La France, reine de la dépense publique, dans quel état se trouve l’état providence ?

La France, reine de la dépense publique, dans quel état se trouve l’état providence ?

Notre système de protection est certes nécessaire, mais il est ruineux, inefficace et contre-productif. Un aspirateur à "pauvres", une trappe à inactivité….La France redistribue 580 milliards d’euros pour le « social », soit 30 % du PIB !
 
Un titre de champion du monde qui a pour frère jumeau notre classement de n° 1 européen pour les prélèvements obligatoires ! Nos taxes et impôts…
 
Aides multiples, solidarités, cotisations, impôts, dettes sont les enfants légitimes d’une nation dont les dépenses publiques atteignent 54 à 56 % du PIB, 6 points de plus que la moyenne de l’union européenne, soit 120 milliards d’euros. Ce surcoût  est actuellement uniquement financé par l’emprunt et par de nouvelles dettes. 78 % du PIB en 2009, 83 % en 2010 ! C’est  une vérité comptable et financière insupportable, tout comme les intérêts de notre  dette.  Demain, pour rembourser, il faudra travailler plus pour ne pas gagner moins.
 
De fait, le nombre de pauvres en France est relatif :  certains vivent avec deux euros par jour…une fois payés les téléphone portables, les cigarettes et les forfaits télé, Internet, la bagnole,  etc.
 
Il faut savoir que 5 millions des ménages les plus pauvres perçoivent en moyenne plus de 1 000 euros par mois en prestations de toutes sortes. L’effort de solidarité envers les plus démunis est en France globalement très important.  L’assistanat est devenu une trappe à pauvreté, un frein au retour à l’emploi.  Malgré  les aides distribuées, les bénéficiaires ont un sentiment d’injustice, ils ne sont pas satisfaits.
 
Souvent démagogiques et perclus  de bonnes intentions, notre système d’aide se révèle, pour ses bénéficiaires, démotivant, déresponsabilisant et pour finir, malgré son coût élevé, il génère des  résultats décevants. L’état providence attire, comme une riche veuve, les escrocs, les tire-au-flanc. L’état Nounou génère de perpétuels étudiants, des patients morbides, une inactivité payée aussi bien que le Smic !
 
De plus, des millions de personnes ont été employées pour réguler, contrôler, protéger et administrer la richesse publique, ce qui l’étouffe. Nos fonctionnaires ne comprennent pas l’entreprise, ce qui explique notre croissance faible, produite par de moins en moins de personnes accablées de charges et d’impôts, de persécutions morales.
 
Les « avantages » à venir tendent à devenir de plus en plus fictifs.

Partager cette publication

Comments (12)

  • gele Répondre

    Textes et infos de Gelé : dans les médias, dans les forums,  avec courage, franchise et sans anonymat pour la presse et  par  E-mail.  Dans les forums  avec  un seul pseudo. Je fais connaître les nobles idées "libérales".

     

    Sans grand espoir de les voir appliquées en France, notre société étant  accro à la manne étatique. De fait, les réformes sont homéopathiques, car les structures, les statuts, les corporatismes règnent en maître. Les gauches extrémistes perdurent inexplicablement,  avec des capacités de nuisance qui nous rappellent celles tout aussi toxiques du FN.  Les virulents détracteurs du libéralisme, du capitalisme, de l’économie de marché sont donc majoritaires dans notre belle et déclinante France.

     

    Dans mes textes, souvent inspirés par l’actualité, des textes reçus, des éditos dont j’utilise un chapitre ou une citation pour développer mes pensées…….   Je publie parfois des informations, des études, des chiffres d’instituts sérieux ( INSEE,  Cour des Comptes, IFRAP), IREF, OCDE, des sources, universitaires, des publications, bref du grain à moudre pour des débats contradictoires. Face à ces vérités qui dérangent, les arguments sérieux sont très rares,  très souvent des insultes et des  insinuations pour le rédacteur.

     

    Pour toute réponse à des chiffres pourtant des plus sérieux ! Mise en doute de ces institutions ! Forcement des d’officines louches, liées aux grand capital exploiteur cosmopolite ….etc.  voir  néo-fascistes.  Si leurs publications disent des mensonges, pourquoi pas de procès en diffamation ? 

    Je dispose donc de plus de 500 textes dans mes documents sur mes centres d’intérêt : économie, fiscalité, gestion, liberté……environ 300 de moi, 50 reçus de sympathisants, 150 d’études et de publications. Pour moi, faire connaître toutes ces opinions   est ma seule  motivation.  Chaque année, c’est dans nos médias, les mêmes "MARRONNIERS". Je ressort donc, après mise à jour, mes textes, les mêmes et désolantes vérités sur : les déficits, la dette, le trou de la Sécu, l’ISF, les retraites,  les "scandaleux" profits du CAC 40, les 60 ans de la crise du logement. Nos records du monde : impôts, prélèvements, les résultats calamiteux de la dépense publique.

