(dossier) Le plein emploi est rapidement possible

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LE PLEIN EMPLOI EST RAPIDEMENT POSSIBLE

SOMMAIRE

  • Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 2
  • Les trente glorieuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 2
  • Les trente piteuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 4
  • Fiscalité, inflation et chômage . . . . . . . . . . . . . . . . . page 5
  • Redistribution, inflation et chômage . . . . . . . . . . page 6
  • Un cas particulier, le Smic . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 8
  • Les marxistes se sont trompés . . . . . . . . . . . . . . . . . page 9
  • Les Keynésiens se sont trompés . . . . . . . . . . . . . . . page 11
  • Les monétaristes ont raison . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 12
  • L’exemple irlandais . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 14
  • Opposition État – Banque centrale . . . . . . . . . . . . page 15
  • Compétitivé et inflation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 16
  • Conclusion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . page 19

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Comments (19)

  • steph68 Répondre

    Il y a deux sortes de plein emploi :

     1- le premier qui correspond au plein emploi des pays libre où l’emploi est assuré par l’économie de marché et par son bon fonctionnement.

    2 – le second qui correspond au plein emploi communiste où l’emploi est assuré par l’économie planifiée par l’Etat, qui doit ainsi fournir du travail à tous. Ici, plein emploi = tous fonctionnaires.

    Petit jeu pour vous : lequel des 2 "plein emploi" rève-t-on d’atteindre en France ????

    31 août 2007 à 13 h 29 min
  • Noël Hanssler Répondre

    A Jean-Claude Thialet :
    Votre vision du FN, sans vouloir vous froisser, me paraît angélique. Vous pêchez là par l’excès inverse à celui qui règne largement et qui diabolise le FN.
    Mais pour nous concentrer sur la question du salaire familial,  ne croyez-vous pas  qu’il constituerait une nouvelle subvention au lapinisme de nos immigrés, légaux et illégaux ? Et même, au-delà de cet aspect des choses, déjà rédhibitoire pour moi, au nom de quoi, je vous le demande, moi qui suis célibataire, je devrais subvenir aux besoins d’une progéniture qui m’est inconnue ? Notre idéal de société est-il celui de la termitière, où les individus qui procréent ont tous les droits et les autres seulement celui de trimer ?
    Et que l’on ne me parle pas de solidarité ! La solidarité n’existe que dans le libre choix d’aider où de ne pas aider. S’il y a obligation, il y a spoliation.
    Quant à savoir s’il est bon que les mères puissent élever leurs enfants elles-mêmes, c’est bien évident. Mais là encore, il s’agit d’un choix de vie qui relève de la décision de chacun(e).
    Le problème de la femme dite "moderne", c’est qu’elle veut le beurre et l’argent du beurre, satisfaire son instinct maternel et préserver son pouvoir d’achat.
    En ce qui me concerne, j’aimerais travailler moins (voir plus du tout) afin de me consacrer à l’écriture, mes enfants seraient ainsi des enfants spirituels. Qui est d’accord pour me voter un salaire d’écrivain non publié?

    14 mars 2007 à 7 h 38 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    13/03/07    – "Les 4-Vérités" –

    A Noël HANSSLER. Après vous avoir précisé que je n’ai vu aucune "ironie" dans vos propos, je vous vous dirai que, selon moi   – et je reprends sans doute inconsciemment, une de ses pensées – Le PËN n’est ni de droite, ni de gauche. Ce qui veut dire que, contrairement à François BAYROU qui veut rassembler la "droite" et la gauche" au "centre" sans être capable de les "fusionner", chaque tendance se rassemblant comme dans une auberge espagnole, en apportant ses préjugés, ses présupposés, ses archaïsmes et ses divergences politiciennes, cela au nom d’un faux consensus", Jean-Marie LE PEN, lui,  balaie tout cela pour construire avec TOUS les Français, de gauche comme de droite, une FRANCE harmonieuse au sein de laquelle, solidairement unis, les Français, en se retroussant les manches, en retrouvant les valeurs qui ont fait la renommée et la richesse (à tous les sens du mot) du pays., il sauveront la FRANCE du déastre. Vaste programme, certes, et dotn la réussite dépend de la bonne volonté de tous les Français, de toutes origines, comme de toutes couleurs, de toutes confessions et de toutes conditions.

