Explosion de la dette et guerre civile

Explosion de la dette et guerre civile

La France vit à crédit depuis plus de 40 ans. Le dernier budget en équilibre a été celui de 1974. La dette représentait alors 20 % du PIB. Elle dépasse aujourd’hui 2 000 mil­liards d’euros, soit 100 % du PIB, et continue de croître.

En outre, les dépenses sociales (santé, retraite, chômage) sont également en déficit et créent une dette supplémentaire.
Avec un taux de prélèvements obligatoires de près de 50 % du PIB, le poids de l’État et des services publics étouffe l’économie française et appauvrit la population.

Il n’est plus possible d’alourdir les impôts. La France est donc tout simplement en passe de devenir insolvable.

En s’endettant massivement, l’État a donné à des mains étrangères le contrôle de l’avenir de notre pays.

Les deux tiers de la dette française sont détenus par des non-résidents. Le Français est aujourd’hui plus endetté que le Grec (3 200 euros/habitant contre 2 800 euros/habitant).

Jusqu’à présent, la France a pu continuer à s’endetter parce que nos créanciers pensent que nous sommes solvables.

Dès que l’un d’eux s’apercevra que ce n’est plus le cas et cela ne manquera pas de se produire, la France ne pourra plus emprunter.

L’État sera dans l’impossibilité de remplir ses fonctions et de payer ses fonctionnaires. Cela déclenchera une crise d’une ampleur inimaginable qui se terminera en explosions de violence, voire de guerre civile.

Voici ce qui peut nous attendre :

  • Plus d’argent aux distributeurs ;
  • Plus de carburant aux stations-service ;
  • Des magasins vides ;
  • Des prix incontrôlables (dans l’Allemagne de Weimar, il fallait payer sa bière à la commande, car, après l’avoir bue, son prix avait flambé !) ;
  • Des quartiers saccagés par des émeutes…

Quelle parade ? Il en existe pour l’État, aux dépens des particuliers.

Le contrôle de notre argent est aujourd’hui techniquement possible.

Il suffit pour cela de restreindre l’utilisation de l’argent liquide. Dans le monde entier se mettent en place des mesures coercitives pour limiter, voire interdire, les transactions en numéraire. Les banques sont déjà inféodées au pouvoir. À la moindre alerte, nos dirigeants pourront ponctionner à leur guise nos dépôts bancaires.

« Les banques en risque de faillite pourront ponctionner les comptes de leurs déposants », déclarait « Le Figaro » du 22 décembre 2015.

Fiction que tout cela ? Hélas non ! C’est ce qui s’est produit à Chypre en 2013 lorsque les dépôts supérieurs à 100 000 euros ont été ponctionnés autoritairement…

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Comments (62)

  • BRENUS Répondre

    @JOJO : merde !

    2 avril 2016 à 16 h 14 min
  • BRENUS Répondre

    Petit raisonnement “simpliste” diraient les cons à l’intention de ceux qui ne comprendraient rien à l’économie gauchiste. Avec un petit effort, la France, ce grand pays producteur, va pouvoir emprunter à taux négatifs. Comme la Suisse. Suivez bien le raisonnement gaucho. : On emprunte alors à mort à taux négatif et on rembourse avec -en partie seulement – les anciens emprunts dont la dette nous coute cher. Si l’on pousse ce raisonnement jusqu’à l’absurde (ce qui ne dérange pas les jojo de service), on finit par effacer la dette et il arrivera même un moment où le monde entier nous suppliera de lui fourguer des OAT pourries. Quand on vous dit que l’économie enseignée façon gaucho et sciencepotiste, c’est le pied, pourquoi refuser de le croire?

    2 avril 2016 à 16 h 11 min
  • Jacky Social Répondre

    Et voila. Comme annonce il y a quelques jours, je me retire de ce blog pour d’autres cieux. Certains seront tres contents, mais pas autant que MOI. Bonne chance a tous et prenez soin de vous.

    31 mars 2016 à 21 h 33 min
    • DE SOYER Répondre

      Jacky, je crois que vous avez tort de partir.
      Je décroche pendant le we (pas de wifi où je serai).
      A mardi!

