Quand les caisses sont vides…

Quand les caisses sont vides…

Pour le Gouvernement, la rigueur budgétaire consiste à n’augmenter les dépenses publiques en 2005, qu’à proportion de l’inflation. C’est ce qu’il appelle une stabilité, « en volume ». On observera, pour commencer, que si l’on voulait ramener rapidement le poids de la sphère publique à des niveaux plus raisonnables, sans pour autant procéder à des opérations chirurgicales trop douloureuses, il aurait été préférable de retenir un plafonnement en valeur absolue, compte non tenu de la hausse des prix. On sait que si une telle disposition avait été adoptée il y a douze ans (par le Gouvernement d’Édouard Balladur), nous serions aujourd’hui, mécaniquement, à un niveau de dépenses publiques comparable à la plupart des autres pays industriels, dans la moyenne des pays européens, mais encore à un niveau plus élevé que celui du Japon, des États-Unis ou même que la Grande-Bretagne.
La rigueur budgétaire proclamée par Jean-Pierre Raffarin et son gouvernement n’est donc que relative. Elle serait facile à mettre en œuvre si elle s’accompagnait, résolument, de coupes sombres dans les dépenses inutiles ou excessives. Elle est, au contraire, rendue presqu’impossible par l’absence de celles-ci.
La préparation du budget pour 2005 offre une nouvelle illustration de la façon dont le gouvernement subit sa politique budgétaire, davantage qu’il ne la dicte. Au début de l’année, et à plusieurs reprises, le Premier ministre lui-même réaffirmait sa volonté de ne remplacer qu’un fonctionnaire sur deux partant à la retraite. Ce qui aurait dû entraîner une diminution des effectifs d’au moins 30 000 personnes. La première administration concernée était évidemment l’Éducation nationale, premier employeur de France et même peut-être du monde (depuis la disparition de l’Armée rouge !). C’était logique : à une diminution des effectifs des enfants scolarisés correspondrait une diminution des effectifs des enseignants. Mais c’était compter sans les réactions syndicales, sans la promesse du Président du la République de faire de l’éducation l’une de ses priorités, sans les engagements reçus du nouveau ministre, François Fillon, d’obtenir quelques rallonges. Du coup, la baisse des emplois ne sera que symbolique. Au niveau de l’État tout entier, on parle maintenant d’une diminution de 8 000 postes. L’année dernière, à la même époque, le même chiffre était avancé. Et, à la fin de la discussion budgétaire, il n’y avait plus que quelques centaines de suppressions…
Or, compte tenu des augmentations de salaires quasiment automatiques dans la fonction publique (« revalorisations ») il faut savoir qu’une diminution globale des effectifs des fonctionnaires de 30 000 par an ne se traduirait pas par une diminution des charges budgétaires à ce titre, mais par une simple stabilisation en volume. Car, retraites comprises, nos fonctionnaires nous coûtent chaque année, de plus en plus cher.
Donc, sans coupes sombres, le poids de la dépense publique augmente sans cesse. Pourtant, non seulement on ne voit poindre à peu près aucune réforme allant dans le sens des économies, mais chaque jour, de nouveaux programmes de dépenses sont annoncés, qui vont du plan de cohésion sociale de Jean-Louis Borloo, à l’achat, par anticipation, de 59 avions Rafale par l’Armée de l’Air française, pour la modeste somme de 3 milliards d’euros.
On fait grand cas des quelques économies décidées. Mais elles sont loin d’être à la hauteur des problèmes posés. La contribution de 1 e par patient relevant de l’assurance maladie et par acte médical, pour symbolique et intéressante qu’elle soit, sera évidemment incapable de renflouer le système. Contrairement à tous les principes de bonne gestion, on surestime les efforts demandés aux générations présentes et on minimise gravement ceux qui sont reportés sur les générations futures (exemples de la réforme des retraites et de l’Assurance maladie). On dit que le Dossier médical personnel sera facile à mettre en œuvre et qu’il se traduira par de grandes économies, alors que ce sera sans doute le contraire : il sera difficile et coûteux à mettre en œuvre, pour des économies très incertaines.
Les politiciens qui nous gouvernent ont, sans doute, comme tout le monde, droit à l’erreur. Mais celle-ci ne doit être ni constante ni systématique. S’agissant de la bonne gestion des finances publiques, il est évident qu’il faut commencer par la réduction des effectifs, le nombre total des fonctionnaires de ce pays ayant augmenté de 900 000 depuis l’arrivée au pouvoir de l’union de la gauche en 1981.
Quand un analyste financier examine pour la première fois les comptes d’une entreprise, il va, en premier lieu, voir son compte d’exploitation pour établir un ratio entre ses dépenses de personnels et son chiffre d’affaires. Un ratio faible est l’indicateur d’une bonne santé. Si le ratio est élevé, la marge de manœuvre de l’entreprise sera limitée. Dans le cas de l’État français, cette marge est nulle. Les humoristes ajouteront qu’il n’y a pas que la marge…

Partager cette publication

Comments (29)

  • T.larger Répondre

    Je me permets de dire quand même à M. caliméro que pour ce qui est des impots j’en paye très peu, mais alors les charges, taxe professionnelle, urssaf, etc, j’aimerais en payer autant que les fonctionnaires et assimilés (je préférerais nettement -5% sur les charges que sur les impots); il est vrai que si notre vote avait le poids de nos contributions, certaines catégories ( ce n’est pas moi qui divise, ce sont ces catégories qui se taillent des privilèges à coups de force sur le dos d’autres catégories…) n’auraient plus le droit de vote, et pas forcément des plus pauvres.

