Pour les Antilles françaises, l’indépendance

Pour les Antilles françaises, l’indépendance

Les Antilles, ces derniers confettis de l’empire disparu, transformées en départements sont une survivance anachronique. Nous ne sommes plus au temps de Colbert (1619-1683) et de la canne à sucre.

Deuxième constatation : de toutes les îles Caraïbes, c’est en Guadeloupe que le climat social est le plus mauvais. Pourquoi, dans les îles voisines, aux populations de même nature, les graves incidents qui se sont produits et continuent à se produire dans nos départements d’outre-mer n’ont-ils pratiquement jamais lieu ? Tout simplement parce qu’aux Antilles françaises, la mentalité est façonnée par le syndicalisme français, la CGT en tête, qui pousse les populations à la revendication, au racisme et à l’émeute.

Ayant perdu une partie de leurs troupes en métropole où nous n’en sommes plus au temps de Zola, les syndicats staliniens et trotskistes cherchent à en recruter d’autres : les noirs aux Antilles, les immigrés en métropole. On notera d’ailleurs que Besancenot et José Bové se sont empressés de ses rendre à la Guadeloupe pour soutenir les grévistes dans l’espoir que les troubles antillais essaimeront en métropole. On notera aussi qu’un Antillais a été abattu à coups de fusil, non pas par les gendarmes mobiles, mais par un autre Antillais qui, croyant tirer sur la voiture d’un commissaire de police a tué d’une balle Brenneck (par pachyderme) son frère de race, un syndicaliste du nom de « Jacky » Bino, ce qui, au demeurant, n’a entraîné aucune protestation des populations, seulement des regrets. Qu’en aurait-il été si ce « Jacky » avait été tué par un policier en légitime défense ?

Ces graves désordres sont d’autant plus inacceptables que l’économie de ces îles est totalement artificielle. En Guadeloupe, pour une exportation, on compte neuf importations venant de la métropole. Si les Antilles françaises étaient indépendantes, elles tomberaient en faillite en 48 heures. Et en six mois, elles seraient au niveau de Haïti, ancienne possession française, indépendante depuis 200 ans où tout n’est que misère et tueries permanentes. C’est, d’ailleurs, pour cela que les Antillais ne réclament plus l’indépendance. Ce qu’ils demandent, que dis-je, ce qu’ils exigent, c’est que les privilèges considérables dont ils sont comblés soient constamment augmentés, tout ceci ne les empêchant nullement de proclamer qu’ils sont traités « exactement comme au temps de l’esclavage ».

On notera aussi que ceux qui crient le plus fort sont des fonctionnaires qui ont la garantie de l’emploi. Certes, me dit-on, mais il ne faut pas oublier que les grands propriétaires et chefs d’entreprises aux Antilles sont des blancs. Et alors ! Le fait d’être de race blanche et de civilisation occidentale n’est tout de même pas une tare impardonnable. D’ailleurs, le président du patronat à la Guadeloupe, à ma connaissance, n’est pas un blanc mais un métis et rien n’empêche un Guadeloupéen travailleur et méthodique – il y en a – de réussir Polytechnique, HEC, ou tout autre concours, et de devenir chef d’entreprise à la Guadeloupe ou ailleurs.

Toujours est-il que les conséquences de ces grèves, pillages, incendies, qui seront indemnisés… se feront sentir là-bas pendant des années. Le contribuable métropolitain paiera. Eh bien, le contribuable, cette formidable vache à lait fiscale, bête à traire en toute occasion, en a assez. Il sait que les « isles » nous coûtent 7 milliards d’euros nets par an. Et qu’avec 2 fois cette somme, on aurait pu, par exemple, améliorer l’accès à la capitale pour des banlieusards qui, eux, travaillent. Il sait que lorsqu’on a abandonné les Etablissements de l’Inde en 1954, Pondichéry, Chandernagor, Yanaon, Karikal et Mahé, dont il fallait autrefois citer les noms pour avoir son certificat d’études, ce ne fut pas un drame, mais une péripétie et un soulagement. Un exemple à suivre.

Alors, pourquoi de telles aberrations au détriment des Français de France, contribuables honnêtes et travailleurs ?
Eh bien, je vais vous le dire : parce que les voix des électeurs antillais sont indispensables à l’élection du Président de la République. Elles font l’appoint. La démagogie électoraliste est, depuis des décennies, le fondement d’une politique qui ruine la France et accélère sa décadence. Tout cela n’est pas sérieux et fait cher de la banane et du bulletin de vote ! Les Antilles n’étant pas la Louisiane, que ces braves gens de l’outre-mer prennent donc leur indépendance et qu’ils nous montrent ce qu’ils savent faire avec leurs propres moyens!

Christian Lambert
Ancien Ambassadeur de France

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Comments (38)

  • Anticolonisateurs Répondre

    En 2017 pourquoi la france a t elle encore toutes ces colonies aux 4 coins du monde qu’elle appelle dom tom ? Pour étendre son térritoire et accroitre sa puissance ? Or en guyane ?
    A quoi sert le franc pacifique (polynésien calédonien tahitien walisien… etc ?
    A raquetter ces territoires tout comme la france raquette l’afrique francophone avec le franc cfa !!!!!

    La dette haitienne de 17 milliards d’euros versée a la france depuis 1825 on n’oubliera jamais comment la france fait payer crapuleusement ses indépendances…

    Mais on prends le risque on veut nos indépendances on veut notre paix on ne veut pas de colonisateurs escros envahisseurs chez nous.

    La france voleuse ne pourra jamais rembourser la totalité de ce qu’elle a volé aux peuples qu’elle a colonisé depuis 1492.