    Pour ce qui concerne l’idée du "salaire familial", je ne sais si elle est de "droite" ou de "gauche", mais je me souviens qu’elle avait été refusée, avec force ricanements, par la "gauche", la "droite et la grand’presse "fraternellement" (je vous laisse le soin de donner à ce mot le sens qui convient) unies. Comme au soir du 22 avril 2002 ! Comme je crois l’avoir expliqué déjà, la semaine dernière, dans un "post" adressé à Oussam bentalle (peut-être n’a-t-il pas été publié), Jean-Marie LE PEN, en faisant cette proposition ne voulait pas "interdire aux femmes de travailler" (comme cela avait été dit)(1) de travailler, mais permettre aux femmes qui, obligées de travailler pour apporter un complément de revenus à un foyer qui en avait besoin, auraient préféré pouvoir s’occuper de leur foyer et de leurs enfants plutôt que de végéter dans des emplois ingrats… Tout en laissant aux intéressé(e)s (le mot est à mettre au masculin comme au féminin, car le "salaire familial" était prévu pour les hommes !) le soin d’accepter ou non la proposition.

    Quand j’aurai ajouté que se développe actuellement aux ETATS-UNIS un mouvement de fond (il se traduit par des articles dans la presse, ou des émissions à la RADIO ou à la TV) qui montre que de plus en plus de femmes-cadres, faisant fi des avantages d’un salaire important et du statut social que leur apporte leur poste, décident de tout abandonner pour se consacrer à leur famille. Une famille dont on commence à retrouver les valeurs dans un pays où le dollar est roi !

    Et si ce "salaire familial" a un coût financier, il est certain que le fait pour des mères de pouvoir s’occuper de leurs enfants apporterait à ceux-ci la stabilité et le soutien dont ils ont besoin dans leur foyer au moins dans les 15 premières années de leur vie. Et cela n’a pas de prix !

         Cordialement, Jean-Claude THIALET

    (1) à l’époque, Jean-Marie Le PEN avait déclaré en substance à ses détracteurs : "Vous prétendez que je veux interdire aux femmes de travailler ? Mes filles travaillent, elles sont mères de famille, et je ne me vois pas leur demander d’arrêter de travailler !" Les ricamments avaient cessé, et il me semblent qu’un des candidats actuels (et même peut-être deux) a repris cette idée (en l’hbillant différemment) dans son programme. Comme tant d’autres idées du FRONT NATIONAL, reprises à "droite" ou à "gauche" !

    13 mars 2007 à 14 h 25 min
  • sas Répondre

    a hanssler……..parceque tu crois qu’avec l’attelage contre nature des anes de umps……et via les syndicats marxistes elle est gouvernanble cette france….

    La démonstration est patente, man…….on est en faillite…..ruiné…quedalle…..y a pu…. en slip….

    SAS DOIT IL CONTINUER ,,,,????

    sas

    nb) 3 000 milliards d’euros de dette public……..c’est claire ca non ,,

    13 mars 2007 à 12 h 41 min
  • Noël Hanssler Répondre

    D’accord avec vous sas.

    Je doute cependant que M. Lepen fasse mieux. Je crois même, s’il est un jour élu président, qu’on ne lui permettra même pas d’essayer. L’administration est tellement truffée d’anti-nationalistes "shootés" à la bonne conscience que la moindre de ses décisions sera contrecarrée, par opposition déclarée ou simple inertie. D’autres se sont déjà plaints, malgré leurs efforts et leur volonté, de n’avoir pas réussi à faire bouger les choses…

    Un Lepen président, c’est pour moi la perspective presque certaine d’une France ingouvernable. Mais peut-être devrons-nous passer par l’anarchie pour que quelque chose de neuf émerge dans ce pays sclérosé. J’avoue que je ne sais pas.

