Pénurie, les Hommes vont s’en sortir

Pénurie, les Hommes vont s’en sortir

Les médias nous annoncent à longueur de journées que nous allons bientôt manquer de tout : d’énergie, d’eau, de nourriture… Et l’on nous donne en exemple l’augmentation du prix du pétrole, l’épuisement des nappes phréatiques ou la famine. Les médias déforment très souvent la réalité et il faut essayer de trouver le vrai.

Oui, le prix du pétrole augmente et il atteint même aujourd’hui 77 dollars le baril. Les médias disent que si les prix du pétrole flambent, c’est qu’il devient rare. En fait, chaque fois qu’une crise politique touche les pays producteurs de pétrole, les prix flambent. La guerre civile entre fanatiques religieux en Irak, un pouvoir fanatique religieux installé en Iran ou un pouvoir marxiste fanatique au Venezuela font monter le prix du baril. Quand ces menaces cesseront, le prix du pétrole baissera, comme il l’a déjà fait après la crise politique déclenchée par l’OPEP.

Mais la demande de pétrole augmente dans tous les pays du monde et les réserves ne sont pas inépuisables. Une réelle pénurie de pétrole est donc programmée à long terme, c’est inévitable. Actuellement, le contenu des nouvelles réserves découvertes croit plus rapidement que la consommation, mais les coûts d’exploitation augmentent. D’ici là, de nouvelles sources d’énergie auront eu le temps d’être mises au point, en particulier l’énergie issue de la fusion atomique.

Oui, la consommation quotidienne d’eau fait baisser le niveau des nappes phréatiques, quand les pluies ne sont plus assez abondantes. C’est évident dans les pays désertiques, mais c’est tout aussi évident dans certaines régions françaises. L’équilibre entre la production et la consommation d’eau potable, tel qu’il existait depuis un siècle seulement, se fait de plus en plus mal. Quand les Turcs prennent l’eau de l’Euphrate pour irriguer leurs terres, ils privent d’eau les Irakiens. Il devient indispensable de gérer la production et la consommation d’eau et sur le plan national, et sur le plan international.

La France manque d’eau, mais plus de 60 % de notre eau est utilisée par les agriculteurs pour arroser leurs champs. Un jour viendra où les cultures exigeant de tels arrosages quitteront la France et s’implanteront sous des cieux pluvieux. On ne fait pas pousser les oranges dans nos serres, on les importe. Les émirats arabes sont dans des pays désertiques. Ils utilisent le pétrole de leur sous-sol pour dessaler l’eau de mer et disposer ainsi de l’eau douce dont ils ont besoin. L’utilisation de la fusion atomique donnera un jour au monde l’énergie dont elle a besoin pour produire de l’eau douce avec l’eau de mer.
Oui, il y a des millions d’enfants qui meurent de faim dans le monde. Et comme la population augmente à toute vitesse, leur nombre va encore augmenter.

Il y a deux cents ans, la famine touchait encore toutes les populations du monde. Puis, avec le développement et l’industrialisation, la production agricole s’est fortement améliorée. Des stocks de sécurité ont pu être constitués. En 1966, l’Inde d’Indira Gandhi est sortie de la famine grâce à un riz OGM trouvé par un chercheur américain aux Philippines. Dans tous les pays développés, ce n’est pas le manque de nourriture qui pose un problème, ce sont les excédants agricoles.
L’augmentation galopante de la population ne touche que les pays sous-développés. Les pays développés ont au contraire tendance à ne plus renouveler leur population. Plus le développement touchera le monde, plus la population de la planète se stabilisera.

Jusqu’à maintenant, l’intelligence humaine a toujours trouvé une solution pour s’opposer efficacement à la pénurie. Mais toute découverte fait courir un risque nouveau qui doit être évalué. Ce n’est pas en s’opposant à l’atome ou en arrachant des plans OGM, ce n’est pas en retournant au moyen âge, qu’on sortira le Monde de la pénurie.

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Comments (16)

  • dan 87 Répondre

    SAS Il est évident que les réglementations au point où nous en sommes, ne peuvent être imaginées que par des esprits dérangés, pervers. Des esprits qui placent le droit au dessus de l”homme alors que la raison d’être du droit est de servir l’homme. Des esprits sans spiritualité! … qui ont horreur du religieux tout en se prenant pour Dieu! Et c’est quoi les PDSDS?