    Une france sans dom tom et sans corse finira comme elle mérite d’etre…. seule sur son continent cest tout ce que la france mérite.

    23 octobre 2017 à 21 h 03 min
  • MJR Répondre

    Excellent Monsieur l’Ambassadeur.
    Je me pose toujours cette questions : pourquoi les fonctionnaires qui ont oeuvré aux Antilles en reviennent-ils si souvent avec l’idée de leur donner l’indépendance ?
    C’est d’un référendum national dont nous avons besoin.
    En revanche la polynésie est plus utile.

    28 novembre 2016 à 2 h 43 min
  • Patrick Répondre

    Cet article ressemble fort au discours tenu par l’extrême droite, discours qui peut s’apparenter à un appel à la haine raciale déguisé en pseudo analyse socio-économique. Il est cependant facile de chasser sur le terrain du front national, et beaucoup n’hésitent pas à le faire. Et de nouveau, tous les clichés et lieux communs issus de l’obscurantisme post-colonial nostalgique viendront hanter un frange de français en mal de fierté nationaliste. Il faut se faire à l’idée que c’est un autre monde qui est en train de se construire, dans un contexte totalement différent et que tout ça est forcément inquiétant pour tout le monde….

    12 janvier 2010 à 0 h 09 min
  • sas Répondre

    Putain un article sur le sujet…digne des 4 vérités….merci au webmaster…(ca fera 2 fois) ,mais c’est pour la bonne cause…la comprenette….du plus grand nombre

    La face cachée des états généraux ultramarins

    Anna-Marie Le Pourhiet, professeur de droit, dénonce le règne de la démagogie qui s’instaure avec les états généraux ultramarins à venir. Où l’on apprend que les beke n’ont pas le monopole de la profttation.



    Manifestation de soutien à la grève aux Antilles - Soboul - Flickr - cc

    Manifestation de soutien à la grève aux Antilles – Soboul – Flickr – cc


    « Organiser des états généraux pour remettre à plat le modèle ultramarin
    », tel est donc le nouveau mot d’ordre gouvernemental, qui présuppose que « modèle » il y ait, ce dont il est permis de douter compte tenu du bricolage qui en tient lieu depuis si longtemps.
    Que va-t-on encore observer, dire et prescrire dans les ateliers de cette grand-messe tropicale ? Nous le savons à vrai dire déjà car les bibliothèques de l’Assemblée nationale, du Sénat, de la rue Oudinot et de Bercy croulent sous le poids des innombrables rapports remis depuis des décennies sur l’Outre-mer en général ou chaque collectivité en particulier. Tous ont parfaitement diagnostiqué les problèmes en présence. Localement et à Paris on ne compte plus les incessants colloques où se produisent de doctes experts qui viennent exposer savamment les pathologies du grand malade ultramarin.

    Exonération-subvention-dérogation

    Chaque débat budgétaire permet aussi au chœur de pleureuses des parlementaires d’Outre-mer de décrire la situation économique et sociale désastreuse de leur circonscription à laquelle les gouvernements successifs répondent par des lois (d’orientation, de programmation ou de développement) qui ne contiennent jamais rien d’autre que l’éternelle trilogie « exonération – subvention – dérogation », c’est-à-dire des discriminations positives territoriales jusqu’à l’écoeurement, au point de distribuer maintenant des billets d’avion gratuits aux frais du contribuable !

    Ces temps-ci nous avons encore vu se succéder les bavards incontinents qui déversent à chaque occasion leur pédagogie stérile. Tantôt ce sont des politiciens incapables de proposer autre chose que des « évolutions institutionnelles » dont on connaît la parfaite inutilité pour sortir de l’assistanat économique et social. Tantôt ce sont les habituels plumitifs qui nous abreuvent de leur jargon pédant et incompréhensible. Ils  nous expliquent ainsi refuser de « s’enfermer dans une verticalité royale pour le moins involutive », et proposent de prendre en compte « une réalité omnidimensionnelle, laquelle devrait d’abord nous inviter à fixer l’impensable », puis d’« aller en relations partenariales dans l’appétit d’un imaginaire libre », avant que « d’aborder aux rives salubres du poétique » (Patrick Chamoiseau, Le Monde, 14 mars 2009). Voilà qui fera assurément baisser les prix et le chômage !

    Les Beke n’ont pas le monopole de la profitation
    Quant au secrétaire d’Etat à l’Outre-mer il pense avoir soudain trouvé la formule magique dans « le tourisme, l’agro-nutrition et les énergies renouvelables »  ainsi que dans la « valorisation des universités ultramarines », mais l’on trouvait déjà toutes ces bonnes idées dans les discours tropicaux de Jacques Chirac qui n’ont cependant jamais servi à rien.   
    Dénoncer la « profitation » de certains serait crédible si celle-ci n’était pas la valeur la mieux partagée des sociétés d’outre-mer où chacun, du plus humble RMIste au Béké, en passant par les fonctionnaires, les syndicalistes et les élus locaux, fonctionne au passe-droit et au clientélisme. L’Etat de droit comme les principes républicains sont mal assimilés et l’Etat tout court n’accomplit pas ses missions régaliennes de contrôle du respect des lois de crainte de se faire accuser de mener une « politique d’oppression colonialiste ». On a ainsi pu lire des  rapports préfectoraux reconnaissant avoir négligé le contrôle des actes des collectivités territoriales au prétexte des « troubles à l’ordre public » que pourrait déclencher la sanction des illégalités.

