L’autorité de l’État doit s’exercer en Corse!

L’autorité de l’État doit s’exercer en Corse!

Le 28 septembre dernier, un commando hélitreuillé du GIGN reprenait possession d’un bateau de la SNCM tenu par une vingtaine de syndicalistes du Syndicat des Travailleurs Corses (STC). Trois jours plus tard, les quatre derniers membres sortaient triomphalement du palais de justice de Marseille sous les vivats de quelques sympathisants. Cet épisode est encore l’illustration du non-respect de l’État de droit dont bénéficie l’Île de Beauté et les quelques partisans de son indépendance.
Un petit rappel semble nécessaire à nos politiques pour situer le problème. La Corse n’a jamais été indépendante légalement : province romaine (les Romains ne voulaient d’ailleurs pas des insulaires pour travailler dans les mines) pour des raisons géostratégiques, elle passe sous contrôle byzantin, puis musulman, normand et génois, pour devenir en 1768 française, et finalement départementalisée en 1790.
Tout comme le Rhône, elle fait partie de la Métropole, et non de l’Outre-Mer comme certains de nos éminents médias le déclarent parfois. Selon la Constitution de 1958, la République est « une et indivisible »; de ce fait tous les habitants de l’île sont français et sont assujettis aux lois communes. Or, le braquage et le détournement du navire de la SNCM n’ont pas été autre chose que des actes de piraterie purs et simples.
Cependant, le procureur de la République de Marseille a osé déclarer que cet acte s’était fait sans violence. Ainsi la remise en liberté sous contrôle judiciaire des quatre voyous pouvait être justifiée ! De qui se moque-t-on, si ce n’est de la Justice, de l’Égalité, et de l’État, donc de nous tous, citoyens du même pays!
Cela pose aussi le problème du positionnement des différents gouvernements face à ces minorités agissantes que sont le STC, les mouvements politiques tels que « Corsica nazione » et son égérie Jean-Guy Talamoni, et autres groupuscules crapuleux en marge, voire au-delà, de la légalité. Ne revenons pas sur les multiples tentatives de changement de statut de l’île, toutes inutiles, sauf pour les indépendantistes qui y ont vu un pas vers l’indépendance, comme le dernier référendum défendu par Nicolas Sarkozy et… Jean-Guy Talamoni.

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J’ose espérer que cette départementalisation accrue, voulue par le gouvernement de l’époque (et rejetée par les insulaires), était une tactique pour mettre les Corses devant leurs responsabilités. La Corse est française et n’a pas besoin de statut particulier, mais seulement de paix sociale. Tout comme l’Auvergne qui souffre de son enclavement géographique, la Corse doit sans doute bénéficier de l’aide de l’État et de l’Union européenne, mais c’est tout : que les gouvernements ignorent purement et simplement cette pseudo-indentité corse défendue par cette clique locale minoritaire!
Nous interdisons dans notre république tout groupe politique faisant l’apologie de crimes, d’exclusions, de discriminations : que veut le STC, si ce n’est la soi-disant corsication des emplois insulaires. Faudra-t-il remonter à l’âge de pierre pour connaître les aïeux des potentiels candidats aux emplois offerts par l’île? Syndicat créé en 1984 afin de contrôler l’économie locale, le STC n’est autre que le palliatif syndical de « Corsica nazione», groupe régional légal, porte-parole des groupes armés qui infestent la Corse, et approuvant implicitement les crimes les plus odieux: meurtre du préfet Erignac, racket des clubs de Bastia et d’Ajaccio, plasticage des gendarmeries, et autres actes indignes comme le vol des armes des CRS lors du drame de Furiani en 1992 ! Attitude plutôt de charognards que de solidarité envers des compatriotes !
Cette association de malfaiteurs critique ouvertement le gouvernement de Paris. Mais que fait-elle lors des incendies estivaux quand ce sont les moyens de cet État « colonial » qui font tout pour les éteindre? Un système colonial se définit par un rapport aux bénéfices favorables à ladite métropole. Or les nombreux avantages fiscaux conduisent au contraire ! Plus récemment, c’est ce même STC, aux côtés de son complice du moment, la CGT, qui demandait à Bercy d’investir dans la SNCM : tel un vampire, on a besoin de la proie, seulement pour s’en nourrir !
Tout comme ces individus qui n’ont qu’un seul but. Pour les plus « nobles », mais néanmoins rebelles, donc hors-la-loi, l’indépendance ; pour les autres, l’abandon de toute autorité de l’État pour faire main base sur l’Île de Beauté… L’État doit, lui, en avoir un seul : les combattre ! À force de louvoyer, de tergiverser, d’être ami avec tout le monde, on finit par n’être l’ami de personne… et risquer de perdre sur tous les tableaux…