    25 juillet 2006 à 22 h 50 min
  • SAS Répondre

    A fred…c’est bien pour cette raison précise que la “suréglementation”….dans les mains éminament maçonniques…..nous poussent à notre perte…c’est leur raison d’être….(application DES PDSDS) …..contrôler la réglementation d’une région c’est la gouverner indirectement….economique,social,politique et religieux. Car non seuleument nous n’aurons plus d’essence…mais en plus plus de salades en question…..ayant pris soin dee détruire les petits producteurs de proximité… sas

    25 juillet 2006 à 12 h 40 min
  • FRED Répondre

    Une simple salade produite à quelques kilomètres de chez vous fait en moyenne 800 km pour finir dans votre assiette. A cela rajouter 80% de taxes sur l’essence et vous aurez une idée de ce qu’il a fallu dépenser. Nous allons être en pénurie non parce que nous manquons de ressources mais parce que le sur-règlementation cause notre perte et ne garantit strictement rien.

    25 juillet 2006 à 0 h 55 min
  • Fossileur Répondre

    je remet mon commentaire QUI N A PAS ETE PUBLIE http://fossilisme.over-blog.com/ NON PARVENU ? censuré ? mais oui , pas d ‘inquiétude : IL reste encore 99999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999999MILLIARDS DE MILLIARDS DE MILLIARDS DE MILLIARDS DE MILLIARDS DE MILLIARDS DE PETROLE

    23 juillet 2006 à 15 h 11 min
  • dan87 Répondre

    Tucroy Raconter n’importe quoi, n’est ce pas ce que tu fais? Si nous cotisons à la sécu, c’est simplement parce que c’est obligatoire! Avec menaces de contrainte à l’appui! Ceux qui ont voulu organiser leur propre sécurité sans cracher au bassinet ont eu des ennuis autres que des problèmes de santé. Que des citoyens choisissent la sécu comme moyen de régler le coùt de leurs futures maladies est normal puisque c’est leur choix … Et qu’ils ont ainsi l’impression de se cacher derrière les autres. Ca évite de regarder en soi les causes des désordres à assumer … et çà se paye par un surcoùt des cotisations! Mais d’autres choix plus adultes consistent à penser que l’on peut s’assurer différemment, ou à moindre coùt! … ou avoir un profond désir de vivre sa vie sans béquilles et sans lunettes déformantes : choisir d’assumer financièrement tout ou partie des risques et compléter par une assurance ce qui parait être au dessus de ses forces! Laissons la liberté à ceux qui l’assument. Ce n’est pas le cas de ceux qui défendent l’énergie nucléaire ou les OGM! Quand des individus se prennent pour des spécialistes mais qu’ils ne veulent pas assumer personnellement les risques liés à leurs certitudes, le bon sens indique clairement la direction à ne pas suivre: ces techniques là ne sont pas fiables parcequ’insuffisamment maîtrisées, ce sont les spécialistes qui le reconnaissent. Mais ces benêts sont prêts à mettre la vie des autres en danger pourvu que ça rapporte fric et pouvoir, ici et maintenant. Bernard Trémeau, le moyen âge de la pensée, c’est toujours l’irresponsabilité. Et le choix de l’irresponsabilité, c’est le choix de l’anti-science. L’intelligence des hommes qui doit répondre aux pénuries, c’est la direction inverse!. Ras le bol des violeurs portés au rang de scientifiques.

    23 juillet 2006 à 15 h 04 min
  • Tucroy Répondre

    à Pierre Il ne faut pas raconter n’importe quoi. Tous les assurés sociaux ne sont pas des demeurés et certains savent même lire. Il serait donc intéressant de demander au spécialiste de ces questions dont tu cites la brillante interview : 1. Pourquoi les salariés cotisent quasi unanimement à la Sécu. 2. Pourquoi ils ne cotisent pas ailleurs. 3. Quels types de risques ces organismes couvrent par comparaison avec la Sécu. 4. Quel est le mode de paiement des primes aux organismes susceptibles de se substituer à la Sécu. 5. ce qui se passerait dans le cas où un salarié cotisant ailleurs qu’à la sécu ne paierait pas ses primes d’assurances (soins et règlement du contentieux notamment)

