Le socialisme contre notre niveau de vie

Le socialisme contre notre niveau de vie

Le socialisme, c’est cette association de copains et de coquins qui accaparent depuis trop longtemps les rouages de notre société à leur profit exclusif.

On ne compte plus les procès et les scandales qui, du nord au sud de l’Europe, éclaboussent cette clique de maffieux. Ils sont une nouvelle « nomenklatura » qui défend ses privilèges, acquis au détriment du peuple qu’ils trahissent en permanence.

Mais, lentement et sûrement, les yeux s’ouvrent et s’ensuivent des manifestations nombreuses et massives de « bonnets rouges », de petits commerçants et artisans étranglés par les charges, et de citoyens anonymes qui ploient sous les impôts toujours plus nombreux.

Même si la droite n’est pas ex­empte de critiques, c’est quand même la « gôche », ce salmigondis de « bien-pensants », d’écolos, de chrétiens « humanistes » et de marxistes attardés, qui nous a imposé ses lois liberticides ! Ils sont au gouvernement, aux commandes de l’État-providence, dirigent la Justi­ce, l’Enseignement et dictent leurs quatre volontés aux mé­dias.

Depuis des lustres, cette gauche pervertie nous inonde de sa propagande et nous impose, au nom de la société multiculturelle, une immigration de colonisation qui nous coûte des milliards d’euros, en période de chômage de masse.

Ces « socialauds » écrasent les travailleurs pour rembourser les banques qui souscrivent aux emprunts d’État, afin de multiplier les subventions aux immigrés – version Léonarda – qui n’ont jamais payé la moindre cotisation sociale. Cette clique de carriéristes a multiplié sa clientèle pour laquelle elle a créé des millions de postes de fonctionnaires, parasites inutiles qui s’engraissent sur le dos des travailleurs asservis.

Cette politique de l’État-providence va droit dans le mur, sans mesures structurelles à long terme, telles que le recul de l’âge de la retraite, la diminution du nombre des élus, la hausse de la productivité et de l’emploi, la suppression des privilèges, le retour à la semaine de 40 heures sans augmentation des salaires et la nécessaire convergence des régimes de retraites publics et privés pour instaurer entre eux une équité. L’avenir va nous imposer la cruelle réalité des chiffres et nous serons tous obligés de réduire notre niveau de vie, parce que ces « pourriticards » ont refusé de tenir un langage de vérité.

Certains économistes constatent que la concertation sociale est dans l’impasse et que l’État est aux abonnés absents. Pourtant, le modèle allemand montre bien que ce sont les partenaires sociaux qui sont les moteurs des avancées sociales. Cela devrait quand même interpeller les nôtres…

À l’heure de la rigueur budgétaire, des hausses d’impôts à répétition, les politiciens ne peuvent plus fermer les yeux. Ils doivent activement réprimer les fraudes fiscales et sociales qui, année après année, privent les caisses de l’État de dizaines de milliards de recettes.

Pieter Kerstens

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Comments (12)

  • quinctius cincinnatus Répondre

    ” la réduction du nombre d’élus *** est un gadget ” dit Jocrisse

    ” être élu est souvent un hochet ” comme le sont … les médailles dit le Vieux Romain paraphrasant, sans vergogne et à son habitude, Le Corse .

    *** attention, s.v.p. , ne pas lire : ” être au nombre des élus ” cela n’ a rien à voir

    19 septembre 2014 à 12 h 22 min
  • Jaures Répondre

    “Les bonnets rouges” n’ont fait que ce que tout le monde fait en temps de crise: manifester pour ne pas participer à l’effort demandé pour les investissements publics.
    L’écotaxe devait servir à financer les infrastructures de transport. “Les bonnets rouges” demandent-ils que les routes de Bretagne et voies ferrées soient laissées à l’abandon. Non. Ils veulent simplement que les autres les financent.

    Il en est ainsi partout. Huissiers et notaires manifestent pour que leur monopole demeure. Une notaire clame qu’elle “n’y arrive plus”. Le patronat demande des économies budgétaires afin que ces fonds lui soient restitués. Mais que l’Etat freine les commandes militaires et les mêmes crient au scandale.
    On demande des économies aux communes mais si celles-ci arrêtent d’investir, des milliers d’entreprises vont perdre des contrats.

    Kerstens demande des efforts aux salariés: âge de la retraite, temps de travail, salaires,… Mais quel en serait le retour ? A quoi s’engage le patronat ?
    On voit ce qu’il fait lorsque les marges sont là: 88% des bénéfices des autoroutes partent en dividendes.
    Une négociation c’est un pas effectué par chaque partenaire. Kerstens doit être aussi précis dans les exigences envers les salariés que dans les contreparties qu’il attend des actionnaires.