      1 avril 2016 à 10 h 16 min
  • BRENUS Répondre

    Vous avez dit “PONZI” ? Mais il n’y a pas de risque de “Ponzi”. Parole de socialiste. Explications de ce que je crois être un “ministre socialo” à la TV récemment : tout va bien puisque le marché (quelle horreur) nous prête maintenant à taux négatifs. Encore un petit effort et il nous suffira d’emprunter massivement pour voir notre dette se réduire comme peau de chagrin, sans aucun effort et en maintenant la corne d’abondance gauchiste envers tous les parasites de la terre. C’est y pas beau, ça, mon bon môssieu ! Le zig qui n’a pas chié la honte en sortant ce genre de conneries à la télé a du faire ses études économiques dans un établissement où officiait un prof de haut niveau -économique lui aussi- tel la rombière députée socialiste des hautes alpes. Laquelle pourrait même être polytechnicienne par dessus le marché. A mes descendants qui veulent intégrer ce genre de grande école, je ne cesse de les mettre en garde contre ce type d’engeance féminine à moitié barjot pour se tourner vers celles qui portent les vraies valeurs. (jojoducon ne me demande pas lesquelles car je suis décidé a ne jamais te répondre).

    31 mars 2016 à 17 h 27 min
    • DE SOYER Répondre

      Ce que ne vous a pas dit le “ministre socialo”, c’est que la BCE inonde l’Europe de liquidités, c’es-à-dire de monnaie de singe, sans contrepartie. Une partie va aux immigrés, mais comme le gâteau à se partager est toujours le même, les Français de souche doivent se serrer la ceinture!

      31 mars 2016 à 17 h 56 min
    • Jaures Répondre

      Ce n’est pas la dette qui se réduit mais la charge de la dette ou le rapport dette/PIB.
      Les liquidités ne vont pas dans la poche des Etats ou des immigrés mais dans les coffres des banques qui les octroient ensuite avec parcimonie et marge confortable.
      Ensuite, le taux d’endettement n’est pas significatif de la santé de l’Economie. Ainsi, l’Algérie est endettée à 10% de son PIB. Un modèle ?
      La France avait un budget en équilibre avant 1980, ce qui n’a pas empêché le chômage de doubler en 5 ans.
      Enfin, Desoyer, regardez la liste des 500 plus grandes fortunes de France et comptez les métèques parmi eux. Le gâteau, crise ou non, est toujours entre les mêmes mains, ne vous inquiétez pas sur ce point.

      31 mars 2016 à 18 h 13 min
    • Jacky Social Répondre

      @BRENUS: en fait; on devrait remercier qui vous savez car il nous donne toutes le raisons pour ne pas adherer a ses idees sur l’etat et la gouvernance. Mais je ne réponds pas non plus. En un seul post de 5 lignes, il parvient a se contredire: 1) Seule la charge de la dette se reduit. Genial la bonne gestion socialo-etatiste a laquelle il serait judicieux de nous soumettre.
      2) Si les fortunes en France sont toujours aux mains des memes, c’est peut-être parce qu’en France il est aujourd’hui impossible de faire fortune honnêtement via l’entreprise. Merci qui?
      DeSoyer-Brenus: merci pour vos exemples.

      31 mars 2016 à 18 h 45 min
      • Jaures Répondre

        Ce n’est pas une stratégie mais une simple donnée économique: quand les taux d’intérêts diminuent, la charge de la dette diminue même si le volume de la dette augmente.
        Cela est valable pour tout le monde, même pour vous si vous contractez plusieurs emprunts mais que les taux diminuent.
        Pour votre autre assertion, je vous renvoie à l’étude annuelle du Crédit Suisse qui compte plus de 5000 millionnaires français de plus chaque année.

        31 mars 2016 à 21 h 05 min
      • Jacky Social Répondre

        Il y a des gens qui croient qu’on leur adresse la parole alors que de n’est pas DU TOUT le cas. Ils repondent donc dans le vide de leurs posts.

        31 mars 2016 à 21 h 19 min
        • Jaures Répondre

          Je ne réponds pas à vous personnellement mais à ce que vous avancez.