    21 juillet 2006 à 8 h 35 min
  • grepon le texan Répondre

    Le socialisme, n’est rien d’autre dans sa finalite que l’organisation d’une penurie generalisee. La demonstration? Ben, l’union sovietique. L’allemagne de L’est d’autre de la meme epoch. La Koree du Nord. Cuba. etc etc, et lentement mais suremement, la France. On l’apelle assez souvent “An elegant third world country.” Le cote tier monde va en augmentation avec le poid toujours plus ecrasant du socialisme light. Cote penuries, ici au Texas nous allons contruire 11 nouvelles usines electriques brulant le charbon, et on planifie ajouter une centrale nucleaire nouvelle, la premiere depuis plus de 30 ans dans tout les USA. Comment ca? Ben, c’est le resultat meme d’un etat de liberte, le capitalisme.

    21 juillet 2006 à 5 h 20 min
  • Pierre Répondre

    Un article toujours plus politiquement correct de Bernard Tremeau qui pourrait figurer dans les feuilles de choux que sont Le Figaro, Le Monde, etc. Heureusement Il ya des patriotes comme Claude Reichmann et Alain Dumait pour sauver la mise! Cordialement A la une 13/7/06 Claude Reichman sur LCI « Si on ne remplace pas cette classe politique, la France va aller à la faillite Claude Reichman était l’invité du Journal de l’économie, dirigé par Eric Revel, le 12 juillet 2006 sur LCI. Nous publions le texte de son interview. Eric Revel : Claude Reichman, vous êtes un homme de droite, un libéral, vous êtes aussi un spécialiste de la sécurité sociale. Est-ce qu’il y a d’autres moyens, en France, que de chercher perpétuellement à boucher les trous de cette Sécu qui perd de l’argent ? Claude Reichman : Il y a un excellent moyen, c’est la mise en concurrence de la Sécurité sociale avec les sociétés d’assurance, les mutuelles et les institutions de prévoyance. Et figurez-vous que les lois sont votées. Seulement le gouvernement n’ose pas le dire, il a peur. Le journal Le Parisien-Aujourd’hui en France s’en est chargé lundi. Il a publié l’existence d’un document diplomatique dans lequel la Commission européenne a sommé le gouvernement français de mettre en œuvre ces dispositions, et le gouvernement français a accepté. Ce texte est disponible sur mon site Internet. Eric Revel : Vous dîtes qu’il est possible d’avoir une autre Sécu que la Sécu française ? Claude Reichman : Il est possible de s’assurer ailleurs qu’à la Sécurité sociale française. Vous pouvez vous assurer auprès de n’importe quelle société d’assurance. Eric Revel : On dit qu’il est impossible de se « désinscrire » de la Sécurité sociale française. Donc votre argument ne tient pas. Claude Reichman : Comment peut-on dire cela ? Il suffit d’ouvrir le code de la sécurité sociale, vous y trouvez les textes ! Eric Revel : Pourquoi le gouvernement, d’après vous, freine-t-il des quatre fers ? Cela permettrait d’avoir moins de dépenses ! Claude Reichman : Cela permettrait à chacun de dépenser moins, de redonner du pouvoir d’achat et du pouvoir d’investissement, mais c’est aller évidemment à l’encontre d’un tabou. Et ce tabou fait peur au gouvernement français, aux gouvernements français au pluriel. Ils ont tous eu peur. Mais ils ont quand même transposé les lois. Eric Revel : Alors Claude Reichman, vous publiez un livre d’entretiens avec Jean-Christophe Mounicq, qui s’appelle « La Révolution bleue ». Cela n’a évidemment rien à voir avec l’équipe de France … Claude Reichman : Elle joue en blanc. Eric Revel : Oui, mais on les appelle quand même les Bleus. Vous constatez les blocages de la société française et vous appelez les gens à venir le dire dans la rue. Claude Reichman : Oui, c’est ce que nous faisons. Nous en sommes à notre sixième manifestation nationale. Eric Revel : Un appel à la désobéissance nationale ? Claude Reichman : Non, pas du tout. Nous obéissons aux lois, mais nous voulons les changer. En particulier nous voulons remplacer la classe politique actuelle, qui est incapable de faire la moindre réforme. Pour une raison simple : ce n’est pas qu’elle ne puisse pas le faire, elle ne le veut pas, puisqu’elle repose sur un système de prélèvements et de redistribution qui fonde l’essentiel de son pouvoir. Si on ne remplace pas cette classe politique, la France va aller à la faillite ! Source: Claudereichmann.com

