On vous l’avait bien dit (suite)

On vous l’avait bien dit (suite)

Imaginons un citoyen de ce pays percevant un revenu net mensuel de 3 000 euros et en dépensant 5 000 chaque mois depuis 30 ans. La dette qu’il aura accumulée sera donc de 720 000 euros auxquels s’ajoutera le montant des intérêts de ces emprunts. Ce citoyen qui a fait preuve d’une totale incompétence et imprévoyance est totalement ruiné. Il ne pourra jamais rembourser sa dette. Il ira rejoindre les SDF.

Le cas de la France est analogue
. Plus de 30 ans de démagogie par les politiciens au pouvoir ont ruiné le pays. Alain Dumait, responsable-gérant du « Cri du contribuable », écrivait déjà en novembre 2009 (n° 78) : « Au compteur, la dette de l’État vient de franchir le cap des 1 500 milliards d’euros. Au rythme de 60 milliards de plus par trimestre, bientôt 80, puis 100, nous serons à plus de 2 000 milliards en 2011 et bien au-delà du taux fatidique de 100 % du PIB. En 2012, les seuls intérêts de cette dette nous coûteront plus de 80 milliards d’euros, le premier budget de l’État avant celui de l’Éducation nationale ! »

Si l’on ajoute à cette dette publique les engagements pour retraites des fonctionnaires, soit environ 1 000 milliards d’euros, c’est quelque 2 500 milliards d’euros de dette que la France devra rembourser. Comment ?

Dans le débat actuel sur le financement des retraites, on peut lire chaque jour des pages et des pages de journaux et écouter des heures durant les explications radio-télévisées notamment sur la réduction des déficits annuels (150 milliards d’euros en 2010), sans d’ailleurs que le problème soit clarifié pour autant. Mais on ne dit mot du remboursement de la dette gigantesque que je viens d’évoquer. De quelle façon va-t-elle être remboursée ?

J’ai posé la question. Je n’ai jamais obtenu de réponse. Tout au plus m’a-t-on dit : « La croissance revenue arrangera tout. » Ce qui est une pitrerie. Un peu comme si, prévoyant des vacances pendant l’été 2015, on m’avait répondu : « En juillet 2015, il fera beau. » On n’en sait rien. En vérité, personne ne sait comment l’État remboursera sa dette.

Or, pour en arriver à ce désastreux bilan, nos dirigeants savaient parfaitement ce qu’ils faisaient. Ce n’est pas l’intelligence qui leur manque, ni la connaissance des dossiers et des centaines de rapports sur le sujet. Ce qui leur manque, tous autant qu’ils sont, de la droite parlementaire à la gauche de gouvernement, c’est le sérieux et l’honnêteté politique. Ils ont sacrifié les finances de la nation à leur obsession de l’élection et surtout de leur réélection.

Le résultat est là : la France est désormais un pays très vulnérable où tout peut arriver. Il n’est pas impossible que, la note de la France étant dégradée, notre pays soit en quelques semaines plongé dans le chaos : défaut de paiement, effondrement des marchés qui ruinerait les « riches » et rendrait les pauvres encore plus pauvres, faillites en chaîne des banques et des entreprises, chômage à 25 % et chez les jeunes à 50 %, émeutes et pillage généralisés par la « diversité » qui n’attend que ça. Je dis bien : ce n’est pas sûr, mais c’est possible.

