Pour ma retraite, laissez-moi faire

Pour ma retraite, laissez-moi faire

Les temps économiques difficiles que nous vivons nous obligent à redécouvrir les règles de l’économie du bon sens : les dettes appauvrissent, seule l’épargne permet de s’enrichir.
Ce qui veut dire que la relance de l’économie par les déficits n’était qu’une foutaise. Que la seule réponse valable à la crise, c’était la libération de l’épargne.

C’est aussi la seule solution durable au financement des retraites.
Qui peut nier que, pour ses vieux jours, chacun forme un projet personnel. L’un souhaitera continuer à travailler jusqu’à 80 ans, l’autre souhaitera s’arrêter à 50. Tel voudra mener une autre carrière, et tel autre voyager ou exercer son art. Le vrai progrès consisterait à passer d’une gestion collective collectiviste à une responsabilité personnelle individuelle.

Car, au-delà de la faillite du système par répartition, il y a l’échec de tous les systèmes obligatoires et administrés, en général, par les super-gestionnaires que sont… les syndicats.

Une personne qui épargnerait 10 % de ses revenus, dès le premier euro gagné, sur la base très conservatrice d’un rendement moyen à long terme de ses placements de 7 % par an, aurait l’assurance d’un revenu de son épargne au moins égal à celui de son activité au bout de 35 ans.
Les bases du calcul sont les suivantes (en euros constants) : soit un salaire net de 2 500 €/mois (sur l’ensemble de la vie professionnelle). Épargne en année 1 : 3 000 € (soit 250 €/mois, placés à 7 %, avec capitalisation quotidienne des intérêts) ; épargne cumulée en année 35 : 429 021,61 € (pour 105 000 eu­ros versés).

Avec un tel capital, toujours placé à 7 %, notre « retraité » peut se constituer une rente de 2 500 €/mois, égale à son revenu d’activité.
Et maintenant, comparons :

– 10 % de cotisation au lieu de 25 % en moyenne pour les salariés du secteur privé (toutes cotisations confondues, tous régimes compris) ;
– 35 années de cotisation au lieu de 42 comme actuellement ;
– 100 % de revenu de remplacement au lieu de 60 % en moyenne ;
– Capital acquis et librement transmissible au lieu d’un capital évaporé et disparu ;
– Indifférence à l’évolution démographique. Si la durée de la vie active augmente, l’épargne accumulée augmente, la rente et le capital aussi. C’est logique. L’augmentation de la durée de la vie est 100 % positive. Là encore, c’est du bon sens…

On dira : « Tout repose sur ce rendement de 7 % qui est parfaitement aléatoire ». Mais, depuis 50 ou 100 ans, le rendement boursier moyen est plutôt de l’ordre de 9 %. Un fonds garanti comme celui de l’AFER a offert depuis 33 ans un rendement net moyen de 8,5 %. N’importe quelle compagnie d’assurance digne de ce nom serait prête à garantir du 7 % à long terme, même aujourd’hui (quand les obligations privées à 5 ans se placent à 8 %).

La conclusion : laissez-moi épargner librement et sortir de la retraite obligatoire !
Je parle évidemment pour mes enfants et mes petits-enfants…

Je veux bien qu’en contrepartie de cette « libération », à titre de « rançon », on me demande (on m‘oblige) de contribuer au financement d’un filet de protection pour les plus pauvres, les impécunieux et les imprévoyants. Que le prix de cette « assurance sociale » soit prélevée sur mes revenus ou sur mon patrimoine. Au titre de la solidarité à laquelle plus personne ne peut se soustraire. Mais, pour le reste, laissez-moi faire !

Reste un seul et unique problème : comment passer de la répartition inefficace et confiscatoire, de type communiste, à l’épargne retraite, libre et enrichissante ?

Deux solutions sont possibles.

Soit un passage progressif, s’étalant sur 25 ou 50 ans (selon la croissance économique constatée), en commençant évidemment par libérer du système ancien les nouveaux entrants sur le marché du travail.