    12 mars 2007 à 23 h 30 min
  • jacques Répondre

    Pour Noël Hanssler
    Rien à redire, très bien dit!

    Pour JC Thialet:
    "D’INVESTIR LA OU (ON)VEUT, POUR LE DELAI (QU’ON) VEUT, DE RECHERCHER (NOS) MATIERES PREMIERES OU (L’ON) VEUT ET DE VENDRE (NOS) PRODUITS OU (L’ON) VEUT, EN S’EMBARRASSANT LE MOINS POSSIBLE DES DROITS DES TRAVAILLEURS ET DES ACCORDS SOCIAUX".

    "D’INVESTIR LA OU (ON)VEUT," : c’est quoi le problème? Si l’investissement n’est pas libre, alors ce n’est plus l’investisseur qui investit mais celui qui donne l’ordre à l’investisser d’investir où il l’oblige. Bref vous ne faites que déplacer le problème, si problème il y avait. Voulez-vous vraiment qu’on investisse où l’on ne veut pas?, que l’on achète ce qu’on ne veut pas? Arlette, Besancenot et LePen (récemment parait-il converti au communiste si on en croit le congrès de Lille, ou ne serait-ce qu’une nouvelle provocation infantile?) vous ont-t-il à ce point contaminé l’esprit?

    "POUR LE DELAI (QU’ON) VEUT": c’est quoi le problème, n’avez-vous même donner vos exigences de livraison lorsque vous achetez chez un marchand?

    "DE RECHERCHER (NOS) MATIERES PREMIERES OU (L’ON) VEUT": idem, voulez-vous qu’on achète (et donc gaspille) ce que l’on n’a pas besoin. Tssst Tssst, les écologistes ne vous aimerons pas!

    "DE VENDRE (NOS) PRODUITS OU (L’ON) VEUT": Bon maintenant vous voudriez vendre ce que vous ne voulez pas vendre? Les psychiatres sont parfois utiles…

    "S’EMBARRASSANT LE MOINS POSSIBLE DES DROITS DES TRAVAILLEURS" Je vous déjà expliquer dans un post antécédent sur un autre sujet que ce "droit des travailleurs" est un mot piège. Dans un pays libre les travailleurs passent un contrat d’embauche de gré à gré avec un employeur. C’est TOUT. Le droit du travailleur et de l’employeur est que l’autre partie respecte son engagement et les lois sont là pour faire appliquer le contrat. Point à la ligne.

    "ET DES ACCORDS SOCIAUX" Si vous parlez des lois contraignantes imposé à posteriori sans "accord" quelconque à des contrats existants,  vous êtes victimes des mots car il ne s’agit évidemment pas d’un accord.

    Bref, le capitalisme est extraordinaire, et vous en faites la preuve par l’absurde. Merci!

    Décidemment je ne voterai pas pour LePen mais bien pour Bayrou qui allie le bon sens avec les projets sensés tout en respectant les fondements même de la France (particulièrement en disant non à la discrimination positive (à l’inverse de Sarkozy qui veut tout faire sauter après avoir été incompétent à empêcher ou réduire la discrimination alors que c’est du ressort même du ministre de l’intérieur de faire appliquer les lois). Décidemment ce Sarkozy est habile à détourner l’attention.)

    10 mars 2007 à 21 h 58 min
  • D.J Répondre

    En Suisse on flirt avec le quasi-plein emploi. Taux de chômage 3,2 %, chômage des jeunes 4,7 %. Une minorité de ces jeunes atteignent les fins de droit. Augmentation du taux d’actifs, 70 % des plus de 55 ans ont un emploi, malgré tout ça pour beaucoup la Suisse a un problème de chômage, le chômage des jeunes est un fléau. Un peu bizarre comme comportement, non  ?.

