Les écolos pastèques nous mènent à la catastrophe !

Les écolos pastèques nous mènent à la catastrophe !

Qu’il soit bien clair ici que je ne suis pas anti-écologie, mais anti-verts écolos. En effet, ces derniers nous mènent directement à la catastrophe.

Je veux parler ici des « écolos pastèques » (verts à l’extérieur, rouges à l’intérieur).

Le communisme, malgré ses 100 millions de morts, a fasciné une grande partie des intellectuels du monde entier.

Certains en France ont même traité les non-communistes de « chien » et, par son refus de toute objectivité, Jean-Paul Sartre s’est entêté à déformer la réalité.

Cependant, après 70 ans de mensonges, la vérité est apparue – concrétisée par la chute du mur de Berlin engendrant la fin du régime soviétique.

Toutefois, l’idée communiste n’a pas totalement disparu et c’est sous un nom d’emprunt (« l’écologie ») que certains partis français en ont pris le relais.

Ce « communisme travesti », représenté par une majorité de « verts d’extrême gauche », nous amène à la même catastrophe que le communisme originel par les décisions mortifères qu’ils sont arrivés à imposer à la gauche – mais aussi, il faut l’avouer, à une partie de la droite.

La première décision funeste, que l’on paye malheureusement très cher aujourd’hui, est l’abandon idéologique du nucléaire.

Les verts sont parvenus à monnayer quelques voix, prises par une gauche pitoyable, contre la fermeture programmée des centrales nucléaires françaises, nous mettant dans une situation de pénurie énergétique qui va faire des dégâts irréparables et nous coûter des sommes colossales.

La deuxième faute est d’avoir imposé une énergie dite « décarbonée » – l’éolien – qui nous a déjà coûté une centaine de milliards d’euros pour, en l’état actuel, produire moins de 10 % de ce que produit le parc nucléaire français, tout en restant intermittente, et donc obligatoirement être associée à l’équivalent énergétique produit par des centrales à gaz dans le meilleur des cas – mais aussi, on le constate dans la crise actuelle, par des centrales à charbon hyper-polluantes.

Enfin, par une pression intense à Bruxelles, les verts ont réussi à faire interdire, et cela seulement en Europe, la fabrication de voitures à énergie fossile à partir de 2035, y compris pour les modèles hybrides rechargeables.

C’est une telle folie et une telle inconscience que même notre commissaire européen Thierry Breton freine des quatre fers pour rallonger le délai.

Mais le mal est fait : nos deux constructeurs français, tout en dénonçant cette décision, ont déjà acté cet arrêt et ont transféré leur conception et leur production de moteurs thermiques aux États-Unis, sans possibilité de revenir en arrière.

Il ne manquait donc plus que ça pour finir de massacrer le peu d’industrie qui nous reste et faire le jeu des Chinois qui n’en demandaient pas tant.

Alors virons tous ces pseudo-écologistes, dont le seul but est de détruire notre pays, et remplaçons-les par des véritables techniciens de l’écologie qui sauront préserver notre planète en tenant compte des impératifs d’efficacité et de faisabilité dans des délais réfléchis compatibles avec notre économie.

Il est urgent de faire ce choix et de mettre à la retraite l’équipe du GIEC qui, jusqu’à maintenant, n’a fait que des prévisions qui se sont révélées totalement fausses.

Raisonnons un peu car, oui, dans la longue histoire climatique de notre Terre, il y a eu des fluctuations de températures du même ordre qu’aujourd’hui, et même souvent plus violentes. La preuve en est que nos comparaisons se font en record depuis une année X, ce qui veut bien dire qu’il y a eu pire avant cette même année.

C’est peut-être une folie de ne rien faire, mais la pire des folies est de faire n’importe quoi !

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