    Les chiffres du chômage faussés par le RMI
    Que dire de l’incurie de la gestion publique locale en matière de transports en commun, d’urbanisme, d’environnement, de perception des impôts locaux, d’assainissement, ou d’entretien des routes et trottoirs ? Fort-de-France et Pointe-à-Pitre sont sans doute les deux capitales régionales les plus insalubres de France. Où est donc passé l’inventaire tant attendu de la gestion d’Aimé Césaire ? Que dire aussi du cumul fréquent du RMI et d’un travail clandestin qui fausse les chiffres du chômage et contre lequel les services de contrôle ne luttent pas franchement ?
    L’Etat-providence est sans doute omniprésent mais l’Etat régalien a peur de son ombre et on a pu le constater encore dans l’attitude timorée d’Yves Jégo. La routine en réalité. Que des étudiants incendient, en 1996,  un véhicule à Cayenne et voilà aussitôt deux ministres qui montent dans le premier avion pour démanteler stupidement l’académie des Antilles-Guyane.

    La question n’est pas de savoir si le passé esclavagiste cicatrise ou non, elle est qu’on ne veut surtout pas le solder car c’est un moyen de pression et de chantage quotidiens d’une efficacité formidable. Il justifie absolument tout y compris l’infantilisme syndical, les grèves à répétition et les menaces et agressions qui les accompagnent.
    Comment faire taire la critique d’un professeur métropolitain contre une mauvaise formation qui nuit aux étudiants, sinon en lui lançant, en plein conseil scientifique de l’Université « C’est le retour du pouvoir blanc ! » ? Inutile de prétendre « valoriser » l’Université des Antilles et de la Guyane alors qu’elle est à la queue du classement français pour cause de recrutement endogame des enseignants-chercheurs. Que l’on fasse donc un audit de l’enseignement du droit en Guyane et l’on constatera qu’il n’y pas que les Békés qui éliminent la concurrence. Quand la « préférence autochtone » devient la règle dans un territoire, la médiocratie s’installe au préjudice dramatique des générations futures. Ajoutons y la sur-rémunération des fonctionnaires avec son injustice criante et ses effets inflationnistes bien connus et la faillite est assurée.

    L’Outre-mer français marche sur la tête et vit au dessus de ses moyens. Si les états généraux prévus ne servent qu’à entendre ressasser les sempiternels constats et que l’Etat recule de nouveau devant les mesures drastiques à proposer gageons qu’on aura encore palabré pour rien et qu’il ne restera plus aux contribuables qu’à payer la facture. Comme d’habitude.
     


    Dimanche 05 Avril 2009 – 00:37

    Anne-Marie Le Pourhiet
    sas aurait pu l’écrire…..avec plus de fautes de frappes….

    7 avril 2009 à 0 h 32 min
  • sas Répondre

    Commenter (1)

     

    Le scandale de la Soderag n’en finit pas de secouer les Antilles et la Guyane. Cette société publique a accordé des prêts à des entrepreneurs dont on exige des remboursements prohibitifs. Les emprunteurs réclament justice.

    Un authentique scandale. Il empoisonne la Caraïbe depuis plus de vingt ans. Les agissements d’une société de développement régional ont entraîné la ruine de plusieurs centaines de petits patrons, certains allant jusqu’à se suicider.

    Son nom? Société de développement régional Antilles-Guyane (Soderag). Sa mission ? Financer les projets d’entrepreneurs désireux de se développer à la Martinique, à la Guadeloupe et en Guyane. Une bonne idée.

    La Guadeloupe, ses paysages paradisiaques,... et son scandale de la Soderag.

    Photononstop

    La Guadeloupe, ses paysages paradisiaques,… et son scandale de la Soderag.

    Sauf que l’aventure s’est terminée en fiasco. D’abord, parce que bon nombre d’emprunteurs, pris à la gorge, se sont trouvés dans l’obligation de rembourser jusqu’à dix fois les fonds empruntés !

    Ensuite, parce que la Soderag, adepte de gymnastiques financières en tout genre, a fini par sombrer: ses pertes cumulées sur vingt ans (1988-2008) ont atteint le montant pharaonique de 140millions d’euros! Près de 1 milliard de francs!

    Un non-lieu, à la grande colère des parties civiles

    La justice, saisie par ces petits patrons grugés, s’est hâtée lentement, en dépit de plusieurs plaintes déposées à Fort-de-France -la première remonte à 1998- pour escroquerie, abus de confiance et faux, usage de faux. Il y a peu, un juge d’instruction a clos ses investigations par un non-lieu. A la grande colère des parties civiles, qui, regroupées au sein d’une association dénommée Promodom, ont interjeté appel via leur pugnace avocate, Me Geneviève Neuer-Jocquel.

    Dans le courant du mois d’avril, la cour d’appel de Fort-de-France dira s’il y a lieu de poursuivre l’information judiciaire et si les parties civiles doivent être entendues. Or, à ce jour, ce qui ajoute au scandale, elles ne l’ont jamais été!

    "Nous n’avons plus rien à perdre", confie à L’Express Dina Tosato, propriétaire de l’hôtel l’Ecrin bleu, au Diamant (Martinique). En 1992, avec son époux, Yves, elle y achète un terrain pour construire un hôtel. Elle emprunte -sur quinze ans- 300 000 euros à la Soderag pour mener à bien son projet.

    Comme tout emprunteur, le couple Tosato verse à la Soderag 5% du montant du prêt -soit 15 000 euros- à titre de garantie. Au cas où il serait défaillant. A l’inverse, s’il honore ses engagements, il récupérera les fameux 5%.