    D.J

    9 mars 2007 à 20 h 58 min
  • SAS Répondre

    a MR HANSLERR……une des simple raison du votre jean marie lepen…..n’est pas le coté fachissant du garçon…et encore moins une attitude antiutopique

    C’est le seul qui n’a pas été aux affaires et qui n’est donc pas directment ou indirectement impliqué dans la faillite tout azimut de la france contemporaine.

    A ce titre……et comme le disait einstein: on ne s’arrange jamais avec ceux qui sont à l’origine d’un problème……ou cerventes: on reconnait un fils à ses oeuvres…..

    Vini,vidi mais pas vicci…….nous les avons mesuré, pesés ,jugés ces umps……à tirer la chase sur tous ce petit, très petit monde….

    Quand un debré…..président du conseil constitutionnel et un ollier au perchoir…..pourquoi pas un raffarin au senat…

    sas

    8 mars 2007 à 11 h 17 min
  • Noël Hanssler Répondre

    A JC Thialet : je ne crois pas qu’il soit besoin de réapprendre quoi que ce soit aux Français. Les Français n’ont pas oublié, ils sont juste empêchés. Contentons-nous d’éliminer les barrières à l’emploi (toutes les barrières) et nous les verrons rapidement se ruer vers la libre entreprise et donc la création de richesses. Eliminons également toute aide (ou presque toute ?) au non emploi, car une allocation est en réalité un somnifère qui pousse l’homme à se contenter de peu, à tergiverser, à se recroqueviller.

    En fait, il y a en France moins de choses à faire que de chose à défaire. Le France-Titanic, comme vous aimez souvent dire, a surtout besoin d’un bon radoub.

    C’est une réalité de la vie que l’on ne s’en sort que si l’on souffre. L’Etat, de nos jours, se comporte comme une mère cherchant à éviter toute souffrance à ses enfants. Ce genre de mère ne parvient généralement qu’à épargner à sa progéniture tout apprentissage et à déplacer (en la multipliant) la souffrance de quelques décennies.

    Retirez à un homme son RMI et il vous maudira aujourd’hui. A l’aube de sa vie, pourtant, je gage qu’il "partira" fier de son parcours (si modeste soit-il) et non avec le sentiment d’avoir tout raté.

    Vous parlez souvent de M. Lepen, également, et je me pose une question : avez-vous conscience que le FN n’est pas vraiment un parti de droite ? Il se trouve même parfois plus à gauche que le PS (le salaire de la mère au foyer). Ma question est sincère et non ironique.

    Bien amicalement.

    8 mars 2007 à 0 h 20 min
  • jacques Répondre

    "Dans cette compétition mondiale, seuls les meilleurs gagnent, comme aux jeux olympiques.
    Les Français jugeraient très sévèrement leur pays s’il attachait volontairement aux chevilles de tous
    ses sportifs avant la compétition de lourds boulets pour les empêcher de gagner.
    C’est malheureusement ce que fait actuellement l’État français avec ses entreprises."

    Que c’est bien dit!

    Vous avez effleurer l’aspect réglementaire dans votre analyse. Mais à mon avis cet aspect est extraordinairement important, bien plus important que les aspects monétaires. Car une loi est une contrainte économique totale et brise totalement le marché, et la quasi-totalité des lois ont des incidences économiques parfois fort très difficiles à mettre en lumière et dès lors méconnues mais néanmoins bien réelles.

    7 mars 2007 à 14 h 30 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    07/03/07    – "Les-4-Vérités"

    Bon sang, mais c’est bien vrai, SAS et DISCIPLUS SIMPLEX, vous avez tout à fait raison : c’est en rendant l’emploi rare et insécure, que les entreprises parviennent sinon à baisser les salaires, du moins à ne pas les augmenter à proportion de l’inflation, tout en exigeant davantage de productitivité.

    Mais dans la réalité, comme nous sommes sur un marché ouvert à tous les vents de la concurrence internationale, celle des marchandises et des services, celle aussi des "cerveaux" et des "bras" exotiques, il est bien évident que la situation est devenue inextricable tant pour les salariés que pour les Petites et Moyennes entreprises qui sont elles-mêmes en grande partie victimes d’une concurrence sauvage qu’elles n’ont pas voulu, ni même prévue, et encore moins préparée.

    Pas plus j’imagine que les incompétents qui nous gouvernent et qui, en signant des traités internationaux qu’ils dont ils n’ont pas compris la portée (quand ils les ont lus !) ont entraîné la situation dramatique devant laquelle se trouve le pays.

    Par contre, derrière tout cela il y a les intérêts des puissances de la finance internationale et apatride (pléonasme), dont les parties visibles sont le BILDENBERG et la TRILATERALE (à laquelle appartient le soi-disant "paysan" François BAYROU), dont les buts sont, je le rappelle "D’INVESTIR LA OU (ON)VEUT, POUR LE DELAI (QU’ON) VEUT, DE RECHERCHER (NOS) MATIERES PREMIERES OU (L’ON) VEUT ET DE VENDRE (NOS) PRODUITS OU (L’ON) VEUT, EN S’EMBARRASSANT LE MOINS POSSIBLE DES DROITS DES TRAVAILLEURS ET DES ACCORDS SOCIAUX".

    Quand on sait cela, on a TOUT COMPRIS ! Souhaitons simplement que celles-ou ceux qui, tout en se plaignant des inceritudes de leur avenir et de celui de leurs enfants ou petits-enfants, s’apprêtent à voter qui SARKÖZY, qui ROYAL ou qui BAYROU, le comprennent avant le 22 avril

          Cordialement, Jean-Claude THIALET

    7 mars 2007 à 11 h 23 min
  • Disciplus Simplex Répondre

    Minux75, je crois que tu n’as pas compris le propos de sas (détrompe-moi, sas, si je fais erreur.) Ce ne sont pas les Français qui ne veulent pas du plein emploi mais ceux qui les dirigent. Pourquoi donc le citoyen de base n’en voudrait-il pas?
    En outre, drôle d’idée d’associer christianisme et plein emploi. Tu ne cites que des exemples qui confortent ta thèse. Tu oublies l’Espagne, l’Italie, la Pologne et j’en passe.

    Au fait, sas, qu’est-ce que c’est qu’une "injonction auriculaire"? Un petit doigt qui donne des ordres?  Un ordre susurré dans l’oreillette?

    6 mars 2007 à 6 h 15 min
  • ozone Répondre

    A voir

    On baisse massivement les charges sociales;

    Consequences probables,les donneurs d’ordre exigerons aimablement de leurs fournisseurs un "petit" peu de bonne volontè a l’heure de facturer puisqu’ils ont une marge supèrieure,fort a parier que les sous traitants  vont voir fondre plus au moins vite la mane.

    Pour les grandes entreprises cotès cette mane passera rapidement dans la poche des actionnaires,45% d’etrangers parmi celas,merci,merci pour les petits vieux US qui se dorent en Floride.

    De meme,les salariès qui auront vu grimper un peu leur fiche de paye vont recevoir le dit message de la part de l’entreprise,moderez vous,et en cinq ans ils seront au meme niveau auquel ils auraient ete de toutes façons.

    D’apres moi on peut autoriser les entreprises a embaucher 5% de leur effectif sans aucune charge,l’etat prenant au fur et a mesure la securitè sociale des anciens chomeurs,leur nombre diminuant le moral peut s’ameliorer et etre le point de depart d’une serieuse reprise,laquelle va fournir des rentrèes fiscales pour l’etat,en plus,si cela marche,les "aides a l’emploi" vont diminuer

    Pour eviter tout effet d’aubaine,au cas de licenciement necessaire il se fera sur ce 5%.

