un individu qui comprend quelque chose en une heure est-il moins «intelligent» que quelqu’un qui la comprend en un quart d’heure ? Or, non seulement cet élément est culturel, mais il est profondément idéologique (voir, par exemple, l’aversion des ultralibéraux pour les limitations de vitesse ou la propension presque obsessionnelle de Jean-Marc Sylvestre à user de métaphores liées à la vitesse).

     

    – Faux en ce que les tests qui prétendent démontrer un Q.I. inférieurs des Noirs reposent sur une foule d’approximations, d’à peu près et d’a priori. Faux en ce que ces tests partent des présupposés des principes sociaux darwinistes, datant du XIXe siècle, qui exprimaient moins un point de vue scientifique qu’une prise de position idéologique. Faux en ce que les tenants de cette thèse empilent au moins deux séries d’hypothèses hasardeuses : d’une part l’hérédité du Q.I. (dont les auteurs du test reconnaissent eux-mêmes qu’elle est douteuse !) et le glissement du raisonnement des classes aux «races». Faux en ce que les auteurs, parmi les trois conceptions de l’intelligence (la classique, la révisionniste et la radicale), choisissent précisément la première… qui fonctionne selon la circularité du raisonnement ! Faux en ce que les auteurs du test ne mettent en évidence que des relations faibles entre les variables dépendantes et les facteurs déterminants. Faux en ce que pour pouvoir mieux dessiner leur courbe en cloche, les auteurs ont exagéré de petites différences en haut et en bas de l’échelle des scores d’intelligence, ce qui leur a permis de «démontrer» que les extrêmes sont significatifs, puisque les 5 % du haut (l’« élite cognitive») seraient infiniment plus intelligents, et les 5 % du bas (les «très bêtes») infiniment plus stupides que le reste des Américains.

     

    – Faux en ce que les auteurs réfèrent leur étude à des catégories aussi fantaisistes que les notions de «noir», de «blanc» ou de «métis», sans fournir (et pour cause !) la moindre définition scientifique de ces notions fumeuses. Faux enfin parce que, même si tous les protocoles avaient été réalisés de façon scientifique, ils n’établiraient qu’une corrélation, laquelle, même si elle se vérifiait à 100 %, n’en ferait pas pour autant une relation de cause à effet !

     

    En ce qui concerne les femmes, ce que vous prenez pour des traits intrinsèques : la patience vis-à-vis des enfants, le sens de l’organisation, la capacité à effectuer plusieurs tâches intellectuelles simultanément, la sensibilité à la décoration, ne sont pas des traits génétiques mais culturels. Vous sortez des poncifs des années 1950 ! Et – là aussi ne vous en déplaise – je vous confirme que la société de jadis s’est bien fondée sur l’oppression des femmes.

     

    …Oppression des femmes, ainsi que de toutes les catégories qui ne répondent pas au modèle dominant : mâle, hétérosexuel, instruit, riche, agressif, capitaliste (et, éventuellement blanc et chrétien). Or, la caractéristique essentielle du pouvoir dominant est qu’il doit exercer sa domination de façon invisible, pour que celle-ci soit assimilée, intégrée comme «naturelle» par les strates dominées. Point n’est besoin d’exercer des contraintes physiques visibles : la pression sociale, la paresse intellectuelle, le poids des habitudes font rentrer dans le rang. Et ce qui horripile la droite c’est qu’on remette en cause ce modèle, qu’on lui conteste son caractère « naturel ». Car, voyez-vous, rien de ce que vous croyez être « naturel » ne l’est : tout est construit, artificiel, culturel, imposé. Comme le disait Simone de Beauvoir : «On ne naît pas femme, on le devient»…

     

    «15 000 Américains ont été assassinés ces 5 dernières années par des clandestins. Sans même compter les rackets, agressions, viols et autres crimes violents. Sans même parler des meurtres commis par les latinos légaux » : argument sans valeur ! Nul ! Sans importance !

     

    – D’abord au point de vue du rapport des préjudices. Depuis les années 1840, les Etats-Unis n’ont cessé d’exercer, sur l’Amérique latine, des prédations en tout genre (conquêtes, annexions, complots, putschs, interventions armées, bombardements, détournements, exploitation, déstabilisations, soutiens des oligarchies et des dictatures, entraînement des polices locales à la torture, déversements de déchets toxiques, etc.). Et tout ça, bien avant que le communisme existe, et bien après qu’il a disparu. Quand vous m’évoquez ces 15 000 morts (que, d’ailleurs, je conteste) c’est comme si vous me disiez que la Terre, à cause des montagnes, n’est pas ronde…

     

    – Ensuite, en raison de l’ordre des causalités. Si les Américains ne détournaient pas les eaux des fleuves frontaliers ou transfrontaliers avec le Mexique, tuant ainsi l’agriculture locale, s’ils n’avaient pas ruiné les paysans mexicains avec l’Alena (Accord de Libre Echange Nord Américain), s’ils ne faisaient pas gonfler artificiellement le prix du maïs (aliment de base) en raison de sa transformation en éthanol (pour mettre dans leurs 4 x 4 et véhicules « tous crétins »), s’ils ne soutenaient pas toutes les oligarchies locales et leurs tyranneaux, les Battista, Somoza, Pinochet, Banzer, Galtieri, etc., s’ils ne réduisaient pas les Sud-Américains à la misère, ceux-ci seraient moins nombreux à émigrer aux Etats-Unis. Vous avez de l’Amérique latine une vision de Hollywood, où les Latinos sont invariablement fourbes, paresseux, sales, envieux, incapables et traîtres… Sortez un peu : les torts ne sont pas là où vous l’imaginez.

    19 décembre 2007 à 0 h 58 min
  • no second to Répondre

    Albert

    Contrairement à ce que l’on entend souvent dire, et qu’on répète bêtement, il n’y a pas – et il n’y a jamais eu – aux Etats-Unis, de «problème noir». Ce ne sont pas les Noirs qui posent problème, ce sont les Blancs ! Comme dans le cas des allergies, ce n’est pas la substance allergène (inoffensive pour les sujets sains) qui est nocive, mais l’organisme qui réagit de façon exagérée et inadaptée, et qu’il faut rééduquer. C’est à la société blanche de se faire à la noire (en attendant, comme je le dis plus loin, de lui accorder un statut d’égalité et d’invisibilité).

    Donc selon vous il y a un probléme blanc,moi qui croyait selon vos écrits qu’ il n’ y avait pas de race car s’ il n’ y pas de race ,il n’ y a pas de racisme donc toutes vos théories et vos phrases ampoulées ne sont billevesées et calembredaines.

    Enfin tout est de la faute des vilains occidentaux colonialistes si le peuple noir n’ arrive pas à se dévellopper comme tout autre ethnie de cette terre.En 1950 la Corée sortait d’ une guerre sanglante 55 ans plus tard ellepossée une économie florissante,le Sénégal accéde à l’ indépendance en 6 avec une situation écomique correct un réseua routier et ferroviére en parfait  état ,45 ans plus tard ce pays n’est plus que l’ ombre de ce qu’ il était,la faute peut être aux méchants colons partis trop tôt.

    Je ne souhaite qu’une chose : que les différences physiques entre humains acquièrent un statut d’invisibilité, conformément, d’ailleurs, à ce qu’elles sont : insignifiantes

    Souhait ubuesque car,une personne vivant au Groënland n’ aurat pas le même régime alimentaire etun climat différent que son clone vivant sous les tropiques,petit à petit les générations suivantes s’ éloigneront physiquement l’ un de l’ autre.

    Revoyez donc votre copie, cher grand architecte de l’ univers.

    Pas bon Banania

    18 décembre 2007 à 23 h 58 min
  • Anonyme Répondre

    Bravo, bib, bravo. Un vrai plaisir, thanks.
    Juste, pour le métissage, laissons faire mother Nature, elle ne se démerde pas trop mal, et il n’est pas nécessaire de l’encourager, d’en faire une "norme", ( médias) de tendre a le généraliser, car ceci n’est pas le but naturel et nous devons et souhaitons conserver les différentes races, héritages fabuleux de millénaires d’échanges entre l’humain et son milieu, entre l’homme et le sol.
    Pour l’amour de Dieu ou pour celui des Hommes, gardons nos différences.

    Best,

    Mancney

    18 décembre 2007 à 15 h 49 min
  • sas Répondre

    A manceney…..

    Outre le fait que j’attend toujour tes excuses…(c’est un acte d’intelligence et grandeur) a l’attention de jean claude…..pour le commentaire inutile dont tu t’es senti obligé….

    laisse moi te préciser quelques points….

    -si ta theorie fumeuse du 50/50 valable en patisserie…(4/4), explique moi pourquoi dans les contre allée di boulevard haussemann,ou a tilsit,ou victor hugo,là où toute les ambassades africaines se trouvent, il y a autant de client et de diplômés de nos grandes ecole militaire et civil, st cyr, polytechnique,maistrance,ena,science po,dauphine……

    A ce jour , mon ami, je te redis que les cursus universitaires sont avant tout une question de temps et de moyens financiers….quitte au finnal a acheter le diplôme….ca c’est un fait

    bien sure ,il y a une part d’herédité vérifiable……et toi tu ressemble etrangement à l’eprouvette qui ta donné le jour…..probablement enfant d’un essai raté…..don un peu transparent, rigide et cassant…

    Pour ce qui est de l’equilibre des chose :le tao n’est assurément pas quantifiable à la sauce comptable….c’eest beaucoup plus subtile….un peu comme l’hypersustentation…l’avion ne reposant pas sur l’air…mais la dépression extrados etant supérieur à la gravité…la portance peut avoir lieu

    les choses sont souvent un peu plus compliqué qu’il y parait mon ami… en conséquence fait preuve d’humilité…. et pésente tes excuses à lahitte qui, loin d’être un vieux con , nous enrichit continuellement de son savoir..particulièrement précis et juste sur nompbre de sujet…

    sas te salut…

    18 décembre 2007 à 12 h 02 min
  • bib Répondre

     Je ne nie pas les différences d’apparence physique. Je dis qu’elles sont superficielles et sans valeur (comme serait le regroupement des véhicules terrestres à moteur d’après leur couleur ou leur numéro minéralogique). Ces différences externes (que vous appelez «races») sont doublement superficielles. Elles le sont, d’une part, au point de vue physique pur, en ce qu’elles ne sont pas plus significatives (ou plus prégnantes) – et, souvent, d’ailleurs, largement moins ! – que tel caractère qui vous sépare de quelqu’un de votre «race» et qui fait que l’un est râblé et l’autre longiligne, l’un sujet au diabète et l’autre aux maladies cardio-vasculaires ou à telle affection de la vue ou de l’ouïe, ou, à l’inverse, doté d’une meilleure vue ou d’une meilleure longévité, etc. Enfin, elles sont superficielles en ce qu’elles n’entretiennent pas une relation causale avec ce qui relève proprement de l’humain, comme les capacités intellectuelles, le caractère ou le tempérament. Et, la preuve, c’est que personne ne m’a répondu sur les critères permettant de relier, dans un sens ou dans un autre (a priori ou à l’aveugle) une épreuve de concours à un candidat…

    Prend un animal qu’on appelera A.  A est un grand singe, un animal d’origine tropicale. Il est  d’ailleurs, l’un des rares animaux à ne plus pouvoir synthétiser la vitamine C, ce qui n’est possible que dans un milieu ou la vitamine C abonde . Il ne voit pas tres bien la nuit, il ne voit pas tres bien de loin, mais arrive a distinguer de tres nombreuse nuances de couleurs. Ce qui est typique des primate: distinguer les couleurs est un avantage selectif important pou un regime essentiellement vegetarien et frugivore. ( distinction des different fruit, reconnaissance du stade de maturité de fruit etc..)

    Le trait commun de tous les A, ce n’est pas de s’adapter au milieux, c’est d’adapter le milieux  à ses besoins. A au groenland reussie a se recréer un milieu tropical au tour de son corps grace a des vetement en peau d’animaux.

    A est doué d’intelligence, c’est a dire de  reproduire mentalement et de manière abstraite le fonctionnement de son environnement. Il a la capacité de le prolonger.

    La population  A va vivre separement  pendant plusieurs milliers d’années:

    l’une en europe, dans un milieux relativement froid, avec des variation saisonnieres forte.

    L’autre en afrique dans un milieux chaud, avec des variation saisonnière moins importante.

    Les A d’europe devellopent l’agriculture ce qui pousse la population a une densité importante.  Il n’y a pas de migration possible au cours de l’hiver les zone du sud sont déja peuplés et n’acceptent pas la competition pour les ressources alimentaire sur leurs sol.  De surcroit meme le sud de l’europe connait des cycles été hiver  qui ne permettent qu’une recolte annuelle.

    Parmis les A d’europes, les gagnants de  la selection naturelle sont les communauté qui maitrisent le mieux l’agriculture, et savent le mieux gérée politiquement la repartition de la récolte au cours de l’année. Les populations A subissent une double contrainte pour la gestion de l’alimentation: stocker par temps froid en hiver, stocker par temp chaud en été.

    A etant un animal tropical à l’origine, il doit avoir une capacité de domination sur son environnement beaucoup plus forte lorsqu’il vit dans un climat tempéré.

    Construire des maison chauffable est une question de survie, gérer l’aprauvisionnement en bois est une question de survie, rechercher l’efficacité dans les vetements est une question de survie.

    Les communautés dont les membre n’ont pas la capacité d’anticipation suffisante pour  gérer des stock et contenir les menace exterieurs sont éliminés.

    L’organisation tribale est rapidement balayée. La mutualisation des efforts militaire avantages les populations  dont le sentiment d’appartenance depasse le cercle familliale ou clanique.  L’espace de solidarité depasse le cercle du village ou de la famille. 

    L’afrique est un territoire immense et tres peu densement peuplé. les migration y sont possible. La pression de l’environnement y est plus forte et plus difficilement maitrisable. 

    Les vecteurs des maladie infectieuse sont des parasites. Les moustiques vecteur de malaria désavantagent les population installée pres des sources d’eau et pratiquant l’agriculture, les pathogène d’origine animales desavantage les population pratiquant l’élevage. L’entretiens de l’habitat joue  à la marge dans la survie, la faible densité humaine limite les grande épidémie infectieuse.

     Il n’est pas possible d’éliminer les animaux nuisible, les grand fauves, en raison de l’immensité du territoire et de la faiblesse numerique des population humaine.

    Le climat stable en afrique équatoriale dispensent  des contrainte de stockage. Il est possible de faire plusieurs recolte par an par l’agriculture ou de pratiquer la ceuillette de maniere extensive.

    La chaleur limite le stockage à long terme de la nourriture. On chasse au jour le jour.

    La pression de l’environnement,  par les predateur et la faible densité humaine, n’avantage pas les civilisation basées sur la domination de la nature ( domestication animale etc) .

    Penser que l’europe et les climats à forte saisonnalité ont créé des l’origine une pression selective sur l’intelligence plus forte que les climat chaud  a faible variation saisonnière n’est pas totalement non scientifique.

    les difference de QI entre les differentes races humaines sont avérés. Seules les cause sont discutable. Les noir americains relativement métissés arrive a 85. Les noir d’afriques sont en dessous de 80.

    le seuil de 115 est dépassé par 16% de la population blanche. Contre 1% de la population noire. 115 c’est le seuil minimal pour reussir des etudes universitaire et exercer une profession intellectuelle.

    seulement 1% de la population africaine à les aptitudes pour fournir les médecins,  les ingenieurs, les enseignants dont une société a besoin pour se develloper sur un modèle de type occidental.

    C’est trop peu.

    50% des population d’afrique noir scorent à moins de 75. Ce qui est beaucoup trop pour esperer l’emergence d’un systeme democratique, d’une organisation efficace etc.

    C’est trop.

    Quand on tient compte de ces élément, on conclue que l’afrique a plus besoin d’immigrant chinois que d’emigrés en europe.