     

    C’est comme les restaurants du cœur ! Toujours plus d’assistanat ! Car rien ne change ! Rustines et compassions, en lieu et place  des réformes de structures que nos élus ne réalisent pas. Courage  et détermination…Pour 2012 ?

     

    Je ne ménage ni la droite ni la gauche, responsables depuis 30 ans de notre situation actuelle.

     

    Mes textes :copie, reproduction vivement conseillée avec ou sans mention d’origine.

    Utilisation libre ! Publication Multiples!

     

     

    2 novembre 2010 à 22 h 45 min
  • Rapha-El Répondre

    c’est au patronat, a certains politique qu’il faut demandé des comptes… Si aujourd’huis les compte publique sont dans le rouge c’est aussi parce que nous empruntons à des gens qui se font de la maille sur le dos de l’état…

    Et puis l’immigration a bien profité au patronat pompidou le disait lui même… Voilou Voilou

    27 août 2010 à 15 h 34 min
  • gele Répondre

    Nos 3 loosers   

     

    Depuis le fameux discours de Grenoble, nul ne peut plus ignorer les attaques outrancières portées, au sein même de la majorité présidentielle, par une réunion d’anciens Premiers ministres clairement en rupture de ban : il s’agit de MM Alain JUPPE, Jean-Pierre RAFFARIN et Dominique de VILLEPIN.

     

             Avec tout l’irrespect que je dois à ces personnalités politiques, je m’autorise à penser que nous nous trouvons en présence d’un trio de loosers incapables de concevoir l’ampleur des mutations auxquelles la France est aujourd’hui confrontée. Et surtout incapables de comprendre qu’ils ont fait leur temps.  sully

     

      Les droites en Europe pratiquent une alternative sans risque et sans résultat! : aides sociales importantes, défense du système de santé publique, baisses des impôts, lutte contre le changement climatique, maîtrise de l’immigration,  chasse (modérée) à la bureaucratie, a la fraude  etc. le tout accompagné par un soutien massif à l’économie et aux victimes de la crise économique,  cela au prix de déficits gigantesques et   d’un endettement  colossal.

      

    En vérité, en 2011/2012, il faudra de toute façon baisser les dépenses publiques ! De tous les pays européens, la France elle  est la plus mal en point : n° 1 pour les impôts et les prélèvements, le nombre de fonctionnaires, avec en plus  des déficits structurels et une dépense publique  record !

     

    Bien plus grave, nos entreprises à faible compétitivité périclitent, écrasées de charges et d’impôts et de réglementations lourdes, ce qui génère un déficit commercial inquiétant et des délocalisations.  Résultat : un chômage de masse récurant, un moral en berne dans une France en lent déclin depuis 25 ans.

     

     

     

    Les gens doivent encore apprendre à travailler, au lieu de vivre sur l’aide publique."


     

     

     

    26 août 2010 à 13 h 33 min
  • Le Cri du Contribuable Répondre

    Gérard Gelé a bien fait de mettre des guillemets autour de « social ». Car le « social », étymologiquement, c’est ce qui est relatif à la société. On se demande donc pourquoi, en France, il sert à qualifier ce qui est relatif à l’État.

    26 août 2010 à 10 h 50 min
  • brun Répondre

    Au titre des dépenses inutiles, ne devrait-on se pencher sur le fait inadmissible que trois fonctionnaires, en France, régissent le sort d’un seul paysan, pour le résultat minable enregistré?

    25 août 2010 à 9 h 05 min
  • ozone Répondre

    Le système va s’effondrer c’est sur,mais ce seront ceux qui ont cotisé les victimes,le pouvoir a prevu que se sera le secteur privé qui viendra en remplacement.

    Bien sur,la masse de "revenus modestes",en immense partie des immigrés legaux,illégaux,choisis ou non et qui auront contribué a foutre en l’air la secuité sociale et anexes ne le seront pas,car bien sur,les menaces sur la "paix civile" vont lourdement peser sur les decisions publiques.

    Autrement dit,on continuera a casquer,spoliés par les assureurs privés et par l’état n’ayant pour but que l’incendie ne prenne pas.

    24 août 2010 à 14 h 44 min
  • R. Ed. Répondre

    Pour répondre à Eurêka,

    Ce sont les politiciens et les financiers qui dirigent le pays, avec l’aide des innombrables fonctionnaires qui ne mordent naturellement pas la main qui les nourrit.

