Investir plus pour gagner plus

Investir plus pour gagner plus

Nicolas Sarkozy a totalement raison quand il nous dit : « Travaillez plus, vous gagnerez plus ». En travaillant tous 39 heures au lieu de 35, on augmente de 11 % la taille du gâteau à se partager. On augmente notre pouvoir d’achat de 11 %. Il faut donc lever tous les freins qui empêchent les entrepreneurs d’embaucher et les salariés de travailler. Notre président a du travail…

Par contre, les quatre heures supplémentaires payées bien plus cher n’augmentent pas d’un centime notre pouvoir d’achat. Ce qui compte pour le pouvoir d’achat, c’est uniquement la taille du gâteau à se partager. Quand la production augmente de 11 % et les revenus de 15 %, une inflation de 4 % environ ramène automatiquement notre pouvoir d’achat à 11 %.

Mais Nicolas Sarkozy aurait encore bien plus raison de nous dire : « Investissez plus, pour gagner plus ». Car, en mettant dans les mains d’un terrassier un camion pour remplacer sa brouette, ou dans celles d’une comptable un ordinateur pour remplacer son crayon, le terrassier transporte 10 fois plus de terre et la comptable effectue 10 fois plus d’additions. Sans travailler une seconde de plus… La taille du gâteau à se partager est multipliée par 10. Notre pouvoir d’achat est donc multiplié par 10.

Il existe encore plusieurs secteurs de l’économie où une amélioration de l’outil de travail permet d’augmenter de façon importante la productivité des salariés.

Mais, dans de nombreux autres secteurs, dans les activités de services en particulier, l’augmentation de la productivité n’est obtenue que par une augmentation du savoir-faire. Par exemple, plus la connaissance des maladies avance, plus les médecins sont efficaces. Grâce aux progrès de la médecine, les Français vivent aujourd’hui en moyenne plus de 80 ans. Il y a 100 ans seulement, ils ne vivaient que 40 ans, comme c’est encore le cas dans de nombreux pays sous-développés. Ce n’est plus la taille du gâteau à se partager qui est mesurable. C’est la durée de la vie.

En « investissant plus », on peut augmenter de 4 % la productivité. Ce qui est tout à fait possible dans un pays développé comme la France. On augmente donc notre pouvoir d’achat de 4 %. Mais on peut dans la même période réduire le temps de travail de 2 %. La taille du gâteau à se partager n’augmentera plus que de 2 %. Mais on arrive à un résultat merveilleux : « En travaillant moins, on gagne plus ».
« Investir plus, pour gagner plus » est donc bien supérieur à « Travailler plus, pour gagner plus »

Malheureusement, les Français et leurs représentants politiques, ne semblent pas avoir compris cette réalité de bon sens.
Pour investir, il faut des entrepreneurs décidés à investir et à prendre des risques pour innover. Or, au nom de la « Justice Sociale », la France chasse ses entrepreneurs par une fiscalité aberrante. Un million de jeunes Français dynamiques et diplômés sont ainsi allés vivre à l’étranger.

Pour investir, il faut des capitaux, donc des capitalistes. Or, au nom de la « Justice Sociale », la France multiplie les impôts sur le capital. Il vaut mieux investir à l’étranger. En Espagne par exemple, où les socialistes qui viennent d’être réélus avaient mis à leur programme la suppression de leur Impôt sur la Fortune.

Pour faire des bénéfices, il vaut mieux installer son entreprise à l’étranger. Tandis que les 40 principales entreprises françaises font de solides bénéfices, du fait qu’elles ont installé une partie très importante de leur activité à l’étranger, des milliers de petites entreprises françaises écrasées d’impôts disparaissent, ou végètent. Et, au lieu de supprimer des impôts, il ne se passe pas une année sans qu’on en invente de nouveaux.

Enfin « travailler plus » et « investir plus » ne sont absolument pas inconciliables. Nicolas Sarkozy peut associer les deux. Il a un immense chantier devant lui.
Il peut réussir, s’il en a la volonté…

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Comments (15)

  • UN chouka Répondre

    Confusément, je vois bien que autant dans ce pays qu’ayeur,(meme aux USA ;-) il y a toujours une volonté populaire qui incite les  gens,mais aussi  l’état , qui entourent une entreprise ,de prélever une dîme, un impot, des taxes sur le labeur ,la réusite,l’ingéniosité, etc…..Cette constante est bien sur visible pour les héritages ,qui favorisent les enfants de ceux qui ont réalisés des richesses, comme s’il etait normal de prendre les bien crées" honètement "par les actifs dégourdis ,hardis ,voir dotés d’une cèrtaine générosité .En ce moment "le raket est lourd" ce qui n’aide pas a l’activité créatrice ,il me semble?