    2 septembre 2004 à 20 h 45 min
  • Caliméro Répondre

    Arrêtons ce débat stérile qui s’éloigne du sujet. Chacun choisit sa voie (sans faire de jeu de mot….). Tout le monde a le choix de diriger sa vie a un moment donné . Certain sont fonctionnaires et c’est vrai qu’il y a de la remise en ordre a faire par endroit. d’autre sont dans le privé et là non plus tout n’est pas parfait. Si les caisses de l’état sont (soit disant ) vides, c’est que l’état dépense plus qu’il ne gagne. C’est simple, c’est mathématique. Alors que l’état gére ses revenus comme n’importe quel ménage moyen, qu’il en tire les conclusions,et qu’il reduise ses dépenses. et SURTOUT, qu’il contrôle ce que devient l’argent qu’il donne si généreusement a tout va. Que vous soyez fonctionnaires ou travailleurs dans le privé, n’oubliez pas que vous étes imposés aux mêmes taux. N’oubliez pas que seuls ceux qui travaillent font vivre la Nation .Je pense que nous devrions avoir le droit de contrôler et de donner notre avis sur le budget. Pas par l’intermédiaire de nos députés qui se foutent de nous.Mais seuls ceux qui paient des impôts devraient pouvoir voter les dépenses. Le systéme actuel est bien trop cloisonné . Une fois élus nos députés ne representent rien face aux directives des partis.On nous ponctionne ça oui. Mais pour ce qui est de nous demander notre avis sur les dépenses….. Aller, vous fâcher pas entre gens de mêmes idées. Sinon vous faites le jeu de nos politiques…diviser …

    2 septembre 2004 à 15 h 05 min
  • coutant Répondre

    Dans ces échanges de propos , on ne peut pas parler de vainqueurs, il y a des injustices et des disparités entre le sort des gens, il faut essayer de les corriger, même si n’est pas parfait , l’intérêt de ces échanges est de pouvoir apporter chacun notre pierre à l’édifice, toutes contributions même modestes est toujours une contribution. Pour faire avancer une montagne chacun peut avancer son caillou, si chacun si avance son caillou dans le même sens la montage avance. Les hommes meurent mais les idées avancent, ce n’est pas de moi, mais de TOUSSAINT LA ROUVERE, le fondateur de la première république des ANTILLES à HAITI à la fin 18 e siecle.

    2 septembre 2004 à 0 h 13 min
  • T.Larger Répondre

    c’est un KO technique, vous etes vainqueur, je n’ai plus le courage de vous lire….