    Le «politiquement correct» n’est pas une invention «marxiste» pour brimer la «majorité silencieuse», mais une manipulation de la classe dominante qui sent le pouvoir idéologique lui échapper. Or, ce pouvoir lui est indispensable car les dominés, pour accepter la domination, doivent l’avoir intégrée comme légitime, sinon le pouvoir apparaîtrait crûment pour ce qu’il est : une tyrannie. Aux Etats-Unis, le modèle traditionnel de la domination est blanc, mâle, riche, hétérosexuel (accessoirement, anglo-saxon et protestant). La manipulation consiste, alors qu’on dispose toujours du pouvoir, à se faire passer pour l’opprimé (d’où, dans un autre domaine, les attaques – aussi lourdes que laborieuses – portées par les mêmes milieux contre les féministes ou les homosexuels). Dans un renversement sans vergogne des causes et des conséquences, cette manigance justifie alors, contre les catégories stigmatisées (noirs, latinos, femmes, homosexuels…), l’oppression qu’on ne cesse d’exercer contre elles… Comme, sous l’Ancien Régime et, jusque sous la Monarchie de Juillet, les bourgeois et les privilégiés se plaignaient de l’insécurité endémique des tire-laine, coupe-jarrets, voleurs de grand chemin et autres assassins, alors que cette insécurité était précisément issue de l’oppression des classes populaires (d’où provenaient ces déviants), provoquée, elle, par l’attitude des classes privilégiées ! Singulière perversion qui consiste à accuser les autres de ce qu’on les a contraints à faire

    Pendant des millénaires, l’homme s’est occupé de la chasse et de la defence de la communauté, la femme de la cueuillette et des enfants.

    Les hommes ont hérité d’un plus grand sens de l’orientation, d’une meilleur vision dans l’espace, d’une plus grande force physique, d’une plus grand agressivité, d’une plus grande habileté au lancé.

    On a pas isolé de "gène du lancer de balle", on observe qu’un petit garçon maitrise instinctivement le derouler du poignet, et d’une plus grande fluidité dans le geste. Est ce indirectement l’effet d’hormones male sur le devellopement  de la zone du cerveau dédiée à l’intelligence kynesistique? probablement.

    Les femmes ont une plus grande patience vis à vis des enfants, un plus grand sens de l’organisation, une plus grande capacité à effectuer plusieurs taches intellectuelle simultanément.

    L’homme est sensible à l’architecture, peu sensible à la decoration.

    Le féminisme m’exaspère quand il nie l’evidence de cet héritage, et fait passer toute l’évolution des société actuels pour le fruit d’un combat d’émancipation.

    S’il y a des femmes routiers aujourd’hui, ce n’est pas seulement  parce que des femmes ont lutté contre le milieu macho des chauffeurs  poids lourd. C’est surtout parce que les camion sont tous equipés de conduite assistée. Il n’y avait pas de femmes parmi les routiers, il n’y avait pas non plus de maigrichon d’1 metre 60. 

    Le progrès technique permet une refondation des société humaine, c’est un fait souvent heureux. Mais penser que l’histoire s’est faite sur une logique d’oppression des femmes par les hommes est un discours idiot.

    ce n’est pas seulement la société qui discrimine ce sont les tache a acomplir qui sont plus ou moins discriminante.  Une société ou l’homme dit a sa femme " tu vas nous rammener 11 tonnes de pierres pendant que je m’occupe des enfants" n’est rationnel que si des machine limitent l’effort physique a fournir.

    Ce qui m’exaspère c’est le jugement strictement moral que les progressiste portent sur les société humaine.

    Une société ou des femmes émancipées pondent un enfant sur mesure à 41 an apres une carrière dans l’armée de l’air n’est pas bonne ou mauvaise. Elle est sans avenir.

    Cette évolution est celle qui conduit l’ensemble de l’humanité vers plus d’égalité, aussi bien individuelle que collective, ce qui implique, corrélativement, l’élévation des uns et l’abaissement des autres. [Pour que les gauchers ou les homosexuels se considèrent comme normaux, les droitiers ou les hétérosexuels doivent être détrônés de leurs certitudes]. On comprend que les catégories qui tiennent le haut du pavé fassent de la résistance ! Pour ce qui concerne la question des «races», je n’ai pas de philosophie : je ne suis ni pour le métissage ni contre, et je pense qu’il n’est pas sage, là-dessus, d’adopter une position de principe. Je ne souhaite qu’une chose : que les différences physiques entre humains acquièrent un statut d’invisibilité, conformément, d’ailleurs, à ce qu’elles sont : insignifiantes…

    Entre une europe  blanche, feminisée, egalitarisée, qui ne fait que 1,3 enfant par femmes, et une afrique patriarchale, miserable, homophobe, exiseuse,  et qui fait 6 enfant par femme, c’est l’afrique qui supplante l’europe et qui l’envahit.

    ce n’est pas parce que le communisme est immoral que l’urss s’est effondré, c’est parce que communisme  produit un systeme  inefficace.

    Pour un enfant qui nait sur terre dans une famille occidentale tolérante et gay frendly, combien naissent dans des famille musulmane traditionnelle a des années lumiere de tes idéaux démocratique?

    A quand une gay pride au caire?

    Le systeme de pseudo tolerance, de padamalgame, de faupastygmatiser, ne marche que dans un monde hyper fliqué avec une propagande de chaque instant.

    Les latinos sont stygmatisé? 15 000 americains ont été assasiné  ces  5  derniere années par des clandestins. Sans meme compter les racket, agression, viols et autre crime violent.  Sans meme parler des meutre commis par les latinos légaux.

    15 000 americain tués par des clandestins.  Aucun média francais n’en a fait mention quand l’amerique débattait de renforcer sa frontiere mexicaine.

     

    17 décembre 2007 à 18 h 17 min
  • Anonyme Répondre

    SAS : " alors que cela ne relève que de l’environnement et des moyens."

    Ca te plairait, hein? Pas de bol, l’atavisme, qui est une somme de "environnements et de moyens" accumulés depuis des millénaires, joue pour 50%.
    Pourquoi pourrais tu avoir le nez de ton grand pere et les yeux de ta maman sans r
    écupérer au passage un peu de matiere grise? Common sens, ton Altesse.
    Et ainsi, notre fonctionnement est issue, en gros, de moitié héritage, moitié éducation / environnement.
    Et cela s’appelle un équilibre, tu sais, ce qui tient la planete a sa place, ce qui fait voler les avions, ce que tu ne connais pas bien, "l’équilibre", mon grand!
    Voila, ton Altesse, t’es peut-etre bete parce que ton papa n’
    était pas tres malin: c’est la chaine. Pire que la chaine, c’est la Galere! Mais te bile pas, t’es pas trop mal servi, car nous avons observé que toutes tes conneries sont intelligentes!

    Dis donc, ca ne t’interpelle pas, cette histoire de tous ces zozos, toi inclus, qui refusent absolument tous liens avec leur géniteur?! Ca cache quoi, ca? Pas un grand amour filiale, en tout cas… Attends, attends…  c’est pas un psy, qu’on appercoit la bas, et qui t’attend?

    Have a great day, ton Altesse, et mes salutations.

    Mancney

    17 décembre 2007 à 16 h 02 min
  • Albert Répondre

    @ Bi

     

    – Je ne nie pas les différences d’apparence physique. Je dis qu’elles sont superficielles et sans valeur (comme serait le regroupement des véhicules terrestres à moteur d’après leur couleur ou leur numéro minéralogique). Ces différences externes (que vous appelez «races») sont doublement superficielles. Elles le sont, d’une part, au point de vue physique pur, en ce qu’elles ne sont pas plus significatives (ou plus prégnantes) – et, souvent, d’ailleurs, largement moins ! – que tel caractère qui vous sépare de quelqu’un de votre «race» et qui fait que l’un est râblé et l’autre longiligne, l’un sujet au diabète et l’autre aux maladies cardio-vasculaires ou à telle affection de la vue ou de l’ouïe, ou, à l’inverse, doté d’une meilleure vue ou d’une meilleure longévité, etc. Enfin, elles sont superficielles en ce qu’elles n’entretiennent pas une relation causale avec ce qui relève proprement de l’humain, comme les capacités intellectuelles, le caractère ou le tempérament. Et, la preuve, c’est que personne ne m’a répondu sur les critères permettant de relier, dans un sens ou dans un autre (a priori ou à l’aveugle) une épreuve de concours à un candidat…

     

    [Comme vous l’on dit plusieurs intervenants, prétendre inférer de «l’infériorité» des Noirs du fait qu’ils n’ont produit aucun nom célèbre dans les sciences de la matière, ou qu’ils auraient un moindre Q.I. ( ?), en vertu de soi-disant tests réalisés en dehors de tout protocole scientifique, est aussi inepte que de prétendre à «l’infériorité» des femmes pour les mêmes raisons. Ce sont d’ailleurs, très souvent, des mêmes milieux de droite que proviennent ces inepties, tant la droite est démangée par le prurit de l’inégalité…].

     

    – La perception des «races» est superficielle, par ailleurs, en ce qu’elle relève d’une illusion d’optique. A l’instar de telle constellation qui, vue de la Terre, semble immuable depuis des millénaires, mais qui, observée d’un autre point de la galaxie, présente une tout autre configuration, ou même n’existe carrément plus du tout ! Ce que vous prenez pour une «race» n’est que la perpétuation d’un type contingent de métis… Il n’existe pas de type «pur» de «noir», de «blanc» ou de «jaune», la preuve en est que personne, depuis le début de ces échanges, ne m’en a fourni de définition… En quoi, d’ailleurs, n’importe quel métissage (comme, par exemple, dans l’océan Indien, un type intermédiaire entre l’africain et le dravidien) est-il moins «pur» ou moins «absolu» qu’un type africain (et lequel, d’ailleurs ?) ou dravidien ? En quoi ceux-ci seraient-ils des référents ? En quoi une Eurasienne aux yeux bridés et bleu-vert est-elle une anomalie ? Dans la perception des «races» n’entre pas seulement la couleur de la peau mais aussi la forme des yeux, du nez, des oreilles, de la bouche, les diverses proportions du corps humain, etc. Or, je vous défie de me démontrer que ces divers traits entretiennent, entre eux, des rapports autres que contingents…

     

    – Les exemples que vous donnez ne prouvent strictement rien ! Et ce à plusieurs égards. D’abord, comme je ne cesse de le dire, parce que vous parlez de «Noirs» ou de «Blancs» sans en avoir donné de définition. Qu’est-ce qu’un «Noir» ? Est-ce quelqu’un qui est noir au sens spectrographique du terme ? Et, s’il ne l’est pas, pourquoi le qualifiez-vous ainsi ? Quel critère vous permet de distinguer le Noir «pur» de celui qui ne l’est pas ? Il existe des Africains dont la concentration de mélanine est variable. Comment, par exemple, distinguez-vous un Noir moyennement pigmenté d’un sujet issu d’un métissage blanc-noir, à la pigmentation plus prononcée, et qui, dans ses gènes, recèlera néanmoins la possibilité d’engendrer un sujet plus clair que lui ? De deux choses l’une : ou vous ne le distinguez pas, et votre discours sur les races est invalide, ou vous étendez arbitrairement la qualification de «Noir» à la plus petite trace négroïde que vous croyez déceler chez un individu et vous êtes raciste… [Dans l’un comme l’autre cas, vous vous comportez de façon aussi irraisonnée…].

     

    – Les exemples de Noirs voleurs, violeurs, bandits ou mauvais élèves ne prouvent strictement rien en ce que vous ne fournissez que des corrélations et non des relations causales. Or, je ne cesserai de le répéter : une corrélation, même à 100 % n’est pas une relation causale !

     

    – Le «politiquement correct» n’est pas une invention «marxiste» pour brimer la «majorité silencieuse», mais une manipulation de la classe dominante qui sent le pouvoir idéologique lui échapper. Or, ce pouvoir lui est indispensable car les dominés, pour accepter la domination, doivent l’avoir intégrée comme légitime, sinon le pouvoir apparaîtrait crûment pour ce qu’il est : une tyrannie. Aux Etats-Unis, le modèle traditionnel de la domination est blanc, mâle, riche, hétérosexuel (accessoirement, anglo-saxon et protestant). La manipulation consiste, alors qu’on dispose toujours du pouvoir, à se faire passer pour l’opprimé (d’où, dans un autre domaine, les attaques – aussi lourdes que laborieuses – portées par les mêmes milieux contre les féministes ou les homosexuels). Dans un renversement sans vergogne des causes et des conséquences, cette manigance justifie alors, contre les catégories stigmatisées (noirs, latinos, femmes, homosexuels…), l’oppression qu’on ne cesse d’exercer contre elles… Comme, sous l’Ancien Régime et, jusque sous la Monarchie de Juillet, les bourgeois et les privilégiés se plaignaient de l’insécurité endémique des tire-laine, coupe-jarrets, voleurs de grand chemin et autres assassins, alors que cette insécurité était précisément issue de l’oppression des classes populaires (d’où provenaient ces déviants), provoquée, elle, par l’attitude des classes privilégiées ! Singulière perversion qui consiste à accuser les autres de ce qu’on les a contraints à faire…

     

    – Je confirme bien, à cet égard, le racisme et les violences de la police sur tout le territoire américain (et pas seulement dans les Etats anciennement sudistes). Par exemple le mémorable tabassage de Rodney King à Los Angeles ou le meurtre d’Amadou Diallo à New York (atteint par 19 balles sur les 41 qu’on avait tirées sur lui !). Et Wikipedia signale un ratio de 100 policiers tués par an, contre 500 personnes tuées par les policiers. Attention au choix des mots : ils ne sont pas innocents ! Contrairement à ce que l’on entend souvent dire, et qu’on répète bêtement, il n’y a pas – et il n’y a jamais eu – aux Etats-Unis, de «problème noir». Ce ne sont pas les Noirs qui posent problème, ce sont les Blancs ! Comme dans le cas des allergies, ce n’est pas la substance allergène (inoffensive pour les sujets sains) qui est nocive, mais l’organisme qui réagit de façon exagérée et inadaptée, et qu’il faut rééduquer. C’est à la société blanche de se faire à la noire (en attendant, comme je le dis plus loin, de lui accorder un statut d’égalité et d’invisibilité).

     

    – Les propos que vous tenez traduisent la lenteur de l’adaptation des mentalités aux mutations engendrées par les sciences. Ainsi continuons-nous à dire «le soleil se lève», «le vent souffle» ou «le coq chante», alors que ces propos ne sont que des métaphores. Ainsi y a-t-il deux siècles et demi que le marquis Beccaria a démontré l’inanité (et l’irrationalité) de la peine de mort, et pourtant on trouve encore nombre d’imbéciles pour prôner ce châtiment. Ainsi, la question des «races» est-elle définitivement réglée et n’y a-t-il plus lieu d’en débattre (j’en discute avec vous pour le «fun», comme je discuterais avec les partisans de la Terre plate…). Ainsi, deux siècles après la Révolution, si le principe de l’égalité a été admis juridiquement, il a encore beaucoup de mal à passer dans le domaine social. L’instrumentalisation du «politiquement correct» par la droite (il est paradoxal – mais, au fond, logique – que ce terme revienne beaucoup plus souvent dans les propos de ses adversaires que de ses partisans) représente un moment dialectique normal dans l’acceptation, par la société, d’une évolution inéluctable.

     

    – Cette évolution est celle qui conduit l’ensemble de l’humanité vers plus d’égalité, aussi bien individuelle que collective, ce qui implique, corrélativement, l’élévation des uns et l’abaissement des autres. [Pour que les gauchers ou les homosexuels se considèrent comme normaux, les droitiers ou les hétérosexuels doivent être détrônés de leurs certitudes]. On comprend que les catégories qui tiennent le haut du pavé fassent de la résistance ! Pour ce qui concerne la question des «races», je n’ai pas de philosophie : je ne suis ni pour le métissage ni contre, et je pense qu’il n’est pas sage, là-dessus, d’adopter une position de principe. Je ne souhaite qu’une chose : que les différences physiques entre humains acquièrent un statut d’invisibilité, conformément, d’ailleurs, à ce qu’elles sont : insignifiantes…

     

    16 décembre 2007 à 21 h 37 min
  • sas Répondre

    Sas est sur le cul……quel etendu de stupidité sur un non-sujet……morte couille ,que diantre…une polémique inutile et stérile sur des qi supposé lié à la génétique…..alors que cela ne relève que de l’environnement et des moyens…..en claire une education

    loquasse……niaiseux…..raciste au possible et particuilièrement inintéressant

    bravo a celui que a lancer se sujet débil……losque le sage montre la lune…….l’imbécil regarde le doigt

    sas qui se demande si il y a un interêt a rester sur ce site.

    16 décembre 2007 à 12 h 24 min
  • Anonyme Répondre

    No second to, je vous rends votre salut, et je partage votre avis; comme je l’ai mentionné, je cesse de correspondre avec ce zozo inculte qui insulte les autres en les traitant de racistes.

    Best,

    Mancney

    15 décembre 2007 à 17 h 22 min
  • no second to Répondre

    Messieurs Mancney que je salue et Bib.