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Comments (16)

  • Florent Répondre

    Ah quelques heures sup’ pour l’ami Thierry La Pologne a été indépendante pendant plus de trois siècles soit entre le XVIe ( libération des envahisseurs turcs ) et la fin du XVIIIe ( invasion russe ). Quand aux Kurdes, c’est une autre histoire mais jamais je n’appellerai résistant des gens qui massacrent quotidiennement femmes et enfants au nom d’une arbitraire cause. Un peu plus d’accord avec la deuxième réflexion, mais quelle en est la conclusion? Vous ne m’avez toujours pas répondu, me mépriseriez-vous?

    14 octobre 2005 à 21 h 09 min
  • sas Répondre

    Hypnos,tu les aimes les corses…??? ok , les vereux et activistes et maçons sont une poignée….alors ocupez vous en… et les corses seront perçu d’un nouveau regard…. sas

    14 octobre 2005 à 20 h 25 min
  • Thierry Répondre

    Hypnos parle d’or! Sadot est à la Corse ce que Millière est aux Etats Unis: un touriste nourri de préjugés et de certitudes infondées. L’existence d’un peuple ou d’une nation n’est pas liée à son indépendance, fruit juridique des aléas historiques. La Pologne qui ne fut, jusqu’à nos jours pratiquement jamais véritablement indépendante en est un exemple. Et que dire des Kurdes. Quant aux réactions de l’Etat, elles dépendent du rapport de force éxercé par l’opinion ou les lobbys. On risque bien moins en détournant un bateau ou en déversant 1 tonne de purin devant une préfecture qu’en téléchargeant un CD sur internet.

    13 octobre 2005 à 14 h 57 min
  • HyPNOS Répondre

    Cet article n’échappe pas à la règle des commentaires écrits à la va-vite, sans documentation sérieuse et sans analyse terrain. Je me demande d’ailleurs si M. sadot a déjà mis les pied sur l’île, autrement que l’été dans un camping. L’analyse du conflit SNCM méritait pourtant un vrai travail de journaliste. Tout d’abord, il aurait été intéressant de parler du rôle obscur de l’état dans l’achat des navires de la compagnie. La SNCM a-t-elle eu le choix ? Les navires achetés auprès des chantiers navals à prix fort, a permis à l’état de soutenir une industrie navale moribonde. la compagnie avait-elle besoin de ces bateaux ? Non. Trop luxueux, trop couteux, ils ont necessité un coût financier trop important pour être absorbé. Ensuite, il aurait été intéressant d’analyser le rôle du “social” dans l’affaire. La majorité des emplois étant détenus par des marseillais et controlés par la CGT, il aurait été juste de souligner que la compagnie a payé un lourd tribu aux grèves et aux revendications en tout genre. La Corsica ferrys transporte plus de passagers avec 2 fois moins de personnel. Pourquoi ? Il aurait été intéressant de l’analyser (chiffres et contrats de travails àl’appui) Si l’acte du STC est inexcusable, il relève en fait du desespoir de 800 familles corses menacées par la perte d’un emploi. Vouloir amalgamer la Corse et la dérive financière de la SNCM est donc absurde, car les principaux responsables sont l’état et la CGT. Par ailleurs, le nombre de cas de prises d’otages ou de menaces de destructions d’entreprises faites par des salariés grévistes n’est pas une première en France, et à chaque fois les grévistes ont été relachés sans aucune sanction. Le problème ne se situe donc pas qu’en Corse. La remarque d’un internaute soulignant la faiblesse de l’état est juste. Les dérives de quelques natures que ce soit n’existent que grace à la complicité passive de l’état. Il est triste de remarquer à quel point nos concitoyens sont manipulés par les médias. Le relant de racisme anti-corse, relayé par des journalistes indigents, montre à quel point notre pays est désinformé, voire manipulé. Bien sûr qu’il existe des liens entre nationalisme et mafia. Evidemment qu’il faut punir les criminels et la corruption. Mais pourquoi alors rien n’est-il fait ? Est-ce la faute de la grande majorité des gens vivant en Corse ? On peut se poser les mêmes questions au sujet des basques, des bretons, des banlieues alsaciennes et parisiennes, de la mafia nicoise, de la mafia russe, des réseaux islamistes, etc.; Demandera-t-on pour autant l’indépendance des banlieues ? Mettrons nous dans le même sac tous les bretons et tous les basques ? Certains commentaires sont donc peinants et je préfère penser qu’il s’agit de manque d’information, plutôt que de bétise. Enfin dernière rectification concernant l’article de M. Sadot. Son affirmation : “la Corse n’a jamais été indépendant légalement” est fausse. D’abord, en matière d’indépendance le mot “légal” n’a aucun sens. Les états-unis seraient donc illégaux sous prétexte que les l’amérique du nord était anglaise ? L’indépendance d’un pays existe quand ce pays est gouverné par son peuple. Ainsi, La Corse a chassé les génois en 1755 et a été indépendante de 1755 à 1768. Elle fit voter, sous pascal Paoli, une constitution républicaine (qui servit d’ailleurs d’exemple à la constitution républicaine francaise de 1789). Si la Corse revient dans le giron français, c’est en grande partie grace à Napoleon, lui même Corse. Il donne à la Corse un statut fiscal avantageux pour compenser les effets de l’isolement et le coût du ravitaillement. Il donne aussi à la france l’organisation administrative moderne : préfectures, code civil, banque de france, académies, etc.. Dommage donc que l’opinion française se fasse au coin d’une terrasse de café face au JT de PPDA.