La méthode est détaillée dans le volume III de l’ouvrage des professeurs Garello et Lane « Futur des retraites et retraites du futur ».

L’autre solution consiste à vouloir sauver à tout prix le système obligatoire par répartition. Avec pour conséquence une diminution du montant des pensions, un allongement perpétuel des taux et de la durée des cotisations. Donc une charge de plus en plus lourde pour l’économie. Donc un affaissement de la croissance, de la compétitivité. Et, un jour, inévitablement, l’écroulement de cette chaîne de Ponzi, version Madoff…

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Comments (18)

  • ozone Répondre

    Mancney

    On verra bien

    Iosa

    des richesses exploitables dans combien d’années?

    Avec une situation qui va se déliter de plus en plus ça fait long

    30 juin 2010 à 19 h 52 min
  • IOSA Répondre

    Richa83@….

    Effectivement, mais celà reste et demeure la condition sinequanon avant toute procédure, car à quoi bon réformer la constitution, si la dépense augmente ?

    Et c’est très exactement ce que font Sarko&Co, ils dépensent  sans compter et pour compenser le manque de rentrée d’argent… ils inventent de nouvelles taxacons et aussi via le jeu de l’augmentation annuelle des produits vitaux à tout individu.

    Faut bien brasser de l’air pour donner l’ impression d’être d’une quelconque utilité à la Nation. 

    Ozone@….

    "Les conséquences dans les "quartiers" ? pas besoin de faire un déssin,aprés tout,a quoi ça sert de zigouiller du taliban la bas si on laisse s’installer toujours plus d’énnemis a venir chez nous?"

    Parce qu’ils sont tellement imbu de leur personne, qu’ils pensent pouvoir maintenir une frontière invisible entre la "civilisation" et ceux qu’ils considèrent  arriérés…bien entendu, je tais les richesses
    inconnues qui pourraient bien se trouver dans le sous-sol et dont la présence pourrait signifier le but et le butin de cette guerre ( sans compter qu’avoir un camp militaire la-bas n’est pas négligeable pour qui aurait des vues de conquêtes).

    IOSA

     

    28 juin 2010 à 7 h 27 min
  • Anonyme Répondre

    Ozone : " (…) dans une guerre qui ne pouvait étre gagnée tout simplement parce qu’il n’y avait pas de "but de guerre" (..) "
    –   Ozone, ce n’est pas parce que vous ne voyez pas le but, que celui-ci n’existe pas. En plus, c’est vraiment prendre beaucoup de gens pour des cons que d’écrire des choses comme ca.
    Tiens, ce raisonnement ferait presque penser a celui de ces clowns d’athées qui soutiennent mordicus que "Dieu" n’existe pas… parce que ils ne l’ont pas vu, parce qu’ils n’en comprennent pas la notion et surtout, le plus grave, parce qu’ils n’ont meme pas la moindre idée des limites de leurs connaissances et de leurs raisonnements; autrement dit, ils n’ont ni l’imagination, ni l’humilité de comprendre que des "choses" existent en dehors de leur petite imagination. Ce dernier point est rédhibitoire, et les situe illico dans la classe des idiots prétentieux. Meme Robespierre s’est re-fabriqué un "être suprême"..
    Alors pour l’Afgha-land, il est probablement plus intéressant d’essayer de chercher les "buts de la guerre" plutot que de prétendre qu’il n’y en a pas… Vous ne pensez pas?
    Certains pensent que, vu l’agressivité actuelle du monde arabe et associés, il est plutôt bon de maintenir un foyer de conflit hors de l’Ouest, en arabland or so, bref la d’ou vient le bordel, et dans le meme temps montrer que l’Occident a encore qqs armes qui marchent et qui font mal. Car cela, tout le monde le voit très bien, meme dans les cités.

    Ozone : " Chacun chez soi et les troupeaux seront bien gardés."
    –    Absolument d’accord. Tout a fait. Le lien homme/sol. Mais "ils" commencent a rentrer chez eux, et apres, on quitte l’Afghanistan, l’Iraq, l’Antartique, Bora-Bora… non, on garde Bora-Bora.