    20 juillet 2006 à 14 h 54 min
  • R. Ed. Répondre

    L’espace vital, dont parlaient les Allemands avant la deuxième guerre mondiale. Autrefois, les famines, les guerres et les maladies décimaient les populations humaines très régulièrement. Maintenant, on “essaye” d’éradiquer les maladies, on “essaye” de limiter les conflits, on aide les populations affamées, on les soigne, et la population mondiale croit d’une manière phénoménale. Le “territoire” de chaque individu se réduit comme peau de chagrin. Mais, l’humanité a stocké un nombre impressionant d’armes de destruction massive, pour ne pas dire de destruction totale, histoire peut-être de pouvoir remettre les compteurs à zéro d’un coup. Les populations “civilisées”, qui réduisent d’elles-mêmes leur descendance se voient contraintes par leurs élus d’accepter l’arrivée de populations “arboricoles” ayant eux une descendance lapinoïde. “”” Au motif “”” que nous ne sommes plus “”” assez nombreux “”” On a mis des milliers d’années pour arriver au milliard d’individus, mais à ce moment, quelques dizaines d’années ont suffit pour multiplier ce chiffre par 600 % Est-ce que ce ” phénomène” ne met la puce à l’oreille de personne, je veux dire par là à des gens de pouvoir ? Les riches sont au sommet de la pyramide, mais la pyramide ne s’agrandit que par sa base. La population mondiale s’accroit de plus en plus de pauvres, mais d’un seul côté de la planète, et ils veulent tous aller de l’autre côté. On ne pourra pas tous les acceuillir. Cela se terminera par un conflit majeur, surtout que ces pauvres, en plus se laissent envahir par une secte qui prône le retour au Moyen-âge, ou plutôt avant celui-ci. Cette secte, qui en quelques années a triplé son chiffre d’affaire, passant de 600 millions à 1 milliard et demi, mais sûrement à l’heure actuelle à 300 millions de plus.

    20 juillet 2006 à 10 h 13 min
  • Tucroy Répondre

    <> .J’ajoute pour être aussi bien compris que possible : … pour lui-même, sa famille, son parti, sa coorporation, sa religion, son pays, son entreprise, … J’en passe et des meilleurs.

    20 juillet 2006 à 6 h 45 min
  • Gino Répondre

    La naîveté de ce type est sidérante. Et toujours le même discours comme tu temps de Staline : “demain sera un monde meilleur”.