    C’est a croire qu’il y a nombre de nonchalants qui attendent que les gens bossent pour les taxer? 

    2 avril 2008 à 8 h 29 min
  • Anonyme Répondre

    Petite parenthèse :

    Mr Trémeau écrit : "Par exemple, plus la connaissance des maladies avance, plus les médecins sont efficaces. Grâce aux progrès de la médecine, les Français vivent aujourd’hui en moyenne plus de 80 ans. Il y a 100 ans seulement, ils ne vivaient que 40 ans, comme c’est encore le cas dans de nombreux pays sous-développés. "

    Alors là, permettez-moi de rire en connaisseur.

    C’est de la pure illusion, du rêve de conte de fée pour  gogol moyen.  Le Pr Duesberg, éminent spécialiste mondial des virus, alias "le pape de la virologie", a déclaré avec justesse et honnêteté à propos des progrès de la médecine :

    "Les scientifiques et les médecins s’attribuent la gloire d’une évolution qui est dûe en réalité aux plombiers et aux paysans".

    Traduction : Grâce à l’eau courante et aux égouts et grâce aux paysans qui produisent des aliments, la mauvaise hygiène et la famine ont été repoussées, ce qui a fortement contribué au progrès sanitaire.  Et c’est tout à fait vrai car la médecine allopathique fait autant de bien que de mal (maladies nosocomiales et iatrogènes, c’est à dire infections hospitalières et intox par les médicaments.  Et je ne rappellerai pas l’affaire du sang contaminé, de l’hormone de croissance, des sur-irradiations, etc. Et je ne parlerai pas non plus du livre "Némésis médical" de Yvan Illich qui démontre magistralement le match nul de la médecine moderne face aux maladies, ni les bouquins de Pierre Lance ("savants maudits…".

    Il y a des documents édifiants sur les dégâts de la médecine officielle issus d’enquêtes de chercheurs, médecins et biologistes.

    Et je ne citerai pas non plus le récent livre du Pr Montagnier… Très édifiant sur les errances de la médecine.

    Quant à la réalité, non Mr Trémeau, les médecins ne sont pas plus efficace mais de plus en plus déroutés par le vivant.  Ils en font même des déprimes pour beaucoup ! Et pour le prolongement de la vie, on compte aussi les vieillards séniles ou grabataires, les comateux, comme vivants parce qu’ils respirent, alors qu’ils ne sont que des végétatifs;  Quelle immonde tricherie.  Tout ce qu’on peut dire est que les animaux sauvages, s’ils ne sont pas dévorés par leurs prédateurs, vivent en moyenne jusqu’au bout de leur éspérance de vie alors que les humains, avec toute leur technologie et leur science, n’arrivent qu’à peine à 70 % de leur espérance de vie.  C’est ça le progrès ?!!!   

    Et ce n’est pas avec les OGM, les pesticides, et toutes les toxines dans les aliments et ailleurs que l’on va faire mieux.  Les maladies autoimmunes explosent et les médecins sont impuissants.  C’est la grave réalité. 

    Solution : préserver sa santé et essayer de la monter au plus haut niveau par soi-même avec l’aide, comme le préconise le Pr Montagnier, des médecines alternatives qui sont très bien adpatées à cette tâche.

    A bons entendeurs salut.

     

     

    1 avril 2008 à 21 h 19 min
  • sas Répondre

    Le gros cinéma sauce frachouillarde est en marche,la santé ? 2 vitesse ,malgré les lois ,il y a les très nombreux en cmu dont les toubib ne veulent même plus entendre parler…..malgré les textes et obligations….les secrétaires filtrent et ….ils sont soignés en derniers….