    N’essayez pas de discuter avec Le Sieur Albert, ce monsieur connait tout, sait tout !

    Pour avoir jouter avec ce seigneur du "politiquement correct", je peux vous assurer qu’ il a réponse à toutes vos interrogations.

    Mias j’ ai quand même une question toute simple pour cette haute autorité de la condition humaine et canine,j’ ai dans ma misérable bibliothéque un ouvrage me parlant des 150 races de chiens,l’ auteur serait il fourvoyé ?

    Ensuite monsieur Albert,méfiez vous de certaines de vos affirmations car je suis sûr que certains savants ont au fond de leurs laboratoires déjà croisé des chiens et des chats.

    Ne jamais être le second

    14 décembre 2007 à 18 h 34 min
  • Anonyme Répondre

    Albert, en refusant de voir les DIFFERENCES ou elles existent, vous avez fait voeux de ne pas vouloir comprendre. A ce titre vos commentaires ne peuvent pas m’intéresser, et sachez que je le regrette.  Alors, pour la derniere fois :
    Albert :  " A prendre, dès le début, barre sur votre interlocuteur en lui imposant votre système de référence"
    – Bravo, c’est EXACTEMENT ce que vous faites. En voulant imposer l’idée qu’il n’y a pas de différences!

    Albert : " je ne comprends pas pourquoi ma question vous gêne."
    – Rien, venant de vous ne peut me gêner : Petit prétentieux! La réponse a votre question de limites vous a été donné par Bib plus haut, avec la notion de flou, qui justement ouvre la porte au métissage souhaitable et frontalier.

    Albert : " je vous donne des copies de concours à l’aveugle : pouvez-vous me dire qui les a composées ?’
    – Les copies, je ne pourrais pas, car je ne suis pas prof, heureusement, mais dans d’autres domaines, que je ne souhaite pas nommer, oui, désolé, on peut reconnaitre "a l’aveugle" le blanc et le noir avec assez peu d’erreurs.

    Good bye, Albert, je vous offre une devise qui vous plaira bien:
     " .. et deconaverunt gentes."

    Mancney

    14 décembre 2007 à 15 h 57 min
  • BI Répondre

    la difference entre un homme et une femme  c’est un chromosome ( Y) qui ne compte que 59 gènes.

    59 gènes sur 30 000  font une difference de 2 millièmes. Les hommes et les femmes sont identiques à 99,997%.

    avec ces 59 gènes un homme  apparaisse une prostate, un verge, des testicules, une pilosité plus importante, une force musuculaire superieure, des difference de comportements importantes etc etc.  

    Le resultat de cette identité génomique à 99,997% donnent à l’arrivée des difference  physiologiques considérables.

    Ce n’est pas parce qu’il existe des métisse que les "races" n’existent pas. Ce n’est pas parce que le vert existe que le jaune et le bleu sont de pure fiction.  Si tu ne trouve pas qu’un asiatique coréen ressemble plus à un autre coréen qu’à un pygmée ou un aborigène d’australie ce n’est meme pas la peine de discuter.

    D’ailleurs l’usage du velo ne sest jamais dévellopé en afrique comme il la fait en asie malgré des niveaux de pauvreté comparable.

    Expliquer la pauvreté des noirs par la méchanceté des blanc est possible. Les blancs sont peut etre plus méchant, plus perfide, plus exploiteur, en un mot moralement  inferieurs aux les autre races humaines. Pourquoi pas. Mais pitié n’appelez pas ça de l’antiracisme.

     Aux Etats-Unis, les Noirs ont continué à être persécutés et discriminés bien après l’abolition de l’esclavage. A preuve les plus de 4700 Noirs lynchés des années 1880 à 1968. A preuve, la ségrégation toujours légale : le 28 juin 2007, la Cour suprême a rendu un jugement qui contredisait l’une de ses décisions les plus célèbres : l’arrêt Brown v. Board of Education qui avait mis fin à la ségrégation scolaire en 1954. A preuve l’affaire du lycée de Jena, en septembre 2006 ! : «Dans la cour de ce lycée de Louisiane, Etats-Unis, il y avait un arbre blanc. On l’appelait ainsi non en raison de la couleur de son feuillage, mais parce que seuls les lycéens blancs avaient l’habitude de s’asseoir sous son ombrage. Un jour, un lycéen noir voulut défier cette tradition. Le lendemain, en signe de menace, trois cordes de pendu étaient nouées aux branches. L’affaire dégénéra en bagarre, six lycéens noirs furent traduits en justice pour tentative de meurtre. Aucun Blanc ne fut inquiété, pas même celui qui avait brandi un fusil… A preuve le tabassage du journaliste noir Stanley Greene, de l’agence Vu, par un policier blanc, alors qu’il était logé avec d’autres journalistes blancs dans un hôtel pour enquêter sur l’ouragan Katrina (elle était où, l’interpellation ?).

     

    Assimiler les etats unis d’aujourd’hui à la louisianne est un pur délire. La majorité des noirs vit dans des états qui n’ont jamais connu l’esclavage.  parler de violence physique des blanc contre les noirs au etats unis n’a plus aucun sens.

    Je repete 37 000 viol de femme blanche par des noir, moins de 10 femme noir violée par des blancs. Pour ce qui est des braquage et autre violences physiques on est dans des rapport  de 1 a 20.

    S’il y a segrégation scolaire de fait  c’est du au niveau nul et a la violence extreme des ecole a majorité noires. Les blanc americains ont des niveaux de delinquance de type suédois. La bas comme ici on evite de mettre ses enfant dans des collèges ou ils ont toutes les chances de se faire agresser à 10 contre un ou avec arme a feu en se faisant traiter de "whitey" " "white ass"," white craker".

    Un ecole avec 30% d’eleve noir au etats unis ferait passer le pire lycée  du 93 pour janson ou henri IV. Autant dire qu’un college avec 30% de noir devient rapidement un lycée avec 100% de noir.

    Il n’y a pas de combat au etats unis contre les loi d’abolition de la segregation.  Il y a un debat sur les politique d’affirmative action et autre school busing qui signifie simplement: " vous n’avez pas le droit d’utiliser mon enfant pour ameliorer la situation d’autre enfant, vous n’avez pas le droit de m’empecher de donner les meilleur chance à mon enfant, vous n’avez pas le droit d’exposer sciemment mon enfant à une violence qu’il ne merite pas".  Vous n’avez pas le droit de forcer mon enfant a aller dans une ecole ou vous savez qu’il aura toute les chance d’y subir des agressions violentes.

    C’est le meme debat que sur la carte scolaire en france.

    Les blancs americains sont baignés dès l’enfance de la culpabilité de l’esclavage, de serie americaine antiraciste ou les criminel sont blanc et les juges noirs, ou les médias  presentent systematiquement les noirs comme victimes de discrimination, bref un discours "antiraciste" 40000000000 fois plus intense qu’en france.

    les noirs americains baignent dans le meme discours. Quand ce discours desamorce le moindre debut de racisme chez les blanc, il fait exploser la haine des noirs contre les blancs comme le faisaient les discours antisemite d’avant guerre contre les juifs.

    Au etats unis un noir americain commet 20 fois plus de crimes interraciaux qu’un blanc. Dans les serie americaines seul un crime interacial sur 20 est  commis par un noir contre un blanc. La réalité est deformée d’un facteur 400. Ce qui est collosal. pour en donner une idée: on estime qu’il y a 2% d’agression entre homme et femmes qui sont commises par des femmes contre des hommes. Si on appliquait la meme distortion que pour les crime interraciaux dans les fictions americaine on aurait  3 épisodes traitant d’une agression d’une femme sur un homme pour une agression d’un homme contre une femme. Parlerait on de propagande?

    Les principaux network a la télé sont dans des rapport moindre mais malgré tout dans un politiquement correct épouventable.

    L’affaire de Jena en est un exemple:

    «Dans la cour de ce lycée de Louisiane, Etats-Unis, il y avait un arbre blanc. On l’appelait ainsi non en raison de la couleur de son feuillage, mais parce que seuls les lycéens blancs avaient l’habitude de s’asseoir sous son ombrage. Un jour, un lycéen noir voulut défier cette tradition. Le lendemain, en signe de menace, trois cordes de pendu étaient nouées aux branches. L’affaire dégénéra en bagarre, six lycéens noirs furent traduits en justice pour tentative de meurtre. Aucun Blanc ne fut inquiété, pas même celui qui avait brandi un fusil…"

    L’affaire n’a pas " dégéneré en bagarre".

    Le premier septembre 2006, trois etudiant ont mis pendu des corde à l’arbre. il ont été viré du lycée.  les associations  type SOS racisme du cru ont demandé que les cordes pendues – qui  rappellait une histoire traumatisante aux élèves noirs- du lycée et devait etre recalifié en "crime  motivé par la haine raciale". Ce qui signifie la prison a perpetuité pour avoir pendu trois corde a un arbre. C’est un peu sévere a 16 ans.  Pendre une corde ou tager une croix gammée, cela mérite t il la prison à perpetuité ou une expulsion du lycée?

    2 mois  plus tard  le 2 decembre,  6 noirs ont tabassés  et se sont acharné sur un  adolescent blanc dans la rue . L’adolescent qui n’avait rien a voir avec l’histoire des cordes a été laissé dans sont sang inconcient apres s’etre fait tabassé  au sol à 6 contre un.

    Dans n’importe quel etats americain tabasser un homme puis partir en le laissant pour mort serait qualifié par la justice en tentative de meutre. Dans n’importe quel états americain se reunir a plusieurs  pour commetre une agression de ce type ajouterait la premeditation. Et dans n’importe quel état américain, si 6 blancs s’etaient reunis pour tabasser un noir pris au hasard dans la rue et l’avaient laissé pour mort, non seulement il y aurait eu tentative de meutre, premeditation, mais en plus  crime motivé par la haine racial ce qui aurait encore alourdi les charges – et de beaucoup.  

    Tu donnes une vision totalement faussé de cette affaire  instrumentalisée jusqu’à l’os par les association noires americaine – qui ferait passer le MRAP pour un modèle d’impartialité .

    Et de surcroit  la louisianne n’est pas l’amerique.

     

     

     

     

    14 décembre 2007 à 15 h 52 min
  • Anonyme Répondre

    @ Mancney

     

    – Oh que si, j’ai très bien compris le sujet ! Ou, pour être plus précis, son objet ! En quoi consiste-t-il ? A prendre, dès le début, barre sur votre interlocuteur en lui imposant votre système de référence, en l’occurrence une vision racialisée du monde. A partir du moment où il l’accepte, il ne peut plus discuter qu’à la marge, car, pour l’essentiel, vous avez gagné. Or, votre système, je le conteste radicalement et vous ne m’avez pas convaincu – loin s’en faut ! – de sa pertinence…

     

    – Cela dit, je ne comprends pas pourquoi ma question vous gêne. Si on vous questionne sur votre nom, votre adresse, votre profession, votre état-civil, vous répondez sans hésitation car vous êtes sûr de votre affaire. Pourquoi ne l’êtes-vous pas à propos des «races» ? Pourquoi éludez-vous toujours mes questions de définitions ou de limites ? Parce qu’il n’y a pas que les limites, il y a aussi l’attribution des capacités : dans mes exemples de concours, comme dans ceux de Dumas ou de Pouchkine, pourquoi personne ne m’a-t-il répondu ? Pourquoi ne m’a-t-on pas répondu sur la politique souhaitée sur ce blog à l’égard des unions «mixtes» ? Parce qu’on sent bien, intuitivement, qu’on sera forcé de retourner dans les ornières de Maurras, de Drumont, de Darquier de Pellepoix, ou de l’Afrique du Sud de l’apartheid, et, qu’au fond, on en a honte… Ce ne sont pas les "races" qui créent le racisme, c’est le racisme qui invente les "races"…

    13 décembre 2007 à 16 h 30 min
  • Albert Répondre

    @ Bib

     

    – «On peut fixer des marqueurs raciaux comme on fixe un seuil de pauvreté…». Oui, mais le problème, c’est que, dans le cas des «races», ces marqueurs, vous ne les fixez pas ! Vous dites que la drépanocytose existe (et il y a, effectivement, des preuves scientifiques de son existence), mais aussitôt après, vous attribuez ce caractère à des noirs ou à des blancs sans préciser ce que sont ceux-ci ! Je le répète (et j’y insiste d’autant plus que vous éludez la question), dans des sociétés très métissées comme celles des Etats-Unis ou du Brésil (voire d’autres pays d’Amérique latine,) où placez-vous la limite entre un noir, un métis et un blanc ? Et selon quels critères ?

     

    – «Par convention la moyenne correspond à la valeur médiane (répartition selon une courbe de Gauss).». Vous confondez tout ! Une moyenne n’est pas une médiane, mais le quotient d’une somme par le nombre d’éléments représentés. La moyenne de la superficie des pays européens (les 27 de l’Union plus la Norvège et la Suisse) est de 159 328 km2. La médiane, est comprise entre la superficie de la République tchèque (78 360 km2) et celle de l’Autriche (83 884 km2), soit une valeur proche de 80 000 km2, c’est-à-dire un écart de près de 50 % par rapport à la moyenne ! Et il en va ainsi de tous les phénomènes naturels ou humains qui peuvent se classer en séries. Comment prendre au sérieux quelqu’un qui, d’emblée, commet une si grossière confusion ?

     

    – Et, par ailleurs, quel a été le protocole de mesure des «noirs» et des «blancs» aux Etats-Unis ? Comment pouvez-vous affirmer avec certitude que les individus recensés comme «noirs» ne sont pas en réalité des descendants des métis issus des innombrables viols commis par les maîtres noirs lors de la période esclavagiste ? Je le répète sans me fatiguer : comment distinguez-vous un blanc d’un mulâtre et un mulâtre d’un noir ? Par ailleurs, les juifs, cela existe comme catégorie religieuse, mais assurément pas comme catégorie humaine (le croire, c’est repartir dans les pires élucubrations vichystes…).

     

    – «Les capacités cognitives et sans doute d’autres traits de personnalité sont probablement en grande partie génétique et héréditaire». Que veulent dire ce «probablement» et ce «sans doute» ? Quels sont les protocoles qui vous permettent de l’affirmer ? Quelle relation établissez-vous entre la génétique et l’hérédité ? Où est le gène qui amène un Q.I. de 85 et comment agit-il ?

     

    – Aux Etats-Unis, les Noirs ont continué à être persécutés et discriminés bien après l’abolition de l’esclavage. A preuve les plus de 4700 Noirs lynchés des années 1880 à 1968. A preuve, la ségrégation toujours légale : le 28 juin 2007, la Cour suprême a rendu un jugement qui contredisait l’une de ses décisions les plus célèbres : l’arrêt Brown v. Board of Education qui avait mis fin à la ségrégation scolaire en 1954. A preuve l’affaire du lycée de Jena, en septembre 2006 ! : «Dans la cour de ce lycée de Louisiane, Etats-Unis, il y avait un arbre blanc. On l’appelait ainsi non en raison de la couleur de son feuillage, mais parce que seuls les lycéens blancs avaient l’habitude de s’asseoir sous son ombrage. Un jour, un lycéen noir voulut défier cette tradition. Le lendemain, en signe de menace, trois cordes de pendu étaient nouées aux branches. L’affaire dégénéra en bagarre, six lycéens noirs furent traduits en justice pour tentative de meurtre. Aucun Blanc ne fut inquiété, pas même celui qui avait brandi un fusil… A preuve le tabassage du journaliste noir Stanley Greene, de l’agence Vu, par un policier blanc, alors qu’il était logé avec d’autres journalistes blancs dans un hôtel pour enquêter sur l’ouragan Katrina (elle était où, l’interpellation ?).

     

    – A propos des violences attribuées aux Noirs aux Etats-Unis, vous commettez la même erreur (qui semble être congénitale à la droite…) de confondre corrélation et relation de cause à effet. Une corrélation, même à 100 %, n’est pas une relation de cause à effet. Exemple : un scientifique a l’habitude, tous les soirs, de boire un rhum coca bien tassé. Evidemment, cela le rend malade. Il décide, «scientifiquement», de déterminer ce qui le rend malade. Pendant 15 jours, il prend un vodka-coca. Pas d’amélioration. Puis 15 jours de whisky coca. Toujours la même chose. Puis 15 jours de gin coca. Mêmes symptômes. Et de conclure, triomphalement : le point commun de ces breuvages a été le coca : c’est donc le coca qui me rend malade ! Or, là, la corrélation est bien de 100 % entre coca et malaises. Corrélation… mais pas relation de cause à effet ! Et des exemples préscientifiques de ce calibre, il en existe à la pelle… En particulier ceux que vous fournissez à propos des Noirs : ils ne prouvent rien… Et je vous défie de m’apporter une telle preuve.