          31 mars 2016 à 21 h 21 min
    • Jacky Social Répondre

      Ne vous laissez pas impressionner par les élucubrations et le deni du nazistoide. La secu et le systeme des retraites étatistes sont des variantes Ponzistes et meme bien pire, car vous n’avez pas de contrat avec l’etat socialo-fasciste. L’escroquerie vient du fait que 1) l’etat fait ce qu’il veut au gre du vent et des législatures et ce de maniere unilaterale (dans un cadre contractuel, il faut au moins etre deux pour que ca fonctionne); et 2) le systeme se repose sur les nouveaux arrivants sans savoir s’il sera auto-suffisant sur le long-terme. Bref, le systeme est une decalcomanie de Ponzi. Et 3) a la fin, qui est le loser, l’etat ne faisant jamais vraiment faillite (ainsi que le nazistoide nous l’a amplement mais connement demontre avec la grande fierte qui est la sienne)?

      31 mars 2016 à 19 h 03 min
      • Jaures Répondre

        L’Etat n’est pas une petite bête autonome qui fait ce qu’elle veut.
        La sécurité sociale est gérée paritairement par les représentants des salariés et du patronat mais le parlement vote ses ressources. Si les parlementaires décident, selon le mandat de leurs électeurs, de baisser le budget de la sécu, ils le peuvent. D’ailleurs, de nombreuses mesures d’économies ont été prises pour limiter son déficit.
        Les contrats dans les pyramides de Ponzi n’ont absolument pas protégé les épargnants qui ont été ruinés.
        Le système étant par répartition, si les moyens manquent parce qu’il n’y a pas assez de cotisants ou trop de pensionnés, on peut augmenter les cotisations, baisser les pensions ou étendre l’assiette des ressources (taxes sur tabacs et alcool par exemple).
        Dans le système de Ponzi, l’adhésion et la sortie étant volontaires, le moindre problème peut amener la chute des entrants ou la sortie de l’ensemble des investisseurs, ce qui cause l’affaire Madoff.
        La sécurité sociale est à l’abri car tout le monde ne peut partir à la retraite en même temps et la cotisation est obligatoire (comme pour l’assurance auto ou responsabilité civile).
        Le système par répartition est le contraire d’un système Ponzi.

        31 mars 2016 à 21 h 19 min
      • Jacky Social Répondre

        BRENUS-DESOYER: Le nazistoide est toujours a la parade. Il ne comprend decidement rien. En fait, un contrat protege en ce sens qu’il est un document officiel opposable en justice. Ensuite, un contrat est le fait de la volonte et du libre arbitre de ceux qui le signent. Le systeme par repartition est une escroquerie. Je ne travaille pas pour les autres et vice-versa. Est bien con celui qui croit le contraire. “L’etat est cette fiction par laquelle tout le monde essaie de vivre aux crochet de tout le monde” – F. Bastiat. Quant a l’assurance auto, elle est privee, libre dans le choix des produits proposes et contractuelle. Donc rien a voir. Qu’en pensez-vous Brenus et DeSoyer?

        31 mars 2016 à 21 h 29 min
        • DE SOYER Répondre

          Je suis d’accord avec vous Jacky. En revanche, je souhaite que vous restiez sur ce site. Il est hors de question qu’un socialiste fasse la loi sur ce site. Laissez-le à ses éculubrations. Des gens qui ont fait arrêter le général Piquemal ne peuvent être des crapules. Oubliez-le: nous lui répondons de temps en temps certes, mais nous savons que cela ne sert à rien, car il restera toujours aussi con, mais bon, çà soulage.

          1 avril 2016 à 10 h 05 min
        • Jaures Répondre

          Les retraités américains ou irlandais ruinés après la faillite de leurs fonds de pension avaient des contrats en bonne et due forme.
          Les milliers de naïfs qui ont signé des contrats sur internet pour toucher des rendements mirobolant et y ont perdu leurs économies avaient signé des contrats.
          Les clients de Madoff qui se sont suicidés ont laissé à leurs héritiers des contrats aussi utiles que des assignats.
          Pendant ce temps, les retraités français comme Desoyer ont touché leur retraite garantie virée régulièrement sur leur compte.
          Où sont les escrocs ?
          L’assurance auto est obligatoire et sévèrement réglementée.

          1 avril 2016 à 11 h 15 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    à @ desoyer 19h23

    Jospin voulait que la majeure partie de l’ excédent soit consacrée au remboursement de la dette ; c’ est la ” populaire ” tête de veau Chirac Jacques qui imposa que cela fût pour ainsi dire intégralement ” redistribué ” …

    rassurons nous, avec Juppé il n’ en sera pas ainsi : une balance positive est désormais du domaine du fantasme et pour longtemps !