    Best,

    Mancney

    27 juin 2010 à 16 h 48 min
  • ozone Répondre

    Oui,stupide,le monde des bisounours n’éxiste pas,donc désolé mais je ne pourrai aider personne…He,,he

    Il est étonnant de constater que les leçons de l’intervention de la fin 2001 n’aient pas étés retenues,la premiere d’entre elles étant que la meilleur façon de combattre un afghan est un autre afghan.

    Ce qui aurait du étre fait?,début 2002 rendre son trone au Roi,encore vivant a ce moment,c’est une societé féodale,avec des "seigneurs de la guerre",bien leur en fasse si c’est leur désir,il sufisait ensuite de financer un peu tout ce petit monde,avec au passage un appui militaire sommaire et ponctuel,par exemple,pendant les opérations on se souviendra d’avoir vu ces cercles de condensation produits par les B52 principalement pendant les actions sur Tora bora,en fait,le tapis de bombes a été remplacé par un bombardement sélectif a l’aide de bombes dites JDAM guidées par GPS,optimiser le systéme plein pot sur une platteforme de lancement capable de "durer" sur le site peu se réveler decisif pour aider des afghans qui auraient besoin d’un coup de main pour reduire une poche de "vrais" talibans.
    Persister sur place,presque incognito et pour pas cher voila le secret dans ce genre d’opérations,maintenant se sont les afghans,je ne dis pas talibans,parce que maintenant c’est l’armée étrangére qui les reunis dans un méme but,merci pour eux,du beau travail,qui vont durer pour une cause évidente,ILS SONT CHEZ EUX,et ils ont tout le temps devant,au passage dire que la guerre semble étre leur passe temps favori.
    Nos troupes vont tuer du "taliban",mais il sera prélever pour cela une dime quotidiénne en vies,87 depuis le début de ce mois,qui va "dégouter" nos nations et donnera en fin de compte une image de défaite dans une guerre qui ne pouvait étre gagnée tout simplement parce qu’il n’y avait pas de "but de guerre",et ce,qu’elque soit le volontarisme affiché par certains petits personnages.
    A ce propos,l’arrivée de Pétreus qui veut alléger les precautions envers les "dommages collatéraux"ne va pas arranger les choses.
    Les conséquences dans les "quartiers" ? pas besoin de faire un déssin,aprés tout,a quoi ça sert de zigouiller du taliban la bas si on laisse s’installer toujours plus d’énnemis a venir chez nous?

    Chacun chez soi et les troupeaux seront bien gardés.

    Salut

    27 juin 2010 à 13 h 11 min
  • richa83 Répondre

    """
    Commencons plutôt par le commencement et disons que si l’Etat savait épargner l’argent de nos impôts,
    """

    si l’état savait épargner….il ya longtemps que cela se saurait !!

    27 juin 2010 à 12 h 36 min
  • IOSA Répondre

    "Au fait quelqun s’est demandé combien nous coute la stupide aventure afghane?"

    Surement la peau des fesses du contribuable et comme on est bête en France….on n’a même pas de nouvelles armes à tester sur place.

    Ha ! les ricains..eux au moins, ils osent faire, mais c’est vrai ( suis-je bête), ils ont une industrie de l’armement qui suit derrière.

    Pas comme nous,lors de la guerre de 14 et celle de 39, accoutrer les soldats de manteau fait dans du tissu hyper-absorbant et qui pèse une tonne dès qu’il pleut ( si si en 1975 j’ai connu ses manteaux et le mas 36), à se demander si certains responsables ne touchent pas une enveloppe. 

    IOSA

    27 juin 2010 à 0 h 26 min
  • Anonyme Répondre

    Ozone : " Au fait quelqu’un s’est demandé combien nous coute la stupide aventure afghane?"

    –   Mon cher Ozone, je ne sais pas combien ca nous coute d’entretenir le feu en Afghan-land, ni combien ca rapporte a des entreprises françaises, mais c’est probablement beaucoup moins couteux que de l’avoir chez nous (le feu, that is… comme dirait Johnny).
    Ah, bien sur, il existe un monde parfait ou il n’y a ni feux, ni combats, ni morts, ni cocus…. Dites-nous des que vous l’aurez trouvé. Encore que les cocus… on risque de les regretter.