    19 septembre 2014 à 10 h 07 min
    • LE KET Répondre

      Si j’ai bien lu dans l’article, non seulement Kerstens parle des salariés du secteur privé et aussi public, mais il propose aussi de réduire le nombre d’élus à TOUS les niveaux.
      En outre, il propose la convergence des régimes de retraites entre privé et public afin de réaliser une nécessaire équité “solidaire” . Il y a de trop évidentes anomalies dans le régime de retraite des fonctionnaires et par ailleurs dans le système de rémunération de diverses branches de la fonction publique où certains avantages relèvent plus des “forçats de la mine” que des employés de bureaux utilisant Internet et les 4G ! ! !

      19 septembre 2014 à 11 h 30 min
      • Jaures Répondre

        La réduction du nombre d’élus est un gadget. L’immense majorité de ceux-ci est constituée de bénévoles ou touchent des indemnités dérisoires.
        On peut réduire le nombre de députés ou sénateurs mais leur masse salariale est inférieure à 13 millions d’euros.
        Ce n’est pas avec ça que vous réduirez le déficit de la sécu.

        Enfin, ce ne sont pas les régimes spéciaux qui coûtent le plus mais les transferts vers les caisses déficitaires en tête desquelles celles des agriculteurs et des commerçants.

        C’est un peu comme les 35h: on les conspue mais on y touche guère car on sait qu’à l’arrivée le résultat serait à peine perceptible et on perdrait un bien commode bouc-émissaire.

        19 septembre 2014 à 12 h 07 min
  • LE KET Répondre

    L’Etat Providence est en phase terminale, mais aucun responsable politique n’a effectivement le courage et la volonté de l’annoncer au peuple. Bien au contraire, de gauche à droite, TOUS d’un commun accord si liguent pour taire l’ampleur du désastre : 2 générations vont se saigner pour payer l’addition astronomique de 40 ans de gabegie et de gaspillage des deniers publics !

    LA FÊTE EST FINIE ET LES FLONFLONS SE SONT TUS …

    18 septembre 2014 à 12 h 41 min
  • raymond Répondre

    les greves dans notre pays qui est déjà en faillite,les syndicats qui ne représentent plus grand monde aujourdui continuent la demolition de nos entreprises,maintenant air France,apres avoir ruine les ports Français,notre metallurgie,etc par qui sont ils grassement payes ces dirigeants de cgt,de fo,cftc,payes pour finir la ruine de notre pays.A quoi serviront ces memes syndicats lorsqu’il n’y aura plus d’usine,plus de travail,ils n’existent que pour eux memes,est que le militant,quel qu’il soit peut se payer un château,non les dirigeants sont comme les politiques ils vivent sans travailler de la credulite des gens

    18 septembre 2014 à 8 h 33 min
  • Fucius Répondre

    “Ces « socialauds » écrasent les travailleurs pour rembourser les banques qui souscrivent aux emprunts d’État”

    Les renflouements de banques sont des modalités sans importance, tout comme les manipulations monétaires (tauf zéro, QE etc.)

    Le problème est l’inflation hors de contrôle de la bulle étatique, dont la dépense publique est la partie émergée.
    Dès la prochaine crise, les dettes implicites se réaliseront comme en 2007 et l’insolvabilité sera indiscutable.
    Il sera vain de dévaluer, il faudra un nouveau système monétaire, et bien sûr en finir avec l’État providence.

    17 septembre 2014 à 20 h 14 min
  • Igor Répondre

    C’est dit crûment, mais ce n’est pas faux!

    17 septembre 2014 à 18 h 06 min
  • DeSoyer Répondre

    Je ne crois pas qu’il y ait beaucoup de chrétiens au gouvenement: cf. le mariage pour tous.

    17 septembre 2014 à 17 h 40 min
    • quinctius cincinnatus Répondre

      au …F.N. non plus ! je n’ ai rien contre les homosexuels, j’en connais et même je les apprécie pour ce qu’ils sont, mais qu’ ils se marient cela est culturellement Néronien …lequel Néron finit dit on fort mal !

      20 septembre 2014 à 17 h 34 min
  • Toni Répondre

    Les partenaires sociaux allemands c’est un autre monde.

    Avec les notres Si déjà il faut avoir 186 commentaires rien que sur un article pour n’aboutir à rien alors dans la vie courante je suis assez direct et je finis par dire à ces gens d’aller faire se foutre … J’ai le sentiment de perdre mon temps.

    17 septembre 2014 à 12 h 04 min
    • Toni Répondre

      Remarquez qu’ils continuent à faire grève à air france et qu’ils déposent le bilan, je m’en torche les pieds. Il y a plein d’autres compagnies et aéroports frontaliers comme Bâle, Geneve ou barcelone.

      Mettons que un Jaures face grève à Lyon, le première fois je me fais bananer et perds mon vol … La deuxième fois et les autres c’est à Geneve que je vais.

      17 septembre 2014 à 12 h 09 min

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