    30 mars 2016 à 19 h 59 min
    • DESOYER Répondre

      Cher Quinctius, je doute que Chirac ait pu imposer quoi que ce soit à Jospin. On a parlé de “cagnotte” à l’époque, cagnotte que Jospin s’est évidemment empressé de redistribuer à des fins électorales!

      31 mars 2016 à 12 h 54 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        et c’ est pourtant la vérité !

        Chirac n’ était, après tout qu’ un rad-soc corrézien et Jospin lui était un ancien élève de l’ Ecole Alsacienne de Paris c. à d. un établissement privé luthérien où on apprend que la vie ici bas n’ est pas qu’ épicurienne !

        d’ un côté Rossini, de l’ autre J.-S. Bach

        31 mars 2016 à 13 h 38 min
        • DE SOYER Répondre

          Il est possible que Jospin ait la tête à droite, pour reprendre la terminologie de mon bouquin, mais je maintiens qu’une partie de la “cagnotte” a été redistribuée, car Jospin était tout de même socialiste et candidat à la présidentielle!
          Pour la petite histoire, j’ai débuté en politique au début des années 80 avec un médecin qui avait été médecin du père de Jospin. Ce dernier, qui bouffait du curé, se serait converti sur son lit de mort!

          31 mars 2016 à 16 h 49 min
          • quinctius cincinnatus

            – Jospin a bien été dans l’ obligation de ” redistribuer ” puisque Jacquou le Croquant de Corrèze l’ exigeait

            – le fait que le père de Jospin ait été friand de ” corbeaux ” n’ empêche pas que son fils ait été l’ élève de cette fameuse école privée de Paris , comme le dévouement de Jospin à la cause des opprimés du ” capital ” ne l’ empêche aucunement de résider à l’ ile de Ré !

            1 avril 2016 à 11 h 54 min
  • Jacky Social Répondre

    @QC: vous voyez que nos sommes tojours dans deni. La secul etatiste et le systeme etatiste des retraites etatistes sont une pyramide de Ponzi et bien pire encore. En effet, avec Ponz, Madoff et Mavrodi, il y avait un contrat. Aec la secul et les retraites, l’etat fait ce qu’il veut. Il bloque et debloque. Il augmente les recettes fiscales pour combler les trous de secul et donc il reprend d’un cote ce qu’il “donne” de l’autre. Et il y en a qui en redemande. La secul et les retraites sont des Ponzi parmi d’autres. Vos exemples, QC, qui sont d’autres variantes de Ponzi sont tres-tres bons. Ceci etoff donc ma ocumentation sur le sujet. L’etat se met dans l’illegalite, mais c’est legal !

    30 mars 2016 à 16 h 20 min
    • Jaures Répondre

      Cher Jacky, demandez donc à Quinctius si son assurance auto est un système Ponzi.
      Pour info, après la crise de 2008, de nombreux fonds de pension ont fait faillite laissant des retraités sur la paille, obligés même septuagénaires de trouver un job pour survivre.
      En Irlande, les fonds de pension ont perdu en moyenne 37,5%.
      En France, les retraités ont continué à recevoir leur pension normalement comme ce fut le cas lors des précédentes crises financières grâce au système par répartition.
      Mais outre cet aspect de sécurisation des revenus des plus fragiles, c’est le côté pervers des fonds de pension qui interpelle.
      Ainsi, en France, notre système par répartition est solidaire: les jeunes actifs cotisent pour les personnes âgés comme les bien portants cotisent pour les malades.
      Dans le système des fonds de pension, les retraités attendent des rendements importants de 4%,6%,8%,…Pour cela; il faut souvent faire de la casse industrielle, délocaliser, organiser des plans sociaux afin d’assurer une bonne tenue boursière.
      Le grand-père aura intérêt à ce que son petit fils travaille dur, soit mal payé voire licencié pour que son fonds de pension lui verse un rendement maximal.
      Si vous vous sentez à l’aise dans ce type de système, cher Jacky, ce n’est pas mon cas.

      30 mars 2016 à 17 h 08 min
    • DESOYER Répondre

      Vous remarquerez que jojo présente toujours comme des évidences des choses qui n’en sont pas (comme l’équilibre de la sécu par exemple). J’avais au ministère un collègue (en plus doué que lui tout de même) un peu socialiste sur les bords qui raisonnait de la même façon. Quand on grattait un peu, tout s’écroulait!