    13 octobre 2005 à 0 h 23 min
  • Florent Répondre

    A Thierry, très intelligent sa tactique qui consiste à ne surtout pas sévir contre les mafieux pour ne pas leur faire de la pub ( comme s’ils en avaient besoin, ils se font de la pub depuis maintenant trente ans ) et les conforter ainsi dans leur sentiment d’impunité et de toute puissance ( au détriment des pauvres gens qu’ils rackettent en Corse et en France ). A Bourbaki: qu’insinuez-vous exactement? Si nos élus sont pour beaucoup pourris, c’est entre autre parce qu’ils traitent avec des criminels comme Talamoni. Et ce n’est pas parce que la justice a reconnu Aussaresse ( car il s’agit bien de lui )tortionnaire ( ce qui n’est en fait pas le cas, elle l’a reconnu coupable d’pologie de crime de guerre ) que c’est vrai. Souhaiteriez-vous par hasard absoudre les poseurs de bombes et assassins du FLNC? Avec des mentalités pareilles, on comprend un peu mieux la situation actuelle.

    11 octobre 2005 à 20 h 49 min
  • Chris Répondre

    Il n’y a pas 36 façons de se débarasser du problème de la Corse. Il y en a deux en réalité. Soit on la coule (au sens physique du terme), soit on les largue. J’avoue que la première me tente bien…

    11 octobre 2005 à 17 h 10 min
  • sas Répondre

    A bourmachin , yu distille des niaiserie alors reste poli….pour toi c’est MONSIEUR le borgne…. En algérie c’était la guerre et lui était militaire…il ne transportait pas de sac de riz… et si lui était tortionaire…qu’est-ce que TSHAHAL???? SAS qui juge avec sa tête et non ses tripes…

    11 octobre 2005 à 16 h 43 min
  • Bourbaki Répondre

    Donner des leçons aux Corses, c’est bien, mais vous interroger sur les fripouilles que vous élisez, ou souhaiteriez placer au plus haut sommet de l’Etat, comme le borgne reconnu tortionnaire par la Justice, ce serait bien mieux.

    10 octobre 2005 à 21 h 03 min
  • sas Répondre

    A mac cormac, le mot spécificité est une gageure inventée en “loge” par les enculés qui nous divisent et qui se sibstituent sur le terain à, lETAT institutionnel, j’ai cité les maçons…les corses n’ont pas LEURS LANGUES,LEURS COUTUMES….ils font parti ou pas du peuple français continentale dans sa diversité et non dans sa particularité…tout comme les guadeloupéens,les matiniquais ,les caledoniens et les bretons….cultiver les spécificités comme l’EUROPE le fait aussi , c’est dire qu’ils ne feront pas comme les autres que chacun aura ses mots(donc source d’oncompréhension voulue)….moi je dit un peuple…un pays…un chef…et si il y a des Corses biens,qu’ils karchérisent…avec les mêmes moyens que les truants qui nous cassent les couilles depuis des lustres avec nos “ronds”….sinon: largage point. sas nb) et si on veut lutter contre la délinquance corse, évitrer les nomination de préfet ,commissaire, attaché de préfectire Corse….et il y aura peut être plus de résultat ….autre spécificité: ils veulent que les fonctionnaires des régions soient natifs des régions…et ben tien

    10 octobre 2005 à 17 h 40 min
  • Thierry Répondre

    Les commentaires de C.G ou Adolphos montre à quel niveau se situent désormais les interventions sur ce forum. Si les libéraux sont devenus ainsi nous ne sommes pas prèts de remonter la pente! Sur l’affaire du bateau, reconnaissons qu’en envoyant le G.I.G.N le gouvernement a rendu service aux nationalistes dont l’audience était en perte de vitesse. L’autorité de l’Etat, certes, mais à bon escient. Pas pour les médias.

    10 octobre 2005 à 13 h 53 min
  • Adolphos Répondre

    ” Dire que l’Etat n’a plus d’autorité est un peu exagéré. Il suffit de prendre la route et de faire attention.” Oui, l’Etat écrase les individus pour des broutille, mais il ne bouge pas contre les mafia et les corporations, tout au contraire..

    9 octobre 2005 à 23 h 57 min
  • Mac Cormac Répondre

    Tempérez vos propos sur la corse car tous ne sont pas indépendantistes.Ils y a toujours des extrémistes mais je pense que la majorité des corses n’est pas comme ça et sait que l’indépendance serait difficile.Le droit à leur langue et à leur spécificité est un combat légitime. En ce qui concerne l’autorité de l’Etat elle n’existe plus .En effet un Etat ayant de l’autorité n’est rien d’autre que des dirigeants ayant de l’autorité et pour le cas de la France on est mal.Nos dirigeants sont plus occupés par leur réélection;ils s’en foutent pas mal de nous:les decisions vitales pour la France sont mises de côté( les réformes) car trops impopulaires et nuisibles électoralement parlant.C’est peut être dure à dire mais il se peut que ce soit la démocratie qui nous tue:des dirigeants égocentriques qui utilisent la légitimité de l’élection pour avoir le même comportement qu’un vulgaire dictateur d’amérique du sud(cooptation, piston..)et qui ne s’occupent pas de l’etat de leur peuple.

    9 octobre 2005 à 18 h 58 min
  • sas Répondre

    Bravo gg pour ton analyse sans modération….sas voudrait apporté à la réflexion de tous une petite remarque…. MR talamoni représentant d’un parti politique d’actif revendiquant des meurtres dont celui d’un préfet de notre ripoublique….ce TALAMONI,avocat, franc-maçon et soupconné de complicite de raket…coment ce type peut toujours être avocat …alors qu’il rompte au moins avec 2 ou 3 obligations de son serment (réformé en 1971 pour les moeurs spéciaux de ces gens là) républicain nécessaire voir indispensable pour travailler avec le monde judiciaire…. ….ca c’est simple et c’est du droit sas

    9 octobre 2005 à 17 h 47 min
  • R. Ed. Répondre

    Dire que l’Etat n’a plus d’autorité est un peu exagéré. Il suffit de prendre la route et de faire attention. Vous apercevrez alors de petits appareils conviviaux, on dirait des barbecues, mais en fait ce sont des R.A.D.A.R.(Radio Detecting And Ranging). L’autorité qui se cache derrière ces “ustensiles” est très active et fort compétente pour traquer les assasins en puissance que sont les automobilistes lamdas. Taïaut, taïaut, pas de quartier et pas de pitié ! Force doit rester à la loi !!! Dixit Sarkolas Nikosy, le grand chef de toutes les polices de l’époque, celui-ci mieux connu pour ses qualités de sprinteur, le champion du Val Fourré. Nous avions Charlie les grandes cannes, maintenant on a Sarko les baskets (c’est plus mieux pour courir)

