Recettes fiscales…

Recettes fiscales…

Le gouvernement, acculé sur le plan financier, cherche désespérément de nouvelles recettes fiscales, et, jamais à court d’idées machiavéliques, envisagerait de modifier la législation concernant les plus-values immobilières, jusqu’à présent applicables uniquement pour les résidences secondaires, pour étendre la mesure aux résidences principales.

Malgré un démenti du porte parole du gouvernement indiquant que cette « option » n’est pas arrêtée mais n’est qu’une piste à explorer parmi d’autres, on le sait bien, il n’y a jamais de fumée sans feu, et cette mesure particulièrement injuste risque fort de voir le jour très prochainement.

C’est donc une fois de plus le Français moyen qui va se trouver sacrifié sur l’hôtel de la cupidité et de la lâcheté, car il va s’agir d’une taxe supplémentaire et particulièrement lourde pour ceux qui envisagent de céder leur bien, qui ne bénéficiera pas d’une valeur prenant en compte les aménagements et améliorations investis et non récupérés au moment de la revente.

Certes, l’heure est à la quête de finances, mais curieusement, certains secteurs budgétivores sont totalement absents de la panoplie des solutions envisagées…

A aucun moment il n’est question de se pencher sur le coût que représente l’immigration, budget qui pourtant pourrait facilement être revu à la baisse, tout simplement en ayant le courage d’adopter des mesures énergiques, telles que :

  • la suppression du regroupement familial, de l’aide au retour, des frais de rapatriement des « Français » d’origine étrangère qui souhaitent être inhumés dans leur pays d’origine mais aux frais du contribuable.

  • La non acceptation d’une polygamie coûteuse interdite dans les textes mais plus que tolérée et admise dans les faits ;

  • la suppression encore des frais faramineux engendrés par les diverses et nombreuses remises en état qui font suite aux saccages occasionnés par des « jeunes » qui sont majoritairement issus de l’immigration ;

  • celle du coût exorbitant des quelques trop rares reconduites, non pas à la frontière mais dans le pays d’origine, billet d’avion offert ;

  • celle du versement d’allocations, de tous types et de tous poils à des millions de bénéficiaires qui perçoivent allègrement mais ne cotisent pas, des subventions trop facilement accordées à des associations parasites sans aucune utilité…

Bref un budget conséquent dont on ne connaît pas les chiffres, et pour cause : ils sont ahurissants et d’un montant défiant l’entendement et la raison…

Nous avons donc confirmation que ce gouvernement, comme ceux qui l’ont précédé, adopte systématiquement la solution de facilité, celle qui consiste à ponctionner le troupeau bêlant qui va continuer à se laisser tondre sans renâcler… mais jusqu’à quand ?

Alain Potrat

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Comments (2)

  • françois Répondre

     Vous dites qu’on ne connaît pas les coûts de l’immigration. Si! Contribuables associés a fait une étude sur la question qui chiffre à 40 milliards d’€ par an ce que nous coûte l’immigration aussi bien légale qu’illégale…( 40 milliards= ce que nous dépensons moins ce que cela nous rapporte). 40 milliards par an, cela fait au choix:
              – 3,3 milliards par mois
              – 110 millions par jour
              – 4, 56 millions à l’heure
              -76 000 € à la minute
      Contribuable associés a fait également référence à une autre étude sur les coûts de la délinquance. Là, c’est 110 milliards par an. L’immigration n’en est pas entièrement responsable, mais y participe pour une bonne part que nos lois idiotes et autruchiennes empêchent de chiffrer avec précision…

    29 janvier 2011 à 15 h 57 min
  • Pierre Répondre

    Le jusque-boutisme fiscaliste et immigrationiste de l"UMP (et d’ailleurs de ses collaborateurs PS-PC-Modem-verts) est lenifiant! c’est le case de le dire.

    28 janvier 2011 à 16 h 41 min

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