    1 septembre 2004 à 19 h 50 min
  • coutant Répondre

    M T Larger Pour les taux de cotisations, je ne suis pas sur des chiffres, je vérifirai, mais les base de calcul et les élémements pris en compte ne sont pas les mêmes que dans le privé. Sil a moyenne des retraites est en moyenne plus élévée, mais vous semblez oublier que les retraites sont calculer en fonction du niveau de salaire. Pour le salaire, c’est le prix du travai, qui tient compte de la qualification professionnelle, des responsabilités, et de la pénébilité. Dans le privé de nombreux travailleurs n’ont pas de qualification professionnelle. Les salaires sont le reflet de la moyenne des salaires nationaux à niveau de qualification comparable. Pour les régimes spéciaux, vous pouvez demander leur abbrogation, après on verra si on trouvra beaucoup d’amateurs pour les horaires atypiques et travaux pénibles, sans oublier qu’avec les horaires et repos décalés c’est tout la famille qui est perturbée. Dans la fonction publique , il est indispensable d’avoir un qualification pour entrer, ces règles sont en train de changer, la RATP ouvre le recrutement à l’immigration, il n’est plus nécessaire de posséder la nationalité française, et les nouveau mode de recrutement n’impliqueront plus la notion de qualification, surtout avec des embauches dans les banlieues ça risque d’être amusant, mais si c’est ce que veut le public, je n’ai rien contre.Il ne faut confondre une formation qualifiante et diplomante Le budget de la RATP est bien évidement subventionné par l’état et la région, c’est logique pour un service public, mais vous avez probablement raison, il faut supprimé ce financement, le voyageur devra faire un effort , et il faudra reconsidérer la desserte de banlieues non rentables, ou trop problèmatique Lorsque je suis rentré à la RATP, j’ai accepté le contrat, avec les inconvénients et les compensations. Pour les 85% un chose est certaine vous avez été mal informé, ce n’est pas possible en gros la pension en non retraite, (possibilité d’être requisionné) elle ne peut dépasser 75 %, 2% X 37,5 au taux maxi, et c’est 75 % de l’élément statutaire , un salaire de base , qui représente entre 70 et 80 % du salaire, vous voyez que l’on est loin des 85%, et de plus ce n’est pas toujours le départ à taux plein, et de plus le temps de cotisation du prive ne se cumule pas . Pour les ages de départ, il y a des départ à 50 ans , a 55 ans , et à 60 ans voir même 65 ans, ce ne sont pas tous les agents de la fonction publique qui partent à 50 ans, dans le privé, je connais plusieurs personnes en préretraite à 50 ans avec 90% du salaire, calculés sur la totalité du salaire. Et encore dans mon cas, j’avais la possibilité de purement et simplement arrêter de travailler en raison de mes problèmes de santé, mais j’ai préféré continuer de travailler, c’est mon choix et je n’ai pas à la justifier. Le 25 aout, vous paliez d’avantage, je souhaiterai que vous n’en communiquiez la liste. Vous parliez de libéralisme, ce n’est la forme de société que je voudrai voir en FRANCE, mais pour ma part, je pourrai en tirer avantage, mais ce pas vraiment un système que je souhaite. Pour ce qui est du profit du système, je vous suggère de relire les interventions écrites relatives au caisses de la FRANCE, vos déclarations semblent tourner à la hargne et la jalousie anti fonctionnaires habituelles, en écrivant dans ce forum, je m’y attendait, s’il est question de dépense et de système, il faudrait également et surtout parler du système allocataire, et d’assitanat institutionnel, je vois pas pourquoi, surtout en lisant des critiques sur les statut les salaires et les compensations et non avantages, je devrai tolérer avec mes impots, j’en paye aussi avec un peu moins de la moitiée de la population active, de financer l’achat de maison par l’aide d’alloc, de nourrir les enfant des aures, de financer des CMU, les RMistes,des primes de NOËL pour ces RMIstes, le soin des droguées et des alcooliques. Le sujet du forum, n’est l’attaque de la fonction publique, mais les caisses de l’état, à lires vos propos, je ne suis pas certain que vous ayez tout, d’autres intervenants ont écrit des choses intéressantes,si des salaires sont trops bas, c’est avant tout en raison des alloc, ce système autorise un employeur à mal payer les gens, qui pour beaucoup trouvent avantage à cette situation, il ne faut pas se voiler la face. Pas de fiscalité du moins très réduite pour certain nulle, L’éducation et les études des enfants financées par le contribuable, l’accession à la propriété financée par le contribuable, évidement ces gens se réveillent vers 45,50 ans, lorsque les enfants ne produisent plus d’alloc et aides sociales, et s’aperçoivent qu’ils ont un petit salaire qui conduira à une petite retraite. Notre système n’est pas parfait, mais dans l’ensemble, il ne marche pas si mal, il est qu’il y a pire ailleurs, le premier système à réformer est ce système allocataire, qui conduit les gens à rester dans une condition très défavorable, et procure une illusion provisoire, mais avant tout une camisole sociale, et les travailleurs sociaux maintenant travaillent comme une police politique. Un intervenant a évoquer le sujet de l’immigration, il est certain que s’il n’y avait que des travailleurs immigrés en r ègle, il n’y aurai pas autant de problèmes, mais en fait, c’est le grand patronnat qui à favorisé l’entrée d’immigrés pour casser le prix de la main d’oeuvre, un immigré en règle a la posssibilité de défendre son salaire, et être payé au même niveau qu’un travailleur français, pour les irréguliers, il y a des lois, il suffit de les appliquer, les pouvoirs publics peuvent mettre de l’énergie pour faire appliquer les lois, sur la routes ces pouvoirs semblent vouloir s’en donner les moyens. si j’écris dans des forums, c’est pour essayer de participer à des débats constructifs, non pour participer à un quelconque défoulement, j’ai à plusieurs reprises subis des problèmes et des injustices, mais je n’en veux à personne, et je n’ai pas besoin de me défouler. Si le système que vous décrier , ne dure plus, je n’en serai pas le premier perdant, comme je l’ai écrit, c’est mon métier qui me fait vivre, mais il faut rappeler que pour être ouvrier , il ne suffit de se mettre un bleu de travail. Pour la corée, le régime n’est un exemple du capitalisme, mais désolé de vous décevoir le système qui prévaut pour le fonctionnement du réseau ferroviaire, c’est le règne de la mafia pur et simple, ou tout fonctionne par des système de pr élèvements et d’attributions occultes, et bakchich, il est vrai que le libéralisme ferait figure d’oeuvre de charité.

    1 septembre 2004 à 1 h 04 min
  • R. Ed. Répondre

    Coutant aurait dû écrire l’article car son commentaire est deux fois plus long et chiant que l’original. On voit que ce n’est pas lui qui paye l’encre et le papier.” Pour faire court”!

    31 août 2004 à 23 h 31 min
  • T.Larger Répondre

    pour faire court M. coutant, et sans vous attaquer personnellement: cotisation retraite à la RATP: 7.58 % du salaire (18.58 dans le privé), départ à la retraite 53,5 ans, base de calcul: 85% du dernier salaire, la retraite Ratp est en moyenne 60 % supérieure au privé, plus de la moitié du budjet Ratp est financé par l’impot; si vous vouliez etre tranquille chez vous, il ne fallait pas demander aux contribuables de vous payer votre retraite…( pour plus de détails et de précisions cf dossier Ifrap N°69 septembre 2000 http:/www.ifrap.org) pour les statistiques des accidents de chemin de fer, j’ai le regret de vous annoncer que l’accident de 2500 morts a bien eu lieu en Corée du Nord, pays qui ne me semble pas tout à fait à la pointe du libéralisme sauvage et uniquement soucieux de faire de l’argent. Allez bon vent M. Coutant, profitez bien du système car il se pourrait que ça ne dure pas… amicalement