     

    – Pour les vaccins et médicaments, ou vous ne m’avez pas compris ou vous vous ne voulez pas me comprendre. En 2000/2001, pour ne pas voir entamer leurs profits, 39 firmes pharmaceutiques du Nord (Europe et Etats-Unis) ont intenté un procès à l’Afrique du Sud pour empêcher celle-ci de fabriquer des médicaments à bon marché à partir de leurs brevets. [Ce qui n’empêcha pas, après les attentats du 11-Septembre, le gouvernement américain, saisi de la psychose de l’anthrax, d’obliger Bayer, qui possédait le brevet du vaccin, à baisser ses prix…]. Et si vous voulez des exemples, je suis infatigable : par exemple les médicaments (Tenofovir, Trovan…) testés en dépit du bon sens, sans clauses éthiques, sur des Africains ignorants, et qui provoquent des troubles graves, jamais indemnisés. Par exemple, le pillage des ressources naturelles par les firmes pharmaceutiques, qui synthétisent des produits naturels pour en faire des concurrents, sans le moindre centime d’indemnisation pour les populations résidentes. Par exemple tous les médecins, infirmiers et infirmières d’Afrique (et du Sud en général) débauchés par le Nord et qui font tourner les hôpitaux publics de ce même Nord. Mais peut-être pensez-vous que la santé n’est pas un droit ? Peut-être insinuez-vous que seuls ont le droit d’être soignés ceux qui peuvent payer ? Aurez-vous le courage de l’affirmer ?

     

    – J’ai parlé des ressources halieutiques : de quel poids pèsent les minces barcasses et les pauvres filets africains face aux puissants chalutiers ou autres bateaux de pêche du Nord (ou japonais) avec leurs filets gigantesques ? Quand interviennent des litiges entre pêcheurs de France, d’Espagne ou d’Angleterre, ces pays font donner de leur marine de guerre. Quand les bateaux des pays du Nord viennent écumer les fonds en face de l’Afrique, de quel poids pèse leur marine face aux marines européennes ? Dans les institutions internationales où l’on fixe des quotas de pêche, quel est le poids des Africains ?

     

    – «Penser que si l’Afrique est pauvre c’est qu’elle ne vit pas de ses rentes c’est une vision moyennement de gauche non ?». Déformation de mes propos ! Ce n’est pas ce que j’ai dit à propos des cultures de traite (coton, café, cacao, hévéa, arachide) : les pays africains les ont développées au détriment des cultures vivrières, pour des besoins qui ne sont pas les leurs, et à des prix qui sont fixés par les Occidentaux (c’est-à-dire très bas…). De plus, ces cultures sont souvent ravageuses pour l’environnement : épuisement des sols, salinisation, déforestation, extension du désert….

     

    – «On ne peut pas enrichir une civilisation sur une pure prédation. Si un producteur a la certitude de se faire voler sa récolte, il ne produit rien. Si une économie fondée sur les razzias, sur l’appropriation violente était efficace, le monde musulman serait florissant et les Européen vivraient pauvrement. L’idée que l’Europe doit sa richesse à l’Afrique est un mythe à la fois navrant et dangereux». Sophisme ! Déformation de mes propos !

     

    – D’abord, les îles des Caraïbes et le Sud des Etats-Unis ont très bien fonctionné, depuis le XVIIIe siècle, en se fondant sur la traite négrière (tous les beaux hôtels de Nantes, Bordeaux, Bristol…) et, lors de la guerre de Sept Ans, la France a allègrement bradé le Canada au profit des Îles où régnait l’esclavage. Et le pillage des bois précieux de Haïti a largement enrichi les ébénistes des pays du Nord, merci pour eux, et, aujourd’hui, les Békés, descendants des anciens esclavagistes, tiennent toujours le haut du pavé dans les DOM, merci pour eux aussi…

     

    – Sur l’enrichissement, ensuite : vous commettez deux fautes de logique. La première est de supposer qu’un pillage d’un côté se traduit par un enrichissement de l’autre. On peut avoir les deux : la possession des mines d’or et d’argent des Amériques par l’Espagne a appauvri l’Espagne au profit des autres pays européens. Mais globalement, et indirectement, les pays manufacturiers européens (Pays-Bas, France, Italie, Allemagne…) qui fournissaient l’Espagne en vêtements, meubles, armes, blé, outils divers (contre l’or et l’argent espagnols) ont bien participé à la prédation de l’Amérique latine, comme un receleur participe à un vol… Ensuite, il est faux d’imaginer qu’une perte globale d’un côté se traduise par un gain global de l’autre. Dans la traite négrière (et dans tout ce qui a suivi), il y a eu perte globale (Afrique) et enrichissement particulier : celui des grands bourgeois ou nobles de la façade ouest de la France, pas celui de leurs manants du Bordelais, de Saintonge ou de Bretagne … La prédation, ça n’existait pas qu’à l’échelle internationale, mais aussi dans le pays…

     

    – La comparaison des 17 000 morts avec les morts de la Première Guerre mondiale est invalide à tous les égards :

     

    – Elle est d’abord invalide logiquement. Une guerre, cela provoque des morts, un travail de génie civil, cela ne devrait pas en provoquer. La construction de la tour Eiffel, antérieure au Congo Océan, n’entraîna aucun mort… Par ailleurs, même si les soldats européens n’y allèrent pas de gaîté de cœur, ils y allèrent (du moins au début), volontairement, voire avec entrain. Croyez-vous vraiment qu’on ait demandé leur avis aux Congolais pour construire le chemin de fer ?

     

    – Elle est invalide juridiquement : en quoi un massacre en un lieu, en un temps et par des acteurs donnés sur des victimes données, peut-il excuser un autre massacre, commis ailleurs, dans d’autres circonstances ?

     

    – Elle est invalide en ce qu’elle ne se réfère pas aux mêmes populations. Ces 17 000 morts sont à référer à la population où ils furent enrôlés les travailleurs : sur quelles sources vous fondez-vous pour affirmer que, proportionnellement, la perte n’était pas de même ordre, voire supérieure à celle des Européens entre 1914 et 1918 ?

     

    – Elle est invalide en ce que cet exemple n’est que l’un des innombrables exemples des tueries, massacres, déportations, opérées par les Occidentaux en Afrique à partir du XVIe siècle. Que les Arabes aient également déporté des esclaves n’exonère nullement les Occidentaux de leurs turpitudes ni le fait que, de 1750 à 1850, cette déportation eût connu un « rendement » très supérieur à la traite arabe. Lisez un peu, pour commencer, « Le livre noir du colonialisme », publié chez Laffont, en 2003. Rien que pour l’ex-Congo belge, le professeur Vansina, de l’université du Wisconsin, estime à 10 millions de personnes le nombre de morts entre 1880 et 1920…

     

    – Elle est invalide, enfin, en ce que les Européens ne se contentèrent pas de l’exploitation sur place, ils enrôlèrent aussi des Africains pour leurs propres tueries dans la boue des tranchées de Champagne ou de la Somme : en quoi les Sénégalais étaient-ils concernés par la récupération de l’Alsace Lorraine ou les mines de la Sarre ?

     

    13 décembre 2007 à 15 h 09 min
  • bib Répondre

    a quel niveau de revenu un "pauvre" devient "riche"? a partir de quel taille un "grain de sable" devient  un "petit cailloux"? un "ruisseau" une "riviere"? une "ile" devient un "continent"?

    On utilise tout les jours des notions  moyennes, des concept qui ne sont pas totalement homogene. Personne n’a jamais renoncé à parler des riche et des pauvre parce qu’on ne peut pas dire ou commence l’un et ou fini l’autre.

    On peut fixer des marqueur raciaux comme on fixe un seuil de pauvreté. Il existe des maladie qui n’existe que chez les noir ( drepanocytose) que chez les blanc ( mucoviscidose) que chez les juifs ( maladie de tay sachs) etc… 

    Les differente race humaine ont evolué dans des milieu different sur des centaine de generation.  Les difference genetiques sont apprehendé de facon moyenne. On peut dire qu’il n’y a des point commun universelle sans nier des differences. Dire qu’un noir albinos est plus proche d’un suédois blanc que d’un autre africain serait un non sens total.

    Il n’y a aucune raison que les differenciation génétique entre population se limite à une pure dimension physiologique.  Les capacité cognitive et sans doute d’autre trait de personnalité sont probablement en grande partie génétique et hereditaire.

     je crois que vous n’avez pas bien compris de quoi il s’agit:  " qu’on ait validé le Q.I. individuel et fourni les protocoles du calcul du Q.I. collectif"

    cette formulation n’a absolument aucun sens.  Pour mesurer le QI d’un individu mesure un écart par rapport a la moyenne. Il n’y a pas de mesure de QI "individuel" et de QI "collectif". Il y a une note individuel relative a la moyenne.

    Par convention la moyenne correspond a la valeur médiane ( répartition  selon une courbe de gauss). Dire le QI des noir est de 85 et le QI des blancs 100 signifie: le QI median des noir correspond a 85  c’est a dire: 50% des noir ont moins de 85 de QI 50% ont plus.

     

     

    On obtient des courbe qui se chevauchent:

    Personne ne reduit, ou ne devrait reduire la dignité humaine à une mesure du QI. Cela dit ca n’enleve rien de la pertinence du QI  en science sociales.

    Les coréens ont été les principales cibles de la communauté noire de los angeles au cours des émeutes de 92. Aucun contentieux d’esclavage n’opposait naturellement les noir et les coréens: c’est une haine raciale feroce face à la reussite tres rapide des coréens qui en fut la cause unique. ( les asiatique americain ont un niveau de revenu moyen superieurs aux blancs).

    comme la réussite des juifs exasperait la haine des allemand avant guerre.

    Les noirs ne sont plus persecutés depuis des decennie au etats unis. Les trois quart des etats unis n’ont jamais connu l’esclavage. Mieux ils ont bati leur  identité sur ce refus.

    Si les noir avaient été plus exploités – au sens marxiste du terme- que les ouvrier blancs, le sud des états unis serait le coeur industriel du pays. Les entreprise manufacturiere se serait localisée massivement en louisiane ou en alabama pour profiter de cette main d’oeuvre sur exploitable.

    Ca n’a pas été le cas.

    l’esclavage en plus d’etre une abonination morale fut une totale ineptie economique.

     Les Noirs régulièrement tabassés ou tués par des policiers blancs, de New York à Los Angeles et de Chicago à La Nouvelle Orléans, ça ne vous dit rien ?

    Un policier est tué tous les 2 jours  au états unis. En grande partie par des gangs  afro americain.  160 mort par an. La violence contre la police aux etats unis est sans commune mesure avec ce qu’elle peut etre en france.  Pour un noir americain tué par des "flic racistes"  il y a 15  policier dégommé au fusil a pompe par des gangs qui les traitent de  "white cracker" ou  autre joyeuseté du terroir.  Les noirs tué par la police le sont en general au cours d’interpelation qui tournent mal…

    Une police qui se fait tué quinze fois plus qu’elle ne tue n’est pas une police "fasciste" "raciste" et autre ineptie du genre.

    37000 femme blanche ont été violé par des noir americains en 2005.  Moins d’une dizaine de femme noire ont été violée par des blanc.

    Pour ce qui est des meutres interraciaux, un blanc en commet 20  fois moins qu’un noir.

    Ce que la gauche appelle en france des "ghettos", sont en réalité  le contraire de ghetto. Ce ne sont pas des endroit d’ou les noirs ne peuvent pas sortir, ce sont des endroit ou les blancs ne peuvent pas vivre en securité. Et souvent meme pas y passé en voiture.

    Aucun blanc n’a jamais eu l’idée de "parquer" les noirs à Harlem, sur la presqu’ile de manathan, au milieu de la ville la plus riche du monde, bordant centrale park, a 5 station de metro du coeur financier de la planete,  et dans un quartier d’architecture hollandaise plutot réussie. Les blancs en ont été chassés en 2 générations.

    Les 470 médecins pour les 17 millions d’habitants des colonies africaines de la France en 1932 (contre 28 000 pour 38 millions d’habitants en métropole), ça ne vous dit rien ? Le refus des pays du Nord (et, singulièrement, des Etats-Unis) d’autoriser la copie gratuite des vaccins ou médicaments en Afrique, ça ne vous dit rien ? L’obligation pour les Noirs de Saint-Domingue de racheter leur liberté d’esclaves pour 150 millions de francs-or (dette éteinte seulement en 1893), ça ne vous dit rien ? Vous voulez que je continue la liste ?

    Les noirs ont subit une histoire horrible. Personne ne dit le contraire. 

    les vaccins et médicament sont le fruit à 100% du travail des pays du nord. Les ressource en pétrole, à 2000 metre de fond dans le golfe de guinée aussi.  Les africain n’aurait et n’auront jamais les moyens de les exploiter. Elle n’existent que grace et par l’occident. Parler de pillage est une vision morale. Elle n’a aucune pertinence en economie. Penser que si l’afrique est pauvre c’est qu’elle ne vit pas de ses rente c’est une vision moyennement de gauche non?

    Si les africain ne savent pas produire d’ampoule ce n’est pas parce que les mechant blanc leurs volent leur tungstene.

    La chine, le japon la corée, sont aussi inondés de produit agricole subventionné américain. Il y ont vu la possibilité d’améliorer les salaire réels et de se concentrer sur la production manufacturière ce qui a accelerer leur decolage economique.

     

    Honnetement, est ce  que de passer du peul,  du dioula, ou du bembala au francais ou à l’anglais qui empeche un pays de s’industrialiser?

    On ne peut pas enrichir une civilisation sur une pure predation. Si un producteur a la certitude de se faire voler sa recolte, il ne produit rien.

    Si une economie fondée sur les razzias, sur l’appropriation violente etaient efficace, le monde musulmans serait florissant et les européen vivraient pauvrement.

    L’idée que l’europe doit sa richesse à l’afrique est un mythe à la fois navrant et dangereux.

    Les 17 000 morts pour les 140 km du chemin de fer Congo Océan, ça ne vous dit rien ? Les 470 médecins pour les 17 millions d’habitants des colonies africaines de la France en 1932 (contre 28 000 pour 38 millions d’habitants en métropole), ça ne vous dit rien ? Le refus des pays du Nord (et, singulièrement, des Etats-Unis) d’autoriser la copie gratuite des vaccins ou médicaments en Afrique, ça ne vous dit rien ? L’obligation pour les Noirs de Saint-Domingue de racheter leur liberté d’esclaves pour 150 millions de francs-or (dette éteinte seulement en 1893), ça ne vous dit rien ? Vous voulez que je continue la liste ?

    Le japon a subit deux ataques atomiques, et des bombardement incendière sur toutes ses villes majeures. Le japon en 45 n’existait plus. C’est aujourd’hui la deuxieme ou 3 eme puissance mondiale.

    Les 17 000  morts dont tu parle representent  deux millieme du nombre de mort de la premiere  guerre mondiale. 

    13 décembre 2007 à 3 h 50 min
  • Anonyme Répondre

    Albert : " on prétend que les Noirs sont ceci ou cela sans les avoir jamais définis ! Où finit le Noir ? Où commence le métis ? Où se termine le métis ? Où commence le Blanc ? Questions que je ne cesse de poser et qu’on ne cesse d’éluder… Lorsque vous aurez défini ces catégories (absurdes), on pourra commencer à travailler…’

    Ces questions, que vous prétendez vous poser, et que voius posez en préalable, sont enoncées pour ne pas avoir de réponses; elles "noient complétement le poisson", et n’ont d’autre but que de retarder tout débat; vous les posez dans le seul but de "bloquer" toute discussion sur un sujet que vous n’avez pas compris.
    Well, elles auront au moins eu comme int
    éret, en ce qui me concerne, de me faire comprendre le peu d’intéret de vos propos, et, conséquemment, de me dispenser de dialoguer avec vous, vous qui n’hésitez pas a insulter Adolphos en le traitant de raciste : " vous fournissez, (..), un fameux exemple de votre racisme" –
    F
    élicitations, Albert, vous avez brillamment réussi votre admission dans la catégorie des clowns.