      30 mars 2016 à 17 h 42 min
      • Jaures Répondre

        Tout d’abord je n’ai jamais considéré l’équilibre de la sécu comme une évidence.
        Ensuite, si vous voulez gratter, grattez !

        30 mars 2016 à 17 h 54 min
  • Jacky Social Répondre

    @QC ecrit: une pyramide de Pozzi peut avoir plusieurs » déclinaisons » ; dans le cas qui nous intéresse ici voici en quoi l’ accumulation de la dette et son accroissement est une pyramide de Charles Ponzi : l’ Etat emprunte maintenant pour rembourser la dette déjà existante MAIS AUSSI pour rembourser les intérêts de la dette ,les nouveaux » prêteurs » espérant ne pas être pas … les derniers !
    JS: c’est exactement ca. Idem pour la secu et systeme des retraites. C’est scandaleux de rouler des generations entieres dans la farine. Et cela s’appelle vivre au-dessus de ses moyens. C’est du Ponzi, du Madoff et du Mavrodi en plein. Evidemment, ceci va etre nie. Pourtant, les faits sont la. Ce que fait l’etat est interdit por le particulier, ce qui est normal car une vaste escroquerie. Mais l’etat se permet tout et ensuite veut etre credible. Je n’ai confiance ni en l’etat, ni en Madoff. C’est pareil.

    30 mars 2016 à 14 h 49 min
    • Jaures Répondre

      Encore une fois, Jacky, la pyramide de Ponzi n’a rien à voir avec la sécurité sociale qui est une assurance et qui reverse donc le produit des cotisations.
      Prenez votre assurance habitation, si une catastrophe lui coûte plus cher que le produit des cotisations, elle augmentera les prélèvements pour faire face aux charges.
      Pareillement, si, par exemple, la CNAV ne peut verser les retraites, elles peut augmenter les cotisations ou jouer sur l’âge de départ, voire baisser le montant des pensions.
      Avec la pyramide de Ponzi, il n’y a pas de solutions puisque les revenus répartis sont imaginaires.

      30 mars 2016 à 15 h 10 min
    • DESOYER Répondre

      Vous avez vu la bobine de Hollande, celle de Valls, celle de Touraine et vous voudriez faire confiance à de telles tronches qui auraient pu jouer dans “Massacre à la tronçonneuse”!

      30 mars 2016 à 17 h 30 min
      • Jaures Répondre

        Si vous vous fondez sur “les tronches” vous auriez probablement donné toutes vos économies à Madoff ou S.Mavrodi.

        30 mars 2016 à 17 h 41 min
  • quinctius cincinnatus Répondre

    à @ desoyer l’ esprit de Bercy

    lisez mes messages !

    30 mars 2016 à 14 h 34 min
    • DESOYER Répondre

      Je les lis, Quinctius, je les lis!

      30 mars 2016 à 17 h 12 min
  • DESOYER Répondre

    Petits détails: dernier budget en équilibre en 1980. Dette publique: 95,6% du PIB. Cela étant une dette publique supérieure à 50% du PIB, selon les meilleurs économistes, n’est pas soutenable, l’effort à faire pour rembourser étant jugé insupportable politiquement. Le Japon ne remboursera jamais sa dette. Ceux qui ont prêté à l’Etat ont payé un impôt. Certes ils auront perçu des intérêts, mais il ne reverront jamais leur capital!

    29 mars 2016 à 18 h 43 min
    • Jaures Répondre

      C’est évidemment faux. Si vous avez souscrit des emprunts d’Etat à 10 ans en 2006, vous avez encaissé les intérêts et retrouvé votre capital.
      Les créanciers d’aujourd’hui ne sont plus ceux des années 80.

      30 mars 2016 à 13 h 12 min
      • DESOYER Répondre

        Quand j’emprunte, je rembourse capital et intérêts: mon prêteur perçoit donc plus que ce qu’il ma prêté. Les socialos, eux, ne versent que les intérêts et les gogos n’ont que leurs yeux pour pleurer. On se demande toujours s’il est con ou malhonnête: je crois qu’il est un peu les deux!