    Les branleurs et rentiers qui ne veulent pas bosser, sont malades ou exigent des droits du travail auront bientôt le même traitement…c’est pas plus ,ni moins qu’ils auront…..des fichiers circuleront et ont ne les embauchera plus du tout….

    nos ministres et enarques peuvent toujours pondrent lois sur lois ,jamais appliquées et donnant de la procédure à la procédure….limitant à l’extrême les libertés individuelles,muselant la créativité et l entreprise privé…..et ruinant methodiquement le pays…..quand tous ces cons seront passés ,digérés et chiés….la france reviendra à une situation normale tennant compte de sont environnement naturel et de l’ordre des chose….de la logique en fait…..ou alors la freance ne sera plus…

    travailler plus pour nourrir toutes ces enclumes assistées ou favorisées…..sas refuse…TRAVAILLER PLUS ET PAYER PLUS D IMPÖT SAS REFUSE…..travailler plus et enrichir une france, que d autres ruinent depuis 30 ans…..sas refuse

    comment un pays de pédophiles,tarés et consaguins….pas besoin d empruntes génétiques pour en être convaincu…

    sas

    1 avril 2008 à 17 h 53 min
  • Jean-Claude THIALET Répondre

    01/04/08    – "Les 4-Vérités"

    Ras-le-bol, comme dirait Pierre LANCE de cette focalisation sur le Pouvoir d’achat qui …, les heures supplémentaires qui, etc.

    Je ne cesserai d’écrire que l’augmentation du "pouvoir d’achat", même si elle est souhaitée (la plupart des gens s”imaginent que ce sera sans effort supplémentaire, juste avec une augmentation de salaire (1), surtout pas avec une participation aux résultats), n’est pas, ne sera pas, la panacée qui résoudra les problèmes cruciaux auxquels notre pays est confronté. Parmi eux la concurrence internationale qui inonde, au détriment accru de notre balance commerciale, la FRANCE de produits fabriqués par des salariés qui gagnent dix fois moins que les smicards de chez nous. Les tenants de "l’augmentation du pouvoir d’achat" s’imaginent-ils que  –  avec cette augmentation –   les salariés qui sont aussi, et surtout, des consommateurs, vont acheter "français" ?

    Pour ce qui concerne les heures supplémentaires, il n’est pas besoin d’avoir fait l’ENA pour comprendre que ce n’est pas l’ETAT qui augmentera leur nombre. Et la mesure qui vient d’être prise, si elle évitera aux salariés certains impôts sur les heures supplémentaires, ne créera pas pour autant une seule heure de plus, ce qui est l’affaire des entreprises. Tout au plus incitera-t-elle les salariés qui les boudaient  – faute d’y trouiver un réel intérêt dinancier –   à les accepter. Mais, là encore, ce surcroît de "pouvoir d’achat" ne résoudra pas le problème du déficit de la balance commerciale de plus en plus déficitaire de la France.

    Alors, une panacée, les heures supplémentaires, le "travailler plus pour gagner davantage" ? De qui se moque-t-on ? Ce qui ne veut certes pas dire que j’engage les gens à travailler moins, à produire moins. Car, l’envers de la médaille du "Travailler plus pour gagner davantage…", c’est "Travaillez moins, et vous gagnerez moins" ! Faut pas croire au Père Noël, surtout quand ce n’est pas un politicien qui vous le promet !

           Cordialement, Jean-Claude THIALER+T

    (1) pour les syndicats, comme pour une majorité de salariés conditionnés par l’Education Nationale marxiste, il ne faut pas que la rémunération connaisse des variables en fonction de la conjoncture économique et fnancière de l’entreprise. Pour eux, un salaire, une fois "acquis", devient intangible. D’où la réticence des employeurs à l’augmenter car, eux, savent que vient toujours la période des vaches maigres. Et comme les licenciments sont de plus en plus difficiles … Et tant pis pour les salariée si les entreprises, lorsqu’elles sont déficitaires, sont condamnées à la fermeture ou à la déloccalisation, faute de pouvoir lâcher du lest ! 

    1 avril 2008 à 16 h 52 min
  • Gérard Pierre Répondre

    Rectification : le prix du baril a baissé de 2,5% et non de 0,25 %

    1 avril 2008 à 11 h 07 min
  • Gérard Pierre Répondre

    Si l’économie était aussi simple qu’un problème de pourcentage la vie serait belle.

    Travailler 39 heures au lieu de 35 devrait logiquement améliorer le score salarial de 11,43 %  trés exactement. On oublie tout de même que lorsque dame Aubry imposa sa loi au forceps les syndicats négocièrent, …… et obtinrent souvent que cela fut 35 heures …… PAYEES  39 ! …… la règle de trois en a pris un coup au passage mais les gains de productivité, …… avec le temps !

    Et puisque nous en sommes à des raisonnement économiques bestialement simples, parlons par exemple de la hausse de nos hydraucarbures :

    > En l’an 2000, le baril de pétrole coûtait 60 dollars et le dollar était alors à 1,20 euros, .

        ….. soit 60 x 1,20 = 72,00 euro le baril. Le litre de gazoil était alors à 0,75 euros à la pompe.

    > En l’an 2008, le baril de pétrole coûte 108 dollars, mais le dollar est à 0,65 euros.

        …… soit 108 x 0,65 = 70,20 euros le baril. Le litre de gazoil est à 1,25 euros à la pompe ! ! !

    Conclusion : Quand le prix à l’achat baisse de 0,25 % le prix de vente augmente de 66,66 % ….. ! ! ! !

       Ah ce que la vie serait belle si l’économie était aussi simple qu’un problème de pourcentage !

     

     

    31 mars 2008 à 21 h 29 min
  • IOSA Répondre

    Produire plus en travaillant plus..Ca je sais faire, mais le reste ?

    Qui va acheter?

    Déjà qu’on achète ailleurs les mêmes produits qu’ici et surtout à moindre coût !!!

    Faut pas rêver et dire n’importe quoi car aucune entreprise ne va faire bosser davantage ses employés sans demande réelle et constante et qu’avons nous à vendre que nous produisons à moindre coût si ce n’est rien ?

    La question pertinente est de savoir déjà le pourquoi des délocalisations des grosses sociétés….Ne serait il pas vrai d’affirmer que le coût de la maind’oeuvre est moins cher "ailleurs" ?

    Et quelles sont les causes qui rendent la maind’oeuvre plus cher ici en France ?…Le salaire des ouvriers ou les taxes ?

    Alors se couvrir les yeux en désignant une autre cause du déficit en France, c’est faire pareil que notre président du pouvoir d’achat qui lui a au moins trouvé le moyen de gagner plus en faisant moins pour le peuple français que pour ses amis.

    Pour ceux qui souhaitent travailler plus pour avoir plus dans le portefeuille, je leur dis que c’est illusoir puisque tout augmente…le carburant, l’électricité, la bouffe, les impôts, tout et bien plus vite que notre salaire et il n’y a que l’état qui sort gagnant au jeu des augmentations.

    Cessons tout simplement d’engraisser des parasites qui sont tout en haut de la pyramide et nous pourrons enfin voir l’avenir en rose.

    31 mars 2008 à 20 h 34 min
  • glacepica Répondre

    **En travaillant tous 39 heures au lieu de 35, on augmente de 11 % la taille du gâteau à se partager. On augmente notre pouvoir d’achat de 11 %. Il faut donc lever tous les freins qui empêchent les entrepreneurs d’embaucher et les salariés de travailler. **

    Raisonnement digne de l’école maternelle   

    Quid des impôts progressifs et taxes diverses ?????????????????

    31 mars 2008 à 1 h 43 min
  • Jaures Répondre

    Une fois n’est pas coutume, je serai plutôt d’accord avec Trémeau à quelques nuances près. Tout d’abord, l’investissement est surtout affaire d’éducation et de recherche. Or la politique actuellement suivie privilégie plus les héritiers et les rentiers. L’investissement dans l’éducation et la recherche est sacrifié: des postes sont supprimés dans les lycées, les moyens nécessaires pour les universités ne sont pas mis en oeuvre. Les allègements de charges sont accordés sans contreparties: les entreprises n’ont pas intérèt à investir et préfèrent peser sur les salaires ou délocaliser pour rémunérer leurs actionnaires.
    Enfin, si l’exil de certains français est une réalité préoccupante (je pense surtout aux chercheurs), le flux contraire n’est pas négligeable: 100 000 américains vivent en France, plus de 200 000 britanniques, 70 000 Canadiens (cher Jacques),…
    Réorienter la dépense publique vers l’éducation, la formation et la recherche, conditionner les allègements de charges à de réels investissements: voilà une politique qui dynamiserait l’économie et donnerait aux jeunes un "désir d’avenir".

    29 mars 2008 à 14 h 40 min
  • Daniel Répondre

    Article globalement fondé sur le bon sens., denrée qui n’est plus à la portée de ceux qui ont été déformés par l’Eradication Nationale. Mais la logique "investir plus pour gagner plus" ne vaudrait  que si le cadre dans lequel évolue l’entreprise et ses salariés fonctionnait déjà sur des régles de bon sens. 