    Mancney

    12 décembre 2007 à 23 h 45 min
  • Albert Répondre

    @ Bibi

     

    1. Les prétendues «études» (dont, au demeurant, vous ne fournissez aucune référence…), établissant l’infériorité intellectuelle des «Noirs» n’ont strictement aucune valeur. Aussi bien les travaux de Jensen que de Murray ont été invalidés comme des fatras d’absurdités (je l’ai dit à de multiples reprises, cessez de ressasser les mêmes rengaines). A tous les égards, il ne s’agit que d’élucubrations.

     

    2. Ce sont des élucubrations, au premier chef, par la fantaisie de leur objet : on prétend que les Noirs sont ceci ou cela sans les avoir jamais définis ! Où finit le Noir ? Où commence le métis ? Où se termine le métis ? Où commence le Blanc ? Questions que je ne cesse de poser et qu’on ne cesse d’éluder… Lorsque vous aurez défini ces catégories (absurdes), on pourra commencer à travailler…

     

    [2 bis. Au demeurant, la rigueur scientifique exige qu’on établisse les constats a priori, et non lorsqu’on connaît les deux membres de l’équation. Si je vous présente un vin comme un bordeaux (et un bordeaux de tel château, de tel cru et de telle année), vous n’aurez aucun mal, après, à lui attribuer tous les caractères qu’on lui reconnaît traditionnellement. Mais ce n’est pas ça, la rigueur ! La rigueur, c’est de le reconnaître à l’aveugle… De même, aller en Afrique faire subir des tests à des gens identifiés a priori comme Noirs est invalide. C’est comme de prétendre reconnaître les événements contemporains dans les centuries de Nostradamus. Quand on connaît les deux extrémités, on peut toujours les rabouter par n’importe quelle supercherie. Non, la rigueur, c’est ceci : je vous donne des copies de concours à l’aveugle : pouvez-vous me dire qui les a composées ? Ou, à l’inverse, je vous mène devant des candidats à un concours : en fonction de leur allure, pouvez-vous décrire l’épreuve qu’ils vont rédiger ? ]

     

    3. Ce sont des élucubrations, en ce que le Q.I. est, au premier chef, un outil culturel, conçu pour des hommes (entendre êtres masculins) de l’hémisphère Nord. Les premiers établissaient d’ailleurs une «infériorité» des filles et des femmes… C’est dire leur valeur ! De surcroît, le Q.I. est un instrument de mesure individuel. L’étendre à des collectifs est une aberration scientifique…

     

    4. A supposer qu’on ait mesuré le Q.I. des Noirs (en ayant défini qui l’est et qui ne l’est pas), qu’on ait validé le Q.I. individuel et fourni les protocoles du calcul du Q.I. collectif (ce qui fait déjà beaucoup de conditions…), toutes les constatations n’aboutiraient qu’à une corrélation et non à une relation de cause à effet ! [C’est incroyable comme, à droite, on confond les deux…]. Or, une corrélation, même à 100 %, n’est pas une relation de cause à effet. Et cette relation, je vous défie de la fournir…

     

    5. La comparaison entre juifs et noirs n’a strictement aucune valeur. D’abord, elle fait partie des vieilles ficelles des plus forts qui (on le comprend…) préfèrent se grimer en victimes. Et, contrairement aux juifs, le racisme et la prédation des blancs (Américains et Européens) aussi bien sur le continent africain qu’à domicile est toujours vivace en 2007. Le testing, ça ne vous dit rien ? L’affaire du lycée de Jena, en Louisiane, en 2006, ça ne vous dit rien ? La population noire de La Nouvelle Orléans, majoritairement victime et majoritairement délaissée lors de Katrina, ça ne vous dit rien ? Les Noirs régulièrement tabassés ou tués par des policiers blancs, de New York à Los Angeles et de Chicago à La Nouvelle Orléans, ça ne vous dit rien ? Les surplus agricoles de l’Europe qui ruinent les producteurs africains, ça ne vous dit rien ? Le soutien des pays occidentaux, durant des décennies, au régime d’apartheid, ça ne vous dit rien ? La fixation des prix agricoles des produits de traite (café, coton, cacao, arachide) par les seuls pays du Nord, ça ne vous dit rien ? Le soutien aux dictateurs africains par les multinationales, les bases militaires et les mercenaires, ça ne vous dit rien ? Les assassinats de Lumumba et de Sankara, ça ne vous dit rien ? Les centaines de milliers de morts – au moins – du roi Léopold Ier au Congo belge, ça ne vous dit rien ? La prédation par les puissants chalutiers espagnols (ou japonais) des ressources halieutiques africaines, ça ne vous dit rien ? Les 4742 Noirs lynchés, brûlés, déchiquetés aux Etats-Unis entre 1882 et 1968, ça ne vous dit rien ? Le massacre des Herreros par les Allemands, ça ne vous dit rien ? La stérilisation des métis de Noirs dans l’Allemagne d’après 1918, ça ne vous dit rien ? Les 17 000 morts pour les 140 km du chemin de fer Congo Océan, ça ne vous dit rien ? Les 470 médecins pour les 17 millions d’habitants des colonies africaines de la France en 1932 (contre 28 000 pour 38 millions d’habitants en métropole), ça ne vous dit rien ? Le refus des pays du Nord (et, singulièrement, des Etats-Unis) d’autoriser la copie gratuite des vaccins ou médicaments en Afrique, ça ne vous dit rien ? L’obligation pour les Noirs de Saint-Domingue de racheter leur liberté d’esclaves pour 150 millions de francs-or (dette éteinte seulement en 1893), ça ne vous dit rien ? Vous voulez que je continue la liste ?

    12 décembre 2007 à 18 h 18 min
  • bibi Répondre

    – Quelle «science» profère ainsi l’absurdité de séparer «l’héréditaire» de l’éducation, et, qui pis est, de leur attribuer une part chiffrée ? Que signifient ces délires ? Que l’homme sans éducation n’aurait qu’un Q.I. de 50 ou 60 ? Les (rares) expériences d’un «homme» sans éducation montrent qu’il n’en est rien : «Victor», l’enfant sauvage de l’Aveyron était un être qui n’avait d’humain que l’apparence… L’homme est un être social, et n’est même que cela !

    L’éducation d’un enfant  au cours des toutes première années de la vie est en grande partie instinctive:

    on s’approche du bébé pour lui parler de très près ( le bébé voient mal).

    On parle de manière surarticulée en déliant les syllabe

    Il y a 8 grimace types universelle face à un bébé ( sisi ça a été réferencé par des universitaires)

    on utilise  dans toutes les langues la redondance syllabique  ( le pipi, popo, caca, lolo, papa etc), on utilise dans toute les langue  l’usage de la troisième personne dans le dialogue avec un bébé pour s"objectiver ( maman va te donner à mangé)

    Séparer la dimension instinctive de la dimension culturelle n’a pas grand sens.

    Evidement qu’un enfant laissé à l’abandon total ne se devellope pas intellectuellement. Ca ne signifie pas que tout est attribuable a l’éducation.

    Ce que l’on peut dire c’est que l’extreme majorité des enfants recoit une éducation relativement identique dans les tous premier mois de la vie. Et qu’on observe très tot que des enfant sont plus vif que d’autre.

    Ce n’est pas uniquement le logiciel qui fait la puissance d’un ordinateur. 

    Les experiences au états unis sur les enfant adoptés montrent clairement que les  enfant noirs adoptés par des couples blancs riches ne perfoment pas mieux que les noirs elevés dans des familles noires.

    "« l’évidence » nous dit que la Terre est plate, que le soleil tourne autour d’elle et que le dauphin est un poisson"

    L’evidence scientifique, c’est d’admettre que des population vivant dans des milieux different evolent de manière differente.

    Les antiracistes tiennent un discours proche des créationniste américains ( dont ils se moquent…).  Penser que l’homme échappe à un processus de séléction qui s’exerce sur l’ensemble du monde animal de la crevette au chevreuil n’a aucun sens.

    Dans tous les cas la réalité est racialisée. On n’a pas le choix entre racisme et anti racisme. On a le choix entre 2 racisme:

    1) les noirs réussissent moins bien parce qu’il ont en moyennes des capacité inferieur ( ce qui n’empeche pas qu’il y ait des génies noirs)

    2) les noirs reussissent moins bien à cause du vice et du racisme des blancs.

     

    Quand on parle de race on est toujours dans des vision moyenne. Une population peu intelligente est une population avec 10% de tres inteligent et 10% d’individus à faible capacité, une population  peu intelligente est une population avec 1% de tres intelligents et 30% d’individu a faible capacité.  Meme une population peu intelligente produite des génie. Elle en produit seulement en moins grand nombre.

    Une economie liberale devellopée repose sur la rationnalité des choix individuels.  Il est claire que l’intelligence moyenne des acteurs économique joue de maniere determinante sur l’efficacité économique d’une nation. Un QI faible est corrélé avec une difficulté de se situer dans le temps, de prevoir et de calculer.

    Un documentaire sur la cinq parlait d’un village traditionnel africain au bord d’un fleuve. La rivière etait infestée de crocodiles. Les femmes continuaient pourtant d’y laver leur linge: une femme surveille l’eau pendant que les autres font leur lessive. Cette organisation entrainait 2 à 3 mort par an.

    un homme possédait une barque et proposait de  faire traverser les villageois contre une somme derisoire. Les villageois continuaient de traverser le fleuve a la nage pour economiser le prix du billet. 5 morts par an.

    Ces choix sont totalement irrationnels et idiots. Ils ne sont pas uniquement culturels ou economique, ils sont bêtes.

    Creuser une dérivation pour construire un lavoir  securisé à quelques mètres de la riviere prendrait 2 jours a 5 personne.

    Mutualisé l’usage d’une barque ne demande qu’une organisation minimale.

     

    En afrique le QI median est de l’ordre de 70 a 85 selon les regions.  Un pays avec 50% de la population en dessous de 70, et seulement 1%  au dessus de 110 ne peut pas se develloper sur un mode d’économie industrialisé. C’est impossible.

    Malheureusement la réalité va dans le sens de ce constat pessimiste.  

    Le discours présenté comme antiraciste, fait porter la totalité de l’echec des noirs sur les blancs. Et reprend à son comptes les sordide ficelle de l’antisemitisme d’avant guerre:

    les juifs dominent le monde / les blancs dominent le monde.
    Les juifs divise l’europe/ les blanc divisent l’afrique
    Les juifs provoquent les guerres en europe/ les blanc provoquent les guerre en afrique
    les juifs s’enrichissent sur le dos des blanc/ les blanc s’enrichissent sur le dos des immigrés. 
    Les juifs c’est rotchild/ les blancs c’est neuilly.  
    Les juifs restent entre eux/ les blancs restent entre eux
    Les juifs se cooptent et gardent pour eux les meilleurs poste/ les blancs se cooptent et pratique la discrimination à l’embauche. 
    les allemands font les sale boulot/ les immigrés font les métiers les plus peinibles.

    meme discours meme effets.

    moi je n’accroche pas.

     

     

     

    12 décembre 2007 à 13 h 04 min
  • Albert Répondre

    @ Nicolas

     

    Lorsque des esprits éminents tiennent des propos d’extrême droite (notamment sur leur «scie» favorite des «races»), ils ne sont, précisément, plus des esprits éminents ! Et, s’il faut une sanction, inutile de déranger la justice pour si peu, l’oubli y pourvoira amplement…

    12 décembre 2007 à 9 h 30 min
  • nicolas Répondre

    ordre du jour : dresser la liste des gens de génie ou des Nobel qui risquent maintenant la prison pour tel porpos du passé. comme l’a fait jean silve de ventavon.

    11 décembre 2007 à 23 h 17 min
  • Albert Répondre

    @ Adolphos

     

    – Quelle «science» profère ainsi l’absurdité de séparer «l’héréditaire» de l’éducation, et, qui pis est, de leur attribuer une part chiffrée ? Que signifient ces délires ? Que l’homme sans éducation n’aurait qu’un Q.I. de 50 ou 60 ? Les (rares) expériences d’un «homme» sans éducation montrent qu’il n’en est rien : «Victor», l’enfant sauvage de l’Aveyron était un être qui n’avait d’humain que l’apparence… L’homme est un être social, et n’est même que cela !

     

    – Que signifient ces élucubrations d’attribuer des Q.I. collectifs et, de surcroît, dans des catégories complètement disparates ? Les Allemands (un pays), les Arabes (une langue), les Noirs (un aspect)… Et, je le répète de nouveau, toutes les tentatives d’établir de telles distinctions (Jensen, Murray…) ont été méthodiquement démontées comme un fatras d’approximations, de trucages et d’hypothèses aventureuses… La première de ces absurdités (et, d’ailleurs la plus grave) étant de croire qu’il existe des «races»…

     

    – Je sais ce que vous (ou un autre contributeur) allez me répondre : vous contestez l’évidence ! Les races existent, c’est évident ! Ah, qu’on l’aime, à droite, «l’évidence» ! Ah, qu’on est à l’aise avec ses succédanés de  «bon sens» et la «réalité» ! Car, bien entendu, « l’évidence » nous dit que la Terre est plate, que le soleil tourne autour d’elle et que le dauphin est un poisson…

    11 décembre 2007 à 20 h 14 min
  • Albert Répondre

    @ Mancney

     

    Je réponds à vos différents points.

     

    – Il existe, certes, des groupements de personnes de par le monde présentant des caractères physiques semblables (ce que vous appelez «races»). Ces caractères physiques, néanmoins, n’entretiennent avec les caractères humains que des rapports de contingence et non de nécessité : les «Blancs» ne sont pas plus «naturellement» doués pour découvrir la relativité et composer des symphonies que les «Noirs» ne le sont, tout aussi «naturellement», pour danser la samba ou courir derrière un ballon… Et un Chinois élevé tout jeune en France dans un milieu français ne découvrira pas les idéogrammes par science infuse … Chaque «race» entretient son même lot «d’intelligents» et d’abrutis, d’actifs et de lymphatiques, de loquaces et de taciturnes, d’extravertis et d’introvertis, de drôles et de sinistres, etc.

     

    – Les véritables différences qui existent entre les humains (collectivement ou individuellement) sont d’ordre culturel, social ou «mental» (notion dans laquelle je range le caractère, le tempérament, «l’intelligence», les aptitudes, les opinions, les goûts, etc.). Ces traits ne sont pas du tout corrélés à l’aspect physique (ce que vous appelez «races»). N’importe quel individu, sur la planète, est susceptible d’assimiler n’importe quelle science et n’importe quelle culture.