        30 mars 2016 à 13 h 29 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          on a dit qu’ on ne répondait plus à Mr Jaurès … ” Français vous avez la mémoire courte ” … si vous avez des démonstrations à apporter faites les … ” autrement “

          30 mars 2016 à 13 h 57 min
          • DESOYER

            Reconnaissez Quinctius qu’il est une preuve vivante de l’hôpital qui se moque de la charité!

            30 mars 2016 à 14 h 11 min
        • Jaures Répondre

          Je pense que vous devriez lire “L’économie pour les nuls” !
          Si vous achetez une obligation d’Etat par votre agence bancaire, vous percevrez les intérêts et retrouverez votre capital à échéance (10 ans le plus souvent).
          Ces emprunts forment d’ailleurs l’essentiel des assurances vie en euros qui sont en général à échéance de 8 ans (période après laquelle vous retrouvez capital et intérêts avec fiscalité avantageuse).
          Vous pouvez même si cet emprunt est coté en bourse, le revendre avant échéance en empochant une plus-value.
          Si “les socialos” ne remboursaient pas le capital des emprunts, personne n’en achèterait.

          30 mars 2016 à 13 h 58 min
          • DESOYER

            Les 3/4 des gens n’y comprennent rien: ils sont là pour être plumés. Je maintiens que la dette ne sera jamais remboursée. L’Etat emprunte pour rembourser ses emprunts en plus des nouvelles dettes qu’il contracte et ceci ad infinitum. Il ne pourra jamais rembourser sa dette (d’ailleurs Mélenchon proposait dans son programme d’annuler une partie de la dette de l’Etat). Quand la charge des intérêts deviendra trop lourde, il fera faillite.

            30 mars 2016 à 14 h 09 min
          • Jaures

            C’est pas parce que vous n’y comprenez rien que les autres sont dans le même cas.
            Les particuliers achètent des emprunts d’Etat généralement sous forme d’assurance-vie (encours 1500 milliards). Certains préfèrent les OAT cotés en bourse mais également remboursées à échéance.
            Si la dette s’amplifie, ce n’est pas que les emprunts ne sont pas remboursés mais qu’ils sont remplacés par d’autres plus importants en volume.
            Que la dette globale ne soit pas remboursée, c’est possible, mais chaque emprunt l’est à échéance et c’est pourquoi la France emprunte actuellement à 0,5%.

            30 mars 2016 à 14 h 31 min
          • DESOYER

            Le jojo, financier amateur comme tous les socialistes (sauf quelques-uns qui sont des mafieux à mettre en taule direct) nous laisse entendre que tous les emprunts seront remboursés, mais que la dette globale, somme de ces emprunts, ne le serait peut-être pas! Comprenne qui pourra!
            Ce qui est sûr, c’est qu’un socialiste, çà creuse les déficits! Au centre-droit et au centre aussi il y a des tunneliers ès-déficit. J’en explique la raison dans mon bouquin. Je ne vais tout de même pas tout vous dire ici!

            30 mars 2016 à 17 h 05 min
          • Jaures

            Le peu que vous en dîtes ne donne guère envie.
            Un Etat peut effectivement rembourser ses emprunts sans que sa dette décroisse. C’est aisé à comprendre.
            Si je fais un emprunt de 100€ sur 10 ans l’année x, puis 100€ x+ 1, 100€ x+2, etc,… jusque x +10, tout en remboursant mes emprunts et en réglant les intérêts, je continue à m’endetter.
            Par contre, si les taux diminuent, la charge de la dette s’amoindrit. Tant que mes revenus sont suffisants, les créanciers me jugeront solvable et continueront à me prêter. Quand un emprunt sera remboursé, un autre prendra sa place.
            D’ailleurs, les encours d’assurance vie ne cessent de croitre et les taux diminuent ce qui prouve que la demande de fonds est inférieure à l’offre et donc que le produit “emprunt d’Etat” est attrayant.
            Contrairement à ce qui est souvent dit, le taux de 3% du PIB acceptable comme déficit n’a pas été choisi au hasard.
            Autour de ce pourcentage, suivant le contexte, le rapport dette/PIB diminue.
            Ainsi, de 1998 à 2001, le déficit est passé sous la barre des 3% et le rapport dette/PIB a diminué.
            Ensuite, la droite a repris le pouvoir….