    30 août 2004 à 21 h 03 min
  • COUTANT Répondre

    P DIDIER Je comprends vos doutes. Je travaille dans les transports dans un service de maintenance des réseaux électrique de traction, activité qui me conduisait à travail sur les voies avec les contraintes que j’ai décrit, avoir des réseaux qui fonctionnement toute l’année obligent certaine contraintes.Les gens qui nous dirigent politiciens ou autres technocrates disent et font ce qu’ils veulent, tout ce je souhaite, ce n’est de ne pas les avoir dans mes pattes pour me géner, je suis persuader qu’ils comprennent à peine les raisons qui les placent à leurs postes, la seule chose qu’ils comprennent, c’est qu’ils font de brillantes carrières, pour ce débarrasser des politiciens, il y a le bulletin de vote, pour les technocrates, ils vivent aux dépends des premiers. Personnellement, je travaille pour que le réseau fonctionne et que les voyageurs puissent être transportés, quelque soit le lieu, ou les conditions des personnes. Pour les sommes versées par le STIF pour la RATP, je ne peux pas vous répondre avec précision, les transports sont assur és même dans des banlieues dépeuplées à des heures tardives, ce n’est pas rentable, mais le but d’un service , c’est d’ê tre présent partout où nécessaire, même si ce n’est pas rentable, je fais abstraction des problèmes d’insécurité connu de la plupart d’entre nous.La continuité de service public en tout lieu, est une obligation de l’état en raison de l’application du droit constitutionnel pour garantir l’égalité entre les citoyens. La fonction de transport dans une région est essentielle à vie économique et sociale, et dois pouvoir être utilisé par le plus grand nombre, ce sont surtout les gens mal lotis qui ont besoin des transports. Par les transport en commun sont subventionnés, pour les raisons économiques que j’ai indiqué, les entreprises en tire quelques avantages, sans transport en commun, je n’ose même imaginer l’état de la circulation routière. Les voyageurs bénéficient de réduction, abonnement de transport payé par moitiée par l’employeur, les voyageur doit en fait ne payer que la moitiée du prix de revient de son transport, il y a quelques années, il ne payait que le tiers. On pourrait reconsidérer la gestion , en effectuant une gestion, créer un service le facturer et dégager un bénéfice, mais le prix du voyage serait supporter intégralement le coût, pour des seuils de rentabilité, les banlieues à problèmes et non rentables ne seraient plus desservies, et évidement les horaires d’exploitations seront revus. Pour les service actuel, il faut se rendre à l’évidence, seule la puissance publique est en mesure de gérer des réseaux aussi importants, sans se limiter, aux transpots pour aller dans le sens des opposant à la fonction publique, on pourrait aussi remplacer la police et les gendarmes par des vigiles, les militaires par des mercenaires recrutés au coup par coup, il faut rappeler que l’état à besoin d’une continuité et d’une stabilité et des services permanents avec un personnel tout aussi permanent pour pourvoir assurer et garantir cette continuité, et le service rendu ne quantifie pas seulement par des comparaison de coût. Pour les comparaison de service, je peux évoquer le problème de la sécurité En COREE un incendie dans la métro de SEOUL 200 mort toujours en corée une explosion de train 2500 morts En angleterre gestion rentable une catastrophe ferroviaire 150 morts tout récement en RUSSIE passage vers une gestion privé deux avions explose en vol environ 10 morts, En france tout le monde à en mémoire lexplosion d’AZF à TOULOUSE, même s’il eu malveillance comme certains peuvent, il reste que des graves et criminelle négligences ont été commises je ne cite que des exemple qui me viennent à l’esprit en écrivant. Pour revenir au sujet des caisses de l’état, il faudra tôt ou tard remettre en cause le système d’aide sociale et d’allocation en cause, ce sytème revient très cher, ça mériterait un forum pour ce sujet. Pour T Larger Désolé, à lire vos écrit, je supposait que vous exerciez ce métier, pour ce qui de l’enrichissement, ce n’est pas un concept pour ce réfugier, c’est une simple réalité, dans une entreprise privée, on travail pour un bénéfice, si un patron du privé ne me paye pas assez, je fais autre chose de plus lucratif, ce n’est pas la peine de me parler du chomage, le problème vient surtout de la formation inadaptée ou insuffisante, j’ai fait l’expérience, lorsque je travaillais dans le privé, (ELECTRICIEN dans le bätiment), je pouvais suivre les cours du soir aux arts et métiers, ce n’est pas un exploit, d’autres peuvent le faire. Pour les majorations de retard, je ne connais qu’une administration qui a ces pratiques, mais en fait, il n’y a qu’une petite moitiée des travailleurs qui sont soumis à l’impot, une partie de nos impots permettent de finir de”s fins de mois à ceux qui se débruillent pour ne pas en payer, et en plus les alloc ne sont pas imposables. Votre épouse à bien de la chance, je ne sais pas dans quelle administration elle travaille pour avoir de multiples avantages mais lesquels, dans les courriers précédents, j’ai évoqué des avantages dans le privé, comme le véhicule de l’entreprise pour le trajet quotidien, et ce ne sont pas des cadres supérieurs, je fais la route tout les jours. Je paye des impots, et je n’ai pas accès aux différentes aides et alloc, pour mes enfants j’ai pas fait de calcul et un seul n’ouvre pas de droit, l’espacement entre les naissance ne pas permis d’en percvoir. Pour les charge madame votre épouse est peut-être informée que sil elle doit quitter la fonction publique, elle ne pourra pas percevoir le chamage, et après se retraite, dans certaines administration elle peut être réquisionnée, et être obligée de travailler pendant sa retraite. Vous me dite ne pas être jaloux, mais à travers vos écrits, je perçois un peu d’amertume et d’irritation. En fait ça tombe bien bien, si c’est une place de tout repos et des gens sont interressés dans mon service a du mal à trouver du personnel, mais attention il faut avoir une qualification professionnelle et ne pas garder les mains dans les poches. Pour conclure, il est toujours question des grêves. Il y a un préavis de 5 jours, maintenant les règles ont changé, les gréviste doivent informer à l’avance il est également à savoir que certains agents ont fait grève par la contrainte de grévistes. Il existe la possibilité pour le gouvernement d’ordonner la réquisition du personnel gréviste pour assurer un service minimum, c’est aux politiciens de prendre leurs responsabilités. Il tout de même savoir que l’organisation d’un service minimum présenterai de gros problèmes de sécurité, un train ce n’est pas un vélo. Il y a la solution de purement et simplement supprimer le droit de grève, là c’est un problème politique et de droit constitutionnel.