    20 juillet 2006 à 0 h 54 min
  • Tucroy Répondre

    Parmi les myrros dont parle SAS, je serais d’avis de classer tous ceux qui à l’instar de MINUS 75 parlent aussi légèrement de liberté. Ils semblent méconnaître un fait fondamental, qui est probablement à l’origine d’un grand nombre de nos malheurs. La liberté n’est pas une utopie, c’est une réalité, un bien que se partagent (avec beaucoup d’inégalité) tous les hommes qui peuplent la planète. La liberté est aussi une valeur relative, dont nous jouissons proportionnellement, non seulement à notre degré de civilisation (c’est ce qui découle de la vie en société – plus une société est organisée, plus la règle commune s’impose à l’individu au détriment de sa liberté personnelle) mais à notre nombre. Il fut un temps ou la liberté de chacun était réputée s’arrêter où commençait celle d’autrui. En d’autre termes, chacun est libre de faire et de dire ce qu’il veut, dès lors qu’il ne porte pas atteinte à la liberté d’action ou d’expression de l’autre. Ceci étant admis par les hommes de bonne volonté, la liberté peut être considérée comme un bien ou un espace que les hommes se partagent. Il en découle -et c’est ce que semblent ignorer ceux qui n’ont que ce mot à la bouche- que plus nous sommes nombreux à peupler la terre, un pays, une ville, un village, un quartier, un immeuble, plus la part de liberté de chacun se réduit. L’espace de liberté était le même pour les 250 millions d’hommes qui peuplaient la planète au début de notre civilisation et nous serons bientôt 10 milliards (si nous n’avons pas tous disparus avant) le résultat en termes de liberté relève de la simple arithmétique. En dépit de cela chacun réclame davantage de liberté pour lui-même. Quant aux chances pour l’homme fr se sortir de la situation (dans laquelle il s’est mis), voir le livre de Rees, Notre dernier siècle ? paru en début d’année. Quoi qu’il en soit le politique est avide de problèmes de société (sécurité, santé, paix, nutrition, énergie, etc… ) et pour cause. Les partis existants s’en emparent et en font chacun à leur manière (sommairement le plus souvent) leur aliment, le commun dénominateur en la matière étant la dramatisation qui n’est après tout qu’un abus de sensibilisation. Quand des problèmes nouveaux émergent ou prennent une ampleur suffisante pour alerter l’opinion, ils servent de terreau à de nouveaux partis qui s’y développent alors avec un bonheur variable, à plus ou moins grande proximité des partis existants. Trop heureux et jaloux de l’opportunité par laquelle ils sont nés, ils entendent toutefois en tirer un maximum de pouvoir, attesté par leur nombre de sympatisants et ils revendiquent leur indépendance (liberté oblige). Un échange s’établit dès lors aux termes duquel les nouveaux venus (satellites des partis en place) exploitent aussi radicalement que possible la situation à laquelle ils doivent leur naissance. Les partis établis en tirent les sous-produits, en échange de leur caution. tous agissant bien entendu au nom d’une sacro-sainte liberté dont plus grand monde ne sait de quoi il parle. Les média véhiculant les messages des uns et des autres, interviennent bien évidemment, par un simple effet d’aubaine et préoccupés par leurs tirages, ne manquent pas d’en rajouter.

    19 juillet 2006 à 21 h 52 min
  • sas Répondre

    A trémeau….on va peut être manquer de tout sur terre….mais pas de “tétards”…particulièrement en FRANCE , où les cons se reproduisent à une vitesse stupéfiante….vu qu’un sondage CSA indique que 48% de jeune (19/24)….sont confiants dans l’avenir….. optimiste je veux bien…myrro certainement pas…. sas nb) moi, c’est ce sondage qui me rassure pas pour l’avenir…

    19 juillet 2006 à 13 h 58 min
  • c.DUYT Répondre

    Bonjour! l’An dernier,j’ai lu un livre fort intérressant,écrit par thierry Milleman,publié par les éditions Osmonde qui s’intitule:La face caché du monde occidentale.Cet auteur developpe une argumentation assez convaincante;selon lui l’occident fait tout pour conserver sa suprématie économique,militaire,et technique,autrement dit tout est très bien contrôlé. Je suggère à tous les lecteurs des 4 verités de se procurer cet ouvrage et de le lire.Curieusement et à ma connaissance,il y eu peu de publicité sur ce livre. DUYT.

    19 juillet 2006 à 8 h 54 min
  • MINUX75 Répondre

    Bonjour Ce dont souffre la très grande majorité des habitants de la planète, c’est de LIBERTE. Le reste pétrole, nourriture, etc… c’est du pipo. Un peuple libre a de l’essence pas chère, de la nourriture à profusion etc… Si l’énergie coûte cher, c’est à cause des états qui taxent le pétrole sous toutes ses formes, que ce soient les émirats ou l’état français (la gueuse: http://www.midiassurancesconseils.com/MPLaCrisedelagueuse.htm) qui taxe l’essence à plus de 80%. Ce n’est pas pour rien que Adam SMITH a intitullé son livre “la richesse des nations” c’est ce à quoi mène le libéralisme. Enfin, le décalogue dans son “tu ne voleras point” constitue aussi un excellent programme économique, dommage qu’en france on prône exactement l’inverse. http://www.wagne.net/w3/tamtam/egliseinfo/decalogue/intro11.htm à bientôt

    19 juillet 2006 à 1 h 52 min
  • siniq Répondre

    Dommage il y a Bové et la terrible candidate vert qui se préoccupe plus des immigres que de la planéte.

    18 juillet 2006 à 18 h 54 min

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