            30 mars 2016 à 17 h 27 min
          • DESOYER

            L’infâme jojo me fait penser à ces petites pédales sciences po pédants et arrogants du ministère, complètement hors sol.
            Il oublie que Jospin a eu le cul bordé de nouilles en 1998-2001 grâce à une reprise mondiale à laquelle il n’était pour rien pour ensuite laisser au centre-droit ses étrons socialistes, notamment les 35h de la grosse vache du Nord, étrons qui ont contribué, comme chacun sait, à couler l’iindustrie française et, plus généralement, à ralentir l’ensemble de l’économie. Ses analyses sont toujours tronquées, par incompétence ou malhonnêté. A mon avis, beaucoup par incompétence et un peu par malhonnêteté.

            30 mars 2016 à 19 h 23 min
          • Jaures

            Bien sûr, l’Economie, finalement, n’est qu’une question de chance.
            C’est pourquoi Millière, qui “connait l’économie”(sic), s’est installé à Las Vegas, la nouvelle Delphes d’où nous viendront les nouvelles prophéties économiques des tables de baccara.
            Après tout, fortune signifie aussi hasard.

            31 mars 2016 à 14 h 50 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          il semble me souvenir que vous nous aviez dit que vous aviez travaillé à … Bercy ( sic ) ; il y a effectivement un cas dans l’ Histoire moderne où l’ Etat n’ a pas remboursé le capital ( ni d’ ailleurs les intérêts ) d’ un emprunt d’ Etat mais … émis par son ” prédécesseur ” : la Russie soviétique et un autre cas plus récent où l’ Etat n’ a remboursé ( après accord ) qu’ une partie du capital : l’ Argentine ; le cas du Japon étant par ailleurs particulier: ce sont les Japonais qui seuls ( ou presque ) prêtent à leur Etat …par patriotisme économique ( mais celui ci commence à faiblir )

          et nous reparlerons … dans quelques années de la fiabilité des ” assurances vie “

          30 mars 2016 à 14 h 09 min
          • quinctius cincinnatus

            toujours à @desoyer :

            bien sûr que l’ Etat remboursera le capital … jusqu’ à ce que cette pyramide de Pozzi s’ écroule ! c’ est d’ ailleurs pour cela que le déficit diminue mais que la dette augmente !

            30 mars 2016 à 14 h 12 min
          • DESOYER

            Pyramide de Ponzi (l'”esprit” de Bercy a parlé!)!

            30 mars 2016 à 16 h 41 min
          • Jaures

            Ponzi, Quinctius. Et ce n’est pas cela une pyramide de Ponzi. Ne faites pas votre Jacky Social par pitié !

            30 mars 2016 à 14 h 33 min
          • Jaures

            Et l’Allemagne en 1953, dette annulée.

            30 mars 2016 à 14 h 38 min
          • quinctius cincinnatus

            une pyramide de Pozzi peut avoir plusieurs ” déclinaisons ” ; dans le cas qui nous intéresse ici voici en quoi l’ accumulation de la dette et son accroissement est une pyramide de Pozzi :

            l’ Etat emprunte maintenant pour rembourser la dette déjà existante MAIS AUSSI pour rembourser les intérêts de la dette ,les nouveaux ” prêteurs ” espérant ne pas être pas … les derniers !

            30 mars 2016 à 14 h 40 min
          • DESOYER

            C’est un peu cela, sans compter les nouvelles dettes créées tous les ans par des déficits publics de 3 à 4% du PIB. Ne vous en faites pas: le tunnelier va vous expliquer comment il fait!

            30 mars 2016 à 17 h 25 min
          • Jaures

            PONZI, Quinctius !
            Je vous rappelle qu’une pyramide de Ponzi est une escroquerie qui rémunère les souscripteurs avec les fonds des nouveaux en faisant croire qu’il s’agit de revenus des placements. Charles Ponzi a été condamné pour cette “invention”.
            L’endettement d’un Etat n’a évidemment rien à y voir: les créanciers connaissent parfaitement la solvabilité des Etats et les conditions de prêt varient avec le risque couru.
            Si vous n’avez pas confiance en l’Etat français, rien ne vous oblige à souscrire une assurance vie ou acheter des OAT.

            30 mars 2016 à 15 h 01 min
          • DESOYER

            La Grèce aussi a fait plusieurs fois défaut dans le passé et on pourrait sans doute trouver d’autres exemples car parfois le défaut n’est qu partiel.