Dans une telle hypothèse que ferait le gouvernement aux abois ? Il appellerait l’Alle­magne au secours, mais les Allemands en ont plus qu’assez d’aider les cigales, y compris la cigale française. L’aide à la Grèce pour permettre sa survie temporaire a donné lieu aux réticences que l’on connaît. Qu’en sera-t-il lorsqu’il sera prouvé que la Grèce ne peut rembourser les prêts qui lui ont été consentis, contraints et forcés, et que des dizaines de milliards d’euros prêtés à Athènes n’auront servi à rien ?
Ce sera pour Angela Merkel l’occasion de gémir : « Je vous l’avais bien dit », et de refuser cette fois-là inexorablement de perfuser les pays du « Club Méd », dont la France. Alors, de facto, l’Europe se scindera, d’un côté les pays plutôt sérieux dans l’orbite économique et financière de l’Allemagne : l’Autriche, les Pays-Bas, la Finlande, le Danemark, le Luxembourg ; et puis le reste. C’est là la moins mauvaise hypothèse. Mais il y en a une autre beaucoup plus inquiétante. Les grands économistes anglo-saxons, dont Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie, ancien chef économiste de la Banque mondiale, ont clairement déclaré que : « Sans évolution rapide vers le fédéralisme, sans politique budgétaire commune, l’union monétaire européenne était vouée à disparaître. » L’ancien président de la Fed sous Carter et Reagan, Paul Volcker, est plus direct : « L’union monétaire européenne, estime-t-il, est condamnée. Elle disparaîtra. » On peut facilement imaginer les conséquences sur les marchés et… dans la rue d’une pareille catastrophe.
Bref, un enfant de 12 ans normalement constitué n’aurait jamais mené une telle politique dont il est désormais impossible de cacher l’aboutissement.

Le peuple français dans sa majorité ne comprend pas toujours les statistiques dont il est abreuvé, des sortes de hiéroglyphes : le déficit du PIB (7,5 % en 2009, 8,2 % en 2010, 10 % prévus en 2012 contre 3 % promis à Maastricht). Les dépenses d’assurance-maladie cumulées depuis 1998, c’est un trou de 19 milliards d’euros. Les dépenses de santé augmentent de façon générale de 3,5 % par an. La dette nationale de 2000 euros par seconde ! Le salarié à 3 200 euros bruts mensuels en perçoit en réalité, après impôt et charges, 1 633 euros. ça, c’est facile à comprendre ! Le matraquage fiscal, on sait ce que ça donne, les socialo-communistes pour surmonter la crise voulant en fait l’aggraver encore ! La France, dois-je le rappeler, est déjà de tous les pays industrialisés, celui où l’impôt est le plus lourd pour financer notamment l’État-providence immigrationniste, avec pour résultat des millions d’habitants qui vivent dans une grande précarité, dont une majorité d’Africains – des villes importantes sont désormais peuplées à 80 % de Maghrébins et de « Subsahariens » qui vivent pour l’essentiel d’allocations publiques. Ne nous étonnons donc pas que Jean-Paul Delevoye, médiateur de la République, ait révélé que 15 millions de foyers atteignent difficilement la fin du mois avec 50 ou 100 euros, l’angoisse en plus.

Et voici que, depuis plusieurs semaines, on nous dit que, pour payer les retraites à 60 ans (en Allemagne et au Danemark, 67 ans), on va mettre les hauts revenus et le grand capital à contribution. Une musique connue, qui plaît aux syndicats. Fort bien, mais cette rigueur soudaine, qu’il aurait fallu pratiquer voici 30 ans, réduira à coup sûr une croissance déjà bien faible et aggravera la situation économique et sociale, et pour commencer le chômage.

Sans connaître le détail de cette situation alarmante, le peuple français en saisit néanmoins l’essentiel. Un sondage publié par le Monde montre que 85 % des Français n’ont plus confiance dans les capacités de l’État à améliorer les situations sociale et économique avec, de surcroît, un chef de l’État qui a désormais contre lui 70 % d’opinions défavorables et, toute disposée à retrouver le pouvoir, une gauche socialo-communiste qui croit tout résoudre en augmentant les impôts, ce qu’elle a fait chaque fois qu’elle a pu le faire. C’est cela la réalité ; tout le reste, c’est du vent !

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Comments (14)

  • Anonyme Répondre

    A Sas –

    "LES francais sont particulièrement cons et stupides….ils ont les responsables qu ils meritent c’est certains et- qui les représente….

    etc."

    C’est un peu facile ! Au cas où vous ne l’auriez pas remarqué, les français n’ont pas réellement le choix de leur président. On leur impose deux candidats issus des plus grands partis et un aéropage de soi-disants présidentiables, dont on asséne dès le départ  la défaite, en précisant bien par voies médiatiques qu’ils n’ont aucune chance et en réduisant leurs présence par ces mêmes voies au profit de l’UMP et du PS… Ce n’est pas nouveau et c’est comme cela depuis dès années. Alors je vous concéde volontier qu’un certain pourcentage de français n’ont pas inventés l’eau tiède, mais à votre âge, semble-t-il respectable, vous n’aurez pas oublié de remarquer que ces derniers sont surtout endoctrinés par les médias, l’éducation nationale etc. qui jouent sans vergogne sur la corde sensible de l’humanité. Ce qui me permet de vous rejoindre sur l’idée que la révolution est une belle connerie. Pas vraiment l’acte en lui-même, mais plutôt ce qui en découle et notament ces satanés droits de l’homme qui sont reprits à toutes les sauces et tout et n’importe quoi !