    Les entreprises peuvent pédaler toujours plus vite et demander plus à leurs salariés, le plus généré va en priorité dans les caisses de l’Etat pour être dilapidé par des individus qui n’en connaissent pas le prix. Lequel engraisse le mamouth qui peut ainsi déformer à nouveau ceux qui auront "cru"  que l’école est un endroit où l’on apprend. Mais qui finissent par trouver naturel qu’ayant passé beaucoup d’années à étudier, ils soient privilégiés à la sortie pour diriger , compte tenu de leurs diplômes,  avec un statut pour irresponsable, malgré leurs diplômes, c’est à dire un statut pour assisté.  

    Dire qu’un entrepreneur Français dirige son entreprise est  une erreur ou une triste contre vérité. Quand un entrepreneur a subi par exemple la concurrence déloyale organisé par l’Etat  par le jeu des subventions aux copains, on sait fort bien que le pot de terre aura toutes les peines du monde à survivre. Les efforts qu’il fera pour ne pas être noyé iront une fois de plus vers l’Etat et  ses prédateurs. 

    L’Etat a réussi en une seule génération à "socialiser" le monde paysan par les subventions  et une bonne préparation scolaire à cette dépendance au fric facile. Ceux qui ont vendu leur âme lève désormais le doigt pour demander ce qu’ils sont autorisés à faire sur leur exploitation. Mêmes objectifs pour les autres secteurs économiques qui sont noyautés de diverses manières.      Et  l’Etat fait ce qu’il faut pour enlever tout désir de liberté, c’est à dire de dignité,  à un citoyen indépendant  en la lui faisant payer  au prix fort.  

    Une entreprise qui disparait, c’est un outil de travail d’intérêt général qui part en fumée. en plus des dégats humains particulièrement graves.  Mais pour notre Etat voyou, un entrepreneur  libre qui disparait  laissera la place à un autre plus docile et moins pointilleux sur le sens de l’honneur.  

    Pour avancer sur un chemin, il faut que ce chemin soit carrossable et  non encombré. C’est précisément le rôle de la politique… qui fait très exactement l’inverse! … et  en revendique  la nécessité.

    Système criminel où une majorité d’immatures a comme rêve d’y entrer, c’est à dire de participer au crime. En continuant de rêver qu’ils sont bons et intelligents… selon la mesure reçue de l’Education Nationale.   

     

    28 mars 2008 à 22 h 25 min
  • fangio Répondre

    article 1: toute activité sera sevèrement sanctionnée
    article 2 on ne dit pas urssaf  mais urss -af

    27 mars 2008 à 12 h 30 min
  • UN chouka Répondre

    Ne peut ‘on suggérer de s’organiser pour se débrouiller par nous meme en vu de produir ce que nous ne pourrons plus nous payer ,et penser en invèstissement ?

    En tout cas, cela risque de devenir le calcul de bien des gens du bas , il me smeble ?

    27 mars 2008 à 8 h 33 min
  • ozone Répondre

    Le gateau il faut l’avoir vendu,faire du stock coute cher,travailler plus c’est produire le gateau plus vite ou avec moins de monde

    26 mars 2008 à 21 h 23 min
  • jacques Répondre

    Quel bon article!

    Je ne comprends toujours pas pourquoi la France fait tout en son possilbe pour refuser à des entrepreneurs québécois riches et instruits d’aller s’établir en France (où l’impôt sur la fortune dirigé spécifiquement contre eux où quiconque à accompli quoi que ce soit dans le passé) alors qu’elle laisse la porte grande ouverte aux guerilleros colombiens du Farc et des myriades d’autres qui ne connaissent même pas la langue, encore moins les coutumes.

    Il est grand temps de remplacer Sarkozy bar Tremeau.
    Cela permettrait pour parodier Bernard, à "s’agiter moins pour accomplir plus"

    26 mars 2008 à 15 h 31 min
  • UN chouka Répondre

    De mon point de vue, ,il y a ici, une volonté de brimer la concurance, de limiter l’expention de petits entrepreneurs décidés a réusir quelque chose pour sortir de "leurs statuts "(je ne dirais pas avides d’arriver a réaliser leurs projets ,ça fait laid )?

    Il me sembles donc que c’est une volonté des notables de mettre des batons dans les roues de la populasse active?

    Bien sur ce n’est que l’ avis d’ un ignard du bas !

    26 mars 2008 à 13 h 35 min

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