    Pendant plusieurs années, Dina et son mari remboursent 2400 euros par mois. Jusqu’à ce qu’en 1995 survienne un pépin: la venue du cyclone Iris, qui entraîne une cessation d’activité de six mois pour l’hôtel. Du coup, les Tosato obtiennent une suspension du paiement de leurs échéances. Procédure classique.

    La suite l’est beaucoup moins. En raison de la liquidation de la Soderag, reprise en 1998 par une autre entité publique, l’Agence française de développement, le contrat de prêt change du tout au tout. Un nouveau calcul, aussi compliqué que léonin, est mis au point. Tant et si bien que les Tosato ne peuvent plus rembourser leurs traites.

    La ruine de plusieurs centaines de petits patrons

    Aujourd’hui, alors qu’ils ont souscrit un prêt de 300 000 euros, dont la moitié a été honorée, Dina et Yves se voient réclamer 1 400 000 euros! Le cas de Jules Douglas est tout aussi ahurissant. En 1988, ce transitaire en douane installé en Guyane emprunte -toujours auprès de la Soderag- 4 283 000 francs (plus de 650 000 €) afin de financer l’édification d’un hangar.

    Pendant six ans, Douglas rembourse les traites. En 1994, il tombe gravement malade et part se faire soigner en Suisse. Pendant son absence, des membres de sa famille le suppléent dans ses dettes. Comble de malheur: des grèves paralysent l’activité économique de la Guyane. C’est à ce moment-là que, de montages compliqués en taux d’intérêt faramineux, la Soderag réactualise sa créance à l’égard de Douglas.

    Et de quelle manière! Aujourd’hui, ce commissionnaire, qui a réglé les trois quarts de son prêt, se voit réclamer… 7 millions d’euros. Les huissiers s’impatientent. Comme le 22 mars, où l’un d’eux est venu sommer Douglas de régler illico 1 million d’euros.

    Victimes d'un calcul abusif de leur emprunt, Yves et Dina Tosato (à dr.), propriétaires de l'hôtel l'Ecrin bleu (à g.), à la Martinique, ne peuvent plus rembourser leurs traites.

    D.R

    Victimes d’un calcul abusif de leur emprunt, Yves et Dina Tosato (à dr.), propriétaires de l’hôtel l’Ecrin bleu (à g.), à la Martinique, ne peuvent plus rembourser leurs traites.

    Jean Kalil, gérant d’un magasin de meubles à la Martinique, se trouve lui aussi étranglé: il doit rembourser trois fois le montant de son prêt!

    Que dire de la mésaventure subie par cet industriel guadeloupéen, Jean-Louis Drivery? Au début des années 1980, il emprunte 18 millions de francs à la Soderag, non sans s’être fait prélever -à titre de garantie- les 5% du montant total du prêt, soit 950 000 francs.

    Dix ans plus tard, alors qu’il a tenu ses engagements, une mauvaise surprise l’attend: la Soderag refuse de lui restituer les 950 000 francs.

    Quelle que soit l’issue de cette histoire, elle illustre parfaitement le rôle de l’Etat aux Antilles-Guyane: toujours prêt à aider les entreprises à investir… mais à des conditions léonines. Et, en cas de pépin -ici, des prêts impossibles à rembourser- l’ Etat se défausse.

    Arlette Grosskost, députée (UMP) du Haut-Rhin, vient de proposer la création d’une commission de rédaction des prêts -elle sera examinée par l’Assemblée nationale très prochainement- afin de permettre une "présentation lisible" des contrats de prêt.

    Une initiative judicieuse qui, adoptée, devrait permettre à l’avenir d’éviter des désastres du type de celui de la Soderag.

      

    4 avril 2009 à 17 h 11 min
  • SAS Répondre

    hoooo PUTAIN……les frangins battent machine arrière toute (peut être n y a t il pas eu assez de morts en guadeloupe)……notre secretaire d etat Yves JEGO vient ,sur place rétro-pédaler et nous promettre plus de droit….que la justice s’applique…..

    il est vrai que les politiques locaux l ont boudés…..plus personne n’est d accord sur rien….c’est le fouttoir total….200 EUROS  pour tous les fonctionnaires etassimilés…..queue dalle pour tous les autres….faillites et chômages a profusion après les 38 et 44 jours de grèves co-organisée….

    et IN finé un "frère" bon teint qui a fait l ENA SAMUEL Richard…..est ce le frère d’un autre frère SAMUEL (qui fut procureur de la république a fort de france…..adepte de la gay pride…et dont un autre frère encore sera enfin condamné en correctionnelle pour escroquerie…malgré la haute protection du procureur)…..voilà qui en dit encore long sur les intrigues et les manipualtions….

    bien malin qui peut comprendre maintenant….

    de toutes évidences, ils n ont pas aimé les projecteurs….et que les auteurs et tireurs de ficelles soient ainsi montré du doigt….