    Cela dit, je pense que la faute n’incombe pas totalement au peuple, qu’il injuste et vraiment trop cliché de dire que celui est stupide. Car tout est fait pour que les français ne pensent plus par eux-même. Et comment leur en vouloir au final ? On leur bourre le crâne dès le plus jeune âge (et je sais de quoi je parle, j’ai travaillé durant mais études dans l’éducation nationale…). Non, la faute revient aux dirigeants qui sont bien plus con que ceux qu’ils gouvernent à mon sens car ils ne sont pas capable de voir les conséquences néfastes de leurs actes sur notre pays, notre culture, trop occupés qu’ils sont à lécher le cul des lobbies et des gros industriels ou sauvegarder jalousement les privilèges indécents liés à leur fonction. Vous devriez savoir que, tout temps, le peuple n’a toujours était qu’un outil au mains des leaders qui, seuls, guidaient la voie de leur nation. Alors, cela n’excuse pas tout, mais il faut rendre à César…

     

    "je sais bien que nous sommes tombé dans une période du prémâché, du prédigéré……"

    Et vous nous en offrez un bel exemple !

     

    "Les peuples de veaux ou de con…..SELON LES REGLES D EVOLUTION DARWINIENES ont pour vocation de disparaitre…

    ….les gaulois vont disparaitre…..tout comlme les dinausores en leurs temps….

    CQFD"

    Aucun rapport. Les dinosaures se sont éteints à cause d’un cataclysme, tout comme la quasi-totalité des espèces de cette époque… De plus, la théorie de Darwin, bien que généralement adoptée, reste une théorie, et discutable qui plus est ! Mais ce n’est pas tellement le théme du débat…

    Non, à vous dire le vrai, il apparait que XXeme siècle à marqué l’apogée de notre civilisation et que, désormais, nous sommes plus sur le déclin qu’autre chose. On le voit tous les jours : les coutures du systéme capitaliste craque de partout, la mondialisation à rendu notre mode de vie dépendant d’énergies faussiles dont nous ne trouveront pas, à court terme, de substitus acceptables d’une part et des produits élémentaires de consommations, autrefois fabriqués en France, d’autres pays avec les délocalisations et le chômages qui vont avec d’autre part. Et sans oublier les frontieres qui n’existent plus désormais que sur les cartes et qui nous offre tous les jours la joie d’avoir l’Afrique à portée de main (du moins, ses habitants et tous les problèmes qui vont avec) vous avez là les 3 composantes du déclin du monde civilisé. Je ne suis pas particulierement paranoiaque ou pesimiste (au contraire) mais, mine de rien, du haut de mon quart de siècle, alors que l’avenir devrait être verdoyant, joyeux et sans limite pour un jeune comme moi, il me semble terriblement obscur…

    Quand aux gaulois, je n’ai pas vraiment peur de leur disparition, la situation sociale est tellement tendu qu’il suffira d’une étincelle pour que les esprits s’éveillent, l’instant de faire ce devra être fait, car si jamais nous disparaissons, nous ne serons pas les seuls… sigh

    "moi, je n ai aucune surprise sur la dégradation programmé de la france…"

    Finalement, nos avis ne divergent pas tant que ça !

    7 juin 2010 à 3 h 40 min
  • sas Répondre

    Au corse…..je sais bien que nous sommes tombé dans une période du prémâché, du prédigéré……

    Mais nostalgique d un certain passé et n’etant pas soucieux à mon âge du politiquement correcte……je te laisse faire les liens et tisser le reste…..

    "MON" canevas et mon préalable……..sont que la france n’est plus…..ET CE DEPUIS 1789 (peut être même avant la france a disparu avec la vennue des capetiens….des mecs a perruques , à mouche et qui se poudraient c’etait déjà douteux….)