            30 mars 2016 à 16 h 44 min
          • Jaures

            Tous les emprunteurs peuvent parfois faire défaut: particuliers, entreprises,…
            Un Etat ne disparaitra pas comme une entreprise ou ne se suicidera pas comme un quidam ruiné.

            30 mars 2016 à 17 h 36 min
  • BRENUS Répondre

    QC Je dois être un peu “limite” intellectuellement (du moins ai je l’honneteté de l’écrire), mais je ne comprends rien à votre commentaire. Pourriez vous vous pencher vers le bas et nous le refaire au niveau primaire. Merci.

    29 mars 2016 à 18 h 20 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      je parlais de l’ horoscope économique que Mr Jaurès nous proposait … et je conseillais à chacun de le conserver bien au chaud pour voir si dans les années à venir il se réaliserait …

      je n’ ai pas développé les ( multiples ) raisons pour lesquelles il fallait le faire, car c’ eût été entrer en ” discussion ” ( stérile ) avec le Sieur Jaurès, ce que je m’ interdis malgré ses appels de pieds répétés !

      bien à vous

      29 mars 2016 à 23 h 36 min
      • quinctius cincinnatus Répondre

        par ailleurs le dit Jaurès a G. M. comme souffre douleur car celui ci aurait eu , à ce qu’ il semble, une jeunesse estudiantine plutôt portée sur la gauche … et, pour le Sieur Jaurès, trahir la gauche est une marque indélébile d’ infamie

        29 mars 2016 à 23 h 40 min
        • quinctius cincinnatus Répondre

          enfin il va de soi que je partage bien peu les opinions ( politiques, sociales, religieuses etc … ) de Mr G. , mais que j’ ai toujours au moins respecté sa piété filiale

          29 mars 2016 à 23 h 42 min
      • Jaures Répondre

        Je ne propose absolument aucun horoscope pour la bonne raison que ma conception de l’Economie me fait dire que, comme la météo, toute prédiction au-delà de 48h est hasardeuse.
        Je dis que le faible endettement n’est pas plus protecteur de l’Economie d’un pays qu’un endetement important implique sa faillite.
        Mais cela ne veut pas dire que l’endettement soit une bonne chose. En économie, tout est affaire de contexte et donc toute théorisation absolue trouvera son contre-exemple.

        30 mars 2016 à 13 h 08 min
  • Jaures Répondre

    Curieusement, R.Croella amène un démenti à chacune de ses assertions.La France serait en passe de devenir insolvable dit-il. Pourtant, les créanciers n’ont jamais prêté avec des taux si bas. A tel point que la dette va, dans les 10 ans qui viennent , mécaniquement baisser, les emprunts chers venant à échéance remplacés par des taux frôlant le 0.
    Les marchés regorgent de liquidités qui ne demandent qu’à être placées.
    Ensuite, Croella nous prédit le destin de Chypre. Sauf que, justement, quand ce pays a connu sa crise financière, son endettement était minime, inférieur à 50% du PIB en 2008 quand la France était à près de 70%. Cela n’a pas empêché l’île de devoir mendier un soutien financier jusqu’en Russie. On pourrait dire de même de l’Irlande à 44% en 2008 et en faillite deux ans plus tard.
    Le faible endettement ne protège de rien, surtout pas de la ruine comme un endettement relativement important (et le Japon à plus de 200% du PIB ne dira pas le contraire) n’est pas synonyme de faillite.

    29 mars 2016 à 15 h 46 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      mesdames et messieurs, une analyse et un point de vue à conserver dans vos … archives et à ressortir au bon moment, dans deux trois ans ou peut être plus, comme l’ auteur l’ a fait si souvent avec son souffre-douleur Guy Millière qui avait, et c’ était là son côté le plus abject, trahi ses idées primitives d’ une gauche encore estudiantine comme le sont toujours les chargés de cours qui espèrent la ” reconnaissance ” de leurs maitres

      29 mars 2016 à 16 h 31 min
      • Jaures Répondre

        Pour votre information, Quinctius, Millière était de gauche jusqu’au début des années 80. Il n’était pas alors étudiant mais déjà professeur à Paris VIII.

        30 mars 2016 à 13 h 02 min
    • Alex Répondre

      Si les taux sont voisins de 0, ce n’est pas la dette qui baisse, c’est la CHARGE de la dette (les intérêts).

      30 mars 2016 à 13 h 55 min

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