    Donc au dernière nouvelles, JEGO voudrait enfin réinstaller le droit en martinique….

    je crains que ce ne soit insuffisant, il faut aller rechercher l argent volé et détourné….remettre les magistrats au pas, viré les indolents et chasseurs de primes….INDEMNISER LES VICTIMES RECURRENTES…..et soustraire ces sommes aux budgets de l outre-mer….

    là ça sera vertueux…

    sas

    25 mars 2009 à 14 h 11 min
  • vitruve Répondre

    R.ed
    au temps pour moi cher ami!
    en effet concernant le mot créole, j’ai fait la faute impardonnable pour quelques lecteurs des 4V pointilleux sur le sujet, il s’agit bien sûr de blancs de "race pure* " ( sic le Quillet Flammarion )…
    Mais comme  vous avez pu le remarquer depuis que j’interviens sur ce site, les pedigrees divers, les variantes épidermiques et autres notions de classification qu’on a utilisés dans un passé pas si lointain pour définir les individus représentants la race humaine ainsi que les divers ressentiments y afférant me sont totalement étrangers et dépassés, particulièrement en raison des relents nauséeux qu’ils véhiculent.
    Je pense dans ce cas que c’est l’écoute et la photo de la pochette de"la compagnie créole" qui m’a induit en erreur .
    mea culpa!
    *descendants d’Adam et Eve ou de Nanabozo le grand Lapin*?
    courtoisement

    * réservé aux initiés des grand Albert et petit René…

    19 mars 2009 à 7 h 42 min
  • vitruve Répondre

    j’oubliais: je suis aussi pour qu’on donne l’indépendance à toutes ces iles , y compris celle qui d’après Hans qui l’a comparée ( à Colmar ils en rigolent encore…) à l’Alsace est un exemple de gestion pour tout le pays de par ces résultats à l’export et la vertu appliquée par ses élus, j’ai cité la Corse…

    19 mars 2009 à 7 h 42 min
  • R. Ed. Répondre

    Version édulcorée…

    @ VITRUVE !

    créole : définition du PR (Petit Robert, que je vous conseille en passant)

    personne de "r..e" blanche née dand les îles tropicales, par exemple les Antilles.

    Alors, de deux choses l’une, soit vous ne maîtrisez pas la langue, soit c’est du second degré. J’ose opter pour la seconde interprétation.

    Bien à vous, sacré farceur

     

    17 mars 2009 à 18 h 58 min
  • VITRUVE Répondre

    tiens rev’là les néocons qui se réveillent!

    17 mars 2009 à 18 h 39 min
  • siniq Répondre

    Notre Vitruve pourfndeur de la veuve et de l’ orphelin nous fait du Boudin, serait il belge car si Hans est Alsacien, lui il en aurat.

    16 mars 2009 à 18 h 30 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Vitruves <<reportez votre acrimonie sur les salauds de ce monde, il n’en manque pas>>

    Pour vous tout nanti est un salaud. Je déteste les gens qui généralisent . Qu’appelez-vous un nanti? Vous en êtes un par rapport à un sans-toit à Calcultta.

     

    16 mars 2009 à 16 h 58 min
  • VITRUVE Répondre

    @Hans, lâchez-moi les baskets* SVP, nous n’avons pas fait de placements à St Barth ensemble…
    reportez votre acrimonie sur les salauds de ce monde, il n’en manque pas…

     

    16 mars 2009 à 11 h 46 min
  • HansImSchnoggeLoch Répondre

    Vitruves: <<le nanti qui y séjourne>>

    Peut-être, monsieur, devriez-vous surveiller votre language.
    Par rapport à la petite bonne et au serveur de bar vous aussi êtes un nanti, que vous le vouliez ou non.
    D’autre part celles ou ceux qui vont passer leurs vacances dans ces îles ne sont pour la plupart pas plus nantis que vous ou moi. Le fait d’y aller apporte un peu de finances à ces îles, qui sinon n’ont pas grand chose d’autre à offrir. A moins que vous,  le grand vizir qui sait tout, ne les transformiez tous en Rockfeller d’un coup de baguette magique . Faites le ou …!

    15 mars 2009 à 11 h 11 min
  • VITRUVE Répondre

    A ceux qui confondent croisière et humanitaire…
    "Cayman, Bahamas, Répu. Dominicaine, Porto Rico, Iles Vierges, St. Ktts-Nevis, Antigua, Montserrat, Dominique, Ste Lucie, St.Vincent et les Grenadines, Barbade, Grenade, Tobago, Antilles Néerlandaises, se débrouillent, et parfois plus que très bien".
    la vie est effectivement agréable pour le nanti qui y séjourne mais la petite créole qui fait votre chambre où le serveur du restaurant sont-ils couverts par la sécu et touchent-ils un smic? Et je ne parle pas des caisses de retraite, c’est vrai qu’ici avec une banane, sous une tôle à l’abri du soleil, un fainéant de nègre peut survivre aisément…

    15 mars 2009 à 8 h 29 min
  • GUS Répondre

     

    Le Général n’avait de ces scrupules. Lorsque la guinée de Sékou Touré a exigé de la France l’autonomie, çàd, on veut bien votre fric mais pas vos gueules, le Général leur a dit:" l’autonomie, jamais, l’indépendance, je vous la donne tout de suite". En 24 heures la chose était faite, et du jour au lendemain, le contribuable français n’a plus envoyé un rond en Guinée: Mais le général n’était pas une lope…

    14 mars 2009 à 19 h 37 min
  • Mr BOUCHAERT Répondre

    Mr LAMBERT

    Mr SARKOZY n’a surtout pas besoin des voix des DOM pour son election

    resultat  officiel du 2° tour dans les antilles martinique ,guadeloupe,reunion,guyane

                                 SARKOZY                      322301 voix

                                      ROYAL                       464217 voix 

    J-Ch

                                                                                  

    13 mars 2009 à 18 h 35 min
  • joseph44 Répondre

    Pour avoir connu une situation un peu semblable en Algérie avant l’indépendance je diras ceci:

    Les guadeloupéens comme le reste des DOM TOM ne cherchent pas à en avoir plus sinon c’est foutu pour eux. Ce qu’ils cherchent c’est avoir  la considération de la métropole. Ne pas servir de faire valoir comme dans le sport ( toutes les équipes de France en générale) . Pourquoi les fonctionnaires de métropole mutés, perçoivent des salaires supérieurs de 40% et des congés administratifs alors qu’ils jouissent d’un climat exceptionnel. Pourquoi les habitants de ces territoires voient leurs diplômes ou leurs qualifications professionnelles dévalorisées du moment qu’ils intègrent la métropole. Qui profitent finalement de ces territoires en fabriquants les produits qui y sont vendus sur place.