    …..la merde présente en à vaguement l odeur (et encore),n’a pas la couleur et encore moins la consistance…et l erudition.

    je te laisse donc au travail….

    TCHAO BELLO…

    sas

    6 juin 2010 à 14 h 51 min
  • WatsonCorsica Répondre

    SAS :

    Les peuples de veaux ou de con…..SELON LES REGLES D EVOLUTION DARWINIENES ont pour vocation de disparaitre…

    Un tel propos aurait beaucoup de succès aux comptoirs des bistrots de Corse !

    Une véritée aussi crue que logique…

    Allez, SAS, développez votre idée, allez jusqu"au bout…

    6 juin 2010 à 1 h 26 min
  • Daniel Répondre

    Un chouka

    "Ces gens jouent sur la loi naturelle du plus fort ou du mieux adapté,je crois ,et ils ne peuvent que gangner ,il me semble ?"

    La loi naturelle peut être interprétée de diverses manières. Quand une espèce animale a décimée l’espèce qui la nourrit, elle ralentit sa reproduction pour s’adapter et pouvoir survivre… Et nous arrivons à un stade où un système pervers bute sur ses propres limites et est proche de produire sa propre destruction. 

    L’ être humain a une dimension spirituelle: c’est même sa nature spécifique.  Il perçoit sa propre espèce au travers de la compassion quand il est débarrassé de ses peurs et de toutes les perversions qu’elles entrainent. Je vous ferai remarquer que toutes vos observations comme celle de tous les intervenants ici sont tirées directement de cette caractéristique typiquement humaine; car comment savoir ce qu’est le mieux sans connaitre le plus mal.  Et parler d’un aspect est évoquer son contraire. Sauf que parler de l’idéal possible est déjà le construire quand parler des perversions ("qui ne peuvent que gagner") produites par les peurs intimes les renforce comme réalité incontournable. Nous sommes les créateurs de notre avenir commun.   Cela relève de la responsabilité personnelle de chacun y compris des "victimes", qui voudraient souvent le beurre et l’argent du beurre, et critiquer un mal qu’ils prétendent extérieur alors qu’ils passent leur énergie à lui donner corps et puissance.
      La conscience s’élargit avec l’évolution ( dont le matériel est un aspect) et ça brasse bien des certitudes. Que préférez vous: être conscient,  lucide, et en pleine possession de votre sens humain (qui transparait dans chacun de vos messages)  ou bien être accroc de fric comme compensation, par n’importer quel moyen,  pour tenter de faire taire votre conscience?  Désolé, mais vous avez déjà choisi!  et de toute évidence vous n’êtes pas prêt de changer de direction…

    Puisque vous avez fait le choix le plus beau, le seul qui donne satisfaction à la raison et à l’esprit,  pourquoi ne pas l’affirmer comme tel?

     

    5 juin 2010 à 14 h 58 min
  • Daniel Répondre

    Un chouka

    "Ces gens jouent sur la loi naturelle du plus fort ou du mieux adapté,je crois ,et ils ne peuvent que gangner ,il me semble ?"

    La loi naturelle peut être interprétée de diverses manières. Quand une espèce animale a décimée l’espèce qui la nourrit, elle ralentit sa reproduction pour s’adapter et pouvoir survivre… Et nous arrivons à un stade où un système pervers bute sur ses propres limites et est proche de produire sa propre destruction. 

    L’ être humain a une dimension spirituelle: c’est même sa nature spécifique.  Il perçoit sa propre espèce au travers de la compassion quand il est débarrassé de ses peurs et de toutes les perversions qu’elles entrainent. Je vous ferai remarquer que toutes vos observations comme celle de tous les intervenants ici sont tirées directement de cette caractéristique typiquement humaine; car comment savoir ce qu’est le mieux sans connaitre le plus mal.  Et parler d’un aspect est évoquer son contraire. Sauf que parler de l’idéal possible est déjà le construire quand parler des perversions ("qui ne peuvent que gagner") produites par les peurs intimes les renforce comme réalité incontournable. Nous sommes les créateurs de notre avenir commun.   Cela relève de la responsabilité personnelle de chacun y compris des "victimes", qui voudraient souvent le beurre et l’argent du beurre, et critiquer un mal qu’ils prétendent extérieur alors qu’ils passent leur énergie à lui donner corps et puissance.
      La conscience s’élargit avec l’évolution ( dont le matériel est un aspect) et ça brasse bien des certitudes. Que préférez vous: être conscient,  lucide, et en pleine possession de votre sens humain (qui transparait dans chacun de vos messages)  ou bien être accroc de fric comme compensation, par n’importer quel moyen,  pour tenter de faire taire votre conscience?  Désolé, mais vous avez déjà choisi!  et de toute évidence vous n’êtes pas prêt de changer de direction…