     

    – Je veux être précis : je tiens absolument à la différenciation des cultures, y compris au niveau le plus fin (à l’intérieur, par exemple, de chaque pays). Je suis pour la préservation soigneuse des langues, y compris les plus minoritaires. [Et, corrélativement, je suis radicalement contre l’imposition de l’anglo-américain, moins à raison de ce que cette langue porte de culturel (tous ses intellectuels, de Shakespeare  à Britten) que du modèle social, ultralibéral et compétitif, qu’on lui fait véhiculer]. Mais, demain, la préservation des langues locales françaises, leur redécouverte, leur revitalisation passeront peut-être par des individus dont les ancêtres viendront de Casamance ou de Corée…

     

    – En conséquence, je suis radicalement en désaccord avec votre conception de la «race». Et je le suis de deux manières. D’une part en ce que ces différences physiques sont superficielles (lorsque j’entretiens des liens d’amitiés avec quelqu’un – ou lorsque j’apprécie une personne sur le plan professionnel, mon attitude est dictée par ses qualités humaines, pas par son aspect, qui n’a rien à voir avec lesdites qualités). Ensuite parce que ce que vous prenez pour des «races» est une illusion d’optique : chaque humain est une «race» à soi seul. Et il n’est justement pas normal d’avoir de gros agrégats d’individus physiquement semblables ! Lorsque, en effet, les humains ont une grande possibilité de se mêler (comme au Brésil, dans certaines îles de l’océan Indien – Réunion, Maurice – ou à New York) on aboutit à une richesse et à une variété de types humains, qui sont tout aussi légitimes et tout aussi naturels que les types canoniques (par exemple, des Eurasiennes avec des yeux bridés… et bleus). Le type d’un individu «marronnasse», qui mêle en lui tous les traits de la planète (et qui semble susciter la phobie sur ce blog…) a fort peu de «chances» (ou de «risques» ?) d’advenir. Ce qui statistiquement le plus probable, c’est qu’on aboutisse à un «métissage» qui produise non pas un même type d’individu cloné à des milliards d’exemplaires, mais un kaléidoscope où, à côté des types humains traditionnels (qu’on pourra estimer «purs») on verra toutes les combinaisons que la nature est susceptible de former, qui sont infinies, qui se renouvelleront à chaque génération, et où la notion même de «race» disparaîtra…

     

    Pour terminer par une comparaison : j’apprécie beaucoup, en architecture, les types «purs»*, tels que le roman, le gothique, le cistercien, le baroque, l’Art Nouveau, le Bauhaus. Mais j’apprécie aussi qu’ils se mêlent sur le territoire français, y compris lorsqu’ils se mêlent au même endroit : par exemple la pyramide du Louvre, ou les vitraux de Soulages à Conques, ou les vitraux de Mucha à la cathédrale de Prague, ou la sculpture de Moore dans le bassin de l’église Saint Charles Borromée de Vienne, ou le plafond de l’opéra de Paris refait par Chagall, ou la même œuvre déclinée en littérature, au théâtre, au cinéma, en peinture ou à l’opéra, etc. Cela aussi, c’est du métissage…

     

    * Encore qu’aucun type n’est vraiment « pur » : chaque art ne naît pas ex nihilo, en cherchant bien on lui trouve toujours des origines métèques…

     

    11 décembre 2007 à 15 h 06 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    10/12/07       – "Les 4-Vérités"

    Bon sang, mais c’est bien vrai  ! Suis-je bête, le Docteur WATSON vient de découvrir que ce tous les "HOLMES" qui parcouraient le vaste monde sans aucune prétention à l’époque de Sir Conan DOYLE (et de Jules VERNE !) avaient découvert sans complexes. En tout cas, sans complexe de culpabilité ! Et avant eux les philosophes des Lumières (notamment VOLTAIRE !) que continuent pourtant à encenser des pseudo-démocrates qui se refusent à admettre qu’il y a différentes races humaines (des ethnies, si l’on préfère !) et que celles-ci sont, par essence (divine !) différentes…

    Mais je n’oublie pas que LA MACHINE A UNIFORMISER les cultures, les langues, les habitudes alimentaires ou vestimentaires, etc.et à travers tout cela, les ETHNIES (par le métissage bientôt obligatoire), EST EN MARCHE ! Si l’ENNUI NAQUIT UN JOUR DE L’UNIFORMITE, je crains qu’avec les "progrès", aujourd’hui, cette uniformité obligatoire pour tous,  NE SOIT PAS SEULEMENT LA FIN DES "RACES", MAIS AUSSI, hélas ! CELLE DE LA RACE HUMAINE l

           Cordialement, Jean-Claude THIALET

    10 décembre 2007 à 12 h 39 min
  • Adolphos Répondre

    Bof, puisque la science nous apprend que 50 à 60% de l’intelligence est héréditaire, pourquoi n’y aurait il pas des "races" ou tout autre nom (famille, classe, caste, groupe, communauté, espéce, etc..) qu’on voudra ?

     

    D’ailleur, je remarque que les labos investissent la chine pour faire des recherche adapté spécifiquement au chinois ! Il y a donc bien des différences physiologiques entre ethnies.

     

    Sinon, mauvaise nouvelle, les français ont le plus bas QI d’Europe..

    Les meilleurs sont les Allemands.

    Dans le monde, les Arabes et les noirs sont en dessous de tout, mais les français sont tout de même devant.

    Evidement, la on parle de QI, donc, ce n’est qu’un element indicatif. Mais si l’intelligence sert à quelque chose, elle devrait se retrouver dans les résultats économiques ! Le PIB/Hab serait donc un bon indicateur de l’intelligence. Et ca semble tout de même être corélé au QI..

    Bref, c’est pas gagné pour les français.

    10 décembre 2007 à 12 h 22 min
  • Daniel Deschamps Répondre

    L’intelligence? C’est quoi plus précisément?

    Ce qui produit la mort peut-il se référer à l’intelligence?Le criminel peut-il être qualifié d’intelligent? lui, qui par son choix reconnait son incapacité à comprendre une situation afin de la gérer?

    Les Nazis étaient ils intelligents??

    Ceux qui parlent de QI  comme mesure de l’intelligence  peuvent-ils se dissocier des Nazis par cette définition de l’intelligence (mesure éminemment humaine), mesure ainsi  admise comme commune entre eux et les Nazis?  

    La notion d’intelligence peut elle être dissociée de la notion de vie? L’intelligence d’un humain peut elle être dissociée de ce qui caractérise l’humain?Ou est la notion d’humanité dans le QI? Qui sont ces demeurés qui veulent mesurer l’humain avec des critères mécaniques?Des critères anti scientifiques puisqu’ils établissent des règles pour parler de l’homme en fonction de leurs limites personnelles sur le plan humain! . Ils définissent et adaptent un système qui se veut intelligent,   pour mesurer l’intelligence… en ne conservant que les données pouvant les mettre eux mêmes en valeur.

    Mais comment  pourraient ils faire autrement puisqu’ils n’ont pas reconnu en eux  les autres données caractérisant l’humain. C’est tout le drame des hommes tant qu’ils ne développent pas l’humilité: ils croient que l’intelligence ne passe que par les données qu’eux mêmes ont reconnu. Leur chien pense ainsi, aussi. Sa gamelle, Ses petits. Chacun y va du couplet qui l’arrange!

    Cette définition partielle du Robert me parait  intéressante: "l’intelligence est l’art d’établir des liens" …

    Quand on a eu la chance de vivre  l’Amour, on admet qu’il s’agit du lien humain par excellence. L’intelligence caractérisant l’humain est plutôt de ce côté.

    On est loin du racisme qui n’est pas lien mais séparation. Et pourtant, refuser de parler des différences  est la  forme de racisme la plus pernicieuse. Ca mériterait un long développement.

    10 décembre 2007 à 1 h 11 min
  • Anonyme Répondre

    Excellents commentaires de Bibi et de Beligue. Merci, messieurs.

    Best,

    Mancney

    9 décembre 2007 à 22 h 06 min
  • Albert Répondre

    @ Scipion

     

    Vous répondez par une tautologie : un métis… est un métis ! Nous voila bien avancés ! Et, au passage, vous fournissez, inconsciemment, un fameux exemple de votre racisme en classant les ministres de Lula non en fonction de critères pertinents (comme la compétence ou la couleur politique) mais des fumeux critères de «race», auxquels ne correspondent aucune des caractéristiques humaines autres que superficielles… [Et ne venez pas me dire que le gouvernement de Lula est «de gauche», il n’y a guère que le Figaro Magazine pour le croire encore…].

     

    A lire certaines contributions de ce blog, j’ai l’impression de faire un bond en arrière de plus de 70 ans, à la «belle» époque des Expositions coloniales, lorsqu’on exhibait des tribus africaines derrière des enclos (à côté des girafes et des chimpanzés) à des bourgeois français bouffis de bonne conscience et d’ignorance… Depuis 1815 et les Emigrés, l’attitude de la droite française est restée la même : ne rien apprendre et ne rien oublier !

    9 décembre 2007 à 15 h 26 min
  • Anonyme Répondre

    Albert : " Votre réponse sur les limites est, à tous les égards, révélatrice."

    Ce qui est révélateur, c’est que vous recherchiez a "me" révéler : Il ne s’agit pas de moi, ni de vous, et c’est une chance, mais du sujet de l’article. On connait bien ce genre de personne qui, a cours d’arguments, cherchent a s’en prendre aux personnes plutot qu’aux idées. Well, you came in the right place, Albert.

    Albert : " (… )  frontières que vous souhaiteriez étanches, et qui, non seulement, ne le sont pas (car les «métis», pour votre malheur, existent…)

    Merci d’avoir bien compris mes propos. Je ne pense pas avoir écrit cela.
    Alors, je le précise, a votre attention, je pense que le METISSAGE EST UNE NECESSITE ABSOLUE. Il est utile, souhaitable, naturel, et parfaitement accepté. Dans le meme temps, il ne doit pas conduire a un mixage des races trop important car il amenerait la destruction des races initiales.
    J’arrete mon commentaire ici, et le reprendrai, peut etre, quand vous m’aurez accusé réception des points ci dessous :
    1- Il y a, Dieu merci, des races différentes sur terre.
    2- Il est de notre intéret et de notre devoir de les conserver.
    3- Pour cela le métissage excessif ne sera pas encouragé.
    4- Le métissage "naturel" est souhaitable et nécessaire. Il devra etre encouragé si il devait tendre a disparaitre. ( Mais je ne pense pas que l’on en soit la aujourd’hui).

    Mancney

    Ps : Les exemples d’animaux étaient allégoriques; merci, et bravo, de les avoir pris au pied de la lettre, mais ce n’était pas prévu.

    9 décembre 2007 à 14 h 51 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    09/12/07    – "LES 4-VERITES" –

    Que de tartes à la crème dans pas mal de "posts" suscités par l’article de Nicolas BONNAL ! Pourquoi se polariser sur les "Q.I." comparés des "noirs", des "jaunes" ou des "blancs", ou encore des Askénazes ? "Les faits (on le sait grâce à LENINE !) son têtus" : partout  où "le pouvoir l’homme blanc" a disparu, l’AFRIQUE N’A CESSE DE REGRESSER.

    Alors, que les spécialistes de la repentance  -si ça leur chante –   dissertent à longueur de colonnes sur le fait que si l’Afrique sombre, c’est la faute aux massacres, aux spoliations, aux pillages, que sais-je encore ! Et qu’ils nous foutent la paix ! Je dirai simplement que, SI DIEU A FAIT L’HOMME A SON IMAGE, IL LES A FAIT AUSSI, TOUS DIFFERENTS, au point qu’il n’y a pas sur la terre deux hommes strictement semblable. Même ches les jumeaux parfaits !!!

    Bon dimanche, cordialement, Jean-Calude THIALET

    9 décembre 2007 à 12 h 21 min
  • bibi Répondre

    Le QI mesure l’apititude d’un individu à déterminer un ordre sousjacent. ce qui revele une capacité à faire face a des problème logique.

    Il est    est probable qu’en europe comme dans le nord de l’asie, la saisonalité a exercé une pression selective forte sur deux facteurs : le respect de l’ordre et la capacité d’anticipation.

    Le fait de n’avoir qu’une recolte annuelle qu’il faut répartir les onze mois restant avantage la communauté  qui compte en son sein le plus grand nombre d’individus  capable de gerer des stock. ( ne pas tricher, bien calculer, savoir batir…)

    Les  population nordiques sont en tandance plus organisées que les populations équatoriales.  Cet heritage est probablement en grande partie génétique.

    Les juifs d’europe n’ayant pas eu le droit pendant des siècles de posséder de terre, voir de travailler la terre, se sont trouvés confinés dans les professions intellectuelles.  Si on impose a une population de travailler  dans la finance, il est clair que les moins doués de cette population vont être obligé d’en sortir. Un juif pas doué pour les maths avait tout intérêt à se convertir a la religion ambiante pour travailler la terre. Si on persécute une population pendant des siècle, il est probable qu’au fil des génération les plus doués d’intuition politique, ceux qui savent le mieux  décoder les mécanismes sociaux en cours, ont su prevoir mieux que les autres les risques de progroms et fuir à temps. Etc…

    Il est peu probable que l’insucces des noirs en occident s’explique uniquement par le racisme des blancs ou les discrimition réel dont il ont été victime.

    Les états unis ont connu 3 guerre majeures en asie. Contre le japon, en corée, au viet nam. Des dizaines de milliers d’américains y ont laissé leurs vie et l’animosité anti asiatique n’a jamais disparue. les ouvrier chinois débarqué au etats unis pour construire les lignes de chemins de fer ont connu des condition de travail effrayante, et toute l’asie a connue la colonisation européenne. Cela n’a pas empeché les asiatique devenir le groupe ethnique le plus riche des etats unis devant les blanc.

    http://en.wikipedia.org/wiki/Personal_income_in_the_United_States

    Les test culturellement discriminant, partie des test  de QI consacré a la langue, sont ceux ou la difference  entre noir et blancs est la plus faible. C’est sur les competence mathematique que la difference est tres forte.

    Le meilleur site sur la question :

    http://www.lagriffedulion.f2s.com/

     

    Les cultures, les civilisation ont un soubassement genetique assez évident. L’islam n’a jamais pris en europe parmi les population blanches malgré des siècle d’occupation d’une large partie de l’europe.  L’albanie le seul pays musulmans d’europe est une population dont l’origines n’est pas bien connu. Les population les moins islamisés du magreb sont les population berbere blanche.

    Il y a plus de resemblance en terme de culture, d’architecture, d’organisation sociale traditionnelle, entre la birmanie et la corée qu’entre la birmanie et l’inde, pourtant geographiquement plus proche.

    C’est un constat de nature fataliste, il ne s’accompagne pas nécessairement d’un dessein politique  haineux et génocidaire. Un constat raciste peut parfaitement se conclure par un laconique "c’est comme ça".

    l’egalité de droit et de dignité ne signifie pas égalité en terme de capacité cognitive. Ou pour mieux dire, la dignité d’un individu ne procede pas de ses capacité intellectuelle.

    En terme politique, il est cependant claire que les difference entre race  doivent etre prise en compte, notamment sur les politique migratoire. L’ecart de reussite entre groupe ethnique produit des haines insoluble. Faire cohabiter des groupes ethniques avec un ecart de 15 point de QI expose a des risque de paix civile enorme: les juifs assasinés en allemagne, les chinois régulierement cible d’attaque en indonésie, les coréens ciblés pendant les emeutes de 92 à los angeles. Oserais je ajouter les blanc en europe?

     

     

     

     

     

     

     

    9 décembre 2007 à 2 h 59 min
  • bibi Répondre

    Le QI mesure l’apititude d’un individu à déterminer un ordre sousjacent. ce qui revele une capacité à faire face a des problème logique.

    Il est    est probable qu’en europe comme dans le nord de l’asie, la saisonalité a exercé une pression selective forte sur deux facteurs : le respect de l’ordre et la capacité d’anticipation.

    Le fait de n’avoir qu’une recolte annuelle qu’il faut répartir les onze mois restant avantage la communauté  qui compte en son sein le plus grand nombre d’individus  capable de gerer des stock. ( ne pas tricher, bien calculer, savoir batir…)

    Les  population nordiques sont en tandance plus organisées que les populations équatoriales.  Cet heritage est probablement en grande partie génétique.

    Les juifs d’europe n’ayant pas eu le droit pendant des siècles de posséder de terre, voir de travailler la terre, se sont trouvés confinés dans les professions intellectuelles.  Si on impose a une population de travailler  dans la finance, il est clair que les moins doués de cette population vont être obligé d’en sortir. Un juif pas doué pour les maths avait tout intérêt à se convertir a la religion ambiante pour travailler la terre. Si on persécute une population pendant des siècle, il est probable qu’au fil des génération les plus doués d’intuition politique, ceux qui savent le mieux  décoder les mécanismes sociaux en cours, ont su prevoir mieux que les autres les risques de progroms et fuir à temps. Etc…

    Il est peu probable que l’insucces des noirs en occident s’explique uniquement par le racisme des blancs ou les discrimition réel dont il ont été victime.

    Les états unis ont connu 3 guerre majeures en asie. Contre le japon, en corée, au viet nam. Des dizaines de milliers d’américains y ont laissé leurs vie et l’animosité anti asiatique n’a jamais disparue. les ouvrier chinois débarqué au etats unis pour construire les lignes de chemins de fer ont connu des condition de travail effrayante, et toute l’asie a connue la colonisation européenne. Cela n’a pas empeché les asiatique devenir le groupe ethnique le plus riche des etats unis devant les blanc.

    http://en.wikipedia.org/wiki/Personal_income_in_the_United_States

    Les test culturellement discriminant, partie des test  de QI consacré a la langue, sont ceux ou la difference  entre noir et blancs est la plus faible. C’est sur les competence mathematique que la difference est tres forte.

    Le meilleur site sur la question :

    http://www.lagriffedulion.f2s.com/

     

    Les cultures, les civilisation ont un soubassement genetique assez évident. L’islam n’a jamais pris en europe parmi les population blanches malgré des siècle d’occupation d’une large partie de l’europe.  L’albanie le seul pays musulmans d’europe est une population dont l’origines n’est pas bien connu. Les population les moins islamisés du magreb sont les population berbere blanche.

    Il y a plus de resemblance en terme de culture, d’architecture, d’organisation sociale traditionnelle, entre la birmanie et la corée qu’entre la birmanie et l’inde, pourtant geographiquement plus proche.