    Bayrou propose quelque chose comme ça mais avec seulement 2 emplois par entreprise.

    Il va de soit qu’une mesure de ce genre devra etre garder secrete avant decret pour eviter les tentations de certains a diminuer leur effectif,mais aussi,pour passer sur ce probleme eventuel le nombre de salariès peut etre pris retroactivement.

    Qu’els peuvent etre les effets d’une telle mesure,ou sont les colles ?

    Mis a part le fait que le chomage et une façon efficace de controler les pretentions de la "main d’oeuvre"

    5 mars 2007 à 23 h 47 min
  • Anonyme Répondre

    Minux75 : " Le socialiste est comme le capitaliste, il veut être riche mais contrairement à ce dernier, sans travailler".
    Ca, c’est tres bien vu.
    De plus le socialiste aime discutailler, et occupe sa place dans le monde en donnant des lecons aux autres. La seule bonne chose, chez les Socialistes, c’est qu’ils ont des nanas libérées; c’est bien pratique, et ca fait gagner du temps au Capitaliste pressé d’aller bosser.
    Best,
    Mancney

    5 mars 2007 à 15 h 53 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    05/03/07    – "LES-4-VERITES" –

    Remarque : mon ordinateur m’ayant signalé que "CE DOSSIER ETANT POTENTIELLEMENT DANGEUREUX" (sic), je n’ai pu que me borner à le lire. Voici donc mes commentaires.

    Si l’on peut être d’accord avec les thérories développées par Bernard TREMEAU,une fois de plus, je suis obligé de constater qu’elles ne tiennent pas compte de dures réalités. A savoir :

          – qu’on ne peut remettre au travail des gens qui, à l’ "Ecole de la République" (sic), comme à celle de la vie (celle qui a quasiment imposé l’assistanat, le SMIC et le RMI à perpétuité) ont désappris le goût du travail, l’esprit d’entreprise, de création ou même simplement de compétition, SANS SUPPRIMER TOUTES LES CAUSES de cet état de fait. C’est à dire, sans réapprendre à l’Ecole ces valeurs essentielles que son le travail, la solidatité nationale, etc., et  sans supprimer, bien évvidemment, l’assistatanat, et les garanties minimales qui sont autant d’appel à la paresse, et même une incitation -pour ceux qui ont envvie de travailler  –   à en faire le moins possible.

        – qu’on ne peut non plus recréer des entreprises manufacturières créatrices de richesses et d’emplois, sans rétablir certaines frontières dont l’ouverture incondidérée à précipité la faillite, la fermeture ou la délocalisation de pans entiers des fleurons de nos industries. Car les activités de services, même si elles sont créatrice d’emplois, ne sont pas créatives de RICHESSES.

    Le jour où les politiciens comme SARKÖZY, ROYAL, BAYROU, VOYNET, BESANCENOT, LAGUILLIER, ou BUFFET qui n’ont que le mot "EMPLOIS" à la bouche reconnaîtront que Jean-Marie LE PEN qui, avec Maurice ALLAIS, réclame deouis des années le rétablissement de "barrières-écluses" (selon la formule du FRONT NATIONAL), avait raison, un premier pas sera fait vers LE PLEIN EMPLOI. Tout le reste n’est que littérature, fausses promesses électorales, etc. qui ne feront que précipiter le naufrage du "FRANCE-TITANIC". Un "FRANCE-TITANIC’" dont les membres d’équipage continuent à croire (parce que cette berceuse les arrange) qu’ils pouront tirer leur navire d’affaire en laissant le capitaine se débrouiller pendant qu’ils se tournent les pouces. Parce que de mauvais capitaines le leur ont fait croire ! IL NE SERT A RIEN D’INSCRIRE LE DROIT AU TRAVAIL SUR LES TABLES DE LA LOI, PAS PLUS QUE LE DROIT AU LOGEMENT sans, dan le premier cas, rétablir les conditions nécessaires à la crétion d’emplois et les assortir non d’un DROIT, mais d’un DEVOIR de trravailler, et dan le second, avoir les moyens matériels et financiers de construire les indispensables logements. La République est devenue la "FILLE DU VENT", j’oserai même dire "DES VENTS" !