    Puisque vous avez fait le choix le plus beau, le seul qui donne satisfaction à la raison et à l’esprit,  pourquoi ne pas l’affirmer comme tel?

     

    5 juin 2010 à 14 h 55 min
  • grepon Répondre

    Reponse logique a tout ca?  

    Vendre a court l’euro.   J’ai fait deux mille dollars dessus cette semaine et je laisse la mise pour en faire bien plus sur les prochaines semaines, voir mois.

    Mettez-vous a profiter de la situation au lieu de se plaindre.    Acheter le dollar, ou l’or.    En plus que les benefices, il y a le fait de punir les gouvernments et banques centrales, qui se plante a repetition dans leur tentatives d’organiser la descente de l’euro.   Sachez tout de meme quand il faut sortir aussi.   Dans la foulee de la degringolade de l’euro, pas mal d’autres actifs ou monnaies vont se retrouve bascule.  Il ne faut surtout pas rate une opportunite a profiter de mouvements d’ampleur si important.

    5 juin 2010 à 5 h 19 min
  • sas Répondre

    LES BANQUES……elles ont les habilitation pour pouvoir voler impunément…..

    …..exemple LES DEMONS DU CREDIT AGRICOLE 5 700 000 sociétaires floués……

     

    sas

    credit lyonnais,zsociétée generale,bred,credit mutuel……et tout les autres

    4 juin 2010 à 18 h 24 min
  • SAS Répondre

     

    LES francais sont particulièrement cons et stupides….ils ont les responsables qu ils meritent c’est certains et- qui les représente….

     

    ……un chirac ou mitterand reviendraient qu on voterait encore pour lui…..

    Les peuples de veaux ou de con…..SELON LES REGLES D EVOLUTION DARWINIENES ont pour vocation de disparaitre…

    ….les gaulois vont disparaitre…..tout comlme les dinausores en leurs temps….

    CQFD

    SAS qui s etonne q on puisse donner la moindre confiance a un avocat, apatride, de neuilly evoluant au millieux des représentants de commerce……bref a un boutiquier oriental….

    moi, je n ai aucune surprise sur la dégradation programmé de la france…

    4 juin 2010 à 13 h 59 min
  • UN chouka Répondre

    Helas non @ Daniel.

    Ces gens jouent sur la loi naturelle du plus fort ou du mieux adapté,je crois ,et ils ne peuvent que gangner ,il me semble ?

    Gagneront les gens aptes a aquérir ce dont ils ont besion pour agir contre leurs advèrsaires et là, ils réusiront ,je crois ?

    La populasse,n’a rien de tout ça, et en plus elle est bardée d’intèrdits pénalisants,je crois ?

    Les nantis jouent sur du velour ,il me semble .

    4 juin 2010 à 7 h 47 min
  • Daniel Répondre

    Bon article.
    Troubadour :
        votre intervention résume les grande orientations passées qui produisent le phénomène au présent. L’Etat a fait cadeau aux banques privées de notre travail et de notre avenir tout en se maintenant comme un interlocuteur incontournable puisque détenteur de la force publique; ainsi se retrouvent liés pour exploiter les citoyens le grand capitalisme et la fonction publique.
    Mais si leur jouet casse, il y a tout de même de fortes chances pour que ce soit la fin de l’argent tel qu’on le connait aujourd’hui, et plus particulièrement la fin des banques dans leur rôle actuel.  

    Il faut des tribunaux  pour ces fonctionnaires et  ces politiciens irresponsables   qui ont la main dans la poche de leurs concitoyens et de leurs enfants…   et des hopitaux psychiatriques  pour ces malades mentaux qui ont besoin de compensations à coup de milliards pour croire qu’ils existent  et  se réjouissent de la destruction des civilisations.
    Mais ça vient ; la bêtise cherche toujours la limite. 