    Best,

    Mancney

    26 juin 2010 à 18 h 56 min
  • ozone Répondre

    "

    3- A l’instar de l’Euro, les prix des soins grimperont et les malades auront tôt fait de bouffer cette épargne."

     

    Pour la plus grande joie des copains des fonds qui ont investi en masse dans les cliniques françaises

    Au fait quelqun s’est demandé combien nous coute la stupide aventure afghane?

    25 juin 2010 à 20 h 41 min
  • Johnny Répondre

    @ IOSA

    Raison de plus pour réformer la constitution pour caper la fiscalité et remettre le gouvernement à sa place, c’est à dire en dehors du compte en banque des gens !

    25 juin 2010 à 7 h 49 min
  • Johnny Répondre

    @ ozone

    Oui c’est bien ce que je disais : vous ne savez pas de quoi vous parlez. Renseignez vous un minimum et vous apprendrez que la crise de 29 est directement liée à l’interventionnisme étatique inflationniste de l’époque, de par le rôle qu’a joué la FED en maintenant des taux artificiellement bas… Quand les gouvernements ont commencé à vouloir diriger l’économie les problèmes sont apparus, j’y peux rien c’est comme ça. Mais il n’y a pas plus sourd que celui qui ne veut pas entendre…

    25 juin 2010 à 7 h 42 min
  • IOSA Répondre

    Mais où se trouve la bêbête dans cette logique novatrice ?

    1- Les impôts et taxes diverses et (a)variées qui grimperont bien plus vite que cette épargne libre, car faut pas rêver, ils ne renonceront jamais à la manne du prélèvement obligatoire, par laquelle tout est possible.

    2- Bas de laine ou dépôt des cotisations libres dans une banque incontrôlable qui ne manquera pas de vous "taxer" des services et autres bricoles, pour simplement garder votre fric…. en le jouant en bourse (avec bien entendu la certitude que l’Etat n’interviendra plus, si par malheur vous avez choisit une banque pourrie).

    3- A l’instar de l’Euro, les prix des soins grimperont et les malades auront tôt fait de bouffer cette épargne.

    La liste n’est pas exhaustive pour nous bais*r.

    Commencons plutôt par le commencement et disons que si l’Etat savait épargner l’argent de nos impôts, il y aurait là….le début du Grand changement !

    IOSA 

    25 juin 2010 à 7 h 33 min
  • ozone Répondre

    Johnny,c’est pas un pt’is peu loin tout ça?

    ON PEUT AUUSI REVENIR AUX TRAPEURS?,GO WEST….YIIIIHAAAAA…….

    On peut se souvenir aussi que toute cette periode c’est términée un triste soir  d’automne 1929,décidement il n’y a jamais assez de liberalisme….

    23 juin 2010 à 20 h 44 min
  • SOSO Répondre

    Quel organisme financier propose actuellement des placements à 7% ?   Nous ne sommes plus en 1981, lors de l’arrivée au pouvoir des socialo-communistes, où les intérêts des placements bancaires avaient été portés jusquà presque 18%, tellement le nouveau gouvernement craignait la fuite des capitaux. Calcul  d’autant plus irréaliste  qu’il faut tenir compte de  l’inflation qui ronge vos économies. Une seule solution pour avoir des revenus plus ou moins garantis : investir dans la pierre et avoir des revenus locatifs. Mais attention : être préparé à faire face  à une multitude d’ennuis en tout genre. avec la gestion mais au moins votre capital ne se dévalue -t-il pas trop. Tous les systèmes collectifs sont voués à l’échec dans les circonstances actuelles.

    23 juin 2010 à 15 h 17 min
  • Anonyme Répondre

    Ozone : " Comme aux USA? La bourse se casse la gueulle aux mauvais moment et vous alle dormir sous les ponts."