    9 octobre 2005 à 10 h 18 min
  • Adolphos Répondre

    N’empéche que vivement que les Corses soient indépendants ! Ca nous fera faire des économies; Quant à eux, ils pourront toujours postuler pour entrer dans l’Europe et toucher des subventions, c’est leurs problémes (car contrairement à ce que disent les fous fous, la corse ne fait pas partie de l’Europe, Cf les signature du TCE). Mais nous, ca sera sans un sous ! Plus de retraites, de pension, de remboursements, de subventions, plus rien à payer ! Bien sur, ils ne pouront pas avoir la double nationnalité, il ne faut tout de même pas nous prendre pour plus idiots que nous ne sommes. Ils payeront comme des grands leurs fonctionnaires et ne pourront bien sur venir travailler en France qu’avec une carte de séjour et un permit de travaille. Délivrés s’il reste des place libre aprés les Maliens et les Algériens. Quelle vision de rêve !!! Sans parler de toutes les infrastructures qu’ils devront nous rembourser ! Sinon evidément, nous détruiront les écoles les ports, les routes, et les hopitaux avant de partir. Alors ils pourront s’adonner à leur folklore en toute indépendance, quelle merveille pour le reste des français ! Et oui, la Corse marche vers l’indépendance. Et bientôt le niveau de vie des autres français augmentera mécaniquement ! Ainsi, tous le monde sera comptant. Alors, qu’est-ce qu’on attend pour faire un référundum nationnal (évidement) sur l’indépendance de la Corse?

    9 octobre 2005 à 3 h 44 min
  • G.G. d'aix Répondre

    Trop tard… Mais vous rigolez, mon cher Philippe Sadot.Vous parlez de l’autorité de l’Etat: mais de quelle autorité s’agit il ??? Depuis De Gaulle, à la limite Pompidou, il n’y a plus d’autorité de l’Etat. Nous sommes dirigés par des voyous, des fonctionnaires qui se foutent pas mal du devenir du petit populo, dont je suis,uniquement préoccupés par leurs ambitions politiques, qui n’ont jamais mis les pieds dans un supermarché, coupés qu’ils sont de la réalité quotidienne dont ils n’ont d’ailleurs que faire… Qu’à la noel 200 voitures soient incendiées à Strasburg, que des dégénérés marient des pédés ouvertement, que des négres hurleurs crachent à la gueule de nos gouvernants quand leurs squats brulent, que des immigrés pillent nos allocatrions familiales en déclarant 140 enfants pour la mème mère, que des crapules staliniennes,(comme dit Cohn Bendit)s’emparent d’un bateau et soient relachés le lendemain, que la CGT utilisant des procédés bolcheviques tue définitivement le port de Marseille qui ne s’en remettra pas d’ici 20 ans,que notre tranquillité soit menacée dès que l’on sort après 20 heures, que l’on soit dans l’incapacité de faire fermer leur gueule à tous ces donneurs de leçons de la télévision ,du genre Elise Lucet,Okrent, Poivre,July et les autres ,tous nécessiteux comme chacun le sait,les gens du syndicat de la magistrature,ou les patrons de la CGT,de FO, de la CFDT, face auxquels nos hommes politiques sont des enfants pris en faute toujours en accusation et contraints de battre en retraite, ou est elle l’autorité de l’Etat,je vous le demande ???Il est trop tard, et d’ailleurs personne n’oserait, pour faire fusiller quelques tètes d’affiche pour l’exemple sans faire vociférer les eunuques du MRAP et les nouilles des droits de l’homme et leurs bons sentiments à usage externe.Céline a écrit:”On se croit enculé d’un petit centimètre,on l’est déjà de plusieurs mètres” Nous, c’est de kilomètres . Quant à la Corse, aux corses, ne me faites pas rigoler avec ce mythe de la continuité de l’Etat.Ces gens là sont, tous, des crapules ontologiques héréditaires, des tricheurs, des maquereaux qui coutent une fortune à la France sans aucune contrepartie, qui bénéficient d’avantages stupéfiants par rapport aux continentaux.Il faut larguer la Corse, et ce n’est pas un chapitre de la Constitution,qui n’est jamais qu’un texte plat, qui doit nous en empécher. L’autorité de l’Etat, mon cher Philippe Sadot, c’est un mythe, c’est de la réverie, c’est du vent:ouvrez donc les yeux…

    9 octobre 2005 à 1 h 16 min

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