            Cordialement, Jean-Claude THIALET

          Cordialement, Jean-Claude THIALET 

    5 mars 2007 à 10 h 57 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    Remarque : mon ordinaiteur m’ayant signalé que "CE DOSSIER ETANT POTENTIELLEMENT DANGEUREUX" (sic) je n’ai pu que me borner à le lire. Voici mes commentaires.

    Si l’ont peut être d’accord avec les thérories développées par Bernard TREMEAU,une fois de plus, je suis obligé de constater qu’elles ne tiennent pas contre de dures réalités. A savoir :

          – qu’on ne peut obliger à travailler des gens qui, à l’ "Ecole de la Roublique" (sic), comme à celle de la vie (celle qui a imposé l’assistanat, le SMIC et le RMI à perpétuité) ont désappris le goût du travail, l’esprit d’entreprise, de création ou même simplement de compétition, DANS SUPPRIMER TOUTES LES CAUSES de cet état de fait. C’est à dire, réapprendre à l’Ecole ces valeurs essentielles que son le travail, la solidatité nationale, etc., et supprimer, bien évvidemment, l’assistatant.

     

    5 mars 2007 à 10 h 35 min
  • MINUX75 Répondre

    Bonjour 100% d’accord avec SAS, les français sont hostiles au plein emploi, qui est considéré comme une idéologie fachiste. Bernard TREMEAU a ce que j’apelle “l’illusion des économistes” de croire que s’il y a du chômage, c’est que l’on ne sait pas, qu’il suffirait d’expliquer. Ce genre d’angélisme est aussi partagé par Michel ALBERT et par beaucoup d’autres économistes. J’ai constaté une chose: tant que la france était dirigée par des dirigeants chrétiens, il y avait le plein emploi, ce sont les politiques de De gaulle et de Pompidou. Du jour ou ce sont les techniciens du pouvoir qui ont dirigés la france, il y a eu une explosion du chômage, que ce soit Giscard, Chirac, Mitterrand, tous hyper ambitieux, le problème est bien moral avant d’être économique. l’Amérique qui est un pays chrétien a le plein emploi. Monaco, autre un pays très chrétien bénéficie du plein emploi de manière encore plus éclatante. Le socialisme est comme le capitaliste, il veut être riche mais contrairement à ce dernier, sans travailler. Dans ces conditions il y a deux manières de s’enrichir, apauvrir les plus riches et apauvrir les plus pauvres. Avec les taxes, on apauvrit les plus riches et avec le chômage, on apauvrit les plus pauvres. Le chômage est bien inscrit dans le plan de base du socialisme suprême alors pourquoi lutter contre. Parmi les solution qui mènent au plein emploi, on oublie toujours le secret bancaire Pourquoi ? On parle toujours du RMI qui crée du chômage, jamais des retraires ou des régimes de santés qui par le même mécanisme ont un effet au moins 20 fois plus dévastateur. Pourquoi ne montrer que côté visible de l’Iceberg ?

    4 mars 2007 à 23 h 25 min
  • ozone Répondre

    Voila un commentaire sensè sas

    Salut

    4 mars 2007 à 22 h 42 min
  • sas Répondre

    Pour votre gouverne et selon le bon vouloir de nos princes…répondant à leurs auriculaires injonctions…..et obscurs plans

    le pein emplois n’est ni souhaité ni voulu…ni mis en place et ne le sera jamais….

    sas

    3 mars 2007 à 15 h 42 min

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