    C’est un constat de nature fataliste, il ne s’accompagne pas nécessairement d’un dessein politique  haineux et génocidaire. Un constat raciste peut parfaitement se conclure par un laconique "c’est comme ça".

    l’egalité de droit et de dignité ne signifie pas égalité en terme de capacité cognitive. Ou pour mieux dire, la dignité d’un individu ne procede pas de ses capacité intellectuelle.

    En terme politique, il est cependant claire que les difference entre race  doivent etre prise en compte, notamment sur les politique migratoire. L’ecart de reussite entre groupe ethnique produit des haines insoluble. Faire cohabiter des groupes ethniques avec un ecart de 15 point de QI expose a des risque de paix civile enorme: les juifs assasinés en allemagne, les chinois régulierement cible d’attaque en indonésie, les coréens ciblés pendant les emeutes de 92 à los angeles. Oserais je ajouter les blanc en europe?

     

     

     

     

     

     

     

    9 décembre 2007 à 0 h 04 min
  • Jaures Répondre

    Les grands penseurs peuvent s’égarer dans les pires idéologies, voir Heidegger et les nombreux Prix Nobel qui ont rejoint le camp nazi. Watson, si je ne m’abuse, avait dit quelque chose de similaire sur les homos. Que répondre à cet article nauséeux ? Ceux qui sont persuadés être plus intelligents que les noirs ne changeront guère d’avis: il est toujours rassurant de se croire plus intelligent que  les autres.
    Si l’on constate que peu de noirs  figurent parmi les Prix Nobel, il faut constater que la part des femmes y est encore moindre : bien peu de femmes parmi les grands de l’Art, de la science et du pouvoir. Faut-il en conclure que les femmes sont moins intelligentes que les hommes ? Je vous laisse en discuter avec votre compagne.
    En réalité, toutes les études montrent que quand on compare le Q.I de personnes émanant du même milieu, les moyennes ne diffèrent guère, quelle que soit l’origine ethnique. Il en est de même si l’on compare hommes et femmes. Si telle ou telle population est plus représentée à un moment donné parmi l’élite, c’est l’oppression qui l’explique et rien d’autre. donnez à des populations noires et blanches les mêmes occasions d’exprimer leurs aptitudes et vous obtiendrez des chiffres comparables de plombiers, musiciens, physiciens et abrutis.

    8 décembre 2007 à 23 h 14 min
  • beligue Répondre

    En élevage, la race est un ensemble d’individus sélectionné pour transmettre le plus fidèlement possible les caractères qu’ils expriment et le mieux adapté possible à leur environnement.

    Donc reconnaitre que les noirs courent plus vite et plus longtemps que moi ne me gêne pas et cela a été prouvé physiologiquement et pratiquement. Reconnaître qu’ils sont intellectuellement égal à moi et à nous, pourquoi pas!Mieux adaptés aux soleil, certainement !!Ce qui est sûr c’est qu’ils sont mois vaillant que nous et plus doué pour chanter et danser et moins doué que nous dans le système économique actuel.

    Si on continue comme cela, nous serons bientot inférieur aux jaunes dans le système économique mondial.

    Reconnaitre la supériorité ou l’infériorité d’une race ou d’une ethnie ne pour telle ou telle activité ou aptitude ne me gêne pas. Ne pas le reconnaitre est absurde et un manque flagrant d’objectivité. Si on doit être égaux devant la loi, il est évident que devant mère nature on est inégaux, parfois supérieur, parfois inférieur.

     

    8 décembre 2007 à 21 h 38 min
  • Scipion Répondre

    Albert : "Dans une population métissée (comme celle du Brésil, voire des Etats-Unis), où se trouve la limite entre un blanc, un métis et un noir ?"

    Au Brésil, elle se trouve dans la composition du gouvernement lulien : vingt-quatre Blancs (53  % de la population), deux métis (39 % de la population – portefeuilles non "stratégiques" de la culture et de l’environnement), et aucun noir (6 % de la population)

     

     

    8 décembre 2007 à 12 h 37 min
  • Anonyme Répondre

    on peut avoir un prix nobel et être un connard .

    moi je voudrais savoir si les femmes qui ne représentent que 0,2 % de tout les scientifiques qui ont eu les prix nobel sont eu aussi bête que les noir ?

     

    ce n’est plus du racisme mais du sexisme :-)

    p.s: les prix nobel n’ont jamais étaient partiel dans leurs choix

    bon moi je me casse mare de ce site de raciste fils à papa

    7 décembre 2007 à 23 h 07 min
  • Duflo Répondre
    Bonjour Monsieur,
    J’ai lu avec grand intérêt votre page "un prix Nobel politiquement incorrect" dans les 4 vérités du 7 décembre et je suis parfaitement en accord avec le docteur Watson. J’en reparlais justement cet après midi avec un ami en lui donnant mon exemple personnel, lorsque je voyais des camarades de classe qui apprenaient plus facilement sans faire d’effort alors qu’il me fallait plus de temps dans la compréhension. J’en déduisais tout naturellement qu’ils étaient plus intelligents que moi et n’en avait aucune honte et acceptais le fait. Malheureusement nous sommes dans une époque que je qualifie d’inquisition de la pensée. "Au bucher ceux qui expriment la vérités" mais l’histoire jugera tout comme Galilée qui avait tord d’avoir de l’avance sur son temps.
    Tout cela me rend triste, heureusement que des réactionnaires comme vous, les vérités, et beaucoup d’autres font éclater leurs pensées légitimes.
    Je vais rediffuser sur ma liste de diffusion votre article et si vous souhaitez être placé sur ma liste hésitez pas à me le faire savoir.
    Cordialement 
    Jean Claude Duflo  
    7 décembre 2007 à 19 h 38 min
  • Albert Répondre

    @ Mancney

     

    – Votre réponse sur les limites est, à tous les égards, révélatrice. Elle l’est d’abord par votre agacement à constater, précisément, un brouillage de frontières que vous souhaiteriez étanches, et qui, non seulement, ne le sont pas (car les «métis», pour votre malheur, existent…) mais sont totalement imaginaires. Elle l’est ensuite par votre comparaison incongrue des «races» humaines avec deux règnes animaux, de surcroît disparates (mammifères et poissons) et un règne végétal (fleurs). Et le baroque de ces exemples, d’ailleurs, en dit long sur votre volonté de séparation… pour ne pas dire d’apartheid ! Les «races» humaines n’existent pas, puisque ce qui définit une race, c’est précisément la capacité de ses éléments à se reproduire entre eux. Un chien et une chatte ne peuvent se reproduire. Un Hottentot et une Suédoise, eux, le peuvent… (Tant mieux, d’ailleurs !). [A ce propos, question subsidiaire : quelle est votre position à l’égard des unions «mixtes» ? Comptez-vous les interdire ? Et, si oui, au nom de quoi et selon quels critères ?].

     

    – Il n’existe pas de différence «interraciale». La moyenne des différences interpersonnelles d’un échantillon humain donné, n’importe où sur la Terre, est plus grande que la différence de la moyenne de cet échantillon-ci à la moyenne d’un échantillon de taille équivalente en un quelconque autre point de la planète. Soit, en d’autres termes : que cela vous plaise ou non (et tant mieux si ça vous déplaît…), vous êtes certainement plus éloigné de votre voisin (avec qui vous partagez les mêmes idées) que de n’importe quel Bantou que vous ne connaîtrez jamais de votre vie… Et il n’existe pas davantage de raisons d’attribuer la collection de prix Nobel aux juifs à une hypothétique judéité que l’incarcération des noirs aux Etats-Unis à une non moins hypothétique négritude. Dans l’un comme l’autre cas, vous ne pouvez que constater une corrélation, certainement pas affirmer une relation de cause à effet ! Or, une corrélation, même à 100 % ne permet pas d’inférer une relation causale. [Et je défie quiconque, sur ce blog ou ailleurs, d’apporter le plus petit commencement de preuve d’une telle relation…].

     

    – Vous confondez un concept avec sa mesure. Ce n’est pas parce qu’on mesure l’ampérage qu’on en sait davantage sur la nature de l’électricité. Et, à plus forte raison, en est-il de ces fameux (ou fumeux ?) Q.I. auxquels, dans ce blog, certains vouent une vénération fétichiste. Ces tests sont déjà plus que contestables au niveau d’un seul individu, en ce qu’ils reposent sur une série de postulats arbitraires, à commencer par celle du «quotient», qui suppose un développement de l’intelligence selon une équation linéaire (de type y = ax), alors qu’on ne sait précisément pas de quelle façon celle-ci se développe ! (Selon un modèle exponentiel, asymptotique, polynomial, sinusoïdal, ascendant par paliers (comme le pensait Piaget), etc.) A plus forte raison le sont-ils lorsqu’on passe d’un individu à un groupe, la moyenne des Q.I. étant une notion encore plus irrationnelle que celle de leur somme.

     

    – Le fait que Watson ait été prix Nobel n’ôte rien à son ânerie, c’est simplement une ânerie nobélisée. Et il n’a pas été le seul : Konrad Lorenz en son temps, Alexis Carrel dans le sien (aussi nobélisés qu’ils aient été), n’en sont pas moins partis dans de telles élucubrations. L’appréhension des humains dans une catégorie aussi grossière que l’aspect physique (baptisé «race»), catégorie à laquelle on attribue des qualités ne varietur, est aussi primitif que le serait le classement des véhicules terrestres à moteur en fonction de leur couleur. Face à une moto noire, à une limousine noire, à un coupé noir, à un 4 x 4 noir, à un camion noir, à un autobus noir, à un bulldozer noir, etc., auriez-vous l’idée de dire : tout ça, c’est tout pareil, c’est que du noir ? Ce que vous ne feriez pas pour des morceaux de ferraille, pourquoi le faites-vous pour des êtres humains ? Ce ne sont pas les «races» qui créent le racisme, c’est le racisme qui invente les «races»…

     

    Et j’en reviens aux questions que je ne cesse de poser et auxquelles répond toujours un aussi assourdissant silence : dans une série de copies de concours rendues anonymes, quels critères vous permettent, à partir des épreuves, d’inférer de l’allure de leurs auteurs ? Ou, à l’inverse, vu les candidats, qu’est-ce qui vous permet, a priori, de conclure de leur aspect à la teneur de leur copie ? Alexandre Dumas comme Alexandre Pouchkine étaient mulâtres. Qu’est-ce qui, dans leur œuvre, permet de l’inférer ? Ou, à l’inverse, qu’est-ce qui, dans leur état de métissage, permettait de déduire ce que serait l’essence de leur œuvre ?

    7 décembre 2007 à 14 h 08 min
  • sas Répondre

    a gérard…..grand PETIT BEMOL;……outre le travail et la prédisposition……il est plus facile d’intégrer et bonne ecole et bon cursus avec du gros pognon pour payer les cours et eventuellement acheter les diplômes en sortie lorsque le niveau n’y est pas (jurispridence de l’avocat idiot et illuminé…*) qu’en sortant du pêriphérique….tu cite naase venichema et moi je te parle aussi de la courte echelle….moins méritoire mais tout aussi usité…

    salut gégé sas

    * attention y en a plusieur un roller immature peux cacher un marsulpilami….

    7 décembre 2007 à 13 h 38 min
  • L. Répondre

    Voilà donc un bel article raciste.

    Merci quand même à Gérard Pierre pour son commentaire "intelligent".

    L. (un Juif ashkénase, né de nouveau, qui a eu 127 à son dernier test QI)

    7 décembre 2007 à 12 h 32 min
  • Anonyme Répondre

    Albert : "Dans une population métissée (comme celle du Brésil, voire des Etats-Unis), où se trouve la limite entre un blanc, un métis et un noir ?"

    La limite, c’est que nous appartenons a de différentes races, comme les chiens, les chats, les poissons et les fleurs, et que c’est tres bien comme ca, car ces différentes races sont la richesse de la Planete, et il serait éventuellement souhaitable de les conserver ( les races et les differences) . Le Global Warming, je sais pas, mais le Global Mixage est en route, et c’est autrement grave et réel.
     
    Maintenant, ce qui est diff
    érent comporte des différences, n’est ce pas, c-a-d des choses inégales, comme le signe "différent de" et, l’intelligence et la taille du zizi peuvent faire partie de ces différences, que vous feriez mieux de louer plutot que de réfuter.

    Enfin rassurez vous, il existe parfois aussi d’énorme différence d’intelligence au sein d’une meme communauté; merci de ne pas me demander de fournir un exemple, il ne vous plairait pas.

    Mancney

    6 décembre 2007 à 22 h 06 min
  • amadou Répondre

    j’espère que ce savant à des arguments scientifiques pour avancer ce genre de propos.

    pourquoi le QI  des asiatiques est-il  plus élevé que celui des européens?

    pourquoi le QI des noirs est-il plus faible ?

    Mais le QI  c’est quoi ?

    il précise que le niveau intelect des israelites est le top, mais cela nous le savions déjà ce peuple étant a part  –

    ce grand savant a-t-il évalué le QI d’un juif noir ? ou d’un noir indien ?   

     

    6 décembre 2007 à 20 h 20 min
  • Anonyme Répondre

    Donc, ce qui est grave, c’est que les blancs soient plus intelligents que les noirs.
    Que les jaunes soient plus intelligents que les blancs, tout le monde s’en fout.

    Autrement dit, il est grave et éventuellement interdit, de dire que X est plus intelligent que Y mais il est permis de dire que Z est plus intelligent que X.

    Bravo, gentlemen, comme exemple de culpabilisation collective, j’ai rarement vu mieux! Et Jacques, qui est  probablement tres intelligent, gagne le Prix.  Bande de clowns!

    Mancney

    6 décembre 2007 à 17 h 49 min
  • Anonyme Répondre

    Jacques : " Une réception élevée de plainte accélera vraisembleblement le début de l’enquête qui devra déterminer si propos de cet article entre sous le coup de cette loi ou non."

    Mon pauvre Jacques!

    Mancney

    6 décembre 2007 à 17 h 32 min
  • Gérard Pierre Répondre

    Bonjour Jean-Claude Thialet.

       La vieille France aigrie, laïque, désabusée, enfermée dans des certitudes éculées, qui se vautre depuis bientôt cent quarante ans dans une raie publique aux idéologies surannées et paralysantes après avoir été la fille aînée de l’Eglise, sera réévangélisée dans ce siècle encore naissant par la jeune Eglise d’Afrique. J’en ai l’intime conviction.

     

       Pendant des décennies, dans nos paroisses, des prêtres aux visages graves, compassés et austères ont prêché à leurs ouailles de moins en moins nombreuses …………………… la Bonne Nouvelle ! …………… il y avait parfois de quoi s’interroger : «  Si la Nouvelle est si bonne, …… pourquoi font ils cette tête d’enterrement pour l’annoncer ? ». La crise des vocations s’accentuant au fil des ans dans les diocèses de France, l’Afrique qui ne connaît pas cette récession nous « prête » de plus en plus de prêtres formés dans ses séminaires (nos missionnaires ont bien semé, l’Europe pourra moissonner, …… et les libres penseurs crieront au pillage des élites ! ! !). La différence est éclatante : la Bonne Nouvelle qu’ils ont reçue en dépôt nous est restituée par eux avec une fraîcheur, une gaieté et un enthousiasme qui nous ramènent aux sources mêmes du christianisme et nous réconcilie avec le sens de l’Autre, le sens de la vie et le sens du Divin.

     

       Tant pis pour le docteur Watson qui n’a sans doute pas eu l’opportunité de lire Saint-Exupéry (« C’est l’Esprit qui mène le monde, non l’Intelligence » disait-il.) En France comme en Europe, l’overdose d’intelligences a conduit à de telles extrémités que nous devrions reconsidérer bien des choses avec un minimum d’humilité (ce qui procède précisément de l’Esprit).

     

       Dans les cultures, dans les traditions, dans l’éducation, cherchons d’abord où se trouve l’Esprit avant de considérer les intelligences qu’elles animent peu ou prou. Nous y trouverons la clef de bien des situations qui font crier à l’inégalité les doctrinaires superficiels. Et à propos des Juifs Ashkénazes, une meilleure connaissance de l’Esprit même du Judaïsme (naasse venichma = nous ferons et nous comprendrons) qui est le carburant de la réussite de toutes leurs entreprises devrait dessiller la perception des ratiocineurs les plus enragés. Le peuple Juif n’est un grand peuple que parce que l’Esprit qui le conduit depuis Abraham ne s’est pratiquement jamais altéré.

     

       Médite qui voudra, …… comprenne qui pourra.

    6 décembre 2007 à 15 h 30 min
  • R. Ed. Répondre

     Jacquouilles @ .uy

    Un collègue des Tupamaros et des Escadrons de la mort vient nous donner des leçons de démocratie, on aura tout vu.

    6 décembre 2007 à 13 h 44 min
  • R. Ed. Répondre

    ATAVISME

    Personne ici n’en parle et pourtant …

    Un petit exemple, connu par des millions de Français, ceux qui possèdent un chien …

     

    Le toutou, qui avant de dormir, tourne en rond dans son panier  """ pour mettre sa paillasse en ordre """, vous n’y êtes pas, c’est pour –  reliquat d’atavisme – chasser les éventuels intrus d’icelle, pour sécuriser sa couche.

    Après des milliers d’années de domestication, c’est pratique sécuritaire des animaux sauvages n’a pas encore disparu du cerveau reptilien de notre compagnon à 4 pattes.

    Atavisme chez le chien, et pourquoi pas chez nous, nous ne sommes pas des mammifères également, peut-être ?

    L’homme est supérieur, sans doute, mais pour détruire et massacrer les autres, alors là, il est le champion.

    Souvent au nom de chimères, encore appelées croyances ou révélation .

    Au nom de Dieu, d’Allah ou de son prophète !

     

    Quant à Jako le cornichon, que vient-il faire sur ce site de libeté de la parole ?

    Que vient-il nous citer ces articles de lois soviétoïdes ?

    Les lois gays-sots, les lois perven-du !

    6 décembre 2007 à 13 h 32 min
  • Frattes Répondre

    Votre QI doit être au niveau de vos articles! Premièrement les blancs en Afrique du Sud c’est 12% de la population, sur une population de près de 48 millions le calcul est vite fait. En plus, en dehors de quelques nostalgiques de l’apartheid (ils en existent malheureusement avec un très bon QI pourtant) la quasi totalité des blancs se sent plutôt à la maison, malgré quelques problèmes de sécurité qui touchent toute la population! Mais passons, je ne crois pas que vous ayez déjà mis les pieds en Afrique du Sud ou en Afrique tout court!

    Pour ce qui est de l’intelligence des africains ou noirs, je vous renvoie à cette étude américaine qui démontre l’influence de l’environnement externe sur le QI. Exemple : les descendants émigrés africains aux USA (Nigérians, Ghanéens, Ethiopiens) sont autant représentés dans les Ivy schools américaines que les asiatiques (en pourcentage de la population évidemment).

    Pour ce qui est de la surreprésentation des juifs parmi les prix nobels, vous ne vous posez pas la question de savoir si cela à un trait avec leur culture? Vous feriez grandir le fils de Einstein dans un ghetto de Port au Prince et je parie qu’il aura le même QI que ses voisins!

    6 décembre 2007 à 12 h 31 min
  • Albert Répondre

     

    Dans une population métissée (comme celle du Brésil, voire des Etats-Unis), où se trouve la limite entre un blanc, un métis et un noir ? A l’issue d’un concours auquel ont participé des candidats d’origine différente, quels critères, sur une copie rendue anonyme, permettent d’inférer de l’allure du candidat ? Si les 12 % de la population noire des Etats-Unis forment 52 % de la population carcérale, en quoi cette constatation constitue-t-elle une relation de cause à effet ? Quelle valeur ont les conclusions tirées de Q.I. alors que la fameuse Bell Curve de Murray (qui prétendait, justement, établir «l’infériorité» des «Noirs» sur les «Blancs»…) a été, à de multiples reprises, réduite en petit bois comme un fatras d’absurdités ?

    6 décembre 2007 à 0 h 15 min
  • voila ma réponse Répondre

    Tout ceci est il bien important ?

    Que représente notre bonne vieille planète à l’échelle de l’univers ?

    Ne pourrions un jour parler tout simplement de race humaine sans distinction de couleur ou d’appartenance à une quelconque religion, la différence fait la richesse de notre espèce.

    Le qi serait il le seul critère de reconnaissance de l’être humain ?

    Ces discours sont tout aussi dangereux que ceux des extremistes religieux ou civils (oui oui ils existent aussi) de tout bord.

    Et oui effectivement on peut dire qu’aucun prix nobel  de ce que vous voulez (sauf de la paix ça c’est jouable et pourtant) n’est issu du continent Africain et alors qu’est ce que cela change, ce n’est peut être qu’une question de temps ? 

     

    5 décembre 2007 à 22 h 46 min
  • Guillermo Répondre

    Bravo. Un article qui appelle un chat un chat.  Un article comme l’on en attend dans le 4V.

    Pour "no second to" je dirais que c’est normal que Jaurès n’aime pas puisque un intégriste quel qu’il soit abhorre presque toujours ce qui tend à le rapprocher d’une vérité.

     

    5 décembre 2007 à 21 h 13 min
  • Jean-Claude Thialet Répondre

    05/12/07    – "Les 4-Vérités" –

    Fallait-t-il s’appeler "WATSON", découvrir l’ADN et mériter un prix NOBEL, pour faire un constat que n’importe lequel de nos ancêtres avait déjà fait, en termes certes plus crus, moins politically correct. ?Des ancêtres qui, à la voile et au péril de leur vie, avaient exploré le vaste monde et découvert des populations dont ils ne cherchaient pas à savoir si elles étaient plus ou moins intelligentes, plus ou moins ceci ou cela, mais dont ils pouvaient découvrir – sans avoir la moindre notion d’ADN ou même de Q.I. – qu’elles étaient simplement à un degré d’évolution différent du leur. Ce que pouvaient d’ailleurs constater par eux-mêmes ceux que l’on appelaient les "indigènes". La preuve, c’est que leurs élites s’efforçaient d’imiter (d’aucuns diraient "singer") leur visiteurs, qu’ils soient animés ou non de bonnes intentions à leur égard. Et pas forcément, hélas ! dans ce que ces derniers avaient de meilleur. à leur apporter…

    Depuis, différents facteurs sont intervenus. Notamment avec le "brassage" des populations et le métissage. Celui des individus. Celui des modes de vie. Celui des civilisations. Et cela pour le meilleur (de moins en moins souvent) et pour le pire !

    Ajoutons à cela que le mot "race" étant proscrit (ce qui n’empêche pas   – on se demande bien pourquoi – que le "racisme" existe toujours, pas seulement comme mot !) et qu’il a été remplacé par le mot "ethnie" qui avait cours plus particulièrement en Afrique où des populations qui pouvaient paraître semblables aux yeux d’un Européen se considéraient comme largement différentes. Pas seulement par le langage. A tel point que ces ethnies se faisaient la guerre de façon quasi permanente (comme des nations européennes entre elles !), ce qui était d’ailleurs une des principales sources d’approvisionnement de l’esclavage dont seuls les Européens sont aujourd’hui tenus pour responsables ! Comme s’ils étaient conséidérés comme "supérieurs", à la façon des "aînés" qui, dans une famille, sont toujours tenus pour responsables des bêtises des plus jeunes.

    Je crains que notre ami WATSON, en constatant que certaine "ethnie" avait ("pouvait avoir", devrais-je écrire) un Q.I. inférieur à celui d’autres ethnies, ne se soit définitivement aliéné certains "lobbies" qui se sont fait les champions de l’antiracisme primaire. Et cela,  bien qu’il ait reconnu une évidence qui devrait sauter aux yeux de tous, à savoir qu’il est une autre ethnie (ou plutôt une "composante" de cette ethnie) qui, dans le domaine pur de l’intelligence, est supérieure à toutes les autres dans le domaine de la Science. Et pas seulement celui-là, d’ailleurs. Ce que, bien que n’appartenant pas moi-même à cette ethnie, j’ai reconnu depuis longtemps sans attendre que l’on me décerne un quelconque prix !).

    En cette époque d’égalitarisme forcené qui veut, au nom d’un christianisme dévoyé entretenu par les laïcards antiracistes qui gouvernent l’opinion par médias et (a)Justice interposés; égalitarisme qui impose que tout le monde soit beau, tout le monde soit gentil, mais  aussi que tout le monde soit égal, quelle que soit sa race (pardon, son ethnie !), sa religion, ou son sexe, il est bien évident que, même bardé de diplômes, même couronné d’un Prix Nobel, on ne peut pas échapper à l’ostracisme…

    Tout cela parce que certaine ethnie (qui, dans le secret de sa conscience collective, se reconnaît supérieure à toutes les autres ) (1) a imposé le diktat de l’anti-racisme. Celui qui veut que l’on ne peut dire qu’un BLANC, un JAUNE ou un NOIR soit supérieur à un individu d’une autre ethnie, et encore moins qu’une ethnie soit supérieure à toute autre.  Alors, la peste soit de la Science, la peste soit de l’ADN ou des tests d’intelligence, contentons-nous de ce que nous imposent des lois de plus en plus "scélérates" (2),  et de ce que nous dictent des médias à la botte d’un lobby. C’est à ce seul prix que nous vivrons en paix. Sinon en paix avec notre propre conscience.

     Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) une "supériorité" qu’elle s’attribue depuis des millénaires sans que cela trouble sa conscience !

    (2) le mot est de Jacques TOUBON pour qualifier la Loi (antiraciste) FABIUS/GAYSSOT. Une loi qu’il s’est bien gardé d’abroger une fois devenu Ministre de la Justice. Ce qui lui a permis, des années plus tard, de présider aux destinées de "La  CITE DE L’IMMIGRATION" ! Comme c’est bizarre !

    5 décembre 2007 à 21 h 06 min
  • Gérard Pierre Répondre
       J’ignore ce qu’a découvert le docteur Watson en dehors de l’ADN, l’article de Nicolas Bonnal ne permet pas de l’établir. Aussi, lorsque ce chercheur affirme que les noirs sont moins intelligents que les blancs, rien n’indique jusqu’à plus ample informé que ce soit sur la base d’une découverte scientifique réalisée par lui. Je trouve par conséquent bien imprudent cet emportement soudain à vouloir faire dire à la science des choses qui permettraient à beaucoup d’entre nous de s’affranchir confortablement de toute interrogation relative aux cultures, aux traditions et à l’éducation.
     
       Un sulfureux personnage du dix neuvième siècle, nommé Gobineau, publia lui aussi en 1853 un ouvrage intitulé « Essai sur l’inégalité des races humaines ». Il fut d’abord célèbre en Allemagne avant de l’être en France. Gobineau glorifiait les Germains blonds et dolichocéphales. Outre que cela flattait la germanophilie de nombreux intellectuels, il en profitait au passage pour ajouter un zeste de doctrine contre révolutionnaire de la force, rejoignant les idées antichrétiennes de Nietzche sur les maîtres, sur le troupeau et sur la dureté nécessaire. On sait aujourd’hui à quelles extrémités conduisirent de telles aberrations.
     
       J’ajoute que je suis fort étonné par la taille des ficelles utilisées pour tenter de convaincre le lecteur. La phrase « cette inégalité des races est patente » est aussitôt suivie par « Les crétins qui contestent cette thèse ». J’étais habitué à un peu plus de dentelle dans les argumentaires développés jusqu’à présent sur ce site. Ce qu’il y a par ailleurs de pernicieux dans cet article, c’est qu’il expose des bilans réels en attribuant la cause de leurs résultats à une découverte qui serait d’ordre scientifique ! ! !
     
       Si l’Afrique connaît les problèmes qu’elle connaît actuellement, c’est uniquement du aux Africains, à leur mentalité tribale, à leurs traditions plus qu’archaïques, à une éducation qui leur fait défaut ou qu’ils s’empressent de reléguer dès qu’ils reviennent au pays. Ce continent est riche mais son économie est lamentable. Sortez n’importe lequel d’entre eux de son contexte continental et faites le vivre dés sa naissance comme un Français en France, et vous aurez simplement un petit Français très conforme au modèle de base. Ses chromosomes ou son ADN ne modifieront pas l’expérience d’un iota.
     
       Vouloir accréditer l’inégalité des races en utilisant le contre exemple des Juifs ashkénazes est tout aussi inconsistant. Si de nombreux prix Nobel, des musiciens célèbres, des penseurs de grande qualité sont Juifs, ceci n’est pas du à une appartenance ethnique plus favorable. Les Juifs ont la culture chevillée au corps depuis le berceau. L’étude de l’hébreu, langue aux caractères uniques dans le monde où non seulement les mots ont un ou plusieurs sens mais chaque lettre est une multitude de symboles affectés d’une valeur numérique. La complexité de cette langue, assimilée dès l’enfance, ouvre formidablement l’esprit et permet ensuite l’acquisition d’autres notions complexes avec une relative aisance.
     
       En résumé, ce qui est grave dans cet article, c’est qu’il masque les vrais causes d’échecs ou de succès des nations en les ramenant à des considérations d’un temps révolu.
     
       Monsieur Nicolas Bonnal, devoir bâclé, ………………………… A refaire !
    5 décembre 2007 à 18 h 37 min
  • Matrix Répondre

    Disons que les noirs ont une intelligence plus proche de la Nature dans son acception philosophique… Il n’y a pas a en etre offusque…. Et puis ce n’est pas parce qu’on est plus intelligent qu’on est le meilleur. Il y a bien des animaux qui sont plus intelligents que certains humains (blancs, noirs ou jaunes)…  Nous sommes tous des etres vivants et c’est ce qui compte. Les Hommes, toutes races confondues, ont la possibilite individuelle d’agir sur la trajectoire du monde. Ca donne suffisamment de pouvoir a chacun d’entre nous.

    Et puis ca ne sert a rien d’inventer le fil a couper le beurre si on ne mange pas de beurre !…

     

    5 décembre 2007 à 15 h 04 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

    Mais enfin que fait Jaurès? Il n’a toujours rien sorti. Tout le monde est désolé.

    LS 

    5 décembre 2007 à 13 h 24 min
  • Beru Répondre

    "les Noirs sont moins intelligents que les Blancs, et que c’est d’ailleurs pour cela que les programmes sociaux ou les réformes politiques ne marchent pas en Afrique"

    Le manque d’éducation, les régimes dictatoriaux et népotiques, l’étouffoir musulman, la surpopulation galopante  (encouragée par les bonnes âmes occidentales par leurs soins médicaux et leurs envois de nourriture) qui accroît la pauvreté, me semblent des causes beaucoup plus valables.

    5 décembre 2007 à 10 h 48 min
  • jacques Répondre

    Les lecteurs peuvent porter plainte au Ministère de la Justice contre l’éditeur Alain Dumais en vertu de l’article 24 Modifié par Loi n°2004-1486 du 30 décembre 2004 art. 20, art. 22 (JORF 31 décembre 2004):

    "Ceux qui, par l’un des moyens énoncés à l’article 23, auront provoqué à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes à raison de leur origine ou de leur appartenance ou de leur non-appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée, seront punis d’un an d’emprisonnement et de 45000 euros d’amende ou de l’une de ces deux peines seulement."

    Les moyens énoncés à l’article 23 inclus: " tout moyen de communication au public par voie électronique".

    Une réception élevée de plainte accélera vraisembleblement le début de l’enquête qui devra déterminer si propos de cet article entre sous le coup de cette loi ou non.

    5 décembre 2007 à 8 h 52 min
  • no second to Répondre

    Je suis sûr que nous allons lir un certain nombre de commentaires "jaurestiques" sur le sujet.Je me frotte déja les mandibules.

    5 décembre 2007 à 7 h 31 min
  • Anonyme Répondre

    Mamadou de Brazzaville : " Mais, enfin mon cher, tu ne comprends pas? Car enfin, ce n’est pas le noir qui est moins intelligent que le blanc, ca, c’est du raaacisme, c’est simplement le blanc qui est plus intelligent que le noir, ca, c’est la vérité. "

    Best,

    Mancney

    5 décembre 2007 à 3 h 01 min
  • Luc SEMBOUR Répondre

     

    De plus l’écrasante domination des noirs pour les titres sportifs les plus prestigieux (notamment dans l’athlétisme aux jeux olympiques) montre l’inégalité d’aptitude imputable aux races. Comment expliquer cette domination alors que l’ensemble des noirs est très minoritaire sur cette planète, vis-à-vis de la population globale. 

    Le capharnaüm idéologique de gauche qui soutient l’insoutenable, mais le répète à l’infini jusqu’à y croire, et condamne les opinions de pur bon sens commun comme celles émises ici par Watson, doit cependant beaucoup aux levains d’idées et aux pressions constantes et concertées de groupes puissants qui appartiennent aux strates les plus intellectuellement sophistiquées de l’humanité. Les juifs ashkénazes ne sont pas les derniers à y apporter leur contribution. Allez comprendre…

    5 décembre 2007 à 1 h 29 min

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