    13 mars 2009 à 12 h 35 min
  • sas Répondre

    Avis aux amateur…..dont notre lance internationnale…

    Il y a un très bon article sur l express…..sur les frangins qui n ont aucun pouvoir en FRANCE….

    bonne lecture et bone compréhension…….enfin si vous pouvez…

    sas

    13 mars 2009 à 12 h 02 min
  • dagmar Répondre

    a Vauze R Declasse

    tant mieux  pour eux donc s’il obtiennent l’indépéndance. Ras le bol de se faire sans cesse de culpabiliser parce que on est né avec la peau blanche. Ras le bol de racisme à l’invers. S’ils s’en sortiront, tant mieux. Ras le bol de payer,

    Dagmar

    13 mars 2009 à 10 h 57 min
  • MdM Répondre

    @Jaures,

    Je pense que beaucoup de choses vous ont échappé.

    Vous citez la Creuse, l’Indre, la Dordogne, le Jura et la Haute-Corse, dont on pourrait se passer, selon vous. Vous n’avez certainement pas remarqué que ces départements ne sont pas à des milliers de kilometres, mais qu’ils sont en pleine France (France métropolitaine bien sur, pour pas que vous puissiez chicaner un peu plus).   

    Vous n’avez pas non plus compris que ces départements sont des départements français à part entière. Aux Antilles on est sous des lois spécifiques et surtout sous le régime d’une sécurité sociale complètement à part. 

    • Il suffit d’y voir le monde qui fait la queue dans les pharmacies.
    • Il faut aussi noter la quantité d’Iisliens qui viennent se faire soigner tous frais payés chaque été pour faire du tourisme dans nos cités thermales, ceci pour toutes sortes de petits bobos alors que beaucoup ont tout juste 30 ans !

    Enfin, comme vous ne voyez que ce qui colle avec votre idéologie étriquée, vous avez oublé de citer le principal département déficitaire en métropole : le 93.

    Enfin vous n’avez pas compris que les départements que vous citez ne se plaignent pas d’avoir été "réduits en esclavage".  Et justement les peuples qui se plaingent d’avoir été réduits en esclavage ont tout intéret à montrer ce qu’ils saventt faire par lui-même.  Donnons-leur donc leur chance !

     

     

     

    13 mars 2009 à 7 h 20 min
  • orober Répondre

    Réponse à Jaurès : Je pense que ce que vous écrivez, c’est de l’ironie. Ce ne peut pas être vous qui réagissez en termes de rentabilité. Nos Départements, qu’ils soient éloignés ou non, nous y tenons ; que ça vous plaise ou non, c’est Notre France : nous n’avons qu’une chose à faire, à souhaiter, dire à nos Gouvernants quelqu’ils soient, de prviligier nos départements éloignés, et oui ! Le siècle n’est pas aux divisions, bien au contraire, et en + les Français non seulement ne sont pas racistes, comme mala-droitement la gauche voudrait nous inciter, mais comme le disait le Général de Gaulle,Président, c’est bon, c’est grand, c’est généreux la France, et j’ajouterai son Amour de l’Humanité est étendu ; avis à ceux qui s’arrogent le monopole de l’Humanité, le poing en l’air, la lutte à la bouche.

    13 mars 2009 à 5 h 29 min
  • Jean-Claude SEGUY Répondre

    Merci Monsieur l’Ambassadeur pour ces petits rappels historiques.

    12 mars 2009 à 18 h 24 min
  • Guillermo Répondre

    A Joresse,

    le mensonge institutionalisé de gôche a parlé.  Cite donc tes sources d’abord ….. et donne également les chiffres des Isles.

     

    12 mars 2009 à 17 h 35 min
  • Yehud COHEN Répondre

    Très sincèrement Mr. DECLASSE, je pense que vos 7 vérités sont exactes. Je n’ai pas écrit le contraire. Mais je maintiens 100% les miennes qui ne sont pas du tout opposées aux vôtres.

    Tout va dans le sens de nos 14 vérités.

    Lisez bien ce qu’écrivent ceux qui connaissent les îles (sas et "telecomitalia.it" par exemple),

    Une seule solution: couper totalement l’aide française et Européenne et larguer les amarres des Antilles Françaises. Toutes les autres communautés des Caraïbes se débrouillent relativement bien, voire très bien, avec moins d’atouts que la Martinique et la Guadeloupe,(sauf Haïti bouffée par la maladie inoculée par la France de l’intellectualisme de gauche et par la drogue).

    Cayman, Bahamas, Répu. Dominicaine, Porto Rico, Iles Vierges, St. Ktts-Nevis, Antigua, Montserrat, Dominique, Ste Lucie, St.Vincent et les Grenadines, Barbade, Grenade, Tobago, Antilles Néerlandaises, se débrouillent, et parfois plus que très bien. Les seuls nids à problèmes sont ceux où sévissent en grand les idées de gauche (Cuba, Haïti, Guadeloupe, Martinique) ou la drogue (Jamaïque, Haïti).

    On voit donc très bien le caractère inhumain et le résultat final inéluctable de toute pensée de gauche (aux pseudo-nobles intentions, systématiquement et toujours mises en défaut quand la réalisation pratique à long terme intervient). L’isolation insulaire met très bien cette vérité imparable en évidence, ce qui est plus occulté en Europe par l’imbrication géographique des états.  

    Y. Cohen 

     

    12 mars 2009 à 11 h 40 min
  • sas Répondre

    Le fonctionnement de ces îles est tel que l economie tourne en boucle…..CHACUN AYANT SUCE LE PACTOLE….il s’étiole….mais au passage ils fait des "branleurs et ds heureux"…il y a effectivement du gros pognon….mais ce système ne produit aucune richesses….il en consomme parce que les poches qui décaissent ne sont jamais les poches qui encaissent , ce’st pareil en FRANCE…. et jaures a raison séparons nous aussi du vercor du limousin et de la creuse….

    Stop aux cons….les frangins et une poignée de plumitifs ou autre névrosés du passé veulent l autonomie pour garder le pognon et pas rendre de comptes…vous savez "responsables pas coupables"….et bien faut leur dire NON,comme de plus ce sont des indépendantistes de la fonction publique surémunérée  qui ont été ou sont dans des embrouilles et autre detournement SYSTEMATIQUES d’argent…..public

    rien que pour cela il faut s y opposer…

    sas

    11 mars 2009 à 21 h 06 min
  • sdez Répondre

    Je ne suis pas d’accord, je suis pour la création d’un Ministère d’Etat en charge de la politique maritime car les enjeux sont considérables, bien au-delà de quelques problèmes sociaux…La question démographique est capitale à prendre en compte, à relier à la question du développement de la Guyane! http://www.la-france-contre-la-crise.over-blog.com

     

    11 mars 2009 à 19 h 47 min
  • Vauze R Declasse Répondre

    Mes 7 verites mr Cohen c’est la verite, elles blessent, mais c’est la verite.

    Les Antillais seront libre. Qui vivra verra. Email moi si ca vous interessent.
    La verite ne droit pas nous diviser. Elle divisent seulement les egoistes

    Vauze R Declasse
    [email protected]

    11 mars 2009 à 19 h 35 min
  • doerflinger Répondre

    tout a fait d’accord avec vous. Qu’on leur donne l’indépendance et qu’ils nous prouvent ce qu’ils savent faire.

    11 mars 2009 à 18 h 46 min
  • Jaures Répondre

    Je propose également que l’on donne leur indépendance à la Creuse, l’Indre, la Dordogne, le Jura et la Haute-Corse.

    Ces départements participent peu au PIB national et nous coûtent cher en allocations.

    11 mars 2009 à 17 h 42 min
  • Anonyme Répondre

    j’ai vécu 2 ans à La Réunion et cela m’a suffi bien que mon budget se soit trouvé singulièrement amélioré par rapport à la Bretagne et sans être fonctionnaire en service ou même retraité (cout de la vie globalement plus bas). En plus j’avais le climat, les randonnées sur les volcans et dans les cirques, la baignade toute l’année…

    La Réunion est pourrie, complètement et les principaux responsables de cette situation sont Michel Debré (papa debré)  et le PCR

    Mais La réunion est symbolique en deux aspects:

    1.sa surpopulation: 800.000 habitants (hors diaspora) que des hommes poltiques dont Vergès se flattent de devenir sous peu Un million sur un confetti de 70X50km (en Nouvelle Zélande: 4 millions! et il faut voir en plus ce qu’ils ont réalisé par eux mêmes) , sur une île qui n’a et ne peut avoir aucune économie concurrentielle, son histoire même coloniale l’a prouvé. avec ses différentes crises: géranium, vétiver ou cannelle ou canne maintenant…

    2. le % des habitants est: 30% blancs, essentiellement fonctionnaires (on a pu voir leurs talents lors de la cris du Chikungunya) , les noirs 35%, les indiens 28% et les chinois 5%.

    Quand l’esclavage a été supprimé et comme la canne se développait, on a cherché de la main d’oeuvre en Inde et à Canton. Ce furent les "engagés". Leur sort était proche de celui des anciens esclaves. Ils étaient tout aussi analphabètes. Ert que croyez vous qu’il soit arrivé 160 anns plus tard?

    Palabre + fête + sexe cela ne donne pas forcément de bons résultats par rapport à études + volonté + travail. La variable professionnelle? la politique et son clientélisme et la fraude!   entre autres!

    Voir à côté l’île maurice.? Pourquoi?

    Au bout de deux ans vraiment j’en ai eu assez de voir que la France n’était en fait qu’une vache à lait pour une grande quantité de feignants et de tricheurs, champions de la subvention ! Et que vache à lait elle entendait bien le rester.

    Il ya aurait encoe tant à dire sur ce scandale posé sur l’océan indien!

    11 mars 2009 à 15 h 14 min
  • lucterios Répondre

    A l’évidence,nous ne pourrons nous séparer de ces fardeaux,DOM etTOM,qu ‘à la suite de la grave crise  dans laquelle nous entrons.
    Nos dirigeants étant ce qu’il sont,et définitivement incapables d’adopter une attitude courageuse dans n’importe quelle situation,préoccupés eux aussi à profiter au maximum de leurs rentes de situation,(pouvoir,argent,népotisme),ils continueront ainsi jusqu’à la chute finale.
    Chute qui ne saurait tarder vu la situation catas trophique dans laquelle se trouve le pays.
    D’ou l’impossibilité de continuer d’ assurer les fins de mois de ces raleurs professionnels que représentent les syndicats gauchistes.
    Alors il sera bien trop tard pour pleurer sur le pot au lait renversé
    Alors nous pourrons larguer les amarres.
    L’histoire sera cruelle pour tous.

       Qui souffle le vent ! récolte la tempéte!

    11 mars 2009 à 14 h 30 min
  • sas Répondre

    Vous n’avez décidément pas compris grand chose….

    ON RECOMENCE:

    1° les békés ne peuvent conserver leurs positions dominantes éhontées que"parce que la justice et les fonctionnaires locaux les supportenet"……et souvent en situation délictuelle et contraire à la loi…

    2° ENTRE LES  FONCTIONNAIRES SUREMUNERES 40%+chomeurs et autres assistés + ALLOCATAIRES en tous genres+ CERTAIN SECTEURS SUBVENTIONES  association ,agriculture,etc,etc (ex les planteurs 60% de transfert nat. et européen PAC) l économie publique ou semi publique représente 80à85 % de l argent qui circule……a) IL N Y A DONC PAS DE PAUVRE SUR CES ÏLES (impossible avec toutes kles aides sociales qui se superposent)b) aucune collectiviyté n’a de suituation financière saine (80% de leur budget est boffé par une masse salariale plethorique ,népotique et inutile=rente)…C’est donc une économie de marche non libérale mais captive, qui tourne en rond et s’appauvrie au lieu de créer des richesses comme tous système capitalistique…..

    3 ° l economie est soviétisée….les 15% privé  représente rien ,c’est pour cette raison que l on peut se permettre en 2005 un grève des banque durant 3 mois…..sans conséquence pour les tordus subventionnés…

    4° TOUS PAYS DOIT AVOIR LES DEPENSE EN RAPPORT AVEC SA PRODUCTION(taux couverture imp/exp 7 %) nous avons le train de vie de la californie et le PIB de la somalie…..ca ne marche pas

    5°LES SUBVERSIFS, LES NUISIBLES, LES INCOMPETENTS QUI ONT DU TEMPS LIBRE:  sont tous syndicalistes de la fonction publique…et c’est eux qui réclame de force un alignement sur leur PRIVILLEGES HONTEUX ET EXORBITANTS….aucune économie vertueuse ne peut résister à ce genre d’arbitraire…

    6°Ce qui nous tue aux île(le cout et linefficacite de la fonction publique) nous achève en FRANCE…..il convient donc de diminuer de force et immmédiatement la dépense publique….ce qui diminuera la fiscalité assassine…..ce qui redonnera enfin de la marge de manoeuvre à l investissement

    Sachez, mes amis….qu un fonctiionnaire à la retraire nous coute plus cher qu’en activité! ! ! ! ! avec cette logique maffieuse et ripoublicaine donc maçonnique….il eu mieux valut les laisser en poste et crever à leurs postes….

    Il faut donc s attaquer enfin aux réeelles causes sérieuses et profondes……de ce qui nous détruit.

    LES LOGES……le manque de morale, l exonération de lois et de droit pour quelques initiés….

    et ca c’est un vrai boulot

    sas 

    11 mars 2009 à 14 h 24 min
  • Yehud COHEN Répondre

    Les 7 vérites Mr. Declasse

    Les Antillais noirs francophones sont:

    1- Frivoles

    2- Racistes

    3- Incorrigibles

    4- Paresseux

    5- Pompeurs de fric

    6- Méchants

    7- Manipulatés

    Yehud Cohen

    11 mars 2009 à 13 h 41 min
  • sas Répondre

    Detrompez vous mon cher ami……c’est toujours un endroit de haute FLIBUSTERIE

    ……les bandes de corsaires locaux(fonctionnaires maconiques) oeuvrent et pillent au profit du roi (de la présidence) et de son gouvernment (la prédation locale irrigue la corruption nationnale)……au paravent c’etait au sein des reseau de la droite monarchiste ou aritocratique: gnlf, glf…….maintenant il s’agit de roturier appatride : les adeptes du mont sinaï et c’est donc le GO qui est en action….

    rien n’a vraiment changé…..et les dizaines de dossiers judiciaires complets et précis qui racontent en détails les opérations de captations et dépouillement des "profanes " des îles par des magistrats , avocats, hyuissiers, expert…..et autres auxilliaires de justice

    ces dossiers existent et sont à la disposition de quiconque ayant une once de pouvoir indépendant en france , de l honneur et de la droiture…qui voudrait s’en saisir

    Il m’est avis ,que ce n’est pas demain la veille….

    J’attend donc patiamment l’arrivée aux affaires de JEAN MARIE LEPEN  et du front nationnale….car je crois qu’il y a là des milliards a récupérer aux bons endroits….sans efforts , et que ce serait justice et salutaire pour tous.

    sas 

    11 mars 2009 à 13 h 07 min
  • Vauze R. Declasse Répondre

    Les 7 verites mr. l’Ambassadeur

    Les colons sont:
    1- Avares
    2- Racistes
    3- Incorrigibles
    4- Egoistes
    5- Orgueilleux
    6- Mechants
    7- Manipulateurs

    Vauze R Declasse

    11 mars 2009 à 12 h 30 min
  • St Tex Répondre

    Encore une fois, on constate pour la n-milliardieme fois que les Français qui travaillent payent pour les autres ; OK

    Alors on fait quoi concrètement pour que ça cesse ?  proposition CONCRETE ?

    Nota : une balle brennecke est une balle pour la chasse au sanglier, pas au pachyderme qui nécessite du 460 Weaterby.

    11 mars 2009 à 11 h 14 min
  • jean-pierre Répondre

    Tout à fait d’accord avec Mr Lambert,  Indépendance pour toutes ces iles . Plus un "centime" versé par les contribuables Français .

    11 mars 2009 à 10 h 34 min

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