    26 août 2004 à 3 h 34 min
  • T.Larger Répondre

    Mr Coutant je ne suis en rien boulanger, et je ne vous attaque en rien sur votre situation personnelle, ce que je critique c’est le fait que certains se réfugient derrière le concept mouvant et très subjectif de service public pour faire peser sur le “privé qui ne pense qu’à s’enrichir” les résultats d’une très mauvaise gestion. Si les entreprises publiques ne veulent pas que le privé se mêle de leur gestion, elles n’ont qu’à arrêter de faire appel (avec 10% de majoration en cas de retard) au privé pour boucher leurs trous de fins d’années. Une dernière précision, ma femme est fonctionnaire, on connait la musique, et on sait ce que c’est que travailler dans la fonction publique, ses multiples avantages non chiffrés notament sur les charges sociales et les feuilles d’impot, et la difficulté qu’on peut éprouver à y travailler de façon à améliorer l’efficacité. Je ne suis pas jaloux, mais je préférerais que certains enlèvent leur main de ma poche Amicalement

    25 août 2004 à 12 h 09 min
  • Didier Répondre

    Pour M. Coutant. Lorsque vous écrivez à propos des services publics ” ça reste accessible au plus grand nombre, même peu fortuné”… …C’est ce que vous croyez. C’est ce que les gens qui nous dirigent depuis trop longtemps ont réussi à vous faire croire. Il vous faudrait comparer toutes les sommes d’argent que vous versez, à longueur d’année, sous une forme ou une autre, dans les caisses de l’état avec les bienfaits réels dont vous bénéficiez en retour. Et, en outre, vous pourrez comparer avec leurs coûts réels ailleurs…

    25 août 2004 à 8 h 22 min
  • Coutant Répondre

    Mr Tlarger. J’apprécie vos arguments à leur juste valeur, j’exerce un métier qui me convient et donne toutes les satisfaction que je peux souhaiter, le métier d’ELECTRICIEN est assez pationnant et ouvre de nombreuse opportunuités. J’entend et j’écoute les différentes déclarations les discours plein de certitude contre la fonction publique. Personne ne m’a forcé à y entrer, les inconvénients, les contraintes,et compensations font partie d’un contrat. Puisque vous êtes BOULANGER, connaissez également des contraintes et autres obligations de disponibilité, et vous pouvez également mésure le tort fait à votre métier, par la surenchère de profit strictement économiqueau détriment d’une qualité et d’une compétence. Mais le sujet du forum n’est pas la comparaison et la justification des métiers, il est question du coût et des dépenses consacrées à la fonction publique et autre dépenses publiques. Dans les services de l’état, il y a beaucoup d’anomalies qui mérites d’être corrigées, mais pour certains les entreprises publiques sont des vaches à lait, et des revenus assurés, mais évidement pas pour le personnel, sauf peut-être pour les hauts fonctionnaires, qui après leur retraites dorées seront appelés à de hautes fonctions dans les grandes entreprises qui vivent aux crochets des services de l’états, il est évident que le personnel de base de ces entreprises eux mal payés et mal considérés, les sommes énormes qui sont drainées ne sont pas eux. Pour limitr les dépenses, de ces services publics, il y a des sources d’économies possibles, j’en ai indiqué quelques unes dans mon courrier du 11 août, ce courrier est en réponse d’un autre participant du forum, nous sommes pas obligé d’être tous du même avis. Pour les services rendus par les services publics, il faut faire la part des choses, nous vivons dans une sociétè où nous sommes complémentaires, j’ai besoin de pain, je vais chez un boulanger, vous avez besoin de lumière et de faire fonctionner vos équipements, vous faite appel à un électricien, pour d’autre application, vous faite appel à un plombier, qui lui aussi mange du pain et ainsi de suite. Mais mise à part l’exercice de métier, nous avons toujours les éternelles critiques ou attaques contre la fonction publique, alors fait à la lecture des arguments, la logique serait de simplement privatiser tout-ça pour rechercher la rentabilité. Pour les contraintes j’ai eu ma part, j’ai accepté en connaissance de cause, travail en 3X8 et ensuite permanence de nuit avec les roulements de repos et travail les jours fériés,le travail sur les voies n’est spécialement un travail de rond de cuir, maintenant pour des raison de santé et accident assez grave, je suis sur un poste handicapé, je travail maintenant avec des horaires normaux, et j’exerce toujours mon métier de façon différente. Pour apporter quelques précisions, en raison des roulements sur 25 ans je n’ai pu avoir que 5 réveillons des fêtes de fin d’années, dont 2 en arrêts sur accident du travail, ce arrçets n’étaient pas de complaisance, celui qui m’a conduit à ce poste actuel 15 mois d’arrêt et 4 interventions chirurgicales, et l’autre les séquelles d’un intervention pour un lésion à la jambe, là j’ai vérifié qu’un rail de chemin de fer c’est plus qu’un genoux, je ne demande pas à être plaint, c’est la logique de ces travaux pénibles, je fais avec, je connais des gens qui ont d’autres contraintes tout aussi désagréable. Je pense que de l’exercice de votre métier vous ête en droit d’en attendre quelques bénéfices, même si la boulangerie est un métier assez dur, ce n’est pas le seul. La défense et le respect d’un métier n’a qu’un rapport très lointain avec la lutte des classes, les classes font réeérences à des classements sociaux et non à la référence d’un savoir faire. Dans la fonction publique tout le monde n’est pas à la botte des mafias syndicales, mais il faut reconnaitre qu’elles beaucoup de pouvoir, et monopolise la parole pour leurs discours propres. Je trouve pas choquant que des gens puissent s’enrichir par leur travail ou leur talent, et si des gens sont riches de naissance tant mieux pour eux, mais c’est plus facile de se ruiner que de s’enrichir. Mais nous avons souvent des réactions de jalousie, qui tirent les autres vers le bas.