    3 juin 2010 à 22 h 33 min
  • UN chouka Répondre

    Comme il est dit plus haut:

    ce fut fait en toute conaissance de cause .

    Un plan établit dans le mondre détail ,et l’échéabce est là .

    Maintenant, comment vont creuver les retraités ayants droit a une retraite pour laquelle ils ont cotisés 40 années durant ?

    Comme d’hab,c’est chacun pour sa peau en toute circonstance ,je crois ,puisque la société,est une illusion pour faire tenir tranquile les petits enfants ?

    3 juin 2010 à 12 h 39 min
  • ozone Répondre

    Le Luxembouug………….Tiens donc,le rémora de l’UE,ou la sangsue si vous préférez,de la belle gestion,c’est les autres qui payent.

    Et de la déflation salariale quid?

    2 juin 2010 à 22 h 47 min
  • WatsonCorsica Répondre

    Ce qui leur manque, tous autant qu’ils sont, de la droite parlementaire à la gauche de gouvernement, c’est le sérieux et l’honnêteté politique. Ils ont sacrifié les finances de la nation à leur obsession de l’élection et surtout de leur réélection.

    cela va-t-il signifier la fin de la démocratie pour certains pays comme la France peuplés majoritairement d’imbéciles, où la promesse électorale sert de moteur à l"économie ?

    2 juin 2010 à 12 h 46 min
  • Anonyme Répondre

    *** Le vol organisé par les banquiers privés *** (sources: Banque de France, le Cri du contribuable…) La dette proprement dite, c’est-à-dire le capital du, est en gros de 1500 milliards d’euros et cela évolue tous les jours à la hausse par les émissions de bons du trésor. Pourquoi les banquiers acceptent-ils de prêter? Question subversive. Car c’est plus de 1400 milliards d’euros d’intérêts que nous avons payé en 35 ans (et nous continuons à raison de près 120 millions d’euros par jour, oui, par jour) aux déjà plus riches, qui d’ailleurs peuvent ainsi nous les reprêter à nouveau contre intérêt.. Mais cette monnaie qu’ils nous prêtent, elle est, comme 93% de la monnaie en circulation, issue de la création monétaire par les banques privées … monnaie évidemment payante bien que créée “ex nihilo”, à partir d’une simple ligne d’écriture. Depuis 1973 la France s’est interdite de créer la monnaie dont elle a besoin pour combler ses propres déficits, mais s’est obligée à emprunter sur les marchés monétaires en émettant des obligations (bons du Trésor) On voit que notre dette serait nulle si l’institut d’émission avait géré la dette par de la création monétaire. C’est là que se trouve le piège, car dorénavant nous avons payé autant d’intérêts qu’il reste de capital dû et tout ceci au lieu de l’adosser sur notre banque centrale par émission de monnaie par l’Etat, nous avons accepté de le transférer à des banquiers privés maîtres de l’émission monétaire, ils auraient bien torts de se gêner cela ne leur coûte rien et leur permet de s’enrichir gratuitement sur le dos de la planète jusqu’à l’écroulement final par faillite des Etats. En réalité l’oligarchie financière qui tient les médias et vit en consanguinité permanente avec le pouvoir politique ne veut pas de l’équilibre des finances publiques et privées mais veut gagner de plus en plus par prépotence cupide sur le public.30 à 40% du patrimoine des pays développés, et cela évolue tous les jours à la hausse, est entre les mains des oligarques qui n’ont pas intérêt à ce que le système se réforme. Il est donc vain de pleurnicher sur les “salauds de pauvres” insolvables qui coûtent trop chers; cerise sur le gâteau si vous tenez des propos réalistes sur la situation , on vous accusera volontiers d’être conspirationniste ou complotiste. La solution est obligatoirement par un moratoire sur la dette et une nationalisation de l’émission monétaire et un impôt confiscatoire sur les vampires de Wall Street et de Londres, avec des juges qui aient le pouvoir d’enquêter sur leurs gigantesques escroqueries. Tout le reste est littérature. La corruption est au sommet. Troubadour

    2 juin 2010 à 8 h 16 min

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