L’État nounou : un monde merveilleux… (avec de l’humour !)

L’État nounou : un monde merveilleux… (avec de l’humour !)

Malgré les bienfaits que nous prodiguent nos politiques, les Français sont pessimistes, angoissés. A droite comme à gauche, pourtant, on nous câline

L’État nous donne des emplois ou de généreuses indemnités chômage.

L’État nous soigne gratuitement. Même et surtout ceux qui ne cotisent pas.

L’État nous loge à prix réduit dans de confortables HLM, où il nous verse une allocation logement. Au pire, il nous héberge dans des hôtels.

L’État nous défend contre les délinquants avec une justice exemplaire, ferme, rapide, de plus il nous soutient avec des cellules d’accompagnement psychologique à chaque aléa de notre vie.

L’État souffre de la faiblesse de nos salaires nets ! Et nous accorde, dans sa grande bonté, des allocations, des primes, des niches, le soutien des associations caritatives.

L’État ouvre nos écoles 140 jours par an et organise à grands frais des cours de soutien pour nos enfants.

L’État nous éduque : télévision, opéra, théâtre, musée, des jeux, des spectacles vivants à des prix très modiques.

L’État nous protège avec une réglementation très complète. Nous avons les produits les plus sûrs du monde avec, en plus, des magasins spéciaux pour pauvres.

L’État protège aussi nos entreprises et stigmatise courageusement la mondialisation.

L’État met à notre service plus de 800 000 travailleurs sociaux avec des résultats admirables, notamment pour les délinquants « djeunes ».

L’État aide ceux qui ne travaillent pas avec le RSA, ceux qui ne cotisent pas avec le minimum vieillesse et la CMU.

L’État accueille avec générosité toute la misère du monde !

L’État soutient les pays en voie de développement, avec le concours de leurs dirigeants autoproclamés, cela pour une répartition équitable des fonds.

L’État subventionne de nombreux services publics : SNCF, RATP, EDF, France télévision, presse, syndicats, partis politiques, pour des services de qualité.

L’État subventionne aussi les caisses de retraites en péril, députés, Banque de France, SNCF, EDF, RATP, etc…

Avec tous ses bienfaits, je trouve qu’il se débrouille bien, « l’État », avec seulement 45% de prélèvements et 10 à 11% de déficit, de dettes, soit une dépense publique modeste à 56%.

Pourvu que ça dure !

100 % gelé.
Gérard Gelé

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Comments (1)

  • eliezer Répondre

    L’ETAT C’EST LE DIABLE

    16 avril 2011 à 16 h 54 min

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