    24 août 2004 à 21 h 07 min
  • T.Larger Répondre

    Mr Coutant, je vais vous emmener dans un monde nouveau, un monde que vous ne connaissez pas, accrochez vous… Imaginez un peu que votre boulanger remplit un service public, des boulangers, il y en a partout en France, et ils assouvissent un besoin fondamental pour la société, bien avant les transports, sncf et autres… Si le but de votre boulanger est de s’enrichier, et rien d’autre, je vous plains car vous devez manger un bien mauvais pain. Personnellement j’ai choisi dans mon village, parmi 5, le boulanger qui me parraissait produire le meilleur pain. C’est vrai qu’il semble bien gagner sa vie, mais c’est pour moi une confirmation de son travail de qualité et de sa bonne gestion. Venez dans ma petite bourgade et je vous montrerai des gens amoureux de leur travail, et pas seulement des artisans. Je reconnais également qu’il m’arrive de râler quand en pleine nuit je dois me lever pour servir un client en urgence, mais ça passe et sauf si c’est un emmerdeur notoire, j’essaie d’etre le plus efficace et le plus aimable possible car je sais ce que je leur dois. En conclusion s’il vous plait Mr Coutant malgré tout le respect que je vous dois, arrêtez de nous servir la bouillie prémachée aux relents rancis de lutte des classes avec les gentils prolétaires du public et les méchants requins bourgeois du privé, ça éviterait de perdre son temps dans des mises au point du genre, et on avancerait plus vite (ah cette efficacité si chère aux privés qui ne pensent qu’à s’enrichir. je vous prie d’agréer l’expression de mes sentiments les meilleurs

    24 août 2004 à 8 h 49 min
  • ronin Répondre

    encore un mais jusqu’ou s’arreterons t’ils!

    20 août 2004 à 0 h 01 min
  • TATANGAS Répondre

    Nos fonctionnaires nous coûtent de plus en plus cher, dites-vous. C’est très vrai. Il faut noter pourtant que la plus grande partie se trouve concentrée dans la région parisienne et c’est là, comme par hasard, que le plus grand nombre de magouilles et autres malhonnêtetés est relevé par la Presse. Sans compter ce que cette presse n’a pas le droit de divulguer. Peut-être serait-il bon de déterminer si cela est possible combien revient au français moyen l’entretien de cette région d’Ile de France (réductions de tarifs, allocations, subventions etc…). Peut-être aussi faudrait-il déterminer combien de fonctionnaires travaillent dans cette région et sur ce nombre combien ne font en fait qu’émarger au budget. On ne fait pas d’économies sans rechercher les causes des dépenses. En voilà une opportunité. Bien entendu, ce n’est pas la seule.

    18 août 2004 à 13 h 32 min
  • R. Ed. Répondre

    Pour Christophoros: je ne pense pas être un comique troupier, loin de là. Tu conviendras que de te gausser de la situation présente – 2 pseudos identiques sur le site , ce dont je ne suis en aucun cas responsable est “déplacé”, c’est le moins que je puisse dire. Et que pour ce qui est de manier la langue française il y en a beaucoup qui en possèdent la nationalité qui peuvent “repasser”. En plus, parole d’homme, je n’utilise pas un traitement de texte quelquonque, mais uniquement des dictionnaires. Je te salue quand-même, un Flamand. PS le Robert, pas le Larousse – publicité gratuite.

    15 août 2004 à 23 h 59 min
  • R. Ed. Répondre

    En réponse à Christophoros ,ce n’est pas un pseudo à deux têtes mais bien une copie de mon pseudo que l’administrateur laisse passer sans aucun complexe , par jalousie peut-être. R. Ed., signé également le Flamand est sur .be tandis que l’autre est sur .fr. En réponse au personnage doué d’une imagination féconde lorsqu’il s’agit de se trouver un pseudonyme :”Une fois encore qui manque se permet… ça y en bon français ? Moi y en a pas comprendre !Toi y en a Sénégalais ?