    Au fil du temps, ces politiciens en sont arrivés à totalement verrouiller le système, avec ici en plus l’aide des médias qui sont à leurs bottes (idem, on ne mort pas la main qui nourrit)

    Conséquences ? Il ne reste plus qu’un seul parti, comme dans une dictature, soft pour l’instant mais dictature quand-même, cet unique parti étant l’UMPS, les autres faisant de la figuration à part le FN avec ses 20 % de " Français-français, vu qu’à mon avis les autres Français ne doivent pas se bousculer au portillon (on ne serre pas la main de celui qui tient le bâton)

    Reste à voir ce que l’on pourra reprocher à Marine Le Pen, vu que les camps de concentration et les fours crématoires elle n’a sans doute, j’ose l’espérer rien à y voir. Il faudra donc trouver autre chose pour la diaboliser mais les clowns de service trouverons, n’en doutez pas.

    Pour les politicards en place, c’est touche pas à notre  gamelle sinon on mord.

    CQFD.

     

     

     

     

     

    24 août 2010 à 10 h 34 min
  • Bussière Répondre

    Le système devrait s’effondrer, c’est l’évidence même . Ce n’est qu’une question de temps mais les choses vont plus vite que par le passé . Car ce n’est pas au monde à s’adapter à la France mais à la France à s’adapter au reste du monde. Le problème est que les français ruinés seront très malheureux comme les Russes après l’effondrement du communisme. Livre ” les corps indécents ” aux Editions Edilivre Paris. La paupérisation touche tous les français. Conjuguée avec une immigration-invasion et leur très nombreuse progéniture assistée, le pays risque de ne jamais s’en remettre. Quel avenir pour nos enfants ?? On serait en droit d’ attendre un peu de bon sens et de morale chez nos responsables politiques mais il ne faut pas rêver. Tant qu’il y aura des professionnels de la politique, les décisions prises iront d’abord dans l’intérêt de leur carrière et non dans le seul intérêt du peuple. Réélection oblige.

    24 août 2010 à 8 h 18 min
  • Euréka Répondre

    Ce pays marche sur la tête. Il a tout misé sur la préférence étrangère, qui importe avec elle violence et barbarie venues d’un autre âge.  Quand la France n’était qu’un coupe-gorge, une fois les fortifications des villes dépassées…il est vrai qu’il n’était pas question dans ce temps là, de protection des malades et des nécessiteux… Je m’interroge sur ce qui a fait qu’un peuple tel que le nôtre accepte de trimer pour permettre à des parasites et des profitteurs de vivre dans la dignité, alors qu’il ne s’agissait au départ que d’assurer les vieux jours des ouvriers trop usés pour continuer à travailler. A l’origine, c’était le seul but de la sécurité sociale. Par la suite, la solidarité s’est généralisée à tous, actifs ou non , jeunes et vieux. Pire encore : on sert le minimum vieillesse et des allocations adultes handicapés à des étrangers qui n’ont même pas la nationalité française et qui ont travaillé quelques années en France. (sans jamais avoir côtisé pour ces prestations puisqu’elles sont non-contributives.)

    L’effort demandé aux Français pour financer toute cette solidarité est trop lourd, et nos entreprises croùlent sous les charges patronnales.  C’est un cercle vicieux, lourdeur, frustrations, manque de compétitivité, délocalisations pour retrouver compétitivité, mais chômage, précarité, assistanat, pessimisme ambiant, etc

    24 août 2010 à 0 h 53 min
  • lavandin Répondre

    La seule issue du système social de "redistribution" actuel est la faillite. Ce n’est qu’une question de temps : 10 à 15  ans encore,  peut etre un peu plus. Voila près de 30 ans que nous finançons le "social" par l’emprunt .La gestion socialiste est toujours limitée dans le temps , car elle ne tient pas compte des réalités économiques ( le système soviétique a quand meme tenu un peu plus de 70 ans avec une redistribution plus pingre que le système français)

    23 août 2010 à 21 h 12 min
  • Pierre Répondre

    Il faut ajouter que l’immigration extra-europeenne plombe nos comptes publics et se revelent une pompe aspirante pour toujours plus d’immigres extra-europeens.  Nous faisons cavalier seule car beaucoup de nos voisins europeens reforment leurs finances publiques et dimminuent drastiquement l’immigration europeenne (par example la Grande Bretagne). Il est vrai que l’UMP n’est autre qu’ une nouvelle gauche caviar au meme titre que le PS_PC_Verts.  Help!

    23 août 2010 à 14 h 53 min
  • ozone Répondre

    IMMIGRATION

    Faut arreté les histoires a dormir debout

    23 août 2010 à 14 h 15 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *