CAC 40

Le 4 septembre 2000, le CAC 40 affichait 6 944,77 points et le 14 janvier 2000, le Dow se situait à 11 722,98 points. Environ 20 ans après, ces deux sommets, le premier est à 6 558,38 points et le second à 34 878,97 points en clôture le 14 juillet 2021. L’investisseur français aura perdu 5,89 % de son capital et l’investisseur américain gagné 197,5 %.

Ce calcul ne tient compte ni des fluctuations monétaires ni des dividendes versés. Mais il demeure économiquement significatif. La France toujours socialiste, dominée par des minorités d’extrême-gauche, syndicales ou faussement écologiques, n’a pas encore effectué sa transition vers le capitalisme.

La politique menée par l’actuel président de la République repose sur un État stratège, celle que préconise également Mme Le Pen, socialiste-nationale. Le socialisme a pour inverse le libéralisme absent de notre pays. Le gouvernement veut promouvoir l’énergie électrique. Mais l’action EDF a chuté de 80 € à 10 €, et Alstom en abandonnant également la filière nucléaire pour se lancer dans le ferroviaire a subi la même dégringolade boursière.

L’argent provisionné par EDF pour rénover et moderniser ses réacteurs nucléaires a été injecté dans le budget de l’État, et dilapidé en dépenses sociales, par exemple pour l’accueil des immigrés exogènes à l’Europe et, dans le meilleur des cas, pour l’énergie éolienne très peu rentable par rapport à l’espace occupé.

Le pire est probablement à venir avec le retour de la civilisation des moulins à vent, de l’agriculture et de l’élevage non intensifs, s’accompagnant de famines un peu partout dans les pays non développés. La création de la monnaie unique européenne est la seule avancée qui peut nous sortir de l’hégémonie américaine.

Le rapprochement avec la Russie, dont une partie se situe en Europe (Moscou) et dont le sol regorge de richesses, est la seconde solution. Le tout pour stopper la pauvreté qui gagne du terrain chez nous avec notre déclin et avec l’ensauvagement importé « volens nolens ».