    15 août 2004 à 22 h 11 min
  • COUTANT Répondre

    Suivant la réflexion de LIONEL, la solution est de privatiser tout-ça, mais il ne faudra pas espérer les mêmes prestations, en fait en ANGLETRRE, leur gestion est privée, c’est un autre système vaut mieux être actionnaire que voyageur, enfin on ne peut pas tout avoir, et encore j’évoque ce réseau puisque c’est un pays de la communauté européenne. Avec les nouveaux critères de sélection à l’embauche, il y a une source certaine d’économie, du personnel qualifié, c’est apparament trop cher. Après avoir économiser sur les frais de personnel, il conviendra de vérifier, si c’est réaliste de faire tourner un réseau sensiblement de 5 h 00 à 1 h 00, pendant toute l’année, jours fériés compris et surtout que des services nocturnes sont envisagés. La maintenance revient très chère, surtout qu’une grande partie du réseau est entretenue et remise en état pendant la nuit, il est possible de réduire ou interrompre le service pendant la journée. Il est également urgent de demander l’arrêt des travaux de mise en place des tramway, des sommes considérables sont et seront englouties dans ces réalisations, et bien entendu retirer la candidature de la FRANCE au J O, pour éviter d’avoir à réaliser des travaux d’amélioration et d’adaptation, à moins que des entreprises privées aient les moyens d’investir, et redistribuer à la région. En privatisant une entreprise comme la RATP, on éliminera les entreprises qui vivent aux crochets des services publics et qu’ils prennent pour une vache à lait. LIONEL, a surement, la chance de pouvoir se passer de services publics, maintenant si les services de l’état sont mal gérés, il y a les élections pour congédier les mauvais gestionnaires. Dans la rubrique je pensais avoir donné suffisament d’éléments, c’est la pratique et la maitrise d’un métier qui me donne les moyens de vivre, pour les clients, si un service peut les satisfaire, ils resteront, les services publics de transport gérés par l’état ou la région ce n’est pas parfait, mais ça reste accessible au plus grand nombre, même peu fortuné, et surtout certaines zones à problèmes restent desservies, une entreprise privée ne desservirai en aucune manière des zones sensibles, entre matériels dégradés et arrêt de travail pour cause d’agression la facture sera trop élévée pour une recherche de rentabilitée. Bien que travaillant dans les transports parisiens, je suis domicilié en province près d’ORLEANS pour les transports, qui sont privés, je vois la différence , j’effectue le trajet en moto toute l’année, avant je travaillais en horaires décalés, là c’était simple des transports, il y en pas du tout le soir. Le véhicule utilisé c’est le mien , ce n’est pas celui de l’entreprise, comme on peut le voir souvent, tôt ou tard l’administration fiscale s’intêressera à ces avantages en nature, à force de beugler sur les pseudos avantages et privilèges de la fonction publique, l’administration risque d’être sensiblisée à ces notions d’avantages. L’utilisation des véhicules professionnels c’est assez facile à vérifier J’ai quitté la région parisienne pour cause d’insécurité, mais là c’est un autre sujet. Mais en fait, je suis peut-être assez bête de travailler, en fait les systèmes allocataires peuvent être plus rentables, j’ai même entendus des allocataires professionnels se plaindres de grévistes et des fonctionnaires qui coutaient chers, mais bientôt sera fête les allocations dites “de rentrées scolaires” vont arriver. Comme, je l’ai déjà écrit, dans la première rubrique, on peut se demander si en fait les caisses de l’état sont vraiment vides. Pour paraphraser hommelibre, je sais déjà pour qui je voterai en 2007 et surtout pour qui je ne voterai pas, la démonstration de avril 2002 démontre à quel point ils ont peur de perdre la place. Pour information, LIONEL de nombreuses entreprises en apparence concurentes ne sont en fait que les filliales de grands groupes industriels, les marches sont simplement répartis en fonctions des décision des groupes dirigeants, avec une apparence de mise en concurence. Les PME et les artisants ne sont interressés de la même manières et bien souvent ces petites structures se retrouvent sous-traitance de ces grosses sociétés, ce qui conduit à des dilutions de revenus et de responsabilités.

    11 août 2004 à 19 h 22 min
  • Thierry Répondre

    je ne me souviens pas de la derniere fois ou j’ai entendu un membre du gouvernement Français être “accountable” c’est a dire rendre des comptes de maniere responsable a la population sur les depenses et les recettes. Combien de temps encore faudra-t’il attendre de la part de toute la population (on a le gouvernement que l’on mérite) des positions aussi irresponsable face aux grandes questions d’aujourd’hui: le chomage, l’éducation, les retraites…. Toutes ces questions sont les raisons d’intenses débat dans tous les pays occidentaux….sauf en France ou la désinformation est reine Quel gachis !!!

    10 août 2004 à 23 h 51 min
  • Christophoros Répondre

    Les 4 V ont leurs comiques troupiers ( récurrents ). Après Dupond et Dupont. R.Ed et R.Ed ( méfions nous des imitations ! ). Une question pour les départager, quelle est donc la signification de ce pseudo à deux têtes ?

    10 août 2004 à 21 h 41 min
  • R.Ed Répondre

    Une fois encore qui manque se permet d’utiliser mon pseudo ?

    9 août 2004 à 15 h 12 min
  • hommlibre Répondre

    Vous ne pensez tout de même pas, à quelques encablures des prochaines élections présidentielles, que “les guignols ambitieux et vaniteux” qui nous gouvernent vont demander à leur électorat, aux électeurs en général, de se serrer la ceinture ! Faut être sérieux, et ne pas prendre les CHIRAC, SARKO., etc…. pour des tartes !

    9 août 2004 à 11 h 42 min
  • lionel Répondre

    coutant a écrit :”Comme, je l’ai déjà écrit dans une autre rubrique, dans la fonction publique nous travaillons avec une notion de service public, dans le privé le but est de travailler pour s’enrirchir et rien d’autre. ” Vous oubliez de préciser que pour s’enrichir, une entreprise a besoin d’avoir des clients et que pour que ses clients viennent et restent à dépenser leur argent pour un produit ou un service, encore faut il le contenter. Alors qui est réelemnt au service du public ? l’entreprise et ses nombreux concurrents qui essais d’ameliorer sans cesse leurs produits afin de satisfaire sa clientele ou le service public monopolistique qui lui n’a pas a faire de profit car justement il tient prisonier ses usagers ?

    8 août 2004 à 10 h 41 min
  • Observateur Répondre

    L’imposture de l’UMP/UDF vient du fait que ces deux partis sont dirigés par des socialistes extrêmes qui ne veulent pas réduire la dépense publique (probablement pour certains par conviction idéologique, ou pour d’autres, pour continuer de bénéficier des avantages financiers ou en nature liés aux fonctions publiques et politiciennes).

    7 août 2004 à 10 h 49 min
  • R. Ed. Répondre

    On peut même sans se tromper remplacer le mot “humoristes” par “réalistes” pour être plus précis.