    –   Non, Ozone, vous caricaturez. Bien sur ce cas existe, mais il est assez rare, et les individus qui dorment sous les ponts ont fait preuve soit d’imprévoyance grave, soit d’exces de greed; d’autres, tout en etant touchés, ont su/pu éviter la cata. L’intéret d’un systeme de retraite plus ou moins attaché aux valeurs boursieres, est qu’il colle a l’économie, c-a-d a la réalité, et ceci est paramount, et s’oppose a des systemes qui s’appuient sur des prévisions de naissances foireuses ou d’arrivées d’immigrés indésirables et culturocides.
    En fait, il faudrait une combinaison des deux, et cela serait équilibré… vous verrez, on va y arriver.

    Best,

    Mancney

    23 juin 2010 à 14 h 49 min
  • sas Répondre

    Excellent article Mr DUMAIT……

    sauf et pour précision comptable  , pour augmenter votre retraite de 1 000 euros/mois en guise de retraite ou de complément…..vous devez avoir placé près de 400 000 de capital

    faut y arriver et les avoir CQFD…..sans subventions ou coup de pouce complementaire de l etat ou ses officines pour les plus nantis déjà / ce qui se fait en rachat de trimestre et autres operations maffieuses dyscriminatoires actuellement et pour certains privilégiés.

    sas

    23 juin 2010 à 13 h 30 min
  • Jaures Répondre

    C’est quand même invraisemblable ! Tout autour de nous nous montre l’inefficacité des fonds de pension dont la course aux rendements provoquent la dégradation des conditions de travail, les délocalisations, les économies de sécurité (comme pour l’affaire BP) et se montrent totalement aléatoires (en G.B, aux USA, en Irlande, ce sont des centaines de milliers de retraités qui ont perdu leurs économies et doivent mendier des jobs sous-payés à plus de 70 ans).

    Malgré cela, Dumait continue comme si de rien était à promouvoir ce fléau. Cela laisse pantois.

    En plus, il parle avec beaucoup de désinvolture de la possibilité d’économiser 10% de son salaire. Encore faut-il ne pas être au chômage, total ou partiel, et surtout, qu’il vous reste 10% de votre salaire à la fin du mois !

    On annonce qu’en 2010, 300 000 foyers subiront des coupures d’électricité pour impayés. Demandez-donc à ces familles si elles peuvent épargner 10% de leurs revenus !

    Par ailleurs, ceux qui veulent, et surtout qui peuvent, épargner pour leur retraite ont toute liberté de le faire avec les PEA, Assurances Vie et autre produits défiscalisés.

    Je vous propose, M Dumait d’essayer de vivre un an avec le SMIC (je ne parle même pas du RSA) et nous ferons les comptes à l’issue de ce que vous aurez réussi à épargner.

    23 juin 2010 à 11 h 00 min
  • Johnny Répondre

    @ ozone

    Vous ne savez pas de quoi vous parlez. Vous êtes lobotomisé par la propagande communiste qui sévit en France. Aux USA les fonds de pensions prennent des positions très risquées alors que justement les placements de retraite sont sensés être sécurisé (irresponsabilité donc), et tous les coups de bourses des dernières décennies sont attribuables à des politiques monétaristes malhonnêtes et antilibérales (la FED typiquement, qui a dévalué le dollar de 94% depuis 1913) et à de l’interventionnisme étatique (la crise des subprimes, le renflouement des banques qui les dédouanent de toute responsabilité). La valeur du dollar est restée remarquablement constante de 1665 jusqu’à 1913 grâce à une politique libérale et responsable, c’est ce vers quoi il faut retourner. Maintenant si ça vous chante toujours d’endetter vos enfants pendant 150 ans pour avoir 600 euros de retraite, libre à vous, mais ne venez m’imposer quoi que ce soit. La répartition est une aberration communiste, il est grand temps que ça cesse.

    23 juin 2010 à 8 h 27 min
  • ozone Répondre

    Comme aux USA?
    La bourse se casse la gueulle aux mauvais moment et vous alle dormir sous les ponts.

    23 juin 2010 à 0 h 33 min

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