    7 août 2004 à 0 h 25 min
  • OURSIN Répondre

    Aucun gouvernement ne peut favoriser et subventionner l’immigration, de manière aveugle, et protéger son essort économique. Ce gachis entraine la dilution accélérée depuis 30 ans d’une nation gauloise à la base cohérente, en un magma informe, plus ou moins mal métissé, et d’affrontements culturels et religieux, ruineux pour le pays, qui risquent de nous mener vers une guerre civile à cours terme. Notre déficit budjetaire est l’aboutissement du gaspillage de nos ressources, du à une idéologie mondialisante, nouveau visage de l’alliance entre les oeillères communistes, et la froide réalité du capitalisme apatride.

    6 août 2004 à 17 h 49 min
  • M.G. Répondre

    Les impos ne sont toujours pas preleves a la source. Les assures rechignent a utiliser les medicaments generiques. Les intermitents, pretextant un tournage au bout du monde, prennent de belles vacances une fois leurs 507 heures atteintes. Les plans d’OGM saccages. Des familles hyper-nombreuses pour pouvoir profiter des allocations familliales. etc… Tant de gaspillage! Les francais ne sont que des enfants gates. Ils ne se rendent plus compte de ce qu’ils ont entre les mains. Quant a nos elus, nous n’avons plus de visionnaires. le but ultime n’est qu’acceder au plus haut poste, simplement pour le prestige. Losrqu’un G.W. Bush apparait, il est fustige, traite de fanatique. Aucun politique francais n’est aujourd’hui capable de gerer le pays et tous en sont conscient. la seule solution?? Creer une Europe a qui pourra etre releguer tous les epineux problemes economiques et sociaux. Ainsi, nos politiques pourront s’en laver les mains: “que pouvons-nous faire!? c’est aujour’hui Bruxelle qui decide!!” commencent-ils a nous dire Bon courage!

    6 août 2004 à 14 h 46 min
  • M.G. Répondre

    Les impos ne sont toujours pas preleves a la source. Les assures rechignent a utiliser les medicaments generiques. Les intermitents, pretextant un tournage au bout du monde, prennent de belles vacances une fois leurs 507 heures atteintes. Les plans d’OGM saccages. Des familles hyper-nombreuses pour pouvoir profiter des allocations familliales. etc… Tant de gaspillage! Les francais ne sont que des enfants gates. Ils ne se rendent plus compte de ce qu’ils ont entre les mains. Quant a nos elus, nous n’avons plus de visionnaires. le but ultime n’est qu’acceder au plus haut poste, simplement pour le prestige. Losrqu’un G.W. Bush apparait, il est fustige, traite de fanatique. Aucun politi

    6 août 2004 à 14 h 39 min
  • coutant Répondre

    Je suis étonné, que nos dirigeants politique trouvent des difficultés pour remplir les caisses, surtout après le cinéma d’avril 2002, la majorité est passée à 82 %, avec l’aide leur amis de la gauche. Moi naîvement je pensait qu’il y avait trop d’argent dans les caisses. L’état a les moyens de distribuer des aides et des allocations, des primes de nôël, distribuer des aides à d’autres état peut-être malchanceux ou mal gérés. De prendre en charge des soins pour les alcooliques et les drogués, de payer des vacances aux délinquant et autres casseurs, sans parler des financement occultes. Reste encore le problème de la fonction publique, les responsables politiques ont trouvé une astuce, pour justifier une mauvaise gestion, ils s’arrangent pour mettre l’opinion publique sur le dos du fonctionnaire de base qui travaille comme la plupart des gens du privé, mais les hauts fonctionnaires qui eux sont vraiment privilégiés, peuvent magouiller en toute quiétude avec l’argent du contribuable, en compagnie de leurs amis politiques, c’est logique, ils sont du même monde et sortent des même écoles. Pour ce qui des revalorisations des salaire de la fonction publique, il ya peut-être quelques désinformations. Il y a une augmentation d’échelon ce qui correspont simplement à la prime d’ancienté existant dans le secteur privé. En fait les salaires de la fonction publique seraient plutôt en régression depuis 1982, pour les comparaison de salaires, il faut comparer le comparable, c’est à dire de comparer les salaires , à qualification, pénibilité, et responsabilité comparables. Pour la sécurité de l’emploi, avant de pouvoir virer les gens comme dans le privé, il faudrait que l’administration puisse pouvoir recruter facilement pour remplacer à l’équivalent pour les qualification, et l’expérience comparable. A l’avenir, cette tendance pourra changer, je travaille à la RATP dans un service maintenance du réseau électrique, maintenant l’accès à l’entreprise sera possible sans condition de nationalité, et les notions de qualification professionnelles seront révisées, il est certain que la main d’oeuvre sera moins chère, les usagers devront se contenté de ce qui restera. Pour alléger la charge du contribuable de la région parisienne, il serait peut-être necessaire de supprimer les subventions accordées aux transports en commun de la régions laissant à la charge du seul usager le coût du transport et des infrastructure et de de la maintenance, la construction des tramway est peut-être une dépense inconsidérée. Comme, je l’ai déjà écrit dans une autre rubrique, dans la fonction publique nous travaillons avec une notion de service public, dans le privé le but est de travailler pour s’enrirchir et rien d’autre. Pour le problème des syndicats, le personnel de la fonction publique est peut-être plus ennuyé que les usagers.

    6 août 2004 à 12 h 04 min
  • Philippe Répondre

    Effectivement, où est la réforme que les français attendent ? Je suis extrêmement déçu des réformes homéopathiques du gouvernement. Les charges qui pèsent sur les citoyens et les entreprises françaises continuent de paupériser la France. Des tranches d’IRPP à plus de 30 % nous mettent dans la catégorie des pays socialistes !

    6 août 2004 à 10 h 53 min

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *